Arthur Accroc a écrit 2075 commentaires

  • [^] # Re: Espace insécable !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Firefox 34, ce Hérault. Évalué à 3.

    La problématique ici c'est clairement la saisie, ainsi que la lecture. Le «rédacteur» depuis son poste Windows va avoir un mal fou à gérer ça correctement, tu ne penses pas ?

    Alors  
    Pas trop d’autres possibilité.

    Par ailleurs, je ne mettrai pas ma main à couper que tous les logiciels (y compris navigateurs) gèrent l’espace insécable fine correctement…
    Thunderbird ne gère même pas l’espace insécable normale correctement (étonnamment, il me semble qu’il gère mieux la fine, peut-être parce qu’il ne la gère pas du tout comme une espace)…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # 1, 2, 3…

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'April invite à signer l'appel pour l'interopérabilité dans l'Éducation nationale. Évalué à 4.

    Cet appel reçoit également le soutien de SE-UNSA1, du SGEN-CFDT2, de la Fédération SUD Éducation3, des Clionautes4 et de LinuxÉdu5.

    C’est bien de faire du copier-coller. Ce serait mieux d’enlever les chiffres des notes de bas de page, parce que là, ça fait quand même bizarre…

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  • [^] # Re: Autre lien pour suivi en direct

    Posté par  . En réponse au journal Pose toi Philae ! . Évalué à 4.

    Merci à tous les deux pour les liens sur xkcd. Finalement, avec sur le canal officiel, seulement une image du module, une image de l’astéroïde et une image du sol lors de l’approche, arrivée deux heures après l’atterrissage, xkcd était plus palpitant !

    Quand on pense qu’il y a des allumés qui contestent que l’homme ait marché sur la Lune malgré beaucoup plus d’images…

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  • [^] # Re: Gestionnaires de paquets

    Posté par  . En réponse à la dépêche openSUSE 13.2 : nouvelle version du caméléon disponible !. Évalué à 5.

    Parce que pour Fedora (mais je suppose que ça marche pour toute distrib utilisant yum), si un "yum remove nom_du_paquet" ne supprime pas les dépendances installées avec le paquet, il suffit d'un "yum autoremove" de temps en temps pour faire le ménage dans les dépendances inutiles, ou faire "yum autoremove nom_du_paquet" à chaque fois pour supprimer paquet et dépendances liées.

    Mea culpa, ça fait très longtemps que j’ai lu le man de yum et soit ça m’avait échappé, soit ça n’existait pas encore à l’époque.

    En tout cas, merci de l’info.

    Du coup, sachant que l’info est stockée, en cherchant un peu, j’ai trouvé une autre commande intéressante : yumdb search reason user
    Elle liste les paquets installés explicitement, ça peut être bien pratique quand on veut quand même refaire une installation fraîche (ne serait-ce que pour changement d’architecture), mais retrouver ses logiciels rapidement.

    Du coup, il ne reste pas tellement d’intérêt aux outils deb… à part si on est maso (pour
    installer des paquets, ça va, mais pour en faire, il y a quand même plus simple).

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  • [^] # Arch or not Arch

    Posté par  . En réponse au journal Une idée de distribution Linux. Évalué à 5.

    Avec Arch, on passe certainement plus de temps avec les mises à jour, mais c’est réparti.

    Avec une RedHat/CentOS, pas de mise à jour, il faut réinstaller. La sortie d’une nouvelle version n’est pas très fréquente, mais pour tout reparamétrer et de réinstaller les logiciels qu’on utilise, il faut y consacrer beaucoup de temps d’un coup.

    Avec une Ubuntu, la mise à jour vers la version suivante de la distribution peut foirer, en particulier caler en cours de mise à jour avec ton système dans un état incohérent. Même si une sauvegarde peut permettre de retrouver l’ancien système en état, il faut réinstaller pour avoir le nouveau.

    Avec Fedora, la mise à jour de la distribution qui cale au milieu était la grande spécialité (c’était beaucoup plus fréquent qu’avec Ubuntu), mais le nouvel outil de mise à jour a enfin réglé le problème. Par contre, il faut disposer d’une place phénoménale dans /var pour pouvoir mettre à jour. Cela dit, comme le gestionnaire de paquets ne différencie pas les paquets installés pour dépendance, donc ne propose pas de les supprimer quand ils ne sont plus utiles, le système a tendance à enfler. Donc mieux vaut réinstaller quand même au bout d’un certain nombre de mises à jour de version de la distribution.

    Les manipulations demandées par Arch (et documentées sur le wiki) sont avec Fedora et Ubuntu repoussées à la version suivante de la distribution, puis faites automatiquement par l’outil de mise à jour, mais du coup elles sont toutes faites en même temps, il y en a éventuellement qui ratent et la résolution de ces problèmes peut prendre du temps.

    Autant pour le boulot, je n’ai pas mis d’Arch parce que je préfère que les mises à jour délicates soient regroupées à un moment bien déterminé où je prépare le nouveau système, autant pour ma machine perso, je suis passé à Arch pour ne pas avoir à bloquer périodiquement une demi-journée ou plus pour la mise à jour de version de la distribution.

    Par ailleurs, Arch me permet de me préparer aux changements amonts qui tomberont plus tard sur les distributions que j’installe au boulot.

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  • [^] # Gestionnaires de paquets

    Posté par  . En réponse à la dépêche openSUSE 13.2 : nouvelle version du caméléon disponible !. Évalué à 7.

    Un avantage des outils deb, c’est la notion d’installation pour dépendance. Ça permet de ne pas conserver un tas de trucs inutiles quand on change de logiciels, voire d’éviter qu’un système qu’on maintient pas mise à jour d’une version à une autre de la distribution enfle indéfiniment.

    Un avantage des rpm, c’est que les paquets sont plus simples à faire.

    Je ne sais pas si un jour Debian finira par simplifier la construction des paquets ou si un jour les distributions à rpm comprendront l’intérêt de stocker la raison de l’installation dans la base des paquets installés, mais en attendant, pacman propose une construction de paquets encore plus simple que rpm et conserve la raison de l’installation.

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  • [^] # tcsh

    Posté par  . En réponse à la dépêche MicroAlg: langage et environnements pour l’algorithmique. Évalué à 2.

    pour le for (( ; ; ))je viens de tester sur la machine du boulot, ça passe en ksh, ksh93,
    bash, /bin/sh (mais c'est un lien sur bash), ça ne passe pas en tcsh ni en dash :)

    Oui, enfin tcsh n’est pas de la famille du Bourne shell mais de la famille de csh… La syntaxe n’a rien à voir (csh est communément appelé C shell, son but était d’avoir une syntaxe proche de celle du C).

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  • # Sinon…

    Posté par  . En réponse au journal Pourquoi vous ne devriez pas packager vous-même votre logiciel pour Debian ?. Évalué à -2.

    Si tu ne veux pas avoir affaire aux coupeurs de cheveux en quatre, le plus simple est d’éviter leur distribution.

    À l’opposé, il y a Frugalware, dont les paquets sont aussi simples à faire que pour Arch Linux et qui a de plus la réputation d’accepter facilement les paquets.

    Bon, cette distribution n’a certainement pas (encore ?) le même nombre d’utilisateurs… mais à un certain stade, le jour où un nombre assez important de développeurs feront des paquets pour les distributions plus souples que Debian, il faudra bien que les mainteneurs Debian empaquettent leurs logiciels eux-mêmes pour conserver les utilisateurs de la Debian.

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  • [^] # Culte du cargo

    Posté par  . En réponse à la dépêche MicroAlg: langage et environnements pour l’algorithmique. Évalué à 3. Dernière modification le 27 octobre 2014 à 20:08.

    Toujours dans les trucs bizarre, il y a des jeunots super doués pour assembler par copié/collé des bouts de code en un ensemble à peu près fonctionnel mais qu'ils ne comprennent vraiment pas!

    C’est ce que j’appelle le «vaudou-ing», tiré d’une discussion entre élèves.

    Il y a déjà une expression pour ça : le culte du cargo (voir le début de l’article pour comprendre la référence, assez savoureuse).

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  • [^] # Idée

    Posté par  . En réponse au journal Ubuntu is dying. Évalué à 8.

    On pourrait profiter de la suppression d’heure pour inciter les entreprises des grandes agglomérations à étaler (de manière concertée) leurs heures de début et de fin de journée. Ça pourrait permettre de réduire les embouteillages et la surcharge des transports en commun et donc de réduire la facture pétrolière et d’améliorer la qualité de vie.

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  • [^] # Re: Parenthèses vs indentation

    Posté par  . En réponse à la dépêche MicroAlg: langage et environnements pour l’algorithmique. Évalué à 5.

    Et ton message révèle en beauté pourquoi c'est moche de forcer l'indentation…

    Oui, la phrase « lispisée » étant tellement plus lisible que la phrase indentée !

    Sérieusement, c'est le truc qui m'empêche de me mettre au python. Après tout, l'indentation, je sais que c'est nécessaire, mais j'aime avoir la liberté de choisir celle que je préfère

    Et penses-tu aussi pertinent que des débutants (le sujet ici) choisissent « l’indentation qu’ils préfèrent » ?

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  • [^] # Re: Parenthèses vs indentation

    Posté par  . En réponse à la dépêche MicroAlg: langage et environnements pour l’algorithmique. Évalué à 5.

    La lisibilité du code pour une initiation à l'algorithmique, ce n'est pas l'essentiel, ce n'est pas comme s'ils allaient tous devoir maintenir par la suite de vrais programmes.

    Ce n’est pas comme si on voulait qu’ils arrivent à relire les programmes qu’ils ont eux-mêmes écrits il y a 15 minutes…

    Enfin, je pense plutôt que des séparateurs bien visuels qui donnent la structure du code sont un plus pour les débutants,

    « Bien visuels » ? Des séparateurs où il faut un éditeur qui surligne celui qui fait la paire pour être sûr de ne pas faire d’erreur, même pour un programmeur aguerri ?

    et puis ça évite une explication sur la différence entre les tabs et les espaces (parce que je ne crois pas qu'au lycée les élèves soient aujourd'hui tous très habiles avec un éditeur de texte).

    Et puis c’est tellement plus contraignant de fournir un éditeur qui remplace les tabs par des espaces plutôt qu’un éditeur qui surligne les paires de parenthèses…

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  • # Parenthèses vs indentation

    Posté par  . En réponse à la dépêche MicroAlg: langage et environnements pour l’algorithmique. Évalué à 2.

    (. (À mon avis (sont (les parenthèses) ((non souhaitable) (une difficulté)))))

    Je pense
        que
            l’indentation est
                au contraire
            quelque chose
                qui améliore la lisibilité
                    de la structure
                        du programme,
        et qu’
                en l’imposant,
            un langage
                comme Python
            conduit les débutants
            à faire du code
               plus lisible,
                   y compris pour eux.
    

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  • [^] # (F)rance

    Posté par  . En réponse au journal Que penses-tu du service mail Mailden ?. Évalué à 6.

    Son avantage est d'être hébergé en France.

    À mon sens, ce n’est plus un avantage.

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  • [^] # Re: Un format plus ouvert

    Posté par  . En réponse au journal PDF d'un site de l'administration illisible. Évalué à 4.

    Probablement pas, mais si le choix devient une mise en page pas tout à fait identique ou ne pas pouvoir lire le document (enfin en l’occurrence accéder au formulaire), il est vite fait…

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  • # Libre washing

    Posté par  . En réponse au journal PDF d'un site de l'administration illisible. Évalué à 10.

    Ils ont le sens de l’humour chez Ah… daube !

    « Le logiciel Adobe® Reader® est la norme internationale libre, permettant de visualiser, imprimer et commenter des documents PDF de façon fiable.

    Il s'agit du seul logiciel de visualisation de fichiers PDF capable d'ouvrir tous types de contenus PDF »

    Il y a pourtant presque tous les bons mots pour se rapprocher de la réalité :
    «  Les documents PDF répondent à une norme internationale libre, hormis ceux que seul le logiciel Adobe® Reader® permet de visualiser. »

    Enfin ils avaient prévenu : en accueil, ils affichent « Faites fi de la réalité ».
    Bon, c’est sensé concerner leur nuage… mais on laisse parfois échapper des propos révélateurs…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Pluma !

    Posté par  . En réponse à la dépêche GNOME 3.14 rebat les cartes. Évalué à 5.

    pour Gedit il a du changer en 3.12 si je me souviens bien… bref). Depuis j'ai des incohérences dans mon environnement

    Que n’utilises-tu pas pluma, la version MATE de gedit ?

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  • [^] # Re: Mandrake

    Posté par  . En réponse au journal Swiss Re migre de Solaris vers Linux, et bientôt Windows vers Linux. Évalué à 3. Dernière modification le 02 octobre 2014 à 17:27.

    Je ne parle pas des problèmes de matériel non reconnu, mais par exemple des problèmes de gestionnaire de paquets qui figeaient, des outils de configuration qui ne configuraient rien,

    Je n’ai pas eu de tels soucis. Mais je soupçonne que j’ai arrêté de l’utiliser avant toi…
    Je conserve un très bon souvenir de ce qu’à été Mandrake (une distribution très agréable, en avance sur de nombreux points, pas ridicule sur la stabilité en comparaison des autres de l’époque, et bien supportée — pas mal de logiciels avaient un paquet pour Mandrake !), même si je regrette ce qu’elle est devenue.

    et qui, encore mieux, te faisaient sauter la conf manuelle que tu avais rentrer pour pallier ses déficiences.

    Si tu commences à configurer un fichier manuellement, tu as intérêt à t’assurer de ne pas utiliser après un outil qui le génère automatiquement.
    Quant au « grand public », normalement il ne modifie pas les fichiers de configuration manuellement.

    Et puis c’est le genre de trucs qui arrivent encore, pas que sur Mandriva/Mageia :

    • Depuis GRUB 2, si tu modifies grub.cfg, il saute au changement de noyau (pas sur certaines distributions, mais sur toutes celles qui regénèrent le fichier avec grub2-mkconfig). Manque de bol, beaucoup de choses sont plus difficiles à faire en amont et certaines impossibles.
    • NetworkManager est assez fort pour te pourrir tes fichiers hosts.
    • Il y a pas mal de fichiers avec un commentaire comme quoi il a été généré par tel truc et qu’il ne faut pas le modifier directement sur Fedora, et il me semble qu’il y en a aussi sur Debian et Ubuntu.

    Peut-être que sur Mandrake, il manquait dans des fichiers le commentaire au début comme quoi ils pourraient être écrasés par un outil de configuration.
    Malgré cela, les distributions actuelles ne sont pas là de lui jeter la pierre sur la question des configurations manuelles écrasées.

    C'est là dessus que Mandrake a échoué.

    À mon avis, c’est plutôt à faire n’importe quoi avec la boîte, au point de finir par virer ou dégoûter les développeurs et se retrouver avec une toute petite équipe pas très expérimentée. Là, forcément, la qualité ne s’est pas améliorée…

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  • [^] # Mandrake

    Posté par  . En réponse au journal Swiss Re migre de Solaris vers Linux, et bientôt Windows vers Linux. Évalué à 9.

    Quoi que pensent les ronchons aigris que l'on croise ici, Canonical a bien plus contribué à l'écosystème Linux que bien d'autres boites (telles que Mandrake/Mandriva par exemple) en le rendant utilisable par le commun des mortels.

    Il y a longtemps, quand Mandriva s’appelait encore Mandrake, cette distribution fournissait :

    • un environnement graphique, avec KDE, quand les autres distributions n’avaient que des gestionnaires de fenêtres (ensuite, ça a longtemps été la distribution à proposer le plus de choix en environnements ou gestionnaires de fenêtres configurés correctement) ;
    • un installateur graphique avant les autres, bien fait et qui ne calait pas en milieu d’installation sous prétexte qu’il manquait un paquet sur le dépôt ou même sans raison claire (pas comme celui de la Fedora) ;
    • une configuration du disque dans l’installateur plus facile et moins risquée que les autres distributions (et c’est encore vrai maintenant pour certaines) ;
    • des outils de configuration graphiques très complets, qui ne sont peut-être pas encore égalés à l’heure actuelle (le remplacement de Mandrake par Ubuntu comme distribution « grand public » a été une nette régression quant aux possibilités de configuration sans toucher à la ligne de commande ou éditer des fichiers manuellement) ;
    • une utilisation des supports amovibles plus facile que les autres avec supermount ;
    • un noyau avec plus de périphériques gérés que le noyau officiel et que celui des autres distributions (là, je remonte loin).

    Alors effectivement, Mandrake a peu contribué à l’écosystème Linux actuel… dans le sens où les autres distributions ont préféré ignorer ses solutions et rester en arrière pendant des années ; mais c’est leur choix, ces solutions étaient libres.

    Mandrake a en son temps fait beaucoup pour ses utilisateurs. Si les autres n’en ont pas forcément profité, ce n’est pas de son fait.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Un défaut de tmux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Atelier Tmux à Bordeaux le 15 septembre 2014. Évalué à 2.

    C’est sûrement pratique… quand ça marche.
    Chez moi, Maj+F2 par exemple ne fonctionne pas. Ça renvoie sûrement autre chose que ce qu’il attend… Mais comme je ne sais pas ce qu’il attend, je vais fais simple et en rester à tmux (reconfiguré) ou screen (si je n’ai pas le temps de reconfigurer tmux).
    Après, on peut toujours utiliser Byobu avec les commandes du tmux sous-jacent, mais dans ce cas, l’intérêt n’est pas flagrant…

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  • # Un défaut de tmux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Atelier Tmux à Bordeaux le 15 septembre 2014. Évalué à 3.

    … est à mon sens sa configuration par défaut au niveau des combinaisons de touches.

    Par exemple, pour passer à la « fenêtre » suivante, la combinaison de touches est Ctrl+b n. Pas Ctrl+b, Ctrl+n.
    Tandis qu’avec screen, on peut faire défiler les « fenêtres » en maintenant Ctrl et en tapant an an an… avec tmux, il faut enfoncer Ctrl, taper b, relâcher Ctrl, taper n, Enfoncer Ctrl, taper b, relâcher Ctrl, taper n…

    Ça peut se résoudre dans la configuration ; la preuve : un exemple de configuration fourni avec tmux reprenant les touches de screen ne pose pas ce problème.

    L’idéal serait qu’en tapant Ctrl+b, on passe en mode commande et qu’on y reste jusqu’à ce qu’on ait relâché Ctrl, mais là, ça impliquerait sûrement de modifier le code, et cette fois, screen ne fait pas ça non plus.

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  • [^] # Terminator

    Posté par  . En réponse à la dépêche Atelier Tmux à Bordeaux le 15 septembre 2014. Évalué à 3.

    Terminator (attention, il existe plusieurs logiciels portant ce nom !) est intéressant aussi, y compris en complément à tmux ou screen.

    Il fait un peu la même chose que tmux en graphique et sans possibilité de déconnexion/reconnexion, mais avec la possibilité d’ouvrir un certain nombre de sous-terminaux au lancement, y compris en exécutant des commandes dedans, comme ssh.

    Donc il est plus intéressant pour l’utilisation en local que sur une machine distante, mais il permet par exemple d’ouvrir dès son lancement des terminaux sur plusieurs machines distantes… sur lesquelles on peut alors utiliser tmux ou screen.

    Il donne aussi la possibilité de lier plusieurs terminaux pour entrer les mêmes commandes dedans. Ça peut être pratique pour administrer plusieurs serveurs de configuration identique.

    En bref, même s’il semble marcher sur les plate-bandes de tmux, c’est un logiciel qui offre des possibilités sensiblement différentes, adaptées à des cas d’utilisations différents, et qui peut être complémentaire.

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  • [^] # Atelier…

    Posté par  . En réponse au journal Atelier Tmux. Évalué à 4.

    As-tu pensé à proposer un atelier orthographe ?

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  • [^] # Certificats

    Posté par  . En réponse à la dépêche Firefox 32. Évalué à 10.

    Je dis aussi qu'il faut savoir faire la part des choses, on est sur LinuxFR, par sur le site d'une banque.

    Oui, mais si tu installes le certificat racine de CACert pour LinuxFr, ton navigateur acceptera aussi sans sourciller tout autre site qui est certifié par CACert.

    Si tu considères ce niveau de sécurité acceptable uniquement pour LinuxFr, alors il faut uniquement que tu acceptes le certificat de LinuxFr, sans installer le certificat racine de CACert, et alors la certification par CACert ne donne rien de plus qu’un certificat autosigné…

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  • [^] # Re: Suisse

    Posté par  . En réponse au journal La France bientôt chassée du podium mondial des vendeurs d'armes ?. Évalué à 2.

    Prend comme exemple plutôt un québécois

    Effectivement, prendre en exemple le québécois pour parler de la musicalité du français serait aussi incongru que le suisse allemand pour l’allemand.

    (et essaye de comprendre ;-) ).

    Je pense que les expressions me gêneraient encore plus que l’accent…

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