La team "on est pas à 10Mo près et à 100ms près" me déprime.
Je travail moi aussi dans l’informatique bancaire, avec des techno. “très vieilles”.
Très régulièrement, je travaille sur des données qui passent par le mainframe ET des techno plus “modernes”.
Autant dire que j’ai pas mal d’occasions de constater les dégâts de la team. Moi je me marre dans mon coin. Il y a même pas deux semaines ils étaient en panique totale pour à peine 10k de données ; très innocent : « ah bon! ici c’est passé crème… »
Faut pas déprimer, sinon c’est un coup à se tirer une balle dans ce métier. Parce que dans mon cas ça a été du taf en plus pour leur connerie. Donc la prochaine fois que je vais traiter un volume inhabituel de données, je vais leur envoyer un petit mail bien mignon pour me foutre un peu de leur gueule… :-°
Y’a aucun match, il l’a lui même avoué. Le fait que ça puisse encore être mis en débat est aussi une preuve des mentalités plutôt arriérées sur ce site…
Le fait aussi de réclamer qu’on vous mâche le travail, alors que 10s de recherches suffisent…
Au passage, puisqu’on est sur un site de mec, qui parlent entre mecs, et que par conséquent je me fais moinser parce que ça dérange. Je précise qu’Astronogeek n’est pas un cas isolé. Il y a eu DirtyBiology, ExperimentBoy…
Ce que j’ai cru comprendre c’est qu’une partie de la communauté trouve problématique les positionnements et fréquentation des vidéos d’astronogeek
Astronogeek dépasse, et de très loin, ce qui se joue autour de l’esprit scientifique et des méthodes de vulgarisation ; on a un mec qui décrit et justifie un viol.
Les pipes sont unidirectionnels. Autant utiliser des sockets UNIX si on veut émettre et recevoir entre processus. Et autant utiliser des sockets réseau si on veut faire communiquer deux machines.
Que ce soient pipe, anonyme ou nommé, ou socket, UNIX ou réseau, ça reste très basiquement des fichiers qu’on lit ou on écrit. Ça se voit pas forcément sur un langage type Python, mais en C on se retrouve dans tous les cas avec un file descriptor qu’on peut passer aux commandes read & write.
Voilà c’est cool de faire une dépêche sur les pipes. Mais là le cas d’usage est celui qui justifie d’utiliser du socket (UNIX ou réseau).
À la limite, le cas présenté relève de la petite astuce pour transformer un programme qui communique localement en un programme qui communique à travers le réseau.
Posté par PR .
En réponse au lien Le retour d'e-penser.
Évalué à -6.
Dernière modification le 30 août 2022 à 19:21.
La majorité en anglais… pas du tout le même public (David Louapre peut être assez ardu tout comme Lê que tu ne cites même pas).
Mais bon il fallait se faire Bruce qui lui touchait masse d'audience, un public probablement plus jeune et plus néophyte, grâce à son sens de la narration.
Faire semblant ne pas avoir compris qu'Aristote c'est un running gag, comment dire… (et phi est faible sur ses arguments et de mauvaise foi là-dessus).
La vulgarisation a perdu un passeur et surtout quelqu'un qui était capable d'amener un public peu réceptif à priori. Encore une fois : bravo les cons !
Mais j'ai l'impression qu'en fait c'est ça qui lui est reproché.
Oh! et les autres aussi disent des conneries. Juste qu'il faut avoir un peu le niveau…
Bah si, ça montre que tu sais pas de quoi tu parles, et que t’as (manifestement) toujours pas compris. Tu confonds PDG, actionnaire, CA, assemblée. Une personne peut avoir plusieurs casquettes, mais chacun de ses rôles est bien distincts.
Par exemple un PDG est soumis au CA (enfin… le P signifie président du CA, tandis que le DG lui est bien l’exécutant du CA), CA qui est soumis à l’assemblée des actionnaires.
Il en résulte qu’un actionnaire majoritaire peut se nommer lui-même comme PDG. Un DG a un contrat (il est souvent un employé comme les autres…) qui peut stipuler certaines règles de rémunérations (notamment sur les actions) mais il n’y a absolument aucun contrat rattaché aux actions qu’il possède hors sa rémunération.
Tu mélanges allègrement le tout. On est dans du pur droit. Ça demande un peu de rigueur. Il y a effectivement des contraintes pour un PDG (ou tout autre haut cadre) s’ils veut vendre ses actions : par exemple il est au courant avant les autres actionnaires, car PDG, d’une évolution future du marché et en profite pour passer des ordres à son avantage sur le marché. C’est le délit d’initié (coucou Pénicaud \o/) mais c’était pas le sujet que je sache !
Après si tu me dis que dans les statuts ou le montage juridique mis en place par Bezos ou autres il y a dans ce cas particulier une règle qui l’empêche de tout vendre. Ok. C’est possible (tout particulièrement s’il n’est pas en majorité relative et que l’assemblée des actionnaires a donc pu mettre en place un mécanisme de contrôle, sinon je vois pas l’intérêt de s’auto-interdire des actes de vente). Mais dans ce cas là faut venir le prouver. Dans le cas général c’est tout simplement et purement faux.
Entendons-nous bien : c’est de la propagande qui vise à entretenir la confusion auprès du grand public et protéger les milliardaires. Bon j’arrête là. Si t’as toujours pas compris, je considèrerai que t’es de pure mauvaise foi (pour preuve : tu n’utilises plus le même argument, d’un purement économique tu passes à une contrainte qui serait contractuelle — que tu viens probablement d’inventer ceci dit). D’ailleurs j’aimerai bien savoir d’où viennent tous ces arguments à la con qu’on voit constamment, qui sont complêtement pêté dès lors qu’on connaît un peu les sujets abordés : c’est quoi tes sources ?
Le conseil d’administration (CA) d'une société anonyme est constitué de trois à dix-huit membres4 qui sont appelés « administrateurs »5. Ils sont nommés par l’assemblée des actionnaires. Cependant, dans le cas des grandes entreprises de plus de 5 000 personnes, les modalités de désignation du ou des deux administrateurs salariés sont fixées par cette même assemblée générale6. De plus, l'assemblée des actionnaires peut révoquer « ad nutum » un administrateur, ce qui signifie ici sans préavis, ni motif, ni indemnité7.
Une action est un titre de propriété délivré par une société de capitaux (par exemple une société anonyme ou une société en commandite par actions). Elle confère à son détenteur la propriété d'une partie du capital, avec les droits qui y sont associés : intervenir dans la gestion de l'entreprise et en retirer un revenu appelé dividende.
Les droits sociaux donnent à l'actionnaire le droit de participer aux décisions de l'assemblée générale de la société, notamment l'élection des membres du conseil d'administration (ou dans certains cas le « conseil de surveillance »), la distribution de dividendes ou encore toute décision relative à la société ne faisant pas partie de la gestion journalière laissée à l'appréciation du conseil d'administration.
(wikipedia)
Le droit de vote est attaché à l’action. Le vote est proportionnel à la quotité du capital que représente chaque action et ainsi une action donne droit à au moins une voix.
Depuis le code des sociétés et des associations, le principe de “1 action = 1 voix” est maintenu, mais il est désormais possible d’y déroger. Si les statuts ne prévoient rien, chaque action dispose d’une voix. Mais les statuts peuvent y déroger.
Il est ainsi possible:
d’accorder à certaines actions :
un droit de vote multiple (par exemple, uniquement aux fondateurs, aux actionnaires actifs, en fonction du type d’assemblée générale, en fonction du type de décisions envisagées, en fonction de certains paramètres);
un droit de vote multiple conditionnel (par exemple en fonction de l’âge, à l’atteinte de certains objectifs…).;
un double droit de votre récompensant la loyauté dans la détention d’actions;
de prévoir des actions sans droit de vote (pour autant qu’il y ait au moins une action à laquelle est attachée un droit de vote).
Bon je reviendrai pas sur le tas d’ânerie dont le debunk a été anticipé par l’auteur du journal et celui du site.
Mais j’ajouterai un truc.
Même la vente de 100% des actions d’un actionnaire majoritaire est totalement possible.
C’est tout simplement une vente d’entreprise. Il suffit de trouver un repreneur.
Le cours de l’action, suite au rachat, peut très bien aller à la baisse comme… à la hausse.
Le prix de rachat sera beaucoup moins influencé par les fluctuations du marché et/ou la spéculation, et donc probablement un plus juste reflet de la valeur économique intrinsèque d’une entreprise.
Le cas des startup est un peu particulier, dans le sens où il s’agit d’être suffisamment menaçant vis-à-vis d’un monopole pour le pousser au rachat. Dans ce cas le prix de l’entreprise est bien plus fonction de l’estimation du risque et du coût de la concurrence (guerre des prix, etc.) par le monopole.
L'auteur inclut aussi un argumentaire contre la remarque classique qui consiste à dire que ces fortunes sont virtuelles et ne peuvent pas être utilisées en réalité, argumentaire étayé par l'actualité, quand le 10 aout 2022, Elon Musk a vendu pour environ 7 milliards d'USD d'actions Tesla.
Il parle essentiellement de la liquidité d’un placement. C’est assez connu que les actions, du fait de leur volatilité sont moins liquide. Cependant il passe à côté du principal.
Un placement en action est une utilisation effective de son argent. Du moins quand on est actionnaire majeur, voir actionnaire principal : cet argent placé est utilisé en tant que tel comme instrument de pouvoir. Être actionnaire majeur d’une entreprise c’est en premier lieu décider et ordonner la stratégie de l’entreprise, et nommer ceux qui auront en charge d’appliquer les directives.
C’est ça le capitalisme : le capital a le pouvoir.
PS : les riches mettent jamais toutes leurs billes dans le même sac, immobilier, marché de l’art, obligations, matières premières (hum… inflation me vois-tu?), etc. permettent de sécuriser la fortune et de rendre plus liquide les placements.
Par contre pour la population, on enlève le seul placement liquide qu’ils avaient (livret A et assimilé).
Nos traitements : un pouillème de secondes (avec en entrée du CSV). Derrière l’équipe qui poursuit (avec du xml je crois, sur un volume partiel) voit les machines partir en carafe…
Arf, désolé, difficile de déceler l’ironie à l’écrit et je regarde pas trop qui l’auteur.
Pour l’informatique dans la recherche, je connais j’ai été thésard ^^ la problématique y est différente. L’utilisateur est le développeur, c’est du code plus ou moins “jetable”, constamment en évolution (propre à un travail de recherche), avec des enjeux très largement réduits (à l’inverse un hôpital s’est bien fait rançonner récemment, malgré tout).
Ceci dit j’utilisais aussi à l’occasion du code plus professionnel, typiquement dans les librairies ou certains codes à vocation plus généraliste. Et c’est là où j’ai pu voir parmi les meilleurs sources qui m’ait été donné de lire : claires (malgré la complexité du sujet traité), maintenues, qui suivent des normes précises, API bien définie (c’est important dans un code scientifique). Ce genre de code faisait l’objet de publication (et donc d’une procédure de validation scientifique).
C’est tout le contraire que j’ai dit. Je garantis que ça ne pête pas (et je corrige si c’est le cas).
Par contre ce que je garantis est sur un périmètre délimité. Parce qu’un codeur c’est pas un dieu omnipotent qui va t’apporter le café, te cirer les pompes et te s**** la b***.
Mais bon, t’es bien dans la mentalité des c*** que je rencontre au taf’ qui se disent qu’ils vont remplacer leur incompétence ou leur absence de travail (ceux qui lisent pas la doc, sont aussi ceux qui ne l’écrivent pas ceci dit en passant…) par leur grande gueule (et accessoirement leur copinage avec le chef).
Puis c’est pratique quand on est presta’ de pas faire de doc, ça permet de tenir le client par les c*******… Et aux collègues de faire le rétro-ingeniering comme ça on pourra médire sur leur lenteur.
D’où la documentation, la rigueur sur le périmètre couvert et ce qui n’est pas spécifié, etc.
Soit tu as spécifié que sqrt(-2) doit renvoyer NaN et tu t’y tiens, soit tu n’as rien spécifié du tout pour les nombres négatifs et si tu casses un code utilisateur, c’est sa merde pas la tienne.
Mais bon, c’est has been de travailler comme ça. La méthode gruik c’est tellement plus rapide…
Quand à rendre un résultat parfait, ce n’est pas le sujet : on écrit tous du code buggué, mais au moins les spécif. donnent une bonne base de discussion (et souvent d’argumentation, éventuellement un peu musclée…) pour savoir ce qui est erroné ou pas.
Et surtout pour savoir QUI doit corriger le bug ; je sais pas comment vous faites dans le monde pro avec une groses base de code à faire évoluer et à maintenir… (et pour la petite blague : quand vos utilisateurs sont plus que 1, pas d’accord entre eux, et prêt à s’écharper pour avoir le dernier mot…)
Ou alors tu fais des interface propres et pérennes. Ce qui est un effet de bord d’un bon travail de conception qui prend en compte la maintenance dès l’élaboration du projet.
Si changement d’API, changement de headers, avec phase de transition éventuelle (gérée dans le cadre d’une maintenance).
Posté par PR .
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Dernière modification le 15 août 2022 à 21:47.
Il n’y a pas d’argumentation sur ce point car tu fais un homme de paille. En psy. on va plutôt, très grossièrement, mettre un curseur. Seulement y’a des curseurs qui vont être très, très à l’extrême chez certaines personnes. Lorsqu’on atteint un seuil, alors le qualificatif est amplement mérité.
Voilà comment ça fonctionne.
Quand le discours est aussi caricaturalement extrême (ou extrêmement caricatural?) y’a pas besoin d’enculer des mouches…
Après les phrases toutes faites qui énoncent des truismes ou des généralités très vagues, du style “la réalité est plus nuancée que ça” (ça quoi?) &co. Comment dire ? J’exècre au plus haut point.
Libre à toi de nuancer mon propos dans ce cas. Qu’est-ce qui, dans le cas d’espèce présentement est à nuancer ? Quand môssieur te dit “la batterie de mon téléphone a duré 2 jours, c’est l’Univers qui m’envoie un message” (je caricature à peine) tu trouves qu’il est nuancé comme discours ? Explique-moi donc.
Voilà toi, par exemple, tu tiens typiquement un discours donneur de leçon. Tu vas me dire moi aussi. Oui. Mais moi je sais de quoi je parle. Toi non. Ça t’enquiquine un poil. Du coup tu en es réduit à me sortir des trucs bateau (et quelques sales préjugés qui traînent au passage, ce n’est qu’une forme de classification, assez méchante au demeurant).
Posté par PR .
En réponse au journal Le paranormal en informatique.
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Dernière modification le 13 août 2022 à 12:17.
Ben non. On est tous confrontés un jour ou l’autre à des phénomènes ou des choses qu’on ne s’explique pas. Ce n’est pas une question de capacité intellectuelle. Le truc c’est qu’en fonction du contexte ou de la personnalité de la personne, on va s’investir plus ou moins fortement pour résoudre ce qui nous apparaît comme une énigme. Mais tôt ou tard, on va aussi lâcher l’affaire, accepter de ne pas savoir, et passer à autre chose. Tout simplement.
Tu as ce préjugé tenace autour des maladies psychiatriques, l’idée sous-entendue dans ton commentaire d’une retard mental et/ou d’un manque d’apprentissage, de connaissances, etc.
C’est tout simplement faux de dire que les problèmes psychiatriques viennent d’un problème de compréhension et/ou de savoir (cela relève en réalité de préjugés de classe, linuxfr, sa population de cadre bac+5, tout ça…) Tout au plus la culture et des capacités intellectuelles élevées rendent plus difficile la détection d’un problème psychiatrique. Parce que le discours sera plus élaboré, voir intègrera des fragments de pensée tout ce qu’il y a de plus rigoureux (notre JPP national est un cas dans son genre… l’âge n’arrange rien à l’affaire).
La capacité à se remettre en question, à tenir compte du témoignage et/ou de l’avis de l’autre est à mon sens essentiel pour prévenir les maladies mentales ou du moins limiter très grandement leur impact sur la qualité de vie. D’une manière générale pour le bon équilibre psychologique d’une personne.¹ Je considère à contrario que la promotion du narcissisme et des comportements associaux sont un problème de santé publique (qui n’empêche pas et va de pair avec, paradoxalement, un extrême conformisme et un rejet ve tout écart à la norme).
C’est d’autant plus vrai dans le cas présent ici ; j’ai rajouté un PS exprès pour signaler qu’il n’y a pas d’hallucinations ici, donc à priori ce n’est pas de la schizophrénie, j’ai donné même le terme exact : c’est de l’apophénie. C’est-à-dire, très explicitement, une forme extrême de pensée égo-centrée. Ce n’est pas binaire que de dire cela, ça s’appelle classifier, catégoriser.
Si je dis ça c’est aussi parce que j’ai en tête des témoignas précis, typiquement un schizophrène qui a accepté sa maladie a la capacité à distinguer les hallucinations de la réalité, dans une certaine mesure. Le point clef c’est vraiment l’acceptation et c’est ce qu’il y a de plus difficile dans ce genre de maladie.
Je ne peux que conseiller de voir ou revoir l’excellentissime A wonderfull mind.
———
¹ En fait se soumettre excessivement aux injonctions sociales, c’est de la névrose. Ça peut aussi devenir un problème de santé mentale.
PS : la schizo, comme le manque d’oxygène, provoque des hallucinations.
Ici il s’agit de phénomènes tout à fait réel (un bug d’une appli ou tout simplement un historique effacé après un certain temps, un smartphone qui se met en veille profonde, etc.) ; par contre le fonctionnement cognitif est clairement détraqué.
Par exemple :
En psychiatrie, une apophénie est une altération de la perception qui conduit un individu à attribuer un sens particulier à des événements banals en établissant des rapports non motivés entre les choses. Tout lui paraît avoir été préparé pour lui : pour tester s'il remarque ces bizarreries, etc.
Le diagnostic est une science difficile, surtout à travers des commentaires sur Internet xD.
Posté par PR .
En réponse au journal Le paranormal en informatique.
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Dernière modification le 12 août 2022 à 22:06.
Tiens, j’étais en train de regarder une vidéo où un alpiniste décrit les effets de la haute altitude. J’ai repensé au message initial. La 1ère pensée qui m’est venue, c’est que les uns ont l’humilité de reconnaître que leur sens peuvent défaillir, et savent gérer les limites de leurs corps (et donc de leur esprit), tandis que les autres sont juste… trop imbus d’eux-mêmes pour reconnaître leurs limites, et vont rationaliser après coup ce qu’ils ont vécu.
C’est évidemment très particulier. La montagne c’est l’école de l’humilité. Quoi qu’on en dise par ailleurs.
Les démarches qu'ils auront à faire ne leur plairont sans doute pas, à savoir insister pour que tu sois correctement pris en charge et suivi. Or il est possible que tu aies finalement une vie moins stressante car des traitements existent, bien qu'il puisse te paraître légitime de les refuser. La science a énormément progressé dans la prise en charge de ces dysfonctionnements et permet d'offrir une vie relativement apaisante. Le moins évident est de faire confiance car c'est bien là tout le problème: comment peut-ont être certain de pouvoir faire confiance à des gens qui nous croient "fou"?
Je ne suis pas qualifié pour faire quelque diagnostic que ce soit et il est logique que tu prennes mes propos avec d'énormes pincettes. Je ne peux que te recommander de garder la foi en tes proches et de leur faire confiance.
J’ai moinsé le message original, justement pour pas laisser croire que son histoire avait une quelconque pertinence ici, surtout sur un site comme Linuxfr, dédié à l’informatique, surtout sur un site qui a déjà un certain passif en la matière, un site dont les modérateurs ont beaucoup à se reprocher sur ce point (d’ailleurs un nouveau compte créé pour poster ce message, et qui fait comme s’il connaissait les us & coutumes du coin… hum…). Enfin bref. On va pas déterrer les vieilles histoires…
Mais je ne peux qu’abonder sur ce que tu viens de dire. Ne pas prendre à la légère ce genre de situation, ne pas les encourager, pousser à accepter sa maladie. La schizophrénie, typiquement est biologique à ma connaissance, et on peut presque vivre normalement avec, lorsqu’on l’accepte, à condition de l’accepter.
Mouai, faut pas trop insister sur la largeur des pages LaTeX, très critiquable. À la base c’est de la place réservée aux notes de marges. Or la pratique de la glose est devenu très marginale, sinon absente, dans l’édition moderne ; ce choix me paraît injustifiable (utiliser le package showframe pour se rendre compte du problème). Dans l’édition pro on ne voit jamais de telles marges… (par contre on fait du multi-colonne au besoin). Sans compter le gaspillage de papier.
La justification de la marge LaTeX est un exemple typique de rationalisation à postériori d’un choix foireux.
Sur la lisibilité on doit distinguer écran (peu compatible avec l’empattement sauf haute définition — 300dpi) et papier, sur papier il faut aussi encore s’assurer de la qualité de l’impression (définition ET SURTOUT la profondeur du noir du fait du contraste plein–délié) pour pouvoir utiliser des fontes “modernes” (style celle de CM/LM de LaTeX, Didot, Bodoni, etc. très classieuses en vrai avec une belle impression). C’est une des raisons qui me font préférer la Garamond Premier qui, par vocation, se satisfait de moyens d’impression plus rudimentaires, mais elle est dégueulasse sur un écran low-res. Là encore le choix par défaut de TeX est malheureux pour des moyens d’impressions personnels (et même pour de l’édition pro à bas coûts) ; mais là au moins il est justifable par le but assumé de TeX : faire de l’édition de qualité.
Perso, je suis pas fan des fontes qui essaient de satisfaire tous les usages. Déjà les fontes sans empattements c’est moche à la base — destiné aux textes à impacts : pub, logo, slogan, etc. —, mais leur généralisation abusive a largement réduit leur effet impactant (trop communes & ordinaires au final). Pourtant les sans ont leur intérêt, si bien intégré dans un visuel qui leur convient. En informatique on les utilise par nécessité, faute d’une définition suffisante. Avec la démocratisation de la 4k j’espérais que leur usage se réduirait un peu. D’autant que les Garamond sont par essence des fontes qui s’autorisent une lisibilité convenable pour de l’écran hires (je force présentement l’affichage en premier pour le web). Au moins l’idée d’en faire une version sans est bien vue, ça sort du côté très impersonnel et froid de la plupart des sans.
Après, Lualatex, Xetex, c’est bien gentil, mais c’est trop long à compiler… j’ai besoin d’un cycle édition-visualisation rapide (beaucoup de math bien moches…). Perso j’ai abandonné et suis du coup revenu à pdflatex et la Latin Modern à fortiori (affichage à l’écran dégueu mais imprimante laser en qualité haute ça devient correct). De plus, pour le maths faut trouver une fonte compatible et de qualité. Difficile. (avec la garamond premier, il est esthétiquement impossible d’écrire des math avec la LM ; je prend fourier souvent). Bref, je pense qu’il vaut mieux définir avant la destinée de son document, puis choisir une fonte en conséquence.
Pareil, pas fan de la pratique qui consiste à choisir des fontes différentes pour la titraille : normalement une fonte de qualité est fournie avec une version titraille (ce n’est pas une version “zoomée”, par exemple les traits sont plus fin, comme avec la Cormorant explicitement destinée aux titres, la largeur et l’espacement des lettres sont différents, etc.). Ça participe à l’homogénéité du document et ça évite les fautes de goûts (sauf à s’y connaître, et je range la pratique du sans=titres de section et serif=texte de labeur comme une faute de goût :p). Le document sera visuellement structuré grâce à une titraille qui se distingue graphiquement parlant (jeu sur l’espacement vertical et le gris typo).
Il s’avère que les femmes sous lesquelles j’ai bossé avaient bien moins de complexe de supériorité. Donc ouai, bien moins besoin de faire de la lèche pour être reconnu à sa juste valeur. C’est même flagrant.
Le cas que je connais présentement est caricatural : même boîte, même équipe, tout à l’identique. La manageuse part en retraite, le manageur qui la remplace arrive. Du jour au lendemain, plus de projets, je suis limite au placard. Et je sais pas m’y prendre avec les supérieurs, le concept d’autorité m’est totalement étranger. Il m’a testé d’ailleurs, il m’a fait un coup de pute (vouloir me faire travailler un dimanche, en prévenant seulement une semaine à l’avance, via un mec qui n’est pas du tout dans la chaîne hiérarchique — mais qui est copain avec le dit manager, ce que j’ignorais bien sûr…). Alors qu’avec la précédente il m’est arrivé de m’engueuler… (c’était quelqu’un de très autoritaire).
[^] # Re: Si je puis me permettre ...
Posté par PR . En réponse à la dépêche Oubliez les web services, utilisez des tubes nommés. Évalué à 3.
Je travail moi aussi dans l’informatique bancaire, avec des techno. “très vieilles”.
Très régulièrement, je travaille sur des données qui passent par le mainframe ET des techno plus “modernes”.
Autant dire que j’ai pas mal d’occasions de constater les dégâts de la team. Moi je me marre dans mon coin. Il y a même pas deux semaines ils étaient en panique totale pour à peine 10k de données ; très innocent : « ah bon! ici c’est passé crème… »
Faut pas déprimer, sinon c’est un coup à se tirer une balle dans ce métier. Parce que dans mon cas ça a été du taf en plus pour leur connerie. Donc la prochaine fois que je vais traiter un volume inhabituel de données, je vais leur envoyer un petit mail bien mignon pour me foutre un peu de leur gueule… :-°
Mort aux cons !
[^] # Re: karenistes ???
Posté par PR . En réponse au journal Vulgarisation scientifique en vidéo et en français. Évalué à -9.
Y’a aucun match, il l’a lui même avoué. Le fait que ça puisse encore être mis en débat est aussi une preuve des mentalités plutôt arriérées sur ce site…
Le fait aussi de réclamer qu’on vous mâche le travail, alors que 10s de recherches suffisent…
Mort aux cons !
[^] # Re: karenistes ???
Posté par PR . En réponse au journal Vulgarisation scientifique en vidéo et en français. Évalué à -7.
Au passage, puisqu’on est sur un site de mec, qui parlent entre mecs, et que par conséquent je me fais moinser parce que ça dérange. Je précise qu’Astronogeek n’est pas un cas isolé. Il y a eu DirtyBiology, ExperimentBoy…
Mort aux cons !
[^] # Re: karenistes ???
Posté par PR . En réponse au journal Vulgarisation scientifique en vidéo et en français. Évalué à -10.
Astronogeek dépasse, et de très loin, ce qui se joue autour de l’esprit scientifique et des méthodes de vulgarisation ; on a un mec qui décrit et justifie un viol.
Mort aux cons !
# Mouai
Posté par PR . En réponse à la dépêche Oubliez les web services, utilisez des tubes nommés. Évalué à 10. Dernière modification le 01 septembre 2022 à 09:17.
Les pipes sont unidirectionnels. Autant utiliser des sockets UNIX si on veut émettre et recevoir entre processus. Et autant utiliser des sockets réseau si on veut faire communiquer deux machines.
Que ce soient pipe, anonyme ou nommé, ou socket, UNIX ou réseau, ça reste très basiquement des fichiers qu’on lit ou on écrit. Ça se voit pas forcément sur un langage type Python, mais en C on se retrouve dans tous les cas avec un file descriptor qu’on peut passer aux commandes read & write.
Voilà c’est cool de faire une dépêche sur les pipes. Mais là le cas d’usage est celui qui justifie d’utiliser du socket (UNIX ou réseau).
À la limite, le cas présenté relève de la petite astuce pour transformer un programme qui communique localement en un programme qui communique à travers le réseau.
Mort aux cons !
[^] # Re: Nan mais...
Posté par PR . En réponse au lien Le retour d'e-penser. Évalué à -3.
Lol cette fois il a foutu la référence avec la citation en grec. XD je suis plié. Il a la rancune tenace :)
Mort aux cons !
[^] # Re: Nan mais...
Posté par PR . En réponse au lien Le retour d'e-penser. Évalué à -6. Dernière modification le 30 août 2022 à 19:21.
La majorité en anglais… pas du tout le même public (David Louapre peut être assez ardu tout comme Lê que tu ne cites même pas).
Mais bon il fallait se faire Bruce qui lui touchait masse d'audience, un public probablement plus jeune et plus néophyte, grâce à son sens de la narration.
Faire semblant ne pas avoir compris qu'Aristote c'est un running gag, comment dire… (et phi est faible sur ses arguments et de mauvaise foi là-dessus).
La vulgarisation a perdu un passeur et surtout quelqu'un qui était capable d'amener un public peu réceptif à priori. Encore une fois : bravo les cons !
Mais j'ai l'impression qu'en fait c'est ça qui lui est reproché.
Oh! et les autres aussi disent des conneries. Juste qu'il faut avoir un peu le niveau…
Mort aux cons !
[^] # Re: Super rich, super bullshit
Posté par PR . En réponse au journal La richesse des ultra-riches, à raison de 1000 USD par pixel. Évalué à 1. Dernière modification le 28 août 2022 à 13:31.
Bah si, ça montre que tu sais pas de quoi tu parles, et que t’as (manifestement) toujours pas compris. Tu confonds PDG, actionnaire, CA, assemblée. Une personne peut avoir plusieurs casquettes, mais chacun de ses rôles est bien distincts.
Par exemple un PDG est soumis au CA (enfin… le P signifie président du CA, tandis que le DG lui est bien l’exécutant du CA), CA qui est soumis à l’assemblée des actionnaires.
Il en résulte qu’un actionnaire majoritaire peut se nommer lui-même comme PDG. Un DG a un contrat (il est souvent un employé comme les autres…) qui peut stipuler certaines règles de rémunérations (notamment sur les actions) mais il n’y a absolument aucun contrat rattaché aux actions qu’il possède hors sa rémunération.
Tu mélanges allègrement le tout. On est dans du pur droit. Ça demande un peu de rigueur. Il y a effectivement des contraintes pour un PDG (ou tout autre haut cadre) s’ils veut vendre ses actions : par exemple il est au courant avant les autres actionnaires, car PDG, d’une évolution future du marché et en profite pour passer des ordres à son avantage sur le marché. C’est le délit d’initié (coucou Pénicaud \o/) mais c’était pas le sujet que je sache !
Après si tu me dis que dans les statuts ou le montage juridique mis en place par Bezos ou autres il y a dans ce cas particulier une règle qui l’empêche de tout vendre. Ok. C’est possible (tout particulièrement s’il n’est pas en majorité relative et que l’assemblée des actionnaires a donc pu mettre en place un mécanisme de contrôle, sinon je vois pas l’intérêt de s’auto-interdire des actes de vente). Mais dans ce cas là faut venir le prouver. Dans le cas général c’est tout simplement et purement faux.
Entendons-nous bien : c’est de la propagande qui vise à entretenir la confusion auprès du grand public et protéger les milliardaires. Bon j’arrête là. Si t’as toujours pas compris, je considèrerai que t’es de pure mauvaise foi (pour preuve : tu n’utilises plus le même argument, d’un purement économique tu passes à une contrainte qui serait contractuelle — que tu viens probablement d’inventer ceci dit). D’ailleurs j’aimerai bien savoir d’où viennent tous ces arguments à la con qu’on voit constamment, qui sont complêtement pêté dès lors qu’on connaît un peu les sujets abordés : c’est quoi tes sources ?
Mort aux cons !
[^] # Re: Super rich, super bullshit
Posté par PR . En réponse au journal La richesse des ultra-riches, à raison de 1000 USD par pixel. Évalué à -4.
Nan mais lol.
(wikipedia)
(https://www.e2.law/fr/2021/02/28/les-actions-sans-droits-de-vote/ https://www.lafinancepourtous.com/decryptages/marches-financiers/produits-financiers/actions-2/les-caracteristiques-des-actions/droits-de-vote-double/ https://www.election-europe.com/le-code-de-commerce/lattribution-des-droits-de-vote-aux-actionnaires-en-fonction-de-leurs-actions-detenues-dans-le-capital-social/)
Mort aux cons !
[^] # Re: Super rich, super bullshit
Posté par PR . En réponse au journal La richesse des ultra-riches, à raison de 1000 USD par pixel. Évalué à 2. Dernière modification le 28 août 2022 à 12:14.
Bon je reviendrai pas sur le tas d’ânerie dont le debunk a été anticipé par l’auteur du journal et celui du site.
Mais j’ajouterai un truc.
Même la vente de 100% des actions d’un actionnaire majoritaire est totalement possible.
C’est tout simplement une vente d’entreprise. Il suffit de trouver un repreneur.
Le cours de l’action, suite au rachat, peut très bien aller à la baisse comme… à la hausse.
Le prix de rachat sera beaucoup moins influencé par les fluctuations du marché et/ou la spéculation, et donc probablement un plus juste reflet de la valeur économique intrinsèque d’une entreprise.
Le cas des startup est un peu particulier, dans le sens où il s’agit d’être suffisamment menaçant vis-à-vis d’un monopole pour le pousser au rachat. Dans ce cas le prix de l’entreprise est bien plus fonction de l’estimation du risque et du coût de la concurrence (guerre des prix, etc.) par le monopole.
Mort aux cons !
# À côté de la plaque (un peu)
Posté par PR . En réponse au journal La richesse des ultra-riches, à raison de 1000 USD par pixel. Évalué à 5. Dernière modification le 28 août 2022 à 11:47.
Il parle essentiellement de la liquidité d’un placement. C’est assez connu que les actions, du fait de leur volatilité sont moins liquide. Cependant il passe à côté du principal.
Un placement en action est une utilisation effective de son argent. Du moins quand on est actionnaire majeur, voir actionnaire principal : cet argent placé est utilisé en tant que tel comme instrument de pouvoir. Être actionnaire majeur d’une entreprise c’est en premier lieu décider et ordonner la stratégie de l’entreprise, et nommer ceux qui auront en charge d’appliquer les directives.
C’est ça le capitalisme : le capital a le pouvoir.
PS : les riches mettent jamais toutes leurs billes dans le même sac, immobilier, marché de l’art, obligations, matières premières (hum… inflation me vois-tu?), etc. permettent de sécuriser la fortune et de rendre plus liquide les placements.
Par contre pour la population, on enlève le seul placement liquide qu’ils avaient (livret A et assimilé).
Mort aux cons !
[^] # Re: vraiment?
Posté par PR . En réponse au journal "Use plaintext email" ? Vraiment ?. Évalué à 3. Dernière modification le 28 août 2022 à 10:05.
Au début d’internet, les machines étaient aussi beaucoup plus diversifiées et l’envoi en mode binaire ne se serait pas résumé à fixer l’endianness…
Par exemple le protocole SMTP autorise des bytes de 7 bits. D’où ses limitations.
Rien n’empêche la transmission de données arbitraires dans un protocole purement texte (exemple HTTP).
Mort aux cons !
[^] # Re: CSV
Posté par PR . En réponse au lien Unix legend, who owes us nothing, keeps fixing foundational AWK code. Évalué à 3.
Le cas m’est encore! arrivé y’a deux semaines.
Nos traitements : un pouillème de secondes (avec en entrée du CSV). Derrière l’équipe qui poursuit (avec du xml je crois, sur un volume partiel) voit les machines partir en carafe…
Ça en devient un running gag :-°
Mort aux cons !
[^] # Re: Maintenance
Posté par PR . En réponse au journal La cochonnerie en boite que sont les systèmes de dépendances. Évalué à 1.
Arf, désolé, difficile de déceler l’ironie à l’écrit et je regarde pas trop qui l’auteur.
Pour l’informatique dans la recherche, je connais j’ai été thésard
^^
la problématique y est différente. L’utilisateur est le développeur, c’est du code plus ou moins “jetable”, constamment en évolution (propre à un travail de recherche), avec des enjeux très largement réduits (à l’inverse un hôpital s’est bien fait rançonner récemment, malgré tout).Ceci dit j’utilisais aussi à l’occasion du code plus professionnel, typiquement dans les librairies ou certains codes à vocation plus généraliste. Et c’est là où j’ai pu voir parmi les meilleurs sources qui m’ait été donné de lire : claires (malgré la complexité du sujet traité), maintenues, qui suivent des normes précises, API bien définie (c’est important dans un code scientifique). Ce genre de code faisait l’objet de publication (et donc d’une procédure de validation scientifique).
Mort aux cons !
[^] # Re: Maintenance
Posté par PR . En réponse au journal La cochonnerie en boite que sont les systèmes de dépendances. Évalué à -10.
C’est tout le contraire que j’ai dit. Je garantis que ça ne pête pas (et je corrige si c’est le cas).
Par contre ce que je garantis est sur un périmètre délimité. Parce qu’un codeur c’est pas un dieu omnipotent qui va t’apporter le café, te cirer les pompes et te s**** la b***.
Mais bon, t’es bien dans la mentalité des c*** que je rencontre au taf’ qui se disent qu’ils vont remplacer leur incompétence ou leur absence de travail (ceux qui lisent pas la doc, sont aussi ceux qui ne l’écrivent pas ceci dit en passant…) par leur grande gueule (et accessoirement leur copinage avec le chef).
Puis c’est pratique quand on est presta’ de pas faire de doc, ça permet de tenir le client par les c*******… Et aux collègues de faire le rétro-ingeniering comme ça on pourra médire sur leur lenteur.
À bon entendeur !
Mort aux cons !
[^] # Re: Maintenance
Posté par PR . En réponse au journal La cochonnerie en boite que sont les systèmes de dépendances. Évalué à 2. Dernière modification le 23 août 2022 à 08:06.
Lol. Après ce genre de commentaire tu iras expliquer à Mme Michu qu’il faut mettre à jour son informatique pour la sécurité…
(tu travaillerais pas dans la boîte qui a vu ces 900 serveurs se faire hacké-rançonné par hasard ?)
Mort aux cons !
[^] # Re: Maintenance
Posté par PR . En réponse au journal La cochonnerie en boite que sont les systèmes de dépendances. Évalué à 2. Dernière modification le 23 août 2022 à 01:06.
D’où la documentation, la rigueur sur le périmètre couvert et ce qui n’est pas spécifié, etc.
Soit tu as spécifié que sqrt(-2) doit renvoyer NaN et tu t’y tiens, soit tu n’as rien spécifié du tout pour les nombres négatifs et si tu casses un code utilisateur, c’est sa merde pas la tienne.
Mais bon, c’est has been de travailler comme ça. La méthode gruik c’est tellement plus rapide…
Quand à rendre un résultat parfait, ce n’est pas le sujet : on écrit tous du code buggué, mais au moins les spécif. donnent une bonne base de discussion (et souvent d’argumentation, éventuellement un peu musclée…) pour savoir ce qui est erroné ou pas.
Et surtout pour savoir QUI doit corriger le bug ; je sais pas comment vous faites dans le monde pro avec une groses base de code à faire évoluer et à maintenir… (et pour la petite blague : quand vos utilisateurs sont plus que 1, pas d’accord entre eux, et prêt à s’écharper pour avoir le dernier mot…)
Mort aux cons !
[^] # Re: Maintenance
Posté par PR . En réponse au journal La cochonnerie en boite que sont les systèmes de dépendances. Évalué à 2.
Ou alors tu fais des interface propres et pérennes. Ce qui est un effet de bord d’un bon travail de conception qui prend en compte la maintenance dès l’élaboration du projet.
Si changement d’API, changement de headers, avec phase de transition éventuelle (gérée dans le cadre d’une maintenance).
On rejoint le commentaire précédent…
Mort aux cons !
[^] # Re: mon phénomène vraiment bizarre
Posté par PR . En réponse au journal Le paranormal en informatique. Évalué à 3. Dernière modification le 15 août 2022 à 21:47.
Il n’y a pas d’argumentation sur ce point car tu fais un homme de paille. En psy. on va plutôt, très grossièrement, mettre un curseur. Seulement y’a des curseurs qui vont être très, très à l’extrême chez certaines personnes. Lorsqu’on atteint un seuil, alors le qualificatif est amplement mérité.
Voilà comment ça fonctionne.
Quand le discours est aussi caricaturalement extrême (ou extrêmement caricatural?) y’a pas besoin d’enculer des mouches…
Après les phrases toutes faites qui énoncent des truismes ou des généralités très vagues, du style “la réalité est plus nuancée que ça” (ça quoi?) &co. Comment dire ? J’exècre au plus haut point.
Libre à toi de nuancer mon propos dans ce cas. Qu’est-ce qui, dans le cas d’espèce présentement est à nuancer ? Quand môssieur te dit “la batterie de mon téléphone a duré 2 jours, c’est l’Univers qui m’envoie un message” (je caricature à peine) tu trouves qu’il est nuancé comme discours ? Explique-moi donc.
Voilà toi, par exemple, tu tiens typiquement un discours donneur de leçon. Tu vas me dire moi aussi. Oui. Mais moi je sais de quoi je parle. Toi non. Ça t’enquiquine un poil. Du coup tu en es réduit à me sortir des trucs bateau (et quelques sales préjugés qui traînent au passage, ce n’est qu’une forme de classification, assez méchante au demeurant).
Bisous tout plein :)
Mort aux cons !
[^] # Re: mon phénomène vraiment bizarre
Posté par PR . En réponse au journal Le paranormal en informatique. Évalué à 2. Dernière modification le 13 août 2022 à 12:17.
Ben non. On est tous confrontés un jour ou l’autre à des phénomènes ou des choses qu’on ne s’explique pas. Ce n’est pas une question de capacité intellectuelle. Le truc c’est qu’en fonction du contexte ou de la personnalité de la personne, on va s’investir plus ou moins fortement pour résoudre ce qui nous apparaît comme une énigme. Mais tôt ou tard, on va aussi lâcher l’affaire, accepter de ne pas savoir, et passer à autre chose. Tout simplement.
Tu as ce préjugé tenace autour des maladies psychiatriques, l’idée sous-entendue dans ton commentaire d’une retard mental et/ou d’un manque d’apprentissage, de connaissances, etc.
C’est tout simplement faux de dire que les problèmes psychiatriques viennent d’un problème de compréhension et/ou de savoir (cela relève en réalité de préjugés de classe, linuxfr, sa population de cadre bac+5, tout ça…) Tout au plus la culture et des capacités intellectuelles élevées rendent plus difficile la détection d’un problème psychiatrique. Parce que le discours sera plus élaboré, voir intègrera des fragments de pensée tout ce qu’il y a de plus rigoureux (notre JPP national est un cas dans son genre… l’âge n’arrange rien à l’affaire).
La capacité à se remettre en question, à tenir compte du témoignage et/ou de l’avis de l’autre est à mon sens essentiel pour prévenir les maladies mentales ou du moins limiter très grandement leur impact sur la qualité de vie. D’une manière générale pour le bon équilibre psychologique d’une personne.¹ Je considère à contrario que la promotion du narcissisme et des comportements associaux sont un problème de santé publique (qui n’empêche pas et va de pair avec, paradoxalement, un extrême conformisme et un rejet ve tout écart à la norme).
C’est d’autant plus vrai dans le cas présent ici ; j’ai rajouté un PS exprès pour signaler qu’il n’y a pas d’hallucinations ici, donc à priori ce n’est pas de la schizophrénie, j’ai donné même le terme exact : c’est de l’apophénie. C’est-à-dire, très explicitement, une forme extrême de pensée égo-centrée. Ce n’est pas binaire que de dire cela, ça s’appelle classifier, catégoriser.
Si je dis ça c’est aussi parce que j’ai en tête des témoignas précis, typiquement un schizophrène qui a accepté sa maladie a la capacité à distinguer les hallucinations de la réalité, dans une certaine mesure. Le point clef c’est vraiment l’acceptation et c’est ce qu’il y a de plus difficile dans ce genre de maladie.
Je ne peux que conseiller de voir ou revoir l’excellentissime A wonderfull mind.
———
¹ En fait se soumettre excessivement aux injonctions sociales, c’est de la névrose. Ça peut aussi devenir un problème de santé mentale.
Mort aux cons !
[^] # Re: mon phénomène vraiment bizarre
Posté par PR . En réponse au journal Le paranormal en informatique. Évalué à 2.
PS : la schizo, comme le manque d’oxygène, provoque des hallucinations.
Ici il s’agit de phénomènes tout à fait réel (un bug d’une appli ou tout simplement un historique effacé après un certain temps, un smartphone qui se met en veille profonde, etc.) ; par contre le fonctionnement cognitif est clairement détraqué.
Par exemple :
Le diagnostic est une science difficile, surtout à travers des commentaires sur Internet xD.
Mort aux cons !
[^] # Re: mon phénomène vraiment bizarre
Posté par PR . En réponse au journal Le paranormal en informatique. Évalué à 5. Dernière modification le 12 août 2022 à 22:06.
Tiens, j’étais en train de regarder une vidéo où un alpiniste décrit les effets de la haute altitude. J’ai repensé au message initial. La 1ère pensée qui m’est venue, c’est que les uns ont l’humilité de reconnaître que leur sens peuvent défaillir, et savent gérer les limites de leurs corps (et donc de leur esprit), tandis que les autres sont juste… trop imbus d’eux-mêmes pour reconnaître leurs limites, et vont rationaliser après coup ce qu’ils ont vécu.
C’est évidemment très particulier. La montagne c’est l’école de l’humilité. Quoi qu’on en dise par ailleurs.
J’ai moinsé le message original, justement pour pas laisser croire que son histoire avait une quelconque pertinence ici, surtout sur un site comme Linuxfr, dédié à l’informatique, surtout sur un site qui a déjà un certain passif en la matière, un site dont les modérateurs ont beaucoup à se reprocher sur ce point (d’ailleurs un nouveau compte créé pour poster ce message, et qui fait comme s’il connaissait les us & coutumes du coin… hum…). Enfin bref. On va pas déterrer les vieilles histoires…
Mais je ne peux qu’abonder sur ce que tu viens de dire. Ne pas prendre à la légère ce genre de situation, ne pas les encourager, pousser à accepter sa maladie. La schizophrénie, typiquement est biologique à ma connaissance, et on peut presque vivre normalement avec, lorsqu’on l’accepte, à condition de l’accepter.
Mort aux cons !
[^] # Re: Ah, les fontes !
Posté par PR . En réponse à la dépêche Ysabeau, un chouette caractère. Évalué à 5.
Mouai, faut pas trop insister sur la largeur des pages LaTeX, très critiquable. À la base c’est de la place réservée aux notes de marges. Or la pratique de la glose est devenu très marginale, sinon absente, dans l’édition moderne ; ce choix me paraît injustifiable (utiliser le package showframe pour se rendre compte du problème). Dans l’édition pro on ne voit jamais de telles marges… (par contre on fait du multi-colonne au besoin). Sans compter le gaspillage de papier.
La justification de la marge LaTeX est un exemple typique de rationalisation à postériori d’un choix foireux.
Sur la lisibilité on doit distinguer écran (peu compatible avec l’empattement sauf haute définition — 300dpi) et papier, sur papier il faut aussi encore s’assurer de la qualité de l’impression (définition ET SURTOUT la profondeur du noir du fait du contraste plein–délié) pour pouvoir utiliser des fontes “modernes” (style celle de CM/LM de LaTeX, Didot, Bodoni, etc. très classieuses en vrai avec une belle impression). C’est une des raisons qui me font préférer la Garamond Premier qui, par vocation, se satisfait de moyens d’impression plus rudimentaires, mais elle est dégueulasse sur un écran low-res. Là encore le choix par défaut de TeX est malheureux pour des moyens d’impressions personnels (et même pour de l’édition pro à bas coûts) ; mais là au moins il est justifable par le but assumé de TeX : faire de l’édition de qualité.
Perso, je suis pas fan des fontes qui essaient de satisfaire tous les usages. Déjà les fontes sans empattements c’est moche à la base — destiné aux textes à impacts : pub, logo, slogan, etc. —, mais leur généralisation abusive a largement réduit leur effet impactant (trop communes & ordinaires au final). Pourtant les sans ont leur intérêt, si bien intégré dans un visuel qui leur convient. En informatique on les utilise par nécessité, faute d’une définition suffisante. Avec la démocratisation de la 4k j’espérais que leur usage se réduirait un peu. D’autant que les Garamond sont par essence des fontes qui s’autorisent une lisibilité convenable pour de l’écran hires (je force présentement l’affichage en premier pour le web). Au moins l’idée d’en faire une version sans est bien vue, ça sort du côté très impersonnel et froid de la plupart des sans.
Après, Lualatex, Xetex, c’est bien gentil, mais c’est trop long à compiler… j’ai besoin d’un cycle édition-visualisation rapide (beaucoup de math bien moches…). Perso j’ai abandonné et suis du coup revenu à pdflatex et la Latin Modern à fortiori (affichage à l’écran dégueu mais imprimante laser en qualité haute ça devient correct). De plus, pour le maths faut trouver une fonte compatible et de qualité. Difficile. (avec la garamond premier, il est esthétiquement impossible d’écrire des math avec la LM ; je prend fourier souvent). Bref, je pense qu’il vaut mieux définir avant la destinée de son document, puis choisir une fonte en conséquence.
Pareil, pas fan de la pratique qui consiste à choisir des fontes différentes pour la titraille : normalement une fonte de qualité est fournie avec une version titraille (ce n’est pas une version “zoomée”, par exemple les traits sont plus fin, comme avec la Cormorant explicitement destinée aux titres, la largeur et l’espacement des lettres sont différents, etc.). Ça participe à l’homogénéité du document et ça évite les fautes de goûts (sauf à s’y connaître, et je range la pratique du sans=titres de section et serif=texte de labeur comme une faute de goût :p). Le document sera visuellement structuré grâce à une titraille qui se distingue graphiquement parlant (jeu sur l’espacement vertical et le gris typo).
Mort aux cons !
[^] # Re: Argument d'autorité
Posté par PR . En réponse au journal De l'influence néfaste de Google sur les développeurs C++. Évalué à 4.
En informatique…
Il s’avère que les femmes sous lesquelles j’ai bossé avaient bien moins de complexe de supériorité. Donc ouai, bien moins besoin de faire de la lèche pour être reconnu à sa juste valeur. C’est même flagrant.
Le cas que je connais présentement est caricatural : même boîte, même équipe, tout à l’identique. La manageuse part en retraite, le manageur qui la remplace arrive. Du jour au lendemain, plus de projets, je suis limite au placard. Et je sais pas m’y prendre avec les supérieurs, le concept d’autorité m’est totalement étranger. Il m’a testé d’ailleurs, il m’a fait un coup de pute (vouloir me faire travailler un dimanche, en prévenant seulement une semaine à l’avance, via un mec qui n’est pas du tout dans la chaîne hiérarchique — mais qui est copain avec le dit manager, ce que j’ignorais bien sûr…). Alors qu’avec la précédente il m’est arrivé de m’engueuler… (c’était quelqu’un de très autoritaire).
Mort aux cons !
[^] # Re: Argument d'autorité
Posté par PR . En réponse au journal De l'influence néfaste de Google sur les développeurs C++. Évalué à -6.
s/savoir être/lécher les couilles de ton supérieur/g
C’était le traducteur automatique novlangue managériale -> français.
Mort aux cons !