qdm a écrit 766 commentaires

  • [^] # Re: Ça sent le réchauffé…

    Posté par  . En réponse au journal The destructive desktop — Linux in trouble?. Évalué à 1.

    On est complètement d'accord. En production, l'objectif final n'est pas de minimiser les reboots, il est de minimiser le downtime. Donc, on doit suivre 2 axes pour ça:

    1/ Minimiser les nécessités de reboot
    2/ SI on doit quand même rebooter, minimiser le temps que ça prend.

  • [^] # Re: Ça sent le réchauffé…

    Posté par  . En réponse au journal The destructive desktop — Linux in trouble?. Évalué à 1.

    Même en éliminant le cas des serveurs de production qui effectivement ne "devraient" pas redémarrer dans un monde idéal, tu as quand même une palanquée de serveurs de test qui bougeant tout le temps lors de ces fameux tests passent leur temps à rebooter.

    Et quant au serveur de production qui reboote, oui c'est rare, ça ne devrait pas arriver. Du coup, quand ça arrive (y compris pour des raisons indépendantes du serveur lui-même du style, "oh l'alimentation électrique qui est tombée s'avère n'avoir pas été si complètement redondée que ça"), on veut que les conséquences en soient le plus minime possible. Et un temps de redémarrage de 10 minutes, ça aide pas.

  • [^] # Re: Et pour ESR ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Firefox 10 est sorti, accompagné de Thunderbird 10, Lightning 1.2 et Firefox mobile 10. Évalué à 1.

    Et en français, c'est possible (pas forcément la doc, même si ce serait pas mal), mais au moins le binaire ? Ou un pack de localisation adapté ?

  • [^] # Re: C'est un peu comme l'hydre tout ça

    Posté par  . En réponse au journal Vers la fin du direct download ?. Évalué à 2.

    Elles se fichent de ce que tu penses d'elles. Elles cherchent fort logiquement à maximiser leur revenu. Et si ça passe par un autre moyen que te faire allumer la télé...

    Par contre, m'est avis que ça ne fera pas augmenter l'audimat ou d'autres canaux et que les gens continueront à dépenser leur argent ailleurs. Mais ça va nous fournir une expérience grandeur nature pour vérifier. A moins que dans 6 mois, une autre technique ait émergé et que Megaupload soit remisé au rayon des souvenirs avec Napster et Kazaa.

  • [^] # Re: Les bienfaits de la décentralisation

    Posté par  . En réponse au journal megafermeture.fbi. Évalué à 4.

    Mouais l'article de reflets ressemble à un article écrit par un avocat spécialisé en propriété intellectuelle. Le caractère mafieux affiché en gros titres se résume dans le corps du texte à une volonté de décliner la marque Mega et à des accusations concernant le fondateur, certes plus substantielles, mais sur des activités ANTERIEURES à la fondation de Megaupload. Bref, du FUD vu que rien n'est prouvé ni même esquissé quand à de réelles activités mafieuses de Megaupload.

  • [^] # Re: Décision de justice ?

    Posté par  . En réponse au journal megafermeture.fbi. Évalué à 4.

    En fait, de ce que je comprends, ils n'ont pas saisi les serveurs, ils se sont contentés de saisir le nom de domaine en .com (extension américaine). Et apparemment, ils n'ont pas besoin de passer devant un juge pour ce faire, pour peu que ce soit une extension gérée aux Etats-Unis. Mais attendons d'avoir des détails pour confirmation.

  • [^] # Re: petit aparté

    Posté par  . En réponse à la dépêche Scribus 1.4. Évalué à 2.

    Pourquoi le Bon à tirer aurait des couleurs plus chaudes que l'impression effective ? J'ai toujours cru que le bon à tirer était justement là pour essayer de se rapprocher à l'identique du rendu final.

  • [^] # Re: Les appréciations à l'aveugle sont terribles

    Posté par  . En réponse au journal Le violon et son contexte. Évalué à 1.

    Tout à fait. Même si c'est une heuristique qui trouve des contre-exemples (on a probablement tous vécu l'expérience d'un vin cher qui au final s'avère être pas terrible), on sait qu'en mettant 20 € dans une bouteille, on a peu de chances d'être surpris négativement alors qu'à 3 €, c'est plutôt l'inverse (ça arrive aussi...). Et personnellement, je suis incapable de faire la différence entre un vin de gamme moyenne-supérieure et un de ces vins "d'exception" qu'on est censé te vendre plus de 50 €. Après, c'est la chance et l'expertise qui permettront de repérer la bouteille à 5 € qui est tout aussi bonne que celle à 20 €.

    Sur le même thème, deux exemples personnels à consommer avec modération.

    Exemple n°1: Systématiquement, sauf quand je vais chez des ambrasmoekers, si je dois apporter du vin blanc pétillant, j'amène de la Blanquette de Limoux. Ca coûte bien moins de 10 € la bouteille et je n'ai jamais été déçu. Pour être sûr de ne pas être déçu avec un Champagne il faudrait probablement mettre le double ou le triple et ce ne serait vraisemblablement pas aussi bon. La Blanquette de Limoux, pensez-y. Et si vraiment vous avez trop peur de passer pour un smous, prenez du Crémant d'une région un peu réputée et vos convives n'y verront que du feu.

    Exemple n°2: A une époque, j'ai découvert la Mandarine Napoléon. J'ai trouvé que c'était meilleur que le Cointreau. Puis en regardant l'étiquette, j'ai vu qu'il y avait une ou deux cochonneries dedans. Pas beaucoup et rien de dramatique, mais le mal était fait. Depuis, je trouve le Cointreau bien supérieur. Jusqu'à ce que je regarde l'étiquette d'une bouteille de Cointreau sûrement.

  • [^] # Re: Fake ?

    Posté par  . En réponse au journal La salle de pause Potemkine. Évalué à 3.

    Tout à fait. Je me base juste sur mon ressenti, qui peut être tout à fait subjectif, et sur un témoignage de seconde main d'un adolescent stagiaire. On est pas du tout dans le reportage d'investigation fouillé et argumenté. Donc je suis tout à fait preneur d'une position officielle sur cette histoire de boissons fraîches.

  • [^] # Re: Attention typos !

    Posté par  . En réponse au journal La salle de pause Potemkine. Évalué à 9.

    J'ai pensé à préciser. Mais il est clair que la version du journal est la bonne. Tout est aseptisé, donc il n'est pas question de se vautrer dans le stupre. Peut être à un autre étage...

  • [^] # Re: il est trop chou

    Posté par  . En réponse au journal [Troll du vendredi] Finalement, non. Évalué à 1.

    Flûte, j'attendais le commentaire outragé sur la Nimage, mais maintenant, si les gens lisent les autres commentaires avant de poster le leur (ce qui n'est pas évident), ils vont s'abstenir, ces dégonflés.

  • # Non, rien

    Posté par  . En réponse au journal Hacker le développement des entreprises. Évalué à -1.

  • # Bon, je vais pas forcément être apprécié de mon auditoire

    Posté par  . En réponse au journal Un budget équilibré, est-ce trop demander ?. Évalué à 9.

    (tout ce qui suis est une position keynésienne hyperclassique. Elle semble minoritaire par les temps qui courent, y compris chez le candidat PS désigné)

    • En temps normal, il convient de maintenir un équilibre budgétaire (*) . Mieux, il convient de faire des excédents en prévision des périodes de crise
    • En temps pas normal (la crise), la dépense privée se contracte, ce qui si on ne fait rien conduit à ralentir la croissance économique, ce qui en soi n'est pas bien grave (cette remarque, c'est mon côté décroissant), mais a pour conséquence de créer du chômage (**)
    • Il convient donc, soit de stimuler l'investissement privé, soit de la remplacer par de l'investissement public (***)
    • Généralement, le plus simple est de stimuler l'investissement privé en soutenant le crédit par le biais de la politique monétaire (en faisant baisser les taux d'intérêt, on rend le crédit plus attractif)
    • Problème les taux d'intérêt réels (hors inflation donc) sont déja à 0%. Donc, on ne peut plus le faire
    • A ce moment là, la politique budgétaire doit prendre le relais (****) .
    • Il est vrai qu'il vaudrait mieux pour cela être dans une position confortable au niveau du stock de dette (c'est à dire ne pas avoir fait de façon inconséquente de la dette depuis 35 ans), mais vu la gravité de la situation, on a pas trop le choix.
    • Problème, un certain nombre d'Etats étant dans une situation réellement catastrophique, ils n'ont plus accès aux marchés. Il faudrait que les pays peu endettés (l'Allemagne, les pays du Nord, dans une moindre mesure la France) relancent de l'endettement à l'échelle de la zone euro pour soutenir l'économie des pays à problème
    • Or, c'est pas du tout ce qu'on est en train de faire. On fait le contraire parce que les conditions d'emprunt ne cessent de se dégrader. Le problème c'est que en contractant la dépense publique, on accroit la récession (moins d'investissement public et moins d'investissement privé, ça fait plus de récession). Et en accroissant la récession on réduit les capacités de remboursement. Donc les prêteurs craignant pour leurs remboursements demandent une prime de risque de plus en plus grande. Donc on coupe de plus en plus dans les dépenses, ce qui accroît la récession.... A la limite, on annoncerait un plan de relance crédible à l'échelle européenne, les prêteurs y croiraient et on pourrait le financer sans problème. On ne le fera pas parce que la position (keynésienne) que je défends n'est pas partagée par une large part de la classe politique (c'est différent chez les économistes).
    • Et aussi parce qu'on a tellement engagé la spirale récessive avec les coupes de ces dernières années qu'une inversion de la vapeur est maintenant difficile.
    • Il reste une solution alternative (qu'on ne fera pas non plus parce qu'elle est difficilement conforme aux traités et que là encore, un certain nombre de politiques n'y croit pas), c'est faire financer massivement la dette directement ou indirectement par la BCE qui peut créer de la monnaie quand elle le veut. Normalement, c'est une mauvaise solution parce que ça crée de l'inflation. Mais nous sommes dans une situation catastrophique, donc le plus raisonnable serait de prendre le risque (d'autant que cette crise est une crise de la demande et qu'elle a donc de fortes tendances déflationnistes et non inflationnistes).
    • Autre solution: la fin de l'euro. Ca déséquilibrerait complètement le système bancaire, ça serait un signal politique cauchemardesque, plus une foule de conséquences imprévues, mais ça aurait le mérite de relancer l'économie des différents pays en crise (dont le notre à un certain degré, puisque les nouvelles monnaies chuteraient (sauf le mark qui resterait au niveau actuel de l'euro).

    => Moralité: On est pas dans la merde.

    (*) Je simplifie pour les besoins de la démonstration. On peut admettre des déficits si ils servent à financer des projets rentables (c'est à dire qui rapporteront à l'avenir des recettes fiscales supérieures à l'argent dépensé dans l'opération, coût du crédit inclus) ou si la croissance attendue est supérieure au déficit. Mais là, on rentre dans des cas spécifiques.

    (**) Pourquoi une baisse de la croissance induit-elle une augmentation du chômage? Le taux de chômage évolue en fonction de la création et de la destruction d'emplois. Si il y a du progrès technique, il y a destruction d'emplois, puisqu'on peut produire la même chose avec moins d'emplois. Si il y a de la croissance, il y a création d'emplois, puisqu'on a besoin de gens pour produire plus. On pourrait alors penser qu'il faut stopper le progrès technique, comme ça on serait sûr d'avoir toujours un solde création - destruction positif. Le problème c'est que 1/ le progrès technique est largement exogène (on ne le maîtrise pas) et 2/ le progrès technique crée de la croissance, donc crée des emplois (de designers d'applications iPhone, de fabricants de téléporteurs, etc...) ! En période de croissance ralentie, l'élément destruction d'emploi (qui reste plus ou moins fixe) prend donc le pas sur l'élément création.

    (***)une des critiques principales du keynésianisme est que l'accroissement de l'investissement public ne fait que se substituer à une réduction équivalente de l'investissement privé. Mon opinion, c'est qu'en période de crise, cette règle ne tient pas puisqu'il n'y a pas d'investissement privé à remplacer

    (****) On cite souvent l'exemple de la relance française de 1981 comme un échec, mais ce type de relance ne fonctionne que si elle s'effectue à une échelle comprenant une grande part des économies avec lesquelles vous commercez (je n'explique pas pourquoi, ça nous emmènerait beaucoup trop loin). La France de 1981 était un petit pays qui exportait et importait beaucoup de choses de l'extérieur. La zone euro est un vaste ensemble qui exporte et importe moins de l'extérieur.

  • # Et voilà je suis moyen clair

    Posté par  . En réponse au journal Finalement, la photographie n'est pas couverte par le droit d'auteur. Quid du code?. Évalué à 1.

    Il aurait fallu lire dans la parenthèse (où la notion de droit d'auteur doit encore être plus étrangère au juge)

  • [^] # Re: 2 éléments de relativisation et des conseils de lecture

    Posté par  . En réponse au journal Les révolutions inutiles et la victoire des boulets. Évalué à 0.

    Même si les Eglises sont souvent subventionnées par les Etats, leur influence sur la formation des opinions publiques n'est "guère" plus importante qu'en France. Typiquement, le mariage homosexuel est autorisé dans plusieurs pays où l'Etat subventionne les religions ou bien ou la religion est reconnue comme religion d'Etat (Belgique, Islande, Norvège, Pays-Bas). Tu rajoutes à cela l'Espagne, le Portugal (deux pays pourtant censés être eux aussi traditionnellement religieux) et la Norvège. Je ne suis pas sûr que la France, malgré ce concept de laïcité, soit une exception séculariste en Europe.

  • [^] # Re: 2 éléments de relativisation et des conseils de lecture

    Posté par  . En réponse au journal Les révolutions inutiles et la victoire des boulets. Évalué à 1.

    Ah mais je n'ai pas dit que le christianisme et l'athéisme étaient différents. Le rapprochement est même fait par des penseurs "plutôt" étiquetés à gauche, du style Marcel Gauchet. Je cite Wikipédia qui résume bien sa pensée sur ce point et donne une référence utile: "Il a étudié le processus de sécularisation à l'œuvre en Occident dans le Désenchantement du monde (Gallimard, 1985). Il y explique que le christianisme est « la religion de la sortie de la religion », c'est-à-dire une religion qui contient potentiellement en elle la dynamique de sécularisation"

  • # Pfff, t'aurais quand même pu attendre vendredi pour poster...

    Posté par  . En réponse au journal De la "sécurité" routière et de la démocratie (par un motard courageux). Évalué à 3.

    C'est le jour où je devais recevoir mon troll-o-mètre de secours.

  • # 2 éléments de relativisation et des conseils de lecture

    Posté par  . En réponse au journal Les révolutions inutiles et la victoire des boulets. Évalué à 6.

    Le sujet est affreusement compliqué et tenter d'apporter une réponse complète est une gageure. Cependant, il faut noter deux éléments de relativisation qui me semblent assez rarement repris dans la presse de ces derniers jours:

    1) En Tunisie, le parti Ennahda est le premier parti avec 30% des voix environ (des suffrages exprimés d'ailleurs). Le score de tous les partis "laïcs" mis bout à bout est supérieur. Les "islamistes" (si tant est que ça ait un sens d'utiliser ce vocable, puisque officiellement le parti cherche à donner une image modérée en prenant comme modèle l'AKP turc (qui n'est pas forcément un parti exempt de toute critique, mais qui n'a quand même rien à voir avec un parti totalitaire), que c'est d'ailleurs peut être ce qui se passera, et que c'est du moins ce à quoi une partie de leur électorat doit croire) avaient l'avantage de se présenter unis, mais ils sont très loin de la majorité absolue.

    2) En Libye, la fameuse déclaration est de la politique politicienne pur jus et non pas une émanation de la société libyenne tout entière. Elle émane d'un membre du CNT qui fait feu de tout bois pour apparaître comme légitime en faisant oublier son passé d'ancien kadhafiste et qui pour cela s'appuie sur une faction (je répète, une faction) de salafistes avec qui il souhaite s'allier pour asseoir son pouvoir. On est loin d'une position qui fait consensus. Je ne dis pas que les "libéraux" sont majoritaires en Libye (qui est une société beaucoup plus traditionnelle que la Tunisie), mais en tout cas, ils s'opposent à cette déclaration et forment une part substantielle de l'opinion.

    En tout cas, il convient de comprendre que ces sociétés ne sont pas directement comparables à nos sociétés occidentales travaillées en profondeur par une sortie de la religion depuis plusieurs siècles (ce qui ne veut pas dire que ce processus n'est pas à l'oeuvre dans le monde musulman aussi, simplement il a pris une forme moins linéaire qu'en Europe (je ne dis pas Occident, les Etats-Unis étant par exemple sur un schéma différent)). Un bon moyen pour mieux comprendre est sans doute la littérature.

    Un excellent choix de lecture serait sans doute "L'immeuble Yacoubian" de Alaa Al Aswany qui a l'avantage d'être écrit d'un point de vue "laïcisant" tout en manifestant une certaine forme d'empathie pour les populations fortement croyantes.

  • [^] # Re: L'argument principal : la liberté du logiciel !

    Posté par  . En réponse au journal Une décision favorable au logiciel libre au Conseil d'Etat (CE, Région Picardie, 30 septembre 2011). Évalué à 4.

    Oups, je ne suis pas clair, puisque je contredis justement la décision. Le raisonnement que je tiens vaut pour un marché qui comporte un volet fournitures. Pour un marché qui serait juste de la prestation de services "mise en oeuvre d'un LL", on peut mentionner un LL spécifique.

    Ceci dit, m'est avis que rien n'empêche quelqu'un de déposer une offre qui consisterait à remplacer le LL indiqué et à remplir toutes ses fonctions avec un autre logiciel. Je pense quand même que ses chances de remporter le marché seraient de l'ordre du nul.

  • [^] # Re: L'argument principal : la liberté du logiciel !

    Posté par  . En réponse au journal Une décision favorable au logiciel libre au Conseil d'Etat (CE, Région Picardie, 30 septembre 2011). Évalué à 6.

    Tu ne dois pas réellement pouvoir justifier "tel logiciel libre" dans un marché, tu peux par contre demander "un logiciel libre [ou plus précisément qui nous garantit telle et telle liberté]" ou "un logiciel qui s'interface avec tel logiciel [le cas échéant libre] que nous avons déja déployé", ce qui en pratique est largement suffisant.

  • [^] # Re: Argl...

    Posté par  . En réponse au journal Une décision favorable au logiciel libre au Conseil d'Etat (CE, Région Picardie, 30 septembre 2011). Évalué à 2.

    Merci à lui.

  • [^] # Re: Prendra pas

    Posté par  . En réponse au journal Une décision favorable au logiciel libre au Conseil d'Etat (CE, Région Picardie, 30 septembre 2011). Évalué à -4.

    Alors bon, déja ça n'est pas sur le champ d'édition... Ah ah ouais c'est sur l'écran d'après ! Trop pouissant !

  • [^] # Re: Prendra pas

    Posté par  . En réponse au journal Une décision favorable au logiciel libre au Conseil d'Etat (CE, Région Picardie, 30 septembre 2011). Évalué à -4.

    Ah bon ?! Attends je vais poster une réponse au commentaire que je suis en train d'écrire pour voir ça.

  • [^] # Re: Prendra pas

    Posté par  . En réponse au journal Une décision favorable au logiciel libre au Conseil d'Etat (CE, Région Picardie, 30 septembre 2011). Évalué à 10.

    Ah flûte. En fait je voulais justement poster un journal sur Apple pointant un article délicieusement trolligène.

    Alors ce que je vais faire, c'est le poster ici en loucedé, comme ça hop ça va bien déclencher une flamewar et créer plein de commentaires sur mon journal sur le libre.

    http://www.liberation.fr/economie/01012364181-apple-ou-le-punk-avec-un-futur

    Et hop. Elle est pas belle la vie ?

  • # Argl...

    Posté par  . En réponse au journal Une décision favorable au logiciel libre au Conseil d'Etat (CE, Région Picardie, 30 septembre 2011). Évalué à 3.

    Le lien n'est bien sûr pas vers la décision de première instance, mais bien vers la décision du CE. Et il manque une parenthèse. Misère...