Arthur Accroc a écrit 2084 commentaires

  • [^] # Re: GNU Radio

    Posté par  . En réponse au journal GNU Radio et l’exploration spatiale. Évalué à 6. Dernière modification le 10 août 2014 à 08:30.

    La partie importante du communiqué de la FSF (c'est moi qui met en gras):

    The successes of the ISEE-3 Reboot project demonstrate the importance of developing, maintaining, and promoting free software. With dozens of contributors and thousands of users, GNU Radio is written to be shared, learned, and improved by anyone, anywhere…unlike the lost proprietary communications equipment used by NASA.

    D’après un des articles, l’équipement a été « décommissionné » (en langage normal, ça veut dire mis à la poubelle ???).
    À leur décharge, ils ont quand même conservé et mis à disposition la documentation de conception. Heureusement, compte tenu de certains de leurs choix techniques pour le moins originaux.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Illustration

    Posté par  . En réponse au journal GNU Radio et l’exploration spatiale. Évalué à 5.

    À la réflexion, j’aurais dû mettre le graphe de flux pour illustrer, après la phrase sur GNU Radio (si un modérateur a le temps… sinon, il restera en commentaire).

    graphe de flux utilisé pour la communication

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  • [^] # Re: GNU Radio

    Posté par  . En réponse au journal GNU Radio et l’exploration spatiale. Évalué à 6.

    Il n’y a pas d’appareil photo…

    Néanmoins, la sonde récoltera des mesures à des endroits où l’on ne va pas facilement.
    Il y a aussi l’intérêt de rendre publiques les données brutes, permettant ainsi à n’importe quel chercheur de les exploiter comme il le souhaite.

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  • [^] # Re: gnu radio

    Posté par  . En réponse au journal Linux à la conquête de l'espace !!!. Évalué à 8.

    Effectivement, voilà une info intéressante, qui méritait un journal.
    Du coup, j’en ai fait un. En temps normal, je t’aurais seulement suggéré d’en faire un, mais le passage de la sonde au plus près de la Lune se produit apparemment aujourd’hui ; après, l’info sera moins fraîche.

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  • [^] # USA

    Posté par  . En réponse à la dépêche Tails 1.1 est disponible. Évalué à 4.

    toute personne laissant un commentaire aura droit à une garde à vue lors de son entrée sur le territoire………..

    Bah, on sait déjà qu’il n’en faut pas plus pour se retrouver en taule dans le « pays de la Liberté ».

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  • [^] # Bureaux virtuels

    Posté par  . En réponse au journal Windows est il prêt pour le Desktop ? . Évalué à 5.

    Par exemple, même sous linux, en 15 ans, je ne m'en suis jamais servi.

    Il y a 18 ans, je travaillais sous Windows NT 4, et j’avais ajouté un shareware (dont j’ai oublié le nom, mais que j’avais même payé) pour avoir des bureaux virtuels.

    Il y a 20 ans, je travaillais sous un terminal X connecté à un serveur sous DEC OSF/1 (renommé par la suite Digital Unix, puis Tru64 Unix) et j’avais remplacé le gestionnaire de fenêtres d’origine (celui de Motif) par ctwm, l’un des premiers si ce n’est le premier à offrir des bureaux virtuels.

    Je ne suis venu à Linux qu’ensuite…

    Enfin tout ça pour dire que je ne considère pas qu’un système sans bureaux virtuels soit un environnement de travail correct.

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  • [^] # Fable

    Posté par  . En réponse au journal Zut alors, rien à vendre ?. Évalué à 5.

    Une version plus courte est racontée dans « Mon nom est Personne ».

    C’est sympa en rimes, mais il y a une erreur sémantique dans l’avant-dernière strophe :

    Voulant remercier son sauveur
    De l'avoir libéré,
    Le renard tout en douceur
    L'enfonça dans son gosier.

    Écrit comme ça, c’est le renard qui veut remercier son sauveur…

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  • [^] # Ctrl

    Posté par  . En réponse au journal Défouloir, pamphlet, troll: Chromium, Bépo et NIH. Évalué à 4.

    Ben chez moi, dans les applications Qt, quand je fais Ctrl-C ou Ctrl-V dans un champ de texte, au lieu de copier ou de coller le texte, il fait comme si j’avais pas appuyé sur la touche contrôle (donc il insère/remplace la sélection par la lettre c ou v)

    Juste pour être sûr : n’essaies-tu pas de taper tes raccourcis avec le Ctrl droit en utilisant la disposition Azerty dite « fr oss » ?
    La touche Ctrl droit a été sabotée dans cette disposition il y a déjà un certain temps.

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  • # Pas d’aujourd’hui…

    Posté par  . En réponse au journal Défouloir, pamphlet, troll: Chromium, Bépo et NIH. Évalué à 10.

    Quand est-ce que l’informatique cessera de mettre des bâtons dans les roues des utilisateurs?

    Ça a été pire. Vers 1993, il restait des serveurs mails qui pourrissaient le 8ème bit — avec du code exprès pour ça — parce que les développeurs américains avaient décidé que le reste du monde (pas que les utilisateurs de Bépo) pouvait aller se faire f… (oui, bon, il y a certains trucs qui ne permettaient la transmission que sur 7 bits… il y a encore bien plus longtemps).

    Même encore maintenant, sur un *BSD brut d’installation, tu as des risques que les caractères accentués ne passent pas. Éventuellement, il gère ta disposition clavier sans problème… et te remplace « é » par « \351 » ou « 'e »). Cela dit, les développeurs des *BSD pourraient profiter du fait qu’ils n’ont pas encore atteint les 8 bits pour passer directement de l’ASCII à l’UTF-8.

    Le problème actuel sous Linux, c’est que les développeurs de plusieurs toolkits sont convaincus qu’ils sauraient bien mieux gérer le clavier que ça n’est fait dans X et qu’ils le font chacun de leur côté dans leur toolkit. Même s’ils avaient raison, ce serait merdique dès que tu n’utilises pas que des logiciels développés avec le même toolkit. D’un autre côté, il me semble que quelqu’un écrivait récemment ici que l’interface graphique des logiciels Gnome devient inutilisable sous d’autres environnements, alors pas sûr que les choses soit parties pour s’arranger…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • # Applications MATE

    Posté par  . En réponse au journal De Xfce à KDE, merci Gnome.... Évalué à 5.

    Des décorations de fenêtres qui remplacent celles Xfwm4/KWin4 !

    Pour ma part, j’utilise des applications de MATE avec Xfce, ça s’intègre très bien, pas uniquement les décorations, mais même le thème (MATE utilisant encore Gtk 2). Et par rapport à des applications KDE, ça évite le lancement de services en tâche de fond qui restent quand on quitte les applications.

    Évidemment, il y a des risques que ça se dégrade lorsque MATE passera à Gtk 3 (au moins pour le thème), mais ça restera sûrement plus utilisable que les applications Gnome 3…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: bof...

    Posté par  . En réponse au journal [ HS ][elections européennes] : Je suis surpris . Évalué à 10.

    on a la télé, la radio

    Justement !

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  • [^] # Re: CQFD ?

    Posté par  . En réponse au journal GNOME Web, alias Epiphany : un navigateur que je trouve élégant. Évalué à 6.

    qui a besoin d'éditer l'url lorsqu'il surfe ?

    Un exemple comme ça : supposons, je surfe, je clique sur un lien pas à jour (ça arrive) et je tombe sur une page 404, sans lien dessus (cas classique).
    Que fais-je ?
    Eh bien j’édite la barre d’URL pour enlever tout ou partie de la partie adresse sur le site pour essayer d’arriver si possible un peu plus haut dans la hiérarchie du site ou à défaut à sa racine.

    Le navigateur merdique qui équipe mon téléphone con oblige à retaper une URL en entier plutôt que de permettre d’éditer l’URL courante et crois-moi, c’est vraiment pénible !

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  • [^] # Re: « Journal »

    Posté par  . En réponse au journal GNOME Web, alias Epiphany : un navigateur que je trouve élégant. Évalué à 3.

    « Regroupant », c’est le mot clé.
    L’ensemble des « journaux » au sens LinuxFr mériterait le nom de journal, même l’ensemble des publications d’un utilisateur donné, mais chaque publication mériterait au mieux le terme d’« article »… sauf que sur LinuxFr c’est déjà pris pour les articles « officiels ».

    Tout ce qui m’est venu d’autre, c’est billet, parce que ça peut désigner dans un journal papier un article moins formel, comme dans le terme « billet d’humeur ». Je ne dis pas qu’il n’y a pas mieux. Il y aurait aussi « Entrée de journal », mais ce serait à mon avis moins bien, parce que c’est une traduction mot à mot qui n’est utilisée qu’en informatique.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # « Journal »

    Posté par  . En réponse au journal GNOME Web, alias Epiphany : un navigateur que je trouve élégant. Évalué à 5.

    Marrant l'emploi du terme de journaliste, je n'y aurai pas pensé bien que nous écrivions, anéfé, des journaux ;)

    C’est l’utilisation du terme « journal » faite sur LinuxFr qui n’est pas très appropriée (choix de la mauvaise traduction d’un terme anglais ?).

    « Billet » par exemple serait mieux.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Comment ?

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 2.

    Dans le sens client → serveur, j'utilise l'option --delete
    Dans le sens serveur → client, j'utilise l'option -u.

    Du coup, si quelqu’un utilise deux machines, il doit effacer les fichiers deux fois de suite (sinon la deuxième machine les remettra sur le serveur).

    Ça peut aussi valoir le coup d’exclure de la synchronisation les caches de navigateurs ou autres répertoires de scories sans intérêt.

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  • [^] # Re: Unison

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 3.

    Par exemple, si un fichier est modifié dans deux profils, les heuristiques de synchronisation simplettes de type «prendre le fichier les plus récent» mènent à des pertes de données mais Unison détecte un conflit et demande l'assistance de l'utilisateur pour gérer ce cas difficile — ce qui est la seule méthode possible pour résoudre le conflit.

    Oui, mais ça pourrait être découplé (ils me semble que Coda et Intermezzo font ou faisaient quelque chose dans le genre) :
    – un système de fichier qui fait la synchronisation automatiquement en renommant en cas de conflit le fichier le plus ancien avec un suffixe spécifique et qui inscrit le conflit dans un journal ;
    – une application lancée à l’ouverture de session qui présente les conflits inscrits dans le journal et offre de les résoudre.

    L’avantage d’une telle solution est que ce n’est pas bloquant, comme Unison où il faut bien faire la synchronisation et régler les conflits avant de travailler sur le répertoire.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Ceph(FS)

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 3.

    Tant qu'à avoir de la haute dispo, autant partir sur du CEPH-FS ou truc du genre non ?

    J’en connais qui ont mis en place Ceph sur une grosse infrastructure.
    D’après eux, Ceph est maintenant stable (il y a un an ou deux seulement, ils ont encore eu une perte totale des données du système de fichier suite à un bug — enfin ils ont des sauvegardes), mais CephFS pas encore.

    Après, tu peux faire du NFS sur XFS sur Ceph (il me semble que c’est ce qu’ils font)…

    Sinon, leur conclusion est que Ceph permet d’économiser sur le stockage (pas la peine de payer cher pour la performance, la parallélisation s’en charge), mais pas sur le réseau (10 Gb/s indispensables entre les nœuds Ceph pour une organisation d’une certaine taille).

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  • # Comment ?

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 3.

    J'ai utilisé un simple script bash, appelé depuis le gestionnaire lightdm. Le script utilise la variable $USER qui lui est passée, est synchronise le dossier de l'utilisateur avec un serveur rsync (debian)

    À la réflexion, il manque un détail pour comprendre ta solution : quand fais-tu la synchronisation ?

    Si tu la fais dans les deux sens à l’ouverture de session, -u évite d’écraser des fichiers plus récents, mais tu ne peux pas faire de --delete, donc tous les fichiers effacés reviennent.

    Si tu la fais dans le sens serveur → station de travail à l’ouverture de session et station de travail → serveur à la fermeture de session, il y a un cas qui va être problématique : le plantage de X ou la coupure de courant. À l’ouverture de session qui suivra, la synchro sera faite depuis le serveur alors qu’elle n’a pas été faite dans l’autre sens. Si tu utilises l’option --delete, ça veut dire que les nouveaux fichiers seront effacés. Si tu ne l’utilises pas, ça veut dire que les fichiers effacés reviendront tout le temps.

    Par ailleurs, -u dépend pour fonctionner correctement d’une date correcte sur les machines. NTP fortement conseillé !

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: Fedora

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 2.

    Quelle différence par rapport à utiliser l'installateur ?

    Il ne demande pas d’investir du temps pour le maîtriser.
    Je ne l’utilise même pas une fois par version de la distribution : je mets à jour mon système type.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Fedora

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 2.

    Si tu fait des trucs comme "installer des tas de machines", il y Kickstart, tout comme dans la doc de RHEL.

    Je n’aime pas trop miser sur des outils spécifiques : je peux être amené à changer de distribution et par ailleurs, on n’est jamais sûr qu’ils ne disparaissent pas brusquement.

    Et puis, le dialogue que tu cherches existe encore, il est passé à firstboot, la 2nd partie de l'installeur

    Je me suis dit « Hein ??? QUELLE seconde partie ??? ». Je sais bien qu’il y en avait une, mais quand j’ai testé une Fedora 20, je n’en ai pas eu.
    J’ai refait le test (sur une machine virtuelle) ; pas mieux.
    J’ai vérifié les dépôts, il n’y a plus de paquet firstboot sur la Fedora 20 (il existait encore sur la 19).

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  • [^] # Il y a desktop et desktop.

    Posté par  . En réponse au journal Chronique des dinosaures rétrogrades. Évalué à 2.

    J’ai un plutôt l’impression qu’actuellement, Ubuntu et Fedora visent surtout les portables. Je ne dis pas que c’est aberrant, après tout, ça se vend plus que les machines de bureau.

    Par ailleurs, il y a desktop et desktop. La configuration n’est pas la même sur une machine du boulot avec tout centralisé sur le serveur que sur une machine perso autonome.

    Imagine une Fedora d’avant la 18 (neuneuïsation de l’installeur).
    L’installeur te donnait la possibilité de configurer directement la base d’utilisateurs sur LDAP ou NIS (avec éventuellement authentification sur Kerberos) avec pour LDAP récupération du certificat et d’un point de vue général tout bien configuré : pam, nsswitch.conf, ldap.conf ou yp.conf… et autofs qui marche directement.

    Des trucs que j’avais passé pas mal de temps à configurer correctement lors du passage à LDAP en 2002 (il faut dire qu’à l’époque, les distributions ne prévoyaient pas encore trop ça, et les docs n’indiquaient pas les bons attributs LDAP, il avait fallu que je trace les accès au serveur pour savoir quoi y mettre), que même mon collègue incompétent (actuellement en reconversion professionnelle après un éclair de lucidité) pouvait ainsi configurer correctement en peu de temps.

    Avec Ubuntu, il n’y a pas ça (avec les versions récentes de Fedora non plus…). Je ne peux pas être sûr que je n’aie pas raté un outil génial pour le faire après l’installation, mais autofs n’est même pas prévu pour démarrer après le réseau. Je t’invites à vérifier toi-même /etc/init/autofs.conf.
    Compare par exemple avec /etc/init/ypbind.conf (paquet nis), qui lui est bien prévu pour démarrer après le réseau (enfin ce n’est pas clair que ça marche si le réseau est configuré avec NetworkManager ou en DHCP, cela dit).
    Tu pourras au passage constater que démarrer un service après le réseau est moins trivial qu’avec une init System V ou systemd…

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  • [^] # Intermezzo…

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 2.

    Contrairement à Coda, Intermezzo fonctionnait avec les systèmes de fichiers (disque) existants.
    Malheureusement ses développeurs ont été embauchés pour développer Lustre et Intermezzo est tombé à l’eau.

    Ce type de projet doit exister, non?

    En espace utilisateur, il y a les outils de synchronisation courants, mais pas automatisés, du coup.
    Par exemple, Unison peut fonctionner sur une liaison ssh (à condition d’utiliser le port ssh standard).
    rsync, si on modifie indépendamment un fichier des deux côtés, ça va être problématique.
    csync est peut-être à voir.

    Cela dit, ces outils imposent une copie complète du répertoire, ce qui n’est pas envisageable dans un environnement où les utilisateurs se connectent indifféremment sur n’importe quelle machine d’un parc.
    Pour autant que je sache, ce n’est (était) pas le cas de Coda ou Intermezzo (correctement paramétrés).

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: l'interet par rapport à NFS ?

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 2.

    Je ne dis pas que le projet est réellement actif, mais Coda est toujours disponible sur Fedora, par exemple.

    Intermezzo est mort et enterré, malheureusement.

    C’est quand même dingue que des systèmes de fichiers réseau qui répondent bien mieux aux besoins actuels que NFS ou CIFS ne soient pas plus soutenus et utilisés…

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: l'interet par rapport à NFS ?

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 5.

    Finalement, lorsqu'on a une centaine d'utilisateurs, l'espace disque sur une station est infini comparé à la bande passante d'une réseau, même en 1G.

    cachefilesd, un cache en lecture en complément à NFS, permet de limiter l’usage de la bande passante et d’améliorer la réactivité.
    Il est déjà empaqueté pour certaines distributions.

    « Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone

  • [^] # Re: l'interet par rapport à NFS ?

    Posté par  . En réponse au journal profils itinérants, version Linux. Évalué à 2.

    Et pour les portables le soir chez soit ?

    Coda ?

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