Arthur Accroc a écrit 2084 commentaires

  • [^] # Re: de toute façon ce sont des cons chez freedesktop

    Posté par  . En réponse au journal Perte de CTRL. Évalué à 3.

    Ou ça ailleurs ?

    Si c’est au niveau du tool kit, ça ne va fonctionner correctement que pour les applications qui utilisent le même.

    Et au niveau du gestionnaire de fenêtres, ça me semble impossible : comment pourrait-il deviner quel texte est sélectionné dans une application ? Et puis ça se heurterait probablement à la sécurité plus sérieuse contre le sniffage de Wayland.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: de toute façon ce sont des cons chez freedesktop

    Posté par  . En réponse au journal Perte de CTRL. Évalué à 2.

    Leur prochain truc c'est de désactiver le clic droit de la souris, parce que steve Jobs trouvait ça trop top moumoutte d'avoir un seul bouton ?

    Le prochain truc dans ce genre (mais pas des gens de Freedesktop), c’est de supprimer les presse-papiers multiples (avec le passage à Wayland) et par conséquent le copier-coller à la souris parce que les utilisateurs sont trop cons pour comprendre la notion de presse-papiers multiples (mais pas pour trouver /run/media/$USER ? bizarre…) et que de toute façon les applications les gèrent mal (ça, c’est malheureusement vrai dans une certaine mesure, surtout pour des applications basées sur Gtk).

    Quand toutes les bonnes choses auront été supprimées des distributions Linux, seront-elles considérées comme « prêtes pour le bureau » ?

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Nouvelle loi ?

    Posté par  . En réponse au journal Il a Free, il a plus de mail. Évalué à 7.

    C’est l’installation de la backdoor pour la DCRI qui a tout planté ?

    Bon, apparemment le problème ne concerne pas tous les comptes mails (même sur Zimbra ; je fais partie de ceux qui ne l’ont pas).
    S’ils gèrent ça comme le web, ils ont probablement réparti les utilisateurs sur plusieurs serveurs, mais il n’y a peut-être qu’une seule personne qui gère tout ça.
    J’avais eu une panne du serveur web du compte pour lequel il m’était le plus utile il y a quelques années pile au moment des vacances de la personne qui s’en occupe (plus d’infos avaient filtré) ; j’ai dû attendre plusieurs semaines pour le retour à la normale…

    Bonne chance !

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  • [^] # Re: Toujour galère...

    Posté par  . En réponse au journal Nouveau laptop, problèmes de batterie, et virtualisation. Évalué à 3. Dernière modification le 28 décembre 2013 à 11:44.

    est-ce qu'il n'y aurait pas moyen de concevoir des systèmes moins sensibles à ces problèmes et capables de les contourner facilement?

    Par exemple en isolant les pilotes et en leur laissant le moins de privilèges possible, de façon à pouvoir les relancer tranquillement s’ils se vautrent ?
    GNU Hurd. Enfin je ne sais pas où il en est de ce côté, mais l’isolation des pilotes est dans le principe des micro-noyaux et pouvoir résister à leurs plantages était dans les buts affichés de Hurd il y a déjà pas mal de temps, autant que je m’en souvienne.

    Bon, ils manquent un peu de mains pour le finir…
    Et puis si tu essaies de le faire tourner sur n’importe quel matériel comme Linux, tu pourrais avoir un petit soucis pas tant de plantages de pilotes que d’absence de pilotes…

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  • # Que du bonheur !

    Posté par  . En réponse au journal La loi sur la programmation militaire est adoptée !. Évalué à 10.

    Bienvenue dans un pays totalitaire !
    Et sans même que le FN, LO, ou un autre parti désigné comme extrémiste par les partis « respectables » ait gagné les élections.

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  • # Hein ?

    Posté par  . En réponse au journal RHEL 7 pourrait utiliser XFS par défaut. Évalué à 8.

    la légende raconte que XFS est meilleur pour gérer de très nombreux petits fichiers.

    Hein ?
    J’étais très dubitatif là-dessus, faute d’avoir vu passer une annonce majeure concernant XFS.

    À l’époque de la CentOS 5, j’ai monté un serveur de sauvegarde avec rsnapshot, pour plusieurs serveurs, dont un de fichiers, en tout entre 1 et 2 To de données sur quelques millions de fichiers (les systèmes comme les répertoires utilisateurs contenant beaucoup de petits fichiers).

    Premier essai, XFS (censé être efficace sur de gros volumes et supporté officiellement dès le début de la RHEL 5, ce qui met plutôt en confiance).
    Plusieurs jours pour faire une sauvegarde, y compris incrémentale. En fait, rien que la suppression de la sauvegarde périmée prenait des heures !

    Deuxième essai, retour au classique Ext3.
    Suppression de la sauvegarde périmée en moins de 20 minutes, sauvegarde incrémentale des serveurs en deux à trois heures (et pas des jours).
    Là, j’ai tenté de faire une vérification du système de fichiers… et j’ai compris pourquoi RedHat la désactive complètement par défaut (mais pour ma part, je n’ai pas une telle confiance). La vérification s’est mise à consommer une quantité de plus en plus importante de mémoire, jusqu’à taper de plus en plus dans le swap au point de ne plus avancer. Le lendemain, je n’avais plus d’espoir qu’elle puisse aller au bout et je l’ai arrêtée.

    Ext4 m’a sauvé ! Les mêmes performances en sauvegarde qu’ext3 et la vérification du système de fichiers en une vingtaine de minutes.

    Cela dit, je viens de faire le test qui tuait XFS (création puis suppression d’un million de fichiers vides) sur un système récent et XFS semble maintenant s’en sortir à peu près aussi bien qu’Ext4.
    Après, il faut voir en conditions réelles.

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  • # Surveillance vs démocratie

    Posté par  . En réponse à la dépêche Surveillance de l'internet : la polémique enfle. Évalué à 5.

    Les autres pays à pratiquer ou à avoir pratiquer la surveillance généralisée sont l’Allemagne de l’Est, les dictatures sanguinaires auxquelles nos belles sociétés françaises ont vendu leurs technologies de surveillance de pointe et les États-Unis.
    Moins une classe dirigeante est légitime (et je ne parle pas là que du PS, pour ceux qui auraient encore l’illusion qu’il y a eu un changement), plus elle surveille la population.

    Et les terroristes sont bien utiles pour justifier la surveillance massive de la population.

    Pour avoir une bonne idée du sens des priorités des classes dirigeantes européennes, on peut se reporter par exemple aux attentats terroristes qui ont eu lieu dans le métro londonien pendant que la police était occupée à molester les manifestants contre le G8.
    Il faut bien arriver à l’évidence : les opposants (même pacifiques) au régime sont une cible plus prioritaire pour nos dirigeants que les terroristes qui s’en prennent à la population.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Un bon journaliste est un journaliste aux ordres

    Posté par  . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 49 de l'année 2013. Évalué à 9.

    Vu aussi sur Numérama : « l'examen en commission des affaires culturelles de l'Assemblée Nationale du projet de loi de protection des sources des journalistes [a] explicitement écarté les blogueurs du dispositif, y compris lorsqu'il s'agit de journalistes écrivant pour leur propre compte. Dans la rédaction retenue, seule bénéficie du secret des sources la personne qui diffuse une information "dans l'exercice de sa profession de journaliste pour le compte (d'une entreprise)", ou toute personne qui a un lien de subordination avec une entreprise de presse ».

    La Commission nationale consultative des droits de l'homme (CNCDH) a été saisie par le ministère de la Justice pour légitimer sa position et a fait exactement le contraire, déclarant notamment que « le droit à la protection du secret des sources doit être reconnu à tous ».

    Le gouvernement et la commission des affaires culturelles de l’Assemblée Nationale ont ignoré son avis.

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  • [^] # Illusion…

    Posté par  . En réponse au journal La propriété intellectuelle c'est le vol et la censure - Le changement c'est quoi ?. Évalué à 3.

    Survivre de la propriété intellectuelle dépend de deux choses :
    – que ceux qui font le travail dans les pays à bas coût continuent de se faire exploiter, mais on peut être confiant dans les entreprises occidentales pour essayer de faire durer cela, mais elles ne sont pas toutes seules, et à un moment ou à un autre, ça pourrait coincer ;
    – que les entreprises qui détiennent la propriété intellectuelle veuillent bien nous laisser assez de miettes, par l’emploi (mais les multinationales évitent autant que possible les emplois dans nos pays) ou par l’impôt (mais elles font de leur mieux pour y échapper le plus possible), pour qu’on continue à avoir de quoi vivre, mais de toute façon leur but est de soutirer plus au consommateur que ce qu’elles lui donnent de l’autre côté.
    Et là, ça coince.

    Espérer qu’on peut assurer comme ça notre survie à long terme est une illusion.

    À l’inverse, on pourrait espérer que le niveau de vie s’équilibre entre nous (pays en voie de sous-développement) et les pays en voie de développement.
    Mais c’est fortement freiné par le fait que les détenteurs de la propriété intellectuelle ou simplement les intermédiaires captent une grosse partie des prix que nous payons.

    À une époque, l’inflation, perte de valeur progressive de notre monnaie, pouvait équilibrer une moindre compétitivité, même si ça concrétisait une perte de richesse pour tout le monde, en tout cas par rapport aux produits importés.
    Maintenant, avec une monnaie maintenue artificiellement forte (à laquelle des dirigeants « socialistes » nous on fait adhérer, accessoirement), notre économie est impactée de plein fouet par la concurrence sur les systèmes sociaux (ou leur absence) et sur les normes environnementales (ou leur absence) et par la différence du coût de la vie, l’exclusion progresse, les conditions de travail se dégradent… seuls les riches ne sont pas touchés.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Féodalisme, propriété, Parti « Socialiste »

    Posté par  . En réponse au journal La propriété intellectuelle c'est le vol et la censure - Le changement c'est quoi ?. Évalué à 10.

    Au début était le féodalisme. La noblesse possédait les terres et les serfs qui les travaillaient devaient s’estimer heureux que leur seigneur leur laisse conserver à peu près de quoi manger. Le seigneur leur impose aussi un service militaire pour défendre ses possessions du seigneur voisin, ou entretient une armée professionnelle sur leur dos.

    Ensuite, vint le capitalisme, un féodalisme industriel. Des propriétaires possédaient les usines et les ouvriers devaient s’estimer heureux qu’on leur verse en salaire vaguement de quoi vivre ou survivre. Le rendement (différence entre le coût de la main d’œuvre et le gain) est déjà meilleur. Les citoyens du pays payent une police pour défendre la propriété des moyens de production.

    Maintenant, c’est la propriété intellectuelle, un féodalisme des idées. Des sociétés possèdent des brevets, sous-traitent la production dans des pays qui n’ont pas trop de normes sociales et environnementales et vendent les produits bien plus cher que le coût de production dans des pays où les citoyens moyens ont (encore) de l’argent. Encore mieux, les sociétés peuvent se contenter de faire payer une redevance pour leurs brevets et ne rien produire du tout. Le rendement est alors maximal. Quoi qu’il en soit, elles payent des armées d’avocats sur le dos des consommateurs et utilisent la justice financée par les contribuables pour défendre leur propriété.

    Bref, le féodalisme est toujours d’actualité, il assume moins la production, mais il capte plus de richesses.

    Il est dans l'intérêt général d'avoir des entreprises florissantes, et dans un monde avec une économie mondialisé.

    Voilà. Dans une économie mondialisée.

    Jusqu’au début du 19ème siècle, la concurrence était le prétexte pour payer une misère ceux qui assuraient la production, à tel point que ce n’était pas viable : pour prendre au vulgum pecum en tant que consommateur de l’argent qu’on ne lui donne pas en tant que travailleur, on développe le crédit, mais au stade où il est évident qu’il ne pourra jamais rembourser, on fait quoi ?

    Une crise économique et une guerre mondiales plus loin, ont été mises en place des règles pour obliger la classe dominante à permettre à la classe laborieuse de vivre décemment (en France, salaire minimum, sécurité sociale…) et à l’économie d’être viable au moins socialement (écologiquement, c’est une autre affaire).
    Évidemment, ça ne peut fonctionner que si tout le monde est soumis aux mêmes règles.

    Qu’ont fait nos dirigeants récents ? Ils ont mondialisé !
    Enfin le commerce… surtout pas les règles !

    Le discours de Fleur Pélerin s'inscrit dans ce cadre.

    À partir du moment où des règles sont dans l’intérêt général, et que l’économie mondialisée est construite pour les contourner, s’inscrire dans ce cadre est déjà contre l’intérêt général.

    Si l’on considère cela d’un point de vue politique, le discours de fleur Pellerin, s’inscrit effectivement dans le cadre d’un parti qui a libéralisé l’économie et les échanges internationaux (sous le premier septennat de Miterrand ; pour ceux qui n’ont pas connu, avant certains prix comme celui de l’essence ou du pain étaient fixés, les importations étaient soumises à des quotas stricts…), qui a désindexé les salaires de l’inflation, qui a massivement privatisé, qui a construit l’Europe libérale…
    C’est donc très cohérent, sauf le nom du parti, qui bizarrement n’est pas le « Parti Libéral », mais le « Parti Socialiste »…
    La question est : sont-ils corrompus ou idiots ?

    Pour revenir à ta vision de l’« intérêt général », dans le cas du féodalisme originel, je vois bien la cohérence du discours sur l’intérêt des serfs : le seigneur les protège ainsi que leur récolte de l’armée du seigneur voisin.

    Dans le cadre du capitalisme industriel, je vois bien aussi : le propriétaire des moyens de production permet aux ouvriers de gagner leur vie dans la limite imposée par la méchante concurrence.

    Dans le cadre de la propriété intellectuelle, je ne vois même plus.
    Les grosses sociétés s’accaparent les brevets, nous vendent cher, produisent à des endroits où elles payent des salaires très bon marché, font de l’optimisation fiscale avec les paradis fiscaux pour échapper majoritairement à l’impôt (et leurs actionnaires les plus riches aussi)…
    L’appauvrissement progresse en France. Les salaires ne suivent pas l’inflation, l’exclusion augmente… Si ça ne va pas plus vite, c’est juste grâce à l’inertie et parce qu’une bonne partie de l’économie n’est pas brevetable ou mondialisable (mais elle s’affaiblit avec la progression de l’appauvrissement).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # .Xmodmap

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Bépo en console inclus de base sous GNU/Linux. Évalué à 2.

    $ xmodmap /home/pikachu/.xmodmap.conf

    Sinon, il y a le fichier .Xmodmap qui est fait pour ça et normalement chargé à l’ouverture de session (selon les environnements, ça peut ne pas être le cas ou nécessité d’activer une option quelque part).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 2.

    Je parallélisais le démarrage avant systemd et c'est quand même plus rapide avec systemd. C'est valable avec un système sur SSD, sans SSD, le temps de démarrage est sensiblement le même.

    J’ai un bête disque dur, et pas une flèche (un vieux portable au boulot et un portable perso bas de gamme), l’impact du nombre de fichiers et de leur dispersion sur le disque est donc bien plus important qu’avec un SSD.
    On perd avec ça ce qu’on gagne à paralléliser plus.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 2. Dernière modification le 29 octobre 2013 à 20:23.

    T'es sûr?

    Oui.
    J’avais affaire à ce bug avec des messages du style :
    Error: chdir(/home/auto/afsuser) failed: Too many levels of symbolic links

    La description du bug est très liée à l’utilisation de celui qui l’a soumise.
    En fait, pour le déclencher à tous les coups, il suffisait de mettre pour un répertoire en automount avec autofs un programme quelconque qui y accédait régulièrement, mais moins souvent que le délai avant démontage automatique.
    Au bout de quelques montages (quelquefois dès le premier montage, d’autre fois au bout d’un certain nombre), le bug se déclenchait et plus moyen de remonter le même répertoire au même endroit.

    Le bug a donné lieu à un correctif, qui a finalement été backporté pour la version de systemd de la Fedora 17… au moment de la sortie de la Fedora 18.

    Essaie ça alors.

    Merci de la suggestion. J’avais utilisé ça avant e4rat, mais je n’ai pas pensé du tout à le remettre après (en même temps, c’était inutile, donc je l’avais enlevé).
    Je gagne environ 5 s (contre 10 s pour e4rat… quand il marchait), c’est déjà ça. Ça doit me remettre à peu près à mon temps de démarrage sans systemd.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 2.

    Tu es en train de sous entendre que c'est la faute a systemd.

    Non, du tout. Mais on tombe parfois sur un logiciel développé uniquement pour Ubuntu (tout comme il existe des logiciels libres développés uniquement pour Windows).
    Et là, le fait d’uniformiser plein de trucs entre les autres distributions n’empêchera pas qu’il faut adapter au moins une fois.

    Ensuite, tes commentaires lies au fait que systemd marche pas sur fedora version x ou y dans tel cas ou tel autre, ca ressemble plus a se plaindre de l'implementation que de systemd lui-meme.

    Oui, enfin rappel : systemd est le même partout. En l’occurrence, c’était une mauvaise version, mais pas une autre implémentation que systemd.

    Certes, c'est chiant, mais ca va se stabiliser.

    Enfin, j'ajouterais que se plaindre que Fedora n'est pas stable sur telle ou telle config me fait me poser la question sur ton choix de distrib.

    J’ai des utilisateurs qui veulent des versions très récentes de logiciels libres. D’autres qui veulent continuer d’utiliser des logiciels propriétaires datant de plusieurs années faute de payer les mises à jour, et même certains qui veulent les deux. Le tout en environnement client serveur.
    Pendant très longtemps, Fedora tenait très bien la route par rapport à de tels besoins (logiciels récents, bibliothèques de compatibilité pour les logiciels anciens, multilib, clairement prévue dès l’installateur pour être utilisée en environnement pro).
    Ça s’est un peu dégradé depuis quelques versions (avec la 17 qui est tombée très bas, mais ça a remonté depuis).

    Peut etre devrait tu changer de distrib pour une plus stable?

    Si je pars de CentOS ou Debian, il va falloir que je me tape la compilation d’une pelleté de trucs pour avoir des versions assez récentes (et encore, si ça veut bien compiler avec les bibliothèques qui son dessus). Donc bof…
    Sinon, que voyais-tu comme distrib plus stable ?

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 4.

    Et vu son adoption en masse j’ai l’impression qu’il est déjà bien mature.

    Ubuntu aussi est utilisée en masse. Et pourtant upstart essaie de démarrer ypbind sans le réseau.
    Le fait que quelque chose soit utilisé en masse dans un contexte personnel ne garantit pas que ce soit prêt « à la sortie de la boîte » pour un environnement plus exigeant.

    Est-ce qu’on gueule parce que Linux n’est pas en Bash et qu’on peut pas le modifier facilement?

    Avant, je ne pouvais pas facilement corriger un bug dans Linux, mais facilement dans le système de démarrage.
    Maintenant, c’est aussi difficile pour le système de démarrage. De ce point de vue-là, c’est une régression.

    Par contre, si tu dois modifier un fichier de configuration ou une unité c’est tout à fait acceptable vu que c’est fait pour ça.

    Oui, et j’ai dû en modifier un ou deux, mais je suis justement tombé sur un cas où ça ne suffisait pas.

    Si tu dois modifier le code du système d’initialisation c’est qu’il est mal foutu.

    Ah ? Moi, j’avais seulement dit que systemd manquait de maturité…

    Chez moi et chez la plupart des gens c’est plus rapide.

    C’est parce que vous ne parallélisiez pas le démarrage avant.

    En plus je vois pas ce que ça fait qu’il y ai plusieurs fichiers, comme si l’init à la BSD ou SystemV c’était pas plusieurs fichiers.

    Le nombre de fichiers entre un init BSD et toutes les micro-unités de SystemD n’a rien à voir.

    Donc je ne pense pas que ça soit ça; essaie de faire systemd-analyze blame ou systemd-analyze plot > graphe.svg, ça te donnera une idée de ce qui ralentit le démarrage.

    Perte de temps, l’activité disque est à fond, c’est tout.
    Le truc qui remettait les deux systèmes de démarrage au même niveau (et dans le sens de l’amélioration pour les deux), c’est e4rat, mais les versions récentes foirent le système de fichier…
    De toute façon, je n’ai pas dit que c’est une catastrophe, juste que c’est moins rapide.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 2. Dernière modification le 28 octobre 2013 à 08:02.

    Je serais curieux de savoir quelle est la « distribution récente sous sysvinit » de Raphaël R qui n’a pas défini de dépendance au réseau pour ntpd.

    Le seul cas de ce style que j’ai vu, ce n’est pas une init System V mais upstart : la dernière Ubuntu LTS (pas regardé les autres versions) ne définit pas dé dépendance au réseau pour ypbind…

    Cela dit, les dernières versions de ntpd sont tolérantes au fait que le réseau ne soit pas connecté (il n’y a même pas à l’avertir de la disponibilité du réseau comme c’est le cas pour chrony ; je ne comprends pas que Fedora soit passé récemment à chrony par défaut), mais il faut peut-être quand même que l’interface réseau soit démarrée.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 4.

    Peut-être avec en personnalisant nfsd.service ?

    Non, puisque là, on est sur les postes clients et qu’il n’est pas lancé.
    C’est autofs qui est lancé et il est bien stoppé au bon moment… sauf qu’il reste parfois des répertoires encore montés derrière.

    J’ai ajouté un appel à umount avant l’arrêt du réseau et ça marche… sauf quand il traîne des verrous sur des fichiers.
    Peut-être faut-il que j’utilise l’option KillUserProcesses dans logind.conf. C’est ce que j’avais essayé avant d’ajouter le umount (avec un résultat moins convaincant) et ça ne suffisait pas, mais je vais peut-être réessayer les deux en même temps.

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  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 9.

    Merci pour tes indications, je connaissais déjà (à part pour le coup du truc.service.d), mais j’espère que ça pourra servir à d’autres.

    Bref : que ce soit pour l'automontage, la gestion de l'énergie ou le format des logs, l'utilisateur a le choix.

    Je ne dis pas le contraire, mais je répondais à l’affirmation « on ne réinvente pas la roue ».

    Après, si Lennart réécrit une bonne partie des services pour qu’ils s’interfacent mieux avec systemd, pourquoi pas. Pour journald, c’est assez réussi, puisqu’il fait le boulot des syslogs traditionnels, mais permet en plus d’avoir des traces du tout début du démarrage.

    Le problème avec une partie des autres, c’est qu’il faudrait en finir un avant d’en ajouter d’autres. Un automount suffisant sauf si on en a vraiment besoin, une gestion de l’ACPI suffisante sauf si on en a vraiment besoin, c’est quand même dommage. Autant en faire moins, mais les faire jusqu’au bout.

    On me prend pour un anti-systemd primaire parce que j’ose émettre des critiques, mais ce n’est pas le cas. Quand systemd ou ses services associés peuvent faire le boulot, je les utilise de préférence, ne serait-ce que par souci de cohérence ou pour limiter le nombre de services en jeu.

    Après, quand Lennart prétend remplacer l’ACPI, sauf que pour avoir les fonctionnalités qu’on peut attendre de l’ACPI, on finit avec une double configuration, une pour désactiver l’utilisation de son service et une autre pour l’ancien, ce n’est pas une amélioration par rapport à l’ancienne situation.

    D’un côté, on a systemd qui remplace le système d’init en faisant aussi le café et la vaisselle, d’un autre, on a des services associés qui ne font que la moitié de leur boulot. Il ne sont pas à la hauteur.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 4.

    J’ai jeté un coup d’œil, et je dirais qu’il doit gérer ça grâce à sa dépendance à network.target et au service NetworkManager-wait-online.service, défini « before network.target », et qui attend que Network Manager signale que c’est bon.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 3.

    Peut-être attendre que l’interface ait une adresse (je dis ça, mais je ne sais pas s’il le fait).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 5.

    hum… De nos jours, un poste client redémarre aussi souvent qu'un serveur.

    De nos jours, il y a encore des logiciels qui n’existent que sous Windows.
    Donc sur un poste en double boot…

    hum… De nos jours, un poste client redémarre aussi souvent qu'un serveur.

    Quand tu mets à jour le noyau ou la glibc, il faut bien le redémarrer. Si tu peux le faire proprement sans que ça bloque, c’est bien aussi.

    Conneries

    Toujours aussi poli.

    personne ne force à utiliser systemd

    Si tu veux toutes les fonctionnalités de certains logiciels (notamment des environnements graphiques), tu ne peux pas vraiment faire autrement.

    Ubuntu? Tu parles des gens qui essayent d'imposer Mir la… Ce n'est pas un argument

    Ils font des conneries, donc les gens qui utilisent leur distribution, même nombreux, ne comptent pas ?

    Et le pire dans ce que tu dis, c'est qu'en quelques ligne tu dis une chose est son contraire : "quasiment plus possible d’éviter systemd" puis "la distribution la plus populaire n’a pas adopté systemd", désolé mais quand la disstribution la plus populaire n'adopte pas x, j'ai du mal à imagine que tu ne peux pas éviter x, suffit de prendre la plus populaire (la popularité d'un distro t'étant importante dans ton argumentation, ça devrait aller).

    C’est-à-dire que tu peux éviter systemd soit en acceptant de te passer de fonctionnalités qui existaient avant (notamment celles liées auparavant à console kit, que systemd a remplacé aussi), soit en développant comme Ubuntu ce qu’il faut pour simuler son API, soit en utilisant Ubuntu, la distribution avec un système d’init plus merdique que systemd.
    En gros, tu as le choix de ne pas utiliser systemd en ayant moins bien que ce qui existait avant. Pas terrible.

    Il remplace (hormis le système d’init) l’automontage (mal), la gestion de la veille (sans fournir toutes les fonctionnalités non plus), les journaux système…
    ben oui, c'est lié… Pareil, on n'est plus en 1990, les besoins ont évolués.

    Je ne vois pas le rapport avec le point auquel tu réponds.
    Mais tu veux dire qu’avant, on pouvait vouloir que son portable éteigne juste l’écran quand on le replie alors qu’il est sur secteur, et qu’il mette le portable en hibernation si on est sur batterie, mais qu’en 2013 ce n’est plus un besoin légitime ?

    C’est facile de dire que les besoins ne sont plus les mêmes qu’en 1990.
    Déjà, c’est de la mauvaise foi, puisque les besoins comme les fonctionnalités ont évolué entre 1990 et l’avènement de systemd, et d’autre part, les besoins existent toujours pour une bonne partie. Il y a plus de portables, mais les postes fixes en réseau sont encore nombreux en environnement professionnel.

    Donc leur système actuel ne répond pas à leur besoin ("simple", ha ha ha) ok :)

    Simple, ce n’est pas la même chose que facile.
    C’est peut-être plus facile pour l’utilisateur d’une distribution Linux de configurer ses services avec systemd, mais si je veux comprendre entièrement le système d’init en lisant son code, j’aurai beaucoup plus vite fait avec un init BSD. Si je maintenais un système Unix non Linux, j’aurais aussi beaucoup moins de mal à avoir un init BSD que de me coltiner l’adaptation du noyau à systemd ou l’inverse.
    Donc je persiste : l’init BSD est plus simple.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: C’est du propre

    Posté par  . En réponse à la dépêche Entretien avec François Tigeot, développeur DragonFly BSD. Évalué à 10.

    Je me permets de répondre à sinma et à xcomcmdr dans le même commentaire, parce que mes éléments de réponse sont en partie liés.

    sinma :

    Maintenant on a un truc qui est utilisé par beaucoup plus de monde (Fedora, openSUSE, Arch Linux, Frugalware, etc) dont potentiellement moins bugué,

    « Potentiellement », oui ; systemd est encore jeune. Peut-être atteint-il maintenant un stade assez mature, mais pas depuis très longtemps.
    La version pourrie qui était sur la Fedora 17 causait des dysfonctionnement d’autofs.
    Je sais que systemd a une fonctionnalité d’automontage, mais elle n’est pas à la hauteur d’autofs : pas de possibilité de charger les points de montage d’une table NIS ou d’un annuaire LDAP, ni d’auto-démonter après un certain temps sans utilisation.

    xcomcmdr :

    Myth: systemd is not debuggable.
    False. Some people try to imply that the shell was a good debugger. Well, it isn't really. In systemd we provide you with actual debugging features instead. For example: interactive debugging, verbose tracing, the ability to mask any component during boot, and more. Also, we provide documentation for it.

    Ça, c’est quand le bug est dans l’enchaînement du démarrage ou dans les composants eux-mêmes. Pour les dysfonctionnements d’autofs, qui impliquaient un traitement spécial au niveau de systemd lui-même (autofs est un service qui monte des répertoires pour d’autre utilisateurs que celui sous lequel il tourne ; apparemment, ça rentre mal dans les cases des cgroups), les développeurs de Fedora avaient marqué le bug en « fix next release ». Sachant que les versions plus récentes de systemd le corrigeaient, mais que les développeurs de Fedora conservaient sa version d’origine dans la 17 (probablement pour éviter des modifications trop importantes du système, les définitions des unités systemd ayant beaucoup évolué entre la version de Fedora 17 et celle qui corrigeait le problème ; c’est ce qui m’a dissuadé de résoudre le problème en remplaçant moi-même la version de systemd), il n’y avait pas d’issue.

    sinma :

    alors qu’avant c’était chacun son truc donc potentiellement plus bugué et surtout, il fallait réapprendre pour chaque distribution.

    Ben c’est-à-dire que quand un script d’init de quelques dizaines de lignes était pourri, je pouvais le déboguer moi-même. S’il faut déboguer systemd (je parle bien de l’exécutable de systemd, pas des unités) pour un problème non trivial, c’est cuit.

    Bon, maintenant, Fedora fait en sorte de mettre à jour systemd. Je ne sais pas dans quelle mesure ça leur fait un boulot important ou pas, mais c’est certainement plus raisonnable que d’essayer de backporter des modifications de systemd dans une version plus ancienne.

    xcomcmdr :

    On y gagne énormément en échange. Quelques exemples :
    * Démarrage bien plus rapide

    Ou pas. Sur mon portable sous Arch, avant systemd, je démarrais les quelques services dont dépendent vraiment les autres séquentiellement, puis quasiment tout en parallèle. Au début (quand systemd n’était que dans les contributions), systemd démarrait aussi rapidement, mais avec la multiplication des micro-unités et des fichiers de configuration, ça demande plus d’accès disques et c’est finalement plus lent.

    À l’opposé, sur un serveur, le démarrage parallélisé, voire à la demande, rend plus difficile de vérifier que tous les services ont démarré correctement.

    • Compatibilité avec les shellscripts

    C’est une fonctionnalité de systemd, mais pas un gain. Les systèmes de démarrage basés sur le shell n’avaient pas trop de problèmes de compatibilité avec les scripts shells.

    • Arrêt bien plus fiable des services (fini les zombies) grâce aux cgroups du kernel

    C’est bien sur un serveur.
    En pratique, sur un poste client que tu veux redémarrer, c’est moins clair.
    Il arrive que des points de montage NFS restent après l’arrêt du réseau (léger souci dans l’enchaînement quand même… et ça, c’est sous Fedora 19 avec un systemd récent, sur les versions plus anciennes, ce genre de problème était plus fréquent et bien plus long) et alors systemd patine pendant un certain temps dessus… Alors que de toute façon, il ne se produira pas de miracle pour finir une hypothétique opération sur un système de fichier réseau sans le réseau, et que tout ce que tu veux, c’est redémarrer.

    D’un autre côté, si on considère que l’alternative actuelle dans les distributions populaires, c’est upstart, finalement systemd fonctionne quand même plus facilement avec des services réseau…

    • Intégration avec Linux (comme l'init BSD est fait pour BSD)

    Non, l’intégration avec le système, pour le meilleur (meilleure gestion du hotplug, que tu cites) ou le pire (quasiment plus possible d’éviter systemd), c’est une nouveauté de systemd.
    Avec un Unix normal, le système d’init est globalement indépendant du noyau. Il suffit de voir la Slackware avec un init BSD ou la Debian/BSD avec un init System V.

    • unification des unit files (plutôt que d'avoir 36 variantes du script d'init pour un même logiciel, un par distrib'…)

    Avec le bémol que la distribution la plus populaire n’a pas adopté systemd.

    • on ne réinvente pas la roue : systemd utilise linux, udev, d-bus, tout ce qui existait déjà.

    Il remplace (hormis le système d’init) l’automontage (mal), la gestion de la veille (sans fournir toutes les fonctionnalités non plus), les journaux système…

    Bref, systemd n’est pas dépourvu d’intérêt, mais tout n’est pas rose non plus.
    Si tout ce que veulent les développeurs des *BSD, c’est un système d’init simple et fiable et pas autre chose, ils sont certainement mieux avec leur système actuel.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Déjà Vu

    Posté par  . En réponse à la dépêche Étude de Mozilla comparant les taux de compression de différents formats d'images. Évalué à 3.

    Un autre format, qui n’a pas été pris en compte, c’est le DjVu.
    Même s’il est destiné en priorité aux documents scannés, d’après son site, il serait très supérieur au JPEG, même pour les photos.

    Par contre, d’après le Wikipédia anglais, même s’il y a une implémentation open source, il y a des brevets dessus.

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  • [^] # Laptop Mode Tools

    Posté par  . En réponse au journal Obsolescence programmée ou pas ?. Évalué à 1.

    Pour ma part, je gère ce problème depuis longtemps avec les Laptop Mode Tools. Une fois configuré, ça te met le niveau de gestion d’énergie (hdparm -B) que tu veux pour ton disque, pour le fonctionnement sur secteur et sur batterie, au démarrage, à la sortie de veille, au changement de source d’alimentation…

    Par contre, un systemd plus loin, ça ne semble plus fonctionner correctement. Soit que systemd ne le lance pas au bon moment, soit qu’il fasse sa propre tambouille avec les disques tellement il va bientôt remplacer tout le système…

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  • [^] # Avril

    Posté par  . En réponse au journal Obsolescence programmée ou pas ?. Évalué à 4.

    J'ai été surpris d'apprendre qu'il y a du btrfs dans la nature depuis avril 2013 comme ça.

    Quelqu’un a dû leur dire le 1ᵉʳ du mois que BTRFS était prêt à être utilisé en production…

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