nicoastro a écrit 278 commentaires

  • [^] # Re: ca a l'air bien, mais on veut des infos sur xz

    Posté par  . En réponse à la dépêche Slackware abandonne les tgz. Évalué à 2.

    Et en « zippant » récursivement tous les fichiers sur place puis en « tarant » seulement après la compression ? Si le besoin est là, quelques scripts pas trop compliqués doivent pouvoir le faire. Solution relativement moche je le reconnais mais n’étant pas plus expert…
  • [^] # Re: De la mauvaise volonté ?

    Posté par  . En réponse au journal ODF et Microsoft Office 2007 SP2 (suite et surement pas fin). Évalué à 2.

    Encore un petit effort et vous pourrez convaincre les gens qui vous lisent de mettre à jour leur suite office le moment venu. Vous avez réussi dans mon cas, plus qu’à me convaincre de brader mon linux et à m’acheter la suite 2007 pour commencer. ;)

    Vous voyez mieux où est le troll ou il faut que je continue ?
  • [^] # Re: De la mauvaise volonté ?

    Posté par  . En réponse au journal ODF et Microsoft Office 2007 SP2 (suite et surement pas fin). Évalué à 2.

    H.S. : C’est marrant de ressortir un des principaux discours¹ que le monde du libre reproche aux logiciels propriétaires.

    ¹ « la version n + 1 est bien plus mieux, achetez ! Rachetez ! »

    P.S. : On aurait voulu troller qu’on ne s’y serait pas mieux pris…
  • [^] # Re: De la mauvaise volonté ?

    Posté par  . En réponse au journal ODF et Microsoft Office 2007 SP2 (suite et surement pas fin). Évalué à 3.

    « Faut revenir a la realite hein, c'est des milliers et des milliers de lignes de code a ajouter, c'est le support du format non-standard d'OOo a maintenir pendant 10-15 ans »

    Honnêtement je ne suis pas programmeur, mais à priori le code qui enregistre ou lit les formules dans le fichier et différent du moteur chargé d’évaluer les formules. Il faut voir qu’au départ le commentaire parlait d’une différence de syntaxe pour trois pauvres crochets, et que vous parlez maintenant de milliers de lignes de code. Il faudra bien reconnaître que MS met de la mauvaise volonté à ne pas se caler sur ce qui se fait, même s’ils en ont le droit, quelque soit toutes les bonne excuses invoquées, tout autant qu’on peut reconnaître qu’ODF n’est pas parfait (enfin ça ne m’empêchera pas de dormir ce soir).
  • [^] # Re: Inter aussi

    Posté par  . En réponse au journal [HADOPI] L'Autre Économie ce matin sur Inter. Évalué à 2.

    Oups… me suis trompé quelque part :/
  • [^] # Re: Inter aussi

    Posté par  . En réponse au journal [HADOPI] L'Autre Économie ce matin sur Inter. Évalué à 2.

    Moi moi j’ai fait le calcul. (On s’occupe comme on peut !) C’est marrant à faire. :D Et au moins on tirera quelque chose d’utile de cette discussion.

    On a un fonctionnaire, 4 cas peuvent se présenter pour ses parents :
    — les deux sont fonctionnaires, probabilité p1 = .22×.22 ;
    — son père est fonctionnaire, mais pas sa mère, probabilité p2 = .22×(1-.22) ;
    — sa mère est fonctionnaire, mais pas son père, probabilité p2 ;
    — aucun n’est fonctionnaire, probabilité p3 = (1-.22)×(1-.22).
    Au final, on obtient p = p1×1/4 + p2×2/4 = 9,79 %
  • [^] # Re: configuration apt sur 2 dépots

    Posté par  . En réponse au journal Debian sur Asus EeePC 1000HE. Évalué à 7.

    Juste une précision, -t unstable exécute la commande comme si la distribution par défaut est, temporairement, unstable alors que =unstable installe simplement la version du paquet qui se trouve dans unstable. C’est une nuance importante quand il s’agit d’installer aussi les dépendances, dans le premier cas elles proviendront de unstable, dans le second apt essaiera de résoudre au mieux les choses.

    Petit commentaire sur le journal tant que j’y suis. Je ne connais pas /etc/apt/apt.conf.d/02default-release ni son rôle, personnellement je préfère /etc/apt/apt.conf dans lequel :
    APT::Default-Release "testing";
    Et en supplément, bien utile suivant ses habitudes :
    APT::Install-Recommends "true";
    APT::Install-Suggests "false";
    Si quelqu’un qui connaît mieux Debian que moi pouvait m’éclairer concernant les deux fichiers et leurs rôles respectifs…
  • [^] # Re: point 3

    Posté par  . En réponse au journal IHM et le libre. Évalué à 5.

    Sous kde/kwin, il mémorise la position et le bureau des fenêtres. Si la barre de tâches est trop occupée on peut demander à n’y mettre qu’une fenêtre. Sous fluxbox je sais qu’on peut lui faire mémoriser aussi la position. Sous ces deux gestionnaires de fenêtres, tout est bien rangé et aligné quand je lance Gimp.

    Deux pour le prix d’un ! :p Et nul doute que beaucoup d’autres le font aussi.

    Je préfère ça à la méthode Blender, qui est un vrai tiling window manager à lui tout seul (on est vendredi…).
  • [^] # Re: Encourageant mais...

    Posté par  . En réponse au journal Le mal qui ronge Microsoft: The Good Enough revolution. Évalué à 7.

    C’est beau la mauvaise foi…

    1/ Rien n’empêche à un utilisateur linux d’appliquer la « politique microsoftienne » et de ne faire les mises à jour que tous les X jours…

    2/ Vous êtes en train de critiquer parce que la mise à jour n’est pas réellement appliquée dans les 30 secondes qui suit la mise à jour. Mais au moins la mise à jour est disponible ! Ensuite un reboot de temps à autre à la fréquence que l’utilisateur a choisi se charge de remettre le système à jour au propre au cas où des libs traîneraient en cache.
  • [^] # Re: Inter aussi

    Posté par  . En réponse au journal [HADOPI] L'Autre Économie ce matin sur Inter. Évalué à 6.

    « La musique produite par des gens n'est pas un bien publique ! »

    Ça se discute : « Le livre, comme livre, appartient à l'auteur, mais comme pensée, il appartient - le mot n'est pas trop vaste- au genre humain. Toutes les intelligences y ont droit. Si l'un des deux droits, le droit de l'écrivain et le droit de l'esprit humain devait être sacrifié, ce serait, certes, le droit de l'écrivain, car l'intérêt public est notre préoccupation unique et tous, je le déclare, doivent passer avant nous. » (Victor Hugo)

    « Ce postulat de départ est important. »

    Non, d’où l’existence du domaine publique. Le droit d’auteur n’est fondamentalement rien d’autre qu’une « exclusivité » accordée et limité dans le temps. Il représente un compromis entre l’intérêt du public à ce que la création artistique s’épanouisse et l’intérêt des artistes à créer et diffuser leurs œuvres.
  • [^] # Re: je suis d'accord, mais

    Posté par  . En réponse au journal [HADOPI] Le point de vue de Jacques Attali. Évalué à 2.

    « tes délires racistes
    “Re-gni!
    T'as fumé quoi là ?“ »

    Je crois que le monsieur ne connaît pas La Fontaine.
  • [^] # Re: Une bonne blague ?

    Posté par  . En réponse au journal Vente liée. Évalué à 3.

    Ce n’est plus du tout le même service. Pour preuve par l’absurde, si la version OEM et la version boîte étaient identiques, pourquoi vouloir à tout prix que la version OEM soit vendue avec du matériel, et pas la version boîte ?
  • [^] # Re: Une bonne blague ?

    Posté par  . En réponse au journal Vente liée. Évalué à 2.

    Voulez vous dire que la licence est contradictoire avec la loi qui interdit la vente liée ?

    « Si tu veux l’acheter séparément, tu violes » une clause illégale de « la licence. » Point.

    Et oui on est libre d’acheter séparément l’un et l’autre, et c’est la loi qui le garantit (en théorie :().
  • [^] # Re: Kôôôa? Les utilisateurs ne veulent pas être experts??

    Posté par  . En réponse au journal Au secours! Mark Shuttleworth veut simplifier les logiciels !. Évalué à 2.

    Quelque soit la route et le chiffre sur les panneaux, le code oblige dans ce cas là à descendre en-dessous de 50 km/h (voire 10 km/h, je ne m’en rappelle pas bien).
  • [^] # À propos de PulseAudio...

    Posté par  . En réponse au journal fglrx on a real-time kernel. Évalué à 1.

    Que reproche-t-on à ce logiciel ? Je trouve qu’il tourne très bien. Même si je me borne à seulement écouter de la musique (pas de MAO, etc.) j’aurai plutôt tendance à remettre en cause gstreamer ou xine ou … Bref tout ce que je sais c’est que je constate des micro-coupures, des ralentissement ou des accélérations, et ça ne supporte pas que l’ordinateur soit en charge. Par contre quand j’utilise mpd (avec Pulse toujours) ça tourne du tonnerre !

    J’en tire la conclusion que ce n’est certainement pas Pulse qui est à remettre en cause.
  • [^] # Re: The Elements Of Style: UNIX As Literature

    Posté par  . En réponse au journal Au secours! Mark Shuttleworth veut simplifier les logiciels !. Évalué à 5.

    Concernant la mémoire, il faut quand même bien se rendre compte qu’on retient un gui. Il est facile de constater qu’une personne qui a déjà utilisé telle ou telle gui ne lit plus le texte qui s’y trouve, et c’est selon moi une des principales réticences à changer de système/logiciel. Je vois mal la différence avec la cli à ce niveau là. C’est juste que les gens en ont moins conscience.
  • [^] # Re: The Elements Of Style: UNIX As Literature

    Posté par  . En réponse au journal Au secours! Mark Shuttleworth veut simplifier les logiciels !. Évalué à 8.

    « Le tout fait intensement appel a la memoire. »

    … ou les touches du clavier : m. a. n. Pour la petite anecdote, j’ai eu un contrôle sur table, la question demandait la description d’une option, ne connaissant pas la réponse j’ai bravement écrit man machin, et j’ai eu mon point. :) Généralement --help suffit et est moins indigeste.

    « Quand l’informatique n’est qu’un moyen […] et pas une fin en soi » on utilise la ligne de commande parce que ça permet de laisser à l’ordinateur les tâches répétitives en ennuyantes, mais c’est sûr qu’il faut réfléchir 30 s avant de lance la commande. Au bout de quelques replace ça vaut le coup de se mettre à sed.

    Voilà, on peut en tirer les conclusions inverses avec les prédicats de départ…

    Bref, je n’ai pas envie de systématiquement séparer gui de cli, ça dépend du temps passé à une tâche donnée, c’est surtout une affaire de compromis, et ça seul l’utilisateur sait… Vouloir limiter la gui forcera l’utilateur à utiliser la cli paradoxalement.

    Malgré ça je fais partie des rares qui préfèrent la cli, taper des mots et des phrases me semblent plus naturel et surtout moins frustrant (« ah me*** l’option était pas dans ce menu, peut-être dans celui-ci », etc.) que la gui, à condition de connaître un minimum le langage (une centaines de mots à tout casser ?)
  • [^] # Re: Mes réponses à tes questions à ses réponses

    Posté par  . En réponse au journal Faisceaux de questions à Eric Raymond ?. Évalué à 2.

    def print_free():
        print('Affirmation complètement gratuite.')
        print_free()


    Moi aussi je peux participer à la discussion ? :)
  • [^] # Re: non vraiment, je n'arrive pas à comprendre

    Posté par  . En réponse au journal HADOPI rejeté, mais de façon démocratique?. Évalué à 2.

    La propriété intellectuelle n’est pas la propriété.

    Autre amalgame, bien plus dangereux que celui sur les pirates qu’on prend bien soin d’entretenir. Pour mieux faire passer celui sur le vol ?

    C’est celui-ci qu’il faut dénoncer. Et pour s’en convaincre, allez voir sur le net, le récent billet d’Éolas et on trouvera facilement d’autres ressources, qui indiquent les spécificités de la propriété intellectuelle.
  • [^] # Re: Dommage

    Posté par  . En réponse à la dépêche Logram, environnement de bureau totalement différent, fête ses 1 ans.. Évalué à 2.

    D’un autre côté, quand on code, les mot-clefs sont en anglais, les variables se retrouvent bien souvent en anglais (je ne suis pas une lumière en anglais, mais c’est une langue bien plus concise que le français, genre « set, get »). Et enfin la documentation des bibliothèques est bien souvent en anglais. Alors plutôt que d’alterner, ce qui au final rend le français des commentaires tout aussi catastrophique que l’anglais (un mixage des deux, un régal à relire), je passe tout en anglais.

    Quant à faire appel à ma fibre patriotique/linguistique… je la cherche encore…

    Et :
    1/ On paie un traducteur si nécessaire, un projet libre n’a pas forcément les moyens, et plutôt que de faire appel à un volontaire autant faire le boulot soi-même tant que ça ne coûte pas trop. De plus, comparer une œuvre littéraire à des phrases qui n’ont qu’un intérêt d’explication est très litigieux.

    3/ «les personnes intéressées feront la démarche de lire la doc, pas les autres, et bon vent... » bien pour les personnes intéressées il faut qu’ils apprennent le français ? Je doute que ce soit une bonne stratégie si on veut attirer du monde sur le projet, mais tout dépend de l’orientation que donne les auteurs principaux au projet, c’est à eux de faire le choix.
  • [^] # Re: J'aime pas les %

    Posté par  . En réponse au journal Il faut sauver le soldat %. Évalué à 1.

    Ou éventuellement (vu qu'en py3k, ça ne passera sans doute pas) faire des concaténations de chaînes.
    Surtout oh surtout au grand jamais malheureux sinon autant faire du php /o\


    Comment on fait quand les chaînes sont relativement longues, contiennent plus de trois variables tout en gardant le code relativement visible (ie. en gardant l’ordre dans lequel apparaissent les éléments dans la chaîne) ?
  • # À propos des brevets

    Posté par  . En réponse au journal MS attaque TomTom et Linux (putain de brevets). Évalué à 3.

    Quelques précisions qui peuvent être utiles je pense à ce que j’ai pu lire.

    Déjà tout a été normalisé au niveau international, ce qui s’applique ici s’applique de même à peu de chose près dans le monde entier. Ensuite le site de l’INPI est le site de référence.

    Les trois conditions pour qu’un brevet soit exploitable juridiquement :
    — nouveauté (pas d’antériorité) ;
    — inventivité (cela ne doit pas faire partie de « l’état de l’art ») ;
    — application industrielle (doit être exploitable dans l’industrie).
    Seule la première condition est vérifiée lors d’une demande de brevet, de façon non-exhaustive (et c’est ça qui coûte cher au passage : 500€). À charge du tribunal de vérifier les deux autres, surtout la deuxième en fait, sujette à interprétation, la dernière étant remplie de fait (si on conteste un monopole d’exploitation, c’est bien parce qu’il y a quelque part des sous à y gagner), et la première étant vite pliée si on trouve une antériorité solide. Que les entreprises en abusent c’est bien dommage, mais comment faire autrement ? Ce serait mission impossible de vérifier exhaustivement ne serait-ce que le premier critère.

    Le brevet est une bonne chose en soit : on accorde un monopole limité, et en contrepartie l’auteur publie toutes les informations nécessaires, pour favoriser la diffusion du savoir. Les brevets sont limités géographiquement, cela signifie que dans tous les pays non-couverts, on a accès au brevet et on peut en faire tout ce qu’on veut. Le gros problème selon moi est que l’informatique dispose déjà d’un mécanisme de protection de « propriété intellectuelle » via le droit d’auteur, et accessoirement la durée de vie d’un brevet devrait être en rapport avec la durée de vie moyenne d’une techno. ou d’un produit dans le domaine considéré.

    Plutôt que de crier en bloc contre les brevets, on aurait tout à gagner à rappeler simplement que ce n’est pas un titre de propriété, et qu’à défaut d’être abusif, on peut à tout moment l’invalider, bref : il ne garantit aucun droit (Microsoft le sachant très bien préfère fuder plutôt que de donner les références précises).
  • [^] # Re: La seule expérience Python de ma vie

    Posté par  . En réponse au journal Python, langage de l'année pour la seconde année consécutive. Évalué à 6.

    D’un autre côté, pour quelqu’un qui a appris le Python avant le C/C++, il rétorquera qu’en Python on est pas obligé de mettre des accolades… Honnêtement j’ai eu du mal aussi avec l’indentation, mais il faut bien reconnaître que ça vaut une autre méthode pour identifier les blocs d’instructions, avec l’avantage de rendre le code un peu moins verbeux.

    M’enfin, s’arrêter à ce genre de détail pour un langage ne vaut pas grand chose. Personnellement j’ai commencé Python environ une semaine avant le journal sur Linux Magazine (le hasard fait bien les choses:) et je ne comprend pas cette tentation que tout le monde a de comparer les différents langages. Chacun a ses avantages/inconvénients, ce qui permet de s’adapter en fonction de ce que l’on a à faire. Je vois bien le C pour des traitements « lourds, » le Python pour le post-traitement qui a besoins de calculs ou alors le Bash, le Perl (faudrait vraiment que je sois obligé là… question de goût) pour du traitement plus « textuel » que numérique. Ceci n’est qu’un exemple.

    Pourquoi vouloir à tout prix établir un classement ? Ça n’a vraiment pas de sens, tout simplement suivant l’usage l’un est plus adapté que l’autre.
  • # Sécurité et patchs

    Posté par  . En réponse à la dépêche Debian GNU/Linux 5.0 : Lenny. Évalué à 10.

    Bonsoir,

    Il y a quelques temps il y a eu un problème avec un patch de Debian dans OpenSSL [1]. Plus un mot depuis, n’ayant ni les compétences ni le temps de suivre l’affaire, est-ce qu’une personne mieux renseignée pourrait m’éclairer sur les suites qu’il y a eu suite à ce problème. J’entends par là, est-ce que l’organisation a été revue concernant certains paquets « à risques » (je fus très étonné que des paquets style OpenSSL ne suivent pas une procédure plus drastique — plusieurs relectures indépendantes, etc.) ?

    Bref, est-ce que chez Debian ils ont su tiré des leçons de cette « petite mésaventure » ?

    [1] https://linuxfr.org//2008/05/15/24092.html
  • [^] # Re: La Quadrature du Net vs HADOPI

    Posté par  . En réponse au journal « Ordinateurs : attention au trou de mémoire ». Évalué à 1.

    Le dépôt légal est obligatoire, toutes les œuvres s’y retrouvent. Quant à assurer la pérennité des données via Internet… j’attends de voir ça (Internet est dans sa plus simple expression qu’un réseau, assurer la diffusion, oui, la pérennité, non — comment garantir la « duplication des sauvegardes » ?).