psychoslave__ a écrit 5873 commentaires

  • [^] # Re: Le bouchot !!!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le microcontrôleur YASEP fait son coming out lors des JM2L 2012. Évalué à 2.

    pas foutus de comprendre le dixième du quart du commencement de ce que tu fais

    Justement, ce serait peut être pas mal des explications moins fouillis, non ? Là je lis la dépêche et, probablement parce que je suis trop con me diras-tu, j’ai pas compris de quoi il s’agissait vraiment. Je suis le lien, bon le look spartiate du site, effectivement c’est pas ce qu’il y a de plus attirant, mais bon. Là on vois une fenêtre « premier pas », et on se dit qu’on va enfin nous expliquer de quoi il en retourne, pas à pas. Bah non, ça balance un tas de détails techniques sur la façon dont le site gère les cookies, et sa propose de cliquer pour lancer une nouvelle fenêtre avec un listing. Là on essaie de cliquer un peu au hasard comme c’est conseillé (sic), et on se retrouve vite avec une dizaine de fenêtre pleines dont même les boutons dans la barre de titre sont assez abscons.

    Du coups jusque là, je vois toujours pas l’intérêt de ce système de fenêtrage, c’est peut être puissant et tout ce que tu veux, mais au minimum pour les neuneux qui sont pas déjà à fond dedans comme moi, ce serait bien de prévoir un tutoriel pas à pas.

  • [^] # Re: Aparté rôliste ; Check-List Cyberpunk

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un monde sans humain ?. Évalué à 6.

    pillé sans vergogne élargie le public sensibilisé avec une approche serious game utlra avant-gardiste ludique.

  • [^] # Re: Ha?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un monde sans humain ?. Évalué à 5.

    J'ai regarder ce documentaire d'un œil distrait hier, je n'y ai rien trouve d’anxiogène, ni angoissant, no choquant, ni rien de fondamentalement neuf.

    Rien de neuf, certes. Disons qu’en gros, comme c’est présenté dans le reportage tout du moins, on peut résumer le transhumanisme par « l'eugénisme c’est so vingtième siècle, des humains parfait ce n’est pas assez ».

    En tout cas les mecs (encore une fois, telle qu’on peut voir dans le reportage) sont clairement orienté « les limites c’est quelque chose d’insupportable, il faut que nous les dépassions que nous allions toujours plus loin ».

    C’est d’une telle naïveté que ça ferait rire si on ne présageait pas d’horribles conséquences possibles à laisser de telles mentalités s’instaurer en guide des agendas politiques. Mais j’insiste encore une fois quitte à être lourd : il faut prendre en considération la possible déformation des propos (ou pas) par le montage effectué.

    Voici un résumé de ma perception sur les considérations ontologiques : n’existe que ce qui est soumis à des contraintes d’existence. Il n’existe rien qui n’ai de limites, et « s’améliorer » n’a aucun sens : on est nuancément adapté à un environnement. Modifier un être aura pour conséquence pratique qui sera plus adapté à certains environnements, et moins adapté à d’autres.

    Quand à croire qu’il suffit de déterminer un modèle logique du cerveau pour qu’il devienne possible de réimplémenter un esprit humain dans n’importe quel support physique, c’est faire fi des différences perceptibles entre théories et pratique. Pour illustrer cela, je paraphraserais une histoire que nous conte Michael Abrash dans Programmation graphique C/C++ Assembleur: un mec propose une optimisation d’un code qui permet d’effectuer la même tâche avec une complexité algorithmique moins importante (en gros, moins d’instructions assembleur pour le même résultat) et très heureux conclu que son programme exécutera plus rapidement la tâche. Génial ! Seulement, en pratique, son programme s’exécute moins rapidement que le code « non-optimisé ». Parce que toutes les instructions n’ont pas le même coups en temps. Et donc en pratique, les implémentation physiques ont une incidence sur les phénomènes effectifs.

    C'est choquant de constater que nous sommes effectivement des sacs a viandes? Je ne vois la qu'une constatation bien factuelle.

    Dire que nous sommes des organismes constitué de chair, c’est bien plus factuel que d’annoncer péjorativement que nous sommes des sacs à viande, ce qui sous-tend la thèse que la chair est méprisable.

    Bien sur que l'humain est destiner a s’intégrer de plus en plus a sa technologie.

    Il faudrait déjà adhérer à la thèse d’une hypothétique destiné pour accepter cela. Ici tu nous fais un paralogisme qui consiste présenter ton opinion et tes aspirations comme un phénomène inéluctable, levier formidable pour les prophéties autoréalisatrices.

    Y a-t-il vraiment raison de s'en émouvoir, tant que cela ne se fait pas la violence ou la coercition?

    Soit assuré qu’il n’y aura dans mon esprit aucun regret ni remord lorsque je retirerait la batterie qui alimente l’ordinateur qu’auront construit quelques illuminés en quête d’immortalité. Je n’ai pas d’empathie pour les objets électroniques. Si un tel objet viens me gêner, je le débrancherais avec encore plus d’inconsidération métaphysique que ne m’inspire le fait d’écraser le moustique dont le seul tort est d’être venu faire bzzz trop prêt de moi. Et tu as raison, si cet objet n’oppose pas de résistance, il n’y aura ni violence ni coercition.

    Une conférence ted en vaut une autre : Bill Joy (le papa de Vi et autres admirables contributions à BSD). Vous pouvez aussi lire Why the future doesn't need us.

    Voir aussi :

    PS : je ferait bien des liens wp avec des crochets, mais c’est trop pénible avec le javascript qui ré-interpréte toutes mes saisies clavier.

  • [^] # Re: Excitant

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un monde sans humain ?. Évalué à 2.

    Je crois que le commentaire de RbN se voulait ironique, à interpréter dans le sens « il voudrait pas commencer par se débarrasser de son autisme ? ». En tout cas c’est comme ça que le je l’ai compris, et j’espère que c’est également le cas de ceux qui le note pertinent.

  • [^] # Re: Arte

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Un monde sans humain ?. Évalué à 4.

    Bah le reportage me semble clairement orienté. Pour ma part j’essaie d’être attentif aux soutiens musicaux qu’utilise les reportages. En l’occurence on avait le droit à des ambiances musicales très angoissantes.

    La mise en lumière de ce mouvement idéologique et les problèmes éthiques associés me paraît certes tout à fait pertinente, mais on peut clairement dire que le reportage est partial. Ce n’est en soit pas une raison de le rejeter en bloque, les transumanistes aussi font leur propagande partial. Le tout est de ne pas prendre le reportage pour une présentation qui se voudrait impartiale.

  • [^] # Re: chez Owni aussi :

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calimaq : Défense et illustration de la clause non commerciale. Évalué à 3.

    Àmha, le libre c’est très très loin d’un programme politique complet, mais ça exclu certaines politiques.

  • [^] # Re: chez Owni aussi :

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calimaq : Défense et illustration de la clause non commerciale. Évalué à 3.

    Pour justifier ça, tu dis dans ton article qu'en gros les mouvements qui ont fondé le libre ont toujours été pour l'utilisation commerciale possible. Et tu justifies ça… en fait tu ne le justifies pas vraiment, c'est censé être évident.

    C’est faux, il suffit de suivre les liens qui parsème l’article, par exemple « les logiciels libres, dont la vente est une activité considérée honorable ».

    Mais cet argument ne tient pas, si dans le meilleur des cas le mouvement contestataire réussissait (dans notre cas où le mouvement favoriserait l'absence de commerce, ce serait un mouvement communiste qui réussirait donc à installer durablement une société communiste), je ne vois pas en quoi sa dilution serait un problème puisque tout serait alors libre et gratuit, accessible à tous…

    Démanteler les structures existantes c’est un programme bien maigre et ça n’assure en rien que ce que se mettra en place derrière sera plus satisfaisant. Le libre c’est bien mieux que de la contestation, c’est la définition clair d’objectifs sociaux.

    C'est plus pour des raisons pratiques que profondément idéologiques, parce qu'idéologiquement l'absence de commerce favorise le partage et la liberté d'accéder aux oeuvres et modifications pour la raison suivante :

    Tu as tôt fait de rejeter des arguments appuyés par des sources pour placer derrière des propos qui me paraissent fort naïfs et ce sans présenter aucune source pour les appuyer.

    mais du coup on ne peut que donner, et tout le monde aura du coup la liberté d'y accéder sans condition (liberté++).

    Non. Il ne suffit pas de « détruire le méchant capitalisme » pour que subitement par miracle les gens puissent multiplier les pains et autres œuvres actuels (par opposition à virtuel). Si tu fais la prohibition du commerce, sur quoi te bases-tu pour estimer que cela n’entraînera pas le développement de réseau mafieux ? Sans dire que ce serait nécessairement le cas, il n’y a aucune raison de penser que nécessairement tout les êtres humains se transmueraient en êtres débonnaires.

    Il y a un autre problème: en faisant du libre un mouvement qui se doit de ne pas choisir, tu en fais un mouvement qui choisit le système établi.

    Ce n’est pas du tout ce que j’énonce. Je dit que le libre s’établi en faisant des choix sans se soucier de se subsumer au paradigme commercial comme le font les démarches anti-commerciales.

    l'économie entière est déjà basée sur l'argent et le commerce.

    C’est typiquement ce genre de comportement dont le libre évite les écueils en ne se souciant pas du mercantile pour se définir.

    en n'adoptant pas de posture contestataire, on ne conteste pas ces lois

    On peut s’opposer à des lois en défendant des valeurs éthiques préalablement exposés (tout en demeurant réceptif aux critiques qui y sont faites car nous sommes tous faillibles). Il ne s’agit pas de tout accepter ou de tout refuser en bloque au seul motif que « c’est un projet porté par la méchante cabale capitaliste ».

    Enfermer la notion de "libre" dans une valeur de lâcheté et de sois disant "neutralité" politique ne me paraît pas honnête.

    Tu fabules, l’article ne parle pas de neutralité politique.

    Et c'est pas parce que les premiers à lancer le mouvement du "libre" étaient dans cette perspective là qu'ils ont raison.

    Si tu as mieux à proposé, vas-y, fait. Si le libre ne te conviens pas, tu peux toujours essayer de faire autre chose.

    J'exige donc d'avoir le droit de qualifier une licence n'autorisant pas le commerce de "libre" parce que je pense que l'idéologie qu'elle sous-tend favorisera la pérennité à long terme, et aussi parce que ça me paraît même plus libre que dans le cas où le commerce est autorisé.

    Et pourquoi chercher à détruire ce qu’est le libre aujourd’hui en créant de l’amalgame. La guerre c’est la paix, l’anti-commercial c’est le libre ? Je ne doute pas qu’il y a un tas d’autres mots que vous pouvez utiliser pour votre démarche, sans polluer l’espace sémantique.

  • [^] # Re: Semences libres ? Médicaments libres ? Agriculture libre ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal De la réflexion sur le Libre. Évalué à 3.

    Voilà, j'ai du mal à séparer mon engagement pro logiciels libres du reste de mon activité militante.

    C’est tout à fait compréhensible, dans le sens où cela résulte probablement d’un fond éthique commun. Et ton commentaire pointe sur d’autres problématiques dont l’importance sociétal ne fait pas de doute, merci.

    Savoir séparer les problématiques cependant peut éviter de faire peser les rejets d’une catégorie de problème sur une autre. Moduler pour tenter d’éviter les effets de bords indésirables en quelque sorte. :)

  • [^] # Re: Un point curieux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calimaq : Défense et illustration de la clause non commerciale. Évalué à 4.

    Bah non, eux ce qu’ils veulent s’est jouir d’une réputation de gentil qui partagent, tout en encadrant strictement l’usage à ce qui les arrange financièrement. Le seul vocabulaire qu’ils voudront développer, c’est du novlangue dont l’ambition est de phagocyter les volontés de sincères de partage.

  • [^] # Re: Un point curieux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calimaq : Défense et illustration de la clause non commerciale. Évalué à 4.

    Définition d’une œuvre libre selon culture-libre :

    On désigne par le terme licence libre tout texte autorisant sur une œuvre de l'esprit à tout individus, en tout temps, en tout lieux et sans restriction commerciale, les possibilités :

    • de l'utiliser sans restriction d'usage ;
    • de l'étudier ;
    • de la diffuser ;
    • de la copier, de modifier ces copies et de diffuser ces copies et ces modifications.

    Source : http://www.culture-libre.org/wiki/CultureLibre:%C3%80_propos#Licence_libre

    En tant qu’auteur de cette définition, et en ma qualité de détenteur du monopole du droit à définir ce qu’est une œuvre libre, je te confirme que j’ai toute les qualités requises pour édicter les règles indiquant en quoi une œuvre artistique est libre ou pas.

    Quand il s’agit d’humilité, je suis le meilleur.

    De rien.

  • [^] # Re: Un point curieux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calimaq : Défense et illustration de la clause non commerciale. Évalué à 6.

    Oui mais l’éducation passe par la répétition, au même titre que l’éducation passe par la répétition.

    Plus sérieusement, le problème c’est que si on ne défend pas les valeurs du libre à un moment, il y aura une nouvelle vague de prosélytes « ouais mais mon truc c’est pas pas pareil donc il me faut du nc et nd et non-nazi et non-nucléaire et non-*, mais bon t’as le droit de m’admirer et de dire à ton entourage de m’admirer aussi, alors tu vois je suis trop top cool hype, et donc c’est libre » qui viendront tenter de pourrir nos belles valeurs que c’est nous qu’on a raison et qu’on est les gentils, d’abord.

  • [^] # Re: Un point curieux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calimaq : Défense et illustration de la clause non commerciale. Évalué à 3.

    Ça n’enlève rien au fait que l’argument est tout simplement faux, si l’article ne cite pas l’auteur de la photo, la licence ainsi qu’un moyen de retrouver l’originale, il y a infraction de la licence et donc du droit d’auteur/copyright.

  • [^] # Re: chez Owni aussi :

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calimaq : Défense et illustration de la clause non commerciale. Évalué à 6.

    J’ai quand même fait un commentaire chez owni, mais il semble y avoir un modération, donc en attendant qu’il passe (ou pas) :

    Au cœur de ce débat, il me semble qu’il y a une volonté, délibéré ou non, d’auteur(e)s que les valeurs du libre n’intéresse pas, mais qui souhaite pouvoir bénéficier de son aura, qui découle directement de ses valeurs.

    J’ai publié il y a quelques mois un billet sur le sujet du libre et de la gratuité :
    http://www.culture-libre.org/decouvrir/article/le-libre-et-la-gratuite

    L’anticommercial ne cadre pas avec les valeurs du libre.

    Si vous ne voulez pas faire de libre, n’en faites pas, c’est votre choix. Faites du gratuit non-libre si c’est ce que vous voulez. Mais s’il vous plaît, arrêter de détruire la notion du libre dans vos tentatives d’appâter vos clients.

    Je remarque des affirmations qui sont tout simplement fausse ou tellement mal exprimé qu’elle me paraisse relevé du paralogisme dans le meilleur des cas, par exemple :
    « Mais pour les oeuvres non-logicielles, les hypothèses de déclenchement de la clause SA sont plus rares. L’auteur d’un roman par exemple ne pourra pas empêcher que son oeuvre soit vendue, telle quelle par un éditeur s’il la place simplement sous licence BY-SA. Pour la photographie, c’est encore plus le cas. Les photos peuvent facilement être réutilisées sans modification, comme illustrations. Dans cette hypothèse, le partage à l’identique ne se déclenche pas. »

    L’auteur d’un logiciel, une fois publié sous licence libre, ne peut lui non plus pas empêcher
    que son oeuvre soit vendue, telle quelle par un éditeur. Il n’y a là aucune différence.

    Plusieurs remarques sur le fait que « toutes les œuvres ne sont pas des logiciels ». D’abord il a noter qu’au contraire tous les logiciels sont bien des œuvres, au même titre que toutes les photos et tous les romans sont des œuvres.

    Le premier point mis en avant dans les quatre libertés que doivent conférer une œuvre pour être libre, c’est la liberté d’usage. Je crois que les personnes partisanes de la NC ne soupçonne pas pour la plupart à quel point ils sont en total opposition avec ce premier principe fondamental du libre.

    Car plus important encore que la possibilité d’utiliser l’œuvre pour des fins commerciales, ceci permet à tout à chacun d’utiliser l’œuvre pour un emploi complètement détaché de la réflexion ayant mené l’auteur à sa conception. Ce qui m’amène à dire cela, c’est ce constat : tout fichier numérique est susceptible d’être interprété en tant que logiciel. Et toute œuvre peut être numérisé. Autrement dit, dire que « toute œuvre n’est pas logiciel », c’est déjà présumé de l’usage qui sera fait de l’œuvre, sans même parler commercial ou non. Bien entendu, concevoir un encodage d’une œuvre analogique et concevoir un interpréteur susceptible d’exécuter cette numérisation comme un logiciel valide est totalement tiré par les cheuveux. Mais c’est bien cela aussi la liberté : pouvoir faire tout et n’importe quoi de l’œuvre.

    Tout ceci nous ramène à un autre point que j’ai développé dans un autre billet qui demande « à qui appartient l’ensemble des entiers naturels » :
    https://linuxfr.org/users/psychoslave__/journaux/droit-dauteur-%C3%A0-qui-appartient-%E2%84%95

    Il semble que tout le monde est prompt à user du terme numérique sans réfléchir aux implications ontologiques d’un monopole sur un fichier numérique, c’est à dire la délivrance de monopoles sur des nombres entiers.

    Plus largement, il y a un dédain pour les réflexions de fonds, quels sont les propriétés des objets virtuels et des objets actuels ? Mais le débat ne va généralement pas même jusqu’au constat de ces deux classes distincts d’objets, au contraire l’amalgame semble être de rigueur.

  • [^] # Re: chez Owni aussi :

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Calimaq : Défense et illustration de la clause non commerciale. Évalué à 2.

    Pour ma part j’ai déjà donné mon avis sur le sujet.

  • [^] # Re: ARgh, trillons pourris

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Ramesh Raskar et l’imagerie à un trillion d’images par seconde.. Évalué à 2.

    Moi je propose que nous supprimions immédiatement du vocabulaire français tous les mots qui ont des faux amis dans la langue anglaise, comme ça on sera tranquille.

  • [^] # Re: Un avis…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Dépénalisation du cannabis. Qu'en pensez-vous ?. Évalué à 2.

    Elles détournent de la sacrosainte valeur travail !

  • [^] # Re: Un avis…

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Dépénalisation du cannabis. Qu'en pensez-vous ?. Évalué à 2.

    Pas dans le sens premier du terme, quoique toutes la plupart des drogues aient probablement un effet narcotique certain, mais dans le sens plus moral, ou social du terme : ça endort les gens, dans le sens où ça peut détourner l'attention de problèmes existants, permettre de supporter des choses qui ne devraient pas l'être, atténuer l'intérêt pour des choses importantes.

    Non, tu peux toujours courir pour que l’état face interdire la télé, on te vois venir avec tes subtils arguments de terroristes assassins des gentils organes de propagande d’information officielle.

  • [^] # Re: Il y a du bon et du moins bon dans l'article

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal « On n’a plus le temps… ». Évalué à 2.

    Je réagissais juste à :

    Ça ne date pas d'hier, les plus pauvres ont toujours été la cible de prédilection des vendeurs d'encyclopédies chères en plein de volumes, des vendeurs d'antennes paraboliques et d'abonnements à des centaines de chaînes de télévision, des vendeurs de téléphones chers…

    En disant qu’àmha, non, pas les plus pauvres. Si mon intervention n’est pas pertinente, il suffit de moinser.

  • [^] # Re: Travail

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal « On n’a plus le temps… ». Évalué à 5.

    Mais il y a pire, il y a des cryptocommunistes qui fabriquent des outils et autres œuvres numériques, parfois toute la nuit dans une cave bordélique et mal aéré, et qui balance cela à la disposition de tous, même pour des usages commerciaux ! à la vue de tous.

  • [^] # Re: Travail

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal « On n’a plus le temps… ». Évalué à 2.

    J’avais pris en compte tout ces arguments dans mon poste. Je n’ai pas dit que le papier était une solution miracle avec que des avantage et adapté à l’archivage de tout l’internet.

  • [^] # Re: Travail

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal « On n’a plus le temps… ». Évalué à 2.

    La dématérialisation ça a ses avantages

    Pourquoi chercher à opposer le monde numérique du monde physique ?

    Faudrait peut-être commencer par pas reprendre des expressions novlanguiennes, non ?

    À moins de considérer que les électrons ne méritent pas le qualificatif de matériel, dématérialisation est totalement hors de propos et suggère plus un fantasmagorique effet magique qu’un encodage électronique des données.

  • [^] # Re: Il y a du bon et du moins bon dans l'article

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal « On n’a plus le temps… ». Évalué à 2.

    Moi je me demande quand même ce à quoi réfère la soit disant objectivité, ou neutralité. Ce serait pas mal d’avoir un définition précise, même si cette définition sera nécessairement sujette à interprétations subjectives.

  • [^] # Re: Il y a du bon et du moins bon dans l'article

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal « On n’a plus le temps… ». Évalué à 2.

    Je crois que je n’ai pas été assez précis, des personnes qui sont dans une précarité plus importante que ce à quoi tu fais référence, qui n’ont pas de toit ni de revenu, ça existe (même en France). Ces personnes là, je doute qu’aucun commercial les démarche.

  • [^] # Re: Bof, un probleme d'ergonomie rencontre des les premieres secondes...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Bonnes pratiques et qualité du Web. Évalué à 7.

    Sinon avec requestpolicy on s’apperçoit que opquast, Les bonnes pratiques de la qualité web, n’est pas fonctionnel si on active pas les dépendances externes (googleapi, etc.).

    Les conseils qui y sont donnés sont peut être pertinent, mais ça ne fait pas très sérieux quand on met en avant la résolution de problèmes d’accessibilité.

  • [^] # Re: Travail

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal « On n’a plus le temps… ». Évalué à 2.

    Peux-tu citer un seul avantage d'un morceau de papier maintenant qu'on sait faire autrement?

    Pour l’archivage. Quand on vois que même la nasa se permet de perdre des données sur l’exploration spatiale : j’ai la flemme de chercher mais j’avais vu passé une histoire de bande magnétique qui avait moisi.

    Je ne dis pas que le papier est à tout épreuve, et l’électronique apporte incontestablement la possibilité de facilement dupliquer ce qui est très utile lorsqu’on a une politique de stockage multi-site.

    Tout ceci en tête, je pense que le papier reste un support intéressant dans le cadre d’une politique d’archivage (en complément de l’électronique), toute proportion gardé vis à vis du volume évidemment.