Gyro Gearllose a écrit 1322 commentaires

Bon, la discussion prend forme, c'est très intéressant tout ça. Je comprends ton point de vue concernant la création d'un compte.
Je peux/veux cependant expliquer certains points, non pas pour te convaincre d'en créer un, mais pour te permettre de comprendre pourquoi et comment le site en est arrivé là. D'abord, c'était une idée toute simple : avoir un point central pour que le groupe s'organise. Plutôt que régler les détails organisationnels (date et heure des répétitions, programme des répétitions, points à travailler, nouvelles compos, etc) par téléphone/mail/sms, j'ai eu l'idée de créer ce site à notre intention tout court. Ça a fonctionné quelques semaines sur cette idée, mais très vite, on s'est rendu compte qu'il serait peut-être bon pour nous d'avoir un autre regard sur nos compositions. Oui, mais comment gérer nos compos ?
L'idée n'étant pour l'instant pas de faire de la musique libre (et je doute que ça change, même si ce n'est pas ma conviction, je ne suis pas seul à décider). On a donc trouvé un compromis : les gens disposant d'un compte peuvent écouter nos compos, les critiquer, donner leur avis, indiquer ce qui leur plaît ou pas. Pour ça, effectivement, ça passe par la case "créer un compte", pas moyen de faire autrement. Au moins, en tant qu'administrateur du site, ça me permet de suivre qui fait quoi. Et puis ça me "rassure" et surtout ça rassure les autres de savoir que n'importe qui ne peut pas faire n'importe quoi sur le site, et avec nos morceaux.
Pour le coup de l'adresse mail, à vrai dire, ça ne me sert à rien, c'est juste drupal qui oblige à mettre une adresse valide. Il est d'ailleurs possible de s'identifier en utilisant le module openID. En fait, même une adresse mail sur jetable.org ou un truc similaire suffit. Et puis (bon, je suis désolé, tu n'as que ma parole pour ça) ton adresse mail, ou celle des autres qui ont un compte sur le site, comment dire en restant poli ? Les adresses mails sur notre site ont autant d'intérêt que ce vieux trombone que je viens de trouver au fond de ma poche. Il permet juste d'informer l'utilisateur que son compte a été activé (mail automatique fait par drupal, lorsque j'active le compte) et éventuellement sert à l'utilisateur pour récupérer son propre mot de passe lorsqu'il l'a oublié. Je ne me sers pas de ces adresses mail, je n'envisage pas de m'en servir, et je pense être suffisamment sensibilisé au libre et aux libertés (ne fait pas aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse) pour ne pas m'en servir du tout de ces mails. Si tu veux une autre parole que la mienne, c'est assez facile de trouver des moules< qui ont un compte et leur demander leur avis sur la question.

Enfin, je me permets de réagir à ton commentaire sur la question du "c'est un peu comme le libre". Je ne parlais que des échanges faits entre développeurs entre eux, entre développeurs et utilisateurs, etc. D'où le "un peu". Après tout, on pourrait assimiler les développeurs à ceux qui produisent la musique, et les utilisateurs à la foule qui les écoute. En tout cas, c'est dans cet esprit là que je le vois, pour l'instant. Des retours d'utilisateurs, il y en a dans le monde du libre comme dans le monde du non-libre. On s'apparente plus au second, je le déplore en partie, mais au risque de me répéter : je ne suis pas seul à décider.

Voilà, j'espère que ça éclairera un peu ta lanterne et aussi que ce commentaire ne donnera pas trop lieu à critique sur le mode de diffusion choisi.

J'ai l'impression que ce que tu recherches s'apparente à ce qui se fait pour les évaluations CE1 et CM2. Je dis s'apparente, car évidement cette application nationale ne fait que relever les compétences pour ces deux niveaux. Pas de publication, et pas de tout le reste (journal, cahier de texte, etc).
Peut-être que tu trouverais ton bonheur en utilisant un site sous un quelconque gestionnaire de site (au hasard drupal), pour la partie cahier/journal, les "devoirs à la maison", et le livret de compétences.
C'est un moteur de site, donc tout est à construire (pour la sémantique, dirons-nous), mais la base qui fera tourner tout ça est déjà bien solide.

Sinon, renseigne-toi auprès de ton IAI ou ton IEN...

Je doute d'avoir oublié notre rencontre, si rencontre il y a eu. Le problème, c'est que je n'associe ton pseudo à ... rien ni personne. Alors ça risque d'être difficile de t'indiquer si je me souviens de toi ou pas.

Quoi qu'il en soit, je ne suis pas rouennais ! /o\

Aucune idée, mais je doute que ce soit un produit libre. La chanteuse, qui a fait l'affiche m'a parlé d'un psd. Un rapide google là dessus devrait donner une idée du logiciel utilisé.

Merci pour le reste, je raconterai comment ça s'est passé ici, probablement, ou sur le site du groupe, ça c'est plus que certain ;-).

Tu n'as pas lu/vu l'affiche dont j'ai donné le lien ?
Bon, je vais tout donner ici alors : Café le Saxo, Place Saint Marc à Rouen, le 28/04/2010 de 19:00 à 22:00.

D'abord merci pour ce commentaire...
La mise en ligne des morceaux à destination des "anonymes" est en cours de discussion avec les membres du groupe. Si ça ne tenait qu'à moi, les morceaux seraient sous licence cc (je ne me suis pas renseigné du tout sur aucune de ces licences, enfin pas encore) et d'ores et déjà tous en ligne. Le hic, c'est que je ne suis pas tout seul à décider. Au pire, rien ne t'empêche de te créer un compte sur le site pour écouter l'ensemble de nos répètes, le site est fait pour ça après tout /o\.

On va de toutes façons prendre une décision prochainement à ce propos. Certains membres du groupe ne veulent pas que notre musique soit utilisée par d'autres pour se faire du pognon sur notre dos. Pour le reste, on n'est pas requins au point de ne vouloir que vendre notre musique. A priori même, on ne veut pas la vendre du tout, on n'est pas assez "pros" pour ça, et de toutes façons ce n'est pas le but recherché. La musique, finalement, c'est un peu comme le libre : elle existe pour faire partager des émotions, et c'est vraiment ce qu'on souhaite obtenir avant tout.

Je ne suis donc pas seul maître à bord, et désolé d'avoir constaté mon erreur alors que tu étais sur le site ou en train de rédiger ton commentaire, car j'étais alors en train de réparer l'oubli.

J'ai oublié de préciser qu'un échantillon de nos compos (pour se faire une idée du son et du style) est disponible sur le site à cette adresse http://bol.homelinux.org/node/142

La prise de son est loin d'être parfaite, on manque de sous pour s'offrir un vrai studio. Les enregistrements sont donc faits directement avec le micro interne d'un lenovo thinkpad, avec audacity.

Hello !
Ta question m'intéressait, alors j'ai un peu fouillé ce que j'avais en stock, et il semblerait que la commande pstops réponde à ton besoin.
J'avais un fichier postscript sous la main de deux pages, ne comportant aucun numéro de page. Dans mon shell, j'ai utilisé la commande suivante :

$ pstops 2:0,1 plop.ps plop2.ps

plop2.ps se présente ensuite comme plop.ps, sauf qu'il a en bas de la page 1 la mention page 1 sur 2 à gauche et la date et l'heure à droite, et la page 2 porte la même mention avec le numéro de page mis à jour, évidement (2 sur 2).

En espérant que ça te sera utile.

Ah, et la commande pstops fait partie du paquet psutils.

Comment a été fait le kernel de ta machine ? Est-ce celui fourni avec ta distribution ou l'as-tu compilé toi-même ?
Les DVD nécessitent le support du format UDF, et peut-être de le manque-t-il ?
Sinon, tu peux toujours ouvrir une console, t'y connecter root, lancer ce qui suit sans les guillemets : "tail -f /var/log/messages" et insérer ton dvd en surveillant ce qui se passe.
Tu auras peut-être un message d'erreur quelconque qui permettra de résoudre ton problème ou de nous éclairer un peu plus ?

Fôte !
article sauvagement copier de :

Évidement, j'avais donné mon autorisation, je ne suis donc pas surpris de ce copiage, mais je voulais également saluer le travail des relecteurs/modérateurs qui ont reformulé ma dépêche initiale dont le phrasé était un peu lourd et qui ont rendu la news un peu plus digeste.

Le réponse est un peu dans la question en fait. Rosegarden est un séquenseur midi et wave. Frescobaldi un "simple" éditeur de partition. L'avantage de frescobaldi, c'est qu'il ne travaille que sur des fichiers lilypond (comprendre, pas besoin de faire les opérations d'import/export comme dans rosegarden).
Enfin, pour ce que j'en sais, rosegarden n'est pas encore pleinement fonctionnel sous kde4 (et qu'on ne me la raconte pas avec le fait qu'il fonctionne avec ses dépendances kde3 sous kde4, ça je sais, mais kde3 est définitivement du passé).
De son côté, frescobaldi a été directement conçu pour fonctionner sous kde4. J'en profite d'ailleurs pour indiquer ici qu'il devrait logiquement fonctionner également sous windows, puisque les applis kde4 sont théoriquement portables. Je n'ai pas de quoi tester (tant niveau matériel que niveau logiciel), mais si une bonne âme a plus d'informations que moi sur le sujet, il peut nous tenir informés ici. D'ailleurs lilypond est dispo sous windows d'après la page du projet. Il faudrait voir pour rumor.

Frescobaldi n'est qu'un frontend à lilypond. Ce n'est pas une ré-écriture de ce dernier ni même un concurent. Il l'utilise, donc si ça fonctionne avec lilypond, ben c'est bien.

Ce n'est qu'une approximation, tu peux toujours te renseigner sur les différents liens fournis dans la news.
Autrement, pour faire simple (ou pas) :
Que ce soit un fichier LaTeX ou lilypond, le cheminement est le même : tu crées un fichier texte avec ton éditeur favori. Dans ce fichier, tu insères des commandes pour indiquer les propriétés de ton texte. Ainsi, sous LaTeX par exemple, pour faire un titre de section, tu mettras \section{titre}. Sous lilypond, pour créer une partition tu feras quelque chose de similaire.
Pour obtenir un document final, un fichier postscript ou pdf par exemple, il faudra faire une sorte de compilation de ton fichier source. Avec LaTeX, on peut utiliser, entre autres, la commande latex ou texi2pdf. Avec lilypond, l'exécutable s'appelle lilypond.
Maintenant, lyx ou tout autre éditeur WYSIWYG LaTeX te "masque" d'une certaine façon ces commandes, et tu te contente de taper ton texte et pour le mettre en forme, tu utilises les jolis petits boutons des barres d'outils ou les commandes dans les menus. La compilation se fait plus ou moins à la demande.
Frescobaldi permet d'une certaine façon de faire la même chose avec les fichiers lilypond. L'une des différences majeures (cf. copies d'écran), c'est que ton fichier texte reste visible, comme si tu l'éditais avec ton éditeur de texte favori, mais tu as la possibilité de voir en même temps ton fichier final, ta partition, telle qu'elle serait si tu l'imprimais. D'ailleurs, j'ai oublié de mentionner dans la news que le fichier pdf est interactif : un clic sur une note place le curseur d'édition au bon endroit dans le fichier source.
Voilà, j'espère que c'est plus clair pour toi.

Bonjour,
Alors déjà, j'espère que tu n'as pas pris mon message initial dans le mauvais sens : je voulais juste apporter une information en plus, et pas dénigrer ton travail.
Concernant frescobaldi, j'ai soumis une news hier soir, ici, et si tu veux en reprendre le texte, l'améliorer, le corriger, ou simplement le copier/coller sur ton site, ça ne me pose aucun problème.
Enfin, pour ce qui est de mon éventuelle participation à l'éditorial de linuxmao, je suis un peu comme tout le monde, je manque de temps. Alors si un jour j'en ai un peu, j'envisagerai peut-être de participer, mais pour l'instant, c'est malheureusement hors de question :-(

C'était histoire de vulgariser un tant soit peu. De plus, je suis loin de tout connaître sur lilypond et sur frescobaldi. Il manque d'ailleurs à ce dernier un outil simple qui génèrerait des grilles d'accords depuis une partition. Par contre, je n'ai pas trop compris le coup des tablatures, car ça se fait assez bien :

\new StaffGroup <<
\new Staff \relative c {
\clef "treble_8"
c16 d e f g4
c,16 d e f g4
}
\new TabStaff \relative c {
c16 d e f g4
\set TabStaff.minimumFret = #5
c,16 d e f g4
}

par exemple tiré de la doc de lilypond justement. Mais j'ai dû louper un truc dans ton commentaire.
Autrement, peut-être qu'il suffirait de faire une demande d'amélioration tant chez lilypond que chez frescobaldi justement. Pourquoi pas ?

Évidement, c'est une bonne idée. J'essayerai de rédiger une dépêche ce soir.
Afin de répondre au plus grand nombre, voici en quelques mots ce qu'est frescobaldi :
C'est une application KDE qui est un front-end à lilypond. Lilypond est à la musique ce que TeX est à l'édition de texte. On peut donc dire que frescobaldi est à lilypond ce que Klyx est à TeX/LaTeX.
Avec cependant quelques plus : la fenêtre d'édition du "source" lilypond est affichée simultanément avec le rendu PDF de la partition en cours d'édition. Il est possible soit d'écouter sa composition au format midi, soit de renseigner directement la partition avec un clavier midi par exemple, puisque frescobaldi est couplé à rumour.

Je détaillerai tout ça ce soir lorsque je rédigerai la dépêche, ce sont des informations "rapide" et quelques approximations afin que tout un chacun puisse comprendre de quoi il s'agit.

Hé oui, comme je l'utilise, je suis son développement, frescobaldi est sorti en version 1.0.0 le 26 décembre 2009. Il n'en a été fait mention nulle part sur linuxfr à ma connaissance, je me permets donc de vous en faire part ici.
Le jour même de cette sortie, frescobaldi était intégré à portage.

Ben pas chez certaines marques. Les disques sont partitionnés par défaut, et salement. Comprendre par là que le "Mes Documents" ne pointe même pas après l'installation vers la partition de données. C'est du vécu. Je ne dis pas que tous les assembleurs le font, simplement que j'ai rencontré le cas.

Y'a pas d'outils qui permettent de redimensionner une partition après coup ?
Il me semble pourtant que oui. Mais bon, c'est parti d'une blague, ou en tout cas d'une moquerie gratuite, hein.

Non, tu te mets jute à ta place, car à la place de quelqu'un qui achète un PC, il l'achète et s'en sert, il n'a aucune raison de vouloir bidouiller.

Il y a la vision geek qui veut avoir juste ce qui lui sert, et la vision "utilisateur normal" qui veut juste que ça marche quand il en a besoin.

Ce n'est qu'une part de la réalité tout ça. Parce que l'utilisateur lambda qui va acheter un système, au bout d'un moment, avec certains choix faits à sa place, il ne va plus rien comprendre à ce qui se passe sur sa machine.
Je ne te donne qu'un exemple. Une machine d'une marque avec un disque de 40Go partitionné en 10 pour le système, et 30 pour les données. Quand il aura bourré la partition de données, avec ses photos de vacances, les films des anniversaires des mômes et le reste, il ne va pas comprendre pourquoi quand il regarde dans le poste de travail on lui indique qu'il a 6Go de libre (sur C, mais ça veut dire quoi C ?), mais qu'il ne peut plus mettre le moindre fichier sur D qui est plein ras la gueule.
Et ça, quand il va rencontrer ça, qu'est-ce qu'il va faire ? Ben chercher ses connaissances qui "s'y connaissent" en informatique, et demander de réparer sa machine qui est pétée.
C'est en tout cas pour ça que je me renseigne.

Puisque tu poses une question sérieuse, je t'apporte une réponse sérieuse.

Je suis curieux de savoir en quoi c'est intéressant de savoir si l'OS occupe 2 ou 3% (au pif) d'un espace disque donné?

Tout simplement parce que quand j'intalle un système, je partitionne mon disque pour avoir le système sur une partition, et les données sur une autre. Et sur un disque de mettons 20Go, j'essaye d'avoir le plus de place possible pour mes données. Alors si je peux gagner de la place sur le côté système (disons 2Go pour la swap, et 2Go pour l'hibernation, si j'ai bien compris ce que j'ai lu ci-dessus, ça me fait 4 Go de dispo pour ma partition de données, c'est toujours bon à prendre !).


Pour le coup de la "bonne expérience utilisateur", je te laisse le bénéfice du doute. Cf par exemple ci-dessus.

Bon, pour le reste, je ne peux pas rester sérieux, désolé, mais c'est trop tentant : le système de fichier est si foireux qu'il faut réserver la swap dès l'install du système pour avoir des perfs correctes. Saperlipopette, c'est vachement judicieux, ça !

Pour la seconde partie, je suis d'accord, c'est aussi bien que l'utilisateur sache l'espace qu'il lui reste après l'installation. C'est d'ailleurs ce qui m'intéresse.
Enfin, je n'ai pas le sentiment d'avoir vraiment dénigré Microsoft. Je l'ai critiqué, certes, mais pas dénigré. Les choix faits ne sont pas les miens, et c'est tant mieux si ça suffit/plait à d'autres.
Comme je l'ai dit initialement, je ne suis pas à l'aise sous cet environnement.

Tu m'as l'air bien vindicatif dans ce journal. A vrai dire, mon commentaire n'était qu'un simple commentaire, pas une demande d'aide pour windows dont je n'ai que faire.
En fait, je ne citais l'hibernation que parce que vous l'avez évoqué ci-dessus et que comme exemple. Ce qui "m'inquiète" plus, c'est mon ignorance du nombre de ces "fonctionnalités" plus ou moins "cachées" qui sont activées par défaut sous windows et dont je n'ai rien à faire. Je passerais plus de temps à les débusquer et à les désactiver au besoin que je ne passe de temps sur mon linux à n'installer et activer que ce qui m'est utile.
Cela m'inquiète d'autant plus que j'ai l'habitude, lorsque j'installe un système, de faire en sorte de lui allouer le moins de place possible, dans les limites du raisonable, au profit de la place pour mes données. Alors oui, ça joue. Comme tu le fais remarquer, ces choses plus ou moins utiles se désactivent plus ou moins simplement (quand on sait à quel endroit se situent les options adéquates), mais encore faut-il savoir qu'elles existent, ces fonctionnalités, et qu'elles sont désactivables.
Ne perds pas ton temps à me lister les services "inutiles" activés par défaut, ainsi que l'ensemble des choix faits par Microsoft, je m'en cogne. J'essayais de me placer un peu plus en recul, avec le regard de quelqu'un qui n'est pas administrateur système, juste de quelqu'un qui achète un PC et veut s'en servir.

Il confirme quelques idées reçues et enfonce quelques portes grandes ouvertes, mais tu as le mérite de l'avoir fait.
Alors pour les reproches qui te sont faits ci-dessus, je ne vais pas y revenir, il y a déjà eu assez de débats (plus ou moins polis, mais c'est pas mon problème).
Ce qui m'intéresse dans ton test, c'est effectivement la place occupée par chaque système, ainsi que les fonctionnalités offertes à l'utilisateur juste après l'installation.
Parce que bon, Mme Michu, lorsqu'elle met la soucoupe dans le porte goblets, elle cliquouille sur suivant, entre la clef si il y en a besoin avec plus ou moins de mal, répond par oui aux questions qu'elle comprend, et au pire des cas non quand elle ne comprend pas (et laisse par défaut quand le cousin lulu lui dit de le faire par téléphone).
Et c'est justement ce dernier point qui me chiffonne. Parce que bon, là, juste après l'install de windows, on a un système qui boot et qui propose une interface graphique, bref, la machine est utilisable, mais on ne peut pas en faire grand chose. Alors on va voir la place occupée sur le disque pour les quelques fonctionnalités d'offertes, et on s'apperçoit qu'il y a beaucoup de place de prise pour... pas grand chose.
Là, au moins, tu as installé les mêmes softs sur les deux. A la limite, tu aurais même pu gicler tout ce qui dépasse (les softs non utiles sur le Linux, de même sous windows).
Pour le reste, je ne partage pas les choix faits par Microsoft, c'est mon point de vue.
Mes systèmes, qu'ils soient linux ou windows, je ne les mets jamais en hibernation, par exemple. Je les arrête quand je ne m'en sers plus, et j'attends que ça boot quand j'en ai besoin. Je ne suis pas à quelques secondes prêt.
Alors pourquoi Microsoft a fait ce choix par défaut (prévoir tout ce qu'il faut dès l'install pour l'hibernation, par exemple ?) ? Je n'ai pas la réponse, et à la limite, peu m'importe. Je préfère, et de loin, perdre du temps à essayer d'utiliser telle fonctionnalité dont j'ai entendu parler et que je peux trouver utile à un instant t que de découvrir un jour que le système a fait des choix pour moi lors de l'install (il y a 6 mois, un an ?) et que des ressources qui à un instant auraient pu m'être précieuses étaient bêtement gachées par un truc dont je ne me servais pas.
Bref, je ne suis vraiment pas à l'aise avec les systèmes microsoft, de moins en moins même. C'est probablement parce que je n'ai pas la même façon de voir les choses pour mes systèmes. Ça n'engage que moi.

C'est bizarre. J'ai testé le code hier, j'ai donc tout copié-collé tel quel dans un vim, puis j'ai fait en mode commande :%s/^\n//g, j'ai sauvegardé plop.sh, et je l'ai lancé.
Ça a compilé et fonctionné. Je n'ai toujours pas compris l'intérêt de la chose, mais ce doit être parce que je suis hermétique à cette forme d'art. En tout cas, une petite explication supplémentaire dans le corps de la news aurait été la bienvenue.

Bon, au cas-où la solution choisie interresserait d'autres personnes, voici comment j'ai finalement procédé :
Sur le serveur samba, en plus d'un répertoire partagé accessible aux utilisateurs ayant le droit de créer et diffuser des présentations sur le panneau d'affichage, j'ai installé incron et créé un utilisateur (panneau). Avec cet utilisateur, j'ai créé un incrontab contenant la ligne suivante :
/repertoire/a/surveiller IN_MODIFY $HOME/pushodp

Le fonctionnement est simple : un daemon (incrond) lance les incrontab des utilisateurs. Dans ce cas précis, il exécute la commande $HOME/pushodp lorsqu'un évenement IN_MODIFY est détecté sur /repertoire/a/surveiller. Rien de bien sorcier.

Le script pushodp se contente de faire un scp -r du répertoire en question sur la machine raccordée au panneau d'affichage.


Sur cette machine, un script est lancé par l'utilisateur connecté (il n'y en a qu'un seul, ce PC est dédié à cette tâche).
Ce script est placé au même endroit que les présentations et a cette forme :


#!/bin/bash

FICHIER=$(ls -t *.odp | tail -1)
ooimpress -view -show -norestore ${FICHIER} &
PID=$!
while inotifywait -e modify $PWD -q
do
kill $PID
FICHIER=$(ls -t *.odp | tail -1)
ooimpress -view -show -norestore ${FICHIER} &
PID=$!
done



Le fonctionnement est simple : on commence par récupérer la présentation la plus récente, qu'on affiche. On attend ensuite une modification sur le répertoire. Si celle-ci survient, on ferme la présentation actuelle, et on affiche la présentation la plus récente.
Les option passées à ooimpress permettent
1) d'ouvrir ooimpress avec une copie en lecture seule (-view)
2) de forcer l'affichage de la présentation (-show)
3) de passer la confirmation de restauration (-norestore), car ooimpress n'aime pas le kill du tout du tout.

Voilà, en espérant que ce sera utile à d'autres. Je suis évidement prenneur de toute amélioration si vous en avez à proposer.