Hmm, il y a 4 ans, c'était quoi les dernières versions des OS des smartphones ? Quoique, si ça s'installe c'est que c'est une version supportée ; mais du coup où peut-on trouver les prérequis matériaux ?
En tout cas je risque d'être dans le même cas : je me trimballe avec de vieux appareils jusqu'à ce que ça casse… Mon appareil actuel a bien au moins quatre ans.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Quand la porte parole du gouvernement affirme qu'elle ne vois aucun problème pour mentir ça en dit long sur la mentalité de ce dernier, et la probité de celle-ci
Pour ma culture : peut-on être porte-parole ou attachê-e de « presse » ou chargé-e de « communication » ou autre sans être à l'aise avec le mensonge ? Je pose sérieusement la question.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Attention, sa formulation est bien une appréciation personnelle. Et je peux comprendre car je passe beaucoup moins de temps pour pondre un document en XHTML qu'avec un traitement de texte ; l'habitude et la bonne maîtrise de la chose aidant probablement.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Euh… je pointe juste du doigt le fait que des projets d'envergure peuvent bien se faire dans le cadre universitaire. Et des exemples comme ça il y en a un petit paquets d'autres
CTSS né au MIT en 1961 a été utilisé dans un contexte de production jusqu'en 1973
PLATO II né à l'université de l'Illinois en 1961 a aussi été mondialement diffusé
DTSS né sur le campus de Dartmouth entre 1963 et 1964 a bien été massivement commercialisé
Je ne concluais pas non plus que des étudiants devaient faire du support « 24/7 » gratuitement (ni de façon rémunérée ni que le fonctionnement des centres de support soit toujours moral) La majorité des projets libres qui réussissent ont un support communautaire en ligne, et ce modèle est repris par des entreprises (Free et Red SFR sont des exemples bien connus chez nous, et les détenteurs de Java font de même aussi.) Et mieux, rien n'empêche que des entreprises puissent fournir du service (dont du support) dessus… (tiens, beaucoup d'opérateurs d'interconnexion réseau vendent du BSD repackagé, un peu comme Red Hat ou Canonical vendent des distributions pourtant libres.)
Le biais est dans le raisonnement de la nécessité d'une entreprise commerciale qui doit avoir le contrôle de bout en bout pour qu'on puisse considérer ça comme professionnel.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Attention que linguistiquement parlant, l'espéranto est une langue naturelle… parce-que langue maternelle de groupes de locuteurs sur des générations.
langue maternelle d'enfants de couples de langues maternelles non communes (et d'aires culturelles différentes), elle est alors acquise avant ou en parallèle d'une autre langue dominante dans la région (langue qui est parfois peu des maîtrisée des parents étrangers)
groupe de locuteurs est peut-être plus discutable car réduit à la famille (et aux membres du club espérantiste local auxquels on s'est lié d'amitié) et non un village d'une trentaine de personnes
des générations mais en fait deux générations suffisent et il y en a déjà pas mal dans ce cas
Attention aussi que la notion de langue construite n'en fait pas, linguistiquement parlant, une langue artificielle (au sens réservée aux machines ?) ni naturelle… Il faudrait comprendre langue naturelle comme langue utilisée naturellement par un groupe de personnes pour échanger au quotidien, et langue construite comme langue nouvelle qui n'est pas née de façon chaotique mais plutôt de façon mûrie et réfléchie. Du coup, on peut avoir des langues construite (ou repensée) qui sont aussi devenues naturelles :
l'allemand réformé dans une certaine mesure (ici, la langue n'est pas entièrement fabriquée mais l'existant est repensé et remodelé pour aboutir à quelque chose de nouveau)
l'italien moderne (un peu comme l'allemand, par actions politiques on a fédéré des parlers ayant une base commune mais qui commençaient à fortement différer entre eux) et le basque dans une certaine mesure (ici je chipote u peu)
le français (qui, contrairement à ce que la majorité imagine, n'est pas du latin qui a subitement transmuté mais est bel et bien une construction basée sur une langue existante —comme l'est le verlan à son tour— puis s'en est affranchie pour devenir autonome avant d'être imposée de force pour artificiellement créer une langue nationale)
le mandarin (improprement appelé chinois, est une langue forgée de toute pièce en empruntant une grande partie de son vocabulaire d'un créole existant, et qui a été imposé comme langue officielle impériale)
etc. (on peut trouver bien d'autres exemples comme ça)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Pourquoi blâmer le format quand on l'utilise mal ? (sciemment ou avec un outil qui foire dans l'utilisation/exploitation du format…)
Dans le principe des échanges/transferts de données tabulaires, les formats à délimiteursconviennent (il est important de noter qu'il y a des conventions/normes à respecter pour que ça marche bien)
de ne pas avoir de métas-information, ce qui implique qu'il ne faut pas faire de devinette et s'en tenir à ce qui est convenu (sinon on s'expose à des déconvenues dont les pertes de données mentionnées)
d'utiliser des fichiers purement textuels avec directement les données, ce qui implique de se mettre d'accord sur un encodage
pour chaque ligne d'avoir toutes les colonnes, en se mettant d'accord sur un caractère qui sert de délimiteur (et qui donc ne doit pas apparaître dans les contenus des cellules …à moins de complexifier en prévoyant une méthode d'échappement)
la virgule (Comma) pour du CSV
le point-virgule (Semicolon) que j'aime indiquer par SSV
la tabulation pour du TSV
les deux points (colon) comme les bases systèmes UNIX et que j'aime indiquer par USV
la barre verticale (Pipe) que j'aime indiquer par PSV
etc. (voir même juste l'espace dans certains cas)
Bien, ayant ceci à l'esprit, on voit que l'appellation CSV a été abusée pour tout et n'importe quoi… Beaucoup d'ajouts (dont l'usage de double-guillemets-droits) ont cependant fini par être standardisé dans la RFC 4180 Malgré cela, beaucoup d'outils :
n'utilisent pas le bon marqueur de fin de ligne (les mauvais élèves ici viennent souvent du monde Unixien) mais bon ce travers semble bien toléré
n'utilisent pas le bon formatage des nombres et surtout séparateur décimal (le pire élève ici est µ$ Excel qui sort des données localisées en oubliant que le format doit servir à interéchanger)
échappent la virgule avec le contre-oblique au lieu de mettre la cellule concernée entre double-guillemets-droits
échappent le double-guillemet-droit au lieu de le doubler dans une cellule entourée de double-guillemets-droits
n'utilisent pas le bon séparateur (ici aussi, µ$ Excel produit du SSV —en particulier quand la virgule peut apparaître dans les nombres— et fait passer ça pour du CSV ; en fait avec µ$ on peut utiliser n'importe quel séparateur via un hack de la première ligne)
Faire n'importe quoi est une façon de torpiller/saboter l'échange. Bien que la firme de Redmond ne soit pas seule fautive, je la fustige car elle est (et se veut) la plus utilisée (et donc un standard de fait pour certains) et donc il est criminel de sa part de répandre massivement ce qu'il ne faut pas faire.
Il y a d'autres formats d'échange qui suivent d'autres modèles que DSV. Deux d'entre eux, adaptés aux tableurs (pour préserver les formules —et donc avoir des cellules calculées dynamiquement— et le formatage —au moins distinguer les nombres avec leur affichage et du texte standard avec leur justification— dans ce cas) ont été évoqué. Mais il faut malheureusement constater que
µ$ fait parti de ceux qui ne respectent pas correctement le DIF spreadsheet et ce de façon incompatible avec les autres éditeurs (si c'est pas une tentative de sabotage c'est alors la preuve que ces gens sont plus qu'incompétents et dans les deux cas il faudrait cesser de leur filer bêtement des sous)
µ$ met en place son propre format (ce qui peut expliquer le sabotage), au demeurant avec d'étranges limitations, mais n'est pas capable d'avoir une compatibilité intégrale (remarque que c'est le cas pour tous ses formats quand ce n'est pas lui-même qui viole ses propres spécifications)
C'est bizarre, mais chaque fois que Bill et ses acolytes sont dans la danse ça part en vrille… Le salut est donc dans le fait de virer ces trucs là pour commencer, et de respecter les formats d'échange.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Pour la syntaxe, malgré ton aversion, YAML est le choix le plus judicieux plutôt que de devoir inventer un nouveau langage de balisage et réinventer la roue (pardon, tous les outils pour faire le boulot)
Ils auraient pu prendre un bon langage existant, c'est pas ce qui manque. Même du xml est plus agréable à écrire que du YAML.
Ah ha, tu es l'exception qui confirme la règle car la majorité autour de moi semble trouver plus facile d'écrire du YAML que du XML, et c'est je crois ce constat qui a poussé au choix. Bon, pour mes prochains jours de repos, je vais écrire un convertisseur pour faire des playbooks en XML.
je suis étonné que tu ais besoin d'installer « souvent pleins de paquets juste pour faire marcher un module »
Derniers exemples sur lesquels je suis tombé :
le module maven_artifact demande d'installer lxml sur la machine cible.
les modules openstack demandent d'installer openstacksdk.
Mouais. Cela rejoins mes remarques du peu de dépendance pour les modules de base (là ce sont des modules communautaires) d'une part et du fait de s'appuyer sur des outils tiers qui font le boulot d'autre part.
Il serait intéressant de voir comment gérer les artéfacts Maven par script sans rien installer… Ce sera une piste pour proposer un module alternatif.
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Y a pas de magie dans Puppet, à moins de considérer l’ordonnancement comme de la magie.
Je n'ai pas encore connu de cas où tu n'es pas obligé de lancer l'agent plusieurs fois pour arriver à l'état souhaité. La raison en est sa tentative d'automagiquement ordonnancer comme tu dis ; du coup il se retrouve à faire les actions dans un ordre qu'on ne sait pas prévoir.
Oui, je sais qu'on peut imposer une sorte de chaîne de dépendance mais il faut s'arracher les cheveux pour arriver à mettre ça en place.
Maintenant ce n'était pas un reproche et je ne faisais que souligner la différence de fonctionnement des deux solutions (et il faut toujours faire des choix en connaissance de cause et ne pas croire qu'il y a du meilleur dans l'absolu car tout a ses avantages et ses inconvénients)
Puppet ne fait rien de différent de ce que, par exemple, systemd peut faire au démarrage d’une machine (exécuté les tâche dans l’ordre de leur dépendance).
En tout cas systemd a l'air de mieux s'en sortir…
Maintenant, si tu lui reproche son côté séquentiel
Moi, je ne lui reproche rien, mais je regarde Ansible pour ce qu’il est : un moyen facile d’exécuter des tâches récurrentes. Par contre je ne le considèrerai probablement jamais Ansible comme de l’IaC par exemple et surtout, il me viendrait pas à l’idée de gérer une infrastructure avec, au delà d’un administrateur unique et/ou d’une dizaines serveur (on l’utilise au taf, et je comprends honnêtement pas comment ils en sont arrivé là).
Je peux comprendre : je suis dans un taf où l'infra est géré avec et où c'est pas top.
J'ai aussi connu, paradoxalement, une plus grande infrastructure entièrement pilotée par Ansible et c'était un bonheur. On peut l'utiliser à plusieurs administrateurs sur des centaines d'hôtes ; mais il faut une organisation qui ne s'improvise pas.
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Déjà, il y a une partie du boulot qui ne rentre pas dans le cadre des cours, ça va être compliqué à faire rentrer dans le programme. Ensuite, tu veux faire bosser des étudiants gratos pour du travail pro, ce n'est pas très éthique. Il a aussi le support, s'il y a un bug bloquant le 1er juillet, qui s'en charge ?
J'ai l'impression qu'on choisi toujours de ne pas voir ce qui a été mainte fois illustré… BSD, VLC, etc.
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Tu as toujours accès, en SSH, aux serveurs que tu gères non ? Alors tu peux utiliser Ansible sur ces serveurs ; c'est pas plus compliqué ni plus lourd que ça. Et cela n'a rien à voir avec le nombre de serveur ; c'est un choix KISS.
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c'est du scripting, mais avec un vocabulaire dégueu (playbook = script, role = fonction, task = instruction), la syntaxe est atroce (yaml beurk);
Si tu veux comparer à du scripting, une tâche/action (task) est plutôt une fonction, et le rôle serait un/une module/classe/etc. Perso, j'ai tendance à voir Ansible comme un cadriciel pour orchestrer des déploiements de configuration (à ne pas confondre avec du maintien de configuration que ça peut faire aussi mais où ce n'est pas mieux que d'autres.)
Pour la syntaxe, malgré ton aversion, YAML est le choix le plus judicieux plutôt que de devoir inventer un nouveau langage de balisage et réinventer la roue (pardon, tous les outils pour faire le boulot)
on mélange du descriptif et de l'impératif;
Je crois qu'il y a une confusion parce-que ce n'est pas de l'impératif mais du déclaratif. Comme en SQL où tu indiques dans ton SELECT quoi requête et où sans te préoccuper de programmer toutes les opérations sous-jacentes, chaque tâche Ansible est un appel de module (dans le jargon —ou le vocabulaire dégueu si ça te fait plaisir) auquel tu indique que tu souhaites par exemple qu'un compte soit présent ou basent sans te préoccuper des opérations relatives au user (franchement ça fait le boulot beaucoup mieux que les adduser et compagnie dans tout ce que j'ai pu voir comme script shell, et cerise sur le gâteau : ça s'adapte bien mieux à un parc hétérogène car on n'a pas que des RHEL 8 par exemple.)
Maintenant, si tu lui reproche son côté séquentiel (une tâche après l'autre aulieu de vouloir faire de la magie de Poupée) —est-ce de là que vient la confusion avec un langage impératif ?— il se trouve que c'est ce qui fait sa simplicité et sa force : on sait/suit point par point ce qui est fait et n'impose pas de vision (avec bémol car il y a toujours des limites, mais je me casse moins la tête pour y adapter mes idées là où d'autres outils font une forte résistance)
Le côté descriptif vient juste de ce YAML qui t'insupporte, et c'est un bénéfice indéniable car on n'a pas à se farcir une longue documentation à côté (il en faut quand même mais beaucoup moins et du coup on a moins de souci de ce côté là.)
l'exécution dépends trop de ce qui est présent sur la machine cible (on installe souvent pleins de paquets juste pour faire marcher un module).
Bah justement, ça ne prétend pas faire de magie ou te faire de gamin dans le dos. Ça ne prétend pas non plus remplacer des fonctionnalités existantes mais veut juste les exploiter proprement et prévisiblement (raison pour laquelle j'ai comparé Ansible à cadriciel) Pour reprendre le cas de la gestion des comptes, ça s'appuie sur les bibliothèques/commandes système qui font le job au lieu de prétendre vouloir réinventer l'eau chaude. La base de la solution veille aussi à réduire les dépendances, donc je suis étonné que tu ais besoin d'installer « souvent pleins de paquets juste pour faire marcher un module » Ceci dit, tu peux écrire tes propres modules facilement ou améliorer ceux existant…
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Oui si on est dans l'idée d'utiliser une langue pivot qu'on veut relativement simple et neutre. Sur ce point, j'ai cru comprendre que Google envisageait de se pencher sur la question car les gens de chez Alphabet ont fini par se rendre compte des limites de l'anglais comme langue pivot… (faudrait que je retrouve les liens, mais les usagers peuvent constater des erreurs bénignes de genre aux contre-sens plus large quand on fait mouliner Google Translate sur des langues fort éloignées et moins connues)
L'espéranto a aussi l'avantage d'avoir assez de locuteurs pour les cas de traductions non automatiques ou pour apporter des nuances stylistiques ou régionales dans les langues cibles.
Non si, comme je crois comprendre, on est dans l'idée d'annoter grammaticalement et d'avoir tous les éléments possibles et imaginables. Il se trouve qu'une autre conlang qui va dans ce sens (je le trouve un peu ardu à l'usage oral-et-quotidien, mais se prête fort bien aux traitements informatiques) : le lojban
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Nous disons la même chose… (je crois) Le mal n'est pas de comparer des approches mais de vouloir mettre en compétition (c'est le but de nombreuses comparaisons et de commentaires disant que tel langage est supérieure à tel autre.) Oui, on peut apporter de l'air frais et mieux faire dans des contextes bien définis (qui correspondent finalement au cahier des charges de la conception/naissance) sans pour autant tuer les précédents.
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nothing is happening yet. [Nick] simply tested the waters for a possible future of Rust within the Linux kernel code base, which is something he’s planning to bring up for discussion in this year’s Linux Plumbers Conference — the annual kernel developer gathering.
Mais le mieux est d'aller voir les discussions https://lore.kernel.org/lkml/CAKwvOdmuYc8rW_H4aQG4DsJzho=F+djd68fp7mzmBp3-wY--Uw@mail.gmail.com/T/ Pour moi, il en ressort que ce ne sera pas pour le cœur du noyau (car il y a des choses que ça ne sait pas encore faire et que c'est rédhibitoire) mais peut-être pour des pilotes, et encore il faut que ce soit plus stable (car même pour GCC on ne court pas après la dernière version et on veut des trucs stables sur une dizaine d'années.)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Pour apporter de l'eau à ton moulin, ni Java ni ObjectiveC ou autres n'ont vraiment remplacé C++ C'est en fait cette tendance à vouloir faire des comparaisons à la con qui m'agace le plus : les deux langages n'adressent pas les mêmes points, donc il ne sert à rien ces jeux puérils de qui-a-la-plus-grosse. Chacun peut exister par lui-même, pour ses qualités et ses spécificités (et faiblesses) :-)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Une carte c'est une sorte de matrice rectangulaire où on coche une seule case par colonne. […] il y avait aussi des lecteurs qui détectaient le graphite, ce qui permettait de cocher les cases avec un crayon B
Petit h-s : ça me rappelle les feuilles de QCM de certains concours et examens.
En revanche les perforatrices avaient l'avantage d'imprimer en haut de la carte le texte perforé, ce qui est bien plus pratique que de devoir interpréter soi-même le codage, parce que évidemment, pour déboguer il faut lire les cartes perforées…
Tu veux dire qu'en haut/bas de chaque colonne on inscrit le caractère imprimé correspondant ?
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
L’IBM 650 n’était pas un « mini » vu qu’il avait besoin de trois modules pour fonctionner, en plus du stockage, naturellement.
Oui, bien vu, je n'avais pas pris en compte les modules…
Concernant cette histoire d’instruction et de carte, je ne l’ai pas inventée (pareil je ne sais plus où j’ai trouvé ça), mais j’ai vu aussi que c’était une ligne = une carte. Il est donc possible que quelque part il y ait eu une confusion. On avait intérêt à avoir des programmes sveltes pour que ça reste gérable.
Visiblement pas de confusion ; merci à Jean-Baptiste F. pour l'explication ; on ne cesse d'apprendre. Ça avait l'avantage de faire aller à la concision haha
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Idem : une des premières que j'installe ; mais j'ai encore jamais testé les flux RSS de YT et PT (faut dire que j'ai NewPipe aussi installé)
Depuis quelques temps, outre les temps de transport (où je bouquine une fois sur deux), ça remplace la radio pour certains cas : en faisant la cuisine ou le ménage, ou même allongé pour un petit temps de repos.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
Ça s’appelait un calculateur et ça imposait une instruction par carte.
Je dirai que ça s'appelle toujours un calculateur, traduction littérale française de « computer » avant que le mot « ordinateur » ne s'impose. Et on appelle ainsi toute machine de calcul (i.e. « compute » en anglais) automatique… Du coup, même les calculatrices scientifiques-programmables de HP des années plus tard on été appelées « pocket computer » dans la presse (époque où « calculator » était surtout réservé aux assimilables « additionneuses » même si faisant les quatre opérations)
Je suis réservé en ce qui concerne l'instruction par carte ; n'est-ce pas plutôt par ligne ? C'est toujours le cas aujourd'hui dans la plupart des langages assembleurs…
Bref, on est très très loin de la machine qu’on sort de la boite, qu’on branche sur le secteur et sur laquelle on se met à travailler immédiatement.
Oui, clairement loin des boîtiers de bureaux actuels (quoique, pour les jeunes générations, le plus gros truc sera un portable quinze pouce ?)
Malgré les dimensions de la bête (1,80x0,77x1,58) c'était déjà un des « mini » dont l'un des descendants aujourd'hui serait quelque chose comme un Blade. Et avec ça on est très loin des « main frames » d'époque et des super-ordinateurs.
Je trouve l'époque fascinante…
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Ce que je n'arrive pas à comprendre c'est comment se faisaient les sorties. On ne parle pas d'imprimante dans le manuel d'installation de l'IBM 650. Il faut que je farfouille ailleurs j'imagine.
Il me semble que sur ce modèle les sorties se faisaient encore sur cartes perforées. Puis très rapidement il y a eu les tambours de disques magnétiques, je ne sais plus à partir de quel modèle. Il faut regarder surtout au niveau des « accessoires » qu'on pouvait lui rattacher (est-ce que le 650 était déjà « modulaire » ?)
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« Juste une API » ? Quel est l'intérêt d'installer une API automatiquement/silencieusement qui ne sert à rien ? (attention, je ne dis pas qu'une API est inutile mais que qu'on nous présente ici l'équivalent d'une « bibliothèque » …qui donc devrait être installée dès que requise par une application ; mais là c'est juste installé en espérant que ce sera peut-être utilisé par quelque application ? j'avoue ne pas bien piger)
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Le système d'écriture adopté dépend en grande partie de celui colonisateur, ce qui fait qu'en général c'est une variation de l'écriture latine …mais on a quelques exceptions qui s'appuient sur les tracés arabes. Pour les usagers de l'écriture latine, il y a souvent des caractères spécifiques et des accents combinants (en particulier pour marquer les tons) tous empruntés à l'IPA (les signes pour la notation phonétique, mais attention qu'il s'agit plutôt dans la majorité des cas d'une écriture phonologique…) Donc en pratique ce sera un codage purement Unicode (par opposition à LatinX par exemple, par exemple UTF8 ou UCS16 moins performant ici) Pour l'affichage, il faut que la police contienne les glyphes Latines sans exception (A, B, étendu) et c'est bon.
Pas évident (et les chaînes de traitement en français et en anglais sont en pratique insuffisantes) mais point insurmontable.
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[^] # prérequis ? obsolète ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal De l'inutilité de débattre de la confidentialité de l'application StopCovid. Évalué à 1.
Hmm, il y a 4 ans, c'était quoi les dernières versions des OS des smartphones ? Quoique, si ça s'installe c'est que c'est une version supportée ; mais du coup où peut-on trouver les prérequis matériaux ?
En tout cas je risque d'être dans le même cas : je me trimballe avec de vieux appareils jusqu'à ce que ça casse… Mon appareil actuel a bien au moins quatre ans.
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[^] # Re: paire de baffes
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal H.S. En France petite leçon de démocratie (de séparation des pouvoir, surtout). Évalué à 2.
Pour ma culture : peut-on être porte-parole ou attachê-e de « presse » ou chargé-e de « communication » ou autre sans être à l'aise avec le mensonge ? Je pose sérieusement la question.
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[^] # Re: Encore de l'Ansible...
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Pile de logiciels libres de déploiement et gestion de grappes de serveurs ou de parc. Évalué à 1.
Attention, sa formulation est bien une appréciation personnelle. Et je peux comprendre car je passe beaucoup moins de temps pour pondre un document en XHTML qu'avec un traitement de texte ; l'habitude et la bonne maîtrise de la chose aidant probablement.
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[^] # Re: Amiga
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal RiscOS et les systèmes inventifs des années 80. Évalué à 5.
Un système très en avance pour l'époque <3
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[^] # Re: Ok mais...
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Agir contre ses valeurs.... Évalué à 2.
Euh… je pointe juste du doigt le fait que des projets d'envergure peuvent bien se faire dans le cadre universitaire. Et des exemples comme ça il y en a un petit paquets d'autres
Je ne concluais pas non plus que des étudiants devaient faire du support « 24/7 » gratuitement (ni de façon rémunérée ni que le fonctionnement des centres de support soit toujours moral) La majorité des projets libres qui réussissent ont un support communautaire en ligne, et ce modèle est repris par des entreprises (Free et Red SFR sont des exemples bien connus chez nous, et les détenteurs de Java font de même aussi.) Et mieux, rien n'empêche que des entreprises puissent fournir du service (dont du support) dessus… (tiens, beaucoup d'opérateurs d'interconnexion réseau vendent du BSD repackagé, un peu comme Red Hat ou Canonical vendent des distributions pourtant libres.)
Le biais est dans le raisonnement de la nécessité d'une entreprise commerciale qui doit avoir le contrôle de bout en bout pour qu'on puisse considérer ça comme professionnel.
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[^] # Re: Esperanto ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Abstract Wikipédia. Évalué à 3.
Attention que linguistiquement parlant, l'espéranto est une langue naturelle… parce-que langue maternelle de groupes de locuteurs sur des générations.
Attention aussi que la notion de langue construite n'en fait pas, linguistiquement parlant, une langue artificielle (au sens réservée aux machines ?) ni naturelle… Il faudrait comprendre langue naturelle comme langue utilisée naturellement par un groupe de personnes pour échanger au quotidien, et langue construite comme langue nouvelle qui n'est pas née de façon chaotique mais plutôt de façon mûrie et réfléchie. Du coup, on peut avoir des langues construite (ou repensée) qui sont aussi devenues naturelles :
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
# non, en finir µ$ et autres irrespects
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal En finir avec CSV ou Excel pour échanger des données. Évalué à 4.
Pourquoi blâmer le format quand on l'utilise mal ? (sciemment ou avec un outil qui foire dans l'utilisation/exploitation du format…)
Dans le principe des échanges/transferts de données tabulaires, les formats à délimiteurs conviennent (il est important de noter qu'il y a des conventions/normes à respecter pour que ça marche bien)
Bien, ayant ceci à l'esprit, on voit que l'appellation CSV a été abusée pour tout et n'importe quoi… Beaucoup d'ajouts (dont l'usage de double-guillemets-droits) ont cependant fini par être standardisé dans la RFC 4180 Malgré cela, beaucoup d'outils :
Faire n'importe quoi est une façon de torpiller/saboter l'échange. Bien que la firme de Redmond ne soit pas seule fautive, je la fustige car elle est (et se veut) la plus utilisée (et donc un standard de fait pour certains) et donc il est criminel de sa part de répandre massivement ce qu'il ne faut pas faire.
Il y a d'autres formats d'échange qui suivent d'autres modèles que DSV. Deux d'entre eux, adaptés aux tableurs (pour préserver les formules —et donc avoir des cellules calculées dynamiquement— et le formatage —au moins distinguer les nombres avec leur affichage et du texte standard avec leur justification— dans ce cas) ont été évoqué. Mais il faut malheureusement constater que
C'est bizarre, mais chaque fois que Bill et ses acolytes sont dans la danse ça part en vrille… Le salut est donc dans le fait de virer ces trucs là pour commencer, et de respecter les formats d'échange.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
# chouette
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un compresseur par ci, un compresseur par là. Au temps de l'algo des hackeurs.. Évalué à 3.
Une très belle initiative àmha.
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[^] # Re: Encore de l'Ansible...
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Pile de logiciels libres de déploiement et gestion de grappes de serveurs ou de parc. Évalué à 1.
Ah ha, tu es l'exception qui confirme la règle car la majorité autour de moi semble trouver plus facile d'écrire du YAML que du XML, et c'est je crois ce constat qui a poussé au choix. Bon, pour mes prochains jours de repos, je vais écrire un convertisseur pour faire des playbooks en XML.
Mouais. Cela rejoins mes remarques du peu de dépendance pour les modules de base (là ce sont des modules communautaires) d'une part et du fait de s'appuyer sur des outils tiers qui font le boulot d'autre part.
Il serait intéressant de voir comment gérer les artéfacts Maven par script sans rien installer… Ce sera une piste pour proposer un module alternatif.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Encore de l'Ansible...
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Pile de logiciels libres de déploiement et gestion de grappes de serveurs ou de parc. Évalué à 0.
Je n'ai pas encore connu de cas où tu n'es pas obligé de lancer l'agent plusieurs fois pour arriver à l'état souhaité. La raison en est sa tentative d'automagiquement ordonnancer comme tu dis ; du coup il se retrouve à faire les actions dans un ordre qu'on ne sait pas prévoir.
Oui, je sais qu'on peut imposer une sorte de chaîne de dépendance mais il faut s'arracher les cheveux pour arriver à mettre ça en place.
Maintenant ce n'était pas un reproche et je ne faisais que souligner la différence de fonctionnement des deux solutions (et il faut toujours faire des choix en connaissance de cause et ne pas croire qu'il y a du meilleur dans l'absolu car tout a ses avantages et ses inconvénients)
En tout cas systemd a l'air de mieux s'en sortir…
Je peux comprendre : je suis dans un taf où l'infra est géré avec et où c'est pas top.
J'ai aussi connu, paradoxalement, une plus grande infrastructure entièrement pilotée par Ansible et c'était un bonheur. On peut l'utiliser à plusieurs administrateurs sur des centaines d'hôtes ; mais il faut une organisation qui ne s'improvise pas.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Ok mais...
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Agir contre ses valeurs.... Évalué à 1.
J'ai l'impression qu'on choisi toujours de ne pas voir ce qui a été mainte fois illustré… BSD, VLC, etc.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Encore de l'Ansible...
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Pile de logiciels libres de déploiement et gestion de grappes de serveurs ou de parc. Évalué à 1. Dernière modification le 06 octobre 2020 à 22:24.
Tu as toujours accès, en SSH, aux serveurs que tu gères non ? Alors tu peux utiliser Ansible sur ces serveurs ; c'est pas plus compliqué ni plus lourd que ça. Et cela n'a rien à voir avec le nombre de serveur ; c'est un choix KISS.
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Encore de l'Ansible...
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Pile de logiciels libres de déploiement et gestion de grappes de serveurs ou de parc. Évalué à 2.
Objection votre honneur
(:Si tu veux comparer à du scripting, une tâche/action (task) est plutôt une fonction, et le rôle serait un/une module/classe/etc. Perso, j'ai tendance à voir Ansible comme un cadriciel pour orchestrer des déploiements de configuration (à ne pas confondre avec du maintien de configuration que ça peut faire aussi mais où ce n'est pas mieux que d'autres.)
Pour la syntaxe, malgré ton aversion, YAML est le choix le plus judicieux plutôt que de devoir inventer un nouveau langage de balisage et réinventer la roue (pardon, tous les outils pour faire le boulot)
Je crois qu'il y a une confusion parce-que ce n'est pas de l'impératif mais du déclaratif. Comme en SQL où tu indiques dans ton
SELECTquoi requête et où sans te préoccuper de programmer toutes les opérations sous-jacentes, chaque tâche Ansible est un appel de module (dans le jargon —ou le vocabulaire dégueu si ça te fait plaisir) auquel tu indique que tu souhaites par exemple qu'un compte soit présent ou basent sans te préoccuper des opérations relatives auuser(franchement ça fait le boulot beaucoup mieux que lesadduseret compagnie dans tout ce que j'ai pu voir comme script shell, et cerise sur le gâteau : ça s'adapte bien mieux à un parc hétérogène car on n'a pas que des RHEL 8 par exemple.)Maintenant, si tu lui reproche son côté séquentiel (une tâche après l'autre aulieu de vouloir faire de la magie de Poupée) —est-ce de là que vient la confusion avec un langage impératif ?— il se trouve que c'est ce qui fait sa simplicité et sa force : on sait/suit point par point ce qui est fait et n'impose pas de vision (avec bémol car il y a toujours des limites, mais je me casse moins la tête pour y adapter mes idées là où d'autres outils font une forte résistance)
Le côté descriptif vient juste de ce YAML qui t'insupporte, et c'est un bénéfice indéniable car on n'a pas à se farcir une longue documentation à côté (il en faut quand même mais beaucoup moins et du coup on a moins de souci de ce côté là.)
Bah justement, ça ne prétend pas faire de magie ou te faire de gamin dans le dos. Ça ne prétend pas non plus remplacer des fonctionnalités existantes mais veut juste les exploiter proprement et prévisiblement (raison pour laquelle j'ai comparé Ansible à cadriciel) Pour reprendre le cas de la gestion des comptes, ça s'appuie sur les bibliothèques/commandes système qui font le job au lieu de prétendre vouloir réinventer l'eau chaude. La base de la solution veille aussi à réduire les dépendances, donc je suis étonné que tu ais besoin d'installer « souvent pleins de paquets juste pour faire marcher un module » Ceci dit, tu peux écrire tes propres modules facilement ou améliorer ceux existant…
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[^] # Re: Esperanto ?
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Abstract Wikipédia. Évalué à 9.
jes kaj ne…
Oui si on est dans l'idée d'utiliser une langue pivot qu'on veut relativement simple et neutre. Sur ce point, j'ai cru comprendre que Google envisageait de se pencher sur la question car les gens de chez Alphabet ont fini par se rendre compte des limites de l'anglais comme langue pivot… (faudrait que je retrouve les liens, mais les usagers peuvent constater des erreurs bénignes de genre aux contre-sens plus large quand on fait mouliner Google Translate sur des langues fort éloignées et moins connues)
L'espéranto a aussi l'avantage d'avoir assez de locuteurs pour les cas de traductions non automatiques ou pour apporter des nuances stylistiques ou régionales dans les langues cibles.
Non si, comme je crois comprendre, on est dans l'idée d'annoter grammaticalement et d'avoir tous les éléments possibles et imaginables. Il se trouve qu'une autre conlang qui va dans ce sens (je le trouve un peu ardu à l'usage oral-et-quotidien, mais se prête fort bien aux traitements informatiques) : le lojban
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[^] # Re: Pffff
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Rust a 5 ans, rétrospective. Évalué à 2.
Nous disons la même chose… (je crois) Le mal n'est pas de comparer des approches mais de vouloir mettre en compétition (c'est le but de nombreuses comparaisons et de commentaires disant que tel langage est supérieure à tel autre.) Oui, on peut apporter de l'air frais et mieux faire dans des contextes bien définis (qui correspondent finalement au cahier des charges de la conception/naissance) sans pour autant tuer les précédents.
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[^] # Re: Rust dans Linux
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Rust a 5 ans, rétrospective. Évalué à 3.
https://hackaday.com/2020/07/15/will-2020-be-the-year-of-rust-in-the-linux-kernel/ dit, à juste titre :
Mais le mieux est d'aller voir les discussions https://lore.kernel.org/lkml/CAKwvOdmuYc8rW_H4aQG4DsJzho=F+djd68fp7mzmBp3-wY--Uw@mail.gmail.com/T/ Pour moi, il en ressort que ce ne sera pas pour le cœur du noyau (car il y a des choses que ça ne sait pas encore faire et que c'est rédhibitoire) mais peut-être pour des pilotes, et encore il faut que ce soit plus stable (car même pour GCC on ne court pas après la dernière version et on veut des trucs stables sur une dizaine d'années.)
“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Pffff
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Rust a 5 ans, rétrospective. Évalué à 2.
Pour apporter de l'eau à ton moulin, ni Java ni ObjectiveC ou autres n'ont vraiment remplacé C++ C'est en fait cette tendance à vouloir faire des comparaisons à la con qui m'agace le plus : les deux langages n'adressent pas les mêmes points, donc il ne sert à rien ces jeux puérils de qui-a-la-plus-grosse. Chacun peut exister par lui-même, pour ses qualités et ses spécificités (et faiblesses)
:-)“It is seldom that liberty of any kind is lost all at once.” ― David Hume
[^] # Re: Dimensions de l'IBM 650
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Hommage à Frances Allen. Évalué à 1.
Merci beaucoup pour ces informations.
Petit h-s : ça me rappelle les feuilles de QCM de certains concours et examens.
Tu veux dire qu'en haut/bas de chaque colonne on inscrit le caractère imprimé correspondant ?
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[^] # Re: Dimensions de l'IBM 650
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Hommage à Frances Allen. Évalué à 2. Dernière modification le 29 août 2020 à 18:26.
Oui, bien vu, je n'avais pas pris en compte les modules…
Visiblement pas de confusion ; merci à Jean-Baptiste F. pour l'explication ; on ne cesse d'apprendre. Ça avait l'avantage de faire aller à la concision haha
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[^] # Re: Une de mes applis préférées ...
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche AntennaPod : lecteur et gestionnaire de podcasts. Évalué à 1.
Idem : une des premières que j'installe ; mais j'ai encore jamais testé les flux RSS de YT et PT (faut dire que j'ai NewPipe aussi installé)
Depuis quelques temps, outre les temps de transport (où je bouquine une fois sur deux), ça remplace la radio pour certains cas : en faisant la cuisine ou le ménage, ou même allongé pour un petit temps de repos.
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[^] # Re: merci !
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Hommage à Frances Allen. Évalué à 1.
Xsabeau donc ?
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[^] # Re: Dimensions de l'IBM 650
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Hommage à Frances Allen. Évalué à 2.
Je vais un peu chipoter :)
Je dirai que ça s'appelle toujours un calculateur, traduction littérale française de « computer » avant que le mot « ordinateur » ne s'impose. Et on appelle ainsi toute machine de calcul (i.e. « compute » en anglais) automatique… Du coup, même les calculatrices scientifiques-programmables de HP des années plus tard on été appelées « pocket computer » dans la presse (époque où « calculator » était surtout réservé aux assimilables « additionneuses » même si faisant les quatre opérations)
Je suis réservé en ce qui concerne l'instruction par carte ; n'est-ce pas plutôt par ligne ? C'est toujours le cas aujourd'hui dans la plupart des langages assembleurs…
Oui, clairement loin des boîtiers de bureaux actuels (quoique, pour les jeunes générations, le plus gros truc sera un portable quinze pouce ?)
Malgré les dimensions de la bête (1,80x0,77x1,58) c'était déjà un des « mini » dont l'un des descendants aujourd'hui serait quelque chose comme un Blade. Et avec ça on est très loin des « main frames » d'époque et des super-ordinateurs.
Je trouve l'époque fascinante…
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[^] # Re: Dimensions de l'IBM 650
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Hommage à Frances Allen. Évalué à 2.
Il me semble que sur ce modèle les sorties se faisaient encore sur cartes perforées. Puis très rapidement il y a eu les tambours de disques magnétiques, je ne sais plus à partir de quel modèle. Il faut regarder surtout au niveau des « accessoires » qu'on pouvait lui rattacher (est-ce que le 650 était déjà « modulaire » ?)
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[^] # Re: Juste une API
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un service de notification COVID19 a été installée sur mon téléphone Android.... Évalué à -1.
« Juste une API » ? Quel est l'intérêt d'installer une API automatiquement/silencieusement qui ne sert à rien ? (attention, je ne dis pas qu'une API est inutile mais que qu'on nous présente ici l'équivalent d'une « bibliothèque » …qui donc devrait être installée dès que requise par une application ; mais là c'est juste installé en espérant que ce sera peut-être utilisé par quelque application ? j'avoue ne pas bien piger)
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[^] # Re: Mosaïque de langues
Posté par Gil Cot ✔ (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Interview de Bekomo Akoa Edward ingénieur en informatique membre de Camerubuntu. Évalué à 3.
Le système d'écriture adopté dépend en grande partie de celui colonisateur, ce qui fait qu'en général c'est une variation de l'écriture latine …mais on a quelques exceptions qui s'appuient sur les tracés arabes. Pour les usagers de l'écriture latine, il y a souvent des caractères spécifiques et des accents combinants (en particulier pour marquer les tons) tous empruntés à l'IPA (les signes pour la notation phonétique, mais attention qu'il s'agit plutôt dans la majorité des cas d'une écriture phonologique…) Donc en pratique ce sera un codage purement Unicode (par opposition à LatinX par exemple, par exemple UTF8 ou UCS16 moins performant ici) Pour l'affichage, il faut que la police contienne les glyphes Latines sans exception (A, B, étendu) et c'est bon.
Pas évident (et les chaînes de traitement en français et en anglais sont en pratique insuffisantes) mais point insurmontable.
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