Antoine a écrit 5722 commentaires

  • [^] # Re: Dans le cul lulu...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 6.

    note d'humour (donc à ne pas prendre au sérieux): sors de ce corps pasBill pasGates!!!

    pasBill pasGates me semble beaucoup mieux informé et meilleur débatteur que fabb...
  • [^] # Re: Dans le cul lulu...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 2.

    Égalité, productivité, accès aux soins pour tous, etc sont des objectifs.

    Productivité ou compétitivité ? Faudrait savoir.
    Selon la législation, le contexte économique, etc., on peut être productif sans être compétitif, et vice-versa.
    Sans compter que le productivisme en soi est loin d'être une valeur partagée par tous. C'est un "objectif" propre aux partis issus de la branche autoritariste des idéologies de gauche apparues au dix-neuvième siècle, c'est-à-dire le PS et le PCF.
  • [^] # Re: Si le NON passe, c'est l'Europe des brevets logiciels qui gagne ...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 2.

    J'ai vraiment l'impression qu'il croient sincèrement que rien ne peut changer tant que l'on reste dans une économie de marché, même régulée intelligement. (etc.)

    Ce serait possible de discuter avec toi si tu évitais de tomber dans le procès d'intention.
    On peut être de gauche, accepter l'économie de marché et en même temps être contre la constitution européenne.
    Cela ne sert à rien d'essayer de ranger tes interlocuteurs dans des petites cases...
  • [^] # Re: Concurence est libre et non faussée...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 1.

    Surtout en France, ou le vote protestataire est revendiqué en général par plein de listes.

    Avec lesquelles on n'est pas forcément en accord. Et comme le vote blanc est totalement passé sous silence...
  • [^] # Re: La réaction de Michel Rocard

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 4.

    Tu devrais apprendre une chose: lire les messages des autres avant de répondre n'importe quoi.

    Oui, bien sûr, c'est toujours les autres qui n'ont rien compris. Quand on voit la suite de ton message c'est assez rigolo.

    tu opposes logiciel libre et entreprises

    Non. J'ai dit que les logiciels libres étaient fréquemment réalisés par des personnes indépendantes ou de petites entreprises, et que le fonctionnement concret du système des brevets en fait naturellement des victimes au lieu de les protéger.

    tu aurais compris que je ne suis pas un pro-brevet logiciel

    C'est marrant de me prêter des affirmations que je n'ai pas faites.
    Ceci dit, faut pas se moquer du monde non plus. Tu as dit :
    « Il ne s'agit pas d'interdire les brevets logiciels. Il s'agit de les réglementer pour éviter le n'importe quoi. »

    Tu dis donc bien, pour reprendre une expression à la mode, que tu es "pour une certaine de dose de brevets logiciels". Tu penses donc que les brevets logiciels, c'est-à-dire les brevets sur les procédés logiciels (les algorithmes), ne posent pas un sérieux problème pour le partage des connaissances et la liberté du patrimoine intellectuel de l'humanité (puisque les idées, normalement, sont de libre parcours).

    C'est en cela qu'on n'est pas d'accord, ce n'est pas la peine d'esquiver le débat en invoquant les "intégrismes" et le "juste milieu".

    Tu as aussi opportunément oublié de répondre à mes objections concernant la R&D en informatique, qui se portait très bien avant la brevetabilité du logiciel, y compris aux USA (tu crois qu'Unix et le C ont été brevetés ?).

    je n'ai jamais dit que seules les entreprises inventaient en informatique

    Tu n'as pas pris la peine de comprendre l'argumentaire. Seules les entreprises (et en pratique surtout les grosses) ont les moyens de profiter du système de brevets. Donc seules les entreprises (surtout les grosses) peuvent voir leurs "innovations" protégées dans un système de brevets. Un indépendant peut au mieux déposer un ou deux brevets, au terme de beaucoup d'efforts, et il se retrouvera opposé à des entreprises qui ont des portefeuilles beaucoup plus dissuasifs : bref il restera à la merci de ces entreprises (les grosses) et aura du mal à "valoriser" son propre brevet.

    Il n'y a pas de raison que l'informatique soit un domaine où les inventeurs ne puissent pas être rémunérés pour leur travail.

    Le logiciel est déjà protégé par le droit d'auteur, la protection fournie est donc largement suffisante. Même Bill Gates le disait... au début des années 90, avant que la domination de Microsoft ne lui rende alléchante la perspective de constituer un portefeuille de brevets pour paralyser le marché.

    (amusant que tu prétendes n'être pas pro-brevet et que réutilises exactement le FUD des pro-brevets sur la juste rémunération des "inventions informatiques")

    La solution se trouve entre ces 2 intégrismes

    J'adore cette façon de traiter ses interlocuteurs d'intégristes et de distribuer les bons points en matière de pragmatisme politique.
  • [^] # Re: Libre ou non libre telle n'est pas la question, n'est ce pas ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie sous Creative Commons Share-Alike de Linux Device Drivers 3ème édition. Évalué à 3.

    L'absence de nuance ne permet pas l'échange.

    Non, c'est ton incompréhension de notions basiques qui ne permet pas l'échange.
    Le libre et le copyleft, ce n'est pas la même chose. Il y a du libre non copyleft (exemple licences BSD) et du copyleft non libre (exemple licences non-commerciales avec clause "Share-Alike").

    Des droits d'auteurs étaient garantis par défaut sans démarche préalable ? Je ne suis pas sur que cela soit exact , c'est le moins que je puisse écrire.

    Eh bien, c'est dans le Code de la Propriété Intellectuelle. Une oeuvre n'a pas besoin de licence ni de déclaration préalable pour être protégée par le droit d'auteur.

    qui devient licence singulière puisqu'il me suffit d'une seule pour la version que j'utilise pour mon usage

    Dans le cadre d'un échange sur Internet avec des gens que tu ne connais pas, il est d'usage de supposer que ton interlocuteur n'est pas au courant de ton contexte personnel. Bref quand tu parles de "la licence creative commons", il faut préciser laquelle parce qu'on ne va pas faire une recherche Google sur ton nom pour savoir de quoi tu parles.

    Comme je pense qu'une oeuvre collaborative est possible

    C'est complètement contradictoire avec le choix d'une licence ne permettant pas la modification de l'oeuvre ni les utilisations "commerciales".

    Mais d'une manière générale je te conseille de te renseigner sérieusement sur le droit d'auteur et sur les licences ("libres" et "non-libres"), ça t'aidera à avoir un discours plus précis et plus rigoureux sur le sujet. Là on nage dans la purée de pois.
  • [^] # Re: La réaction de Michel Rocard

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 0.

    Rocard a compris le problème. Il ne s'agit pas d'interdire les brevets logiciels. (blabla)

    Alors Rocard n'a pas le même problème que moi.
    Si tu penses que les boîtes n'investiront plus dans la R&D si les brevets logiciels sont interdits, tu as le droit de te fourrer le doigt dans l'oeil et de répéter le discours flasque des grands médias. N'empêche que la non-brevetabilité des logiciels n'a jamais empêché la R&D en informatique, y compris aux Etats-Unis.

    (au fait, je suis content d'apprendre que seules les entreprises inventent en informatique. Il y a un truc génial qui s'appelle le logiciel libre, et qui est fréquemment développé par des personnes indépendantes. Tu devrais essayer.)
  • [^] # Re: Dans le cul lulu...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 10.

    Sinon tu vas dire que la télé public va être supprimée, qu'il n'y aura que des écoles privés (avec 0 financement de l'état), pas de recherche public, etc...
    T'es fou ou quoi ?


    Pourquoi dis-tu qu'il est fou ? Parce que l'idée même que la constitution puisse porter le germe d'un ultra-libéralisme débridé te semble blasphématoire ?

    Ce que tu présentes comme des folies sont des propositions concrètes effectuées depuis des années par les milieux ultra-libéraux. La question n'est même pas de savoir si l'on ira jusqu'à ces "folies". Rien qu'effectuer le quart du chemin réclamé par les extrêmistes du capitalisme nous conduira déjà à la catastrophe. La constitution nous y mène tout droit, et tu te bouches les yeux car tu ne veux pas l'admettre. Ton discours n'est pas rationnel, il est religieux.

    "Soyez réaliste, exigez l'impossible". Etrange que seule la droite ultra-libérale ose aujourd'hui se saisir de ce précepte soixante-huitard. Elle exige l'impossible depuis trente ans et elle l'obtient petit à petit, face aux yeux ébahis de nos chères forces de progrès qui ne pensent qu'à composer avec l'inacceptable en annonçant sans relâche que par la suite, ce sera bon, on ira vraiment de l'avant (après la rigueur, on fera une politique sociale ; après Maastricht, on fera une Europe sociale ; après la constitution, on fera une Europe sociale ; etc.).
  • [^] # Re: Réseau voltaire

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 4.

    On voit les sources...

    Argument ad hominem. Perdu.
    (doublement perdu car tu confonds la qualité du site qui publie avec la qualité de l'auteur de l'article...)
  • [^] # Re: Libre ou non libre telle n'est pas la question, n'est ce pas ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie sous Creative Commons Share-Alike de Linux Device Drivers 3ème édition. Évalué à 2.

    J'utilise cette licence pour garantir des droits d'auteur

    Ca ne veut rien dire. Si tu veux juste garantir des droits d'auteur, tu n'as pas besoin d'une licence puisque ceux-ci sont garantis par défaut, sans démarche préalable.

    sans pour autant faire commerce de la diffusion.

    Tu interdis aussi toute revente à prix coûtant (par exemple pour compenser le coût de l'impression), etc. Réfléchis un peu et demande-toi si c'est souhaitable.

    En effet, la common creative licence peut définir un type de licence "non-libre" jusqu'à "très libre".

    Point de vocabulaire : ce n'est pas "la common creative licence" mais "les licences creative commons".

    Dans ce sens, certains pourraient qualifier cela de non libre puisque en principe on ne peut diffuser des versions modifiées du texte.

    J'adore la précaution oratoire du "certains pourraient qualifier cela (...)". En effet, ton texte est aussi propriétaire qu'un freeware sous Windows. Cela n'a rien à voir avec du libre.

    Si tu penses que les contenus libres non-logiciels n'existent pas ou n'ont aucun intérêt, va faire un tour du côté de Wikipédia.
  • [^] # Re: La réaction de Michel Rocard

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 2.

    Oui mais en quoi le fait qu'il y ait une "consommation d'énergie lors de la mise au point d'un logiciel" signifie-t-il qu'on limite la brevetabilité à une mise en oeuvre industrielle ?

    (de plus, stricto sensu, un simple ordinateur consomme de l'énergie...)
  • [^] # Re: La réaction de Michel Rocard

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à -1.

    Cette différenciation, ce critère de distinction, nous pensons l'avoir trouvé en distinguant les logiciels dont la production est à coût nul (un papier, un crayon, une vraie cervelle mathématique) de ceux dont la mise au point a nécessité une consommation d'énergie, de matière, ou un usage industriel. Là objectivement, il faut qu'il y ait rémunération et donc, il faut un brevet.

    C'est moi ou il n'a rien compris ?
    S'il suffit qu'il y ait une "consommation d'énergie lors de la mise au point d'un logiciel" pour le rendre brevetable, on ouvre grand les vannes au brevetage massif.
  • [^] # Re: Si le NON passe, c'est l'Europe des brevets logiciels qui gagne ...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 3.

    Moi je vais voter OUI pour remercier Rocard, les Verts européens et le parlement européen, d'avoir mis toute leur force dans la lutte contre les brevets logiciels. Comme ils appellent tous fortement à voter OUI, ça me parait logique.

    Il y a aussi 40% de socialistes contre la constitution, 30 ou 40% de Verts contre la constitution, une majorité de communistes contre la constitution... et je ne pense pas que ceux-là aient été pour les brevets lors des débats au Parlement. Bref ton argument me semble spécieux.
  • [^] # Re: Et si on se bougeait le cul...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 5.

    Ben il faut le refaire. Ça me fait chier mais je vais le refaire.

    Oui, c'est un peu comme sur les forums. Ca ne te gêne pas de poster dix fois de suite dans le même fil, même si l'efficacité est nulle.

    « En essayant continuellement, on finit par réussir.
    Donc plus ça rate, plus on a de chances que ça marche. »
    (Devise Shadok)
  • [^] # Re: Dans le cul lulu...

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 6.

    Le nouveau traité reconnait les services publics (et l'exception culturelle).

    Faux.

    « Ce n'est pas la première fois qu'un traité européen introduit, non pas la notion de service public, mais bien le concept de « service d'intérêt économique général. » Celui-ci est apparu dans le traité d'Amsterdam. On le retrouve à l' Article II-96 de la Constitution [3] : « L'Union reconnaît et respecte l'accès aux services d'intérêt économique général tel qu'il est prévu par les législations et pratiques nationales, conformément à la Constitution, afin de promouvoir la cohésion sociale et territoriale de l'Union ».

    La Constitution ne fournit aucune définition du « service d'intérêt économique général ». En revanche les documents de la Commission européenne (Notes de 2000, Livre Vert de 2003, Livre Blanc de 2004) sont éloquents : les pouvoirs publics ne peuvent créer des services d'intérêt économique général (SIEG) que si deux conditions sont remplies : a) que le marché (l'initiative privée) ne fournisse pas le service b) que ce SIEG respecte les règles de la concurrence.

    [...] D'ailleurs, l'annexe 1 du Livre Blanc apporte sur ce point une clarification intéressante : « les termes « service d'intérêt général » et « service d'intérêt économique général » ne doivent pas être confondus avec l'expression « service public » (p.23). »

    http://www.reseauvoltaire.net/article15701.html(...)
  • [^] # Re: Quid du futur ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche La brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur adoptée par le Conseil. Évalué à 4.

    Pourrais-tu nous indiquer où exactement tu as lu ça dans la constitution ?

    Il reprenait les propos du communiqué de la FFII :

    This is a very sad day for democracy, and casts a very dark shadow over the European Constitution, which will give the Council even more power.

    Avec cette opinion assez violente d'un des représentants de la FFII :

    It is absolutely unfathomable what happened today. I cannot see how
    the promoters of the European Constitution can still support it with
    a straight face. This event shows that something is clearly rotten
    in the city of Brussels at the Council building. Why on Earth do we
    still have the rules that state that national parliaments should be
    taken into account by the Council?

    Things would be much more easier if we scrapped all those rules
    and simply wrote down "The Council presidency and Commission
    can do together whatever they like". There's no need for those pesky
    democratically elected parliamentarians to interfere with the smooth
    decision making process of the Council, since its only goal appears
    to be to please big business and to produce as many texts as the
    sausage machine can bear.

    This is absolutely disgusting.


    http://wiki.ffii.org/Cons050307En(...)
  • [^] # Re: Les brevets logiciels sont adoptés !

    Posté par  . En réponse à la dépêche La Commission refuse une nouvelle première lecture. Évalué à 4.

    Bref, le Président du Conseil a fait du FUD en faisant comprendre qu'il pouvait s'y opposer par sa simple volonté (ce qui n'est pas vrai). Le Danemark ne pouvait pas faire de scandale non plus.

    Si les pays européens renoncent à exiger l'application des règles sous prétexte qu'il ne faut pas faire de scandale, ce n'est pas la peine de prétendre faire "l'Europe démocratique", autant la jeter à la poubelle tout de suite.
  • [^] # Re: c'est passé :(

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Danemark s'opposera au passage en point A. Évalué à 3.

    oui mais ils sont complètement dans leur trip

    En même temps, vu leur expérience du lobbying, ils sont mieux placés que nous pour savoir comment les choses s'y passent, dans les instances internes de l'UE. Visiblement leur verdict n'est pas rose.
  • [^] # Re: CONSTITUTION EUROPEENNE.

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Danemark s'opposera au passage en point A. Évalué à 2.

    Si tu votes, fais-le en sachant réellement ce que tu fais, pas en ecoutant les ragots par ci et par la, surtout pas les ragots des "anti" qui deinforment pour te rallier à leur cause

    Oui, car les "pro", eux ne désinforment pas, ne répandent pas de ragots pour rallier les gens à leur cause et sont parfaitement objectifs.
    C'est la définition exacte de la pensée unique.
  • [^] # Re: c'est passé :(

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Danemark s'opposera au passage en point A. Évalué à 2.

    Comme dit le lien que tu cites :

    This is a very sad day for democracy, and casts a very dark shadow over the European Constitution, which will give the Council even more power.
  • [^] # Re: Bon exemple de création libre sous licence Creative Commons

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie sous Creative Commons Share-Alike de Linux Device Drivers 3ème édition. Évalué à 1.

    Le FSF n'a jamais donné de définition sur ce qu'est une documentation libre.

    En réfléchissant un peu, on comprend vite qu'une documentation fait partie du logiciel auquel elle se rapporte, donc qu'il vaut mieux qu'elle respecte les mêmes règles de diffusion / modification ; sinon on est bien embêtés pour distribuer une version utilisable (i.e. documentée) du logiciel.
    C'est bien ce qui a poussé Debian à demander que les DFSG (Debian Free Software Guidelines) s'appliquent aussi aux contenus "non-logiciels" intégrés à Debian.

    Ceci dit et plus généralement, les motivations profondes des quatre libertés (possibilité d'améliorer une oeuvre, possibilité de la diffuser à prix coûtant ou de toucher une rémunération sur le travail effectué, etc.) s'appliquent manifestement aux contenus non-logiciels, elles n'ont rien de spécifique au logiciel. Donc il n'y a pas de raison de refuser l'extension du principe des quatre-libertés aux contenus en général couverts par le droit d'auteur.

    Pour les clauses non-commerciales, on sait très bien qu'elles sont boîteuses (elles confondent intérêt personnel et échange monétaire) et inefficaces dans le sens où elles nient la possibilité d'un partage contributif où tous sont à égalité.

    (J'ajoute qu'aucune autre définition précise et pertinente d'un contenu libre n'a été proposée.)
  • [^] # Re: Bon exemple de création libre sous licence Creative Commons

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie sous Creative Commons Share-Alike de Linux Device Drivers 3ème édition. Évalué à 3.

    La GFDL n'est pas libre au sens des critères édictés par la FSF elle-même (les quatre libertés), sauf quand elle est utilisée sans sections invariantes comme dans Wikipédia.

    Donc la réponse est en fait assez simple, puisque FSF et Debian sont d'accord sur ce point. Que la FSF ait appelé la GFDL "Free" est un accident malheureux ; qu'elle ait même conçu cette licence est en soi regrettable, car c'est une usine à gaz absolument illisible.
  • [^] # Re: XHTML strict ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Coding Party AlternC. Évalué à 6.

    Si tu ne veux pas passer par des cadres, il te reste soit du scripting cote serveur (super lourd)

    AlternC est déjà en PHP, donc ça ne changera pas grand'chose de ce côté-là...

    Bref, si t'es pas geek, la maintenabilite d'un site avec index est une gagure, a moins d'utiliser des trames.

    Ou d'utiliser un système de publication existant et facile à utiliser.
  • [^] # Re: Constitution européenne

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Danemark s'opposera au passage en point A. Évalué à 2.

    En rechargeant, le pop-up s'en va (enfin je crois).
  • [^] # Re: Constitution européenne

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le Danemark s'opposera au passage en point A. Évalué à 1.

    Un quizz (forcément partiel) :
    http://perso.wanadoo.fr/non-merci/quizz_ue.htm(...)