dzecniv a écrit 434 commentaires

  • # dons LILA

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de GIMP 2.99.8 (version de développement). Évalué à 7.

    Hop, je vous économise 1 clic: https://libreart.info/en/donate (pour Paypal, chèque, SEPA, BTC)

  • [^] # Re: Mouais...

    Posté par  . En réponse au journal Des panneaux solaires low-tech, ça existe ? Ils ont peut-être été inventés en… 1900 !. Évalué à 3. Dernière modification le 25 octobre 2021 à 18:12.

    Mais cette techno n'a pas été développée par les industriels mais par un mec qui en est devenu un concurrent (sans le savoir), à ce qu'il semble. Et on sait le pouvoir des industriels pour imposer leurs plans, donc peut-être ont-ils voulu tuer un projet dans l'œuf, même sans savoir si c'était pour de vrai prometteur ou non. On ne parle pas encore non plus de technologie maîtrisée ou de révolution technologique, vu que ces essais étaient balbutiants.

  • [^] # Re: super mais

    Posté par  . En réponse à la dépêche Rapido : une application pour éditer et publier son site web. Évalué à 2.

    merci. Avec git clone https://… j'obtiens

    fatal: unable to access 'https://framagit.org/InfoLibre/rapido.git/': server certificate verification failed. CAfile: /etc/ssl/certs/ca-certificates.crt CRLfile: none

    j'ai pas googlé.

  • # super mais

    Posté par  . En réponse à la dépêche Rapido : une application pour éditer et publier son site web. Évalué à 7.

    Salut, ça a l'air super et j'ai bien envie d'essayer mais:

    • n'y a-t-il pas de démo en ligne ?
    • pas d'instructions d'installation en 2/3 lignes sur le README ?

    merci

  • [^] # Re: Il faut bien débattre

    Posté par  . En réponse au journal La Quadrature du Net fait-elle fausse route ?. Évalué à 10. Dernière modification le 09 septembre 2021 à 11:19.

    (je souligne)

    «Que le NIR [Numéro d'Indentification au Répertoire] soit apparu sous Vichy n'implique pas que le numéro de Sécurité sociale ait des finalités policières ou criminelles à l'origine. Car au fond, que recherchait Carmille, ce polytechnicien formé sous la III{e} République, en introduisant ce numéro
    d'identification ? S'inscrivait-il dans un projet de surveillance générale de la population ? Voulait-il donner à la police ou à l'occupant allemand un moyen de débusquer plus facilement certains individus ou certaines catégories particulières ? Il semble que non. Au contraire, s'opposant au zèle de certains de ses propres employés, il a saboté le repérage des Juifs et des requis du STO (Service du Travail Obligatoire) que permettait l'usage du NI, et transmis à Londres le modèle de la carte d'identité de Français créée par ses soins ainsi que la machine à composter utilisée dans les préfectures, afin de permettre aux résistants de fabriquer plus aisément de faux papiers. Apparemment, dans son esprit, la création d'un grand fichier des personnes répondait à deux types de préoccupations: faciliter une remobilisation militaire rapide si l'État français devait reprendre la guerre (y compris contre l'Allemagne), et jeter les bases d'un appareil de recueil statistique à la mesure d'une économie industrielle moderne, comme celle dont les hauts fonctionnaires tels que lui rêvaient pour la France «arriérée» de 1940. […] Il était simplement obsédé par l'efficacité. […] Le fichier des personnes qu'il construisit au Service nationale de statistiques n'avait pas de visée directement policière- dans le même temps, Carmille créait un fichier des entreprises: le but de ces fichiers était avant tout de favoriser la naissance d'une économie planifiée, à tout le moins d'une gestion plus rationnelle de la production de masse.

    Avec le recul, l'essentiel n'est pas que quelqu'un comme Carmille ait été un résistant tardif. L'essentiel est qu'il était typiquement le genre de personnage incapable de saisir que le totalitarisme ne réside pas seulement dans des finalités condamnables, mais aussi dans les moyens employés. Il était un organisateur, au sens où Burnham et Orwell avaient dans les années 1940 annoncé l' /ère des organisateurs/ [fn:5]. Du reste, la plupart des artisans des États-providence élaborés au milieu du XX{e} siècle furent aussi des organisateurs: qu'ils aient été syndicalistes, économistes, hauts fonctionnaires, chrétiens, communistes, héros de la Résistance ou résistants en demi-teinte, ou tout cela à la fois, ils avaient intégré une certaine vision du monde, un souci d'efficacité, un universalisme statistique qui les empêchaient de concevoir des transformations dans le sens de la justice sociale sans les moyens techniques et bureaucratiques hérités des mobilisations guerrières des années 1910 et 1940. La société de traçabilité intégrale qui se déploie aujourd'hui est un pur produit de cette vision organisatrice, y compris dans la mesure où les ordinateurs sont des machines à cartes perforées améliorées

    Groupe Marcuse, La Liberté dans le Coma, éditions La Lenteur, dans toutes les bonnes librairies. 4 pages de brochure dont est extrait ce texte.

  • # J'étale ma permacuculture

    Posté par  . En réponse au journal J'ai mangé une pomme. Évalué à 10.

    Introduisons un joli mot à la mode, qui recèle peut-être des solutions, et sans travail.

    Disclaimer: je suis un EXPERT, j'ai lu un demi livre sur le sujet.

    As-tu regardé ce que propose la permaculture ? L'auteur de mon livre, c'est marrant, n'aime pas trop travailler dans son jardin. Il préfère faire jouer les plantes et les habitants entre eux. Je peux m'avancer sans crainte qu'il n'aurait jamais appliqué des enduits sur chaque plante à la main, ni acheté d'insectes, qui évidemment ne restent pas si l'écosystème ne leur est pas bien adapté. Il se serait dit qu'un nuisible trop présent veut dire que son prédateur naturel n'est pas là, donc que l'écosystème n'est pas équilibré. Il aurait cherché à introduire d'autres plantes pour attirer les coccinelles, par exemple l'achillée filipendule (évidemment), l'aneth (normal), l'anthémis des teinturiers (ça a du sens) ou l'arroche aptère (ça se conçois mais bien pensé quand même), et il aurait également pensé à leur abri (feuillage dense, paillis, pierres et murs…), pour qu'elles restent, et à leur eau (un peu d'humidité). Et au final de fil en aiguille il aura planté, dans tous les cas je crois, une grande variété de plantes à fleurs (et comestibles, pas con), d'arbustes, et de légumes (vivaces, pour moins travailler, vraiment pas con). Ce qui peut éloigner d'un but initial, mais permet de voyager.

    D'où un état d'esprit pas si éloigné d'un codeur: autant écrire une routine qui t'écris du code plutôt que de coder un truc chiant à la main. Autant automatiser et moins travailler. Et mois j'avais aussi remarqué: pour les projets à longue haleine, faire un petit peu chaque jour permet d'avancer.

    ps: on me souffle que la carotte sauvage, la coriandre, le fenouil, le pissenlit, le sarrasin ou encore le trèfle attirent aussi la coccinelle, merci.

  • # cf le Chili

    Posté par  . En réponse au journal Est ce que Coca-Cola espionne les ONG avec NSO/Pegasus?. Évalué à 10.

    Le Chili a réussi à mettre en place une "taxe soda", à légiférer contre la pub des boissons gazeuses (les plus mauvaises pour la santé ?), contre des étiquettes avec des mascottes mignonnes qui charment les enfants et pour un système de notation des boissons, (qui a été discuté en France ?). Il paraît que ça marche TB, que les enfants se moquent de celles et ceux qui amènent une boisson avec un marquage noir à la récré. Mais oui, les acteurs ont dû lutter contre l'industrie sucrière, dont Coca Cola.

    Je répète ce qu'on m'a dit d'un docu que je n'ai pas vu. Il passait sur Arte, il s'agit probablement de "Un monde obèse" de Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade.

  • [^] # Re: Cool, Snowden va pouvoir financer...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Financer les développeurs de GIMP pour un développement pérenne. Évalué à 4.

    bon j'ai lu ce lien et rien de neuf sous le soleil et non, Snowden ne s'est pas engagé à financer une refonte^ Vous pouvez économiser 2 minutes.

  • [^] # Re: studio ?

    Posté par  . En réponse au lien Financer les développeurs de GIMP pour un développement durable. Évalué à 5.

    pros
    Si par contre tu voulais juste dire leur demander génériquement en faisant un appel aux dons… c'est exactement ce qu'on fait là!

    Je ne trouve pas tout à fait, dans cet article j'ai le sentiment que vous vous adressez à des gens lambda, à des utilisateurs individuels, pas à des pros, à des sociétés ou des institutions.

    J'ai le sentiment que vous pourriez vous adresser à eux de manière ciblée: "chères entreprises, chères écoles, soutenez le développement de Gimp !". Le discours serait un peu différent. Le top serait qu'une première entreprise ou université serve d'exemple et explique éventuellement des "trucs" du secteur: comment déclarer le don sur sa compta etc. Il y aurait une photo d'une entreprise ou d'une classe qui travaille (sur Gimp, ou juste une photo de pub libre de droit ;) ) etc.

    Elles peuvent déjà donner (certaines petites sociétés le font un peu quand on regarde nos donateurs; pas des sommes folles non plus mais c'est déjà cool).

    Afficher le nom de ces sociétés (et autres donateurs) sur la page donation, en pied de page de chaque article, pour inciter à faire pareil ? (comme le fait LinuxMint)
    edit: ah, vous avez une page sponsor. Elle n'est pas liée directement depuis votre nouvel article, et elle est un peu cachée depuis la page donating/. Pas d'accès direct dans le menu. LinuxMint liste également tous les donateurs du mois passé dans leur article de blog.

    De plus, j'aime toujours savoir les fonctionnalités futures en cours de préparation quand je donne, je suis moins tenté de donner quand j'ai l'impression qu'on récompense du travail passé. Ceci dit, votre page de présentation montre énormément de travail passé, présent et en cours (mais pas de manière très précise).

    Enfin: vous n'êtes pas sur Github sponsors ? C'est une plateforme sans frais… sur Patreon j'ai facile 1€ de transaction par paiement, Liberapay ne marche pas bien en ce moment, on ne peut pas vraiment donner régulièrement (tout le paiement est encaissé en une fois).

    Un retour qui vaut ce qu'il vaut :)

    Bien cdt,

  • # Avec Doom et Chemacs2

    Posté par  . En réponse au journal Un noob et son Emacs: charger différentes configs au démarrage. Évalué à 5. Dernière modification le 22 mai 2021 à 06:46.

    Merci, du coup je tente une installation de Doom aux côtés de ma config…

    https://github.com/hlissner/doom-emacs/blob/develop/docs/getting_started.org#install-doom-alongside-other-configs-with-chemacs2

    https://github.com/hlissner/doom-emacs

    … et c'est excellent O_o

    (edit: pris de vitesse à propos de chemacs)

  • # Ça existait… en Lisp

    Posté par  . En réponse à la dépêche LSP (Language Server Protocol). Évalué à 5.

    Je partage car j'ai mis du temps à m'en rendre compte: les IDE Common Lisp, notamment Emacs & Slime mais pas que (maintenant SLIMA pour Atom est très bien), font déjà tout ça depuis… des décennies (avec une réserve sur le ré-usinage).

    On a en effet: un serveur (Slynk) connecté à l'image Lisp en train de tourner, qu'on modifie à la volée pendant qu'on développe, et un client (Slime) connecté à l'éditeur. Toutes les infos décrites dans la dépêche existent de base dans l'image: les références croisées (qui appelle, qui modifie, qui est appelé par, qui référence qui), la validation est faite à la volée quand on compile notre code (on peut compiler la fonction sur laquelle on travaille, on a donc un retour immédiat avec variables non déclarées, mauvaises inférences de type, code inaccessible etc), la documentation etc.

    Le tout de manière très fluide (alors qu'avec mon IDE Python…). Bref, c'est vraiment agréable à l'usage, c'est bon à connaître.

  • [^] # Re: L'interview de moi-même - mes frustrations

    Posté par  . En réponse à la dépêche Python — partie 10 — Entretiens. Évalué à 7. Dernière modification le 12 mai 2021 à 16:13.

    Le REPL pas très interactif

    Découvrir IPython était extraordinaire, cependant, maintenant, travailler sur des projets de taille moyenne ne me satisfait pas, et je trouve le REPL pas assez interactif. Sur un projet Django: au moindre changement, le serveur local redémarre, et me fait attendre un petit peu. Des fois, une dizaine de secondes. Quand je teste des choses dans le REPL (par exemple avec ipdb), que Django redémarre, je perds tous les objets de test, et je dois recommencer. Là, je compare encore avec Common Lisp, qui est beaucoup plus évolué -mais du coup un peu plus déroutant à prendre en main. En Lisp, on travaille sur une image live qui représente notre système. Je n'attends jamais qu'un process redémarre. On écrit une nouvelle fonction, une nouvelle route, et on peut tester. J'aime ça. Je ne connais plus les langages où on doit attendre des temps de compilation. Elixir a l'air de répondre à pas mal de mes critères également.

  • # L'interview de moi-même - mes frustrations

    Posté par  . En réponse à la dépêche Python — partie 10 — Entretiens. Évalué à 10.

    C'est avec Python que j'ai réussi à développer mes projets (et pas en C ou en Java "appris" pendant les études), mais maintenant avec quelques années dans les pattes et des softs en production sur mes serveurs avec des utilisateurs et utilisatrices, j'ai bien trop de frustrations pour envisager de recommencer un projet en Python (et effectivement, je ne le fais pas).

    Le déploiement

    On ne peut pas créer un exécutable d'un projet Python. Ça rend le déploiement compliqué.

    Si tu ne "pinnes" pas assez tes dépendances, et que tu lances "pip install" lors d'une mise à jour (tout le monde le fait, non ?), alors l'installation peut péter. Ça peut péter parce qu'une dépendance de dépendance n'a pas assez spécifié ses dépendances à elle.

    Le déploiement peut péter lors d'un "pip install" parce que pip lui-même pète, y compris lors du passage à une version mineure. Exemple: #7620.

    Alors il y a quelques essais (platter), mais ce ne sont pas des solutions natives, et ça ne remplace pas un binaire.

    En comparaison, avec un binaire: rsync vers le serveur, on le lance, et voilà.

    Les types, les typos, l'environnement de l'éditeur

    Python est typé dynamiquement. Un moyen de savoir qu'on n'a pas fait d'erreurs bêtes est d'écrire des tests unitaires qui passent par toutes les branches du code. Si on ne fait pas ça, on peut livrer du code avec une faute de frappe, qui pète en prod. C'est déjà dommage, que le langage qu'on utilise ne nous offre pas plus de garanties. Il faut donc configurer son éditeur avec des outils externes pour vérifier ces erreurs évitables. OK, ça paraît normal. Mais les outils du genre flake8 ou pylint ne vérifient pas grand chose (selon moi, en comparaison à d'autres langages), et ce sont des outils externes, secondaires, qu'il faut configurer pour tout projet, qui ajoutent un petit temps de latence au démarrage ou dans la CI, qu'il faut lancer en parallèle (mypy), etc. C'est bien, mais j'ai été séduit par un langage qui nous donne plein de warnings et d'erreurs à la compilation (en plus on peut compiler une fonction à la fois en étant dans son éditeur, ce qui donne un feedback immédiat).

    Les performances, la parallélisation

    Les performances sont très moyennes, ce qu'on réalise quand le projet prend de l'ampleur :/

    La stabilité

    Le langage évolue constamment et ça me fatigue. J'ai pris du retard sur la mise à jour de Django et Python 3 et je le regrette, je crains que chaque jour qui passe me rende le processus plus difficile. Je crains que chaque passage de version apporte son lot de petits bugs. Je trouve que j'ai autre chose à faire sur le temps passé sur mon logiciel libre à me battre avec Python et à résoudre ses erreurs liées à l'écosystème. Je devrais écrire encore plus de tests, surtout plus de tests end-to-end (avec Selenium et cie), et plus tester manuellement. Mais je ne suis pas entouré par une équipe, je ne suis pas payé à faire ça, d'autres langages n'ont pas ce problème… je me permets donc de blâmer Python, et pas moi-même :D

    Certains langages sont très stables, même si leur compilateurs évoluent, même si les librairie évoluent. On peut exécuter un programme écrit il y a plus de 20 ans. Vous vous rendez compte ? (là je pense à Common Lisp)

    Conseil au débutant: ce n'est pas pour autant que Python est à rejeter, étant donné les bons frameworks et librairies disponibles. On peut apprendre beaucoup avec. Mon conseil est de continuer à chercher un autre langage qui te plaise, sans ces inconvénients.

  • [^] # Re: Oui

    Posté par  . En réponse au journal Les doutes d'un gars qui écrit: sérieusement se mettre à Emacs, ou pas ?. Évalué à 2.

    salut, si, les raccourcis correspondent à ceux de bash par exemple :) (C-a, C-e, C-k, M-p, M-n, M-b, M-f…)

  • [^] # Re: Emacs drag n drop

    Posté par  . En réponse au journal Outils pour écrire un livre. Évalué à 3.

    Tu auras peut-être l'équivalent dans un autre éditeur, mais sinon c'est sûr, il faut l'apprendre ! Néanmoins tu connais déjà plein de raccourcis claviers de base: tous ceux de bash par exemple (C-a, C-e, C-k, alt-p etc). Ensuite tu peux activer la couche Vim avec evil-mode. Et je recommande de regarder les menus, et d'utiliser which-key-mode, qui montre quelles fonctions sont disponibles quand on commence à entrer une séquence de touches (https://wikemacs.org/wiki/Discoverability#Which-key_.28and_guide-key.29). Pour avoir un aperçu des autres séquences de touches et fonctions d'édition par défaut: voir le tutoriel, par le menu.

    Pour commencer avec une très bonne configuration, j'entends beaucoup de bien de Doom: https://github.com/hlissner/doom-emacs

    https://github.com/zilongshanren/awesome-emacs

  • # Emacs drag n drop

    Posté par  . En réponse au journal Outils pour écrire un livre. Évalué à 5.

    Salut, pour la solution Sphinx, avec Emacs, il existe des plugins pour pouvoir glisser-déposer une image dans le document et écrire la balise correspondante. Pour org-mode: https://github.com/abo-abo/org-download et pour markdown j'ai trouvé: https://github.com/mooreryan/markdown-dnd-images (peut-être y en a-t-il d'autres).

    Je me vois mal rédiger un long document sans Emacs :)

    J'ai aussi vu passer cet article qui parle de comment améliorer le rendu de PDF et ePub avec Pandoc (et du Latex): https://learnbyexample.github.io/customizing-pandoc/

  • # Pas de portable du tout ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quel téléphone (plus ou moins) libre en 2021 ?. Évalué à 7.

    Je suis la petite voix qui vient dire que ne pas utiliser de portable (ou au moins, de smartphone !), ce n'est peut-être pas facile pour l'homme moderne, mais c'est possible, et c'est le plus écologique…

    Pour un super article: "Le téléphone portable, gadget de destruction massive": http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/Portable_2008.pdf (si le ton vous fatigue, passez outre. Lisez, vérifiez avec les nombreuses références)

    "Allo, c'est moi. J'suis dans le bus. J'arrive. A tout de suite."

  • [^] # Re: Fairphone 3

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quel téléphone (plus ou moins) libre en 2021 ?. Évalué à 5.

    C'est pas beaucoup 3 ans O_o (même si c'est pas pire…) Entre temps, les montagnes de déchets grandissent quand même :/

  • [^] # Re: Claws

    Posté par  . En réponse au journal Lire ses lignes en ligne de commande, un nouveau projet. Évalué à 2.

    +1, je précise que notmuch ou Mu permettent d'indexer, taguer et rechercher ses mails en ligne de commande également. Ils ont ensuite des interfaces pour d'autres clients (tels qu'Emacs :) ).

  • [^] # Re: Ğ1, kessako ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Ğ1formation : une plate-forme libre pour des formations monétarisées en Ğ1 . Évalué à 3.

    Perso je retiens comme précédement que vous ne pensez pas vraiment à faire attention à reverser votre part à la société (solidarité nationale). Soit ça reste petit et ce n'est pas grave, soit ça grossit et pas de paiement de cotisations comme ça devrait, on se demande quel futur vous voulez.

    Je pense qu'ils le souhaitent (d'où les demandes au fisc etc), mais que la G1 est trop petite pour l'instant. Question toujours non résolue.

    Il est bien possible que des commerçants acceptent de la G1 et paient la TVA en €, ça dépend de chacun.

  • # Emacs, Firefox

    Posté par  . En réponse à la dépêche Changeons ces logiciels open source qui nous espionnent. Évalué à 10. Dernière modification le 14 janvier 2021 à 23:35.

  • [^] # Re: Alternatives

    Posté par  . En réponse au journal Signal la bonne alternative à Whatsapp ?. Évalué à 6.

    Financement: on a quelques pistes sur leur site: https://jami.net/services/ Jami est développé par une boîte (québecquoise ?) qui "fait du libre". Ils ont déjà des développeurs, des clients, d'autres projets. Ils développent Jami et commencent à placer leurs pions pour générer des revenus, on peut lire sur ce lien qu'ils commencent (ça fait pas longtemps, c'était annoncé dans leur dernier article de blog il me semble) à proposer des services pros, ici l'hébergement de "Jami Account Manager Server" qui "facilite le déploiement de Jami dans votre organisation et permet à vos utilisateurs de se connecter en utilisant l'identifiant de leur entreprise".

  • # Version française

    Posté par  . En réponse au lien lowtech magazine: comment construire un site web low-tech. Évalué à 4.

    Et je découvre les traductions: https://solar.lowtechmagazine.com/fr/

  • [^] # Re: emacs + mu4e

    Posté par  . En réponse au journal Vim ou Emacs pour le courriel ?. Évalué à 10.

    On peut avoir de belles interface avec Emacs et mu4e. Cf cet exemple récent: https://www.reddit.com/r/emacs/comments/jvnzxl/mu4e_dashboard_using_orgmode_with_mu4e_links/

    Et des extensions ont été développées pour ce client (vue en conversation, "complétion" de contacts, notifications…) : https://wikemacs.org/wiki/Mu4e Et je suis sûr qu'il y en a plus.

  • # Lisp et Smalltalk, deux mondes pleins de mystères et de promesses

    Posté par  . En réponse à la dépêche Pharo : quoi de neuf ?. Évalué à 10.

    Je regardais Common Lisp et Smalltalk avec les mêmes yeux ronds. Ces deux langages semblent tout faire différemment du reste du monde de l'informatique, tout en ayant de nombreux points communs.

    Finalement, je me suis mis au Lisp, au point de faire tourner une paire de services "en production©", mais Smalltalk me paraît toujours aussi étrange… peut-on utiliser Emacs ou n'importe quel autre éditeur pour Smalltalk/Pharo ? Il semble que non. Peut-on lancer un REPL dans le terminal ? Il semble que non. Est-on vraiment obligés d'utiliser la souris dans Pharo ? Il semble que oui !! (et là me paraît son grand fail, mais je devrais l'apprendre avant de juger…)

    Les deux ont un framework web qui fait les choses différemment, Seaside et Weblocks. Mais est-ce que Seaside permet vraiment de se passer de JavaScript ? Et surtout, où peut-on trouver une application de démo ou un site existant qui tourne sous Seaside ?? Je n'ai pas trouvé (et j'ai demandé, une fois). Weblocks permet de construire des applications web dynamiques, basées sur Ajax (si JS est disponible, sinon full HTML), sans une ligne de JS. Certes, il ne permet pas de "double-data binding".

    Je reconnais les promesses de Pharo dans Lisp: "langage simple et puissant", "environnement vivant" avec "un retour d’information immédiat à tout moment", un débogeur interactif qui permet "de relancer l’exécution des méthodes, de créer des méthodes à la volée", etc. Mais comment cela se passe dans Pharo, mis à part la multitude de fenêtres, je n'en ai aucune idée. C'est fou l'informatique…