L'efficacité des structures en réseau est indéniable, elles ont montré toute leur capacité avec Internet et les logiciels libres. Cela fait de l'ombre aux vieilles structures hiérarchiques où la compétence diminue quand la position augmente.
Bravo, tu viens de comprendre pourquoi ils ferment le service.
Merci de cette nécessaire précision, pour laquelle je t'ajoute un point de pertinence mérité. Et pour préciser ta précision, j'ajouterai un accent circonflexe à plutôt ! :-P)
Merci de cette nécessaire précision à ma nécessaire précision, pour laquelle je t'ajoute un point de pertinence mérité.
Je voulais juste mettre en évidence que la date de modification du fichier sur un serveur ne peut en aucune manière être suffisant pour indiquer l'antériorité dans la mesure ou celle-ci est modifiable. D'ailleurs, je ne suis pas sûr qu'une présence datée sur un serveur soit suffisante comme preuve (puisque la date est toujours falsifiable par un admin). Je suppose qu'il est nécessaire d'avoir un ensemble d'indices, tel que des annonces sur des listes de diffusions. Là encore, la présence d'un disclaimer ne change rien...
Un moyen de prouver l'antériorité: se faire envoyer en recommandé une copie du code et ne pas l'ouvrir, ou déposer une enveloppe contenant une copie du code chez un notaire/huissier.
Si un relecteur-modérateur avait l'amabilité de les corriger, je gage qu'Emmanuel lui en serait gré.
Je ne crois pas .. Je pense plutot qu'il lui en saurait gré.
Il se trouve que dans logiciel libre, il y a "libre". Ca désigne non seulement le fait que le code soit libre (open source), mais aussi une volonté éthique de vouloir rendre les gens plus libres et ainsi d'optimiser le fonctionnement de la société.
N'importe quoi : Le logiciel libre désigne le fai que le code soit libre et c'est tout. Pour le reste chacun fait ce qu'il veut. Pour Stallmann, ce qui l'intéresse, c'est l'aspect politique de la chose. Il ne s'intéresse pas qu'au code mais plus à la liberté. Pour Linus, le choix d'une licence libre s'est fait pour des raisons techniques. Chacun fait ce qu'il veur du logiciel libre. Soi pour toi le logiciel libre implique aussi une volonté éthique de vouloir rendre les gens plus libres et ainsi d'optimiser le fonctionnement de la société, tant mieux: c'est tout à ton honneur (mais je crois que tu risque d'être déçu). Mais le logiciel libre n'oblige pas à avoir une telle vision des choses. Le logiciel libre peut par contre être un moyen qui va dans ton sens. Ce qu'on remarque de manière générale que le fait de vouloir gagner de l'argent par le libre conduit souvent les entreprise à avoir un comportement qui ne respecte pas l'éthique du libre.
s/les entreprises/certaines entreprises/
Déja c'est quoi l'éthique du libre ? Pour moi c'est le respect des 4 libertés fondamentales, et des licences des logiciels. Ca ne va pas plus loin. La plupart des grosses boites impliquées dans le libre jouent le jeu du libre.
Si tu veux des exemples concrets de comportement privateur de certaines entreprises du libre, je t'invite à relire l'article qu'on est en train de commenter, et l'article anglais plus détaillé qui y est lié.
Bon cet article pour moi n'est constitué que d'amalgames et d'erreurs grossières. Un exemple : Red Hat makes a big distinction between the free version, distributed under the name Fedora, and its enterprise products sold under the name Red Hat.
C'est totalement faux. Fedora n'est pas la version "libre" de Redhat: Le code n'est ni plus ni moins libre que la Redhat Enterprise. c'est une version "de test" que Redhat peut modifier à n'importe quel moment. Sinon, quand tu as une Redhat Enterprise, tu dispose également du code source si tu le demandes. Tu peux fairte ce que tu veux de ce code source. La sele chose que tu ne peux t'approprier c'est le nom "Redhat" et le logo qui va avec. Pour une distrib Enterprise ça me parait un peu logique : tu évites ainsi d'être appelé en support pour des bugs qui auraient été introduits par d'autres.
Bien sûr il y a plein de moyens pour gagner de l'argent autour du libre, et tous ne sont pas nécessairement mauvais. Ce que je trouve important c'est au moins que l'entité directrice d'un projet libre n'ait pas pour but principal l'argent mais le développement du projet en soi (ce qui exclut d'office une entreprise).
... ce qui est totalement faux.
Tu pars du principe que le but initial d'une entreprise qui développe du logiciel est de faire de l'argent _avec_ le logiciel, ce qui est une grosse erreur. Beaucoup de boites développent des logiciels, mais le logiciel n'est pas une fin en soi: ce n'est qu'un outil (exemple : les entreprises de télécom). Ces boites qui n'ont pas le logiciel comme coeur de métier ont bien plus intéret à libérer leur code que les boites qui vivent du logiciel : plus le logiciel sera utilisé et plus il y aura de rempontées de bugs, il y aura aussi des remontées de patch, etc ....
Pour compléter ta liste je dirais qu'il n'y a pas que l'aspect "financier" dans l'économie du logiciel libre, loin de là. Une économie sert avant tout à produire de la richesse pour la société, le code en soi en est une.
Oui, mais pour vivre tu as besoin d'un minimum d'argent. Tu confonds recherche de profit maximum er recherche d'argent pour (sur)vivre.
On pourrait le penser en effet, mais il se trouve que des constatations dans le monde réel (dans des communautés de logiciels libres) montrent que ce n'est pas ce qui se passe.
Exemples ? En effet on constate que de nombreux logiciels libres sont libres et gratuits, et ils sont ... nombreux. Cette constatation va à l'inverse de ce que tu aurais pensé : que sans argent il y ait moins de monde pour coder, moins de motivation etc.
Tu pars du postulat que la majorité des logiciels libres sont développés hors du cadre de l'entreprise : c'est la que tu te trompes : une grosse partie des logiciels libres sont développés dans le cadre de l'entreprise. Exemple : OpenOffice : que serait celui-ci si Sun n'avait pas libéré le code ? Le noyau Linux : beaucoup de contributeurs sont payés pour bosser dessus, de grosses boites (IBM, Bull, etc ...) contribuent à l'amélioration de celui-ci .... Ce sont les deux exemples qui me viennent à l'esprit mais je suis sur qu'il y en a de nombreux autres. Tiens un autre qui me vient à l'esprit : VLC et Free qui remonte ses modifs ...
Sinon, puisque tu parles de "commnautés de logiciels libres" : je suis presque convaincu que nombre de membre de ces communautés sont des personnes qui vivent du LL, et s'ils ne pouvaient en vivre, ils passeraient moins de temps dessus.
Il se trouve que parallèlement à l'économie de marché principale, pour le logiciel il peut exister un autre type d'économie où l'argent n'intervient pas. Et il se trouve que ce type de fonctionnement est plus efficace que le modèle marchand.
Je n'y crois pas du tout. Quel que soit le projet, l'argent est nécessaire, d'une façon ou d'une autre. Prends l'exemple de Mozilla : si tu leur retire les financements, le projet avance moins vite. Imagine que Google retire son soutien à Mozilla ? Le projet ne mourra pas mais il ralentira. C'est pas si clair que ça en réalité : rien n'assure qu'une personne qui a acheté le code va le redistribuer (parmi les utilisateurs, très peu de gens redistribuent du code en général).
C'est là ou tu te trompes. Le code ne sera pas forcément diffusé de suite mais il sera diffusé tôt ou tard. Imagine une société qui paye un développeur pou pondre un projet sous licence GPL : le développeur s'il n'est pas fou, va garder une copie du code pour lui : la GPL l'autorise expressément (ce qui n'est pas le cas si le code développé est propriétaire, et que la boite qui paie le développement veut garder le code pour elle). Ainsi il pourra réutiliser le code en question dans d'autres projets, si bien que le code devient disponible, même si le projet initial n'est pas vraiment diffusé. Dans la réalité on peut de manière très claire constater que lorsqu'un code même sous GPL est vendu, il est plus difficilement accessible, ça fait donc moins de gens qui peuvent y accéder, il y a restriction de liberté.
Exemples ? Tu ne fais qu'affirmer sans étayer.
En fait la question que je me pose est la suivante: la modification d'un fichier a-t-elle plus de poids juridiquement que la modification d'une archive (ou d'un répertoire)? Je ne vois pas en quoi elle serait plus facile à prouver (dans les deux cas il est nécessaire de comparer les dates sur les serveurs), mais peut-être y a-t-il une subtilité légale qui m'échappe?
Examinons maintenant la commercialisation du code défendue actuellement par le mouvement du libre.
OK, on examine ... Si on l'autorise, ça permet aux personnes qui créent le code d'avoir la liberté de gagner de l'argent, mais si on l'interdit, ca permettrait à plus de personnes d'être sûr d'avoir la liberté de profiter de ce code, le créateur du code n'ayant plus la liberté de restreindre la distribution en demandant de l'argent en échange, ne pourrait que donner le code.
Je ne suis pas d'accord. On peut penser que, si tu interdis de "vendre" du libre, tu restreins la possibilité à la majorité de profiter du code libre, car ceux qui vivent de ce code seront moins nombreux, donc il y aura moins de code produit. De plus, que paye-t-on lorsque l'on paye un LL ? Le code en lui-même ? Non je ne crois pas ... Je pense que c'est plutôt le temps passé à développer ce code et à le débugger. De plus, quand tu payes du code GPL, rien ne t'interdit de le rediuffuser gratuitement. Donc là aussi comme précédemment, interdire la commercialisation permettrait une extension de l'égalité de la liberté d'exploiter le code, au détriment de la liberté d'exclusivité de ce code pour son auteur. (là c'est aps une stricte exclusivité mais quand même une tendance à restreindre l'utilisation pour les autres).
Pour le code GPL, claiement, non : la licence n'interdit pas de distribuer le code, même si tu l'as payé de ton côté. Doncla personne qui vend le code ne restrein aucune liberté.
On pourrait se dire que de toute façon l'auteur a la liberté de ne pas divulguer son code et que personne ne peut l'en empêcher alors pourquoi ne pas le laisser vendre si dans le cas inverse il ne le divulguerait pas ? D'ailleurs le même argument est là pour la liberté qu'enlève la GPL : publier un logiciel sans le code. La personne risquerait de ne pas publier ni le logiciel ni le code si son code devait obligatoirement être "volé" par la communauté.
Pour ma part, je suis d'avis que le code GPL ne peut être "vendu" : je vois plus le fait de payer pour du code GPL comme une indemnité sur le temps passé à développer/débugger.
Tas entendu des klaxons cette année ? ;)
Moi, j'ai vu dans un parc des abrutis bruler un drapeau portugais le jour ou le portual a gagné 7-0 contre la corée du Nord.
Je suis sur que ce n'était pas un acte isolé. Ceci dit un peu de tolérance. Moi aussi ça me saoule, mais en même temps ca fait un peu de lien social, et ça donne pas mal de joie aux supporters.
Lien social ? Pour ma part le foot, je le vois plutot depuis qelques temps comme un facteur de division : il n'y a qu'à voir la façon qu'ont certains supporters de se taper dessus ou de s'insuilter. Moi je viens de Clermont, ville de rugby, et même ma mère qui ne différencie pas un drop d'un en avant se prend au jeu, descend dans la rue, chante, rencontre des gens.
La mentalité Rugby est bien éloignée de la mentalité Foot. Ce qui me gène dans le foot c'est la démesure; maintenant le rugby n'en est pas à ce point en france, mais je crains que ça ne change dans les années à venir. Il suffit que l'équipe de rugby se qualifie en finale de la coupe du monde pour qu'elle ait un effet mobilisateur que le foot n'a pas eu. Il n'y a qu'à voir le buzz lors de la dernière coupe du monde de rugby ....
Alors certe, ça fait surement chier pas mal de monde, en même temps je trouve que l'apport de ce genre d'évènement passe au dessus de ces quelques nuisances qui ne se produisent, au pire, que 2 ou 3 fois dans l'année.
S'il n'y avait que quelques gugus qui claxonent pour manifester leur oie ça ne me gênerait pas plus que ça. Aujourd'hui ça va bien plus loin, et pour ma part c'est ça qui me dérange. Autrefois, sans être un fan, je suivais un peu le foot, mais depuis quelques années, vu la démesure et l'embiance générale, je ne suis plus du tout
C'est juste une façon de dire que j'étais trop étourdi en programmation et qu'un petit bug que le noob de base pourrait débusquer le doigts dans le nez me prendrait des semaine voire un temps infini pour le corriger.
Bah, ça ça vient avec l'habitude; Plus tu codes et moins tu fais ce genre d'erreurs.
J'ai fait du C, de l'assembleur sur microcontrolleurs variés, du c++, un peu de java, du Perl, du Python, du shell, awk, j'ai joué un peu avec Erlang, j'ai essayé smalltalk, et à chaque fois, au fur et à mesure que je développais je faisais de moins en moins d'erreur de ce genre. Le plus difficile c'est de switcher entre deux langages proches (je fais du Ruby et me suis remis un peu au python dernierement. Pas eu de mal à m'y remettre, mais curieusement, reswitcher vers Ruby a été un peu compliqué).
Python est trop dangereux pour les étourdis chroniques : trop de libertés, trop de possibilités d'erreur, trop de canards enrubannés (et parfois même, comme avec GTK+2, des bogues entre les bindings C et la machine virtuelle un peu trop subtiles à mon goût).
En Ruby tu en as à la pelle des canards ..... Par contre ça ne me gène pas tant que ça, c'est un style de programmation qu'il faut connaitre et utiliser pour pouvoir l'apprécier.
Des langages fortement typés comme Haskell ou C/C++ et leurs descendants (Java, Vala?) ne conviendraient-ils pas mieux ? (je ne connais pas Ruby, je ne sais pas ce qu'il en est pour lui). Tant pis pour les fioritures et autres "boilerplate". On a des éditeurs de textes suffisamment puissants aujourd'hui pour ne plus s'en soucier. Tant pis également pour ce méchant compilateur qui n'arrête pas de nous taper sur les doigts. Il faut persévérer, on est tous passé par là et on finit par s'y faire.
C/C++ fortement typé ? Non je ne pense pas. A mon avis, si tu veux un langage fortement typé, c'est Ada qu'il faut utiliser. Mais dans beaucoup de cas c'est sortir l'artillerie lourde pour pas grand chose.
Je ne connais pas Haskell (il faudra que je m'y mette un jour pour voir). Par contre je me suis mis il y a quelques temps à Erlang. C'est un peu particulier, mais j'aime assez.
Sinon d'une manière générale, je pense que coder avec un langage "strict" ou déclaratif à l'extrême dans tous les cas de figure est contre-productif, et ce genre de langage devrait être utilisé que ans des cas particuliers.
Ce que je n'aime pas dans Python c'est cette fausse impression de sécurité que le langage te donne en te forçant à tout spécifié, et à côté de ça il n'est même pas capable de géré l'encapsulation des classes ....
Ces contrats signifient simplement que bcp de grosses entreprises ne s'amusent pas a acheter l'OS avec les machines qu'elles achetent, elles le recoivent separement a travers leur contrat avec MS, donc tu ne le vois pas non plus dans les chiffres.
Tu ne réponds pas à ma question : existe-t-il un contrat chez Microsoft qui permette d'installer à volonté des systèmes sous Windows oui ou non ? Si tu prends un contrat pour 10000 licences, Microsoft a vendu 10000 licences, même si le client n'en installe que 5000. Pour Microsoft c'est 10000 ventes, le chiffre est connu. Pour Debian, si je télécharge une fois une Debian, ou si je fais un mirroir interne, Debian ne verra qu'un seul téléchargement, même si j'installe 10000 debian. La différence est de taille. Avec Microsoft on peut faire une estimation, avec Debian c'est beaucoup plus difficile. Sinon, pour information beaucoup de (grosses) boites achètent double : les machines préinstallées avec l'étiquette OEM de l'OS sur la machine, et des licences groupes séparées. Mais si ils sont assez stupide pour payer 2x la même chose ce n'est pas la faute à Microsoft ....
Ben ca bascule dans tous les sens hein : Windows -> Unix, Unix -> Linux, Windows -> Linux, Linux -> Windows ,...
Maintenant, l'enorme majorite des bascules c'est Unix -> Linux et Unix -> Windows
Non tu as aussi énormément de windows->linux. Pour ton info je bosse en ce moment dans une grosse boite qui installe du Windows sur ses serveurs que si elle n'a pas le choix. Sinon, c'est du Linux. on, dans le cas de Redhat c'est different, parce qu'au final ils ont une certaine dependance sur l'ecosysteme Linux qui n'a pas forcement les memes imperatifs que Redhat.
C'est exactement la même chose : un parapluie juridique. Mais si tu as un contrat de support ils t'aident.
De toute façon ça ne sert à rien de discuter plus loin sur ce sujet. Les serveurs vraiment critiques, our lesquels chaque minute d'arret fait perdre beaucoup d'argent ne tournent ni sous windows, ni sous Linux.
[^] # Re: Mauvaise compréhension, mauvaise économie
Posté par totof2000 . En réponse à la dépêche Fin de l'Unité Réseaux au CNRS. Évalué à 4.
Bravo, tu viens de comprendre pourquoi ils ferment le service.
[^] # Re: Le meilleur des cyber-mondes
Posté par totof2000 . En réponse à la dépêche Comment accéder à Internet (un guide de 2025). Évalué à 4.
Merci de cette nécessaire précision à ma nécessaire précision, pour laquelle je t'ajoute un point de pertinence mérité.
[^] # Re: Je comprends pas
Posté par totof2000 . En réponse au journal Pour utiliser Windows, utilisez Linux (bis). Évalué à 2.
[^] # Re: Utilité réelle de ces "versions courtes"?
Posté par totof2000 . En réponse au journal Licence de logiciel libre et droit français. Évalué à 3.
D'ailleurs, je ne suis pas sûr qu'une présence datée sur un serveur soit suffisante comme preuve (puisque la date est toujours falsifiable par un admin). Je suppose qu'il est nécessaire d'avoir un ensemble d'indices, tel que des annonces sur des listes de diffusions. Là encore, la présence d'un disclaimer ne change rien...
Un moyen de prouver l'antériorité: se faire envoyer en recommandé une copie du code et ne pas l'ouvrir, ou déposer une enveloppe contenant une copie du code chez un notaire/huissier.
[^] # Re: Le meilleur des cyber-mondes
Posté par totof2000 . En réponse à la dépêche Comment accéder à Internet (un guide de 2025). Évalué à 10.
Je ne crois pas .. Je pense plutot qu'il lui en saurait gré.
[^] # Re: Oui
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le prix de la liberté. Évalué à 2.
N'importe quoi : Le logiciel libre désigne le fai que le code soit libre et c'est tout. Pour le reste chacun fait ce qu'il veut. Pour Stallmann, ce qui l'intéresse, c'est l'aspect politique de la chose. Il ne s'intéresse pas qu'au code mais plus à la liberté. Pour Linus, le choix d'une licence libre s'est fait pour des raisons techniques. Chacun fait ce qu'il veur du logiciel libre. Soi pour toi le logiciel libre implique aussi une volonté éthique de vouloir rendre les gens plus libres et ainsi d'optimiser le fonctionnement de la société, tant mieux: c'est tout à ton honneur (mais je crois que tu risque d'être déçu). Mais le logiciel libre n'oblige pas à avoir une telle vision des choses. Le logiciel libre peut par contre être un moyen qui va dans ton sens.
Ce qu'on remarque de manière générale que le fait de vouloir gagner de l'argent par le libre conduit souvent les entreprise à avoir un comportement qui ne respecte pas l'éthique du libre.
s/les entreprises/certaines entreprises/
Déja c'est quoi l'éthique du libre ? Pour moi c'est le respect des 4 libertés fondamentales, et des licences des logiciels. Ca ne va pas plus loin. La plupart des grosses boites impliquées dans le libre jouent le jeu du libre.
[^] # Re: Oui
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le prix de la liberté. Évalué à 3.
Bon cet article pour moi n'est constitué que d'amalgames et d'erreurs grossières. Un exemple :
Red Hat makes a big distinction between the free version, distributed under the name Fedora, and its enterprise products sold under the name Red Hat.
C'est totalement faux. Fedora n'est pas la version "libre" de Redhat: Le code n'est ni plus ni moins libre que la Redhat Enterprise. c'est une version "de test" que Redhat peut modifier à n'importe quel moment. Sinon, quand tu as une Redhat Enterprise, tu dispose également du code source si tu le demandes. Tu peux fairte ce que tu veux de ce code source. La sele chose que tu ne peux t'approprier c'est le nom "Redhat" et le logo qui va avec. Pour une distrib Enterprise ça me parait un peu logique : tu évites ainsi d'être appelé en support pour des bugs qui auraient été introduits par d'autres.
[^] # Re: Oui
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le prix de la liberté. Évalué à 2.
... ce qui est totalement faux.
Tu pars du principe que le but initial d'une entreprise qui développe du logiciel est de faire de l'argent _avec_ le logiciel, ce qui est une grosse erreur. Beaucoup de boites développent des logiciels, mais le logiciel n'est pas une fin en soi: ce n'est qu'un outil (exemple : les entreprises de télécom). Ces boites qui n'ont pas le logiciel comme coeur de métier ont bien plus intéret à libérer leur code que les boites qui vivent du logiciel : plus le logiciel sera utilisé et plus il y aura de rempontées de bugs, il y aura aussi des remontées de patch, etc ....
Pour compléter ta liste je dirais qu'il n'y a pas que l'aspect "financier" dans l'économie du logiciel libre, loin de là. Une économie sert avant tout à produire de la richesse pour la société, le code en soi en est une.
Oui, mais pour vivre tu as besoin d'un minimum d'argent. Tu confonds recherche de profit maximum er recherche d'argent pour (sur)vivre.
[^] # Re: Oui
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le prix de la liberté. Évalué à 3.
Exemples ?
En effet on constate que de nombreux logiciels libres sont libres et gratuits, et ils sont ... nombreux. Cette constatation va à l'inverse de ce que tu aurais pensé : que sans argent il y ait moins de monde pour coder, moins de motivation etc.
Tu pars du postulat que la majorité des logiciels libres sont développés hors du cadre de l'entreprise : c'est la que tu te trompes : une grosse partie des logiciels libres sont développés dans le cadre de l'entreprise. Exemple : OpenOffice : que serait celui-ci si Sun n'avait pas libéré le code ? Le noyau Linux : beaucoup de contributeurs sont payés pour bosser dessus, de grosses boites (IBM, Bull, etc ...) contribuent à l'amélioration de celui-ci .... Ce sont les deux exemples qui me viennent à l'esprit mais je suis sur qu'il y en a de nombreux autres. Tiens un autre qui me vient à l'esprit : VLC et Free qui remonte ses modifs ...
Sinon, puisque tu parles de "commnautés de logiciels libres" : je suis presque convaincu que nombre de membre de ces communautés sont des personnes qui vivent du LL, et s'ils ne pouvaient en vivre, ils passeraient moins de temps dessus.
Il se trouve que parallèlement à l'économie de marché principale, pour le logiciel il peut exister un autre type d'économie où l'argent n'intervient pas. Et il se trouve que ce type de fonctionnement est plus efficace que le modèle marchand.
Je n'y crois pas du tout. Quel que soit le projet, l'argent est nécessaire, d'une façon ou d'une autre. Prends l'exemple de Mozilla : si tu leur retire les financements, le projet avance moins vite. Imagine que Google retire son soutien à Mozilla ? Le projet ne mourra pas mais il ralentira.
C'est pas si clair que ça en réalité : rien n'assure qu'une personne qui a acheté le code va le redistribuer (parmi les utilisateurs, très peu de gens redistribuent du code en général).
C'est là ou tu te trompes. Le code ne sera pas forcément diffusé de suite mais il sera diffusé tôt ou tard. Imagine une société qui paye un développeur pou pondre un projet sous licence GPL : le développeur s'il n'est pas fou, va garder une copie du code pour lui : la GPL l'autorise expressément (ce qui n'est pas le cas si le code développé est propriétaire, et que la boite qui paie le développement veut garder le code pour elle). Ainsi il pourra réutiliser le code en question dans d'autres projets, si bien que le code devient disponible, même si le projet initial n'est pas vraiment diffusé.
Dans la réalité on peut de manière très claire constater que lorsqu'un code même sous GPL est vendu, il est plus difficilement accessible, ça fait donc moins de gens qui peuvent y accéder, il y a restriction de liberté.
Exemples ? Tu ne fais qu'affirmer sans étayer.
[^] # Re: Utilité réelle de ces "versions courtes"?
Posté par totof2000 . En réponse au journal Licence de logiciel libre et droit français. Évalué à 2.
man touch ....
[^] # Re: Oui
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le prix de la liberté. Évalué à 3.
OK, on examine ...
Si on l'autorise, ça permet aux personnes qui créent le code d'avoir la liberté de gagner de l'argent, mais si on l'interdit, ca permettrait à plus de personnes d'être sûr d'avoir la liberté de profiter de ce code, le créateur du code n'ayant plus la liberté de restreindre la distribution en demandant de l'argent en échange, ne pourrait que donner le code.
Je ne suis pas d'accord. On peut penser que, si tu interdis de "vendre" du libre, tu restreins la possibilité à la majorité de profiter du code libre, car ceux qui vivent de ce code seront moins nombreux, donc il y aura moins de code produit. De plus, que paye-t-on lorsque l'on paye un LL ? Le code en lui-même ? Non je ne crois pas ... Je pense que c'est plutôt le temps passé à développer ce code et à le débugger. De plus, quand tu payes du code GPL, rien ne t'interdit de le rediuffuser gratuitement.
Donc là aussi comme précédemment, interdire la commercialisation permettrait une extension de l'égalité de la liberté d'exploiter le code, au détriment de la liberté d'exclusivité de ce code pour son auteur. (là c'est aps une stricte exclusivité mais quand même une tendance à restreindre l'utilisation pour les autres).
Pour le code GPL, claiement, non : la licence n'interdit pas de distribuer le code, même si tu l'as payé de ton côté. Doncla personne qui vend le code ne restrein aucune liberté.
On pourrait se dire que de toute façon l'auteur a la liberté de ne pas divulguer son code et que personne ne peut l'en empêcher alors pourquoi ne pas le laisser vendre si dans le cas inverse il ne le divulguerait pas ? D'ailleurs le même argument est là pour la liberté qu'enlève la GPL : publier un logiciel sans le code. La personne risquerait de ne pas publier ni le logiciel ni le code si son code devait obligatoirement être "volé" par la communauté.
Pour ma part, je suis d'avis que le code GPL ne peut être "vendu" : je vois plus le fait de payer pour du code GPL comme une indemnité sur le temps passé à développer/débugger.
[^] # Re: Scenarii
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le moment crucial. Évalué à 2.
[^] # Re: Du pain et des jeux
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le moment crucial. Évalué à 1.
[^] # Re: Scenarii
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le moment crucial. Évalué à 2.
Un efford, SVP.
[^] # Re: Du pain et des jeux
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le moment crucial. Évalué à 5.
Moi, j'ai vu dans un parc des abrutis bruler un drapeau portugais le jour ou le portual a gagné 7-0 contre la corée du Nord.
Je suis sur que ce n'était pas un acte isolé.
Ceci dit un peu de tolérance. Moi aussi ça me saoule, mais en même temps ca fait un peu de lien social, et ça donne pas mal de joie aux supporters.
Lien social ? Pour ma part le foot, je le vois plutot depuis qelques temps comme un facteur de division : il n'y a qu'à voir la façon qu'ont certains supporters de se taper dessus ou de s'insuilter.
Moi je viens de Clermont, ville de rugby, et même ma mère qui ne différencie pas un drop d'un en avant se prend au jeu, descend dans la rue, chante, rencontre des gens.
La mentalité Rugby est bien éloignée de la mentalité Foot. Ce qui me gène dans le foot c'est la démesure; maintenant le rugby n'en est pas à ce point en france, mais je crains que ça ne change dans les années à venir. Il suffit que l'équipe de rugby se qualifie en finale de la coupe du monde pour qu'elle ait un effet mobilisateur que le foot n'a pas eu. Il n'y a qu'à voir le buzz lors de la dernière coupe du monde de rugby ....
Alors certe, ça fait surement chier pas mal de monde, en même temps je trouve que l'apport de ce genre d'évènement passe au dessus de ces quelques nuisances qui ne se produisent, au pire, que 2 ou 3 fois dans l'année.
S'il n'y avait que quelques gugus qui claxonent pour manifester leur oie ça ne me gênerait pas plus que ça. Aujourd'hui ça va bien plus loin, et pour ma part c'est ça qui me dérange. Autrefois, sans être un fan, je suivais un peu le foot, mais depuis quelques années, vu la démesure et l'embiance générale, je ne suis plus du tout
# On s'en fiche.
Posté par totof2000 . En réponse au journal Le moment crucial. Évalué à 7.
# On s'en fiche.
Posté par totof2000 . En réponse au journal On peut y arriver. Évalué à 8.
[^] # Re: Le troll se repand...
Posté par totof2000 . En réponse au message Je vous propose un regard différent sur ce merveilleux systèmes qu'est Linux. Évalué à 3.
# Il s'est échappé de la fosse ...
Posté par totof2000 . En réponse au message Je vous propose un regard différent sur ce merveilleux systèmes qu'est Linux. Évalué à 4.
[^] # Re: Non je ne suis pas TDAH
Posté par totof2000 . En réponse au journal Lamentations ou les remords d'un geek. Évalué à 2.
Bah, ça ça vient avec l'habitude; Plus tu codes et moins tu fais ce genre d'erreurs.
J'ai fait du C, de l'assembleur sur microcontrolleurs variés, du c++, un peu de java, du Perl, du Python, du shell, awk, j'ai joué un peu avec Erlang, j'ai essayé smalltalk, et à chaque fois, au fur et à mesure que je développais je faisais de moins en moins d'erreur de ce genre. Le plus difficile c'est de switcher entre deux langages proches (je fais du Ruby et me suis remis un peu au python dernierement. Pas eu de mal à m'y remettre, mais curieusement, reswitcher vers Ruby a été un peu compliqué).
[^] # Re: Et pis .....thon n'est pas très TDAH-compliant, si ?
Posté par totof2000 . En réponse au journal Lamentations ou les remords d'un geek. Évalué à 2.
En Ruby tu en as à la pelle des canards ..... Par contre ça ne me gène pas tant que ça, c'est un style de programmation qu'il faut connaitre et utiliser pour pouvoir l'apprécier.
Des langages fortement typés comme Haskell ou C/C++ et leurs descendants (Java, Vala?) ne conviendraient-ils pas mieux ? (je ne connais pas Ruby, je ne sais pas ce qu'il en est pour lui). Tant pis pour les fioritures et autres "boilerplate". On a des éditeurs de textes suffisamment puissants aujourd'hui pour ne plus s'en soucier. Tant pis également pour ce méchant compilateur qui n'arrête pas de nous taper sur les doigts. Il faut persévérer, on est tous passé par là et on finit par s'y faire.
C/C++ fortement typé ? Non je ne pense pas. A mon avis, si tu veux un langage fortement typé, c'est Ada qu'il faut utiliser. Mais dans beaucoup de cas c'est sortir l'artillerie lourde pour pas grand chose.
Je ne connais pas Haskell (il faudra que je m'y mette un jour pour voir). Par contre je me suis mis il y a quelques temps à Erlang. C'est un peu particulier, mais j'aime assez.
Sinon d'une manière générale, je pense que coder avec un langage "strict" ou déclaratif à l'extrême dans tous les cas de figure est contre-productif, et ce genre de langage devrait être utilisé que ans des cas particuliers.
[^] # Re: Et pis .....thon n'est pas très TDAH-compliant, si ?
Posté par totof2000 . En réponse au journal Lamentations ou les remords d'un geek. Évalué à 2.
[^] # Re: Et pis .....thon
Posté par totof2000 . En réponse au journal Lamentations ou les remords d'un geek. Évalué à 2.
[^] # Re: Et l'état ?
Posté par totof2000 . En réponse au journal Mandriva : une situation plus difficile que prévue ?. Évalué à 2.
Tu ne réponds pas à ma question : existe-t-il un contrat chez Microsoft qui permette d'installer à volonté des systèmes sous Windows oui ou non ? Si tu prends un contrat pour 10000 licences, Microsoft a vendu 10000 licences, même si le client n'en installe que 5000. Pour Microsoft c'est 10000 ventes, le chiffre est connu. Pour Debian, si je télécharge une fois une Debian, ou si je fais un mirroir interne, Debian ne verra qu'un seul téléchargement, même si j'installe 10000 debian. La différence est de taille. Avec Microsoft on peut faire une estimation, avec Debian c'est beaucoup plus difficile. Sinon, pour information beaucoup de (grosses) boites achètent double : les machines préinstallées avec l'étiquette OEM de l'OS sur la machine, et des licences groupes séparées. Mais si ils sont assez stupide pour payer 2x la même chose ce n'est pas la faute à Microsoft ....
Ben ca bascule dans tous les sens hein : Windows -> Unix, Unix -> Linux, Windows -> Linux, Linux -> Windows ,...
Maintenant, l'enorme majorite des bascules c'est Unix -> Linux et Unix -> Windows
Non tu as aussi énormément de windows->linux. Pour ton info je bosse en ce moment dans une grosse boite qui installe du Windows sur ses serveurs que si elle n'a pas le choix. Sinon, c'est du Linux.
on, dans le cas de Redhat c'est different, parce qu'au final ils ont une certaine dependance sur l'ecosysteme Linux qui n'a pas forcement les memes imperatifs que Redhat.
C'est exactement la même chose : un parapluie juridique. Mais si tu as un contrat de support ils t'aident.
[^] # Re: Et l'état ?
Posté par totof2000 . En réponse au journal Mandriva : une situation plus difficile que prévue ?. Évalué à 1.