Non. Je crois qu'il fait allusion à la tribune, une sorte de chat dont les habitués s'appellent moules entre eux, qui est accessible là si tu veux te rendre compte des échanges.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Ça se fait aussi avec dd, ou même avec un cp suivi d'un synccomme l'a dit SCheveau. Voir, par exemple, la documentation Live System chez Debian. Je l'ai fait plus d'une fois avec l'ancien système live-build pour avoir des clés avec une partition persistante.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Si l'on boit mon premier, à la vitesse d'une tortue pour mon second, pour finir à une place qui vaut de l'argent en troisième, alors la capitale de mon tout répond à la précédente charade.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Note que j'avais trouvé relativement compliqué la mise en forme sur linuxfr (bon s'était ma première fois aussi) comparé a phpbb dont j'ai l'habitude depuis tout pitit ^ ^
C'est de la syntaxe markdown, elle est assez répandue et a même fait l'objet d'une rfc récemment. Pour chaque journal ou dépêche, tu peux télécharger le fichier markdown correspondant (extension .md) via un des deux liens en bas à droite : sur celui-ci, tu auras une illustration assez large (titre de section, lien, bloc de code, note de bas de page…).
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Se qui fait qu'aujourd'hui je privilégies des fonds sombres permettant d'utiliser la plus part des couleurs vives dans le formatage du texte. (exemple ici comparé à quasi le même tuto sur LinuxFR).
D'accord je comprends mieux. Moi c'est l'inverse, ces fonds et toutes ces couleurs cela me perd. Dans la liste des thèmes sur le site, il me semble qu'il y en a à composantes assombries.
La syntaxe wiki sur linuxfr
Dans ton journal, tu posais la question :
PS : c'est mon premier journal, si quelqu'un sait comment virer la ligne d'espace vide entre les lignes de code, qu'il n'hésite pas à partager ;)
Je ne sais pas si la réponse t'a été donnée mais pour le code, soit on le veut inline et on met des single-quoteautour, soit on le veut en block :
alors on met des triple-quote
avec une ligne vide avant et après
Tu peux même avoir un sommaire généré automatiquement si tu utilises la syntaxe wiki adpatée : il faut mettre des # autour des titres de sections comme je l'ai fait dans cette réponse (cf. l'aide mémoire qui s'affiche à chaque fois que tu rédiges un message, ou cette page du wiki).
Edit : le sommaire ne semble plus être généré automatiquement, je ne sais pas pourquoi : c'est peut être seulement pour les commentaires, dans les journaux cela doit toujours fonctionner je pense.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Perso c'est le mono couleur (texte noir sur fond blanc) imposé qui casse l'envie de lire tout article de plus de deux paragraphes.
Comment fais-tu avec des livres papier ? Les miens sont tous en noir sur fond blanc.
Cela étant, pour un membre inscrit et connecté, il est possible de changer le CSS d'affichage. Bien que pour avoir un affichage comme tu le préférerais (changement de couleur entre les paragraphes), il faudrait peut être adapter aussi le html généré avec des classes ajoutées en attribut aux balises de paragraphes (à la manière des tableaux qui alternent les couleurs entre les lignes) pour que le CSS puisse les exploiter.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Avant on devait utiliser un outil comme unetbootin pour créer une clé d'installation.
Maintenant un simple dd de l'iso suffit.
J'ai toujours fait un dd de l'iso pour créer des live-usb ou des clés d'installations. Je suppose que unetbootin permet juste de faciliter le processus tout en incorporant d'autres fonctionnalités, mais il n'a jamais était nécessaire de l'utiliser. Le risque avec dd est si l'on se trompe de périphérique cible, ça peut faire mal ! :-P
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
C'est sans doute pour cela que l'on distingue les végétariens, les végétaliens et les vegans. ;-) Les premiers groupes désignent essentiellement un régime alimentaire qui peut être fondé sur de multiples raisons distinctes selon les pratiquants, là où les vegans, eux, s'opposent à l'exploitation de l'animal par l'homme (ils ne porteront pas de vêtement à base de laine de mouton par exemple) ce qui va bien au-delà d'un simple régime alimentaire.
P.S : je ne suis membre d'aucun de ces groupes, ai une alimentation omnivore et l'exploitation de l'animal par l'homme ne me pose aucun problème de conscience; mais moi aussi je me renseigne, et je ne les confonds pas. ;-)
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Bon je me suis mal relu et ait commis une faute qui peut porter à confusion : ce n'est pas tant sur son état civil que ma sœur a gardé son nom de jeune fille (il y reste de toute façon) mais sur tous les documents officiels : ce n'est pas madame X née Y mais madame X-Y. Je peux comprendre que l'on ne voit pas plus d'intérêt à la chose que l'écriture inclusive, mais c'était pour illustrer son féminisme.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
J'avais bien noté, au fil de tes différentes interventions, les trois points que tu cites. Je n'ai pas le temps, ni peut être dans le fond l'envie, de développer en détails mon approche sur les problématiques que tu soulèves, alors je vais faire court :
Effectivement je peux m'y faire dans le sens que cela ne perturbe pas trop mon déchiffrement du texte. Lorsque j'arrive sur un mot comme lecteur-ice-s, j'adapte mon « algorithme de parsing » comme suit : je garde lecteur (que j'identifie d'un coup d'œil), puis voyant le tiret (je suis sur mes gardes) je comprends que tout ce qui suit jusqu'au mot suivant n'est que du bruit rajouté par l'émetteur, qui n'ajoute rien à la sémantique usuelle de langue française, et qui révèle surtout l'ignorance crasse de l'auteur au sujet de la grammaire de la langue qu'il entend réformer.
Cette position victimaire qui relève pertinemment du stratagème XII cité dans un de mes précédents messages, puisque le qualificatif inclusif semble bien être celui que les partisans de cette graphie semble s'être donnés d'après le titre de ce commentaire de ariasuni ainsi que celui-ci d'un des membres de l'équipe de modération, a le don de m'énerver. Je te parlerais donc d'une de mes sœurs qui, lorsqu'elle s'est mariée, a tenu à garder son nom de jeune fille sur son état civil en plus de l'ajout de celui de son conjoint (et il me semble qu'il en est de même pour leurs enfants). Néanmoins elle trouve cette écriture profondément inepte, bien qu'elle doive parfois en faire usage suite à des directives hiérarchiques lorsqu'elle publie des offres d'emploi. Voilà ce que Michaël voulait désigner par « féminime de salon ». Elle connaît parfaitement sa grammaire, sait bien faire la distinction entre genre grammaticale et genre naturel, connaît le statut du genre non-marqué; mais lorsque qu'un principe similaire se situe sur le plan du droit, c'est à dire dans l'ordre du juridique et non du grammaticale, son action change du tout au tout.
je ne peux qu'abonder dans ton sens sur celui-ci.
D'une manière générale, je n'apprécie que moyennement que l'on galvaude les problèmes d'égalité de droit et que l'on fasse des analogies douteuses sur le sujet.
Une connaissance de cette espèce, c'est la connaissance par analogie, mot qui ne veut pas dire, comme on l'entend communément, une ressemblance imparfaite entre deux choses, mais bien la ressemblance parfaite de deux rapports entre des choses tout à fait dissemblables.
Ainsi il y a une analogie entre le rapport juridique d'actions humaines et le rapport mécanique de forces motrices : je ne puis jamais rien faire contre autrui sans lui donner le droit d'en faire autant contre moi dans les mêmes conditions, exactement comme aucun corps ne peut agir sur un autre avec sa force motrice sans être par la même cause que cet autre corps réagisse d'autant contre lui. Dans cette exemple, droit et force motrice sont des choses tout à fait dissemblables, mais dans leur rapport il y a cependant une ressemblance complète.
Kant, prolégomènes à toute métaphysique future qui pourra se présenter comme science.
Dans la doctrine kantienne, ce qui fonde cette ressemblance complète entre le principe d'action-réaction de la dynamique et l'égalité juridique des hommes c'est la forme des jugements disjonctifs : les kantiens n'ont pas attendu Curry-Howard pour se servir de la forme logique des jugements comme principe de typage. ;-)
Autre exemple issu de la Doctrine du droit :
Tout État contient en soi trois pouvoirs, c'est-à-dire la volonté universellement unifiée en une triple personne (trias poiltica) : le pouvoir souverain (souveraineté) en la personne du législateur, le pouvoir exécutif en la personne du gouvernement (en conformité avec la loi) et le pouvoir judiciaire (en tant que capacité d'attribuer à chacun ce qui est sien d'après la loi) en la personne du juge (potestas legislatoria, rectoria et judiciaria) — semblable en cela aux trois propositions d'un syllogisme de la raison pratique : à la majeure, qui contient la loi de la volonté, à la mineure, qui contient le commandement de se conduire selon la loi, c'est à dire le principe de subsomption sous la majeure, et à la conclusion, qui contient l'arrêt de justice (la sentence), à savoir ce qui est de droit dans le cas concerné.
Kant, doctrine du droit.
Et de même que dans la pensée il ne faut jamais confondre le rôle de la raison et celui de l'entendement (statut de la majeur et de la mineur), dans le champ du politique il faut veiller à séparer les pouvoirs législatif et exécutif dans la constitution républicaine à la forme si sublime (sic) :
1er article définitif en vue de la paix perpétuelle.
La constitution civique de chaque État doit être républicaine.
La constitution instituée premièrement d'après les principes de liberté des membres d'une société (comme hommes), deuxièmement d'après les principes de dépendance de tous envers une unique législation commune (comme sujets) et troisièmement d'après la loi de leur égalité (comme citoyens) — seule constitution qui provient de l'idée de contrat originaire sur laquelle doit être fondée toute législation de droit d'un peuple — est la constitution républicaine* . Par conséquent, en ce qui concerne le droit, elle est en elle-même celle qui est au fondement originaire de toutes les sortes de constitution civique et il ne reste plus maintenant que la question de savoir si elle est aussi la seule qui puisse conduire à la paix perpétuelle.
* La liberté de droit (par suite extérieure) ne peut pas être définie, comme on a coutume de le faire, par l'autorisation de faire tout ce qu'on veut pourvu qu'on ne fasse pas de tort à autrui. Car que signifie autorisation ? La possibilité d'agir dans la mesure où l'on ne fait de tort à personne. Ainsi l'explication serait celle-ci : la liberté est la possibilité de l'action qui ne fait pas de tort à autrui. On ne fait de tort à personne (quoi qu'on fasse d'ailleurs) à condition de ne faire de tort à personne. Par suite c'est une tautologie vide. — Il faut au contraire définir ma liberté extérieure (de droit) ainsi : elle est l'autorisation de n'obéir à aucune loi extérieure que celles auxquelles j'ai pu donner mon assentiment. — De même l'égalité extérieure (de droit) dans un État est le rapport des citoyens selon lequel personne ne peut obliger l'autre, de droit, sans que, en même temps, il ne se soumette à la loi qui peut l'obliger réciproquement et de la meilleur manière. (Le principe de la dépendance de droit qui se trouve déjà dans le concept d'une constitution d'État en général n'a pas besoin d'explications.)
Kant, Vers la paix perpétuelle.
Bon finalement j'ai fait plus long que prévu. :-P Mais cela m'a permis d'illustrer, ce qu'en comparaison de cette écriture soi-disant inclusive, je considère comme sérieux sur le plan doctrinal dans le champ de la philosophie politique. ;-)
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Ce n'était pas une affirmation mais une référence, la reprise (à but humoristique ici) d'un slogan de Mai 1968. J'ai laissé tombé depuis.
Je ne connaissais pas la référence, le seul slogan qui me soit parvenu est le contradictoire (quoi que ?) : « il est interdit d'interdire ! ». Il est risqué, cependant, de tenter un trait d'humour en pleine controverse sans l'agrémenter d'un signe clair du ton que l'on emploie — comme peuvent le faire les smileys. ;-) D'autant que ce genre de thèse fut en partie au cœur de l'affaire Sokal qui impliqua, de fait, le courant des gender studies.
Quoi qu'il en soit, et même si l'on peut à certains égards déplorer le ton des échanges, dans l'ensemble je me rangerais plus volontiers du côté de la position défendu par barmic, renault ou michaël (entre autres) et, in fine, dans ceux qui « rejettent » cette innovation orthographique sans que cela soit en quelque façon fondé sur des convictions politiques : le genre non-marqué remplie déjà parfaitement ce rôle et son usage ne signifie nullement que l'on parle d'un homme — entendre un individu mâle de l'espèce humaine au sens biologique.
Pour être honnête, et comme tu as fais également la comparaison avec l'usage de différents langages pour programmer qui amènent à penser différemment, quand je vois ce genre de pull request ma réaction est analogue à celle de Xavier Leroy sur celle-ci1 : « It makes me want to curl up and cry » (« cela me donne envie de me recroqueviller et de pleurer », pour les non-anglophones).
bien qu'à titre personnel, je n'ai aucun avis sur cette dernière. ↩
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
(Par ailleurs le problème de genre dans la langue existe aussi en anglais, puisqu'il n'y a pas de pronom neutre pour désigner une personne, ce qui conduit les gens à utiliser un "they" singulier que certains rejettent avec des argumentaires semblables à ceux d'ici.)
En réalité, cet emploi du ”they” est une forme ancienne (cf. l'allemand “Sie”). Il y a aussi une forme de prénom neutre “one” qu'on emploie parfois comme dans “To solve this problem one could use…”.
De toute façon les anglophones ont trouvé la solution utlime au problème des formes fléchies et des genres grammaticaux :
:-P
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
il faut résister à l’envie de répondre, sinon, c’est là que c’est interminable
Cela est presque impossible, voire inévitable, une fois que la controverse est engagée : déposer les armes, laisser le dernier mot à l'adversaire c'est lui accorder la victoire; c'est là un des principes de base de l'Art d'avoir toujours raison. ;-)
Le spectateur du duel a, par exemple, pu assister dans cette succession de commentaires au recours à deux stratagèmes élémentaires. Gasche, sans doute dans la précipitation, lance un malheureux : « tout est politique ». Quelle grossière maladresse ! Depuis quand prédique-t-on quelque chose du quantificateur universel ?1 Ce qui est du pain béni pour barmic qui riposte instantanément par le stratagème I
Stratagème I : L’extension
Il s’agit de reprendre la thèse adverse en l’élargissant hors de ses limites naturelles, en lui donnant un sens aussi général et large que possible et l’exagérer, tout en maintenant les limites de ses propres positions aussi restreintes que possible. Car plus une thèse est générale et plus il est facile de lui porter des attaques. Se défendre de cette stratégie consiste à formuler une proposition précise sur le puncti ou le status controversiæ.
Gasche venait de laisser dans le flou le plus absolu le sujet de sa proposition qui peut aisément être lue comme « tout X est politique ». Barmic s'engouffre dans la brèche et substitue ce qu'il souhaite au sujet, ce qui donne :
C'est ça ! Tout est égale ! Affirmer être pour la peine de mort et qu'il pleut aujourd'hui, c'est tout 2 de la politique. Si tu ne traite pas les 2 de la même manière c'est aussi de la politique.
Tu pense arriver à noyer le poisson ?
La thèse de gasche devient une thèse qui met sur le même plan une position politique au sujet de la peine de mort et la description d'un simple état de fait : un relativisme généralisé qui peut porter atteinte jusqu'à la notion même de vérité (thèse qui ferait la joie des sceptiques). Il conclue en exigeant un recentrage des termes du débat.
Mais dans son message, gasche n'était pas en reste car il persistait et signait un recours au stratagème XII (qui n'avait pas leurrer flagos) en qualifiant de « plus ouverte » la position dont il entendait prendre la défense :
Stratagème XII : Choisir des métaphores favorables
Si la conversation porte autour d’une conception générale qui ne porte pas de nom mais requiert une désignation métaphorique, il faut choisir une métaphore favorable à votre thèse. Par exemple, les mots serviles et liberales utilisés pour désigner les partis politiques espagnols furent manifestement choisis par ces derniers.
Le terme protestant fut choisi par les protestants, ainsi que le terme évangéliste par les évangélistes, mais les catholiques les appellent des hérétiques.
En reprenant la totalité des échanges, il devrait être possible de relever la liste des stratagèmes utilisés.
En ce qui me concerne, lorsque j'ai lu cette dépêche, alors qu'il n'y avait encore aucun commentaire, je me suis immédiatement dit : ça va partir en sucette cette histoire; je ne m'étais pas trompé.
Cela étant je trouve cette graphie particulièrement laide et difficile à déchiffrer lorsque la densité des mots augmentent au-dessus d'un certain seuil. Je n'en ai toujours pas compris l'utilité, partageant les positions de Lévi-Strauss et Dumézil dans leur déclaration, au nom de l'Académie française, sur la féminisation des titres et des fonctions. Et le texte de Desprosges, qui sur le fond est identique mais ne s'en distingue que sur la forme satirique et sarcastique, m'a fait mourir de rire.
gasche, comment as-tu pu énoncer une thèse de la forme « tout est P » ??? ↩
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Non. Ce qui est plus ecologique c'est de definir le niveau de vie qu'on veut atteindre, etudier les ressources necessaires pour cela, et limiter le nombre d'individus pour que cela soit compatible.
Du malthusianisme, pour résumé ? Comme Thomas Malthus était également pasteur anglican, effectivement, ta solution peut se rapprocher de la morale religieuse. :-)
Ce qui est surtout difficilement compréhensible, de mon point de vue, c'est le nombre de personnes prétendant détenir l'omniscience (qualité nécessaire pour déterminer précisément, et pour toute l'humanité, le niveau de vie qu'elle souhaite atteindre, les ressources nécessaires à un tel objectif, ainsi que celles disponibles, pour en conséquence limiter la population à un niveau compatible), l'omnipotence (qualité nécessaire afin de mener à bien le plan que l'omniscience aura permis de mettre au point) ainsi que l'omniprésence (qualité nécessaire pour s'assurer que le plan est bien suivi à lettre en tout lieu et en tout temps). En fait, ce qui m'est difficilement compréhensible c'est le nombre de personnes qui se prennent pour Dieu ! ;-)
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Je ne connaissais pas ce terme, je connaissais les polyomininos mais pas les polyformes. Il fallait bien trouver un mot pour rendre le concept, polymorphe et multiforme étant déjà pris et n'ayant pas la même signification. Cela étant, il n'est pas rare de trouver de mots qui mélangent des racines grecques et latines comme dans ton exemple de « bicéphale ».
Chez les xyloglottes, certaines expressions peuvent faire polémique : doit on dire « capillotétratomie », « tétrapilectomie » ou bien « quadricapillosection » ? Tout ceci est quelque peu céphalocaptatoire ! :-P
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Je ne suis pas grand connaisseur du C++, mais j'aime bien ton approche. :-)
En OCaml, on utilise le type polymorphe 'a option = None | Some of 'a (c'est l'équivalent de : un pointeur null ou un pointeur sur un objet de type 'a) pour faire cela. Je préfère également cette approche à celle par gestion des exceptions. La bibliothèque standard à tendance à utiliser des exceptions, là où la version de jane street fournit les fonctions en deux exemplaires : avec exception ou avec un type 'a option en retour.
J'avais eu une discussion sur le sujet avec Perthmâd (où je l'illustrais par le calcul du prédécesseur sur les entiers naturels, et la façon de gérer le cas n = 0), et selon lui cela correspond à une transformation logique connue sous le nom de Friedman's trick. Moi je le vois comme une façon de rester purement constructif, et d'éviter d'avoir à raisonner par l'absurde.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
Cette présentation est celle d’un chercheur vieillissant qui porte un regard historique sur les trente dernières années de son travail.
Il y a deux sortes de chercheurs : les prolifiques et les monomaniaques. Je fais partie de la seconde catégorie, car j'ai toujours pratiqué le même genre d’investigations, à savoir la spécification et la construction vérifiée de systèmes informatisés.
Ce travail, autant théorique que pratique, s’est concrétisé au cours de toutes ces années dans trois formalismes voisins : Z, B et Event-B (dont je ne suis pas, loin de là, le seul contributeur). Je vais tenter d’expliciter comment les idées que contiennent ces formalismes et les outils correspondants ont lentement émergés de façon parfois erratique.
Je tenterai aussi de préciser les multiples influences qui ont participé à cette évolution. En particulier, je montrerai comment plusieurs réalisations industrielles ont permis de progresser dans ce domaine. Mais je soulignerai aussi les échecs et parfois les rejets de la part de communautés tant universitaires qu’industrielles.
Pour finir, je proposerai quelques réflexions et approches pour le financement de recherches telles que celle-ci.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
La condition de femme n’est pas biologique mais sociale, ça date de Simone de Beauvoir ça.
Et il ne t'est pas venu à l'idée que tout être humain ne partage pas toutes les thèses soutenues par Simone de Beauvoir sur le sujet ? Ce qui n'en fait pas pour autant des personnes qui sont dans l'erreur — sous-entendu que Simone de Beauvoir, au contraire, détenait la Vérité.
— Écrit en azerty selon l'orthographe de je m'en fous ! :-P
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Tribune?
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Ouverture du site Libre Games Initiatives. Évalué à 4.
Non. Je crois qu'il fait allusion à la tribune, une sorte de chat dont les habitués s'appellent moules entre eux, qui est accessible là si tu veux te rendre compte des échanges.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Clé usb d'install
Posté par kantien . En réponse au journal Retour d'expérience Achat PC portable LDLC SK1-I3-4-S1. Évalué à 4.
Ça se fait aussi avec
dd, ou même avec uncpsuivi d'unsynccomme l'a dit SCheveau. Voir, par exemple, la documentation Live System chez Debian. Je l'ai fait plus d'une fois avec l'ancien systèmelive-buildpour avoir des clés avec une partition persistante.Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Rébus
Posté par kantien . En réponse au journal Une charade. Évalué à 1.
J'ai mis du temps à comprendre, effectivement c'est introuvable : je préfère mon cortex ! :-P
Joli celui de l'abbé, pour l'autre je ne vois pas.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Je bloube aussi...
Posté par kantien . En réponse au journal Une charade. Évalué à 2.
Si l'on boit mon premier, à la vitesse d'une tortue pour mon second, pour finir à une place qui vaut de l'argent en troisième, alors la capitale de mon tout répond à la précédente charade.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Rébus
Posté par kantien . En réponse au journal Une charade. Évalué à 2. Dernière modification le 11 août 2016 à 20:51.
Cortex ?
Charade 1 : six gourmettes, huit verres -> Sigourney Weaver
Charade 2 : six rots des rats bleus -> sirop d'érable
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Modération?
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Unixcorn, trois mois plus tard : évolutions, remises en questions et stabilisation. Évalué à 3.
C'est de la syntaxe
markdown, elle est assez répandue et a même fait l'objet d'une rfc récemment. Pour chaque journal ou dépêche, tu peux télécharger le fichiermarkdowncorrespondant (extension.md) via un des deux liens en bas à droite : sur celui-ci, tu auras une illustration assez large (titre de section, lien, bloc de code, note de bas de page…).Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Modération?
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Unixcorn, trois mois plus tard : évolutions, remises en questions et stabilisation. Évalué à 3. Dernière modification le 10 août 2016 à 17:03.
CSS sur linuxfr
y'a pas de quoi
De rien.
les thèmes sombres
D'accord je comprends mieux. Moi c'est l'inverse, ces fonds et toutes ces couleurs cela me perd. Dans la liste des thèmes sur le site, il me semble qu'il y en a à composantes assombries.
La syntaxe wiki sur linuxfr
Dans ton journal, tu posais la question :
Je ne sais pas si la réponse t'a été donnée mais pour le code, soit on le veut inline et on met des
single-quoteautour, soit on le veut en block :Tu peux même avoir un sommaire généré automatiquement si tu utilises la syntaxe wiki adpatée : il faut mettre des
#autour des titres de sections comme je l'ai fait dans cette réponse (cf. l'aide mémoire qui s'affiche à chaque fois que tu rédiges un message, ou cette page du wiki).Edit : le sommaire ne semble plus être généré automatiquement, je ne sais pas pourquoi : c'est peut être seulement pour les commentaires, dans les journaux cela doit toujours fonctionner je pense.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Modération?
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Unixcorn, trois mois plus tard : évolutions, remises en questions et stabilisation. Évalué à 5. Dernière modification le 10 août 2016 à 15:14.
Comment fais-tu avec des livres papier ? Les miens sont tous en noir sur fond blanc.
Cela étant, pour un membre inscrit et connecté, il est possible de changer le CSS d'affichage. Bien que pour avoir un affichage comme tu le préférerais (changement de couleur entre les paragraphes), il faudrait peut être adapter aussi le
htmlgénéré avec des classes ajoutées en attribut aux balises de paragraphes (à la manière des tableaux qui alternent les couleurs entre les lignes) pour que le CSS puisse les exploiter.Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Clé usb d'install
Posté par kantien . En réponse au journal Retour d'expérience Achat PC portable LDLC SK1-I3-4-S1. Évalué à 4.
J'ai toujours fait un
ddde l'iso pour créer des live-usb ou des clés d'installations. Je suppose queunetbootinpermet juste de faciliter le processus tout en incorporant d'autres fonctionnalités, mais il n'a jamais était nécessaire de l'utiliser. Le risque avecddest si l'on se trompe de périphérique cible, ça peut faire mal ! :-PSapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Faux problème (bis).
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Open Beauty Facts : que contiennent vraiment nos produits cosmétiques ?. Évalué à 3. Dernière modification le 09 août 2016 à 16:11.
C'est sans doute pour cela que l'on distingue les végétariens, les végétaliens et les vegans. ;-) Les premiers groupes désignent essentiellement un régime alimentaire qui peut être fondé sur de multiples raisons distinctes selon les pratiquants, là où les vegans, eux, s'opposent à l'exploitation de l'animal par l'homme (ils ne porteront pas de vêtement à base de laine de mouton par exemple) ce qui va bien au-delà d'un simple régime alimentaire.
P.S : je ne suis membre d'aucun de ces groupes, ai une alimentation omnivore et l'exploitation de l'animal par l'homme ne me pose aucun problème de conscience; mais moi aussi je me renseigne, et je ne les confonds pas. ;-)
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Si, il y a un remplaçant… malheureusement
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Unixcorn, trois mois plus tard : évolutions, remises en questions et stabilisation. Évalué à 3. Dernière modification le 08 août 2016 à 16:01.
Bon je me suis mal relu et ait commis une faute qui peut porter à confusion : ce n'est pas tant sur son état civil que ma sœur a gardé son nom de jeune fille (il y reste de toute façon) mais sur tous les documents officiels : ce n'est pas madame X née Y mais madame X-Y. Je peux comprendre que l'on ne voit pas plus d'intérêt à la chose que l'écriture inclusive, mais c'était pour illustrer son féminisme.
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Si, il y a un remplaçant… malheureusement
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Unixcorn, trois mois plus tard : évolutions, remises en questions et stabilisation. Évalué à 4.
J'avais bien noté, au fil de tes différentes interventions, les trois points que tu cites. Je n'ai pas le temps, ni peut être dans le fond l'envie, de développer en détails mon approche sur les problématiques que tu soulèves, alors je vais faire court :
Effectivement je peux m'y faire dans le sens que cela ne perturbe pas trop mon déchiffrement du texte. Lorsque j'arrive sur un mot comme lecteur-ice-s, j'adapte mon « algorithme de parsing » comme suit : je garde lecteur (que j'identifie d'un coup d'œil), puis voyant le tiret (je suis sur mes gardes) je comprends que tout ce qui suit jusqu'au mot suivant n'est que du bruit rajouté par l'émetteur, qui n'ajoute rien à la sémantique usuelle de langue française, et qui révèle surtout l'ignorance crasse de l'auteur au sujet de la grammaire de la langue qu'il entend réformer.
Cette position victimaire qui relève pertinemment du stratagème XII cité dans un de mes précédents messages, puisque le qualificatif inclusif semble bien être celui que les partisans de cette graphie semble s'être donnés d'après le titre de ce commentaire de ariasuni ainsi que celui-ci d'un des membres de l'équipe de modération, a le don de m'énerver. Je te parlerais donc d'une de mes sœurs qui, lorsqu'elle s'est mariée, a tenu à garder son nom de jeune fille sur son état civil en plus de l'ajout de celui de son conjoint (et il me semble qu'il en est de même pour leurs enfants). Néanmoins elle trouve cette écriture profondément inepte, bien qu'elle doive parfois en faire usage suite à des directives hiérarchiques lorsqu'elle publie des offres d'emploi. Voilà ce que Michaël voulait désigner par « féminime de salon ». Elle connaît parfaitement sa grammaire, sait bien faire la distinction entre genre grammaticale et genre naturel, connaît le statut du genre non-marqué; mais lorsque qu'un principe similaire se situe sur le plan du droit, c'est à dire dans l'ordre du juridique et non du grammaticale, son action change du tout au tout.
je ne peux qu'abonder dans ton sens sur celui-ci.
D'une manière générale, je n'apprécie que moyennement que l'on galvaude les problèmes d'égalité de droit et que l'on fasse des analogies douteuses sur le sujet.
Dans la doctrine kantienne, ce qui fonde cette ressemblance complète entre le principe d'action-réaction de la dynamique et l'égalité juridique des hommes c'est la forme des jugements disjonctifs : les kantiens n'ont pas attendu Curry-Howard pour se servir de la forme logique des jugements comme principe de typage. ;-)
Autre exemple issu de la Doctrine du droit :
Et de même que dans la pensée il ne faut jamais confondre le rôle de la raison et celui de l'entendement (statut de la majeur et de la mineur), dans le champ du politique il faut veiller à séparer les pouvoirs législatif et exécutif dans la constitution républicaine à la forme si sublime (sic) :
Bon finalement j'ai fait plus long que prévu. :-P Mais cela m'a permis d'illustrer, ce qu'en comparaison de cette écriture soi-disant inclusive, je considère comme sérieux sur le plan doctrinal dans le champ de la philosophie politique. ;-)
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Si, il y a un remplaçant… malheureusement
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Unixcorn, trois mois plus tard : évolutions, remises en questions et stabilisation. Évalué à 3.
Je ne connaissais pas la référence, le seul slogan qui me soit parvenu est le contradictoire (quoi que ?) : « il est interdit d'interdire ! ». Il est risqué, cependant, de tenter un trait d'humour en pleine controverse sans l'agrémenter d'un signe clair du ton que l'on emploie — comme peuvent le faire les smileys. ;-) D'autant que ce genre de thèse fut en partie au cœur de l'affaire Sokal qui impliqua, de fait, le courant des gender studies.
Quoi qu'il en soit, et même si l'on peut à certains égards déplorer le ton des échanges, dans l'ensemble je me rangerais plus volontiers du côté de la position défendu par barmic, renault ou michaël (entre autres) et, in fine, dans ceux qui « rejettent » cette innovation orthographique sans que cela soit en quelque façon fondé sur des convictions politiques : le genre non-marqué remplie déjà parfaitement ce rôle et son usage ne signifie nullement que l'on parle d'un homme — entendre un individu mâle de l'espèce humaine au sens biologique.
Pour être honnête, et comme tu as fais également la comparaison avec l'usage de différents langages pour programmer qui amènent à penser différemment, quand je vois ce genre de pull request ma réaction est analogue à celle de Xavier Leroy sur celle-ci1 : « It makes me want to curl up and cry » (« cela me donne envie de me recroqueviller et de pleurer », pour les non-anglophones).
bien qu'à titre personnel, je n'ai aucun avis sur cette dernière. ↩
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[^] # Re: L’écriture inclusive
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Unixcorn, trois mois plus tard : évolutions, remises en questions et stabilisation. Évalué à 4.
De toute façon les anglophones ont trouvé la solution utlime au problème des formes fléchies et des genres grammaticaux :
:-P
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[^] # Re: Si, il y a un remplaçant… malheureusement
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Unixcorn, trois mois plus tard : évolutions, remises en questions et stabilisation. Évalué à 5. Dernière modification le 07 août 2016 à 01:49.
Cela est presque impossible, voire inévitable, une fois que la controverse est engagée : déposer les armes, laisser le dernier mot à l'adversaire c'est lui accorder la victoire; c'est là un des principes de base de l'Art d'avoir toujours raison. ;-)
Le spectateur du duel a, par exemple, pu assister dans cette succession de commentaires au recours à deux stratagèmes élémentaires. Gasche, sans doute dans la précipitation, lance un malheureux : « tout est politique ». Quelle grossière maladresse ! Depuis quand prédique-t-on quelque chose du quantificateur universel ?1 Ce qui est du pain béni pour barmic qui riposte instantanément par le stratagème I
Gasche venait de laisser dans le flou le plus absolu le sujet de sa proposition qui peut aisément être lue comme « tout X est politique ». Barmic s'engouffre dans la brèche et substitue ce qu'il souhaite au sujet, ce qui donne :
La thèse de gasche devient une thèse qui met sur le même plan une position politique au sujet de la peine de mort et la description d'un simple état de fait : un relativisme généralisé qui peut porter atteinte jusqu'à la notion même de vérité (thèse qui ferait la joie des sceptiques). Il conclue en exigeant un recentrage des termes du débat.
Mais dans son message, gasche n'était pas en reste car il persistait et signait un recours au stratagème XII (qui n'avait pas leurrer flagos) en qualifiant de « plus ouverte » la position dont il entendait prendre la défense :
En reprenant la totalité des échanges, il devrait être possible de relever la liste des stratagèmes utilisés.
En ce qui me concerne, lorsque j'ai lu cette dépêche, alors qu'il n'y avait encore aucun commentaire, je me suis immédiatement dit : ça va partir en sucette cette histoire; je ne m'étais pas trompé.
Cela étant je trouve cette graphie particulièrement laide et difficile à déchiffrer lorsque la densité des mots augmentent au-dessus d'un certain seuil. Je n'en ai toujours pas compris l'utilité, partageant les positions de Lévi-Strauss et Dumézil dans leur déclaration, au nom de l'Académie française, sur la féminisation des titres et des fonctions. Et le texte de Desprosges, qui sur le fond est identique mais ne s'en distingue que sur la forme satirique et sarcastique, m'a fait mourir de rire.
gasche, comment as-tu pu énoncer une thèse de la forme « tout est P » ??? ↩
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[^] # Re: Une excellente chose
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Open Beauty Facts : que contiennent vraiment nos produits cosmétiques ?. Évalué à 5.
Du malthusianisme, pour résumé ? Comme Thomas Malthus était également pasteur anglican, effectivement, ta solution peut se rapprocher de la morale religieuse. :-)
Ce qui est surtout difficilement compréhensible, de mon point de vue, c'est le nombre de personnes prétendant détenir l'omniscience (qualité nécessaire pour déterminer précisément, et pour toute l'humanité, le niveau de vie qu'elle souhaite atteindre, les ressources nécessaires à un tel objectif, ainsi que celles disponibles, pour en conséquence limiter la population à un niveau compatible), l'omnipotence (qualité nécessaire afin de mener à bien le plan que l'omniscience aura permis de mettre au point) ainsi que l'omniprésence (qualité nécessaire pour s'assurer que le plan est bien suivi à lettre en tout lieu et en tout temps). En fait, ce qui m'est difficilement compréhensible c'est le nombre de personnes qui se prennent pour Dieu ! ;-)
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[^] # Re: Hum…
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Faites votre promo avec CoLibre (appel à projets tuteurés). Évalué à 2.
Pas nécessairement depuis la réforme de 1990, d'où la remarque de Benoit (sans accent, je suis la réforme :-P).
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[^] # Re: Open Hardware
Posté par kantien . En réponse au journal Et si on achetait de l'Open Hardware (v2) ?. Évalué à 4.
Voir le journal du même auteur : de retour du 4e workshop RISC-V. ;-)
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[^] # Re: Hum…
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Faites votre promo avec CoLibre (appel à projets tuteurés). Évalué à 3.
C'est parce que les compétences acquises via cette formation permettent d'amener les projets vers des sommets ! :-P
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[^] # Re: nous a quitté ==> nous a quittés
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Michel Rocard : un ami des logiciels libres nous a quittés. Évalué à 4.
Il y a enfin un xkcd qui lui sied parfaitement :
:-)
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[^] # Re: Vu ailleurs
Posté par kantien . En réponse au journal Cozy cloud, maif et licenciement du CTO???. Évalué à 4. Dernière modification le 20 juillet 2016 à 21:48.
Je ne connaissais pas ce terme, je connaissais les polyomininos mais pas les polyformes. Il fallait bien trouver un mot pour rendre le concept, polymorphe et multiforme étant déjà pris et n'ayant pas la même signification. Cela étant, il n'est pas rare de trouver de mots qui mélangent des racines grecques et latines comme dans ton exemple de « bicéphale ».
Chez les xyloglottes, certaines expressions peuvent faire polémique : doit on dire « capillotétratomie », « tétrapilectomie » ou bien « quadricapillosection » ? Tout ceci est quelque peu céphalocaptatoire ! :-P
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[^] # Re: Vu ailleurs
Posté par kantien . En réponse au journal Cozy cloud, maif et licenciement du CTO???. Évalué à 10.
Mais le mot polycéphale, lui, existe — poly c'est le préfixe d'origine grecque, multi est d'origine latine.
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[^] # Re: Je n'aime pas la SFML
Posté par kantien . En réponse à la dépêche SDL ou SFML ? Ne choisissez plus, prenez Gamedev Framework (gf). Évalué à 3.
Je ne suis pas grand connaisseur du C++, mais j'aime bien ton approche. :-)
En OCaml, on utilise le type polymorphe
'a option = None | Some of 'a(c'est l'équivalent de : un pointeur null ou un pointeur sur un objet de type'a) pour faire cela. Je préfère également cette approche à celle par gestion des exceptions. La bibliothèque standard à tendance à utiliser des exceptions, là où la version de jane street fournit les fonctions en deux exemplaires : avec exception ou avec un type'a optionen retour.J'avais eu une discussion sur le sujet avec Perthmâd (où je l'illustrais par le calcul du prédécesseur sur les entiers naturels, et la façon de gérer le cas
n = 0), et selon lui cela correspond à une transformation logique connue sous le nom de Friedman's trick. Moi je le vois comme une façon de rester purement constructif, et d'éviter d'avoir à raisonner par l'absurde.Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.
[^] # Re: Assembleur
Posté par kantien . En réponse au journal Code source de Apollo 11. Évalué à 3. Dernière modification le 19 juillet 2016 à 10:00.
Jean-Raymond Abrial, le chercheur à l'origine de la méthode B, a présenté l'historique et les principes de celle-ci dans cette conférence au collège de France : Spécification, construction et vérification de programmes : le parcours d'une pensée scientifique sur une trentaine d'années.
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[^] # Re: nous a quitté ==> nous a quittés
Posté par kantien . En réponse à la dépêche Michel Rocard : un ami des logiciels libres nous a quittés. Évalué à 7.
Et il ne t'est pas venu à l'idée que tout être humain ne partage pas toutes les thèses soutenues par Simone de Beauvoir sur le sujet ? Ce qui n'en fait pas pour autant des personnes qui sont dans l'erreur — sous-entendu que Simone de Beauvoir, au contraire, détenait la Vérité.
— Écrit en azerty selon l'orthographe de je m'en fous ! :-P
Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.