Manger sur pattes a écrit 341 commentaires

  • [^] # Re: Clone libre de Counter Strike

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nexuiz 2.3. Évalué à 3.

    Tu as Urban Terror; par contre c'est pas tout à fait libre au niveau des ressources il me semble...

    Sinon y a aussi TrueCombat: Elite; mais là c'est carrément plus libre du tout.
  • [^] # Re: "Très modeste"

    Posté par  . En réponse à la dépêche Nexuiz 2.3. Évalué à 2.

    En même temps, ça a bien progressé depuis la dernière version; là où avant je devais jouer en qualité de texture minimale sans les éclairages; maintenant ça marche plutôt bien avec les éclairages dynamiques, la qualité de texture maximale et la qualité des particules à 1.0 si la carte n'est pas trop "dense".
  • [^] # Re: Ahurissant!

    Posté par  . En réponse au journal Nouvel accord sur des brevets, Microsoft en route pour dominer Linux?. Évalué à 3.

    Je veux dire que l'on préfère favoriser fortement 0.0000001% de la population (les employés des maisons de disques) en ignorant les 1% qui l'auront dans le cul.
  • [^] # Re: Murs et collision

    Posté par  . En réponse au journal Armagetron: Les choses ont changé, mais le sait on?. Évalué à 2.

    D'accord, merci beaucoup !
  • [^] # Re: Ahurissant!

    Posté par  . En réponse au journal Nouvel accord sur des brevets, Microsoft en route pour dominer Linux?. Évalué à 3.

    Malheureusement, pas pour longtemps. Il faut penser comme un politique. (10^-7)% > 1.0%; et la majorité l'emporte.
  • # Murs et collision

    Posté par  . En réponse au journal Armagetron: Les choses ont changé, mais le sait on?. Évalué à 2.

    Juste comme ça, comment fait-on pour avoir le même comportement en local que certains serveurs lors de la collision avec un mur? C'est à dire que lorsque on rentre dedans, on a droit à un petit temps pour tourner et s'y coller au lieu de se cracher tout de suite.
  • [^] # Re: encore une...

    Posté par  . En réponse au journal QMMPaper v0.1. Évalué à 2.

    Ouais; et une pute à gros nichons en fond d'écran aussi :-)
  • [^] # Re: Proposition

    Posté par  . En réponse au journal lutte anti-spam au jour le jour. Évalué à 6.

    Les chaînes mails en chaîne, en général, c'est plutôt du produit de kikoolol qui avant envie de faire un truc trop lol. Je me souviens de quelqu'un qui s'amusait à créer des chaînes à la con et qui disait "jm'en fout c'est marrant". Après, je demande aussi à ceux qui les renvoient pourquoi ils le font: "je sais que c'est faux mais c'est marrant".
  • # Heureusement

    Posté par  . En réponse au journal Familles de France découvre Internet.... Évalué à 2.

    Franchement, des trucs pareils, ça me fait penser aux rapports entre l'Iran et l'internet, en un peu moins con (on va pas interdire les sites "FuckMahomet"), mais tout de même assez stupide.
  • [^] # Re: Oui, y a des francophones

    Posté par  . En réponse au journal Facebook platform. Évalué à 2.

    Je sous-entendais que l'utilisateur de base, il clique automatiquement là dessus. En plus, je suis sur que si on faisait les mêmes daubes avec Jabber, il ferait une progression gigantesque...
  • # Oui, y a des francophones

    Posté par  . En réponse au journal Facebook platform. Évalué à 1.

    Je m'en souviens car chaque francophone qui s'inscrit envoie automatiquement un mail à tous ses contacts; et si je me souviens bien (ils ont tout de même une fonction pour ne plus recevoir ces alertes à la con; option qui m'a bien servi), ça persévère jusqu'à l'inscription ou le retrait de sa propre adresse du service de notification... Comme du spam, sauf que ça passe le filtre.
  • [^] # Re: MTP sous Linux...

    Posté par  . En réponse au journal Le sens de l'Histoire et Samsung. Évalué à 4.

    Avec ça: http://www.adebenham.com/mtpfs/ , ça ira mieux ;-)

    N'oublie pas de faire un "modeprobe fuse" pour que ça marche.
  • # Ouverture

    Posté par  . En réponse au journal OpenID, bonne ou mauvaise idée - identité numérique. Évalué à 2.

    D'un autre côté, loin de tout ceci, il y a le fait qu'il vaut mieux, dans le cas où une centralisation des identifiants/mots de passe s'imposerait, que tout ceci se base sur un standard ouvert et décentralisé, plutôt que sur un système fermé tel Passport.

    On peut avoir un certain contrôle sur OpenID, et ainsi se protéger de tout excès de confiance (voir, héberger carrément son propre serveur).

    Ceci dit, Passport ça a pas trop marché quand c'est sorti :-)
  • [^] # Re: .

    Posté par  . En réponse au journal Clavier dynamique, ça arrive.... Évalué à 1.

    Et pourquoi pas, comme la Wii-mote, placer une enceinte sur le clavier qui produirait le son de la guitare au lieu de se caller sur le son de la musique?
  • # Hotmail? De la merde? Pas un hasard

    Posté par  . En réponse au journal Alice, hotmail et fiabilité. Évalué à 8.

    Problème ! Nous avons des millions d'utilisateurs. Notre service se doit de pouvoir communiquer vers d'autres services. Ceci nous oblige à fournir quelque chose de potable. Que faire?

    1. Créer une alternative différente sur le principe. Il faut un nom bien couillon... "Windows Live Messenger". Il faut se baser sur un standard fermé et tout faire pour forcer les personnes à y passer.
    2. On fait en sorte que notre service de mail soit une pure merde. Les utilisateurs auront déjà découvert le service alternatif, qui lui est fermé, et tomberont sous son apparent charme devant la merde qu'est l'autre service. L'utilisateur vient de s'enfermer, à notre plus grand plaisir.
    3. On empêche la récupération des mails de notre service chez un autre. Pour cela, on fait payer l'accès POP et on ne fournit aucun moyen de redirection.

    Bilan: on a un service de merde et un service fermé; les utilisateurs passent sur le service fermé et utilisent le service de merde quand c'est nécessaire. Le peu qu'ils utilisent le système ouvert font qu'ils ne cherchent pas plus loin que le bout de leur nez. Tout va bien. Enfin, pas pour la concurrence...
  • [^] # Re: Je me suis arreté de lire au passage suivant :

    Posté par  . En réponse au journal Vidéos à propos de Nicolas Sarkozy. Évalué à 2.

    Quand je parlais de végétal, je voulais dire, comme tu l'avais compris, que le f½tus était dans le même état mental qu'un arbre. Après, si je t'ai bien compris, tu sembles plus t'axer sur le fait qu'il s'agit d'une souche qui est désormais engagée pour produire un homme.
    En ce qui est du "psychisme" et de l'"esprit", il n'y a aucun doute que quand il n'y a pas de cerveau, il n'y a rien de ces deux choses.
    Pour ma part, j'ai du mal à saisir ce point de vue; j'ai sûrement mal compris; mais en quoi le fait d'avoir désormais une amorce engagée pour un être unique justifie son droit définitif à la vie?

    Selon moi, le meurtre d'une conscience simple est assez limite car il s'agit de l'arrêt définitif d'une vie, avec le fait que l'être va ressentir cette mort et ce qui en ressort. Pire encore est la fin d'une conscience humaine, car au delà de cette simple petite souffrance, toute une chaine sociale s'ébranle autour de lui; chaque lien social qu'il a créé fera une rupture considérable de l'autre côté du maillon.

    Mais le meurtre d'une forme de vie, certes unique et destinée à devenir humaine, inconsciente n'engendre aucun de ces désagréments; sauf comme tu me l'as montré dans certains cas avec des troubles psychologiques chez la mère; mais sans précision sur la date de l'avortement.



    Quoi qu'il en soit, je te remercie moi aussi pour ce petit débat, argumenté comme d'autres sur d'autres sujets, mais sans l'agressivité qui se retrouve malheureusement assez souvent.
  • [^] # Re: Je me suis arreté de lire au passage suivant :

    Posté par  . En réponse au journal Vidéos à propos de Nicolas Sarkozy. Évalué à 2.

    Et puis surtout : est-ce que la conscience suffit ? Ça ne suffit pas à déterminer un homme. Cette logique me fait penser au « Pas vu, pas pris » : si l'enfant n'a pas conscience de mourrir, c'est que c'est pas un homme. Il a qu'à nous le dire s'il ne veut pas mourrir ! ;).

    Dans la tête d'un pré-enfant, sa vie débute avec le début de sa conscience; sa conscience nait avec la formation et l'activation d'une certaine zone du cerveau. Il ne s'agit pas de délimiter l'humanité, mais de délimiter la naissance de la vie consciente, celle qui différencie le végétal de l'animal. Ce qui gêne dans l'interruption de la vie, c'est l'interruption définitive de la conscience. Rendre quelqu'un comateux à vie et tuer quelqu'un sont deux choses aussi graves. Interrompre ce qui n'a jamais commencé n'est pas vraiment un problème. Après, si ça a déjà commencé cela peut devenir, en effet, plus gênant. Mes connaissances sont assez limitées en la matière. Je ne pense pas que l'on connaisse la zone réellement "consciente" du cerveau, s'il y en a une, je ne pense pas que l'on connaisse sa date d'apparition.

    Dès qu'on cherche une définition farfelue de l'Homme, on va contre notre propre nature. On se considère comme des bêtes, et finalement on se massacre les uns les autres. Dame nature fait bien la différence entre un embryon humain et un embryon de souris, pourquoi n'y arriverions nous pas !
    C'est pour cela qu'il s'agirait plus de déterminer l'apparition de la conscience. Il ne s'agirait plus de déterminer s'il s'agit de bête ou pas, mais s'il s'agit de plante ou pas. Si, par exemple, on cueille une fleur, personne n'ira crier au meurtre; certes après ça fait moins beau dans le paysage, mais bon ;-)

    Le problème final reste qu'il est assez difficile de dater cette apparition de conscience; et qu'en cas de doute, mieux vaut ne rien faire. Mais dans les tout premiers jours, alors que rien n'est différencié, je ne pense pas que l'"avortement" soit un véritable crime. Et, sauf exception, on sait quand il y a un risque de grossesse pour pouvoir agir dans ce délai.
  • [^] # Re: Je me suis arreté de lire au passage suivant :

    Posté par  . En réponse au journal Vidéos à propos de Nicolas Sarkozy. Évalué à 2.

    Pour une femme qui en plus d'être violé est enceinte à la suite de cet acte. La grossesses est là, l'enfant est là. L'avortement ne supprimera jamais cette douleur. C'est bien expliqué dans le film « La vie est en nos » ( http://perso.orange.fr/lesgrandesfamilles/lavieestennous.htm(...) ), bien moins polémique que « Le cri silencieux ». Un avortement est une intrusion dans l'intimité de la femme au même titre que le viol, notamment dans le cas de l'aspiration, de la naissance partielle, etc. C'est un choc terrible.

    Qu'il y ait avortement ou accouchement, il y a toujours une grossesse plus ou moins longue. La femme qui ne voie en l'enfant que le viol doit a tout prix être accompagner pour voir cette autre réalité tout aussi dure : cet enfant est aussi issue d'elle. Un peu comme dans Street-Fighter : il y a moitié de "bon", moitié de "mauvais". Il ne faut pas désespérer de l'enfant. Être parent nécessite un minimum de dépossession de l'enfant, aussi dur cela soit-il.


    Il y a aussi des souffrances continues issues du viol. Le tout est donc de savoir quelle sera la souffrance morale la plus facilement régulable; tout semble indiquer qu'il s'agit de celle du viol d'après ton article car l'avortement semble avoir des effets réellement dangereux. (ceci dit, le site semble très orienté chrétien; je n'ai rien contre les raisonnements basés sur la réalité comme l'article montré, mais quand on tombe sur d'autres pages à des références à Dieu pour démontrer, ça le fait un petit peu moins) Après, je n'ai rien vu qui pourrait se lier à l'éventualité d'une nouvelle grossesse souhaitée dans le cas d'un viol. Peut-être que cela rectifierai le tir, ou peut-être cela irai à sens contraire. En tout cas, physiquement, ça sera pas génial.
    Dans chaque cas, une assistance psychologique serait nécessaire.

    La vie est supérieure à la liberté.
    Bon, c'est pas très bien placé de ma part, mais dans certains cas, la liberté est supérieure à la vie. Si l'on regarde très en arrière, les personnes qui ont privilégiées leur vie à leur liberté sont devenus esclaves. Mais bon, ça n'avance à pas grand chose ici. L'enfant n'a rien d'un ignoble contremaître et la femme d'une soumise qui doit se plier au moindre de ses désirs.

    Sinon, il y a des femmes qui vivent bien l'avortement aussi, tout est question de proportion. Puisqu'il y en a qui le vivent mal; il faudrait trouver un moyen d'anticiper sur ceci et de voir si cela est possible. Peut-être que cela n'arrive que quand la femme est contrainte, mais un tel avortement ne devrait jamais exister.


    Quand commence l'histoire d'un enfant ? Quand commence sa vie ? N'est-ce pas à la première cellule (l'½uf) que l'on peut dire : "voilà l'enfant, voilà la genèse de sa vie" ?
    L'enfant commence son histoire lors de ses premières interactions avec les autres formes de vie extérieure. Dès lors, dans le ventre il a une histoire par interaction avec sa mère qui interagit avec son environnement. Si l'on cherche à déterminer une certaine taille d'histoire pour être considéré comme un homme, on finit par dériver dans des extrémismes, comme déjà dit.

    C'est totalement simpliste comme raisonnement. Vu que l'enfant se reconnaît tardivement dans la glace (il faut déjà quelques mois pour qu'il différencie les visages !). Réduire l'homme à sa conscience ne tient pas la route. Comme tu l'a dit, dès qu'on veut donner une charnière à l'humanité de l'enfant, on tombe dans l'extrême : l'infanticide (si l'avortement n'en est pas déjà un !).
    Sans conscience, je sous-entendais sans cerveau. Après, quant à savoir quand s'active ce cerveau, quand il reçoit interprète et réagit, c'est une autre histoire.

    Le principe de précaution s'applique : si on ne sait pas à partir de quand c'est un humain (cf le cas des jumeaux ou c'est ambiguë), alors pourquoi faire comme si c'en était pas un ?
    Il est vrai que ce principe de précaution aurait pu sauver bien des hommes; mais bien au delà des cultures. Ceci dit, je persiste à penser que sans cerveau, il n'y a rien; c'est comme cueillir une plante. Sauf qu'il y a, comme tu l'as dit, le problème psychologique de la femme. Disons que si deux jours après l'acte la femme se rend compte qu'elle va en chier pendant neuf mois, si c'est possible, elle va sans doute essayer de faire avorter assez vite. Peut-être que la douleur morale est proportionnelle au temps de grossesse écoulé; plus l'on est engagé dans quelque chose dans le temps, plus on a du mal à s'en détacher, car cela reviendrait à un échec d'autant plus grand que l'on y a passé du temps.
  • [^] # Re: Je me suis arreté de lire au passage suivant :

    Posté par  . En réponse au journal Vidéos à propos de Nicolas Sarkozy. Évalué à 2.

    Juste à propos de la conscience: si quelqu'un perçoit des phénomènes, son existence ou autres; ça ne sert à rien s'il ne s'en souvient pas; d'où la nécessité de la mémoire. Si quelqu'un perd d'un coup complètement sa mémoire, il "meurt" et "renait".


    Sinon, en cas de viol, une femme enceinte a beaucoup de chance de très mal supporter ceci. Déjà, sa grossesse ne cesserai de lui rappeler ce moment; la moindre sensation de l'enfant ne provoquera pas le bonheur de savoir que l'on va donner la vie mais l'horreur du rappel de ce qui a été subi.
    Moralement, ce sera une véritable horreur. Et là, s'il n'y a pas d'avortement, la personne risque fort d'y aller à la main si elle le supporte aussi mal, et là, sa vie est en danger.

    Même si ce que tu dis reste intéressant et assez vrai sur pas mal de points, je persiste à penser qu'avoir une personne (ou une chose, ou une demi-personne enfin quoi qu'il en soit) dépendante de soi sans en avoir la moindre envie est assez désagréable pour demander l'arrêt de l'être vivant qui était présent. La personne empiète sur le terrain de la liberté de sa mère. Une simple petite erreur lors d'un acte peut entrainer neuf mois d'horreur et une vie qui pourra en garder la marque. Si la personne voulait de cette grossesse, elle accepte cette réduction des libertés, si elle n'en voulait pas, elle l'a dans le cul.
    C'est un peu comme si on mettait dans la rue une petite zone avec une fontaine en plaine canicule, avec une pancarte "Attention, si vous touchez le robinet pour boire, vous vous engagez pour neuf mois dans l'armée !". Il y a erreur de la personne, mais les conséquences sont désastreuses. Ceci dit, faire demi-tour sur la vie est plus difficile que de faire demi-tour sur l'armée.

    Et sinon, on n'est pas homme car on est unique, mais parce qu'on a une histoire. À sept semaine, l'enfant a déjà une histoire, certes, mais minuscule et très restreinte, pas plus que n'importe quel animal.


    Le problème principal de l'avortement d'enfant conscient reste que l'on ne peut s'empêcher de tendre vers l'extrême; ou l'on refuse catégoriquement, ou l'on fonce dans des critères qui s'étendent au delà de la naissance, et pourquoi pas avec des enfants de 2 ans et demi aussi...

    Ceci dit, si l'enfant n'a pas encore de conscience, alors la question de l'avortement ne se pose pas selon moi, sauf s'il y a danger pour la mère; car sans conscience, cela revient à tuer un végétal.
  • [^] # Re: Je me suis arreté de lire au passage suivant :

    Posté par  . En réponse au journal Vidéos à propos de Nicolas Sarkozy. Évalué à 2.

    Si la mère ne supportera pas l'accouchement, alors oui l'avortement est une bonne solution. Si la mère vit une situation sociale peu agréable car entourée d'une grosse bande de con intégristes conservateurs et qu'elle a moins de l'âge minimal conservateur pour avoir un enfant (entre 22 et 30 ans), alors l'avortement risque d'être nécessaire pour ne plus avoir à supporter le regard des autres sur ce ventre anormal, même s'ils seront après à la traiter de meurtrière et tout.
    C'est surtout la mauvaise solution à un mauvais problème; cette solution créera un nouveau problème et il serait plus sain de changer de milieu; mais en quoi la femme devrait-elle supporter un tas de cellule dans son ventre neuf mois?
    La grossesse, c'est pas que le gros ventre; il y a d'autres conséquences que certaines femmes n'apprécient pas trop.

    Le problème ne se situe pas ici; mais comme tu l'as vu plutôt au niveau de la considération de l'enfant avant sa naissance.


    À sept mois, d'après ton articles, l'enfant est capable de réagir face aux stimulations extérieures, de la même manière que le ferait n'importe quel être vivant. Par ailleurs, on ne mettra jamais en taule une femme qui a perdu son enfant à huit mois pour être tombée sur le ventre de manière violente.

    Il est aussi possible de considérer un enfant comme humain dès qu'il est capable de vivre en autonomie durant une certaine durée; mais à partir de ce moment là, on rejoint ce que tu disais: autant piquer les tétraplégiques et autres.
    La conscience résulte de la mémoire; un comateux a une mémoire et a par conséquent une conscience en veille; et personne ne se souvient de sa vie dans le ventre de sa mère.
    En quelque sorte, cette conscience est morte, même si l'être reste le même. Après, il est possible de déterminer diverses horreurs comme l'âge minimal de début de conscience à partir duquel on peut librement exterminer un enfant né, ça ne tient pas debout. Ce qui précède pourrait être prétexte à tout.

    Le problème tient de notre perception de l'enfant. Un enfant dans un ventre qui est vivant ne le semble pas; alors qu'il l'est tout autant qu'un enfant dehors. La différence pourrait être son indépendance, mais ce n'est pas suffisant. Mais disons que si tout le monde devait s'occuper neuf mois durant d'un tétraplégique de manière forcée, ça serait tout de même un peu fort; le problème est qu'un enfant ne se transfert pas aux personnes désireuses de s'en occuper avant la naissance. Si l'enfant est un être humain, sa liberté s'arrête à celle de sa mère; sa mère doit restreindre ses libertés pour assurer la survie d'un être auquel elle ne tient nullement; ou maintenir sa liberté et tuer cet être. Dans tout les cas, il y a restriction ou anéantissement. D'où le second problème: faut-il restreindre de manière non négligeable la liberté d'un être entièrement formé au prix de la vie d'un début de vie?

    Mais les plus aptes à parler ce ceci sont les femmes, qui connaissent bien mieux cette situation que nous et ressentent bien mieux leur enfant que nous.

    Je commence à m'emmêler; tout ceci pourrait déboucher sur des "convictions" comme inventent souvent les politiques en manque d'arguments, mais bon.
  • [^] # Re: Je me suis arreté de lire au passage suivant :

    Posté par  . En réponse au journal Vidéos à propos de Nicolas Sarkozy. Évalué à 2.

    L'Homme est Homme par sa nature, pas par son acquis

    On peut-être biologiquement un homme et mentalement un singe. Prend enfant, lâche le dans la nature et revient dix ans après s'il est encore en vie; il n'aura d'homme que l'apparence; c'est l'éducation qui crée le mental.

    On sait qu'il entend très tôt dès le sein de sa mère. D'ailleurs on leur fait même écouter de la musique.
    S'il entend la musique dans le ventre de la mère; alors peut-être que ça peut faire quelque chose.
    Mais l'enfant qui va naitre ne va pas vouloir voter Royal après avoir écouté Diam's dans le ventre de sa mère.

    son nom
    Un enfant pas né n'a pas encore de nom dans sa tête.

    Avec de tel discours, on fini par piquer les tétraplégiques, les comateux, etc.
    S'ils le veulent, pourquoi pas? Si leur vie est horrible et qu'il souhaite mourir pour ne pas continuer comme ça, pourquoi continuer à les torturer? Dans une vraie démocratie, l'homme dispose de lui-même, et de sa vie.
    Et puis, ton tétraplégique est humain, ton comateux n'est qu'un humain endormi par sa pensée; et sa survie n'entrainera la chute de personne.

    Et puis, tuer un enfant avant sa naissance comme ça, d'accord c'est inimaginable. Mais quand sa naissance aura des conséquences néfastes et sur lui et sur sa mère, alors il n'y a plus que l'adoption et l'avortement. Et quand on supporta mal ou pas l'accouchement, il n'y a que l'avortement.
  • [^] # Re: Je me suis arreté de lire au passage suivant :

    Posté par  . En réponse au journal Vidéos à propos de Nicolas Sarkozy. Évalué à 2.

    Un enfant de six mois a déjà commencé à former son intelligence et à tisser deux liens, l'un avec sa mère, l'autre avec son père. Certes, le lien avec la mère, il l'avait déjà, mais c'était un lien animal (animal ne signifie pas stupide et immoral, bien au contraire, mais ne signifie pas non plus humain), un lien social c'est un échange humain par la parole, un échange de fond, de donnée, non un contact physique.

    Dès qu'il a commencé à entendre des paroles, il a commencé à travailler sa mémoire et ses connaissances; il a commencé à absorber le savoir des personnes qui l'entourent pour s'en sortir.

    Tant que l'enfant n'est pas né, rien ne le différencie d'une souris au niveau du contenu de la mémoire. Ce qui fait l'homme, c'est avant tout ce contenu; ce qui la gère est au même niveau que la souris, en un peu plus efficace pour permettre un bon traitement.

    Dès son premier contact avec l'homme du monde extérieur, il a commencé à devenir humain.
  • [^] # Re: Je me suis arreté de lire au passage suivant :

    Posté par  . En réponse au journal Vidéos à propos de Nicolas Sarkozy. Évalué à 2.

    Un être vivant devient humain par ses liens sociaux, sa connaissance, et sa mémoire de vie; ce que n'a pas un pré-enfant de six mois. On assassine des souris consciente, et personne va raller !
  • # Déjà fait

    Posté par  . En réponse au journal Pub commerciale éhontée et opportuniste. Évalué à 3.

    Et par groland. Bon c'est plus la canicule, mais ça reste du même genre, sans la même pensée du tout-sauf-sarkozy, même si ça reste présent sous une autre forme.
    http://yannbng.free.fr/Videos/groland_cancer_vieux.avi
  • [^] # Re: Moi je reste.

    Posté par  . En réponse au journal E maintenant, qui quitte la France?. Évalué à 5.

    En même temps, le sarko il va l'avoir son précieux maintenant ;-)
    (les guignols de l'info avaient fait un sketch sur Sarko en Golum, c'était pas mal du tout)