lasher a écrit 2732 commentaires

  • [^] # Re: Vraie question

    Posté par  . En réponse au journal Athéisme, agnostisme: manifeste agnostique. Évalué à 2.

    Ben, si Dieu existe (même si c'est prouvé hein), mais que sa présence n'influence en rien consciemment ce que moi, « cellule de Dieu », je fais, alors on s'en fout qu'il existe ou pas, non ? Techniquement, dans ma vie de tous les jours, Dieu n'ayant aucune influence, il n'a pas réellement d'existence non plus (ce qui me fait un peu penser à ce que disait Épicure).
  • [^] # Re: Vraie question

    Posté par  . En réponse au journal Athéisme, agnostisme: manifeste agnostique. Évalué à 3.

    « On tombe alors sur le Pari de Pascal. »

    Sauf que, comme me le faisait remarquer mon papounet athée chéri d'amour, Pascal suppose que c'est du 50/50. Si jamais, au vu et su des connaissances que l'on possède, on disait que les chances sont plutôt 10 (existence) / 90 ? Ou même 1 / 99 ? Pascal pose arbitrairement un pari qui a 50% de chances d'être vrai, mais sur des bases totalement erronées.
  • [^] # Re: Vraie question

    Posté par  . En réponse au journal Athéisme, agnostisme: manifeste agnostique. Évalué à 1.

    Les trois grandes religions monothéistes partagent un livre : la Torah.

    Si on regarde l'histoire de Job, on a quand même une situation où il est avec femme(s) et enfants, troupeaux, etc. Dieu, parce qu'il a fait un pari avec un ange (lucifer, pas encore déchu), accepte de retirer tous ses biens à Job (oui oui, la femme, les enfants et les troupeaux sont des biens). Forcément, Job n'est pas content. Alors il veut plus ou moins poursuivre Dieu en justice. Et Dieu, qui se retrouve un peu dos au mur : « Hé ho, je suis Dieu, Omniscient, et aussi omnipotent. Je fais ce que je veux, et je te merde. »

    Et puis quand même, il redonne femmes, enfants, et troupeaux à Job. Mais non, pas les mêmes. Y'a des limites à la mansuétude du Grand Barbu.

    Tout ça pour dire que si, la Torah, le Nouveau Testament, et le Coran incitent fortement l'homme à louer Dieu, à s'y soumettre, parce qu'il est Putain de Tout-Puissant.
  • [^] # Re: Relativisation

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les résultats du LHC sous licence Creative Commons. Évalué à 2.

    « l'OpenAccess va relativiser le peer review, en le faisant passer d'une variable binaire (cet article a été considéré comme acceptable par la communauté) à une variable quantitative (cet article a été publié dans tel journal, qui est connu pour ses critères assez laxistes / très sévères). »

    C'est déjà le cas. Il existe des classements des conférences (allant de A+ à E ou F), qui sont faits en fonction de l'ancienneté de la conférence, du taux d'acceptation moyen, etc. Ces classements ne sont pas nécessairement pertinents. Par exemple, le workshop LCPC, qui a lieu tous les ans, est un extraordinaire séminaire pour qui s'intéresse à la compilation et à l'optimisation de code pour la haute performance et le parallélisme. Comme il s'agit d'un workshop, le taux d'acceptation est relativement bas (~40% l'an dernier). Pourtant, la qualité des papiers est plutôt bonne. Si on va à l'opposé, SuperComputing (SC) est l'une des conférences les plus sélectives (~15-20% d'acceptation tous les ans). Pourtant, lors de cet événement, il y a tellement de choses à faire et voir, que ça ressemble plutôt à une foire. Et au final, même si les papiers peuvent être plutôt bons, il n'y a aucune cohérence, et il est difficile de trouver son bonheur dans les actes...

    Du coup, lorsque je soumets à une conférence, je ne soumets qu'aux "meilleures" (Notées A ou A+), parce que je sais que, si jamais je veux devenir maître de conf (ou même passer les qualifs pour tenter de l'être), il est important de pouvoir justifier de publications dans des conférences ou ateliers de qualité. Ou bien je soumets dans des workshops qui sont pile-poil dans ma spécialité, et qui me permettent d'entretenir mon réseau...
  • [^] # Re: j'ai du loupé un episode mais

    Posté par  . En réponse au journal Pour utiliser Windows, utilisez Linux (bis). Évalué à 6.

    L'énorme majorité de la planète ne sait pas ce qu'est le Logiciel Libre non plus. Sans parler de ceux qui en ont entendu parler mais de façon déformée, et qui prennent ça simplement pour une série de logiciels gratuits... :-)
  • [^] # Re: Youpi !

    Posté par  . En réponse au journal Le successeur de TeX. Évalué à 3.

    « Depuis que l'Homme a 10 doigts et sait compter, il compte en base 10 »
    ... Même les Mayas (supposés compter en base 20) ?
  • [^] # Re: J'en ai trouvé une :-P !

    Posté par  . En réponse au journal Python çaymal. Évalué à 2.

    « 1) Je maintiens qu'on ne devrait plus faire cette faute systématique de conjugaison en CM2 (l'inattention c'est humain...). »

    Alors euh. Dans le cas de ma dictée, la faute d'inattention m'a coûté 10*2 points ... ;-) (au moins j'étais cohérent dans mon erreur, c'est déjà ça...)

    « Mais ne me fais pas dire que j'affirme que l'on doit avoir une orthographe parfaite à 11 ans. »
    Ce n'est pas moi qui le dit, c'est toi qui parle de CM2... ;-) Blague à part, je comprends bien ce que tu veux dire. Mais le français en particulier (et la plupart des langues naturelles en général) ne posent pas les mêmes problèmes à tout le monde. Certains sont très forts en orthographe, d'autres en grammaire, d'autres en conjugaison ... Jusqu'à ce qu'un COD se glisse avant le verbe, et que du coup l'on oublie de l'accorder car il s'agit d'un cas particulier ... :-)

    « Le comble, c'est que ce sont ceux qui ont le moins de vocabulaire, donc le moins de choses à assimiler, qui font le plus de fautes sur le vocabulaire de base ! »

    Et justement, ce sont ceux qui pratiquent le moins. Totalement logique de faire des erreurs, non ? Pour faire une analogie foireuse dont je suis friand, je peux te parler des élèves de 1ère année de licence scientifique, pour qui j'ai été chargé de TD. Les cours se font en C. Ceux qui bossent un minimum chez eux (ou qui ont fait de l'info avant d'une manière ou d'une autre, mais quelque part je trouve que ça revient au même) sont aussi ceux qui oublient systématiquement les points-virgule, ou de mettre des accolades après un bloc de contrôle (surtout pour if et while).

    « [À propos des circonflexes] Alors là, non, vouloir les supprimer c'est perdre l'étymologie du mot, son histoire. »

    Je suis persuadé que les ancêtres de nos académiciens français pensaient la même chose de l'utilisation de circonflexes plutôt qu'utiliser ce bon vieux 's'. :-) Je ne vois pas en quoi on va oublier l'étymologie. Certes, ça va rajouter une indirection, mais ce sera tout. On passera de "hôpital -> hospital -> <machin en latin>" à "hopital -> hôpital -> hospital -> <machin en latin>" ou même carrément "hopital -> hospital -> <machin en latin>". Et puis, les mots comme "hospitalier" continueront à exister et nous rappeler les racines communes des mots.

    Soyons bien d'accord : j'aime le français, j'aime ses cédilles, ses accents circonflexes, ses règles tordues, et ses tournures de phrases. J'aime, mais c'est une langue qui a été volontairement rendue plus compliqué qu'elle ne l'aurait du, quelques siècles auparavant (16è-17è siècles notamment). Et les simplifications ajoutées au français rendront certainement confus certains bouquins, il y aura forcément un petit "clash" entre l'ancienne génération et la nouvelle, etc. Mais à l'échelle de 50 ou 100 ans, est-ce si gênant ? (Surtout que les nouvelles éditions de bouquins seront modifiées avec la nouvelle orthographe ... Un peu comme les bouquins de Rabelais, Montaigne & co qui sont "traduits" du truc bizarre qu'est pour nous le bas-latin/français naissant en un français qui a toujours des relents baroques, mais déjà plus compréhensible.
  • [^] # Re: Et LinuxFR on rails se /b/tardise

    Posté par  . En réponse à la dépêche 12 ans de LinuxFr.org. Évalué à 3.

    En tout cas, il existe déjà des scripts pour le faire. Plusieurs exemples (dont Python, Ruby, et Erlang) sont proposés ici :
    http://probablyprogramming.com/2009/04/11/untiny-that-url/
  • [^] # Re: J'en ai trouvé une :-P !

    Posté par  . En réponse au journal Python çaymal. Évalué à 2.

    « Les fautes basiques les plus fréquentes étant l'emploi de la forme infinitive d'un verbe en lieu et place de son participe passé comme, par exemple, « j'ai manger » et l'emploi du 't' à la première personne, du genre « je moulait ».
    Personne ne devrait faire ce genre de fautes récurrentes en ayant atteint le CM2 ! »

    Deux choses :

    1/ J'étais plutôt bon en orthographe et grammaire, ce qui ne m'a pas empêché de mettre des 't' à tous mes imparfaits lors d'une dictée en 4è. 14/20 en grammaire, mais 0/20 en dictée, ça marque suffisamment pour ne plus faire de fautes. Cela dit, je faisais déjà relativement peu de fautes, du coup forcément ça marque plus dans ce genre de cas. Ça signifie entre autres que les gens qui (se) sont persuadés qu'ils sont nuls en orthographe ou grammaire, de toute manière, ça ne leur fait plus ni chaud ni froid.

    Je réagis ici parce que dire « on devrait ne plus faire la faute en CM2 ! », c'est un peu facile. Je fais relativement peu de fautes, et j'ai toujours été bon élève en Français, mais si les dictées se sont perpétuées (au moins dans mon cas) jusqu'en 4è, voire en 3è, ce n'est pas pour rien. C'est qu'on estime que c'est nécessaire. Idem pour la lecture à voix haute [1]. Idéalement, il faudrait que tout le monde sache parler à la naissance. Et si possible, savoir résoudre des équations différentielles du second ordre. On sait jamais, ça peut servir. Si en plus, la compilation d'un noyau Linux est sue au troisième jour, c'est le bonheur. Sauf que ... Pas de secret, il faut de la pratique pour ces trois sujets. Et si la seule pratique du Français se fait en cours de Français (parce que l'élève lit peu; parce qu'en plus sa famille parle déjà mal la langue; etc.), alors exiger qu'un élève sache parfaitement parler et écrire le Français en CM2, cette langue si dure, remplie d'exceptions et de règles semi-exceptionnelles, je trouve ça un peu fort.

    2/ Il existe une réforme de l'orthographe en France. Elle est conspuée un peu partout. Elle enlève son 'i' à « oignon », elle supprime les accents circonflexes qui n'introduisent pas une précision sur le sens d'un mot (comme par exemple dans le cas d'homophones dont la seule différence dans l'orthographe est due à ces mêmes accents), etc. Certes, il ne s'agit pas de 't' ou d'infinitif. Certes, je ne me ferai sans doute jamais à cette réforme. Par contre, je ne ferai plus de remarques concernant l'orthographe lorsqu'il s'agira d'une forme... réformée. Pourquoi ? Tout simplement parce que vouloir s'accrocher à ces maudits circonflexes, qui eux-mêmes cachent des lettres muettes (le plus souvent des 's'), c'est aller contre l'évolution de la langue; que vouloir absolument garder le 'i' d'oignon, même si je préfère cette orthographe, c'est forcer les gens à se souvenir d'une énième exception. Bref, si en acceptant l'orthographe simplifiée que nous proposent les dernières réformes de notre langue, on permet à nos chères têtes blondes de plus se concentrer sur les 't' ou les 's' qui vont au bon endroit à l'imparfait; si l'infinitif arrête d'être confondu avec le participe passé grâce à d'autres simplifications orthographiques et logiques [2]; alors je suis pour la réforme.

    Évidemment, ce point n°2 n'est pas directement lié à ce que tu disais. Sauf que... Sauf qu'après les 't' et les mauvaises conjugaisons de verbe, je vois très souvent poindre les gens qui vomissent sur ces réformes (et je sais de quoi je parle, j'en ai fait partie). Du coup, c'est de la contre-argumentation préventive. Parce qu'à jouer un peu trop aux maîtres orthographiques et grammaticaux zélés, on en oublie que le pronom « on », par exemple, dénote un sujet neutre ou impersonnel. Que nous ne devrions pas l'utiliser en lieu et place de « nous ». Mais on le fait quand même. Parce que notre langue évolue, tant dans sa grammaire/conjugaison que dans son orthographe. Et qui, sait, peut-être qu'un jour, oOoOoOoh oui, un jour, elle sera mienn^W^W^Wle 't' sera considéré comme une terminaison normale pour les trois premières personnes de l'imparfait, étant donné le fait que le pronom personnel qui le précéderait ou le suivrait établirait un contexte non-ambigu. Va savoir.

    [1] Et là pour le coup, je rejoins Brighelli, qui pourtant a le don de m'insupporter sur pas mal de choses. Il explique très bien dans « La fabrique du crétin » que l'arrêt de la lecture à voix haute en seconde (et sans doute en troisième, je n'ai pas souvenir de l'avoir pratiquée cette année-là -- mais je peux me tromper) a aussi amplifié les problèmes liés à la langue française dans les classes. J'ai tendance à être d'accord.
    [2] Oui, logiques. Très important la logique. Par exemple, si d'aventure un réformateur voulait mettre des 'é' partout pour les infinitifs des verbes du premier groupe, ce serait totalement débile, tout bêtement à cause de la règle que tu as rappelée pour les verbes des 2è et 3è groupes (sauf « aller »... ;-) ) : on perdrait en cohérence pour la conjugaison des verbes.
  • [^] # Re: J'en ai trouvé une :-P !

    Posté par  . En réponse au journal Python çaymal. Évalué à 3.

    Oups. Ça m'apprendra à mal lire.

    /me vire la poutre de son œil.
  • [^] # Re: J'en ai trouvé une :-P !

    Posté par  . En réponse au journal Python çaymal. Évalué à 0.

    Gné ? Pourquoi un trait d'union ? Il n'y a ni lettre de complémentarité (je ne connais pas le terme grammatical exact) comme dans "a-t-on", ni verbe suivi d'un pronom personnel ("as-tu"). Il n'y a absolument aucune raison de mettre un trait d'union entre "suggéra" et "mon ego". C'est même carrément pas naturel.
  • [^] # Re: Et pis .....thon

    Posté par  . En réponse au journal Lamentations ou les remords d'un geek. Évalué à 3.

    « Python, Perl, Ruby, Haskell et autres sont bien la preuve qu'on peut développer des programmes plus ou moins simple sans forcément passer par la case "gestion de pointeurs et allocation de la mémoire". »

    Bien sûr. Mais je dis que quelqu'un qui veut pouvoir se dire « informaticien » devrait avoir touché aux pointeurs & co, et vraiment essayé de piger comment ça marche. Tout simplement parce qu'ensuite, entre les machines virtuelles, les ramasse-miettes, etc., beaucoup de ces mécanismes sont cachés mais pas forcément invisibles (cf. les références circulaires non gérées dans pas mal de ramasse-miettes ou de machins façon les autoptr de boost).

    Tu parles de biologistes, mécaniciens, etc. Ceux-là ne sont pas des informaticiens, mais des biologiste, etc., qui ont besoin de l'outil informatique pour faire leurs simulations. C'est différent. Là bien sûr, s'il est possible d'éviter de les faire passer par le C ou le C++, il faut ! Maintenant, mon expérience me dit que Fortran et C++ sont un peu les deux mamelles de la simulation numérique en physique ... avec d'excellentes raisons pour Fortran (même si je déteste ce langage).

    Il fallait donc bien lire mon post « littérallement » : je proposais un programme pour IUT génie informatique, et certainement pas pour gens qui ont besoin d'apprendre à programmer.

    Par contre, dans les facs de science, je suis tout à fait pour une sorte de « piscine light », un peu comme celle d'EPITA/EPITECH, avec un langage adapté. Après tout, les étudiants font des maths depuis le CP, de la physique/chimie depuis la 4è, de la bio depuis la 6è... En « vraie » informatique, la plupart ne font pas grand chose (apparemment ça a changé et en seconde ils commencent à faire de l'algo, ce qui est déjà mieux). La programmation va devenir, selon moi, un passage obligé de la plupart des sciences appliquées. Autant apprendre aux étudiants à correctement utiliser les outils à leur disposition.
  • [^] # Re: Et pis .....thon

    Posté par  . En réponse au journal Lamentations ou les remords d'un geek. Évalué à 3.

    En effet, c'est un peu trop centré sur "moi on m'a enseigné comme ça". ;)

    Dans la catégorie "moi je" :

    IUT 1è année:
    - 6 mois de C / algorithmique;
    - 3 mois de C++;
    - 3 mois de Visual Basic.
    - Un ou deux TP d'assembleur pour compléter la formation en architecture.

    IUT 2è année :
    - 6 mois de Java;
    - 6 mois de HTML+XML+ASP
    (c'est ce que j'ai fait en prenant l'option réseaux/info répartie)
    ou

    - 6 mois de C++ avancé
    - 6 mois de COBOL
    (pour ceux qui avaient pris l'option génie logiciel)

    En école d'ingé j'ai vu en plus :
    - Common LISP
    - PROLOG

    Ce que je préconise pour former les nouveaux étudiants:

    En IUT génie informatique :
    - 1 langage compilé et un langage interprété;
    - 1 langage procédural et un langage orienté objet;
    - 1 langage pour apprendre à faire de la prog système.
    En tout, il faut au moins 3 langages différents (car finalement, les études en informatique devraient former à s'adapter à de nouveaux environnement rapidement).

    En école d'ingé, je proposerais en plus :
    - 1 langage fonctionnel;
    - 1 langage déclaratif.

    Du coup, avec ce cahier des charges, on pourrait avoir (par exemple) :

    - le langage C : procédural, compilé, et permet la prog système;
    - Python ou Ruby : orienté objet et interprété;
    - HTML+CSS+Javascript : événementiel, interprété, et euh... bizarre ;-) OU Java OU C++.
    En école d'ingé, je rajouterais :
    - Common LISP, Haskell, OCaml, etc. (certes ce sont des langages multi-paradigmes, mais ils sont clairement plus connus pour leur côté fonctionnel);
    - PROLOG ou Erlang (pour se faire des nœuds au cerveau au moins une fois dans sa vie).

    Je suis volontairement vague, parce que mon expérience me dit que le plus important, c'est le prof. Malgré tout, avec la façon dont j'ai tourné les choses, j'impose un peu le C, mais je trouve que c'est important : ne pas faire d'assembleur, passe encore, mais même si on peut parfaitement comprendre les problèmes liés à l'allocation/désallocation de la mémoire, aux plantages divers, etc., simplement en écoutant le cours, à mon avis rien ne remplace l'expérience.

    Les autres langages, on s'en fout, du moment qu'ils sont utilisés dans des projets de taille conséquente, pour forcer l'étudiant à s'investir et comprendre.
  • [^] # Re: C'est pour ton bien

    Posté par  . En réponse au journal Nanny, logiciel de contrôle parental pour linux.. Évalué à 2.

    « A y réfléchir, le malentendu sur l'utilité/inutilité du contrôle parental doit se situer la : l'âge. »

    Comme tu le fais remarquer, il s'agit non seulement d'âge, mais de la volonté-même du gamin. Je considère un logiciel de contrôle parental comme un filtre à site à contenu « adulte » -- après tout, dans les boites qui filtrent le contenu, y'a des choses équivalentes, et tout le monde (même adulte !) n'est pas forcément capable de contourner lesdits filtres.

    Ensuite nous sommes bien d'accord, si un gamin veut absolument trouver du porno (ou quelqu'autre contenu), il va y arriver (ou tomber sur ce fil de discussion qui sera non censuré car il y a absence de toute photo ... :-)). L'intérêt pour moi est que ça ralentit (même un peu !) le moment où le gamin tombera sur des sites qui lui promettront une double pénétration vagino-anale sur une blonde aux seins et aux lèvres refaits, par exemple au moment où il cherchera des cracks pour un de ses jeux. Quant à quand ce sera « forcément » volontaire, je dirais plutôt que jusqu'à 10 ans, on ne craint pas grand chose. Aussi futés soient-ils, ils ont affaire à des informaticiens comme parents, merde ! (au moins sur linuxfr) :-)
  • [^] # Re: Spam

    Posté par  . En réponse au journal P****n de Google Groups. Évalué à 10.

    Rien de philosophique là-dedans: l'acte de mentir aux autres est conscient. Sinon, on appelle ça se tromper. :)
  • [^] # Re: Fork

    Posté par  . En réponse au journal Nanny, logiciel de contrôle parental pour linux.. Évalué à 2.

    C'est plus un fork, mais pthread_create (ou un #pragma omp parallel, à la rigueur).
  • [^] # Re: C'est pour ton bien

    Posté par  . En réponse au journal Nanny, logiciel de contrôle parental pour linux.. Évalué à 3.

    Trouver du cul « gratuit » n'était pas évident, car sur un modem 28.8 kbps (ou même 56.6kbps en fait), charger une pauvre image de cul, et trouver tout bêtement un site qui en proposait prenait un temps de chargement clairement non-négligeable. Du coup, chopper 2 ou 3 photos porno, c'était déjà le grand luxe (et donc récupérer les magazines des cousins/grands frères/papas/etc restait tout de même plus rentable à l'époque).

    Quand ensuite je suis passé à Internet via câble, j'ai pu commencer à voir ce que donnait le peer-to-peer. Du coup je me demande : ton « avant », il date de quand ? Parce que mes premières amours de p2p, c'était Napster (donc ni eMule, LimeWire, ni ...), et quand je téléchargeais un MP3, c'était ... ben, un MP3. :)

    Et je rejoins Zenitram là-dessus, à l'époque au moins, trouver du porno, ça voulait dire en chercher, ou bien chercher des cracks. De nos jours, il faut aussi chercher, mais la différence, c'est qu'avec la bande-passante que tout le monde se paie, et certains sites que je ne nommerai pas ici, chopper des heures de pr0n à  pas cher  (lire : gratuit), c'est vraiment qu'à un clic de souris.

    Dernière chose: à 14 ans, vouloir taper "porno", "sexe?", etc., c'est tout à fait normal, sauf qu'on peut se retrouver avec vraiment un peu tout dans Google. Donc honnêtement, même si on ne peut pas tout filtrer, essayer de freiner un peu tout ça n'est pas forcément une mauvaise idée...
  • [^] # Re: C'est pour ton bien

    Posté par  . En réponse au journal Nanny, logiciel de contrôle parental pour linux.. Évalué à 3.

    Je me souviens d'une connaissance qui à l'époque avait configuré la machine parentale pour que sa petite sœur de 7 ans ne puisse tomber sur des choses pas belles à voir. À l'époque, le filtrage « adulte / pas adulte » de Google n'existait pas encore sur Google Image. La petite sœur a simplement tapé « chatte » là-bas et ... Je vous laisse deviner.
  • [^] # Re: La fin du libre ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie d'OGD1. Évalué à 2.

    Et moi je persiste à dire que l'erreur d'Intel n'est pas dans Larabee en lui-même, mais au fait que clairement ça vise le calcul intensif sous toutes ses formes, et pas seulement le calcul pour faire dans le graphique. À ce titre, il est plus « simple » à utiliser car il s'agit de bêtes cœurs in-order à base de x86. Et ça, le mec qui fait de la simulation/du calcul haute-perf, il commence à maîtriser.
  • [^] # Re: Bah, c'est du bon sens

    Posté par  . En réponse au journal Google interdit l'usage de windows à ses employés. Évalué à 2.

    [parlant de Fedora en 2003]
    > ca sert a quoi si le distrib est dans un etat tel qu'elle est inutilsiable par le pekin moyen ?
    FUD


    Pas d'accord. J'ai essayé Fedora à l'époque, et j'avais effectivement plein, PLEIN de problèmes pour faire fonctionner tout ça (depuis j'ai l'impression que ça va beaucoup mieux). Avant ça, j'avais essayé quelques distribs différentes (j'ai commencé avec red hat 5.1 en 99, puis se sont succédées debian, FreeBSD, OpenBSD, Fedora, etc).
  • [^] # Re: La fin du libre ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie d'OGD1. Évalué à 2.

    « Même le grand Intel a tenté l'aventure de la carte graphique dédiée avant de laisser tomber: le niveau atteint par ATI et nVidia est tout simplement hors de portée! »

    N'exagérons rien. Intel a fait une faute de communication en voulant faire de Larabee une carte type GPU. S'ils avaient dit « c'est un accélérateur », au même titre que les cartes ATI/Nvidia sont utilisées par les scientifiques pour faire du calcul (GPGPU), je pense que ça serait beaucoup mieux passé. Mais non, ils ont voulu jouer directement dans la cour des deux grands fabricants de GPU, et du coup, se sont cassé les dents.

    Cela dit, Larabee n'est absolument pas abandonné. Il est tout au plus retardé.
  • [^] # Re: C'est quoi ?

    Posté par  . En réponse au journal A mort les tristes journées. Évalué à 3.

    dans ce cas-là, l'éditeur a « perdu le droit de citer », et pas « perdu droit de citer ». Forcément, ça confusionne tout le monde. :)
  • [^] # Re: C'est quoi ?

    Posté par  . En réponse au journal A mort les tristes journées. Évalué à 3.

    « cité ». :)
  • [^] # Re: C'est quoi ?

    Posté par  . En réponse au journal A mort les tristes journées. Évalué à 3.

    PS: pour parler de post-scriptum, on parle de PS, PPS, PPPS, ... Bref, PS2 et PS3, ça me fait plus penser à une console de jeux qu'autre chose.
  • [^] # Re: Journalistes de merde

    Posté par  . En réponse au journal Le monde.fr et les hackers. Évalué à 0.

    Ah bah j'ai du mal entendre alors. :)
    Bon bon.