Un article intéressant sur Futura-Sciences explique comment on pourrait pirater un ordinateur avec de l'ADN : certains algorithmes sont conçus pour analyser des brins d'ADN ne contenant qu'un nombre maximum de paires (ACTG). En fournissant à ces algos un brin d'ADN plus long que prévu, on peut provoquer un dépassement de mémoire et introduire du code malveillant dans le surplus d'ADN. Bref un cas typique d'attaque par buffer overflow.
Là où l'article est carrément moins intéressant c'est qu'ils sous-entendent que (…)
Journal ADN overflow : c'est de la faute de l'open source
