Pierre-Alain TORET a écrit 110 commentaires

Clairement, les cartons de frites de chez McDonald's sont super, j'ai fait plusieurs déménagements avec.

À priori le code serveur et client est bien présent (je ne sais pas pour les assets). Dans son article, il est indiqué par Valve

Mod makers, rejoice! We've just released a massive update to the Source SDK, adding all the Team Fortress 2 client and server game code. This update will allow content creators to build completely new games based on TF2. We're also doing a big update to all our multiplayer back-catalogue Source engine titles (TF2, DoD:S, HL2:DM, CS:S, and HLDM:S), adding 64-bit binary support, a scalable HUD/UI, prediction fixes, and a lot of other improvements!

Pour l'utiliser tous les jours, Tchap est parfaitement compatible avec Firefox.

Concernant l'utilisation d'Element pour se connecter à Tchap, j'en connais qui font ça, et ça fonctionne, à priori, très bien pour eux.

De mon côté, je ne suis pas fan d'Element/Matrix à la base, mais au final ça fonctionne plutôt bien. Rien de spécial à lui reprocher au final.
Il suffit de voir le nombre de ticket dans ce sens sur le gestionnaire de ticket d'Element pour comprendre que la problématique du déchiffrement, ça n'a pas l'air spécifique à Tchap pour le coup, mais plutôt à Element sur lequel il est forké.

En suivant le premier lien du texte en question on tombe sur le paragraphe suivant, qui décrit la différence avec pypi.

Conda est un package manager écrit en python, comme pypi. Mais contrairement à celui-ci, il permet d'installer des programmes écrits dans d'autres langages. Notamment vos outils bioinformatiques préférés par l’intermédiaire du dépôt bioconda. C'est-à-dire que tous vos outils, que ce soit samtools, bwa, bowtie, trimmomatic, fastqc et j'en passe, sont disponibles et mis à jour par l’intermédiaire de conda.
Par ailleurs, conda permet l'utilisation d’environnement virtuel à l'instar de virtualenv (que les utilisateurs de python connaissent bien), vous évitant tous problèmes de dépendances. C'est donc un outil 2 en 1, que nous vous proposons d'explorer dans cet article.

Je tiens à préciser que je connais pas forcément bien l'environnement Python.

Si tu as trouvé un bon paramétrage, c'est fort possible que tu sois plus lent avec cat. Mais comme le montre la personne qui a réalisé les tests, à priori tu ne tombes quand même pas si mal que ça en utilisant cat, d'où mon choix de l'utiliser, je ne suis pas à quelques secondes/minutes en général lorsque je copie un disque vers un autre.

Pour l'avancement, c'est bizarre, dans mon souvenir dd n'affichait rien non plus. C'est sur les nouvelles versions ?

Je vais prendre l'exemple de la distribution que j'utilise.
Le ramdisk utilisé au démarrage est construit par défaut avec mkinitcpio et n'inclue rien pour gérer le bluetooth, par contre il est possible d'utiliser dracut pour le construire et il permet, lui, de récupérer tout ce qu'il faut pour utiliser son clavier bluetooth au moment de taper le mot de passe de déchiffrement. Testé et validé sur 2 machines.

Voici le lien vers la documentation : https://wiki.archlinux.org/title/Dracut#Bluetooth_keyboard_support

Ce n'est pas un projet issu d'ArchLinux, donc j'imagine que c'est utilisable sur d'autres distributions également (tu ne précises pas laquelle tu utilises).

Le code est libre, mais la fondation Linux a son siège aux États-Unis.
On en a vu les conséquences il n'y a pas si longtemps avec le retrait des mainteneurs russes. On peut facilement imaginer la même chose concernant des contributeurs ou mainteneurs d'autres pays à un moment ou à un autre.
Personnellement, ce n'est pas le genre de signal qui me rassure.

À noter que cela n'a pas été le cas pour l'instant dans d'autres projets comme FreeBSD.

Histoire de ne pas avoir à mémoriser toutes ces options compliquées qui ne font pas gagner tant de temps que ça, j'utilise simplement cat de la façon suivante : cat /dev/sda > /dev/nvme0n1

Intéressant ça, merci pour l'explication.
Je ne comprenais pas pourquoi j'ai désormais l'impression de couper la parole quand je discute au téléphone alors que je ne me souviens pas de ça quand j'étais plus jeune et que j'utilisais le fixe de la famille.

Après c'est le principe d'une LTS, tu peux rester longtemps dessus, la 22.04 c'est EOL en 2027, ça laisse le temps de voir venir.

À noter que c'est le cas aussi de l'Ultra, mais il faut déjà insérer un disque NVMe (non fourni) et à priori la capacité mémoire de la Freebox n'est plus modifiable comme sur la Delta, donc il n'y a que 2Go disponible pour toutes les vms qu'on pourrait créer si j'en crois ce que j'ai pu lire jusque là.

HP a l'ai d'en produire avec le nom de produit "Sure View", par contre aucune idée du support sous un OS alternatif.
Je ne sais pas si c'est disponible chez d'autres fabricants, mais je suis intéressé :)

Tu parles de la FSF, mais il y a également la fondation FreeBSD et la fondation Linux, et celles-ci ne sont pas du même type (comme tu mentionnes explicitement FreeBSD, cela me paraît intéressant).

La fondation Linux est une 501(c)(6) qui peut faire du lobbying et de la politique (mais reste une "non-profit" alors que la fondation FreeBSD est une 501(c)(3) qui est une organisation qui ne peut faire de politique, ni de lobbying. Je pense que ça éclaire un peu sur la volonté de chacun d'entre-elles (et potentiellement de la volonté des gens qui soutiennent ces fondations).

À noter que les projets restent, il me semble, indépendants des fondations.

À la maison.

Je m'étais servi de https://mxtoolbox.com/blacklists.aspx pour vérifier mon ip il me semble. À priori mes correspondants reçoivent bien mes messages.

J'utilise mox depuis quelques mois pour mes emails persos, et je pense que sans une solution tout-en-un comme celle-ci je ne serais pas revenu à héberger mes emails moi-même.
Rien à redire pour l'instant, ça fonctionne bien, je n'utilise pas le webmail, j'utilise Thunderbird et K9-mail pour interragir. Je fais tourner tout ça sur FreeBSD sur un Raspberry Pi 4 (j'ai prévu d'en faire un port, et j'ai un paquet sur l'AUR).

en complément, les projets bsd, souvent, n'évoluent pas longtemps, ou sont en partie abandonnés.

Alors je ne sais pas d'où tu tiens ça, mais les 3 principaux BSD ont tous quasi 30 ans (DragonFly n'a que 20 ans… ce qui doit être bien plus que la majorité des distributions Linux actuelles).
FreeBSD : 1ère version en 1993
NetBSD : 1ère version en 1993
OpenBSD : 1ère version en 1995

curl -OL <url> répond à ça dans 99% des cas je pense. Un petit alias et c'est bon.

Pareil, on m'avait plutôt dit de dire "one" quand on ne sait pas de qui on parle pour rester neutre.

Sympa :)

J'ajoute Sympa qui est pas mal utilisé pour gérer les listes de diffusions.

Il est possible d'obtenir gratuitement une licence RHEL via ce qui est décrit dans https://developers.redhat.com/blog/2021/02/10/how-to-activate-your-no-cost-red-hat-enterprise-linux-subscription#step_2__download_no_cost_rhel

Cela permet de tester et d'utiliser une application compatible RHEL sans payer de licence comme tu le demandes. À priori il est également possible de l'utiliser pour des petites charge en production également.

l'idée cela aurait été d'avoir le "potentiel" de toutes les distros, avec le "choix du noyau", à savoir linux ou bsd

En fait c'est exactement ce que je cherchais à questionner, quel serait le potentiel d'avoir un noyau qui est "désynchronisé" de son userland ?

Je pense vraiment que c'est une vision qui vient des personnes habituées aux distributions Linux pour qui le noyau n'est qu'un composant parmi d'autres, et qui peut donc être remplacé, contrairement aux BSD et autres Unix qui sont développés comme un tout, et dont je pense personne ne songerait à remplacer le noyau par un autre.

C'est déjà le cas pour Hyperbola et OpenBSD

This will not be a "distro", but a hard fork of the OpenBSD kernel and userspace including new code written under GPLv3 and LGPLv3 to replace GPL-incompatible parts and non-free ones.

Le projet NixBSD vient d'être lancé il y a quelques semaines à peine.
Hyperbola a été lancé il y a quelques années.

Il y avait à l'époque Debian/kFreeBSD et Gentoo/FreeBSD qui semblent abandonnés tous les deux.

Pour être honnête, je ne comprends pas bien l'intérêt non plus étant donné que l'userland BSD évolue avec son noyau et est donc bien plus approprié qu'un userland monté de toutes pièces comme c'est le cas dans une distribution Linux habituelle. En fait ça ressemble au fonctionnement d'une distribution, on prend un noyau et on greffe un userland par dessus, c'est tout le contraire de ce que font les différents projets BSD et ça parait provenir de réflexion de personnes ayant l'habitude de ce mode de fonctionnement.

Merci pour l'astuce, j'en profite aussi pour dire qu'il existe un équivalent sur les bases RHEL : dnf-automatic.

(perso, en terme de suivi des installations que j’ai faite chez des particuliers, la maintenance —avec vérification des mises à jours— c’est une à deux fois par an ; et je n’ai pas cinq fois dans l’année la pression d’un passage de version majeur.)

C'est drôle ça, doit-on en déduire que tu ne fais pas les mises à jour de sécurité ?
Sur une machine Debian que j'ai dans mon périmètre je reçois souvent des notifications via apticron et en les faisant quasiment toujours le lendemain ou quelques jours après, j'obtiens :

$ zgrep -h upgrade /var/log/dpkg.log* | cut -d' ' -f 1 | uniq
2023-12-03
2022-12-21
2022-12-24
2022-10-24
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2023-08-20
2023-08-28
2023-07-04
2023-07-03
2023-04-09
2023-03-18

On est quand même loin des 2 fois par an…