En fait, il faudrait revenir au latin : tout le monde se fera ch* pareil à l'apprendre, ce sera sans conséquence si personne ne le parle dans les règles de l'art, et en plus ce sera ASCII-compatible (on pourra coder en latin \o/).
Pitié pas le latin !
J’ai appris un peu le latin et un peu l’espéranto. Le résultat n’est pas du tout le même…
Essaye d’apprendre le latin, tu trouveras la grammaire du français simple.
En latin, ce n’est pas qu’il y ait des exceptions comme en français, c’est qu’il y a des pelletées de groupes quasiment pour chaque notion grammaticale.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Et comparé au français la prononciation n'est pas plus compliquée
Moi aussi j’ai une prononciation assez simple de l’anglais, mais je suis conscient qu’elle est mauvaise.
En français, il y a des règles, même si elles sont plus complexes que dans les autres langues, dépendent du contexte (liaisons), quelquefois de la fonction grammaticale (une finale en ·ment ne se prononce pas pareil pour un verbe que pour un adverbe, ex : « ferment » et « fermement ») et souffrent d’une petite proportion d’exceptions. De sorte que l’apprentissage syllabique de la lecture est possible (de toute façon, pour les liaisons, en syllabique ou en global, le problème est le même).
En anglais, c’est le grand n’importe quoi.
Cela dit, soyons clair, je ne considère pas non plus le français comme approprié pour servir de langue internationale. Je compare juste au français pour montrer en quoi l’anglais est pire que la seconde langue à écriture latine la plus inappropriée comme langue internationale.
Et comparé au français la prononciation n'est pas plus compliquée, il y a des exceptions certes, mais pas plus (je dirais moins) qu'en français.
Tu confirmes ce que je disais. La prononciation de l’anglais est bien plus complexe et plus subtile que tu ne le crois. Si ce n’est pas un problème d’oreille, je te conseille http://howjsay.com/ (Flash obligatoire malheureusement ; il me semblait qu’il y avait un site du genre avec les prononciations anglaises et américaines, mais ça n’a pas l’air d’être celui-ci).
Après, le bon côté des choses, c’est que si l’anglais te sert à parler à des gens dont ce n’est par la langue maternelle non plus, tu n’as pas besoin de le prononcer parfaitement : tu as de très fortes chances qu’ils n’aient pas la prononciation correcte non plus.
En fait les américains ont déjà une prononciation un peu moins complexe que les anglais, avec moins de phonèmes.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
L'esperanto (lequel d'ailleurs? Même pas "déployé" qu'il existe déjà 36 variantes)
Même si d’autres langues construites existent, certaines dérivées de l’espéranto (c’est libre, on peut forker), elles sont marginales.
est un échec depuis 100 ans. Combien de temps faudra-t-il pour accepter cet échec?
On ne peut pas considérer que ce soit un échec alors qu’il n’y a jamais eu d’incitation à le parler, ne serait-ce que de le proposer en option au collège et au lycée.
L’enseignement généralisé de l’anglais, considérant les fortunes et le temps colossal qui y sont dépensés pour un résultat très médiocre est un échec patent.
Ne pas l’admettre est un exemple de dissonance cognitive.
La réalité, c’est que pour maîtriser vaguement l’anglais parlé (on peut arriver à s’en passer pour l’anglais écrit, mais… ce n’est pas la même langue), il faut passer du temps dans un pays anglophone.
La seule réussite de l’anglais, c’est d’être une rente très importante pour les pays anglophones au travers des séjours linguistiques (sinon, franchement, combien de touristes en Angleterre ?) et des économies qu’ils réalisent sur l’enseignement des langues.
Mais bon, ce sont les anglais qui le disent le mieux :
« Le véritable or noir de la Grande-Bretagne n’est pas le pétrole de la Mer du Nord, mais la langue anglaise. Le défi que nous affrontons, c’est de l’exploiter à fond. » — Rapport annuel 1987-88 du British Council
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
L'anglais est une langue historique et comme toute langue avec une histoire elle est complexe, non cohérente et bourrée d'exceptions de partout.
Je suis d’accord avec toi, mais avec les exceptions, tu la joues « petit bras », tu aurais dû partir sur la prononciation.
L’anglais est simplement le plus gros massacre de l’alphabet latin (bien au delà du français, qui surpasse pourtant les autres langues), dont le principe de base était d’être phonétique.
L’anglais parlé est quasiment une autre langue que l’anglais écrit. Ce n’est pas un hasard s’il faut deux ans aux petits anglais pour apprendre à lire et à écrire (avec la méthode globale, forcément), s’il y a deux fois plus de dyslexiques au Royaume Uni qu’en France (où il y a en déjà bien plus que dans les pays parlant une autre langue écrite avec l’alphabet latin) ou si l’anglais est la seule langue étrangère basée sur l’alphabet latin pour laquelle on aborde l’alphabet phonétique international.
Si l’anglais n’a pas d’accents sur les caractères latins, contrairement à beaucoup de langues qui les utilisent pour indiquer la prononciation, c’est simplement parce que ça ne suffirait pas.
L’anglais est un créole de saxon, de normand, de français et de latin dans lequel on n’a rien trouvé de mieux que de garder une orthographe proche des langues d’origines alors que leurs prononciations sont très différentes, en conséquence de quoi, sans l’ancrage de l’écrit, la prononciation a joyeusement dérivé pour arriver à un résultat improbable avec un nombre de phonèmes impressionnant et surtout quasiment plus de rapport de la prononciation avec l’écriture (voir une caricature amusante utilisée par des anglophones partisans d’une réforme).
C’est certainement la seule langue à alphabet latin où il faut apprendre la prononciation de chaque mot individuellement pour le prononcer correctement… à supposer encore qu’on arrive vraiment à différencier des phonèmes souvent très proches.
Et puis je vous conseille d’écouter par exemple des écossais parler normalement (pas comme quand ils s’adressent à un anglais ou un étranger). Ils ont pas une prononciation carrément différente des anglais. Elle n’est pas forcément plus difficile, mais avoir appris la prononciation anglaise ne sert à rien pour la comprendre.
Heureusement que d’après certains, c’est une langue simple…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Par exemple, en français on dit chasse et chasseur, dent et dentiste
L’anglais fait mieux avec « tooth » et « dentist ». Et il y a pas mal d’autres cas où un mot a été importé, souvent du latin, parce que la racine saxonne ne faisait pas assez classe.
Dans le même style, un animal a tendance à changer de nom quand il arrive dans ton assiette.
Par exemple, le « veau », « calf » devient « veal » dans l’assiette, le « mouton », « sheep », devient « mutton » (remarquez la proximité du français, ça pourra vous donner des indices dans un restaurant…).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Tu devrais relire attentivement ta phrase.
À mon avis, Bruno exprime juste de façon humoristique qu’elle pourrait être plus claire ; je pense que tu as oublié le mot « pas ».
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
et ni toi ni mois n’avons été fichus d’y penser : il suffit de suivre le lien sur Fabien Penso pour savoir que les premiers comptes datent de juin 1999.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Il faut que tu revoies ton histoire, regarde donc la date de création de mon compte.
Et encore, j’ai traîné au moins six mois avant de créer mon compte (il me semble que les tous premiers comptes datent de 1998) : au début, on pouvait poster des commentaires sans créer de compte et même après, j’ai mis un certain temps à me décider.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Suite a une grande étude menée sur 423 chiens par des lycéens guatémaltèques, le chocolat est un poison.
C’est peut-être vrai… pour les chiens : d’après ce que j’ai lu dans un bouquin sur les chiens, le chocolat est toxique pour eux car leur foie ne fonctionne pas tout-à-fait comme le nôtre et le tolère beaucoup moins bien.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
J'étais peut être distrait, il m'a semblé comprendre que le système énoncé ne tient compte que du maillage de la toile.
Ça correspondrait assez à l’impression que j’en ai depuis un certain temps.
Scénario typique : je cherche une page sur un sujet un peu pointu, pas le genre de truc qui « fait le buzz », et donc référencée par d’autres pages, mais pas tellement. J’ai oublié l’URL, mais je sais ce que contient la page et donc je cherche sur trois ou quatre termes qui ont peu de chance d’apparaître ensemble dans beaucoup d’autres pages.
Résultat : Google me sort un tas de pages très populaires — sans intérêt pour moi — qui contiennent un de mes termes de recherche tel quel et un autre remplacé par un mot de la même famille (substantif au lieu d’adjectif ou autre), sauf que c’était le mot exact qui était déterminant.
Là, je prends un moteur de recherche moins « intelligent », j’entre les mêmes termes de recherche et paf, j’ai la bonne page dans les premiers résultats.
Moralité : quand je sais je que je cherche, je n’utilise plus Google, j’utilise directement un moteur de recherche qui ne prend pas l’utilisateur pour un con.
Note : bon, je fais en sorte que Google ne m’identifie pas. Si vous le laissez vous pister, vous avez probablement des résultats plus pertinents, mais par rapport à vos centres d’intérêt, pas par rapport aux termes de la recherche (enfin seulement incidemment).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Et pour traiter un vrai gros volumes, tu passes 80% de ton temps à nettoyer les données et gérer les cas foireux.
Non, j’équilibre. C’est rentable d’écrire deux lignes de code pour traiter un cas qui se présente une centaine de fois. Ça ne l’est pas s’il s’agit de faire dix lignes de codes pour corriger deux incohérences qui sont de toute façon des erreurs dans les données de départ et que tu pourrais corriger directement dedans.
Typiquement dans mon code ce que tu ferais à l'arrache en 1-10 lignes de awk/perl/sed se transforme en 100-2000 lignes de code.
Que sais-tu de ce que je fais ?
Quand j’ai converti des tables NIS de plusieurs domaines truffées d’incohérences (parce que mal maintenues à la main pendant plusieurs années) en un annuaire LDAP unique avec une seule entrée par utilisateur (pour le compte, les alias mail, l’automount… comme ça, s’il manque quelque chose ça se voit dessus, et quand on supprime le compte, rien ne traîne), j’ai effectivement pris le temps de coder de l’ordre du millier de lignes (de Perl) pour avoir un résultat propre sans avoir besoin d’y revenir.
La contrainte était que je voulais faire des tests avec l’annuaire LDAP avant de passer dessus en production, donc il fallait que je puisse le refaire à partir des tables NIS à jour sans avoir à ajuster des trucs à la main à chaque fois.
Après, pour la question du nombre de lignes de code, ça dépend aussi du choix de langage et d’implémentation qu’on fait.
J’ai eu besoin un jour de comparer des versions de paquets rpm. Pour savoir comment déterminer si une version est plus récente ou pas, j’ai regardé le code de rpm. Plusieurs pages de code C avec incrémentation du pointeur de chaîne caractère par caractère. Moins de vingt lignes pour un équivalent en Perl utilisant des expressions régulières.
Évidemment, il faut passer plus de temps pour écrire une expression régulière correctement que pour écrire une ligne qui contient juste une incrémentation de pointeur ou une comparaison de nombres, mais au final, le temps passé reste quand même bien moindre qu’à se fader des traitements de chaîne à coup d’incrémentation de pointeur et de comparaison caractère par caractère.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Eh bien je l’ai essayé.
Ça marche avec une légère différence : j’ai mis des espaces avant les /> et pas toi, mais aussi un bémol plus important : s’il y a déjà un /, ça en rajoute un autre.
Mais pour un premier jet, c’est pas mal du tout.
Par contre, tu as quand même utilisé une expression régulière, preuve que le découpage a ses limites. Et à ce stade-là, autant tout faire avec la regexp.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Pour modifier quelques occurrences, tu vas plus vite à la main.
Pour traiter un certain volume, utiliser une regexp un peu approximative et vérifier le résultat après (quitte à restaurer les anciennes versions en cas de mauvaise surprise au premier essai) sera plus rapide et moins pénible.
Pour traiter un gros volume, c’est clair, mieux vaut passer un peu de temps pour bétonner son truc.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Une version un peu plus fiable et qui traite les balises img coupées sur plusieurs lignes (l’option -0 suivie d’un code octal spécifie le caractère de fin de ligne ; mettre 777, qui n’existe pas, cause le traitement du fichier en bloc plutôt que ligne par ligne) :
Je crois que mes exemples sont mal choisis, un peu trop simple (les expressions régulières sont trivial et les délimiteurs simples).
Oui, parce que ramener un découpage à une expression régulière, c’est toujours possible (même si d’autant plus lourd que le cas était simple), mais l’inverse…
Exemple, une petite uniligne pour s’assurer que les balises img de fichiers HTML sont bien de la forme <img src="toto.png /> selon les standards actuels et pas <img src="toto.png"> sans / :
(Note à ceux qui seraient tentés de l’utiliser : elle doit fonctionner sur de l’HTML correct, mais elle n’est pas foolproof : si une balise img n’a pas son chevron fermant, elle ira modifier le suivant…)
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Par exemple si je veux sommer 2 colonnes d'un fichier
Effectivement, ce n’est pas vraiment plus compliqué, mais un peu plus long.
Il y a des cas où il est bien meilleur, mais dans la majorité de mes cas d'utilisation, ce n'est pas le cas.
Je te crois sur parole vu que tu maîtrises manifestement la question, mais on ne doit pas avoir les mêmes cas d’utilisation.
Pour ma part (et pour les unilignes), j’utilise rarement l’auto-découpage, souvent les expressions régulières (et ce n’est pas un hasard si celles de Perl ont été copiées par d’autres langages), de temps en temps un module, pas forcément un parcours de fichier (ou de l’entrée standard).
Et il y a l’avantage que quand j’ai a faire un script un peu conséquent, je le fais avec Perl aussi. Toujours un seul outil, avec une seule syntaxe (à quelques détails près : pour une uniligne je ne déclare pas les variables, alors que pour un script j’utilise le mode strict).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
perl est bien, mais gawk est un peu plus concis et des fois plus efficace (je ne parle pas de performances).
Je demande à voir un exemple.
perl -n permet d’émuler le comportement d’AWK (c’est-à-dire exécuter le code pour chaque ligne ; bon, ça fait quatre caractères en plus pour l’appel, le reste est de taille équivalente).
-a permet l’auto-découpage des lignes en champs. -l supprime les retours chariots des fins de ligne (je ne sais pas s’il y a un équivalent AWK, mais parfois, c’est pratique).
perl -p (à la place de -n) permet en plus d’imprimer les lignes après traitement (plus comme sed, mais celui-ci est beaucoup plus limité), alors qu’avec AWK, il faut le faire explicitement (sur ce coup-là, Perl est plus concis).
Pour le reste, on dispose d’un langage bien plus puissant et avec un champ d’application bien plus vaste qu’AWK, sed et autres (et le même à chaque fois).
En plus la syntaxe d’AWK n’est pas plus simple que celle de Perl (je fais encore un peu d’AWK, rarement, quand j’ai un petit script pour lequel je souhaite éviter la dépendance à Perl, et il y a quelques cas où la syntaxe d’AWK est même moins évidente).
Alors bon, je remercie les développeurs qui maintiennent gawk, parce qu’AWK est malgré tout un bon outil sur lequel je suis bien content de pouvoir compter, même sur les systèmes hostiles (c’est-à-dire sans Perl installé — bon, les trucs sans Perl ni AWK, je ne considère pas ça comme des systèmes), mais franchement, j’utilise et je conseille Perl à la place de ces petits outils : autant investir son temps sur un langage unique avec des possibilités plus vastes. Si je ne m’étais pas mis à AWK avant Perl, je ne le ferais pas maintenant.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
J'ai du mal à voir le lien entre les deux, surtout que Debian stable n'embarque pas la dernière version de XFCE…
Il y a des logiciels dont Debian stable embarque la dernière version ?
xclock ?
Sinon, le seul souci à passer (donc ultérieurement) d’Xfce 4.8 à 4.10, c’est que le greffon « boutons des fenêtres » ne s’étend plus. Il faut ajouter un séparateur transparent qui s’étend juste après si l’on veut une barre pleine largeur et que les greffons situés à droite ne bougent pas lorsqu’on ouvre ou ferme des fenêtres.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Non ! Pas le latin !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Happy Bastille Day !. Évalué à 2.
Pitié pas le latin !
J’ai appris un peu le latin et un peu l’espéranto. Le résultat n’est pas du tout le même…
Essaye d’apprendre le latin, tu trouveras la grammaire du français simple.
En latin, ce n’est pas qu’il y ait des exceptions comme en français, c’est qu’il y a des pelletées de groupes quasiment pour chaque notion grammaticale.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Ghoti
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Happy Bastille Day !. Évalué à 6. Dernière modification le 15 juillet 2013 à 11:39.
Moi aussi j’ai une prononciation assez simple de l’anglais, mais je suis conscient qu’elle est mauvaise.
En français, il y a des règles, même si elles sont plus complexes que dans les autres langues, dépendent du contexte (liaisons), quelquefois de la fonction grammaticale (une finale en ·ment ne se prononce pas pareil pour un verbe que pour un adverbe, ex : « ferment » et « fermement ») et souffrent d’une petite proportion d’exceptions. De sorte que l’apprentissage syllabique de la lecture est possible (de toute façon, pour les liaisons, en syllabique ou en global, le problème est le même).
En anglais, c’est le grand n’importe quoi.
Cela dit, soyons clair, je ne considère pas non plus le français comme approprié pour servir de langue internationale. Je compare juste au français pour montrer en quoi l’anglais est pire que la seconde langue à écriture latine la plus inappropriée comme langue internationale.
Tu confirmes ce que je disais. La prononciation de l’anglais est bien plus complexe et plus subtile que tu ne le crois. Si ce n’est pas un problème d’oreille, je te conseille http://howjsay.com/ (Flash obligatoire malheureusement ; il me semblait qu’il y avait un site du genre avec les prononciations anglaises et américaines, mais ça n’a pas l’air d’être celui-ci).
Après, le bon côté des choses, c’est que si l’anglais te sert à parler à des gens dont ce n’est par la langue maternelle non plus, tu n’as pas besoin de le prononcer parfaitement : tu as de très fortes chances qu’ils n’aient pas la prononciation correcte non plus.
En fait les américains ont déjà une prononciation un peu moins complexe que les anglais, avec moins de phonèmes.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # L'anglais c'est… principalement une rente
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Happy Bastille Day !. Évalué à 5.
Même si d’autres langues construites existent, certaines dérivées de l’espéranto (c’est libre, on peut forker), elles sont marginales.
On ne peut pas considérer que ce soit un échec alors qu’il n’y a jamais eu d’incitation à le parler, ne serait-ce que de le proposer en option au collège et au lycée.
L’enseignement généralisé de l’anglais, considérant les fortunes et le temps colossal qui y sont dépensés pour un résultat très médiocre est un échec patent.
Ne pas l’admettre est un exemple de dissonance cognitive.
La réalité, c’est que pour maîtriser vaguement l’anglais parlé (on peut arriver à s’en passer pour l’anglais écrit, mais… ce n’est pas la même langue), il faut passer du temps dans un pays anglophone.
La seule réussite de l’anglais, c’est d’être une rente très importante pour les pays anglophones au travers des séjours linguistiques (sinon, franchement, combien de touristes en Angleterre ?) et des économies qu’ils réalisent sur l’enseignement des langues.
Mais bon, ce sont les anglais qui le disent le mieux :
« Le véritable or noir de la Grande-Bretagne n’est pas le pétrole de la Mer du Nord, mais la langue anglaise. Le défi que nous affrontons, c’est de l’exploiter à fond. » — Rapport annuel 1987-88 du British Council
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Ghoti
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Happy Bastille Day !. Évalué à 10.
Je suis d’accord avec toi, mais avec les exceptions, tu la joues « petit bras », tu aurais dû partir sur la prononciation.
L’anglais est simplement le plus gros massacre de l’alphabet latin (bien au delà du français, qui surpasse pourtant les autres langues), dont le principe de base était d’être phonétique.
L’anglais parlé est quasiment une autre langue que l’anglais écrit. Ce n’est pas un hasard s’il faut deux ans aux petits anglais pour apprendre à lire et à écrire (avec la méthode globale, forcément), s’il y a deux fois plus de dyslexiques au Royaume Uni qu’en France (où il y a en déjà bien plus que dans les pays parlant une autre langue écrite avec l’alphabet latin) ou si l’anglais est la seule langue étrangère basée sur l’alphabet latin pour laquelle on aborde l’alphabet phonétique international.
Si l’anglais n’a pas d’accents sur les caractères latins, contrairement à beaucoup de langues qui les utilisent pour indiquer la prononciation, c’est simplement parce que ça ne suffirait pas.
L’anglais est un créole de saxon, de normand, de français et de latin dans lequel on n’a rien trouvé de mieux que de garder une orthographe proche des langues d’origines alors que leurs prononciations sont très différentes, en conséquence de quoi, sans l’ancrage de l’écrit, la prononciation a joyeusement dérivé pour arriver à un résultat improbable avec un nombre de phonèmes impressionnant et surtout quasiment plus de rapport de la prononciation avec l’écriture (voir une caricature amusante utilisée par des anglophones partisans d’une réforme).
C’est certainement la seule langue à alphabet latin où il faut apprendre la prononciation de chaque mot individuellement pour le prononcer correctement… à supposer encore qu’on arrive vraiment à différencier des phonèmes souvent très proches.
Et puis je vous conseille d’écouter par exemple des écossais parler normalement (pas comme quand ils s’adressent à un anglais ou un étranger). Ils ont pas une prononciation carrément différente des anglais. Elle n’est pas forcément plus difficile, mais avoir appris la prononciation anglaise ne sert à rien pour la comprendre.
Heureusement que d’après certains, c’est une langue simple…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # L'anglais c'est… une bonne blague
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Happy Bastille Day !. Évalué à 2.
L’anglais fait mieux avec « tooth » et « dentist ». Et il y a pas mal d’autres cas où un mot a été importé, souvent du latin, parce que la racine saxonne ne faisait pas assez classe.
Dans le même style, un animal a tendance à changer de nom quand il arrive dans ton assiette.
Par exemple, le « veau », « calf » devient « veal » dans l’assiette, le « mouton », « sheep », devient « mutton » (remarquez la proximité du français, ça pourra vous donner des indices dans un restaurant…).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Question linguistique
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Happy Bastille Day !. Évalué à 3.
Tu devrais relire attentivement ta phrase.
À mon avis, Bruno exprime juste de façon humoristique qu’elle pourrait être plus claire ; je pense que tu as oublié le mot « pas ».
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Pourquoi GNU/Linux ne perce pas ? C’est pourtant évident !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Bookmark - Pourquoi GNU/Linux ne perce pas ?. Évalué à 2.
Même avec un moteur, sans courant une perceuse part en vrille, mais pas une bonne chignole !
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Pourquoi GNU/Linux ne perce pas ? C’est pourtant évident !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Bookmark - Pourquoi GNU/Linux ne perce pas ?. Évalué à 9.
Pour percer, c’est plus facile avec un moteur.
Mais il faut au moins une mèche et il n’en a même pas.
Forcément, n’importe quelle perceuse premier prix achetée à l’hyper du coin fait mieux.
→[]
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Plus simple, plus précis
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Il y a 15 ans, j'ai fondé LinuxFr. Évalué à 3.
et ni toi ni mois n’avons été fichus d’y penser : il suffit de suivre le lien sur Fabien Penso pour savoir que les premiers comptes datent de juin 1999.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Histoire
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Il y a 15 ans, j'ai fondé LinuxFr. Évalué à 2.
Il faut que tu revoies ton histoire, regarde donc la date de création de mon compte.
Et encore, j’ai traîné au moins six mois avant de créer mon compte (il me semble que les tous premiers comptes datent de 1998) : au début, on pouvait poster des commentaires sans créer de compte et même après, j’ai mis un certain temps à me décider.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Scientifico-Sophisme : Je suis du cresson.
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Les dangers du Wifi enfin prouvés !. Évalué à -5.
C’est peut-être vrai… pour les chiens : d’après ce que j’ai lu dans un bouquin sur les chiens, le chocolat est toxique pour eux car leur foie ne fonctionne pas tout-à-fait comme le nôtre et le tolère beaucoup moins bien.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: … ou pas.
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Le succès de Google est-il mathématique?. Évalué à 3.
Merci de la précision (je ne sais pas si elle était dans les vidéos, je ne les ai pas encore vues : je n’ai plus vraiment Internet, j’ai Free…).
Avec une telle proportion, c’est clair, si tu cherches des informations sur un sujet qui intéresse très peu de monde, Google n’est pas le bon choix…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Perl
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de GNU Awk 4.1.0. Évalué à 2.
En effet.
Au contraire, j’ai même désactivé le découpage par ligne…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # … ou pas.
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Le succès de Google est-il mathématique?. Évalué à 3.
Ça correspondrait assez à l’impression que j’en ai depuis un certain temps.
Scénario typique : je cherche une page sur un sujet un peu pointu, pas le genre de truc qui « fait le buzz », et donc référencée par d’autres pages, mais pas tellement. J’ai oublié l’URL, mais je sais ce que contient la page et donc je cherche sur trois ou quatre termes qui ont peu de chance d’apparaître ensemble dans beaucoup d’autres pages.
Résultat : Google me sort un tas de pages très populaires — sans intérêt pour moi — qui contiennent un de mes termes de recherche tel quel et un autre remplacé par un mot de la même famille (substantif au lieu d’adjectif ou autre), sauf que c’était le mot exact qui était déterminant.
Là, je prends un moteur de recherche moins « intelligent », j’entre les mêmes termes de recherche et paf, j’ai la bonne page dans les premiers résultats.
Moralité : quand je sais je que je cherche, je n’utilise plus Google, j’utilise directement un moteur de recherche qui ne prend pas l’utilisateur pour un con.
Note : bon, je fais en sorte que Google ne m’identifie pas. Si vous le laissez vous pister, vous avez probablement des résultats plus pertinents, mais par rapport à vos centres d’intérêt, pas par rapport aux termes de la recherche (enfin seulement incidemment).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Perl
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de GNU Awk 4.1.0. Évalué à 3.
Non, j’équilibre. C’est rentable d’écrire deux lignes de code pour traiter un cas qui se présente une centaine de fois. Ça ne l’est pas s’il s’agit de faire dix lignes de codes pour corriger deux incohérences qui sont de toute façon des erreurs dans les données de départ et que tu pourrais corriger directement dedans.
Que sais-tu de ce que je fais ?
Quand j’ai converti des tables NIS de plusieurs domaines truffées d’incohérences (parce que mal maintenues à la main pendant plusieurs années) en un annuaire LDAP unique avec une seule entrée par utilisateur (pour le compte, les alias mail, l’automount… comme ça, s’il manque quelque chose ça se voit dessus, et quand on supprime le compte, rien ne traîne), j’ai effectivement pris le temps de coder de l’ordre du millier de lignes (de Perl) pour avoir un résultat propre sans avoir besoin d’y revenir.
La contrainte était que je voulais faire des tests avec l’annuaire LDAP avant de passer dessus en production, donc il fallait que je puisse le refaire à partir des tables NIS à jour sans avoir à ajuster des trucs à la main à chaque fois.
Après, pour la question du nombre de lignes de code, ça dépend aussi du choix de langage et d’implémentation qu’on fait.
J’ai eu besoin un jour de comparer des versions de paquets rpm. Pour savoir comment déterminer si une version est plus récente ou pas, j’ai regardé le code de rpm. Plusieurs pages de code C avec incrémentation du pointeur de chaîne caractère par caractère. Moins de vingt lignes pour un équivalent en Perl utilisant des expressions régulières.
Évidemment, il faut passer plus de temps pour écrire une expression régulière correctement que pour écrire une ligne qui contient juste une incrémentation de pointeur ou une comparaison de nombres, mais au final, le temps passé reste quand même bien moindre qu’à se fader des traitements de chaîne à coup d’incrémentation de pointeur et de comparaison caractère par caractère.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Perl
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de GNU Awk 4.1.0. Évalué à 3.
Eh bien je l’ai essayé.
Ça marche avec une légère différence : j’ai mis des espaces avant les /> et pas toi, mais aussi un bémol plus important : s’il y a déjà un /, ça en rajoute un autre.
Mais pour un premier jet, c’est pas mal du tout.
Par contre, tu as quand même utilisé une expression régulière, preuve que le découpage a ses limites. Et à ce stade-là, autant tout faire avec la regexp.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Perl
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de GNU Awk 4.1.0. Évalué à 3.
Pour modifier quelques occurrences, tu vas plus vite à la main.
Pour traiter un certain volume, utiliser une regexp un peu approximative et vérifier le résultat après (quitte à restaurer les anciennes versions en cas de mauvaise surprise au premier essai) sera plus rapide et moins pénible.
Pour traiter un gros volume, c’est clair, mieux vaut passer un peu de temps pour bétonner son truc.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Perl
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de GNU Awk 4.1.0. Évalué à 3.
Une version un peu plus fiable et qui traite les balises img coupées sur plusieurs lignes (l’option -0 suivie d’un code octal spécifie le caractère de fin de ligne ; mettre 777, qui n’existe pas, cause le traitement du fichier en bloc plutôt que ligne par ligne) :
Bonne chance pour faire l’équivalent avec un découpage…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Perl
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de GNU Awk 4.1.0. Évalué à 4.
Oui, parce que ramener un découpage à une expression régulière, c’est toujours possible (même si d’autant plus lourd que le cas était simple), mais l’inverse…
Exemple, une petite uniligne pour s’assurer que les balises img de fichiers HTML sont bien de la forme <img src="toto.png /> selon les standards actuels et pas <img src="toto.png"> sans / :
(Note à ceux qui seraient tentés de l’utiliser : elle doit fonctionner sur de l’HTML correct, mais elle n’est pas foolproof : si une balise img n’a pas son chevron fermant, elle ira modifier le suivant…)
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Perl
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de GNU Awk 4.1.0. Évalué à 4.
Du coup, pour faire l’équivalent d’un usage typique de sed :
avec Perl, ça donne ça :
alors qu’avec Gawk (et à condition d’avoir une version récente), ça donne ça :
Là, question efficacité de codage, ce n’est clairement pas à l’avantage de gawk.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Perl
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de GNU Awk 4.1.0. Évalué à 5.
Effectivement, ce n’est pas vraiment plus compliqué, mais un peu plus long.
Je te crois sur parole vu que tu maîtrises manifestement la question, mais on ne doit pas avoir les mêmes cas d’utilisation.
Pour ma part (et pour les unilignes), j’utilise rarement l’auto-découpage, souvent les expressions régulières (et ce n’est pas un hasard si celles de Perl ont été copiées par d’autres langages), de temps en temps un module, pas forcément un parcours de fichier (ou de l’entrée standard).
Et il y a l’avantage que quand j’ai a faire un script un peu conséquent, je le fais avec Perl aussi. Toujours un seul outil, avec une seule syntaxe (à quelques détails près : pour une uniligne je ne déclare pas les variables, alors que pour un script j’utilise le mode strict).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Perl
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Sortie de GNU Awk 4.1.0. Évalué à 6.
Je demande à voir un exemple.
perl -n permet d’émuler le comportement d’AWK (c’est-à-dire exécuter le code pour chaque ligne ; bon, ça fait quatre caractères en plus pour l’appel, le reste est de taille équivalente).
-a permet l’auto-découpage des lignes en champs. -l supprime les retours chariots des fins de ligne (je ne sais pas s’il y a un équivalent AWK, mais parfois, c’est pratique).
perl -p (à la place de -n) permet en plus d’imprimer les lignes après traitement (plus comme sed, mais celui-ci est beaucoup plus limité), alors qu’avec AWK, il faut le faire explicitement (sur ce coup-là, Perl est plus concis).
Pour le reste, on dispose d’un langage bien plus puissant et avec un champ d’application bien plus vaste qu’AWK, sed et autres (et le même à chaque fois).
En plus la syntaxe d’AWK n’est pas plus simple que celle de Perl (je fais encore un peu d’AWK, rarement, quand j’ai un petit script pour lequel je souhaite éviter la dépendance à Perl, et il y a quelques cas où la syntaxe d’AWK est même moins évidente).
Alors bon, je remercie les développeurs qui maintiennent gawk, parce qu’AWK est malgré tout un bon outil sur lequel je suis bien content de pouvoir compter, même sur les systèmes hostiles (c’est-à-dire sans Perl installé — bon, les trucs sans Perl ni AWK, je ne considère pas ça comme des systèmes), mais franchement, j’utilise et je conseille Perl à la place de ces petits outils : autant investir son temps sur un langage unique avec des possibilités plus vastes. Si je ne m’étais pas mis à AWK avant Perl, je ne le ferais pas maintenant.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Ça dépend ...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Un debugger est-il indispensable ?. Évalué à 4.
J’ai aussi tendance à n’utiliser un débogueur que s’il est pratique.
Pour Python, l’IDE Eric contient un débogueur très facile d’utilisation.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Dernière version ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Atelier-Formation Debian Wheezy et le bureau XFCE à Paris le 18 mai. Évalué à 3.
Il y a des logiciels dont Debian stable embarque la dernière version ?
xclock ?
Sinon, le seul souci à passer (donc ultérieurement) d’Xfce 4.8 à 4.10, c’est que le greffon « boutons des fenêtres » ne s’étend plus. Il faut ajouter un séparateur transparent qui s’étend juste après si l’on veut une barre pleine largeur et que les greffons situés à droite ne bougent pas lorsqu’on ouvre ou ferme des fenêtres.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: Propriétaire non, privateur oui
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Privateur.... Évalué à 1.
J’aime bien celui-ci, je l’ai même déjà proposé… mais je me suis fait moinser.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone