Bernez a écrit 1087 commentaires

Si dans ta configuration de proxy tu indiques des exceptions, pour lesquelles il ne faut pas l'utiliser, sous forme d'adresses IP, ton navigateur est obligé de faire des résolutions de noms.

ben comme ça tu as toujours une erreur SSL

Ca c'est quand c'est mal fait. quand c'est bien fait, le proxy genere à la volée un certificat signé par une autorité déployé par avance sur tout les postes.

Ça oblige à déployer une autorité pirate sur tous les postes et à générer des faux certificats pour chaque site web visitable. Autant installer une version modifiée de Firefox qui ne vérifie plus la validité des certificats, ça sera moins fatiguant qu'organiser une telle fraude !

Et si on n'a pas envie de se créer un compte Google, un petit résumé ?

Pour préciser le profil du nouveau Debian Project Leader, Stefano est chercheur au laboratoire Preuves, Programmes et Systèmes de Paris 7.
À noter qu'il s'agit du labo où travaille également Roberto Di Cosmo !

Je pense que dans les 4 libertés d'un LL, ce qui compte pour l'utilisateur final, ce n'est qu'une seule (utiliser), éventuellement une seconde (distribuer),
Pas « éventuellement », mais clairement vu le nombre de logiciels piratés qui circulent. Beaucoup de gens apprécient la distribution des logiciels.

les 2 autres (étudier, modifier) ne vont toucher que les programmeurs, les geeks et les informaticiens.
L'utilisateur peut profiter indirectement de ces deux libertés.
Au boulot il m'arrive de débloquer des problèmes de compréhension de programmes libres en étudiants leur code source, et en définitive c'est l'utilisateur final qui profite et qui est le but de mon travail.
De même un utilisateur final peut demander à un informaticien local de modifier un programme pour l'adapter à ses besoins.

À quoi servent tous ces liens dans des langues étrangères (intitulés en anglais qui plus est) sur un site purement dédié aux francophones ?

Squid (il me semble) peut très bien faire l'intermédiaire https sans CONNECT, mais bien sûr, en substituant son propre certificat à celui du site, ce qui casse complètement le principe de sécurité de https.
Pour arriver à faire ça sans avoir une avalanche d'avertissements (mais quand même au moins un) sur le navigateur il faut utiliser un certificat autosigné et du DNS spoofing pour chaque serveur HTTPS qui doit être visité. À ce prix là autant autoriser le CONNECT à une whitelist contenant ces mêmes sites. Ce sera moins sale et plus simple à mettre en oeuvre.

L'article de Numerama parle de l'Inde, du Brésil et de l'Indonésie. Je ne connais pas la situation au Brésil ou en Indonésie, mais pour ce que j'ai vu en Inde, je suis étonné que l'IIPA s'intéresse autant à elle.
Là-bas l'emprise de microsoft est semblable à celle qu'il y a en France, sauf que la majorité des gens ne possèdent pas d'ordinateur. Cela dit je pense que microsoft est bien content de se faire pirater pour les mêmes raisons qu'en France (on habitue/embrigade les gens pour ensuite les faire passer à la casserole quand ils en ont les moyens).
Et pour ce qui est de la musique et du cinéma, le rapport de l'IIPA a certes raison de parler d'une gigantesque industrie du piratage (le piratage est la norme là-bas), mais jusqu'à présent les Indiens sont majoritairement imperméables à la musique et aux films américains. Ils se contentent de pirater leur industrie nationale donc je ne vois pas en quoi cela gêne l'IIPA.
Peut-être les États-Unis croient-ils au prochainement enrichissement généralisé de ce pays et à la suroccidentalisation qui en suivrait ? Pour le moment singer à outrance les occidentaux est effectivement la mode pour les riches, mais je ne crois pas trop à une hausse globale spectaculaire du niveau de vie de la population indienne.

Au fait, vous avez vu que le Danemark n'a pas le droit à son rapport, malgré ses déclarations pro-formats libres ? Peut-être pour l'an prochain ?

Gérant en environnement professionnel un parc d'ordinateurs presque entièrement sous Debian (serveurs et postes clients), j'ai particulièrement apprécié ce passage de l'article de mitinew :
signifierait que GNU/Linux [...] n’étant, finalement, qu’utilisé [...] pour continuer d’amuser les experts bidouilleurs préférant au passage une bon vieux Debian
Amuser les bidouilleurs ? Quelle condescendance !

Ce genre de question suscite habituellement des débats qui s'éternisent. Cependant ce serait plus facile de t'aider si tu expliquais pourquoi tu souhaites changer de distribution. Vus les besoins que tu exprimes, Ubuntu paraît adapté. Qu'est-ce qui ne va pas ?
Sinon bravo pour ta curiosité. Pendant mes études d'informatique j'étais moi-même consterné par le désintérêt quasi total envers Linux de personnes censées vouloir faire de l'informatique leur métier.

Ensuite l'autre problème c'est les logiciels d'acquisition des données venant des machines (le sujet de mon journal). C'est généralement du Windows-only.

J'ai même déjà vu une carte d'acquisition dont l'API du pilote était écrite en Visual C ! Donc on ne pouvait l'interfacer qu'avec un programme Visual C.

il y en a beaucoup des logiciels libres de droit ? Ça exclut d'emblée les logiciels libres ça :)
Non. Les logiciels dans le domaine public (libres de droit) respectent les 4 libertés fondamentales du logiciel libre. Par contre c'est clairement incompatible avec la GPL.

Sinon je trouve ça vraiment triste de semer la confusion entre logiciel libre et logiciel libre de droit. Ça fait vraiment le jeu du logiciel privateur.

Quand un utilisateur fait librement le choix d'utiliser un programme propriétaire (souvent parce que ce dernier est supérieur techniquement ou a une interface mieux concue, par exemple j'utilise Paint.NET car je n'aime pas l'interface de Gimp), il a utilisé sa liberté de choix alors dans ce cas je trouve qu'appeler ce programme privateur est insultant pour celui qui produit le programme et pour l'utilisateur.
Quand un auteur de programme fait le choix délibéré de priver l'utilisateur des libertés mentionnées ci-dessus, je ne vois pas en quoi il est péjoratif de dire que ce programme est privateur. Ici « privateur » est un terme technique bien plus précis et approprié que « propriétaire ».

Mais bon raisonner avec des militants qui considèrent que tout les programmes devraient être libre.
Cite-moi un seul avantage intrinsèque au logiciel privateur (et j'insiste sur le mot « intrinsèque »).

Mon expérience personnelle est qu'une page web bourrée de pubs en flash et de javascript débile rame moins sous Seamonkey que la même nettoyée à coups d'adblock sous Firefox.

Seamonkey est beaucoup moins gourmand en ressources que Firefox. Sur un vieil ordinateur que je suis amené à utiliser de temps en temps, Seamonkey est le seul navigateur avec un moteur de rendu correct qui soit utilisable (Firefox rame bien trop).

Les djeuns vivant aujourd'hui dans une époque où il est normal de raconter sa vie intime sur facebook ou twitter n'ont pas la même notion du privé que les vieux cons.
Quand ces djeuns deviendront des adultes et que leur employeur ou celui-qui-aurait-pu-être-leur-employeur profitera à fond de toutes ces données, on verra si ils sont toujours autant persuadés de l'inutilité de garder privée leur vie privée...

À moins que tu aies des problèmes de vue, peut-être devrais-tu essayer de t'habituer à de telles résolutions ?
Je me souviens avoir eu la même impression que toi quand je suis passé de 800x600 à 1024x768 sur mon 15", mais après quelques temps je trouvais beaucoup plus confortable et je trouvais le 800x600 inutilisable. Franchement 1024x768 sur un 19" ça me semble être du gâchis. J'étais déjà en 1600x1200 sur mon 19". Actuellement j'ai un 24" en 1920x1080 avec les tailles de polices par défaut (Debian Sid) et je n'ai jamais trouvé mon environnement aussi confortable.

Si tu rajoutes des octets à une adresse IPv4, ce n'est plus une adresse IPv4. Tu ne voudrais pas plutôt nous dire le but recherché ?

Regarde s'il n'y a pas un fichier /etc/default/pure-ftpd. En principe c'est là qu'on définit les options des programmes de /etc/init.d sous Debian.

Cette commande ne marche pas, par contre la suivante est fonctionnelle :
ip a ls eth0 | awk '/[0-9]+\./{print $2}'

Tu demandes un FS utilisable sur les OS libres et ensuite tu te pleins que ça ne fonctionne pas bien sous windows ?

La porte grande ouverte au format non standard de Microsoft n'est pas le seul scandale de ce document. En effet MP3 est préféré à Ogg-Vorbis, WAV à FLAC, ZIP aux autres formats de compression, etc.

Je note aussi qu'une belle occasion a été perdue de reléguer aux oubliettes de l'Histoire des technologies obsolètes : UTF-8 est seulement recommandé et non obligatoire, et les webmasters sont priés d'assurer la compatibilité avec MSIE 6 (!).

maintenant il y un document officiel qui permet d'exiger dans l'administration que les documents ne soient pas exclusivement en .doc
Non. Non seulement pour les formats de « documents bureautique révisables » il n'y a qu'une recommandation et pas d'obligation, mais en plus ODF et microsoft sont mis au même niveau. Tu ne pourras pas reprocher à une administration de ne t'avoir envoyé que du format microsoft.

ensuite il faut se dire qu'un lecteur de carte n'est qu'une interface qui envoie le numero de la carte à un applicatif

donc, suivant ce que tu demandes ca peut se faire simplement...
Tout à fait d'accord. Tu pourrais utiliser des cartes à code-barre. Les lecteurs de codes-barre standards USB sont vus comme de simples claviers sous Linux (ils peuvent même simuler un appui sur Entrée après avoir tappé le code). Une fois le code-barre entré dans ton Linux, tu le traites comme tu veux.

Pardon, je suis allé un peu vite dans mon copier-coller. Le deuxième sed aurait dû être :
sed -i "s;USER;$(grep "^$1:" /etc/passwd | cut -d : -f 5 | cut -d , -f 1);" /home/$1/public_html/index.php