oao a écrit 960 commentaires

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 1.

    Ta jolie fable est très obscure pour moi ; aurais-tu une explication ?

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 1.

    Le terme UMPS est dans la bouche du FN là pour dire ils sont tous pareil choisissez moi mais il exprime bien un état des faits, qui est que le bipartisme tend à l'uniformisation (et c'est bien dommage). Les opinions des français ne sont pas réduit entre un centre terne et des extrêmes dangereux, et pourtant c'est ce à quoi tend le bipartisme.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 4.

    C'est bien dommage que cette expression UMPS soit sortie de la bouche du FN, car elle décrit pourtant bien la situation d'un bipartisme stable. Le FN dénonce cet état des faits car il est exclu des négociations, au contraire de l'extrême gauche. Que l'on soit contre ce parti n'empêche pas le constat d'être juste.

    Un prof de philo me disait "le FN pose les bonnes questions mais donne de mauvaises réponses". Plus j'observe plus je me dis qu'il avais raison.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 1.

    Non, par exemple si le pouvoir de dissuasion est supérieur au gain potentiel, il y a égalité parfaite entre les protagonistes. Par exemplex entre les pays possédant la bombe atomique il ne peux pas y avoir de guerre ouverte, car ils ont plus à perdre qu'à gagner. La loi du plus fort est un épouvantail, qui évite de se poser les vrais questions au cas par cas.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 0.

    Donc l'anarcho-syndicalisme n'est pas de l'anarchie, puisque tu veux organiser la vie économique des autres CQFD. La dictature de la majorité reste une dictature, donc n'est pas une anarchie. Une vrai anarchie n'a aucune structure obligatoire. Imposer une organisation à d'autres est le contraire de l'anarchie. Des syndicats se formeront si les gens le veulent, mais ne devraient pas avoir d'impact en dehors de ses adhérents.

    PS : absence de règle != loi du plus fort. Pour la bonne raison qu'un fort est plus faible que plusieurs faibles réunis.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 0.

    Reference needed. Tu crois sérieusement que les travailleurs les moins qualifiés sont trop nuls (c'est toi qui le dis) pour gagner de quoi manger ? Relis ton histoire. Les paysans n'avaient pas de salaire minimum mais ils survivaient quand même. Les choses se sont améliorées après la transition démographique, ie lorsque l'on a arrêtés de faire autant d'enfants que possible. Rien à voir avec un salaire minimum ou la sécu. D'ailleurs des pays sont sans salaire minimum ou sécu et pourtant vivent sans famine.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 2.

    Au contraire j'aime beaucoup Marx, ses analyses étaient très souvent pertinentes, mais il se trompait dans ses solutions. Plus le fait qu'il avait moins de recul sur le capitalisme. Et contredire un communiste en citant Marx, ça n'a pas de prix :)

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 3.

    même si l'est vrai que l'altruisme se fait rare de nos jours.

    C'était mieux avant, c'est vrai. Ou pas. Les hommes restent les mêmes. Ils ont besoins d'incitations (/!\ ce n'est pas un terme péjoratif du tout, uniquement descriptif). Vouloir être utile est une incitation par exemple. Mais il y a toujours une évaluation gain vs coût, même si certaines morales nous disent qu'il ne faudrait pas. Cet évaluation est même nécessaire pour éviter de s'enfermer dans des action sans effets finaux. D'ailleurs Marx critiquait les socialistes de salon qui ne servaient finalement à rien :p

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 4.

    Tu as une vision trop restrictive des incitations. Il a forcément des incitations, sinon demande lui pourquoi il fait cela. Tu auras ses incitations. Ça peut-être l'envie d'être utile.

    Le problème de cet incitation par exemple est qu'elle ne marche, pour la plupart des personnes, que pour un temps limité. D'où abandon de beaucoup de LL par leurs auteurs.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 2.

    L'interview http://www.youtube.com/watch?v=hxblOc3Hykg&feature=player_embedded

    Ma remarque était juste sur cette phrase qui me semblait fondamentale, pas sur le reste de l'interview (sinon on est pas couché ;) ).

    L'incitation pour le logiciel libre, grande question. J'en verrai deux principale : l'envie de reconnaissance et l'efficacité de la démarche de mise en commun. Cela fonctionne car ces deux incitations sont fortement corrélées à l'efficacité et il y a peu d'incitation contraire à agir contre le système, on n'a rien à gagner et du temps à perdre. Mais ce problème d'incitation est pour moi ce qui limite le plus le LL, car il y a peu de possibilités de récupérer le jackpot en codant puis donnant.

    Dans un syndicat ou un parti politique c'est différent, les personnes ont une incitation forte à monter dans la hiérarchie, ce qui est très différent d'être utile. De plus il y a également possibilité de se servir au passage, que ce soit en piquant dans la caisse (visible), en aidant un copain à avoir un appel d'offre, en voyageant au frais de la princesse ou en se servant de son pouvoir pour se taper la secrétaire en échange d'une augmentation (ou autre). Peu d'incitation à bien faire et beaucoup à se servir. Comment veux-tu avoir à terme un système qui marche avec des hommes (non saints) aux commandes ?

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 4.

    La situation du parti pirate aujourd'hui est tout à fait comparable à celle des Verts il y a 30 ans. Ils représentent une petite parti de la population. Ils sont dans le système actuel sans possibilité d'être représenté (même les Verts sont sous-représentés par rapport à leur électorat). Comment veux-tu qu'ils fassent autre chose que se déchirer entre eux, étant donné que toutes les personnes sérieuses se sont barrées, car elles n'avaient aucun espoir d'être influentes ? Tu inverses cause et conséquence, l'état actuel du PP est une conséquence de leur absence de possibilités, alors que le système actuel n'a pas été modifié pour le PP.

    Tu refuses à une parti de la population d'exprimer leurs voix, car elles sont trop minoritaires. C'est grave, cela veut dire que les élections sont dans les faits censitaires. Elles interdisent à ceux qui sont proches du parti pirate de s'exprimer. Les voix des militants verts sont dans les faits marginalement beaucoup moins importantes que celles des militants PS ou UMP.

    Un minimum de sérieux dans les exemples, s'il vous plait...

    C'est aussi ce qu'ils disaient en Suède. Depuis grâce à la proportionnelle au européennes ils ont changés d'avis.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 5.

    J'écoutais une interview de Mélenchon qui disais "le capital n'est rien". Je pense que c'est là un des points sur lequel il se trompe grandement, car si le capital existe et a une utilité. Exemple si absolument tout le capital disponible disparaissait maintenant, on se retrouverait littéralement sans rien de matériel, et il faudrait tout reconstruire à partir de zéro. À ton avis combien de décennies/siècles faudrait-t-il pour revenir au niveau de vie actuel ? Pour moi un nombre important.

    Le capital est actuellement rémunéré car il est utile. Le syndicalisme que tu proposes ne propose actuellement aucune incitation à l'accumulation de capital. Or sans incitation tu ne fais rien, car pourquoi se fatiguer si on n'en retire aucun avantage ?

    Tu dis qu'on est prisonnier des entreprises. C'est faux, on peut en changer. C'est la base du libéralisme (!=capitalisme) de pouvoir choisir. Dans ton systèmes syndicaliste peut-on changer à volonté de syndicat ? Peut-on en créer un, même si on est seul sur son idée ? (oui on peut être seul sur une idée mais que cette idée soit bonne tout de même, cf Torvalds). Si oui, un syndicat ne peut alors pas contraindre quelqu'un sur aucun sujet, puisqu'il peut toujours s'émanciper. Si non, c'est une dictature.

    Dernier point sur l'accumulation de capital : relis Marx, tu verras que le capital est soumis à un paradoxe qui est que plus il s'accumule plus sa rentabilité décroit. Sans progrès technique (hypothèse oubliée par Marx) il ne devient plus intéressant d'épargner. Le capitalisme libéral contient le pouvoir de libérer les travailleurs du capital. Au contraire du syndicalisme, qui peux conduire à une dictature des élites des syndicats.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 2.

    J'ai du mal avec la notion de syndicat, car c'est fondamentalement une organisation dirigée par une minorité (syndicat de branche, syndicat de travailleurs) mais qui veux avoir le pouvoir par la force (force douce, blocages grèves etc, mais force quand même).

    J'ai encore plus de mal venant d'un anarchiste : tu refuses la structure d'un État mais tu acceptes que des structures parallèles, avec leur vie propre, puissent diriger ta vie. Ne préfèrerais-tu pas vivre ta vie comme tu l'entends, sans dieu ni maitre ?

    Cela dit bon courage, je n'aurai pas la foi :)

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 1.

    Ne confond pas les banques avec le système. Les banques auraient dû être livrées à elles-mêmes. Le Glass-Steagall Act devrait être instauré en France. Mais ces interventions de l'État ne sont justement pas du tout libérales, elles sont tout à fait protectionnistes. D'ailleurs dans la liste* des banques qui ont fait faillites, ces banques sont toutes américaines. C'est très bien, car cela crée des précédents et les banquiers ne pourront pas trop compter sur la caution de l'État.

    Il faudrait en fait que les banques soient comme tous les autres acteurs. Qu'elles prennent des risques, qu'elles puissent faire faillite, bref qu'elles vivent leurs vies. Mais qu'elles ne demandent pas aux États de les sauver. Et qu'elles ne jouent pas l'argent des épargnants dans des placements avec risques, tout en rémunérant les comptes courants.

    *: merci pour la liste.

    PS : pour Mélenchon ce sont les riches qui font office d'immigrés alors ? ;)

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 1.

    On ne peux pas réunir des courants très divers comme tous ceux que comporte la gauche ou la droite sans qu'ils en perdent au passage leurs esprits. Dans un regroupement tu as des jeux politiques qui ne représentent pas la réalité des opinions du peuple. En plus ces regroupements ne ne devraient pas être nécessaire. Il suffirait d'une démocratie parlementaire à suffrage proportionnel pour éliminer quasiment entièrement ce biais.

    Penses-tu sérieusement qu'un parti comme le parti pirate (sans s'occuper de ses problèmes actuels) puisse jouer un rôle dans la politique française, que ce soit en indépendant ou en essayant d'avoir un rôle dans le PS / l'UMP ? Le système actuel étouffe tout ce qui est différent de lui. Il faut le changer, et refuser une soupe amère UMP vs PS.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 0.

    Tu as surement raison, mais c'est toujours dur de voter pour quelqu'un lorsque l'on n'approuve qu'une partie du programme et que l'on est absolument contre tout le reste. Ce qui est difficile à évaluer c'est à quel point les indécis sont écoutés, et si les partis cherchent à séduire les abstentionnistes.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 3.

    Les chances sont, non infimes, mais nulles. Ni le PS, ni L'UMP, n'ont intérêt à changer les règles, car celles-ci favorisent naturellement un bipartisme. Si tu votes PS pour cela tu te trompes.

    La question de base est comment faire, dans une société avec uniquement deux partis ayant leurs chances, pour faire entendre une opinion différente ? Et comment faire quand, en plus, on se sent éloigné de absolument tous les partis ? (certains plus que d'autres OK). On vote par opportunisme, on se range sous la vaste bannière des indécis ? En légitimant donc le système en place ?

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 1.

    Par curiosité, tu as des noms ? À part Lehman Brothers je ne vois pas, et une seule ça ne fais pas un paquet ;)

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 1.

    Le problème est que n'importe qui se proclame libéral, au point que ce terme n'a plus aucun sens, comme démocrate ou républicain. Dans l'absolu les libéraux sont en haut à droite.

    Après je ne me risquerai pas à critiquer les choix tactiques des différents états-majors des partis, je ne pense pas être compétent pour cela et je n'ai pas les données qu'ils peuvent avoir.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 3.

    Le problème est que les positions des différents partis de gauche peuvent être vraiment, vraiment distinctes. Mais on ne peux pas le comprendre si on reste sur la droite gauche-droite. On est en fait dans un plan, avec deux axes, libertés économiques et libertés individuelles (oui c'est le diagramme de Nolan). En admettant que les partis "de gauche" se placent à gauche sur ce plan, il reste une différence énorme entre l'aile gauche, les populistes, le centre gauche (grosso modo aux coordonnées 1/3, 2/3)).

    On comprend d'ailleurs mieux l'évolution du FN : ils étaient sous Le Pen Senior en bas à droite, ils glissent avec leur électorat vers le populisme pur. C'est un partis du bas, qui se caractérise par le refus des libertés individuelles. Les pays communistes ont glissés eux vers le bas, tout en restant à gauche. Mais ces deux courants politiques, opposés à priori, se rapprochaient car ils voulaient tous les deux un état fort : c'est le rapprochement des extrêmes.

    Il n'y a ainsi aucune raison que des partis "de gauche" mais opposés sur l'axe des libertés individuelles se rapprochent, cf les luttes marxistes VS anarchistes. Un parti de gauche, même très à gauche, peut être plus proche d'un parti de droite au même niveau sur l'axe vertical, et donc refuser une alliance avec un parti de gauche opposé à lui sur cet axe.

    Place les partis actuels dans ce plan, tu auras une dispersion très forte (normal, la société est dispersée également). C'est ces différences entre partis qui font les difficultés de la gauche. La droite à résolu ce problème en regroupant tout le coin en bas à droite sous la bannière UMP. Si la gauche fait pareil et se regroupe par coin, elle abandonnera soit les communistes, soit les partisants des libertés individuelles.

  • [^] # Re: BEURK

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 0.

    Toujours ce refus d'apprendre que les divisions font le bonheur de l'adversaire, c'est pourtant pas très compliqué à comprendre.

    Il n'y a pas d'adversaire pour les personnes normales, il n'y a que des gens avec qui vivre et qui peuvent nous apporter. Il n'y a d'adversaires que pour les politiques, qui eux sont en compétition directe avec le camps en face pour les postes et les avantages qui vont avec. Si tu raisonne en terme d'adversaire/allié, tu fais le jeu des politiques qui peuvent alors te faire avaler des couleuvres pour la bonne cause. Mais si c'est justifié que nos partis soient financés n'importe comment, c'est pour battre les ennemis. Le temps de guerre est fini, il n'y a plus que des opinions différentes et des personnes qui tentent d'abuser du système.

  • [^] # Re: localisation lat, long gps

    Posté par  . En réponse à la dépêche La plateforme française des données publiques est ouverte. Évalué à 3.

    885000€ pour 15000 personnes interrogées, soit 59€ par personne. Faut vraiment que je me mette aux appels d'offres publiques !

  • [^] # Re: jeune & jolie

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 5.

    Moi c'est à chaque fois que je vois une drosophile.

  • [^] # Re: Bof

    Posté par  . En réponse au journal Microsoft s'occupe de vos enfants. Évalué à 2. Dernière modification le 06 décembre 2011 à 10:29.

    1. Veillez à ce que votre enfant respecte le principe de propriété en ligne. Expliquez-lui que copier de manière illégale le travail d’autres personnes (qu’il s’agisse de musique, jeux vidéo ou d’autres programmes) équivaut à voler ces personnes.

    Même ici il faut le ré expliquer continuellement : non copier n'est pas voler, lorsque l'on copie un morceau le propriétaire n'en est pas dépossédé. C'est l'analogie du feu : il peut se multiplier à l'infini sans perdre son essence.

    Pour bien comprendre, Jésus as-t'il volé les boulangers lorsqu'il a multiplié les pains ? Non, puisque les boulangers n'ont rien perdus. C'est tout simplement qu'il ne coûte rien de copier dans ce monde immatériel.

    EDIT : un peu trop lent pour répondre...

  • # Libertés numériques

    Posté par  . En réponse au journal La conseillière «Économie numérique» de François Hollande. Évalué à 10.

    Son angle d'attaque n'a pas tant l'air d'être le respect des droits style liberté d'expression, mais que le commerce fonctionne, surtout les boîtes françaises.

    Heureusement pour nos libertés, dans le monde numérique ce qui se vend c'est les données et leurs traitements, qui se multiplient à l'infini pour remplir les plus petits besoins. Limiter les libertés de communiquer, c'est limiter le commerce numérique, comme les libertés de déplacement limitent le commerce physique. Le seul soucis c'est quand nos gouvernements vont s'en rendre compte.

    Son carnet d'adresse fait peur, car il comporte beaucoup des entreprises vivant de rentes, et donc ayant naturellement peur des ruptures technologiques. Donc mauvais pour tous ceux qui refusent ces rentes infinies de propriété intellectuelle.

    Pourquoi mettre toujours un non spécialiste pour des domaines techniques ? PS ou UMP, pas de différence de ce point de vue.