JGO a écrit 2437 commentaires

  • [^] # Re: il faut preciser ton besoin

    Posté par  . En réponse au message Quels sont les bons protocoles et logiciels pour accéder à sa musique de par l'Internet?. Évalué à 4.

    Et la configuration est expliquée sur le wiki :

  • [^] # Re: 0 folder = inbox 0

    Posté par  . En réponse au journal La gestion de courriels est-elle adulte ou encore au stade de l'enfance ?. Évalué à 7. Dernière modification le 02 juin 2013 à 16:02.

    Les tags permettent de faire tout ce que les dossiers proposent, et offrent encore plus.

    • Ils ne permettent pas l'affichage hiérarchisé classique.
    • Mes mails en répertoires sont dans des mbox différents, faciles à archiver, déplacer et à importer dans un autre logiciel. Même après 10 ans leur structure est encore très claire. Quant aux tags… Pour Thunderbird avec un compte imap qui ne supporte pas les labels, ils sont stockés dans le fichier local.msf qu'aucun autre mailer ne prendra en charge. Il y a des cas bizarres (UIDVALIDITY d'un folder, source) où les tags peuvent disparaitre du jour au lendemain. Ok ce sont des cas rares mais la seule possibilité que de telles pertes de données puissent exister est rédhibitoire.

    Tant qu'il n'y a pas une méthode standard pour pérenniser les tags, les échanger entre mailers, ça n'est pas intéressant pour moi. Si c'est désormais possible je serais très heureux que tu me dises comment.

  • [^] # Re: 0 folder = inbox 0

    Posté par  . En réponse au journal La gestion de courriels est-elle adulte ou encore au stade de l'enfance ?. Évalué à 4. Dernière modification le 02 juin 2013 à 13:50.

    Salut, j'ai lu ton explication et j'ai quelques commentaires.

    Règle 3, pas de répertoires. Je comprends que c'est lourd à gérer et que ça provoque des ambigüités si on veut classer trop finement. Mais d'une part je ne vois pas pourquoi l'exclure totalement dans les cas très clairs. D'autre part quand on ne reçoit pas beaucoup de mails (ma moyenne pro est 5/jour sur les deux dernières années), ça reste un système de classement gérable et efficace pour retrouver les courriers à long terme.

    Tu as des arguments concernant la manière dont le cerveau considère les mails. En ce qui me concerne, et comme le commentaire plus haut (fravashyo), ma vie est classée par années, ou par périodes professionnelles. Avoir un répertoire « Paris2008 », « Lyon2010 », plus un ou deux sous-répertoires pour séparer des trucs évidents, ça demande très peu de travail et fait gagner du temps pour retrouver quelque chose quelques années plus tard.

    Règle 4, ne rien effacer. Je ne comprends pas pourquoi. Pour reprendre un de tes exemples, si j'en absolument rien à faire du choix du restaurant pourquoi irais-je archiver un truc que je ne veux même pas lire et dont je ne peux pas non plus me désinscrire ? (Je suis dans les destinataires directs donc pas de filtre générique, et quant à faire « Mute » sur la conversation, voir commentaire suivant ↵.)

    Règle 5, utiliser des conversations. Je voudrais bien, mais mes correspondants n'ont pas la discipline nécessaire (moi non plus d'ailleurs). Pour les conversations de faible activité (1 mail par mois), les gens oublient qu'il y avait déjà un fil de discussion. Pour l'exemple du restaurant, ils font forward sur d'autres discussions de restaurant ou font « envoyer cet article à un ami » depuis un site web.

    Règle 6, se désabonner de tout, parce que le monde te fera savoir si c'est vraiment intéressant. Je souscris à des rapports de bugs, je suis sûr à 100 % que personne ne me fera savoir autrement quand mes bugs ont été résolus.

  • [^] # Re: Ah mais c'est super çà...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nos oignons, c'est notre affaire !. Évalué à 4. Dernière modification le 31 mai 2013 à 16:20.

    Une partie de la liberté, ce n'est pas liberté.

    La liberté d'expression n'est totale dans aucun pays, même si l'opinion contraire est répandue parmi les commentateurs de slashdot et techdirt.

    Il faut distinguer les infractions aux normes ayant un caractère d'ordre public et ceux dépendant d'une plainte individuelle. Dans la première catégorie, on trouve la révélation d'informations protégés par le secret (professionnel ou d'État), une fausse alerte à la bombe, l'appel au meurtre, etc. Ces délits sont poursuivis partout de façon assez uniforme (voir par exemple :en:United States free speech exceptions). Les infractions dépendant d'une plainte d'une personne lésée sont poursuivies de façon plus variable selon les pays. La diffamation est réprimée par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (1966), article 17, signé par 160 États. Les États-Unis n'appliquent ce traité sur les libertés politiques que très partiellement, mais répriment aussi la diffamation (:en:United States defamation law et :Defamation pour un aperçu des lois de divers pays).

    En pratique cela veut dire que tu peux dire que tu n'es pas d'accord avec un juge, mais pas le traiter d'idiot dans le palais de justice. Note que tu n'as en principe pas le droit de traiter qui que ce soit d'idiot, même dans une réunion privée (en France, l'injure non publique est une contravention punie de 38 euros d'amende). On peut être inquiété par la justice pour outrage même quand on est riche, célèbre et qu'on connait beaucoup de gens influents. Juste hier, on lisait dans les journaux : François Léotard condamné pour outrage.

  • [^] # Re: Ah mais c'est super çà...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nos oignons, c'est notre affaire !. Évalué à 1. Dernière modification le 30 mai 2013 à 21:48.

    Tu cherches à te protéger de problèmes purement théoriques. Le cas que tu cites va à l'encontre de principes d'ordre constitutionnel et de traités internationaux, notamment le principe de non-rétroactivité de la loi pénale (DDH 1789 article 8, CEDH 1950 article 7). Il faudrait une guerre et une nouvelle Constituante pour changer ces principes, tu as le temps de voir venir. C'est bien que TOR existe pour aider les malheureux qui vivent dans des pays dictatoriaux, mais en l'absence du moindre soupçon de commencement de changement chez nous, je ne vois pas en quoi il serait si important que TOR augmente sa bande passante en France dès aujourd'hui. Si TOR commence à saturer en France, je doute fortement que ce soit à cause de Résistants français du XXIe siècle cherchant à éviter les persécutions.

    Pour défendre les droits élémentaires que tu cites, concentre tes efforts sur continuer à avoir un régime démocratique et des élus modérés.

  • [^] # Re: Ah mais c'est super çà...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nos oignons, c'est notre affaire !. Évalué à 1.

    La « liberté d'opinion et de communication » n'implique pas l'anonymat. Tu as le droit de placarder tes opinions sur les panneaux d'expression libre que chaque mairie française a l'obligation de mettre à disposition de ses administrés, mais comme pour toute affichage public il faut signer les placards.

    Les risques les plus évidents des historiques sont réglés sans TOR, qui n'est plus efficace que proxy ouvert/IP dynamique/pseudonymes que si tu as besoin de te protéger des autorités.

  • [^] # Re: Ah mais c'est super çà...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nos oignons, c'est notre affaire !. Évalué à 0. Dernière modification le 30 mai 2013 à 14:57.

    L'argument des bases de données gouvernementales est une peur irrationnelle typiquement américaine.

    Le citoyen d'une démocratie qui a un besoin ponctuel d'une IP anonyme peut se rendre dans un point wifi très fréquenté. S'il est sous enquête judiciaire il se fera quand même attraper par les caméras, mais s'il n'est suspect de rien en particulier personne ne se souciera de lui. C'est le niveau d'anonymat matériel dont il a besoin, ni plus ni moins. Pour le reste il peut anonymiser au niveau logiciel.

    Le réseau TOR tel qu'il existe est largement suffisant pour passer le flux de tweets et d'e-mails de dissidents chinois. Quant à la masse qui utilise TOR en raison de leur paranoïa ou pour déguiser leurs accès à des sites indéfendables (pédophilie, etc.), ils peuvent bien patienter quelques minutes de plus pour leur téléchargement vidéo.

  • [^] # Re: Opinions clavier

    Posté par  . En réponse au journal Fairphone, le smartphone du commerce équitable. Évalué à 2. Dernière modification le 29 mai 2013 à 14:35.

    En ce qui concerne les feature phones (récents) avec clavier qwerty, il y a l'Alcatel One Touch 808 / 810. Il s'agit d'un modèle pliable (flip-phone / clamshell). Le seul problème est le design appelé « glamour » (ressemble à une boite de poudre de maquillage quand il est fermé, et l'écran fait miroir quand le rétro-éclairage est éteint).

  • [^] # Re: bah...

    Posté par  . En réponse au message Compiler en statique, est-ce vraiment un problème ?. Évalué à 6.

    Le « problème » avec la version statique c'est que l'utilisateur ne bénéficie pas des mises à jour de sécurité des bibliothèques. Il y a déjà eu des CVE sur libjpeg-turbo.

  • [^] # Re: GRUB2 en option

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de Mageia 3. Évalué à 3.

    Merci pour vos deux réponses (que je pertinente), je suis rassuré sur le fonctionnement de grub2.

  • [^] # Re: GRUB2 en option

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de Mageia 3. Évalué à 1. Dernière modification le 22 mai 2013 à 10:11.

    Le grub-mkconfig est fait automatiquement par les actions post-install.

    Je compile et installe les noyaux manuellement (gentoo), et il m'arrive à l'occasion d'oublier de mettre à jour le menu, ou d'y faire une petite erreur. Avec grub-0.97 pas de problème, quand mon système ne boote plus parce que je me suis trompé dans le fichier, j'attends le menu de grub, je presse « e » (édite) sur la ligne fautive, je la change (j'ai droit au TAB pour compléter les noms de fichiers en cherchant le noyau correct, la classe) (je peux aussi passer des paramètres au noyau à ce moment), puis « Entrée » puis « b » (boote).

    Je crains qu'en cas d'erreur avec grub2, mon système ne sera pas bootable et j'en serais dans le meilleur des cas à une bonne heure de perdu à aller chez un copain, graver une iso de secours sur une clef usb, puis démarrer en chroot pour réparer les dégâts.

    Dans mon cas d'utilisation j'ai l'impression que grub2 ne m'apporte rien de bon.

    • « bien plus compliqué à modifier que l'ancien fichier unique du grub1 » → moins bien qu'avant.
    • « mieux pris en charge par les actions automatiques du système » → je fais ça manuellement.
    • « reconnaissance automatique d'OS concomitants » → je n'en ai pas.
  • [^] # Re: Developpement et freeze de logiciels

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de Mageia 3. Évalué à 5.

    Il a indiqué quelque part ailleurs que ses commentaires commencent à -9. J'imagine que le système de notation de linuxfr ne compte à sa charge que les nouveaux votes. Dans ce cas le système est auto-limitatif : il ne peut se prendre que -1 au pire à chaque commentaire. Dans cette page je compte en ce moment 10 commentaires, notés respectivement -9, -7 (deux), -10 (sept). Il s'est donc pris 4 pertinent et 7 inutiles, bilan -3. La somme est négative mais c'est pas aussi mauvais pour son karma que les scores bruts laissent penser.

  • [^] # Re: Developpement et freeze de logiciels

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de Mageia 3. Évalué à 3.

    Notamment le chipset gma500 (poulsbo) est bien mieux supporté. Avant ça c'était la loose, le réglage de l'intensité de l'écran (sur portables Asus) ne marchait pas, voir le journal sur le sujet.

  • [^] # Re: GRUB2 en option

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de Mageia 3. Évalué à 3.

    je crois que les autres distrib ont franchi le pas depuis longtemps ?

    Une question aux utilisateurs de grub2 : d'après un manuel de migration, il faut faire grub2-mkcofig à chaque fois qu'on installe un nouveau noyau. Qu'est-ce qui se passe si j'oublie, la machine n'est plus bootable, comme dans le temps avec lilo ? grub2 n'a pas un système pour modifier ses configs au démarrage comme grub 0.97 ?

  • # Concernés

    Posté par  . En réponse à la dépêche Cozy, un cloud personnel que l'on peut héberger, bidouiller et supprimer. Évalué à 10. Dernière modification le 18 mai 2013 à 17:56.

    qui se sentent vraiment concernées par les problèmes posées par le cloud !

    En quoi vous sentez-vous concernés par ces problèmes, vous avez eu des mésaventures par le passé qui vous ont poussées à créer ce produit ?

    Ou bien vous vouliez dire concerned en anglais, mais vous n'arriviez plus à vous souvenir de la traduction ? Dans ce cas quelle est la nuance de sens :

    • intéressés comme des sociologues pourraient l'être ;
    • préoccupés comme des parents pour leurs enfants ;
    • soucieux de trouver une solution comme militants du LL ?

    (traductions : Atlas sémantique du laboratoire Langage, Cerveau et Cognition http://dico.isc.cnrs.fr/fr/index.html)

  • [^] # Un grand oui pour Ubuntu Touch

    Posté par  . En réponse à la dépêche À quand les smartphones et tablettes libres ?. Évalué à 2. Dernière modification le 13 mai 2013 à 15:37.

    QtCreator (sur un desktop) permet la cross-compilation pour Ubuntu Touch et l'installation du binaire via SSH. → https://wiki.ubuntu.com/Touch/ReleaseNotes

  • [^] # Re: Bidouillabilité ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche À quand les smartphones et tablettes libres ?. Évalué à 7.

    En effet, et c'est précisément ce que je veux éviter pour les appliquettes toutes simples que j'écris pour m'amuser. Je n'ai pas tout le temps un navigateur ouvert et je ne veux être obligé de lancer ce genre de monstre. Je veux une appliquette isolée dont je peux lancer n instances, qui peut planter sans causer de risques pour le reste de mes occupations (un navigateur qui plante c'est chiant), qui s'intègre visuellement avec mes autres logiciels (qtconfig) au lieu de dépendre de quel navigateur est installé. Bref je veux une application qui remplit une seule fonction mais qui la remplit bien. En plus je suis motivé pour apprendre Qt5 mais html5 ça ne me dit rien. Chacun ses choix.

  • [^] # Re: Bidouillabilité ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche À quand les smartphones et tablettes libres ?. Évalué à 3.

    Je pensais aussi à la tablette Vivaldi (plasma-active) et aux téléphones Ubuntu Touch (QML). J'ai l'impression que ce sont des distributions relativement normales, donc en principe bidouillables. Mais tant qu'on n'a pas un appareil dans la main…

  • [^] # Re: Bidouillabilité ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche À quand les smartphones et tablettes libres ?. Évalué à 3.

    Il est possible que html5 devienne incontournable, mais ce n'est pas ce avec quoi j'ai envie de bidouiller. Je ne suis pas informaticien de profession, je veux réutiliser mes connaissances basiques de C++ et Qt pour faire quelques bricolages, comme je le fais déjà sur mon ordinateur de bureau.

    Et puis si je fais un truc en html5 comment j'exécute ça sur mon ordinateur de bureau ? S'il y a une dépendance à firefox c'est galère ; si je passe par QtWebkit y'a aucun intérêt à utiliser html5. Si j'encapsule dans un plasmoide pour KDE ça ne m'aide pas non plus, vu que je n'utilise pas plasma (fluxbox).

  • # Bidouillabilité ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche À quand les smartphones et tablettes libres ?. Évalué à 5. Dernière modification le 12 mai 2013 à 13:52.

    Pour moi, je critère d'achat serait la possibilité de contrôler la tablette/ordiphone par ssh et vnc, cross-compiler des interfaces ou les scripter en PyQt ou QML. (Je ne suis pas trop fan de html/js.)

    Quels sont les systèmes cités qui le permettront out-of-the-box ? (Donc en excluant Replicant s'il faut que je remplace l'Android de base.)

  • [^] # Re: netctl

    Posté par  . En réponse au sondage Quel gestionnaire de connexions réseau utilisez-vous ?. Évalué à 3. Dernière modification le 07 mai 2013 à 14:24.

    Tu devrais te mettre à smartctl, c'est la commande pour surveiller l'état de santé des disque dur (paquet smartmontools).

    root# smartctl -H /dev/sda
    SMART overall-health self-assessment test result: PASSED
    
    

    Ouf, mon disque va bien. Mettre l'option -a pour voir le détail de tous les tests.

    Et sinon y'a aussi sysctl : sysctl -a pour lister les variables système (les trucs du noyau) et leur valeur courante.

  • [^] # Re: C'est désespérant.

    Posté par  . En réponse au sondage Quel gestionnaire de connexions réseau utilisez-vous ?. Évalué à 5.

    tes outils sont déjà cassés dès que tu essaye de les utiliser pour des configurations un tant soit peu avancées.

    En ce qui me concerne je ne fais rien d'avancé, mais ifconfig étant la méthode par défaut sous gentoo ( http://www.gentoo.org/doc/en/handbook/handbook-x86.xml?part=4&chap=2 ), j'imagine qu'il y a des gens qui font des trucs avancés avec et qui s'en sortent.

  • [^] # Re: Widget GtkSwitch (On/Off)

    Posté par  . En réponse à la dépêche Ubuntu 13.04 Raring Ringtail. Évalué à 6.

    c’est surtout le fait que ça soit en couleur qui indique que c’est activé et non telle couleur veut dire truc

    Et c'est pour ça que c'est mal conçu. Il faut fournir à l'utilisateur des indications de forme, contraste et couleur concordantes (et en général dans cet ordre d'importance). Le cerveau analyse ces informations en parallèle, et la situation est plus rapidement et plus efficacement analysée lorsque plusieurs signaux concordent. L'apparition concomitante des trois signaux contribue à renforcer l'indentification du signal global, même lorsqu'une de ses composantes est temporairement brouillée ou indisponible (couleurs délavées ou déformation géométrique).

  • [^] # Re: Widget GtkSwitch (On/Off)

    Posté par  . En réponse à la dépêche Ubuntu 13.04 Raring Ringtail. Évalué à 10.

    Avec les bascules de GTK3 tu cliques à n’importe quel endroit ça change l’état.

    le problème c'est que j'ai besoin de me concentrer pour savoir si « ON » sur un bouton d'action veut dire que c'est déjà allumé ou que ça va passer allumer si j'appuie dessus. L'origine de cette confusion c'est que la convention est l'inverse de celle des boutons équipés d'une réglette d'affichage.

    Par exemple, de nombreux appareils sont équipés d'un un bouton avec une petite encoche. Le panneau de commande dispose d'indications ON, OFF ou de chiffres. L'utilisateur doit tourner ou déplacer le bouton DANS LA DIRECTION de l'état qu'il veut obtenir : il tourne le bouton jusqu'à ce que la flèche pointe sur l'indication correcte.

    Dans le cas des bascules GTK3, la convention est inversée par rapport à ma façon de comprendre les boutons physiques : il faut éloigner le bouton de l'indication ON pour que la fonction passe à ON. Dans ma tête spontanément il faudrait que je déplace le bouton par dessus le ON pour activer le ON, comme dans les boutons qui pointent une fléchette vers une indication ou ont une fenêtre pour lire l'état à travers le bouton.

    J'ai peut-être pas la bonne façon de penser ou je suis légèrement dyslexique, mais c'est pas trop ma faute si je pense comme ça, et c'est aux widgets de s'adapter aux cerveaux réels des gens et de lever les ambigüités. Une façon de faire ça est de séparer l'affichage et l'action, de façon que la façon de penser de chacun n'interfère pas avec la compréhension de l'affichage.

  • [^] # Re: Widget GtkSwitch (On/Off)

    Posté par  . En réponse à la dépêche Ubuntu 13.04 Raring Ringtail. Évalué à 10. Dernière modification le 26 avril 2013 à 22:52.

    Le problème de ces widgets consiste à mélanger l'affichage d'un état et la possibilité d'une action. Y'a des designers de widgets qui ont séché les cours d'ergonomie.

    Personnellement même sur les appareils physiques j'hésite souvent s'il faut appuyer sur le 1 pour l'activer (mais le 1 disparait alors) ou si l'état activé consiste à avoir le 1 bien visible.

    Quelle que soit la forme du widget de bouton (ici un truc qui glisse), l'indicateur d'état devrait être séparé de l'actuateur (par exemple une lumière verte ou grise située à côté). Genre un interrupteur et une DEL, comme sur les tableaux de commande de trucs industriels.