Bruno Coudoin a écrit 411 commentaires

  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 2.

    L'accès au savoir et à la connaissance dans l'éducation est une question de principe, ce n'est pas négociable. Si Microsoft ne désire pas que l'on l'étudie c'est son droit mais dans ce cas Windows n'a pas sa place dans une école.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 2.

    On est d'accord, et je n'ai jamais dit que c'était simple. L'important c'est déjà d'être convaincu que c'est la bonne direction.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 2.

    Que d'incohérence. Tu nous a expliqué plus haut que GNU/Linux est trop différent, que les utilisateurs seraient perdus si on leur enlevait leur Windows et maintenant c'est tout le contraire !

    De deux choses l'une, si c'est pareil pour eux, pourquoi prendre un système non libre pour les éduquer. Si c'est pareil alors il faut demander aux personnes en charge de passer sous GNU/Linux pour ne pas les former à un système propriétaire monopolistique.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 1.

    Ah parce que maintenant on explique l'architecture des systemes d'exploitations a l'ecole ? J'etais pas au courant...

    A bon, on va supprimer des écoles tous les supports qui n'ont pas de lien direct avec le programme, il faut faire le ménage dans les dictionnaires !

    Personnellement, j'ai appris à programmer sur les ordinateurs du lycée car il y avait un club informatique qui utilisait la salle. Désolé mais l'informatique n'était pas dans mon programme à l'époque et grâce à ça j'en ai fait mon métier.

    L'éducation c'est aussi ouvrir l'esprit, c'est permettre à l'autre d'avancer en lui donnant des pistes, et décidément Windows est une voie sans issue.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 1.

    D'où le problème de liberté, non ?

    Non, ce n'est pas pratique, c'est tout. Quand on parle de liberté dans les logiciels libres , on fait référence aux quatre libertés fondamentales, suivantes:
    * La liberté d'exécuter le programme, pour tous les usages (liberté 0).
    * La liberté d'étudier le fonctionnement du programme, et de l'adapter à vos besoins (liberté 1). Pour ceci l'accès au code source est une condition requise.
    * La liberté de redistribuer des copies, donc d'aider votre voisin, (liberté 2).
    * La liberté d'améliorer le programme et de publier vos améliorations, pour en faire profiter toute la communauté (liberté 3). Pour ceci l'accès au code source est une condition requise.

    Référence http://www.gnu.org/philosophy/free-sw.fr.html

    Libre à toi de rajouter la liberté de lier n'importe quel programme ensemble mais cela n'en fait pas partie.

    En quoi, par exemple, faire tourner OpenOffice sous windows supprime 99% de liberté par rapport à la même chose sous Linux

    Les 99% sont une image bien sûr. Il n'en reste pas moins vrai qu'en formant les enfants à Windows, elle failli à son devoir d'éducation. Je te le redis, Windows interdit l'apprentissage (relit bien la licence Windows, il est interdit de chercher à comprendre comment ça marche et tu n'as pas le code source).

    Certes peut d'enfants auront l'envie d'aller plus loin mais c'est idiot de brider ceux qui voudraient alors qu'il existe un système Libre aussi convivial que Windows.

    Tout est question d'éthique, tu fais le choix confortable de former de bon futur grands consommateurs de produit Microsoft, sans leur permettre jamais de comprendre comme cela marche car c'est caché.

    Alors que tu as dans les mains tout pour en faire des citoyens libres et bien formés en pleine lumière. Après libre à eux d'utiliser le système d'exploitation de leur choix chez eux ou dans leur travail, mais au moins l'école aura fait son travail d'éducation.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 3.

    Tu ne comprends décidément pas, OpenSSL est totalement libre au sens de la Free Software Fundation. Il respecte l'ensemble des libertés, même au sens de la GPL mais comme certains termes diffères cela les rend incompatibles. Cela signifie tout simplement que tu ne peux pas inclure OpenSSL dans du code sous GPL. Rien ne t'empêche de l'inclure dans une distribution GNU/Linux comme Debian.

    Peut importe, ton argumentaire disant que comme sur GNU/Linux on utilise aussi des logiciels non libres comme Flash est fallacieux, c'est ce point qui est choquant dans ton argumentaire. Refuser 99% de liberté sous prétexte qu'on ne peut avoir 100% est une excuse pour bidon pour justifier l'inaction.

    "They that give up essential liberty to obtain a little temporary safety... deserve neither safety nor liberty." Benjamin Franklin
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 2.

    Comme j'ai l'impression que tu ne comprends pas les enjeux, je me permet de te copier le texte de Richard Stallman qui explique cela bien mieux que ce que je ne pourrai le faire.

    ---

    Il existe des raisons très générales pour lesquelles tout utilisateur d'ordinateur devrait se focaliser sur les logiciels libres. Ils donnent la possibilité de contrôler notre propre ordinateur, alors qu'avec les logiciels commerciaux l'ordinateur obéit au propriétaire du logiciel - l'éditeur - et non plus au propriétaire de l'ordinateur lui-même. Avec les logiciels libres, les utilisateurs ont la liberté de coopérer, de mieux diriger leur vie. Cela s'applique aux écoles comme à tout le monde.

    Mais il existe des raisons spécifiques qui concernent les écoles.

    D'abord, les logiciels libres permettent aux écoles d'économiser de l'argent. Même dans les pays riches, les écoles ont un budget très serré. Les logiciels libres donnent aux écoles, comme aux autres utilisateurs, la liberté de copier et de redistribuer les logiciels, si bien que l'Éducation nationale (ou tout système éducatif) peut faire des copies pour tous les ordinateurs de toutes les écoles. Dans les pays pauvres, cela peut aider à réduire la « fracture numérique ».

    Cet argument économique évident, quoi qu'important, n'a qu'une portée assez marginale. En effet les développeurs de logiciels propriétaires peuvent éliminer cet inconvénient en donnant des copies aux écoles. Mais attention : une école qui accepte ce « cadeau » risque de devoir payer les futures mises à jour.

    Approfondissons donc la question.

    L'École devrait enseigner aux élèves des comportements qui profiteront à la société toute entière. Elle devrait promouvoir l'utilisation des logiciels libres tout comme elle promeut le recyclage. Si l'École enseigne les logiciels libres aux élèves (et aux étudiants), ceux-ci les utiliseront encore après la fin de leurs études. Cela pourra aider la société toute entière à échapper à la domination (et à la lamination) par les multinationales. Ces entreprises offrent des versions gratuites de logiciels aux écoles pour la même raison que des compagnies de tabac américaines distribuent des cigarettes gratuites : pour rendre les enfants dépendants (1). Ils ne feront pas de remises à ces élèves et étudiants après leurs études une fois qu'ils auront grandi.

    Les logiciels libres permettent aux élèves et aux étudiants d'apprendre comment les logiciels fonctionnent. À l'adolescence, certains d'entre eux veulent tout apprendre au sujet de leur ordinateur et de ses logiciels. C'est à cet âge que les personnes qui deviendront de bons programmeurs devraient l'apprendre. Pour bien apprendre à écrire des logiciels, les élèves et les étudiants ont besoin de lire beaucoup de code source et d'écrire beaucoup de logiciels. Ils ont besoin de lire et de comprendre de vrais programmes que les gens utilisent réellement. Ils seront extrêmement curieux de lire le code source des programmes qu'ils utilisent.

    Le logiciel propriétaire rejette cette soif de connaissance ; il dit « le savoir que tu veux est un secret, l'apprendre est interdit ! » Le logiciel libre encourage tout le monde à apprendre. La communauté du logiciel libre rejette ce « culte de la technologie », qui maintient le grand public dans l'ignorance du fonctionnement de la technologie ; nous encourageons les élèves et les étudiants de tous âges et de toutes origines à lire du code source et à apprendre autant qu'ils veulent savoir. Les écoles qui utilisent les logiciels libres encouragent cela et permettent aux apprentis programmeurs doués de progresser.

    La raison suivante est encore plus profonde. Nous attendons de l'École qu'elle enseigne aux élèves et étudiants des connaissances de base et des compétences utiles, mais ce n'est pas son unique mission. La mission la plus fondamentale de l'École est d'enseigner aux gens à être de bons citoyens et de bons voisins pour ½uvrer avec ceux qui ont besoin d'aide. Dans le domaine de l'informatique, cela signifie enseigner à partager les logiciels. Les écoles élémentaires, par dessus tout, devraient dire à leurs élèves : « si tu apportes un logiciel à l'école, tu devras le partager avec les autres enfants ». Bien entendu, l'école doit pratiquer ce qu'elle prêche : tous les logiciels installés par l'école devront être accessibles aux élèves pour être copiés, emportés à la maison et redistribués par la suite.

    Enseigner l'utilisation des logiciels libres aux élèves et étudiants et prendre part à la communauté des logiciels libres est une forme d'éducation à la citoyenneté. Cela démontre aussi aux étudiants les avantages d'un modèle basé sur le service public plutôt que celui prôné par les ultralibéraux. Les logiciels libres devraient être utilisés à tous les niveaux de l'École.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 3.

    Il existe de nombreux logiciels Libres qui ne sont pas compatibles avec la GPL et qui restent des Logiciels Libres avec toutes les libertés qui s'y rattachent.

    Tu confonds ici Logiciel Libre et compatibilité avec la GPL.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 2.

    Il y a cependant des contraintes à prendre en compte. Et je ne vois pas où peut être le gain de liberté lorsqu'on impose Linux et qu'on oblige des utilisateurs à réapprendre à utiliser d'autres logiciels (quand on peut les trouver) sachant qu'en plus certains logiciels spécifiques dans le cas où ils seraient disponibles sous linux nécessiteraient d'acheter de nouvelles licences.


    J'hallucine, et elle est ou la liberté de forcer les professeurs et les élèves à utiliser des logiciels privateurs !. D'autant plus que ces logiciels ne permettent ni l'étude ni le partage. Comment l'école peut accepter d'utiliser des supports qui en interdisent l'étude même, c'est profondément incompatible avec les objectifs même de l'éducation.

    Et encore, tu omets de parler de la contrefaçon et de l'insécurité juridique qui en découle pour les chefs d'établissements. Tu parles d'achat de logiciel mais tu sais très bien qu'il n'y a aucun budget pour cela.

    Et qu'en est-il de la fracture numérique, à supposer que l'établissement soit en règle, les élèves ont ils le droit d'utiliser les mêmes logiciels chez eux gratuitement ?. C'est bien à l'école de se poser ces questions et de permettre par ses choix de faire en sorte que les usages se démocratisent dans le respect des valeurs républicaines.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 3.

    C'est assez amusant ce genre de discours. Donc comme on ne peut pas remplacer 0.1% des cas d'utilisation de Windows (machine numérique, montage vidéo), il ne faut pas le faire sur les 99.9% de cas ou GNU/Linux est un remplaçant idéal.

    Pour ce qui est des compétences GNU/Linux dans les établissements scolaires, c'est bien plus courant que tu veux bien le prétendre. Il me semble que la plupart des serveurs des collèges en France sont déjà sous GNU/Linux non ?
    http://eole.orion.education.fr/diff/article.php3?id_article=(...)

    Pour ce qui est de flash, c'est un problème et il y a un rejet de flash sur les systèmes libres mais il n'y a pas encore d'alternative, cependant, la FSF finance activement le projet gnash: http://www.gnu.org/software/gnash/

    Pour OpenSSL, je ne connais pas le problème qu'il pose vis à vis des libertés fondamentales du Logiciel Libre, tu peux m'éclairer ?
  • # Le japon pense migrer 400,000 PC dans les écoles vers Linux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 3.

  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 3.

    Je suis désolé mais avec des raisonnements frileux comme cela je comprend que ça n'avance pas.

    Non, déployer une classe en GNU/Linux et la maintenir ne coûte pas plus chère que son équivalent Windows, bien au contraire. Ce n'est pas aux utilisateurs finaux de faire la maintenance des réseaux et des serveurs. Justement GNU/linux permet plus de facilité pour mettre en place un support distant et ainsi libérer les professeur de la maintenance. C'est ce qui ce fait dans les autres pays, pourquoi on ne pourrait pas le faire en France.

    Pour ce qui est des habitudes des utilisateurs, il ne faut pas pousser, la grande majorité ne se rendent même pas compte de la différence. Je trouve assez insultant de penser que les enseignants soient incapables de s'adapter à un bureau Gnome ou Kde. d'autant plus que leurs collègues Espagnols par exemple y arrivent très bien depuis plusieurs années.

    Je ne dis pas qu'il n'y a pas de problèmes mais rester sous windows et former nos enfants avec apporte aussi son lots de contrariétés.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 4.

    ... le pédagogique relevant lui, de la liberté des équipes éducatives...


    En fait de liberté c'est un leurre puisque aucun support n'est proposé à ceux qui désireraient aller vers un système libre. Aujourd'hui, ce qui est proposé c'est : on vous aide si vous restez sous windows, sinon démerdez vous. Et si vous renvoyez un ordi en réparation, il sera remis avec windows. liberté oui, équité certainement pas.
  • [^] # Re: Education nationale non responsable

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 2.

    Je comprend bien le besoin de formation des enseignants, et ceci quelque soit l'OS d'ailleurs.

    Ce que je comprends moins, c'est pourquoi les enseignants des autres pays arrivent à utiliser GNU/Linux si c'est si compliqué.

    En fait non, ce n'est pas le problème, nos enseignants sont comme le reste de la population, ils maîtrisent mal l'outil informatique, d'ailleurs, comme la plupart des gens dans le monde entier.

    Dans les cas présenté, il s'agit bien d'une migration massive qui s'accompagne d'un support adapté.
  • [^] # Re: chez nous

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 2.

    C'est bien, mais ce n'est pas les solutions qui manquent. Ce dont nous avons besoin aujourd'hui c'est que l'institution prenne la décision de les utiliser.

    Il existe déjà en France des centaines d'écoles qui utilisent ou ont utilisées GNU/Linux, souvent grâce à l'investissement personnel de passionnés, parents ou professeurs. La démonstration a été faite que c'est possible, que ça marche, à la foi sur les aspects éducatifs, coût et fiabilité.
  • [^] # Re: De la bonne volonté

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 10.

    Moi aussi j'ai déjà fait ça mais grosse déception. Lorsque faute de temps je n'ai plus put m'en occuper, la mairie a tout repasser sous win98.

    Mettre GNU/Linux dans une école c'est facile, faire qu'il y reste et que cela ce généralise est un tout autre problème. Il faut à mon avis, comme dans les autres pays mettre en place un projet ambitieux au niveau national ou au moins régional comme en Espagne.
  • [^] # Re: Faut pas faire des titres comme ça !!!

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Migration massive des écoles sous GNU/Linux. Évalué à 4.

    J'ai pas choisi le terme "info locale" mais par contre l'effet sur le titre est bien voulu ;). Je me pose la question, mais pourquoi pas en France ?
  • # Problème corrigé

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Temps de démarrage: Mac OS X contre Linux. Évalué à 4.

    J'ai aussi un mactel et j'ai fait la même observation sur le temps de boot entre macosx rapide et Ubuntu lent.

    Mais le problème a été corrigé par la dernière mise à jour de macosx car, depuis, ce dernier met un temps infini pour booter. Plus précisément, il boote plus du tout.

    Par contre Ubuntu est toujours aussi lent mais en proportion infiniment plus rapide que macosx. Merci Apple ;)
  • [^] # Re: \o/

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Simulation 3D examen code de la route libre .... Évalué à 3.

    Pour GCompris on est preneur d'une activité dans ce domaine mais bon faut pas compter sur la 3D.
  • [^] # Re: Marque non utilisé = marque perdue

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vista ... un truc de vieux. Évalué à 2.

    Tu n'as pas bien compris le principe. Tu peux déposer une marque qui est un nom commun. Cela ne pose pas de problème si ce nom n'est pas un nom courant pour désigner ton produit.

    C'est pas très clair, par exemple, les marques Orange ou Apple ne posent pas de problème.

    Par contre Windows pose problème car c'est le terme générique pour désigner une interface graphique qui manipule des fenêtres.
  • [^] # Re: Marque non utilisé = marque perdue

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vista ... un truc de vieux. Évalué à 2.

    C'est déjà le cas, si ta marque devient un mot du langage courant, tu perds les droits sur ta marque.

    Pourquoi d'après toi Microsoft a payé très cher Lindows pour arrêter son procès contre la marque Windows ;)

    Google à un vrai problème au Etats-Unis ou le terme googlé est un synonyme de "chercher sur Internet".

    Autre cas amusant, la société Karcher est très en colère contre Sarkozy pour son usage détourné de leur marque.
  • [^] # Re: Marque non utilisé = marque perdue

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vista ... un truc de vieux. Évalué à 1.

    J'ai pas vérifié pour les marques Française mais pour ce qui est de l'Europe, c'est assez bien documenté ici :
    http://oami.europa.eu/fr/mark/marque/faq/faq09.htm#100


    9.2. Quand le titulaire d'une marque communautaire peut-il être déchu de ses droits?

    Le titulaire d'une marque communautaire (MC) peut être déchu de ses droits dans les cas suivants:

    en l'absence d'un usage sérieux de la marque. La législation prévoit qu'une marque communautaire doit faire l'objet d'un usage sérieux dans l'Union européenne dans les cinq ans suivant son enregistrement. En outre, l'usage ne peut être interrompu pendant plus de cinq ans;


    D'aprés la news d'origine, Gildas affirme avoir déposé la marque à l'automne 2003, ce qui lui laisse 5 mois pour en faire un usage "sérieux".
  • # Marque non utilisé = marque perdue

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Vista ... un truc de vieux. Évalué à 3.

    Le principe des marque, si j'ai bien compris, est que si elle n'est pas utilisé, elle retombe dans le domaine public. Donc même si tu détient une marque, il faut encore prouver que tu l'utilise pour ne pas la perdre.

    Dans notre cas, Gildas n'ayant pas commencé à utiliser cette marque alors qu'il l'a déposé depuis plusieurs années, c'est normal et logique que Microsoft puisse la déposer et l'utiliser. De plus, ils peuvent bien sûr empêcher Gildas de l'utiliser maintenant.

    Je dis ça mais je ne suis pas juriste.

    PS: Il faut raison garder, ce n'est pas parce c'est Microsoft qu'ils ont forcément tord.
  • [^] # Re: Mon avis

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal BY-NC(-SA). Évalué à 1.

    Si tu vends un magazine, qu'est-ce qui t'empêche de négocier avec les auteurs une rémunération juste et équilibrée en fonction de ton budget.
  • [^] # Re: effectivement

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal BY-NC(-SA). Évalué à 3.

    Je comprend ton point de vue mais tu prends des exemples à la limite du commercial pour étayer ton argumentation. Maintenant prend les vrai exemple ou il y a un risque véritable d'injustice. Je pense par exemple au domaine de la musique ou les succès peuvent être rapide et inattendu.

    Alors, réfléchissons à cette exemple, ma chanson devient tube de l'été, elle passe sur toutes les radios, Vivendi Univeral presse un disque qui ce vends à 200.000 unités. Mais notre artiste ne touche rien de tout cela. Il pourrait profiter de sa notoriété en faisant des concert mais malheureusement, son style ou sa santé ne le permette pas. Alors justifié ou pas la clause NC.