<Ma vie à moi, aussi>
Pareil pour moi, l'obligation de lire "La Peste" m'a définitivement fait tourner le dos à cet auteur (pour autant que je puisse le nommer ainsi , car mon souvenir est vraiment douloureux ...)
D'autres auteur, comme Michel Butor, ont aussi franchi la porte de sortie, qui s'est ensuite malencontreusement coincée, les laissant au dehors de mon panorama littéraire!
</Ma vie à moi aussi>
:))
Oui, dailleurs il va faire comme dans son précédent procés: il va payer en licences de logiciels.... :)
Et qui c'est qui va être content de récupérer 45320 licences d'Office Pro, hein? C'est InterTrust .....
Je trouve aussi que le fait d'implémenter TCPA est un tort : avec l'arrviée toujours croissante de linux, le fait qu'il n'accepte pas TCPA devra obliger les "services" intéressés par TCPA à faire autrement pour pouvoir toucher la population d'utilisateurs Linux.
Il suffit de reprendre l'exemple de Windows : cette m**** infâme qui plante tout le temps (j'ai win98) est distribuée à une population énorme, et tous les logiciels à vocation "grand public" doivent (ou plutôt devraient) prendre en compte les incroyables bugs et autres trous de sécurité que recèle cet OS ( de m****, bien entendu).
Faire de la résistance à TCPA ne vaut le coup que si les "resistants" sont nombreux !
(PS: je m'excuse de m'être laissé emporté contre windaube :)), mais ça fait du bien! )
Est-ce que les acteurs du libre ne pourraient pas aller en justice pour dénoncer cette concurrence déloyale!
N'oubliez pas qu'un logiciel "en boîte" n'a pas d'autre valeur intrinsèque que le prix de la licence et le packaging (je ne parle pas d'amortissement du developpement, et autres, mais seulement de la visibilité du "client" sur le prix du produit). Or, le prix de la licence dépend seulement du propriétaire: M$ aurait pu rembouser les 21 millions $ en un seul logiciel, en déclarant faire don d'un logiciel "Micro$oft Office" dont la valeur est de 21 millions .... (c'est à la tête du client :)) ).
La plainte pourrait porter sur deux points:
- Ce genre d'arrangement ne permet pas la concurrence d'autres sociétés commerciales (certaines travaillent avec du logiciel libre) qui sont bien entendue lésées dans ce deal.
- La vocation d'un logiciel grand public est sa distribution au plus grand nombre, et en cela, certains logiciels libres sont en "concurrence" frontale avec des logiciels propriétaires. L'accord passé avec M$ laisse à M$ toute la place, sans que les autres (et notamment les LL) ne puissent s'exprimer.
Je ne vois pa ce qui est choquant dans ce qe tu sembles dénoncer comme "méthodes mico$oft" et "corruption", il faut savoir que cela est légal là-bas. Par contre ici, il est clair que ce genre d'arrangements doit tout de suite faire l'objet de publicité !!
C'est justement comme travailleur chez Bull, que je voulais souligner ce point!
Je voudrais rappeller que le pb "Bull" est en partie causé par l'aspect politique: des patrons qui changent en fonction des gouvernements au pouvoir, ça n'a jamais amené une entreprise à réussir! D'autre part, ce copinage a permis à des nullités incroyables de prendre les rennes, de faire plaisir aux autres (par exemple : vente de la filliale CP8 et des antennes/filliales européennes par le très peu recommandable "G. de P." (laissons un brin de mystère) :)) ), de se faire plaisir (vive les golden parachutes pour les messier-likes !!).
Aujourd'hui, la situation n'est pas fabuleuse, mais les boulons ont été resserrés, et on est en passe de franchir le cap.
Il faut savoir que Bull est (toujours) un grand constructeur européen (au moins par la taille) et que l'Europe, au nom de la concurence (quelle concurrence? la concurrence américaine!!), risque de mettre à mal cette remise en marche.
Voilà c'était mon coup de gueule, et maintenant, j'arrête, c'est promis ;)
Je voudrais aussi ajouter ma pierre : le software n'est pas le seul élément de l'indépendance informatique!
Si vous regardez autour de vous, vous verrez que la plupart des éléments hardware sont de conception américaine, japonaise, et sont souvent produits à l'étranger!
Sans entrer dans la paranoïa, que reste-il de l'informatique européenne à part qq SSII qui agissent comme des revendeurs (en ce qui concerne le HW) ?
Même l'Etat français encourage l'achat de matériel "américain", et s'appuie sur des compétences de boîtes US pour réaliser l'intégration de ces matériels/logiciels. Même si nos compratriotes travaillent dans de telles boîtes en France, ils sont quand même à la merci d'un management étranger (peut-être Européen, ce qui est un moindre mal) voire US!
Des applications critiques tournent sous des OS US (Solaris, AIX, HPUX,windaube) et nous rendent dépendants des disponibilités des patchs de sécurité!
Alors bien sûr, le climat n'est pas orageux (heureusement) mais c'est faire preuve d'une belle candeur que de croire pouvoir maîtriser/sécuriser entièrement des éléments "boîtes noires" dont on ne connait que les fonctionnalités externes, le plus souvent.
PS: Au secours !!! (un peu d'autodérision ne fait pas de mal :)) )
(Je sens le troll monter ...)
Je n'ai pas l'impression que le progrès, c'est une position conservatrice sur des "acquis" (un mot de consommateur, ça !!) sociaux, assez décalés des réalités de la vie quotidienne: en cela je ne pense pas aux congés payés et d'autres institutions d'intérêt national, mais plutôt aux faveurs destinées à quelques corporations et concédées en d'autre temps (par exemple, la retraite à 55 ans pour un cheminot ???? alors qu'un mec qui travaille sur chantier a beaucoup plus de chance (si on peut parler comme ça) de mourir d'épuisement avant sa retraite à 60 ans!) (par exemple encore,la célèbre "prime de charbon" dans un pays leader en technologie de production d'électricité !!).
Faisons table rase de ces pseudo-acquis, qui ne font que s'opposer les différentes parties de la population (par exemple, il faudrait INTEGRER ces primes au salaire et arrêter de les traiter en tant que prime) (en plus ça ferait des économies sur la gestion).
"Aujourd'hui le public grogne, et nous, dans le privé, on se sent dégouté qu'ils puissent abuser de leur situation presque "agréable" ": c'est encore une opposition qui provient de ces pseudo-acquis, qui multiplient les points de comparaison, et qui laisse toujours à une tranche de la population (jamais la même) un sentiment de frustration.
Il ne faut pas se battre pour sa corporation (il faut bien parler de cela, puisqu'on désigne les grévistes sous la forme: les grévistes cheminots, les grévites de fonction publique territoriale, les grévistes de l'éducation nationale.....) mais pour un traitement GENERIQUE du travail et une grille CLAIRE, EXPLICITE (pour les raisons) et NON DEFINITIVE de l'attribution d'avantages. Cela permettra de faire progresser le travail (notamment dans le mamouth Administration) en rendant compte de la pénibilité réelle et actualisée de chaque poste.
D'autre part, je tiens à souligner l'antinomie entre "Acquis" et "Progrès" quand on prend en compte l'attitude des différents acteurs Syndicats et Gouvernement: le progrès ce n'est pas de conserver absolument ses acquis, et le fait de posséder des acquis ne doit pas les rendre définitifs, immuables au progrès!
Exactement!
Replaçons le mail dans son contexte : on voit bien que le ton utilisé est loin de celui, mielleux, du "vent d'hiver" (ou qqch comme ça!).
L'information pertinente, à mon sens, c'est les conneries qu'auraient faites les "hospitaliers".
C'est cela qu'il faut utiliser pour promouvoir le Libre : "vous vous êtes mis dans la m*** avec M$, il est encore temps de sauver votre budget (= votre peau :)) ) avec du Libre, et des logiciels issus de la contribution volontaire, qui évoluent et s'améliore de manière continue au rythme de leurs utilisateurs".
Et non : "M$ c'est des méchants (ça tout le monde le sait :)) ) et ils n'en veulent qu'à votre portefeuille (comme toutes les compagnies commerciales) et ils font du "lobbying" (ça c'est mal, c'est très Américain!) pour vous "forcer" (bouh, pas bien!) à utiliser leur logiciel (sous-entendu "de m**de", donc pas bien encore)"
Interpellons plutôt les décideurs sur l'intelligence de basculer dans le Libre plutôt que des les lancer dans un débat moral (qui n'a aucun rapport avec l'utilisation de leur budget, sauf peut-être l'aspect "décision politique").
Une petite remarque sur l'utilité de ntpdate et du démon ntp:
- xntpd permet une synchronisation, dans le sens où un ensemble de machines synchronisée aura une dérive (temporelle) limitée par rapport à un serveur de temps.
- ntpdate est une commande de mise à l'heure, équivalente à la commande date lors de la mise à l'heure brutale (decalage horaire supérieur à 128ms) .
Lors la de la mise en oeuvre d'une synchronisation, il est conseillé de mettre d'abord les machines à la même heure avec ntpdate puis de les "enchaîner" avec le démon xntpd.
Perso, je ne vois dans l'achat d'une "licence" Un*x que la "preuve" que M$ a utilisé du code "propriétaire" pour consolider un OS mal en point (c'est un avis perso....) et lui permettre de na pas rester tout seul dans une salle machine
( Win: Dis, j'ai pas d'ami, tu veux être mon ami?
Un*x : Nan, d'abord j'te comprends même pas ....)
C'est une "reconnaissance" de la dette qu'ils (les gens de M$) doivent aux développeurs d'outils performants et stables.
Et même s'ils en profitent pour augmenter la tension dans cette affaire, il faut y voir plus la pertinence du développement d'Un*x que le règlement d'une reconnaissance de la propriété intellectuelle (c'est un adjectif qui ne s'accorde pas très bien avec SCO, ces derniers temps...).
Deux remarques :
La première est le prix des logiciels offerts : 25 millions d'euros, c'est en fait un don calculé par rapport aux prix des licences de ces logiciels, c'est à dire que ça n'est pas son prix réel : quelques euros pour le pressage des CDs et les jaquettes. De toutes manières, le prix que je donne aux logiciels M$, même multiplié par X copies, ça fait toujours 0 !! (Le prix de quelque chose c'est toujours l'argent que nous sommes prêt à mettre pour l'acquérir : M$ ne vaut presque plus rien pour Aragon :)) )
La seconde : je trouve dommage qu'une nouvelle distribution soit réalisée pour l'Aragon. Je m'explique : comment les services publics d'un état déjà "plus ou moins fédéral" peuvent faire front uni devant M$, si on multiplie les distribs ? Il aurait mieux valu, AMHA, reprendre le projet LinEX (c'est à dire y participer et y apporter d'une part des compétences (celles de l'administration d'Aragon) et d'autre part un/des budget(s)) pour le fortifier, plutôt que de s'éparpiller. Ils auraient comme ça un LinES, plus général, servant de base à des administrations plus solidaires, et procurant un outil transversal, manipulables par tous les fonctionnaires.
J'imagine déjà l'arrivée d'évaluation sur Linux pour les concours d'entrée de la fonction publique espagnole .....
Je reviens sur ce texte, au démarrage fulgurant et à la fin lamentable.
La Carpe et le Lapin:
Je trouve cette partie bien écrite, intéressante et elle peut donner un oeil neuf sur les réelles motivations de qq grandes boîtes. Cependant l'exposé de ces motivations semblent couler "naturellemnt" sous la "plume" de M Bugnon. La stratégie mise en place par ces grandes boîtes n'aurait-elle pas été copiée sur celle de M$ ? (rappellez vous combien M$ était content de trouver une communauté de programmeur shareware pour faire avaler son OS (95/98) aux particuliers...)
Le "dilemme" présenté ne montre que deux alternatives: l'hypocrisie et la tromperie ou la franchise et le choc. Je ne crois pas que cela soit aussi "binaire", il manque la troisième possibilité, celle réllement mise en pratique : on développe Linux (en Libre) et on vend le service d'installation . Il n'y a pas tromperie, la communauté du Libre n'est pas dupe (conne ?) :))
Quand à la perennité, il faut rappeler les incompatibiltés notoires entre les versions des OS M$ (qui déboulent quand même tous les deux ans!), qui d'ailleurs aujourd'hui provoque des problèmes dans le déploiement du Server 2003 !!!
Je t'aime (pas) moi non plus (M Bugnon !)
Etrange mélange ici : tout y passe ! Les BSD, les Linux, les asso de promotion du libre et de l'Open Source, toutes sont (doivent être plutôt, aux yeux de M$) en opposition! C'est oublier que derrière la surface lisse de M$, il y a certainement des dissentions internes, des guerres de (petits) chefs, etc.... La différence entre l'entreprise (à pognon) M$ et le Libre (en général) c'est la capacité de gens du Libre à s'exprimer en toute liberté, à proposer et à ne pas être d'accord. On compare souvent cette activité à un fourmillement (? orthographe ?) tribal, moi j'y vois plutôt un creuset de créativité !
Pourquoi êtes-vous là ?
Tenter de justifier votre opération de quasi-espionnage (mdr!) pour mettre en avant votre "intéropérabilité" avec les systèmes ouverts est une piètre excuse. Heureusement que Windose a intégré du code libre, ce qui lui permet de ne pas se sentir seul dans les salles machines ! De plus l'intéropérabilité n'est pas l'apanage de Zindoz, c'est le minimum requis aujourd'hui pour qu'un OS puisse exister.
Dépendance, quelle dépendance ?
1- J'aimerais changer la question du point n° 1:
Quelle est la part du budget informatique induite par l'utilisation de Windows ? car utiliser Windows, c'est s'arracher les cheveux sur les pb de sécurité, c'est payer des licences pour M$ et pour tous les logiciels (non M$) qui sont obligatoirement payant sur cette plateforme , c'est s'interdire de réutiliser l'ancien matériel (car rendu obsolète par les pré-requis matériel de Windaube).... Ca, ça coute très très cher!
2- Où est le vrai enjeux ? ==> question subjective, à laquelle je donne ma réponse : dans l'élevage des champignons en haute-Dordogne ! (Ma réponse se vaut autant que la sienne sur ce type de question)
3- Elle est où l'arnaque ...?
La phrase qui me fait sourire : "Que les entreprises ne réalisent pas que la démarche consiste à préserver leur vraie dépendance vis-à-vis de sociétés qui ont oublié que linformatique devait être au service de ses utilisateurs, est assez étonnant.".
De mauvaise foi, je me demanderais si cette définition n'est pas celle d'une célèbrissime société d'informatique de R......t, USA, Mais comme j'essaie de nas pas attaquer trop bas (mais un peu quand même), je pense qu'il nous (vous aussi lecteurs!) prend pour des cons, car tout le monde ici a en tête que l'acceptation de Linux et des LL passe par une acceptation du grand public (voir les efforts de toutes les distribs dans ce sens).
Chiffon rouge et Palladium
Ici, c'est le fin du (de la) fin!
On a droit à un discours publicitaire, très aggressif (t'en fait pas Christophe Le Bars, ta traduction sur les dangers de Palladium ne t'apportera pas d'ennuis, rassure toi, même malgré ta dénonciation nominative scandaleuse de Pierre Bugnon) où mensonges, interprétations fallacieuses, oublis volontaires, combinaisons de preuves sans origine et désinformation ont la vedette.
La citation "Dire des idioties, de nos jours où tout le monde réfléchit profondément, c'est le seul moyen de prouver qu'on a une pensée libre et indépendante" (B.Vian), dont (que) vous abusez, M Bugnon, me fait penser aux récentes attaques de SCO contre le noyau Linux : M$ n'est plus la grande entreprise qui peut changer (maitriser?) la planète, mais seulement elle prend peur d'un phénomène nouveau qui peut tarir sa poule aux oeufs d'or.
Attention !!
Sur certains systèmes Unix (AIX), ntpdate n'est pas compatible avec le démon ntp.Ca peut sembler incroyable, mais je l'ai testé.
Je ne sais pas si cela a été reproduit sur Linux.
D'autres remarques sur ntp:
La mise à jour de l'heure s'effectue de manière douce ou brutale. La manière douce est une sorte de ralentissement/accélération de l'horloge locale vers l'heure de référence. La manière brutale est un changement en force de l'heure.
Si la différence entre l'heure de référence et l'heure locale est supérieure à 1024 s (si je me souviens bien) le démon ntp peut s'arrêter.
Si la différence entre l'heure de référence et l'heure locale excède 128ms c'est la mise à l'heure brutale qui est appliquée.
Sinon, la mise à l'heure se fait de manière douce.
Ntp est un démon qui fait bien son job (synchronisation) mais sa mise en oeuvre est parfois délicate....
Je me demande si la réalisation "en aveugle" de certaines fonctions essentielles ne conduit pas invariablement à réécrire un code toujours (ou presque) similaire.
C'est peut-être dans une telle situation que SCO a jugé (certainement de mauvaise foi) que les lignes du code du kernel Linux sont tirées des lignes de leur propres solution, "parfois légèrement modifiées de façon à masquer la contrefaçon".
De toutes manières, envisager la "contrefaçon" plutôt que de s'étonner d'abord de la ressemblance dans l'écriture du code montre bien l'état d'esprit agressif dans lequel se trouve SCO.
De toutes manières, je suis très étonné que leur prise de conscience aussi "tardive" corresponde à un moment de crise financière chez eux....
J'apprécie beaucoup ces commentaires sur l'ouverture de la démarche artistique à la démarche du Libre. J'ai l'impression d'avoir compris un truc, d'être un peu moins bête qu'hier!
C'est vrai qu'une mise en oeuvre d'une telle démarche peut certainement transformer la production artistique.
Par contre, dans ce cas, quid des droits d'auteurs? Est-ce que l'auteur du produit fini pourra emttre des prétetions sur les différentes phases de création par lesquelles il est passé (prétention sur les méthodes utilisées (cf brevet "logiciel"), ou/et prétention sur chaque produit intermédiaire (entre l'application des deux méthodes/phases)) ou uniquement sur le produit fini?
Enfin, est-ce qu'on pourra associer l'artiste à un artisan?
D'ailleurs le passage au Libre pourra divulguer les recettes de cuisine habituellement mise en oeuvre qui permettent de rendre célèbre ! (ex: la Méthode Goldman, ou la Méthode Obispo, ou la Méthode Picasso :)) )
Je crois que le mot démocratie n'est pas bien appliqué: la démocratie ce n'est pas la loi du plus grand nombre mais seulement le pouvoir au peuple! Ce qui n'est pas la même chose.
Ici, si les gens (le peuple) était interrogé sur ce sujet (il ne l'est pour le moment, je tiens à le rappeler) je ne crois pas qu'il laisserait passer de telles choses. Le problème est que ces lois sont faites par des hommes politiques, pour ête compréhensibles par d'autres hommes politiques (les votants au Parlement) et être appliquées par d'autres catégories bien spécialisées (juristes, aministration).
Alors bien sûr, elles sont complètement incompréhensibles pour le citoyen lambda (je ne dis pas qu'il est "con" mais seulement, que l'on ne s'est pas adressé à lui ....) qui ne voit pas dnas ce cas les conséquences de ce qu'elles peuvent apporter. (Rem: je ne me place pas au-dessus des citoyens lambda, car il existe bien d'autres domaines spécialisés où je ne comprend absolument rien)
C'est pour cela qu'il faut gratter le vernis, extraire les idées et savoir les présenter pour donner aux autres le point de vue que nous avons sur la question.(ce n'est bien sûr pas le seul, et d'autres savent aussi le présenter sous la forme, par exemple, d'une sécurisation meilleure de la vie de chacun)
Je pense que tu as raison, ton point de vue se vaut.
Néanmoins, l'histoire récente a montré les dérives du (sur-)flicage (Dans les Procès truqués du communisme (Moscou, Prqgue...) les foisons de faits récoltés ont été interprétés de manière volontairement érronée, et les accusés devaient justifier les raisons de ce nombre incalculable de faits reprochés).
De même, la bigbrotherisation peut amener rapidement à la dérive (1984 bien sûr, mais aussi Staline, Hoover ou d'autres férus du pouvoir).
Le problème n'est pas que ça ne change rien : c'est la théorie que "suppositoire à crans" qui est appliqué. Un petit peu hier, un petit peu aujourd'hui, un petit peu demain, et comme nous sommes habitués, on agmentera les doses ni vu ni connu.
Alors oui, on trolle beaucoup ici, peut-être que cela nous rassure. MAis le plus important est que cela nous permet de nous rendre compte où on en est et surtout vers où on va!
La liberté d'expression n'est pas la seule (l'unique) raison de se "battre" (d'ailleurs personne ne se bat ici, mais plutôt tout le monde propose !), il faut aussi tenter de conserver le sentiment de liberté (cette chose qui te donne l'impression de n'avoir pas à justifier tes actes en permanence à une quelconque autorité). Ce sentiment est bafoué de plus en plus, même commence à entamer réellement les droits que nous avons et nous charge de devoirs (sans contrepartie)!
Où est dans ce cas la liberté perso?
Elle s'arrête là où commencent celles des entreprises/administrations (des voisins de plus en plus encombrants)?
J'ai toutefois entrevue à la fin la fragilité de notre (informaticien/geek) position: nous maîtrisons l'outil technologique, mais pas son support!
La fabrication de l'ordinateur nous échappe complètement, et nous sommes "à la merci" des constructeurs.
C'est un point qui me semble important car le matériel peut nous chasser/pister et nous limiter, selon la volonté du constructeur. (ex célèbre : le TCPA).
De même nous dépendons du réseau de distribution de ces matériels, ce qui peut nous en empêcher l'accès (pour des motifs financiers ou le refus de vente par exemple).
Le développement du Libre (en général) doit être aussi axé sur ce point.
Le Libre promet une nouvelle société de l'Information, mais n'oublions pas l'aspect physique, celui qui nous relie à cette Information.
[^] # Re: Des nouvelles de MandrakeSoft
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Des nouvelles de MandrakeSoft. Évalué à 2.
[^] # Re: Les ordinateurs portables dans les collèges un an après
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Les ordinateurs portables dans les collèges un an après. Évalué à 1.
[^] # Re: Procès InterTrust : les DRM de Microsoft remis en cause
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Procès InterTrust : les DRM de Microsoft remis en cause. Évalué à 1.
<blockquote>
Il y a deux types d'avocats :
- celui qui connait bien la loi
- et celui qui connait bien le juge ...
</blockquote>
[^] # Re: Procès InterTrust : les DRM de Microsoft remis en cause
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Procès InterTrust : les DRM de Microsoft remis en cause. Évalué à 1.
Et qui c'est qui va être content de récupérer 45320 licences d'Office Pro, hein? C'est InterTrust .....
(mdr)
[^] # Re: GnomeMeeting 0.98, nome de code "Buddha Matreya release" est disponible.
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche GnomeMeeting 0.98, nom de code "Buddha Matreya" est disponible.. Évalué à 1.
[^] # Re: DRM ?
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Linus va travailler à plein-temps sur le noyau Linux. Évalué à 1.
Il suffit de reprendre l'exemple de Windows : cette m**** infâme qui plante tout le temps (j'ai win98) est distribuée à une population énorme, et tous les logiciels à vocation "grand public" doivent (ou plutôt devraient) prendre en compte les incroyables bugs et autres trous de sécurité que recèle cet OS ( de m****, bien entendu).
Faire de la résistance à TCPA ne vaut le coup que si les "resistants" sont nombreux !
(PS: je m'excuse de m'être laissé emporté contre windaube :)), mais ça fait du bien! )
[^] # Re: D'une pierre deux coups
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Procès antitrust : un poursuivant de moins.... Évalué à 5.
N'oubliez pas qu'un logiciel "en boîte" n'a pas d'autre valeur intrinsèque que le prix de la licence et le packaging (je ne parle pas d'amortissement du developpement, et autres, mais seulement de la visibilité du "client" sur le prix du produit). Or, le prix de la licence dépend seulement du propriétaire: M$ aurait pu rembouser les 21 millions $ en un seul logiciel, en déclarant faire don d'un logiciel "Micro$oft Office" dont la valeur est de 21 millions .... (c'est à la tête du client :)) ).
La plainte pourrait porter sur deux points:
- Ce genre d'arrangement ne permet pas la concurrence d'autres sociétés commerciales (certaines travaillent avec du logiciel libre) qui sont bien entendue lésées dans ce deal.
- La vocation d'un logiciel grand public est sa distribution au plus grand nombre, et en cela, certains logiciels libres sont en "concurrence" frontale avec des logiciels propriétaires. L'accord passé avec M$ laisse à M$ toute la place, sans que les autres (et notamment les LL) ne puissent s'exprimer.
[^] # Re: Procès antitrust : un poursuivant de moins...
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Procès antitrust : un poursuivant de moins.... Évalué à 0.
[^] # Re: Inquiètude sur l'indépendance informatique du pays
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Inquiètude sur l'indépendance informatique du pays. Évalué à 1.
Je voudrais rappeller que le pb "Bull" est en partie causé par l'aspect politique: des patrons qui changent en fonction des gouvernements au pouvoir, ça n'a jamais amené une entreprise à réussir! D'autre part, ce copinage a permis à des nullités incroyables de prendre les rennes, de faire plaisir aux autres (par exemple : vente de la filliale CP8 et des antennes/filliales européennes par le très peu recommandable "G. de P." (laissons un brin de mystère) :)) ), de se faire plaisir (vive les golden parachutes pour les messier-likes !!).
Aujourd'hui, la situation n'est pas fabuleuse, mais les boulons ont été resserrés, et on est en passe de franchir le cap.
Il faut savoir que Bull est (toujours) un grand constructeur européen (au moins par la taille) et que l'Europe, au nom de la concurence (quelle concurrence? la concurrence américaine!!), risque de mettre à mal cette remise en marche.
Voilà c'était mon coup de gueule, et maintenant, j'arrête, c'est promis ;)
# Re: Inquiètude sur l'indépendance informatique du pays
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Inquiètude sur l'indépendance informatique du pays. Évalué à 7.
Si vous regardez autour de vous, vous verrez que la plupart des éléments hardware sont de conception américaine, japonaise, et sont souvent produits à l'étranger!
Sans entrer dans la paranoïa, que reste-il de l'informatique européenne à part qq SSII qui agissent comme des revendeurs (en ce qui concerne le HW) ?
Même l'Etat français encourage l'achat de matériel "américain", et s'appuie sur des compétences de boîtes US pour réaliser l'intégration de ces matériels/logiciels. Même si nos compratriotes travaillent dans de telles boîtes en France, ils sont quand même à la merci d'un management étranger (peut-être Européen, ce qui est un moindre mal) voire US!
Des applications critiques tournent sous des OS US (Solaris, AIX, HPUX,windaube) et nous rendent dépendants des disponibilités des patchs de sécurité!
Alors bien sûr, le climat n'est pas orageux (heureusement) mais c'est faire preuve d'une belle candeur que de croire pouvoir maîtriser/sécuriser entièrement des éléments "boîtes noires" dont on ne connait que les fonctionnalités externes, le plus souvent.
PS: Au secours !!! (un peu d'autodérision ne fait pas de mal :)) )
[^] # Re: Mardi suite aux grèves, j'ai passé dans les transports ...
Posté par Pierre . En réponse au sondage Mardi suite aux grèves, j'ai passé dans les transports .... Évalué à 1.
le progrès ce n'est pas de SUPPRIMER absolument ces acquis
[^] # Re: Mardi suite aux grèves, j'ai passé dans les transports ...
Posté par Pierre . En réponse au sondage Mardi suite aux grèves, j'ai passé dans les transports .... Évalué à 1.
Je n'ai pas l'impression que le progrès, c'est une position conservatrice sur des "acquis" (un mot de consommateur, ça !!) sociaux, assez décalés des réalités de la vie quotidienne: en cela je ne pense pas aux congés payés et d'autres institutions d'intérêt national, mais plutôt aux faveurs destinées à quelques corporations et concédées en d'autre temps (par exemple, la retraite à 55 ans pour un cheminot ???? alors qu'un mec qui travaille sur chantier a beaucoup plus de chance (si on peut parler comme ça) de mourir d'épuisement avant sa retraite à 60 ans!) (par exemple encore,la célèbre "prime de charbon" dans un pays leader en technologie de production d'électricité !!).
Faisons table rase de ces pseudo-acquis, qui ne font que s'opposer les différentes parties de la population (par exemple, il faudrait INTEGRER ces primes au salaire et arrêter de les traiter en tant que prime) (en plus ça ferait des économies sur la gestion).
"Aujourd'hui le public grogne, et nous, dans le privé, on se sent dégouté qu'ils puissent abuser de leur situation presque "agréable" ": c'est encore une opposition qui provient de ces pseudo-acquis, qui multiplient les points de comparaison, et qui laisse toujours à une tranche de la population (jamais la même) un sentiment de frustration.
Il ne faut pas se battre pour sa corporation (il faut bien parler de cela, puisqu'on désigne les grévistes sous la forme: les grévistes cheminots, les grévites de fonction publique territoriale, les grévistes de l'éducation nationale.....) mais pour un traitement GENERIQUE du travail et une grille CLAIRE, EXPLICITE (pour les raisons) et NON DEFINITIVE de l'attribution d'avantages. Cela permettra de faire progresser le travail (notamment dans le mamouth Administration) en rendant compte de la pénibilité réelle et actualisée de chaque poste.
D'autre part, je tiens à souligner l'antinomie entre "Acquis" et "Progrès" quand on prend en compte l'attitude des différents acteurs Syndicats et Gouvernement: le progrès ce n'est pas de conserver absolument ses acquis, et le fait de posséder des acquis ne doit pas les rendre définitifs, immuables au progrès!
[^] # Re: Microsoft et les centres hospitaliers
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Microsoft et les centres hospitaliers. Évalué à 2.
Replaçons le mail dans son contexte : on voit bien que le ton utilisé est loin de celui, mielleux, du "vent d'hiver" (ou qqch comme ça!).
L'information pertinente, à mon sens, c'est les conneries qu'auraient faites les "hospitaliers".
C'est cela qu'il faut utiliser pour promouvoir le Libre : "vous vous êtes mis dans la m*** avec M$, il est encore temps de sauver votre budget (= votre peau :)) ) avec du Libre, et des logiciels issus de la contribution volontaire, qui évoluent et s'améliore de manière continue au rythme de leurs utilisateurs".
Et non : "M$ c'est des méchants (ça tout le monde le sait :)) ) et ils n'en veulent qu'à votre portefeuille (comme toutes les compagnies commerciales) et ils font du "lobbying" (ça c'est mal, c'est très Américain!) pour vous "forcer" (bouh, pas bien!) à utiliser leur logiciel (sous-entendu "de m**de", donc pas bien encore)"
Interpellons plutôt les décideurs sur l'intelligence de basculer dans le Libre plutôt que des les lancer dans un débat moral (qui n'a aucun rapport avec l'utilisation de leur budget, sauf peut-être l'aspect "décision politique").
[^] # Re: Mettez-vous à l'heure
Posté par Pierre . En réponse au message [Terminal] Mettez-vous à l'heure. Évalué à 1.
- xntpd permet une synchronisation, dans le sens où un ensemble de machines synchronisée aura une dérive (temporelle) limitée par rapport à un serveur de temps.
- ntpdate est une commande de mise à l'heure, équivalente à la commande date lors de la mise à l'heure brutale (decalage horaire supérieur à 128ms) .
Lors la de la mise en oeuvre d'une synchronisation, il est conseillé de mettre d'abord les machines à la même heure avec ntpdate puis de les "enchaîner" avec le démon xntpd.
[^] # Re: Microsoft rachète les droits sur Unix (SCO)
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Microsoft achète une licence sur Unix (SCO). Évalué à 1.
pas "à apprendre" mais plutôt "à prendre" :))
[^] # Re: Microsoft rachète les droits sur Unix (SCO)
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Microsoft achète une licence sur Unix (SCO). Évalué à 1.
( Win: Dis, j'ai pas d'ami, tu veux être mon ami?
Un*x : Nan, d'abord j'te comprends même pas ....)
C'est une "reconnaissance" de la dette qu'ils (les gens de M$) doivent aux développeurs d'outils performants et stables.
Et même s'ils en profitent pour augmenter la tension dans cette affaire, il faut y voir plus la pertinence du développement d'Un*x que le règlement d'une reconnaissance de la propriété intellectuelle (c'est un adjectif qui ne s'accorde pas très bien avec SCO, ces derniers temps...).
# La bataille d'Espagne s'intensifie
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche La bataille d'Espagne s'intensifie. Évalué à 6.
La première est le prix des logiciels offerts : 25 millions d'euros, c'est en fait un don calculé par rapport aux prix des licences de ces logiciels, c'est à dire que ça n'est pas son prix réel : quelques euros pour le pressage des CDs et les jaquettes. De toutes manières, le prix que je donne aux logiciels M$, même multiplié par X copies, ça fait toujours 0 !! (Le prix de quelque chose c'est toujours l'argent que nous sommes prêt à mettre pour l'acquérir : M$ ne vaut presque plus rien pour Aragon :)) )
La seconde : je trouve dommage qu'une nouvelle distribution soit réalisée pour l'Aragon. Je m'explique : comment les services publics d'un état déjà "plus ou moins fédéral" peuvent faire front uni devant M$, si on multiplie les distribs ? Il aurait mieux valu, AMHA, reprendre le projet LinEX (c'est à dire y participer et y apporter d'une part des compétences (celles de l'administration d'Aragon) et d'autre part un/des budget(s)) pour le fortifier, plutôt que de s'éparpiller. Ils auraient comme ça un LinES, plus général, servant de base à des administrations plus solidaires, et procurant un outil transversal, manipulables par tous les fonctionnaires.
J'imagine déjà l'arrivée d'évaluation sur Linux pour les concours d'entrée de la fonction publique espagnole .....
# Re: Un petit vent d'hiver
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Un petit vent d'hiver. Évalué à 5.
La Carpe et le Lapin:
Je trouve cette partie bien écrite, intéressante et elle peut donner un oeil neuf sur les réelles motivations de qq grandes boîtes. Cependant l'exposé de ces motivations semblent couler "naturellemnt" sous la "plume" de M Bugnon. La stratégie mise en place par ces grandes boîtes n'aurait-elle pas été copiée sur celle de M$ ? (rappellez vous combien M$ était content de trouver une communauté de programmeur shareware pour faire avaler son OS (95/98) aux particuliers...)
Le "dilemme" présenté ne montre que deux alternatives: l'hypocrisie et la tromperie ou la franchise et le choc. Je ne crois pas que cela soit aussi "binaire", il manque la troisième possibilité, celle réllement mise en pratique : on développe Linux (en Libre) et on vend le service d'installation . Il n'y a pas tromperie, la communauté du Libre n'est pas dupe (conne ?) :))
Quand à la perennité, il faut rappeler les incompatibiltés notoires entre les versions des OS M$ (qui déboulent quand même tous les deux ans!), qui d'ailleurs aujourd'hui provoque des problèmes dans le déploiement du Server 2003 !!!
Je t'aime (pas) moi non plus (M Bugnon !)
Etrange mélange ici : tout y passe ! Les BSD, les Linux, les asso de promotion du libre et de l'Open Source, toutes sont (doivent être plutôt, aux yeux de M$) en opposition! C'est oublier que derrière la surface lisse de M$, il y a certainement des dissentions internes, des guerres de (petits) chefs, etc.... La différence entre l'entreprise (à pognon) M$ et le Libre (en général) c'est la capacité de gens du Libre à s'exprimer en toute liberté, à proposer et à ne pas être d'accord. On compare souvent cette activité à un fourmillement (? orthographe ?) tribal, moi j'y vois plutôt un creuset de créativité !
Pourquoi êtes-vous là ?
Tenter de justifier votre opération de quasi-espionnage (mdr!) pour mettre en avant votre "intéropérabilité" avec les systèmes ouverts est une piètre excuse. Heureusement que Windose a intégré du code libre, ce qui lui permet de ne pas se sentir seul dans les salles machines ! De plus l'intéropérabilité n'est pas l'apanage de Zindoz, c'est le minimum requis aujourd'hui pour qu'un OS puisse exister.
Dépendance, quelle dépendance ?
1- J'aimerais changer la question du point n° 1:
Quelle est la part du budget informatique induite par l'utilisation de Windows ? car utiliser Windows, c'est s'arracher les cheveux sur les pb de sécurité, c'est payer des licences pour M$ et pour tous les logiciels (non M$) qui sont obligatoirement payant sur cette plateforme , c'est s'interdire de réutiliser l'ancien matériel (car rendu obsolète par les pré-requis matériel de Windaube).... Ca, ça coute très très cher!
2- Où est le vrai enjeux ? ==> question subjective, à laquelle je donne ma réponse : dans l'élevage des champignons en haute-Dordogne ! (Ma réponse se vaut autant que la sienne sur ce type de question)
3- Elle est où l'arnaque ...?
La phrase qui me fait sourire : "Que les entreprises ne réalisent pas que la démarche consiste à préserver leur vraie dépendance vis-à-vis de sociétés qui ont oublié que linformatique devait être au service de ses utilisateurs, est assez étonnant.".
De mauvaise foi, je me demanderais si cette définition n'est pas celle d'une célèbrissime société d'informatique de R......t, USA, Mais comme j'essaie de nas pas attaquer trop bas (mais un peu quand même), je pense qu'il nous (vous aussi lecteurs!) prend pour des cons, car tout le monde ici a en tête que l'acceptation de Linux et des LL passe par une acceptation du grand public (voir les efforts de toutes les distribs dans ce sens).
Chiffon rouge et Palladium
Ici, c'est le fin du (de la) fin!
On a droit à un discours publicitaire, très aggressif (t'en fait pas Christophe Le Bars, ta traduction sur les dangers de Palladium ne t'apportera pas d'ennuis, rassure toi, même malgré ta dénonciation nominative scandaleuse de Pierre Bugnon) où mensonges, interprétations fallacieuses, oublis volontaires, combinaisons de preuves sans origine et désinformation ont la vedette.
La citation "Dire des idioties, de nos jours où tout le monde réfléchit profondément, c'est le seul moyen de prouver qu'on a une pensée libre et indépendante" (B.Vian), dont (que) vous abusez, M Bugnon, me fait penser aux récentes attaques de SCO contre le noyau Linux : M$ n'est plus la grande entreprise qui peut changer (maitriser?) la planète, mais seulement elle prend peur d'un phénomène nouveau qui peut tarir sa poule aux oeufs d'or.
[^] # Re: Mettez-vous à l'heure
Posté par Pierre . En réponse au message [Terminal] Mettez-vous à l'heure. Évalué à 1.
Sur certains systèmes Unix (AIX), ntpdate n'est pas compatible avec le démon ntp.Ca peut sembler incroyable, mais je l'ai testé.
Je ne sais pas si cela a été reproduit sur Linux.
D'autres remarques sur ntp:
La mise à jour de l'heure s'effectue de manière douce ou brutale. La manière douce est une sorte de ralentissement/accélération de l'horloge locale vers l'heure de référence. La manière brutale est un changement en force de l'heure.
Si la différence entre l'heure de référence et l'heure locale est supérieure à 1024 s (si je me souviens bien) le démon ntp peut s'arrêter.
Si la différence entre l'heure de référence et l'heure locale excède 128ms c'est la mise à l'heure brutale qui est appliquée.
Sinon, la mise à l'heure se fait de manière douce.
Ntp est un démon qui fait bien son job (synchronisation) mais sa mise en oeuvre est parfois délicate....
[^] # Re: IBM réfute les accusations de SCO
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche IBM réfute les accusations de SCO. Évalué à 5.
C'est peut-être dans une telle situation que SCO a jugé (certainement de mauvaise foi) que les lignes du code du kernel Linux sont tirées des lignes de leur propres solution, "parfois légèrement modifiées de façon à masquer la contrefaçon".
De toutes manières, envisager la "contrefaçon" plutôt que de s'étonner d'abord de la ressemblance dans l'écriture du code montre bien l'état d'esprit agressif dans lequel se trouve SCO.
De toutes manières, je suis très étonné que leur prise de conscience aussi "tardive" corresponde à un moment de crise financière chez eux....
[^] # Re: Screenshot, whouah
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Parsec en GPL. Évalué à 1.
C'est vrai qu'une mise en oeuvre d'une telle démarche peut certainement transformer la production artistique.
Par contre, dans ce cas, quid des droits d'auteurs? Est-ce que l'auteur du produit fini pourra emttre des prétetions sur les différentes phases de création par lesquelles il est passé (prétention sur les méthodes utilisées (cf brevet "logiciel"), ou/et prétention sur chaque produit intermédiaire (entre l'application des deux méthodes/phases)) ou uniquement sur le produit fini?
Enfin, est-ce qu'on pourra associer l'artiste à un artisan?
D'ailleurs le passage au Libre pourra divulguer les recettes de cuisine habituellement mise en oeuvre qui permettent de rendre célèbre ! (ex: la Méthode Goldman, ou la Méthode Obispo, ou la Méthode Picasso :)) )
[^] # Re: Y'a comme quelque chose de pourri au royaume du numérique
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Y'a comme quelque chose de pourri au royaume du numérique. Évalué à 3.
"GNU compliant" : pour un constructeur en conformité avec l'"esprit" (une charte à signer) du Libre
"GNU approved" : pour un matériel développé en conformité avec l'"esprit" (une charte à signer) du Libre
"GNU inside" : matériel "GNU compliant" ou "GNU approved" livré avec uniquement des LLs
Je ne sais pas si ce genre de projet à dejà vu le jour, mais en tout cas, ça peut représenter une belle carotte/publicité pour les constructeur!
[^] # Re: Y'a comme quelque chose de pourri au royaume du numérique
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Y'a comme quelque chose de pourri au royaume du numérique. Évalué à 3.
Ici, si les gens (le peuple) était interrogé sur ce sujet (il ne l'est pour le moment, je tiens à le rappeler) je ne crois pas qu'il laisserait passer de telles choses. Le problème est que ces lois sont faites par des hommes politiques, pour ête compréhensibles par d'autres hommes politiques (les votants au Parlement) et être appliquées par d'autres catégories bien spécialisées (juristes, aministration).
Alors bien sûr, elles sont complètement incompréhensibles pour le citoyen lambda (je ne dis pas qu'il est "con" mais seulement, que l'on ne s'est pas adressé à lui ....) qui ne voit pas dnas ce cas les conséquences de ce qu'elles peuvent apporter. (Rem: je ne me place pas au-dessus des citoyens lambda, car il existe bien d'autres domaines spécialisés où je ne comprend absolument rien)
C'est pour cela qu'il faut gratter le vernis, extraire les idées et savoir les présenter pour donner aux autres le point de vue que nous avons sur la question.(ce n'est bien sûr pas le seul, et d'autres savent aussi le présenter sous la forme, par exemple, d'une sécurisation meilleure de la vie de chacun)
[^] # Re: Y'a comme quelque chose de pourri au royaume du numérique
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Y'a comme quelque chose de pourri au royaume du numérique. Évalué à 2.
Néanmoins, l'histoire récente a montré les dérives du (sur-)flicage (Dans les Procès truqués du communisme (Moscou, Prqgue...) les foisons de faits récoltés ont été interprétés de manière volontairement érronée, et les accusés devaient justifier les raisons de ce nombre incalculable de faits reprochés).
De même, la bigbrotherisation peut amener rapidement à la dérive (1984 bien sûr, mais aussi Staline, Hoover ou d'autres férus du pouvoir).
Le problème n'est pas que ça ne change rien : c'est la théorie que "suppositoire à crans" qui est appliqué. Un petit peu hier, un petit peu aujourd'hui, un petit peu demain, et comme nous sommes habitués, on agmentera les doses ni vu ni connu.
Alors oui, on trolle beaucoup ici, peut-être que cela nous rassure. MAis le plus important est que cela nous permet de nous rendre compte où on en est et surtout vers où on va!
La liberté d'expression n'est pas la seule (l'unique) raison de se "battre" (d'ailleurs personne ne se bat ici, mais plutôt tout le monde propose !), il faut aussi tenter de conserver le sentiment de liberté (cette chose qui te donne l'impression de n'avoir pas à justifier tes actes en permanence à une quelconque autorité). Ce sentiment est bafoué de plus en plus, même commence à entamer réellement les droits que nous avons et nous charge de devoirs (sans contrepartie)!
Où est dans ce cas la liberté perso?
Elle s'arrête là où commencent celles des entreprises/administrations (des voisins de plus en plus encombrants)?
# Re: Y'a comme quelque chose de pourri au royaume du numérique
Posté par Pierre . En réponse à la dépêche Y'a comme quelque chose de pourri au royaume du numérique. Évalué à 6.
J'ai toutefois entrevue à la fin la fragilité de notre (informaticien/geek) position: nous maîtrisons l'outil technologique, mais pas son support!
La fabrication de l'ordinateur nous échappe complètement, et nous sommes "à la merci" des constructeurs.
C'est un point qui me semble important car le matériel peut nous chasser/pister et nous limiter, selon la volonté du constructeur. (ex célèbre : le TCPA).
De même nous dépendons du réseau de distribution de ces matériels, ce qui peut nous en empêcher l'accès (pour des motifs financiers ou le refus de vente par exemple).
Le développement du Libre (en général) doit être aussi axé sur ce point.
Le Libre promet une nouvelle société de l'Information, mais n'oublions pas l'aspect physique, celui qui nous relie à cette Information.