On le fait très bien sur un avion, qui est bien plus complexe qu'une voiture. Donc on peut le faire. D'ailleurs, se passer de mécanique à rendu les avions plus sûr. Si les voitures ont des problèmes, c'est que c'est fait un peu n'importe comment (et qu'en cas de problème, on stop le véhicule, c'est moins simple en avion).
"Je suis presque sûr que les fabricants de satellite seraient atterrés par les pratiques de certains avionneurs."
Pour avoir bosser pour les 2, c'est ce que les fabricants de satellite croit. Ils sont juste à des années lumières de ce qui se fait en médecine, aéronautique, nucléaire, et certaine industrie.
" Alors prévoir un cas d'usure à surveiller, c'est complètement irresponsable!"
Il prévoit un mode survie et un update de firmeware béton…
Si tu veux avoir le droit de faire voler ton avion, tu as intérêt à respecter à la lettre ces normes. Et si tu fous à la poubelle 2 ans de dev avec une équipe de 10 personnes, tu le fait pour recommencer. C'est arrivé plus d'un fois (genre fadec A400M de mémoire).
Et si un jour tu bosses avec un DER de la FAA, tu comprendra comment prendre 18 mois dans un projet, parce que les specs ne lui plaisent pas.
Les normes comme la DO178 demande que l'on prouve que le processus de fabrication du logiciel est clean. Cette norme est dans la même veine, puisque l'on ne peut pas prouver qu'un logiciel est sans bug, on exige que le processus soit parfait, que la doc soit complète et vérifié, et que le test respect certaine exigence (couverture de code minium, couverture de spec, etc…)
"C'est le cas par exemple des entreprises qui visent le marché de masse grand-public (on ne retiendra jamais 12 noms de petits fabricants de téléphone, par contre un seul très gros peut se faire une place à l'international),"
Je ne suis pas d'accord sur ce point. Archos avait reussi dans son temps, avant de baisser en qualité. Wikio commence à se faire un nom. Il existe aussi le fabricants français d'ordinateur de luxe, Cottin. Parrot marche fort. Il existe un tas de start up dans les objets connectés.
Toyota utilise SCADE suite, on peut imaginer que son code sera plus propre.
Sinon, le fait d'avoir un code open source ne change rien. Il faut avoir un code qualifié ou certifié, suivant une norme comme dans l'aéronautique, le nucléaire, l'industrie,…
On retombe quand même toujours dans les même critiques faite par les PME qui n'ont pas de ressource pour gérer un dossier de subvention : ils ne touchent rien et financent indirectement leur concurrent avec leurs impôts. Ces gens là préfère une baisse de charge, c'est plus facile à gérer.
La France à 2 ou 3x fois moins de grosse PME que l'Allemagne ou l'Italie. Par contre, on ne manque pas de champion multinational qui vivent surtout de l'étranger (CAC40).
Airbus, c'est la fusion de l'aérospatial et de Matra. Le TGV, c'est les besoins interne de la SNCF.
France Telecom et Arianne espace sont né comme ça. Mais est-ce qu'à l'époque des Tweeter, Google et Facebook, il est encore nécessaire de démontrer que les mécanos géants ne sont pas la manière la plus efficace pour faire créer des grosses boites.
Cela me rappelles les projets de cloud, fait sans ovh… (mais avec orange et thales…)
Pour la différence entre le 500 et 200€, la différence c'est le volume que représente une grosse somme. Donc, on peut considérer que si le billet de 500 disparait, la fraude serait divisé par 2.
Pour les diamants et autre, la revente rend tout plus compliqué que du cash.
Il semble que le billet de 500€ représente plus de 30% de la somme en cash disponible en euro. Vu que personne ou presque l'utilise au quotidien, il l'est pour des opérations rarement très propre.
D'ailleurs, si on fait disparaitre le billet de 500, le billet de 200 devrait augmenter de taille (ou d'épaisseur) sinon, il servira en substitution.
Les 2 ont raisons. Les magasines spécialisés ont vu leur vente divisé par 3 depuis la généralisation d'internet. Internet a encore une culture du gratuit, donc les formules payantes ont encore du mal à percer.
D'un coté les revenues baissent, de l'autre il faudrait investir massivement, car la techno des éditeurs de presse n'est pas encore adapté pour jouer sur les 2 tableaux (web+net)en même temps, à bas cout. Au final, ils font entre les 2 : investir, sans faire un all-in qui signerait leur mort en cas d'échec.
C'est vrai aussi, que créer une chaine d'édition libre pourrait aider. Les produits adobe semblent encore incontournable.
J'imagine que le PDF est issue de leur outil pour l'imprimeur, outil qui est incapable d'exporter en HTML ou équivalent. Faire 2x le travail ne doit pas être jugé économiquement viable.
Parfois l'impératif est plus rapide (il peut éviter de créer des données intermédiaires), et c'est aussi un moyen de passé en douceur d'un modèle de programmation à l'autre.
[^] # Re: debrayage
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
On le fait très bien sur un avion, qui est bien plus complexe qu'une voiture. Donc on peut le faire. D'ailleurs, se passer de mécanique à rendu les avions plus sûr. Si les voitures ont des problèmes, c'est que c'est fait un peu n'importe comment (et qu'en cas de problème, on stop le véhicule, c'est moins simple en avion).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 1.
L'iso 26262 est dans la même veine que la DO178. Cela va donc changer.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 4.
En effet, mais leur code ne touche jamais un avion commercial.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Quelles sont les entrées / sorties d'un tel programme ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 4.
"Je suis presque sûr que les fabricants de satellite seraient atterrés par les pratiques de certains avionneurs."
Pour avoir bosser pour les 2, c'est ce que les fabricants de satellite croit. Ils sont juste à des années lumières de ce qui se fait en médecine, aéronautique, nucléaire, et certaine industrie.
" Alors prévoir un cas d'usure à surveiller, c'est complètement irresponsable!"
Il prévoit un mode survie et un update de firmeware béton…
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: OS pour bagnoles
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 4.
C'est pour la parti non sécuritaire. QNX est l'OS de blackberry maintenant. (bel OS d'ailleurs, un joli unix temp réel solide)
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 1.
Juste mort de rire.
Si tu veux avoir le droit de faire voler ton avion, tu as intérêt à respecter à la lettre ces normes. Et si tu fous à la poubelle 2 ans de dev avec une équipe de 10 personnes, tu le fait pour recommencer. C'est arrivé plus d'un fois (genre fadec A400M de mémoire).
Et si un jour tu bosses avec un DER de la FAA, tu comprendra comment prendre 18 mois dans un projet, parce que les specs ne lui plaisent pas.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas nouveau
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 1.
Airbus existe depuis 30 ans ? FT ? Google 15 ans ? Facebook 10 ans ? Twitter 5 ans ?
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
Les normes comme la DO178 demande que l'on prouve que le processus de fabrication du logiciel est clean. Cette norme est dans la même veine, puisque l'on ne peut pas prouver qu'un logiciel est sans bug, on exige que le processus soit parfait, que la doc soit complète et vérifié, et que le test respect certaine exigence (couverture de code minium, couverture de spec, etc…)
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas nouveau
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 2.
"C'est le cas par exemple des entreprises qui visent le marché de masse grand-public (on ne retiendra jamais 12 noms de petits fabricants de téléphone, par contre un seul très gros peut se faire une place à l'international),"
Je ne suis pas d'accord sur ce point. Archos avait reussi dans son temps, avant de baisser en qualité. Wikio commence à se faire un nom. Il existe aussi le fabricants français d'ordinateur de luxe, Cottin. Parrot marche fort. Il existe un tas de start up dans les objets connectés.
Chacune peut se faire un nom.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Quelles sont les entrées / sorties d'un tel programme ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 5.
Les freins peuvent être relaché par l'ABS, et si il y a un "cruise control", l'accélération est forcément géré en logiciel.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Et maintenant?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 1.
La NASA n'est pas un organisme de certification. Il aurait eu affaire avec la FAA, cela aurait été autre chose.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Preuve du code pour éviter ces âneries
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 2.
La norme https://fr.wikipedia.org/wiki/ISO_26262 est toute neuve, cela arrive doucement.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Et maintenant?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Encore un exemple de code spaghetti : Toyota. Évalué à 3.
D'après :
http://www.ansys.com/staticassets/ANSYS/Conference-2013/Static%20Assets/Esterel%20&%20System%20Overview%20for%20Auto%20Conference%20-%20FINAL.pdf
Toyota utilise SCADE suite, on peut imaginer que son code sera plus propre.
Sinon, le fait d'avoir un code open source ne change rien. Il faut avoir un code qualifié ou certifié, suivant une norme comme dans l'aéronautique, le nucléaire, l'industrie,…
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Pas nouveau
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 6.
On retombe quand même toujours dans les même critiques faite par les PME qui n'ont pas de ressource pour gérer un dossier de subvention : ils ne touchent rien et financent indirectement leur concurrent avec leurs impôts. Ces gens là préfère une baisse de charge, c'est plus facile à gérer.
La France à 2 ou 3x fois moins de grosse PME que l'Allemagne ou l'Italie. Par contre, on ne manque pas de champion multinational qui vivent surtout de l'étranger (CAC40).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: notion de nouvelle
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 3.
Airbus, c'est la fusion de l'aérospatial et de Matra. Le TGV, c'est les besoins interne de la SNCF.
France Telecom et Arianne espace sont né comme ça. Mais est-ce qu'à l'époque des Tweeter, Google et Facebook, il est encore nécessaire de démontrer que les mécanos géants ne sont pas la manière la plus efficace pour faire créer des grosses boites.
Cela me rappelles les projets de cloud, fait sans ovh… (mais avec orange et thales…)
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: C'est quoi un cluster ?
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Robovolution, politique économique et copains. Évalué à 4.
C'est la création de ça : http://www.robolutioncapital.com/
Le terme de cluster est donné par l'état. https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%B4le_de_comp%C3%A9titivit%C3%A9_en_France
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: heu....
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Bitcoin, le début de la fin?. Évalué à 2.
Pour la différence entre le 500 et 200€, la différence c'est le volume que représente une grosse somme. Donc, on peut considérer que si le billet de 500 disparait, la fraude serait divisé par 2.
Pour les diamants et autre, la revente rend tout plus compliqué que du cash.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: heu....
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Bitcoin, le début de la fin?. Évalué à 2.
Il semble que le billet de 500€ représente plus de 30% de la somme en cash disponible en euro. Vu que personne ou presque l'utilise au quotidien, il l'est pour des opérations rarement très propre.
D'ailleurs, si on fait disparaitre le billet de 500, le billet de 200 devrait augmenter de taille (ou d'épaisseur) sinon, il servira en substitution.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: LA question vraiment importante...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Système d'exploitation anonyme Whonix version 8. Évalué à 4.
La distribution peut fournir de base un ensemble de logiciel qui permet d'éviter les fuites (chat basé sur bitcoin, serveur web à service p2p…).
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: heu....
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal Bitcoin, le début de la fin?. Évalué à 10.
"Tu me mets un coup de clé à molette dans la rue et tu t’enfuis avec mon portable, tu fais comment pour chopper la passphrase ?"
L'algo, c'est tant que tu n'as pas dit la passe phrase, tu te reprends un coup de clé à molette.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Ca reste du "traditionel"...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal GNU/Linux Magazine: papier, numérique ou rien .... Évalué à 3.
La chaine d'édition que tu montres est purement électronique, il faut aussi intégrer le papier dans le cas présent.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Ca reste du "traditionel"...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal GNU/Linux Magazine: papier, numérique ou rien .... Évalué à 3. Dernière modification le 21 février 2014 à 11:03.
Les 2 ont raisons. Les magasines spécialisés ont vu leur vente divisé par 3 depuis la généralisation d'internet. Internet a encore une culture du gratuit, donc les formules payantes ont encore du mal à percer.
D'un coté les revenues baissent, de l'autre il faudrait investir massivement, car la techno des éditeurs de presse n'est pas encore adapté pour jouer sur les 2 tableaux (web+net)en même temps, à bas cout. Au final, ils font entre les 2 : investir, sans faire un all-in qui signerait leur mort en cas d'échec.
C'est vrai aussi, que créer une chaine d'édition libre pourrait aider. Les produits adobe semblent encore incontournable.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Ca reste du "traditionel"...
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal GNU/Linux Magazine: papier, numérique ou rien .... Évalué à 3.
J'imagine que le PDF est issue de leur outil pour l'imprimeur, outil qui est incapable d'exporter en HTML ou équivalent. Faire 2x le travail ne doit pas être jugé économiquement viable.
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: SRV
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse au journal HTTP2, le protocole écrit comme une loi américaine. Évalué à 2.
Cela n'est pas déjà possible avec plusieurs IP pour le même nom ?
"La première sécurité est la liberté"
[^] # Re: Intéressant
Posté par Nicolas Boulay (site web personnel) . En réponse à la dépêche Je crée mon jeu vidéo E09 : Techniques de C++11 appliquées au système à entités. Évalué à 0.
Parfois l'impératif est plus rapide (il peut éviter de créer des données intermédiaires), et c'est aussi un moyen de passé en douceur d'un modèle de programmation à l'autre.
"La première sécurité est la liberté"