gabuzo a écrit 236 commentaires

  • [^] # Re: La pub ça pue.

    Posté par  . En réponse à la dépêche Deux pages de Firefox dans le New York Times. Évalué à 3.

    Qu'est-ce que ça rapporte? 5 millions de téléchargement de plus? Et alors? Je repense à dotclear chez Free et je me demande si firefox sur tous les Windows est une bonne idée.

    Je ne pense pas que la comparaison Dotclear/Firefox soit pertinente d'un côté on a un développeur solitaire qui fait qq chose pour flatter son égo & se faire plaisir et d'un autre côté une fondation dont le but avoué est de devenir un acteur incontournable dans le marché des navigateurs.

    Est-il plus facile de lever $100 000 [2] pour financer une telle pub que pour payer du dev [sur SVG]

    Oui & non. Oui ça a été fait pour la pub alors que ça ne l'a pas été pour le dev. Non car devant le coût de développement de Mozilla (supporté soit par des contributeurs sur leur temps libre soit par des entreprises qui ont payés leurs employés pour travailler sur le projet) le coût de cette pub est probablement négligeable.

    Pour en revenir à SVG j'imagine que ce n'est pas, encore, perçu par les développeurs comme prioritaire sinon ce serait déjà probablement réglé.
  • [^] # Re: Clarifications diverses et rapides.

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'accord à l'amiable entre BSDi et USL (AT&T) enfin public.. Évalué à 6.

    Sans vouloir être trop méchant il ne faut pas oublier que l'un des avantages de la "surprotection" du code est de permettre aux grands de se protéger contre l'innovation de petits qui n'ont généralement pas l'infrastructure juridique ni moyens financiers de se lancer dans un procès.
  • [^] # Re: Argl

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'accord à l'amiable entre BSDi et USL (AT&T) enfin public.. Évalué à 5.

    Pour ceux qui veulent un peu apercevoir le bordel qu'est l'histoire d'Unix & des dérivés un ch'tit coup d'oeil à : http://www.levenez.com/unix/(...)
  • [^] # Re: Bravo...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Slune 1.0. Évalué à 4.

    Je suis d'accord que le commentaire de Pierre n'était pas particulièrement fin mais je vais me faire l'avocat du diable quand même.

    Tu ne peux pas comparer un jeu écrit par une seule personne à un jeu commercial récent.

    C'est vrai. Il est aussi vrai que le jeu ciblant, entre autre, les enfants, la finition des graphismes est probablement moins importante que la jouabilité et le côté bisounours moins génant que pour les adultes. Sachant ça on regarde tout de suite Slune d'un autre oeil.

    Mais au fait où ces infos, et d'autres apparues dans la discussion comme les explications de Muriel sur Nekeme Prod, sont dans l'article originel ? Ne cherchez pas, je vous donne la réponse : nulle part.

    J'avoue je suis terriblement superficiel et lorsque je vois un article sur un nouveau jeu la première chose que je fais est de me précipiter sur les screenshots. Et comme je suis affreusement superficiel & ne sachant pas qu'il s'agissait de l'oeuvre d'un seul programmeur & non de l'armée de la toute puissante Nekeme Prod, j'ai comparé avec ce que je vois actuellement lorsqu'il est question de jeux 3D.

    Bon maintenant est-ce la faute au jeu ? Probablement pas car j'en sais maintenant un peu plus mais clairement ni l'article, ni le site ne mettent assez en avant les spécificités de ce jeu.
  • [^] # Re: Et faire coder ce qu'il veux sous GPL ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Peut-on se payer le noyau Linux ?. Évalué à 1.

    Petit problème malgré tout : comment faire avec les matériels dont les fabricants refusent de donner les specs hors d'un NDA ? Il serait probablement impossible de se servir de ces specs pour faire du code GPL car l'analyse du source permettrait probablement de récupérer plein d'infos sur les dites specs. Même remarque pour des produits de type DRM qui ne peuvent fonctionner sans le secret qui les entoure.
  • [^] # Re: Question

    Posté par  . En réponse à la dépêche Peut-on se payer le noyau Linux ?. Évalué à 1.

    Une question me vient à l'esprit: pourquoi il prend pas le noyau de xxxBSD ? La licence le permet, non? Et il peut même donner 50 000 dollars s'il a envie.

    Tout simplement parce que Linux est nettement plus hype que les xxxBSD. De ce fait Linux est connu par beaucoup de monde alors que les BSD ne sont probablement connu que par les geeks.
  • # Ch'tite précision

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le brevet Microsoft sur la FAT est rejeté. Évalué à 5.

    D'après http://www.3dchips-fr.com/News/actualites/200410011.html(...) il ne s'agit [...](d')une décision préliminaire, qui ne présage en rien de la décision finale<[...]/em> et plus loin Cette décision connue sous le nom "office action" n'est pas définitive. Le processus est long, et Microsoft a la possibilité de prouver la validité de son brevet avant que l'USPTO ne tranche définitivement.

    Bref une bonne nouvelle mais il est très très probablement que Microsoft fasse tout son possible pour ne pas perdre ce brevet.
  • [^] # Re: Principe du brevet

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le brevet Microsoft sur la FAT est rejeté. Évalué à 3.

    A ma connaissance, un brevet ne concerne qu'une invention nouvelle et exclusive, c'est ce qu'on appelle le critère de nouveauté dans un dossier lors du dépot du brevet. Alors ce qui me surprend, c'est pourquoi un tel brevet sur la FAT (qui a pfff 15 ans ?) peut remplir ce critère de nouveauté.

    Dans la théorie c'est vrai. Dans la pratique, l'USPO doit avoir des impératifs de rentabilité et ne fait donc probablement pas d'enquête approfondie pour savoir si un dépot de brevet concerne une invention vraiment nouvelle.

    De plus un déposant du brevet est *obligé* de concéder des licences. S'il ne le fait pas, il peut se voir perdre le droit du brevet.

    Ça je n'en suis vraiment pas sûr. Voir à ce propos le brevet sur les tags object que la société Eolas a sortie de son chapeau après pas mal d'années en sommeil. Quand bien même ce serait vrai rien n'obligerait une société à céder des brevets à tout les demandeurs ou à un prix raisonable.
  • [^] # Re: Et ca ne s'arrangera pas de sitot.

    Posté par  . En réponse à la dépêche UFC-Que choisir déplore le manque d'interopérabilité dans la musique en ligne. Évalué à 5.

    Avec la photo, c'est plus facile à expliquer. Dans un appareil argentique, qu'elle est la précision de l'image ? Une molécule. Et dans un appareil numérique ? Des millions de molécules...

    Mouais ... C'est nettement plus compliqué que ça. Entre un joli paysage, le visage radieux de son/sa bien aimé(e), etc. et le tirage 10x15 il y a plus qu'une molécule.

    En premier lieu il y a l'objectif qui carrément important car que ce soit en analogique ou en numérique, ce qui sera perdu au niveau de l'objectif ne se retrouvera pas après.

    Ensuite le capteur. En analogique dire que la précision c'est une molécule est carrément faux. Tout d'abord l'argent utilisée pour former l'image n'a que deux états, : métal ou non métal. Les niveaux de gris viennent donc du fait que sur une zone, certaines molécules auront réagit à la lumiere alors que d'autre non. Ensuite pour produire de la couleur il faut plusieurs images noir & blanc, toutes les pellcules couleurs actuelles utilisent plusieurs couches photosensibles prisent en sandwich entres des filtres. Là encore qui dit couches, filtres, etc. dit perte lors du passage d'un milieu à l'autre. Ce n'est pas fini car si l'on met juste ça on reste en noir & blanc donc il ne faut pas oublier des colorants qui vont se coller aux grains d'argent qui ont réagis à la lumière. Bref rien que pour la prise de vue on est très très très loin de la précision de l'image ? une molécule. Bien sûr il ne faut pas oublier que le développement d'une pellicule est un procédé chimique complexe qui nécessite un suivi continu en terme de température, usure des bains de réactifs, etc.

    Pour être complet je pourrais ajouter que pour l'instant on ne dispose que d'un négatif et que pour avoir le tirage 10x15 dont je parlais au début il y a encore pas mal d'étapes qui vont à leur tour réduire la qualité de l'image.

    Pour être équitable il faut ajouter que la qualité d'une image en numérique n'est pas mesurable uniquement par le nombre de pixels qui la compose. D'ailleurs un détail amusant est que dans la pratique plus la taille des photosites (pixels à la prise de vue) est grande, meilleure sera l'image au final (les reflex numériques à 6Mpixels produisent généralement des images de meilleure qualité que les compact 8Mpixels).

    C'est dans l'air du temps de croire que le numérique c'est meilleur que l'analogique, alros que c'est totalement faux.

    C'est vrai c'est dans l'air du temps mais ce n'est pas totalement faux. En son, le tout le monde travaille maintenant en numérique car les matériels sont suffisament performants et fins (24bits/192khz) & le processus est bien maîtrisés par les techniciens. En image je pense qu'à la prise de vue l'analogique est, pour encore quelques années, meilleur que le numérique car la précision des images analogique est encore supérieure à celles des images numérique et les procesus analogique est nettement mieux maîtrisé que son équivalent numérique. Après la prise de vue le numérique a, à mon avis, l'avantage.
  • [^] # Re: Et ca ne s'arrangera pas de sitot.

    Posté par  . En réponse à la dépêche UFC-Que choisir déplore le manque d'interopérabilité dans la musique en ligne. Évalué à 4.

    En gros l'auteur passait la sortie audio des CD a l'oscilloscope et constatait que la plupart des CD n'utilisait pas la totalité des capacités du standart CD (16bits - 44100 sample/s) pour la simple et bonne raison que les majors se fout***** un peu de la qualité.

    C'est vrai les premiers CD audio étaient souvent enregistrés en 14 bits au lieu de 16 (principalement parce qu'à l'époque le traitement du flux de données en 16 bits nécessitait du matériel très coûteux). De mémoire il me semble aussi que certains lecteurs de CD n'implémentent pas complètement les algorithmes de correction d'erreur laissant un brave condensateur terminer le travail.

    Et alors ?!? Dire que certains enregistrements en CD n'utilisent pas toutes les possibilités du support, ou que tel ou tel lecteur est une sous-m* lorsqu'il s'agit de corriger les erreurs de lecture ne prouve pas que le CD audio est inférieur au vinyl.

    Si les vinyls actuels sont de relativement bonne qualité c'est parce qu'il s'agit maintenant d'un marché de niche qui permet d'avoir des marges suffisament importantes pour ne pas devoir se lancer à corps perdu dans la réduction des coûts de productions. Lorsque les vinyls étaient le média principale pour la musique les éditeurs réduisait les coûts en diminuant l'épaisseur des disques (et hop une galette qui ressemble plus à une montagne russe qu'à un disque) ou augmentait administrativement la durée de vie des matrices de pressage.
  • [^] # Re: Et ca ne s'arrangera pas de sitot.

    Posté par  . En réponse à la dépêche UFC-Que choisir déplore le manque d'interopérabilité dans la musique en ligne. Évalué à 2.

    Peut être aussi parce qu'il n'existe pas vraiment de standard pour faire de CD audio en 5.1. Certes on peut faire des CD audio encodés en DTS l'investissement en minimal pour le client comme pour le vendeur & ça marche généralement bien. Sauf que d'une part lorsque l'on met un CD DTS sans avoir de décodeur approprié derrière c'est très très mauvais pour les enceintes & les oreilles & d'autre part certains fabricants de platines CD ont eu la bonne idée de faire systèmatiquement des traitement numériques sur le signal du CD avant de l'envoyer à l'ampli et dans ce cas le CD DTS devient illisible.
  • [^] # Re: Et ca ne s'arrangera pas de sitot.

    Posté par  . En réponse à la dépêche UFC-Que choisir déplore le manque d'interopérabilité dans la musique en ligne. Évalué à 4.

    J'ai d'ailleurs un vieux vinyl d'Elvis de 56 qui se porte toujours très bien (pas rayé)

    Il se porte probablement très bien mais il est aussi très probable que ce que tu entends maintenant ne soit plus qu'un pâle reflet de la qualité de ce disque à l'origine.

    je peux écouter sans problème sur une chaine qui a plus de 20 ans, j'espère pouvoir en dire autant de mes CD dans 50 ans...

    Sur ce point d'accord à 98%. Les 2% de désaccord venant du fait que je pense que le CD a été suffisament diffusé & utilise un codage suffisament simple pour qu'il soit probable que les appareils de lecture soient encore plus ou moins dispo dans 50 ans. En revanche il est clair que pour tout ce qui es propriétaire & peu diffusé (attrac de Sony ou AAC & WMA avec DRM) on ne pourra probablement plus rien en faire d'ici quelques années.
  • [^] # Re: Et ca ne s'arrangera pas de sitot.

    Posté par  . En réponse à la dépêche UFC-Que choisir déplore le manque d'interopérabilité dans la musique en ligne. Évalué à 6.

    La qualité intéresse le public mais ca n'est pas le seul critère de choix.

    En fait j'aurais tendance à dire que le grand public n'a rien à cirer de la qualité ou presque. Si le CD a supplémenté les vinyls c'est parce qu'il apportait à la fois un gain de qualité de nature à séduire les techno/audiophiles ; peut être pas toujours par rapport à un vinyl au pressage parfait écouté sur une platine haut de gamme mais sûrement par rapport à ce que l'on pouvait avoir dans une bonne platine & les vinyls "normaux" ; mais aussi parce qu'il était plus pratique à manipuler que les vinyles, permettait d'écouter 76 minutes de musique sans avoir à changer de face et de disque (la 9ème symphonie de Beetoven, par exemple tenait en 2 disques vinyls) et surtout était beaucoup plus résistant. D'ailleurs sur ce dernier point la killer feature du CD est que l'écoute n'abime pas le support contrairement à ce qui se passe avec les vinyls & les bandes. Bien sûr une platine à plusieurs milliers d'euros avec un diamand neuf & de qualité usera moins le mange disque de ma petite soeur mais le frottement est bien là & chaque passage retire un peu de matière sur le disque.

    Si on reprend l'exemple des vinyls, la qualité est le quasi seul avantage. Les inconvénients sont principalement le prix, le manque de disponibilité (la production des nouveaux albums s'est bien réduite en dehors de la musique techno) et le peu de praticité (ie : pas question de trimballer sa platine dans les transports en commun).

    Mauvais raisonnement, il s'agit de la situation actuelle dans un environnement où le CD a supplementé complètement le vinyl. En revanche lors de l'introduction du CD (et pendant pas mal d'années), les CD coûtaient plus cher que les vinyls et l'on trouvait tous les nouveaux albums en vinyls. Pour l'aspect transport de la musique on s'en foutait royalement car tout les intéressés avec un baladeurs & copiaient leurs vinyls sur cassette pour les écouter dans le métro, le bus ou leur voiture.
  • [^] # Re: les VRPs et les marchands de canons vont se régaler

    Posté par  . En réponse à la dépêche Encyclopédie Hachette 2005 sous Linux. Évalué à 4.

    Mais ni vous, ni moi, ne sommes d'accord avec les éditeurs de contenus, et leurs visions de la chose.
    Et l'économie, celle qui vous nourrit aujourd'hui avec un salaire, celle qui vous paiera une retraite demain, elle est faite, entre autres, par les éditeurs de contenus.
    Cette économie, il faudra s'y faire, car ni vous, ni moi, ne pourrons la changer.


    Je ne pense pas. Lors de l'introduction du magnétoscope, les studios voulait l'interdire car cela permettait d'enregister des contenus copyrightés. Or à la suite d'un procès le MPAA à perdu & le magnétoscope est devenu légal aux USA. Le côté amusant est qu'à la suite de ça l'industrie cinématographique a gagnés des milliards grâce aux magnétoscopes.

    Autre exemple, le DIVX. Avant d'être repris comme nom pour un codec vidéo, le DIVX était un système dans lequel le client achetait un disque avec un film dessus et devait se connecter à un serveur & payer pour avoir la possibilité de regarder le film pendant 24 heures. Les studios (Disney en tête) ont applaudis des deux mains & soutenu cette formidable innovation. Au final les consommateurs n'en ont pas voulu et le système est tombé dans l'oubli.

    On pourrait aussi parler de la DCC (Digital Compact Cassette) avec laquelle Philips voulait remplacer la cassette analogique, du Laserdisc qui n'a jamais dépassé un succès d'estime en occident, ou d'autres. Il ne faut donc pas oublier qu'au final ce sont les consommateurs qui en achetant ou n'achetant pas un produit peuvent faire son succès.
  • [^] # Re: les VRPs et les marchands de canons vont se régaler

    Posté par  . En réponse à la dépêche Encyclopédie Hachette 2005 sous Linux. Évalué à 5.

    La musique vendue en ligne est protégée, pour des raisons évidentes. Et si l'éditeur veut sortir un logiciel pour lire sa musique sous Linux, il le fera propriétaire, c'est évident aussi ; sinon, il se tire une balle dans le pied ; sinon, un gamin chargera pour qqs euros tous les titres d'un CD, il les dé-protègera, et il les gravera pour tous ses copains, et il revendra son CD dans la cour...

    Tu vas rire mais il semblerait (d'après le 20 du lundi 20/09/2004) que les vendeurs de musique en ligne te permettent de graver leur morceau sur CD. La raison est probablement que le CD est le media musical le plus répandu et donc ne pas le supporter fermerais d'important marchés. Au final la DRM n'empêche pas le piratage mais e*****e l'acheteur.

    Quand on bosse dans une entreprise, qu'on songe à sortir des produits pour les vendre, il faut bien prendre en compte ces considérations de piratage. Donc pour tout contrôller, on créée un soft propriétaire, sans se poser de question de philosophie. C'est tout.

    Malgré tout le piratage a bon dos et souvent ne sert qu'à justifier l'ajout de fonctions permettant de réduire les droits des clients. Pour rester dans la musique on trouve (principalement) de la musique sur Itunes, sur un portail Sony et sur des Fnac, Virgin et autre. Pour le client la solution la plus pratique aurait bien sûr été que les musiques soient dispo soit dans un format libre comme ogg soit standard comme le mp3. Dans la pratique ce n'est pas le cas et Itunes & Sony utilisent des formats propriétaires (AAC & ATRAC) bien sûr il ne faut pas voir derrière la volonté d'obliger l'utilisateur à acheter exclusivement du matériel de la marque (et réciproquement ne télécharger que sur le portail de la marque).
  • [^] # Re: Configuration demandé

    Posté par  . En réponse à la dépêche Encyclopédie Hachette 2005 sous Linux. Évalué à 3.

    Bon et pour les Gentoo, Debian, Fedora , Slackware et autres LFS ?

    Ça veux probablement dire tout bêtement que le soft a été testé unquement sur les trois distribs mentionnées.

    [Version Mac]100 MHz de moins (200 MHz en - pour recommandé) c'est toujours 300 de trop. Est-ce mieux codé sous Mac, donc moins gourmand ou est-ce que le VRP d'intel fait mieux son métier?

    Bon il y en a encore beaucoup sur NuNuxfr qui pense qu'il est possible de comparer deux proc (qui pis est d'architectures différentes) en se basant uniquement sur les fréquence d'horloge ? Déjà qu'entre un AMD & un Intel on arrive à des perfs complètement différentes à fréquence d'horloge égale, je n'ose imaginer avec des proc aussi différent qu'un P4 & un G5 ce que donnerait une telle comparaison.
  • [^] # Re: les VRPs et les marchands de canons vont se régaler

    Posté par  . En réponse à la dépêche Encyclopédie Hachette 2005 sous Linux. Évalué à 4.

    Qui dit Musique dira bientôt DRM, c'est inévitable.

    Peut être mais il ne faut pas baisser les bras pour autant et ne pas oublier que le but premier des éditeurs de musique est de vendre des contenus et donc il ne faut pas hésiter à rapporter les CD protégés, refuser d'acheter des morceaux protégés par une DRM quelconques, etc.

    Certes les gens normaux n'ont rien à faire de la présence ou l'absence de DRM il ne faut donc pas oublier de rappeler que la DRM s'accompagne toujours de restrictions (impossibilité de lire un morceau acheté sur Itunes sur un baladeur Sony et peut être bientôt avec WMV sur les DVD l'obligation de se connecter à un serveur sur internet pour pouvoir voir le film que l'on a acheté).
  • [^] # Re: Sorti ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Xorg 6.8 est sorti le 8 septembre. Évalué à 9.

    tu as préféré la simplicité et la facilité de Stow. Dans un sens, ça montre bien la complexité pour un utilisateur lambda (n'y voit rien de péjoratif) de réaliser ses propres paquetages sous Debian.

    Mouais partir de X pour dire qu'il est complexe de faire ses propres packages Debian est un poil capillotracté comme raisonnement. Sur une appli standard avec un ./configure[...] && make && make install il est raisonablement simple de faire un .deb, moins facile que d'installer /usr/local ou d'utiliser stow mais pas trop hors de portée de qui veut essayer.
  • [^] # Re: Java et l'OpenSource.....

    Posté par  . En réponse à la dépêche Brèves Java. Évalué à 4.

    [la non redistribution de la jvm sun]est la seul raison invoquée pour explique le fait qu'il n'y aie aucun paquet Debian contenant le JDK - JRE !

    C'est probable mais je n'en suis pas complètement sûr. Il existe, en effet, sur Debian des packages (msttcorefonts par exemple) qui n'incluent pas réellement le logiciel mais le télécharge lors de l'installation. Ce genre de manipulation serait probablement faisable avec le JDK/JRE de Sun. J'ai donc tendance à penser qu'il y a d'autres raisons.
  • [^] # Re: Qui est le plus fort ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Technique anti-spam basée sur le « Sender ID » rejetée par Apache et Debian. Évalué à 3.

    Il y a bien longtemps que Microsoft n'avait pas essuyé un tel refus.

    Peut être mais y voir le début de la fin de l'empire Microsoft est assez audacieux. De mémoire Microsoft a essuyé pas mal d'échecs (MSN à l'origine devait être un réseau propriétaire payant à l'image de Compuserve, comme tu le dis, Apache est toujours leader dans le domaine des serveurs web, la tentative de s'imposer sur les marchés des Set Top Box pour la télévision numérique a été un fiasco total, etc.) sans que cela ne mette sérieusement en péril le reste de la société qui reste profitable, bien gérée et avec d'importantes réserves de liquidités.
  • [^] # Re: Deja inutile ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Technique anti-spam basée sur le « Sender ID » rejetée par Apache et Debian. Évalué à 2.

    On peut condamner des gens pour des activites qu'ils ont dans d'autre pays, et c'est le moyen de combattre la pedophilie par exemple. Et c'est une bonne chose.

    Du coup faut se refugier physiquement.


    Je doute malgré tout que ce soit aussi facile dans le cas du spam. Prennons le cas d'un entrepreneur qui désire utiliser le spam pour promouvoir son activité (légale bien sûr). Cet entrepreneur étant dans un pays qui condamne le spam il va passer par un prestataire qui lui jurera la main sur le coeur que le publi-emailing sera 100% conforme avec la législation promesse qu'il ne tiendra bien sûr pas puisque son siège social est à Spamland.

    S'il faut maintenant condamné quelqu'un ça va être difficile car l'expéditeur étant à Spamland il ne peut pas être poursuivit pour le spam, et le vendeur lui même ne pourra non plus être poursuivit car il aura le contrat avec le prestataire qui garantira sa bonne foi. Reste effectivement le mensonge sur le contrat mais ce contrat étant entre le vendeur & le prestataire, une victime ne pourra probablement pas s'en servir pour attaquer le prestataire.
  • [^] # Re: Deja inutile ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Technique anti-spam basée sur le « Sender ID » rejetée par Apache et Debian. Évalué à 2.

    > Ca s'appelle du boycott.

    Les pressions diplomatiques, economiques sont la pour eviter d'en arriver la.


    Ne pas oublier que les pressions économiques & diplomatiques marchent dans les deux sens. Si un pays "A" est devenu un refuge pour les spammers (ou un leader dans les technologies du marketting direct pour les dépliants touristiques). Supposons que la France fasse partie d'une coalition contre le spam, le pays A peut toujours dire si vous continuez à militer contre le spam nous achetetons l'ICE de Siemens plutôt que le TGV d'Alsthom ou des F16 plutôt que des Mirages 2000, etc.

    Pour s'en convaincre il suffit de voir la situation de la contrefaçon en Chine (ou plus généralement en Asie du sud-est).
  • [^] # Re: euhh ... mainteneurs oupsss ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Fin du support Linux des webcams Philips. Évalué à 1.

    Sinon qu'il y aurait tout à fait pu y avoir marqué "Linux" sur la boîte officielle puisque jusqu'à il y a peu c'était supposé marcher.

    Ça aurait changé pas mal de chose si un fabricant avait effectivement marqué compatible Linux sur sa boîte. Si ça avait été le cas cela aurait voulu dire que le fabricant s'engageait sur la compatibilité. Donc en cas de retrait du noyau du hook comme cela s'est fait il aurait probablement livré un module externe.
  • [^] # Re: euhh ... mainteneurs oupsss ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Fin du support Linux des webcams Philips. Évalué à 1.

    On va HSer un peu. La plus grosse source de reboot sous Windows (XP compris) est effectivement comme tu le dis la gestion des locks sur les fichiers qui ne permet pas d'écraser ou de renommer un fichier qui est ouvert. Donc lors de la mise à jour d'un driver il est extrêmement courant que l'un des fichiers à remplacer soit ouvert et hop ... reboot.
  • [^] # Re: pas cool :/

    Posté par  . En réponse à la dépêche Fin du support Linux des webcams Philips. Évalué à 1.

    mais dire que c'est parce qu'on est dépendant du fournisseur me fait doucement rigole

    Je ne pense pas qu'être dépendant du fournisseur est la raison. Je pense qu'il s'agit plus pour les dév kernel d'être honnêtes vis à vis des utilisateurs potentiels. Le noyau Linux est marketté comme étant en GPL. Donc mettre un bout driver en GPL qui ne fonctionne qu'après chargement d'un module propriétaire est plus ou moins une tromperie. Bien sûr dans le cas de PWC un peu de discussion n'aurait pas fait de mal. Ceci-dit je pense que plus les fabricants de matériel s'intéresseronts à Nunux plus il deviendra courant d'avoir des drivers propriétaires ce qui risque de changer les habitudes des utilisateurs de Nunux.