Obsidian a écrit 5291 commentaires

  • [^] # Re: droit du travail, convention, rtt, etc

    Posté par  . En réponse au message Salaire: 38k pour 35h VS 38k pour 39h. Évalué à 2. Dernière modification le 14 novembre 2012 à 15:53.

    Message très pertinent, merci ! +1.

    J'ajoute qu'en tant que développeur, il m'est arrivé assez vite de dépasser mon taux horaire pour différentes raisons : deadline à tenir, un module que aimerait boucler pendant que je suis dans le bain, ou tout simplement le fait que je préfère laisser passer le trafic : pour faire Évry (proximité) <-> Boulogne-Billancourt, il me fallait 1h45 en RER et pareil pour en revenir, soit 3h30 par jour. J'ai fini par venir en bagnole quand même et payer le parking tout les jours mais en arrivant vers 10h30 et en repartant vers 20h00, j'arrivais à rallier les deux destinations en 40 minutes. Donc, au final, beaucoup moins crevé et plus productif.

    Tout cela pour dire que si tu es du genre à ne pas compter tes heures, autant être comptabilisé sur 39h et les récupérer sous forme de congés RTT. Si on te laisse en placer la majeure partie, ça te permet par exemple de faire le pont entre Noël et le jour de l'an, ce qui est confortable, surtout en famille.

  • # Record battu !

    Posté par  . En réponse au journal Enfin !!!!. Évalué à 1.

    +254 à l'heure où j'écris. Je crois qu'aucun journal n'a fait mieux !

  • [^] # Re: Non libre

    Posté par  . En réponse au message Ctrl + C pendant un mkfs.ext3 ... Pas glop !. Évalué à 2.

    Quel genre de messages obtiens-tu quand tu essaies de supprimer ta partition avec fdisk ?

    Pour info, il faut lancer fdisk en root (ou au moins avoir les droits complets sur le périphérique spécial) avec « fdisk /dev/hda », puis taper « d » et « entrée » pour demander à effacer une partition, puis « 1 » et « entrée » pour choisir la bonne, et enfin faire « w » (_write_) et « entrée » pour que les modifications soient appliquées et que fdisk se termine de lui-même.

    Et ensuite, évidemment, il faut recréer une partition à la taille qui t'intéresse (fût-ce le disque entier), et lancer mkfs sur cette partition (_a priori_ /dev/hda1) et pas sur le périphérique spécial du disque entier (/dev/hda).

  • [^] # Re: défectueux

    Posté par  . En réponse au message Ctrl + C pendant un mkfs.ext3 ... Pas glop !. Évalué à 4.

    Pour info, le « Ç » se trouve sur la touche « 9 ». :-)

  • [^] # Re: Non libre

    Posté par  . En réponse au message Ctrl + C pendant un mkfs.ext3 ... Pas glop !. Évalué à 3.

    À raison de 1024 octets par bloc, ça donne respectivement :

    — 3000592982016 octets pour le disque entier, soit 3,0005 Tera-octets décimaux ;
    — 801569953792 octets pour la partition 1, soit 801,56 Giga-octets décimaux ;

    Ce sont donc exactement les chiffres que tu nous as donnés. A priori, donc, ton disque fonctionne.

  • [^] # Re: Non libre

    Posté par  . En réponse au message Ctrl + C pendant un mkfs.ext3 ... Pas glop !. Évalué à 2.

    Que te donne un cat /proc/partitions ?

  • # Pourquoi du low level ?

    Posté par  . En réponse au message Ctrl + C pendant un mkfs.ext3 ... Pas glop !. Évalué à 10.

    Je ne comprends pas trop ta problématique ! « mkfs » signifie « Make Filesystem ». Il s'agit donc d'un formattage purement logique ! À dire vrai, il ne fait que construire le système de fichier. Si tu l'as interrompu avant la fin, il est normal qu'il ne voie que la partie qu'il a initialisé. Et encore, c'est presque étonnant que ça fonctionne quand même.

    Pourquoi tu ne relances pas simplement mkfs.ext3 en le laissant aller jusqu'à son terme ?

  • [^] # Re: Le retour...

    Posté par  . En réponse au journal Si on commençait un nouvel OS libre de bureau aujourd'hui.... Évalué à 3.

    Décidément, les backronyms, ça peut devenir redoutable, parfois…

  • [^] # Re: Canard PC

    Posté par  . En réponse au journal MER7 en faillite. Évalué à 5.

    C'est sûr que c'est très ennuyeux. Cela dit, si tu es un lecteur régulier (et qu'il ne reste plus qu'un magasine disponible de ce genre une fois disparus ceux que tu cites), tu dois avoir la possibilité de t'abonner. Dans ce cas, tu devrais pouvoir te faire livrer en Belgique sans problème. Cela reste contraignant, j'en conviens.

  • # Bit supérieur

    Posté par  . En réponse à la dépêche 1024: l’initiative un courrier de sensibilisation des acteurs locaux par jour passe au bit supérieur. Évalué à 6.

    est passée au bit supérieur le samedi 20 octobre 2012 avec l'envoi de l'enveloppe 1024.
    Et ça continue :-) rendez-vous en 2013 pour la suite !

    Et en 2048, surtout ! :-)

  • # Y a pas que le code dans la vie

    Posté par  . En réponse au journal Pourquoi je n’arrive pas à contribuer au logiciel libre.. Évalué à 8.

    Il ne faut pas oublier non plus que tu peux contribuer au libre autrement qu'en codant : les traductions, par exemple, sont un vrai boulot qui demande de la culture, qui est semé d'embûches et qui reste très important pour avoir un système de qualité, tant aux yeux des décideurs que des utilisateurs lambdas. Tu peux aussi ajouter du contenu à une ressource existante, par exemple en créant des jeux d'icônes ou bien des C.S.S. pour le site, ce qui est également chronophage si tu veux faire quelque chose d'un minimum travaillé.

    Autrement, si tu en as les compétences et le courage, tu peux toujours t'adonner au reverse engineering et écrire pour Linux ou un autre noyau les pilotes des périphériques qui sortent en permanence dans le commerce. Là, pour le coup, il y aura toujours de quoi faire.

  • [^] # Re: ?

    Posté par  . En réponse au journal Ubuntu 12.10 veut ma mort. Évalué à 2.

    Je pense que par un malheureux concours de circonstances, son lien a dû l'envoyer d'emblée vers la Tribune. :-)

  • # Poetric ou Poésique

    Posté par  . En réponse au message Poetric ou Poésique. Évalué à 2.

    Poetric ou Poésique

    J'attendais le jeu de mots avec « Poettering » mais non. Déçu, je suis. :-)

  • [^] # Re: lsof ?

    Posté par  . En réponse au message espace disque qui est grignoté. Évalué à 2.

    Donc en gros pour trouver ce genre de problèmes un petit coup de lsof et de awk derrière avec les options qui vont bien pour lister par taille.

    Il vaut mieux même commencer par faire un grep sur ceux qui sont marqués comme « (deleted) ». Même si c'est autorisé, il s'agit quand même dans la plupart des cas d'une irrégularité.

    c'est plus malin donc de d'abord stopper le processus, puis effacer son fichier de log que le contraire où on oublie de stopper le processus.

    Ça va sans dire, mais personne n'efface volontairement un fichier de log sans arrêter le processus quand on ne sait pas ce que l'on fait. D'abord, un processus ne devrait pas garder un fichier ouvert en permanence. Ensuite, rien ne t'indique dans un ls ou un find si un fichier est actuellement utilisé ou pas. Ce genre de problème arrive justement lorsque l'on efface d'emblée un fichier sans savoir à quoi il sert.

    À noter qu'il existe un deuxième cas, pourtant élémentaire, qui peut causer ce genre de surprise : les liens durs. Tout le monde aujourd'hui est habitué à coller des liens symboliques pour tout et n'importe quoi, et à délaisser l'usage des liens durs. Je pense que c'est principalement dû à un effet de mimétisme lorsque l'on provient d'autres systèmes où ce concept n'existe pas. Moralité : on tombe sur un gros fichier qui fait 2To, on l'efface et là, l'espace n'est pas libéré. Gros moment de solitude de l'admin débutant s'il ne pense pas à cette possibilité très simple.

  • [^] # Re: lsof ?

    Posté par  . En réponse au message espace disque qui est grignoté. Évalué à 3.

    C'est trop simple pour être ça ou… ça doit être trop tordu pour être évident ?

    La clé du mystère, c'est que tu peux aussi les arrêter APRÈS ! Mais il faut penser à le faire.

  • [^] # Re: lsof ?

    Posté par  . En réponse au message espace disque qui est grignoté. Évalué à 10.

    Je ne comprend pas bien le rapport avec le fichier effacé mais pas ferm**É**.

    C'est un grand classique de l'administration système qui te donne l'impression d'avoir de la « matière noire » sur ton disque dur. Lorsque tu effaces un fichier, celui-ci n'est réellement retiré du disque que lorsque plus aucun lien dur ne le référence ET lorsque plus aucun processus en cours d'exécution ne possède un handle ouvert le concernant. Si une de ces deux conditions n'est pas remplie, il continue d'exister tout-à-fait normalement et son i-node est toujours valide. Le système de fichiers fait automatiquement le ménage quand elles le deviennent. Créer un nouveau fichier portant le même nom n'a alors aucune incidence : son i-node sera différent et il s'agira bien d'un fichier distinct.

    Heureusement que ça fonctionne ainsi d'ailleurs, sinon détruire un fichier suffirait à faire planter un processus. C'est aussi ce qui te permet de mettre tes bibliothèques à jour sans avoir à passer en mode dégradé : les processus existants continuent leur tâche comme si de rien était et tout nouveau processus lancé après la mise à jour référence le nouveau fichier.

    Il arrive souvent que des processus qui tiennent un log deviennent fous et entrent dans une boucle infinie dans laquelle ils écrivent sans relâche la même ligne. Donc, le log grossit jusqu'à occuper tout l'espace. Quand on est tout d'un coup confronté à ça, le réflexe humain est de faire un find pour trouver les plus gros fichiers et quand on voit que le responsable est un seul gros fichier de log qu'on lit une fois l'an, on l'élimine en général aussi sec. Et là, « c'est le drame ». :-) Le fichier a bien disparu mais l'espace n'est pas libéré. Pire, il continue à fuir. Là, en principe, une partie substantielle de la communauté des admins envisagent une réinstallation complète, voire une cyber-attaque terroriste en provenance des antipodes.

    En gros ma question c'est surtout comment on évite de se trouver dans des situations comme celle-là.

    Il suffit de terminer le ou les processus qui tiennent ce fichier ouvert, tout simplement. Voire même, lorsque c'est possible, leur demander gentiment de le refermer. Et là, miracle. On récupère d'un coup une quantité d'espace que même le BOFH n'aurait jamais osé annoncer.

  • [^] # Re: lsof ?

    Posté par  . En réponse au message espace disque qui est grignoté. Évalué à 2.

    C'est bien le cas, et les tailles semblent correspondre à ce que tu cherches : 1,28To + 587Go ≈ 1,7-1,8 To, « à une vache près » comme dirait Astier. Le numéro qui suit est l'inode.

    Yapukafaukon,

  • # lsof ?

    Posté par  . En réponse au message espace disque qui est grignoté. Évalué à 4.

    Hello,

    j'ai bien pensé à un fichier de log effacé mais pas refermé, mais je ne me souviens pas de la commande pour trouver lequel serait fautif
    il est vrai que je pourrais rebooter le serveur qui tourne depuis 204 jours, mais il y a des services que je ne maitrise pas dessus.

    Comme ça, je dirais lsof, sinon un petit ls -l /proc/*/fd/*.

  • [^] # Re: Vous n'achetez jamais d'éponges ?

    Posté par  . En réponse au journal Le cycle des éponges. Évalué à 3.

    Oui, mais ça ne suffit pas : à ce compte-là, les pierres et les os humains sont eux-aussi des polluants. A contrario, un poison violent versé dans une rivière et dont la période de dégradation serait celle d'un végétal devrait quand même être considéré comme polluant puisque non seulement elle tuerait toute forme de vie aquatique dans la rivière sur une durée suffisamment longue mais empêcherait le reste de l'écosystème, homme compris, de jouir de la rivière, pour la boire par exemple, et pourrait même obliger les gens à éviter son secteur géographique.

    Le Wiktionnaire donne la définition suivante : « Rejeter des produits nocifs dans l’environnement. »
    Le Larousse dit : « Polluer [un lieu, l'air, qqch…] les dégrader et les rendre malsains, dangereux en y répandant des matières toxiques. ».

    Mais bien sûr, une matière n'a pas non plus besoin d'être toxique pour être polluante. Question de point de vue. Je crois qu'on peut en fait considérer comme polluant toute matière introduite dans un environnement et qui soit à la fois nuisible et difficile à isoler.

    Si on s'en tient à cette dernière acceptation, un produit toxique libéré dans la nature est forcément polluant s'il a le temps de faire des dégâts et/ou des victimes avant de se dégrader.

  • [^] # Re: Vous n'achetez jamais d'éponges ?

    Posté par  . En réponse au journal Le cycle des éponges. Évalué à 2.

    D'accord, mais quelle définition donnerais-tu au terme « polluant », dans ce cas ?

  • [^] # Re: Vous n'achetez jamais d'éponges ?

    Posté par  . En réponse au journal Le cycle des éponges. Évalué à 2.

    Le gaz moutarde n'est pas un polluant ? :-)

  • [^] # Re: Le cycle des éponges

    Posté par  . En réponse au journal Le cycle des éponges. Évalué à 7.

    Heuu c'est fait exprès ?

    Oui, c'est fait exprès, et c'est aussi une des nombreuses blagues récurrentes qui circulent sur DLFP.

  • # Le cycle des éponges

    Posté par  . En réponse au journal Le cycle des éponges. Évalué à 10.

    Si tu t'ennuies, j'ai plein de boulot à te faire faire. :-) (à commencer par la salle de bain, d'ailleurs).

  • # This is the data we're looking for !

    Posté par  . En réponse au journal Saybô !. Évalué à 10.

    Effectivement, il y a de quoi se poser des questions ! :-)

    Google Trooper

  • [^] # Re: Pourquoi du binaire

    Posté par  . En réponse au journal Documentation du format du Journal. Évalué à 2.

    Et encore, peut-être qu'en klingon je me ferais mieux comprendre.

    Chiche ! :-)