Est-ce que le checksumming sert réellement ? Après tout, le disque dur lui-même en utilise déjà un gros, qui est caché.
Pourquoi le copy-on-write pose problème ?
"dump de dataset" ? C'est un snapshot que tu peux récupérer telquel sur un autre disque ?
Le scrubbing est réellement utile ? Je suis quasiment sûr qu'il existe un moyen de le faire faire au niveau du disque dure (genre un simple read doit provoquer l'équivalent d'un scrubbing au niveau hardware).
Selon ce que tu fais, tu va détruire la puce en enlevant des sécurités (par exemple la grille au dessus), tu va tenter des attaques laser et si tu touches un détecteur la puce est morte. Tu peux aussi faire des trous pour mettre des sondes et rater ton coup. Tu peux la chauffer pour faire sauter toute la partie métallique et ne garder que le silicium, tu peux ainsi lire sur le Si certaine forme de ROM.
Je reçois par la TNT et le décodage se fait par le home cinema.
M6 est la seule chaîne gratuite qui diffuse du 5.1 sur ses flux HD.
Il me semble que TF1 le fait aussi selon le film diffusé.
Donc quand vous visionnez une chaîne fournissant du stéréo, il est possible que votre décodeur audio effectue un upmix (fabrique un faux 5.1 à partir du mix stéréo) et cela modifie en général le loudness.
J'utilise un mode stereo "5 enceintes". J'imagine que la bascule ne peut pas être neutre ("Spatialisation" du son au minimum, etc…).
| Et donc il y a une nette amélioration de l'harmonisation des niveaux sonores d'un programme à l'autre (y compris les pubs) et d'une chaîne à l'autre.
J'ai un bon système 5.1, et j'ai souvent l'impression qu'il y une baisse de volume sur M6 par exemple, par rapport aux autres chaines.
Je ne suis pas sûr que l'on parle du même écrêtage. Couper/saturer un signal, cela détruit le son. Je ne pensais pas cela si courant. Si c'est courant, il faut peut être le mesurer par rapport à la durée du morceau.
Ils peuvent toujours faire de la compression mpeg4 avec quelques frames pour éviter d'avoir trop de latence. Le mpeg4 est gourmand mais toutes les puces (sauf intel ?) viennent avec leur compresseurs mpeg4 hardware.
Cela serait possible d'utiliser cette lib pour détecter la qualité d'un morceau de musique : détection de la loudness war,
détection d’écrêtage (et donc non respect du théorème de Shanon, et donc création d'aliasing),
détection de filtre anti-souffle tellement efficace qu'il détruit toutes hautes fréquences ?
C'est bien beau d'avoir des enregistrements 24 bits 96 khz, mais si ils sont issues d'un enregistrement de CD mal fait, cela n'aura aucun intérêt
Je pense que tu confonds mise à jour de l'OS et mise à jour du SE. Si tu peux mettre jour à le SE, il me parait très risqué d’autoriser une mise à jour logiciel tout en gardant le contenu sécurisé, même avec une vérification de signature.
Je crois que la gestion de la sécurité en rapport avec les input device avait pris récemment un temps conséquent. Je pense qu'il sous-estime très largement le problème. Je n'ai jamais vu un protocole réseau correct, quand la sécurité est pensé "ensuite" (latence d'une communication TLS classique, problème de gestion des attaques MiM dû problème de vérification des clefs public, etc…).
Concernant les images, le plus simple est de les transmettre tel-quel, n'importe quoi est capable de lire un gif, un jpeg ou un png ou une texture compressé.
Ce que veut le FBI a terme, c'est une backdoor dans iOS lui meme, ce qui est évidemment délirant vu que ca revient a retirer toute la sécurité qui a été construite dans le produit.
Pas pour le moment. Il demande de pouvoir brancher par USB l'iphone en question pour forcer une mise à jour firmware qui entraine son délockage immédiat ou presque (tester 10000 mots de passe, c'est immédiat).
Sur secure enclave, la question est est ce qu'apple peut flasher la puce apres coup, ce qui anihilerait son interet.
Si le secure enclave est un carte à puce, genre tpm, une mise à jour entraine un effacement.
Et pour avoir bosser dans la sécurité des cartes puces, sauf bug (hard ou soft) connu, lire le contenu d'une puce nécessite d'en avoir plusieurs dizaines. Donc être sûr de pouvoir lire le contenu de la mémoire d'une seul puce n'est pas gagné du tout.
oui, ça c'est l'argument massue, je l'avais en tête aussi bien sûr ; même si, dans mon constat, peu de monde réussit à comprendre le problème ; accessoirement, je suis toujours autant étonné d'avoir à l'expliquer alors que ça me paraît évident o_O
C'est même encore pire que ça pour l'OEB. Comme la Suisse est incluse dedans, l'OEB n'est pas sous le contrôle des instances européennes. Ainsi, le patron de l'OEB a un status de diplomate. Il y a eu un scandale, il n'y a pas longtemps de harcèlement, qui n'a pas pu être jugé à cause de ce status.
L'argent ne rentre pas dans les caisses européennes, mais reste dans l'Office.
J'aimais bien les règles allemandes qui demandent qu'un brevet met en œuvre les forces de la nature. Cela exclue tout ce qui est logiciel, business plan ou concept de façon clair.
(Enfin après ça dépend ce qu'on entend par n'importe quoi, si tu trouves que MP3 ou les turbo codes, c'est n'importe quoi…).
Non je trouve que c'est des maths et des logiciels : 2 choses dont on sait qu'il est mal de transformer en monopole, et qui est soi-disant déjà interdit.
D'ailleurs, à cause des brevets, ogg+vorbis a été créé, et heureusement les codes LDPC sans brevet et plus performant, remplacent les turbo code.
Breveter des maths et uniquement des maths ça va être compliqué, il me semble.
Tu n'as rien compris. C'est super simple, il suffit de lister tout ce qui est applicable au math en question. La fonction XOR est breveté au US pour gérer l'affichage d'un pointeur de souris dans une interface noir&blanc !
Mais personne n'a jamais prétendu le contraire, il me semble, je vois pas pourquoi tu t'acharnes là-dessus.
Par ce que c'est débile. Dire que l'on ne peut pas breveter des maths est simplement un mensonge. Il suffit de rajouter les "mots magique" à coté. (parfois, il suffit de rajouter "un dispositif munis d'un ordinateur")
Mais c'est pas juste ça, c'est appliqué au calcul distribué, et l'invention est là.
J'appelle cela l'état de l'art. Rajouter une communication réseau à scatter/gather, cela semble assez trivial. Cela me rappelle le brevet sur les ponts de résistance pour identifier à pas chère des batteries de téléphones !
C'est d'ailleurs une très bonne technique d'évsion fiscal. Tu as un crédit d'impôt sur les brevets. Une technique pour se faire accepter un brevet est simplement de mettre ensemble 2 concepts : le brevet achat et 1-clic, puis achat et 2-clic, le XOR et la souris, la moyenne et le traitement d'image (sisi, il existe), etc…
Mais tout jeter en vrac, en disant que toutes façons rien n'est inventif, et que "n'importe quoi" est brevetable, ça me semble être jeter le bébé avec l'eau du bain clairement.
C'est un fait. Surtout en informatique. Une grosse boite se contre-fou d'un brevet d'une petite boite. Un procès coûte plusieurs millions d'euro sur plusieurs années, aucune startup peut tenir cela (dans les formations d'entreprise, ils disent si vous n'avez pas les reins solide, inutile de déposer un brevet). La grosse boite dispose forcément de brevets violés par la petite et peut donc contraindre à un accord de cross-licence, qui lui permet d'utiliser le brevet et vous simplement de continuer de travailler.
Les seules petite boites qui s'en sortent sont les patent troll. Qui ne produisent rien, donc les champs de mines que sont les vastes portefeuilles de brevet ne peuvent rien contre ce genre de boites.
On peut aussi parler de la technique d'amélioration de brevet qui permet de passer outre le 1er, en en déposant un 2ième.
Le système veut que, dans les faits, les grosses boites vivent dans un monde sans brevet. Ce qui n'est pas le cas du tout des nouveaux entrants, qui par définition innove +.
Un brevet, ça peut pas couvrir un objet, ou une forme, ou un théorême, ou une plante, ou une loi physique. Ça concerne forcément une invention technique.
Juste mort de rire.
Comment le mp3 peut être couvert par des brevets européen ? Comment des gènes peuvent être breveté en Europe ? Un théorème, comme celui sur les turbo code (code correcteur d'erreur)?
On peut aussi parler du brevet one-clic d'amazon, qui est valable au US, mais quel ecommerce n'est pas accessible depuis les US ?
Ça me semble important de le noter quand même.
Arretes de recracher la conférence de l'intervenant de l'INPI ! Le gouvernement pousse les brevets car c'est un benchmark pour mesurer l'innovation dans un pays. Or, dans l'histoire, il n'y a jamais eu autant de progrès, qu'en absence de protection sur les brevets. Les innovations se diffusent bien plus vite.
Et clairement, dans les fait, tous les brevets portent sur des inventions techniques (personne n'a pu breveter le geranium ou les nuages…).
En europe uniquement ! Au US, un type a breveté le fait de jouer avec son chat avec un pointeur laser.
C'est la combinaison qui est brevetée.
Mapreduce, c'est juste du scatter/gather qui est le pattern de base de la programmation fonctionnelle. C'est la même chose que les boucles pour l'impératif. Coté nouveauté et état de l'art, on repassera.
Ce que je veux dire, c'est qu'un algo a toujours une application. Donc dire que les maths ne sont pas brevetable, est du foutage de gueule intégral, si tu peux breveter tout usage de l'algo en question.
oui, c'est la combinaison du droit d'auteur et des brevets.
Pas du tout, c'est une protection spécifique.
c'est le 3e volet, le droit des marques qui est généralement utilisé dans ce cas, en complément des deux autres
Les copies saisis en France ont rarement une contrefaçon du logo. C'est souvent "inspiré" (même couleur ou même style).
hmmm Michel Rocard défendait plutôt l'axe "ayant une action sur le réel", avec comme exemple l'ABS dans les voitures : l'algo pilote les freins sans action du conducteur
Et pourtant : tu ne peux pas breveter un algo de compression, mais tu peux breveter un algo qui permet de réduire la taille de fichier ou de réduire la consommation de bande passante (rar, mp3, mp4…). Le problème principal est que l'office qui gère les brevets est au cœur d'un conflit d'intérêt : il n'a aucun intérêt à refuser le brevet. Pour chaque brevet refusé, il fait une croix sur des centaines d'euro par an de droit de dépôt.
" donc que celui-ci puisse trahir cette confiance."
Les députés parlent souvent du concept de loyauté des plateformes. Un peu comme les banques qui ont interdictions de revendre les données qu'ils ont sur leurs clients (genre paiement des cartes de paiement).
L'objet lui-même peut être protégé par les dessins et modèles, droit très fort en France. J'imagine que c'est cette loi qui permet d'avoir des tas de copie de sac hermes ou de lacoste, ailleurs qu'en France.
Un fichier 3D est protégé par les droit d'auteur, qui protège l'auteur du fichier. Et la protection concerne la forme, pas le fond. On protège la mise en œuvre d'une idée, pas une idée. Ainsi les règles de jeu de société ne sont pas protégé. C'est le même principe que pour le code source. Sauf que contrairement à un binaire, l'objet 3D créé n'a plus de liaison avec le droit d'auteur. Il n'y a plus de "droit voisin" qui permet le copyleft, par exemple.
Les brevets peuvent couvrir n'importe quoi ou presque. La définition donné au dessus, est purement théorique, les offices acceptent n'importe quoi ou presque. Par exemple, "l'état de l'art" revient à chercher dans leur propre base de brevet… L'examinateur a une demi journée de travail par brevet et est fortement incité à ne pas les refuser. Il existe des brevets européens sur le mp3, alors que les algo et les logiciels ne sont pas brevetable "en tant que tel". Il existe des brevets sur les turbo code qui ne sont que des algo. En gros, on ne peut pas breveter un algo, mais on peut breveter un algo qui fait quelques choses. Vous connaissez beaucoup d'algo qui ne font rien ?
Il est aussi possible de déposer un brevet qui améliore un autre brevet. Cela permet de contourner le 1er brevet. C'est très utilisé par les grosses boites contre des plus petites, qui n'ont pas rédiger leur brevet de façon optimal.
Il n'y a pas de droit d'auteur sur des objets, jamais. Le seul problème de droit d'auteur serait la diffusion de fichier 3D qui ne vous appartiennent pas.
Il peut exister un brevet, mais invalider un brevet coute aussi chère que de le défendre. J'imagine mal une entreprise attaquée un particulier.
Il n'y a pas de droit d'auteur sur des objets, jamais. Le seul problème de droit d'auteur serait la diffusion de fichier 3D qui ne vous appartiennent pas.
Il peut exister un brevet, mais invalider un brevet coute aussi chère que de le défendre. J'imagine mal une entreprise attaquée un particulier.
Si j'ai bien compris, le logiciel ne fait que pas que automatiser le traitement des scans, il gère le stockage aussi.
Et je pense que c'est une très mauvaise idée. On avait le même problème avec les logiciels de gestion d'images qui voulait toujours les "importer", ou créer des cochoneries de .trucbidule un peu partout. Résultat, au bout de 10 ans, chaque logiciels laissaient ces machins au milieu des images. C'est un fait les documents vivent bien plus longtemps que les logiciels pour les gérer.
L'idéal serait d'avoir un layout facile à comprendre, qui puisse être utilisé sans l'outil, qui deviendra un jour obsolète.
Elle décrit juste une société comme la notre, avec 80% de chomage au lieu de 15, avec encore plus de peur de perdre son emploi et un mur pour séparer les cités, du reste de la ville.
[^] # Re: Zfs vs BTRFS
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche ZFS, Canonical et GPL. Évalué à 1.
C'est quoi la "dédup" ?
Est-ce que le checksumming sert réellement ? Après tout, le disque dur lui-même en utilise déjà un gros, qui est caché.
Pourquoi le copy-on-write pose problème ?
"dump de dataset" ? C'est un snapshot que tu peux récupérer telquel sur un autre disque ?
Le scrubbing est réellement utile ? Je suis quasiment sûr qu'il existe un moyen de le faire faire au niveau du disque dure (genre un simple read doit provoquer l'équivalent d'un scrubbing au niveau hardware).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Precisions
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dilemme entre vie privée et contrôle de sa machine. Évalué à 2.
Selon ce que tu fais, tu va détruire la puce en enlevant des sécurités (par exemple la grille au dessus), tu va tenter des attaques laser et si tu touches un détecteur la puce est morte. Tu peux aussi faire des trous pour mettre des sondes et rater ton coup. Tu peux la chauffer pour faire sauter toute la partie métallique et ne garder que le silicium, tu peux ainsi lire sur le Si certaine forme de ROM.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: la cible visée est-elle toujours la bonne
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Raspberry Pi 3 bientôt disponible ? Est-il celui que vous attendiez ?. Évalué à 4.
Ou une clef USB carte sonore (comme le dragonfly).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Sujet intéressant
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de libebur128 v1.1.0. Évalué à 3.
Je reçois par la TNT et le décodage se fait par le home cinema.
Il me semble que TF1 le fait aussi selon le film diffusé.
J'utilise un mode stereo "5 enceintes". J'imagine que la bascule ne peut pas être neutre ("Spatialisation" du son au minimum, etc…).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Sujet intéressant
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de libebur128 v1.1.0. Évalué à 4.
| Et donc il y a une nette amélioration de l'harmonisation des niveaux sonores d'un programme à l'autre (y compris les pubs) et d'une chaîne à l'autre.
J'ai un bon système 5.1, et j'ai souvent l'impression qu'il y une baisse de volume sur M6 par exemple, par rapport aux autres chaines.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Sujet intéressant
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de libebur128 v1.1.0. Évalué à 3.
Je ne suis pas sûr que l'on parle du même écrêtage. Couper/saturer un signal, cela détruit le son. Je ne pensais pas cela si courant. Si c'est courant, il faut peut être le mesurer par rapport à la durée du morceau.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: mouais...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal La transparence réseau et Wayland. Évalué à 1.
Ils peuvent toujours faire de la compression mpeg4 avec quelques frames pour éviter d'avoir trop de latence. Le mpeg4 est gourmand mais toutes les puces (sauf intel ?) viennent avec leur compresseurs mpeg4 hardware.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Sujet intéressant
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de libebur128 v1.1.0. Évalué à 6.
La compression dynamique est le "loudness".
Cela serait possible d'utiliser cette lib pour détecter la qualité d'un morceau de musique : détection de la loudness war,
détection d’écrêtage (et donc non respect du théorème de Shanon, et donc création d'aliasing),
détection de filtre anti-souffle tellement efficace qu'il détruit toutes hautes fréquences ?
C'est bien beau d'avoir des enregistrements 24 bits 96 khz, mais si ils sont issues d'un enregistrement de CD mal fait, cela n'aura aucun intérêt
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Precisions
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dilemme entre vie privée et contrôle de sa machine. Évalué à 2.
Je pense que tu confonds mise à jour de l'OS et mise à jour du SE. Si tu peux mettre jour à le SE, il me parait très risqué d’autoriser une mise à jour logiciel tout en gardant le contenu sécurisé, même avec une vérification de signature.
"La première sécurité est la liberté"
# mouais...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal La transparence réseau et Wayland. Évalué à 4.
Je crois que la gestion de la sécurité en rapport avec les input device avait pris récemment un temps conséquent. Je pense qu'il sous-estime très largement le problème. Je n'ai jamais vu un protocole réseau correct, quand la sécurité est pensé "ensuite" (latence d'une communication TLS classique, problème de gestion des attaques MiM dû problème de vérification des clefs public, etc…).
Concernant les images, le plus simple est de les transmettre tel-quel, n'importe quoi est capable de lire un gif, un jpeg ou un png ou une texture compressé.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Affichage de façade
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dilemme entre vie privée et contrôle de sa machine. Évalué à 3.
Affaiblir la crypto. Comme leur appel politique ne marche pas, il tente le judiciaire.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Comprend pas
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dilemme entre vie privée et contrôle de sa machine. Évalué à 1.
Ce genre de module existe depuis longtemps, c'est une puce de carte à puce.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Comprend pas
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dilemme entre vie privée et contrôle de sa machine. Évalué à 2.
Pas pour le moment. Il demande de pouvoir brancher par USB l'iphone en question pour forcer une mise à jour firmware qui entraine son délockage immédiat ou presque (tester 10000 mots de passe, c'est immédiat).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Precisions
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dilemme entre vie privée et contrôle de sa machine. Évalué à 3.
Si le secure enclave est un carte à puce, genre tpm, une mise à jour entraine un effacement.
Et pour avoir bosser dans la sécurité des cartes puces, sauf bug (hard ou soft) connu, lire le contenu d'une puce nécessite d'en avoir plusieurs dizaines. Donc être sûr de pouvoir lire le contenu de la mémoire d'une seul puce n'est pas gagné du tout.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Article sur le sujet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Brevet et création 3D. Évalué à 2.
C'est même encore pire que ça pour l'OEB. Comme la Suisse est incluse dedans, l'OEB n'est pas sous le contrôle des instances européennes. Ainsi, le patron de l'OEB a un status de diplomate. Il y a eu un scandale, il n'y a pas longtemps de harcèlement, qui n'a pas pu être jugé à cause de ce status.
L'argent ne rentre pas dans les caisses européennes, mais reste dans l'Office.
J'aimais bien les règles allemandes qui demandent qu'un brevet met en œuvre les forces de la nature. Cela exclue tout ce qui est logiciel, business plan ou concept de façon clair.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Article sur le sujet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Brevet et création 3D. Évalué à 1.
Non je trouve que c'est des maths et des logiciels : 2 choses dont on sait qu'il est mal de transformer en monopole, et qui est soi-disant déjà interdit.
D'ailleurs, à cause des brevets, ogg+vorbis a été créé, et heureusement les codes LDPC sans brevet et plus performant, remplacent les turbo code.
Tu n'as rien compris. C'est super simple, il suffit de lister tout ce qui est applicable au math en question. La fonction XOR est breveté au US pour gérer l'affichage d'un pointeur de souris dans une interface noir&blanc !
Par ce que c'est débile. Dire que l'on ne peut pas breveter des maths est simplement un mensonge. Il suffit de rajouter les "mots magique" à coté. (parfois, il suffit de rajouter "un dispositif munis d'un ordinateur")
J'appelle cela l'état de l'art. Rajouter une communication réseau à scatter/gather, cela semble assez trivial. Cela me rappelle le brevet sur les ponts de résistance pour identifier à pas chère des batteries de téléphones !
C'est d'ailleurs une très bonne technique d'évsion fiscal. Tu as un crédit d'impôt sur les brevets. Une technique pour se faire accepter un brevet est simplement de mettre ensemble 2 concepts : le brevet achat et 1-clic, puis achat et 2-clic, le XOR et la souris, la moyenne et le traitement d'image (sisi, il existe), etc…
C'est un fait. Surtout en informatique. Une grosse boite se contre-fou d'un brevet d'une petite boite. Un procès coûte plusieurs millions d'euro sur plusieurs années, aucune startup peut tenir cela (dans les formations d'entreprise, ils disent si vous n'avez pas les reins solide, inutile de déposer un brevet). La grosse boite dispose forcément de brevets violés par la petite et peut donc contraindre à un accord de cross-licence, qui lui permet d'utiliser le brevet et vous simplement de continuer de travailler.
Les seules petite boites qui s'en sortent sont les patent troll. Qui ne produisent rien, donc les champs de mines que sont les vastes portefeuilles de brevet ne peuvent rien contre ce genre de boites.
On peut aussi parler de la technique d'amélioration de brevet qui permet de passer outre le 1er, en en déposant un 2ième.
Le système veut que, dans les faits, les grosses boites vivent dans un monde sans brevet. Ce qui n'est pas le cas du tout des nouveaux entrants, qui par définition innove +.
"La première sécurité est la liberté"
# TPM
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Dilemme entre vie privée et contrôle de sa machine. Évalué à 6.
Un tpm ou un SE, c'est une smartcard. Le problème est toujours le même : qui a les clefs ? Ici, c'est un peu trop Apple et pas assez l'utilisateur.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Article sur le sujet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Brevet et création 3D. Évalué à 4.
Juste mort de rire.
Comment le mp3 peut être couvert par des brevets européen ? Comment des gènes peuvent être breveté en Europe ? Un théorème, comme celui sur les turbo code (code correcteur d'erreur)?
On peut aussi parler du brevet one-clic d'amazon, qui est valable au US, mais quel ecommerce n'est pas accessible depuis les US ?
Arretes de recracher la conférence de l'intervenant de l'INPI ! Le gouvernement pousse les brevets car c'est un benchmark pour mesurer l'innovation dans un pays. Or, dans l'histoire, il n'y a jamais eu autant de progrès, qu'en absence de protection sur les brevets. Les innovations se diffusent bien plus vite.
En europe uniquement ! Au US, un type a breveté le fait de jouer avec son chat avec un pointeur laser.
Mapreduce, c'est juste du scatter/gather qui est le pattern de base de la programmation fonctionnelle. C'est la même chose que les boucles pour l'impératif. Coté nouveauté et état de l'art, on repassera.
Ce que je veux dire, c'est qu'un algo a toujours une application. Donc dire que les maths ne sont pas brevetable, est du foutage de gueule intégral, si tu peux breveter tout usage de l'algo en question.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Article sur le sujet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Brevet et création 3D. Évalué à 2.
Pas du tout, c'est une protection spécifique.
Les copies saisis en France ont rarement une contrefaçon du logo. C'est souvent "inspiré" (même couleur ou même style).
Et pourtant : tu ne peux pas breveter un algo de compression, mais tu peux breveter un algo qui permet de réduire la taille de fichier ou de réduire la consommation de bande passante (rar, mp3, mp4…). Le problème principal est que l'office qui gère les brevets est au cœur d'un conflit d'intérêt : il n'a aucun intérêt à refuser le brevet. Pour chaque brevet refusé, il fait une croix sur des centaines d'euro par an de droit de dépôt.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: données
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Un service ouvert ?. Évalué à 2.
Les députés parlent souvent du concept de loyauté des plateformes. Un peu comme les banques qui ont interdictions de revendre les données qu'ils ont sur leurs clients (genre paiement des cartes de paiement).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Article sur le sujet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Brevet et création 3D. Évalué à 3.
L'article est un peu foireux.
L'objet lui-même peut être protégé par les dessins et modèles, droit très fort en France. J'imagine que c'est cette loi qui permet d'avoir des tas de copie de sac hermes ou de lacoste, ailleurs qu'en France.
Un fichier 3D est protégé par les droit d'auteur, qui protège l'auteur du fichier. Et la protection concerne la forme, pas le fond. On protège la mise en œuvre d'une idée, pas une idée. Ainsi les règles de jeu de société ne sont pas protégé. C'est le même principe que pour le code source. Sauf que contrairement à un binaire, l'objet 3D créé n'a plus de liaison avec le droit d'auteur. Il n'y a plus de "droit voisin" qui permet le copyleft, par exemple.
Les brevets peuvent couvrir n'importe quoi ou presque. La définition donné au dessus, est purement théorique, les offices acceptent n'importe quoi ou presque. Par exemple, "l'état de l'art" revient à chercher dans leur propre base de brevet… L'examinateur a une demi journée de travail par brevet et est fortement incité à ne pas les refuser. Il existe des brevets européens sur le mp3, alors que les algo et les logiciels ne sont pas brevetable "en tant que tel". Il existe des brevets sur les turbo code qui ne sont que des algo. En gros, on ne peut pas breveter un algo, mais on peut breveter un algo qui fait quelques choses. Vous connaissez beaucoup d'algo qui ne font rien ?
Il est aussi possible de déposer un brevet qui améliore un autre brevet. Cela permet de contourner le 1er brevet. C'est très utilisé par les grosses boites contre des plus petites, qui n'ont pas rédiger leur brevet de façon optimal.
Il n'y a pas de droit d'auteur sur des objets, jamais. Le seul problème de droit d'auteur serait la diffusion de fichier 3D qui ne vous appartiennent pas.
Il peut exister un brevet, mais invalider un brevet coute aussi chère que de le défendre. J'imagine mal une entreprise attaquée un particulier.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Article sur le sujet
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Brevet et création 3D. Évalué à 3.
Il n'y a pas de droit d'auteur sur des objets, jamais. Le seul problème de droit d'auteur serait la diffusion de fichier 3D qui ne vous appartiennent pas.
Il peut exister un brevet, mais invalider un brevet coute aussi chère que de le défendre. J'imagine mal une entreprise attaquée un particulier.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: méta-données dans les pdf
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Paperwork 0.3. Évalué à 6.
Si j'ai bien compris, le logiciel ne fait que pas que automatiser le traitement des scans, il gère le stockage aussi.
Et je pense que c'est une très mauvaise idée. On avait le même problème avec les logiciels de gestion d'images qui voulait toujours les "importer", ou créer des cochoneries de .trucbidule un peu partout. Résultat, au bout de 10 ans, chaque logiciels laissaient ces machins au milieu des images. C'est un fait les documents vivent bien plus longtemps que les logiciels pour les gérer.
L'idéal serait d'avoir un layout facile à comprendre, qui puisse être utilisé sans l'outil, qui deviendra un jour obsolète.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Bof...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [HS] Trepalium : le coup de foudre. Évalué à 3.
Tu parles de l'origine du mot travail ? Ou le fait de ne pouvoir exister que par le travail ?
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Bof...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal [HS] Trepalium : le coup de foudre. Évalué à 3.
La série d'arte fine ? Sans déconner….
Elle décrit juste une société comme la notre, avec 80% de chomage au lieu de 15, avec encore plus de peur de perdre son emploi et un mur pour séparer les cités, du reste de la ville.
"La première sécurité est la liberté"