Difficile de réduire Papert à l'inventeur de Logo et qui plus est de voir dans ce dernier un langage simplifié destiné à l'apprentissage de la programmation.
Il a présenté ses idées originales, inspirées de celles de Jean Piaget, et une synthèse de ses travaux au MIT sur l'apprentissage dans un ouvrage très discuté à sa sortie Jaillissement de l'esprit. Ordinateurs et apprentissage (1981, réédité et disponible dans la collection de poche Champs chez Flammarion) traduction française de Mindstorms: Children, Computers, and Powerful Ideas (1980, Basic Books).
Il y reprend son interrogation « Should the kid program computer, or should the computer program the kid. » que Alan Kay citait déjà dans son fameux article de 1972 où il présentait le Dynabook, un projet d'ordinateur portable à usage créatif pour enfants, conduit au Xerox PARC à l'époque.
Papert constate que l'enfant apprend dès son plus jeune age, sans attendre après un dispositif didactique particulier, d'abord en interagissant constamment avec son environnement et notamment en manipulant par lui-même. Il présuppose que ce processus repose sur la médiation "d'objets pour penser avec" et suggère une collaboration constructive des enfants et des ordinateurs. C'est pour cela qu'il créé Logo et sa tortue, qui soit dit en passant permet à l'enfant de s'identifier et de (re)faire physiquement les commandes qu'il lui passe ; qu'il invente la notion de micromondes pour "explorer les pays des mathématiques et des sciences" chacun à son rythme.
Finalement, l'école n'ayant jamais assimilé ses propositions, il en a conclut qu'elle était de toute façon condamnée à disparaître. Prise de position radicale qui a suscité des discussions enflammées.
Pour se convaincre que l'idée de "géométrie tortue" est loin d'être idiote et triviale, lire _Turtle Geometry. The Computer as a Medium for Exploring Mathematics _ de Hal Abelson et Andrea diSessa (The MIT Press, 1986).
Lunettes à rayons X L’envers du décor du Web : Les lunettes à rayons X vous permettent de découvrir les briques qui construisent les sites web. Activez les lunettes pour passer le code de n’importe quelle page à la loupe, et remixez le contenu d’un simple clic, avec vos propres textes, images et bien davantage.
Thimble Créer facilement pour le Web : Avec Thimble, il est ridiculement facile de créer et partager vos propres pages web. Écrivez et modifiez le code HTML et CSS depuis votre navigateur, et prévisualisez votre création en un clin d’œil. Vos projets sont hébergés et peuvent être partagés d’un simple clic ! Parfait aussi bien pour les débutants que pour les experts.
Popcorn Maker La vidéo en ligne augmentée : Popcorn Maker, c’est une manière simple de remixer des vidéos, des sons et des images pour en faire de chouettes montages que vous pouvez ensuite insérer sur d’autres sites. Glissez-y du contenu web, puis ajoutez vos commentaires et vos liens, directement depuis votre navigateur. Les vidéos fabriquées avec Popcorn Maker sont dynamiques, pleines de liens et uniques à chaque visionnage.
Les productions peuvent êtres clonées pour êtres réutilisées. Il passer le verbiage mais l'approche pédagogique de ces trois outils me semble assez sympa.
Deux autres variantes de Scratch libres sont aussi disponibles
Snap est une réimplémentation en javascript qui propose des fonctions avancées de gestion des listes et des sprites, la possibilité de définir des procédures et des fonctions. Snap est sous GNU Affero General Public License.
- SNAP! (Build Your Own Blocks)
- sources sur Github
Phratch est la reprise de Scratch 1.4 (écrit en Smalltalk) dans Pharo par Jannick Laval et des élèves de l'Ecole des Mines de Douai.
- http://www.phratch.com/
Seulement sous OSX, sous GPL, Notational Velocity est une application de gestion de notes dont l'interface est véritablement originale.
Selon son concepteur : "C'est une tentative de soulager les blocages mentaux qui entravent la prise de notes, et de gratter le tartre des habitudes qui handicape leur récupération. La solution est par nature non conformiste."
- La recherche des notes n'est pas une action distincte. C'est même l'interface principale.
- les données peuvent-être stockées en texte plat ou en rtf (un fichier par note) ou compressées et chiffrées avant d'être enregistrées sur le disque.
- Conçue avant tout pour le clavier, la fenêtre de Notational Velocity ne comporte pas de bouton.
- Pas de "sauvegarde" manuelle : toutes les modifications prennent effet immédiatement.
- Synchronisation native avec Simplenote, ou via des fichiers avec les méthodes classiques.
Le développement de Notational Velocity semble au point mort. Cependant le fork nvALT bénéficie d'un développement dynamique et propose des fonctionnalités supplémentaires tout en gardant l'esprit de NV.
A noter aussi l'existence de Deft, un mode pour Emacs qui reprend le fonctionnement de Notational Velocity et notamment son système de recherche. Et évidemment, Deft est utilisable conjointement avec org-mode.
Félicitations pour l'initiative, le projet est intéressant et devrait combler un vide.
Cependant, il est difficile de s'en faire une idée précise, le README est ... minimaliste, pas de site web ou de documentation même embryonnaires. Un site de démo quelque part ? Ai-je mal cherché ?
Je comprends bien que c'est probablement aussi pour cela que vous lancez votre appel, mais il faudrait fournir d'emblée un chouïa plus d'informations.
Un wiki est d'abord un outil de coopération ou de collaboration qui repose sur les technologies du web. Le versionning est une fonctionnalité essentielle pour motiver les usagers à participer (rien n'est irréparable) et faire face au vandalisme (retour à la version d'avant).
Évidemment, rien n'empêche de l'utiliser comme bloc-note personnel.
Vous ne manquerez pas de remarquer d'ailleurs qu'une partie de la documentation en ligne de Zim repose sur ... Dokuwiki
Il me semble que Foswiki répondrait au cahier des charges : libre (GPL), écrit en perl, tourne avec Apache, les pages sont des fichiers texte versionnés avec RCS, idem pour les fichiers externes (attachés aux pages).
Par rapport à la demande d'export et de validation de la doc, l'extension PublishPlugin ferait probablement l'affaire : http://foswiki.org/Extensions/PublishPlugin. Elle permet de générer, à la demande des pages statiques, ou un pdf, ou des archives zip ou tgz.
L'installation d'un foswiki est moins simple que celle de foswiki, l'installation du plugin ne pose pas de problème particulier (elle s'effectue avec l'interface web de gestion de la plate-forme).
Annoncé comme open source, écrit en Java, il est multi-plateformes.
Sans vraiment pousser très loin mes tests n'y produire grand chose, je m'y suis intéressé comme une alternative aux outils classiques de présentation genre Powepoint, Impress ou d'autres.
J'ai trouvé deux fonctions vraiment originales :
- récupération et traitement de données structurées (par exemple des relations décrites en CSV), des notices ou des images en ligne ;
- possibilité de définir des chemins qui génèrent semi-automatiquement autant de présentations
Bref, gros potentiel en matière de médiation, pour une utilisation personnelle je ne sais pas trop.
Foswiki utilise le système de fichiers associés à RCS (peut-être Subversion dans l'avenir) pour le stockage des données (les pages et les fichiers attachés).
Je n'ai pas d'expérience véritablement d'une migration. Il existe des convertisseurs comme Universal Wiki Converter par exemple du côté de Confluence. En pratique, j'ai l'impression que chacun développe des filtres d'importation plus ou moins efficaces.
La syntaxe wiki est l'un des aspects mais pour ce genre de moteurs orienté principalement vers des utilisations en intranet (voir aussi XWiki, Confluence, Socialtext Open, etc) le problème principal réside dans doute dans l'incompatibilité quasi systématique des langages et des macros spécifiques destinés à développer des micro-applications dans les pages et les espaces de travail ; idem pour les extensions et les métadonnées. Voir par exemple la liste des macros de foswiki ( http://foswiki.org/System ), de son côté xWiki( utilise Velocity propre au monde Java, etc.
Ce n'est pas trivial donc surtout avec un grand nombre de pages et de documents structurées propres à ce type d'outils.
sur le côté réseau social, je ne sais pas trop mais pour ce qui concerne le travail en commun et la gestion documentaire nous (un centre de culture, scientifique, technique et industrielle) utilisons TWiki.
TWiki est d'un accès facile : partage en espaces de travail, gestion des droits, documents attachés aux pages, versionning des pages et des fichiers attachés, thèmes par espace ou par usager, une floppée de plugins disponibles, etc. Il est d'une robustesse à toute épreuve et d'une flexibilité étonnante, on peut construire des sortes de micro-applications à la carte dans les pages.
J'ai rédigé un billet à son sujet en début d'année http://linuxfr.org/2008/02/09/23669.html
Squeak (http://squeak.org/) et plus précisément les Etoys, un système de programmation graphique qui permet des modélisations / simulations aisées et évolutives. Il existe une abondante documentation sur le wiki francophone (http://community.ofset.org/index.php/Squeak_Education). évidemment, il est aussi possible de manipuler directement des objets graphique en Squeak. Le livre Squeak par l'exemple vient d'être traduit en français... (http://www.squeakbyexample.org/fr/)
Voir aussi , avec une fibre plus artistique, du côté de Processing (http://processing.org/) basé sur java et destiné à la programmation multimédia interactive.
Si on laisse de côté Atlas pour revenir aux origines, le plus intéressant dans cette copie d'écran est la croix incomplète en haut à droite de la fenêtre qui indique que la page a été modifiée et non enregistrée (à l'époque cet indicateur était spécifique au NeXT). Car le premier navigateur était aussi un éditeur... même si il n'implémentait pas le http put. C'est logique d'emblée pour Tim Berner Lee le web est un espace de lecture ET d'écriture de documents hypertextes (hypermedia plutôt).
Les plus anciens, nostalgiques des NeXT, apprécieront son explication sur le choix de la plate-forme :
I wrote the program using a NeXT computer. This had the advantage that there were some great tools available -it was a great computing environment in general. In fact, I could do in a couple of months what would take more like a year on other platforms, because on the NeXT, a lot of it was done for me already. There was an application builder to make all the menus as quickly as you could dream them up. there were all the software parts to make a wysiwyg (what you see is what you get - in other words direct manipulation of text on screen as on the printed - or browsed page) word processor. I just had to add hypertext, (by subclassing the Text object)
Le premier navigateur / éditeur a été programmé en Objective-C, une surcouche smalltalk au C, à noter que quelques années plus tard, Ward Cunningham, l'inventeur du concept du Wiki, également un programmeur Smalltalk, a redécouvert que le web était fait pour lire ET écrire.
Un petit clin d'oeil au rédacteur de la récente news sur la sortie de Squeak par l'exemple qui peu après découvrait le wiki et, dans une sortie mémorable, l'a ramené en terre francophone le 10 mai 1995 (bon anniversaire Serge !). http://web.archive.org/web/19961201150649/http://c2.com/cgi/(...)
Pour ce que j'en sais, Dokuwiki est extrêmement simple à mettre en place sans doute beaucoup plus que TWiki. Si c'est pour faire du texte simplement les deux se valent sans problème.
Comme il a été indiqué plus haut, ce qui fait la spécificité de TWiki ce sont les divers moyens de structuration de l'information (recherche, formulaire, versionning des contenus et des documents attachés, etc.) qu'il propose grâce à la richesse et à la puissance de son API au sens large (fonctions perl, directives, variables, etc.) ainsi qu'à ses plugins (environ 200)
En fait, il me semble que la difficulté principale pour celui ou celle qui installe un TWiki pour le travail collaboratif est de conserver la simplicité des principes du wiki malgré ou avec la puissance des fonctions qui sont disponibles.
Quels plugins de gestion de projet utilisez vous ?
Nous (pour un centre de culture scientifique et technique) utilisons TWiki comme moyens de faire coopérer les professionnels, les bénévoles et les partenaires des différents projets que nous menons ou auxquels nous participons. Au départ (2005), nous avons eu tendance à construire une espèce d'usine à gaz avec de nombreux formulaires, plugins, skins, etc.. Très rapidement, nous sommes revenus a l'essentiel : TWiki de base avec quelques plugins et un formulaire simplifié à l'extrême.
Pour moi ce n'est pas un inconvénient du tout. Les pages sont stockées dans des fichiers texte auxquels sont intégrés les balises TML (TWiki Markup Language), variables et directives propres à TWiki ou aux greffons. Pour la visualisation ou l'édition WYSIWYG elles sont générées à la volée en HTML. Les documents attachés aux pages sont évidemment eux aussi stockés comme fichiers dans une arborescence parallèle à celle des espaces de travail et des pages. Le tout est versionné - comme du code source - par RCS. Je pense que la force de TWiki réside dans la robustesse de son architecture.
L'objectif de cet outil n'est pas la publication web comme médiawiki où les lecteurs sont bien plus nombreux que les rédacteurs. Son orientation est le travail collaboratif :
une communauté d'usagers lecteurs & rédacteurs
de nombreux espaces de travail,
des pages dont les contenus peuvent êtres purement textuels ou comporter des formulaires ou des traitement de données assez simple à mettre en oeuvre
la possibilité de gérer l'information sur l'information (des métadonnées à la carte)
des compétences évolutives dans l'utilisation des fonctionnalités avancées par les usagers eux-mêmes
une gestion partagée des droits
etc.
L'utilisation d'un wiki en lieu place d'un groupware ou en remplacement des interminables échanges de mails et des pièce jointes est assez déroutante, et demande à remettre à plat les façons de travailler. C'est la cas, quel que soit le moteur de wiki utilisé.
Soit, Citadel veut vraiment devenir un groupware et il faut accepter de se regarder en face et de balancer certaines choses et d'investir dans un travail de redesign. Je suis personnellement prêt à détailler mes idées dans ce domaines si qqn le souhaite. Mais cela implique malheureusement de laisser tomber beaucoup de choses...
Ne pas hésiter La communauté Citadel est accueillante et me semble ouverte à toutes les suggestions pour peu qu'elles viennent de quelqu'un qui soit prêt à mettre un minimum la main à la pâte.
Les solutions de groupware ne se limitent pas à des produits dont la facilité d'utilisation n'est pas vraiment la première des qualités. La définition communément acceptée est celle d'un logiciel de travail de groupe cf http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupware.
Idem pour le Web 2.0, réduire cette notion à de l'Ajax dans des pages web au look sexy (aujourd'hui) est réductrice au possible,. Le web 2.0, pour reprendre une définition communément admise, c'est 1/ un média symétrique ou les usagers sont aussi producteurs, 2/ un certain nombres de techniques éprouvées et "redécouvertes", 3/ enfin les applis et les données disponibles en ligne. cf. par exemple Eric van der Vlist sur http://xmlfr.org/actualites/decid/051201-0001 ou http://www.deuxzero.com/ pour les débats sur le sujet.
Citadel peut parfaitement se présenter comme une solution de groupware web 2.0 ; de là a dire que c'est la solution...
Comme indiqué ici lors de la sortie de Citadel 7.0 http://linuxfr.org/2006/12/19/21788.html Webcit est maintenant traduit en français et la notion de "salons où l'on cause", regroupés en paliers, vaut bien celle de forums ou des dossiers.
Webcit est l'interface web de citadel, mais c'est aussi un client parmi d'autres . Il est tout à fait possible d'en écrire un autre dans un langage et avec un look&feel "modernes". Les spécifications sont publiques. Et ce peut être un projet parfaitement indépendant de la communauté Citadel.
Nous essayons actuellement de nettoyer le code de Webcit afin de pouvoir personnaliser l'interface avec les CSS, d'implémenter des thèmes et d'améliorer l'accessibilité. Si, il y a des volontaires...
En gros, ma principale remarque : c'est, pour l'utilisateur "normal", complètement inutilisable.
Pour ce qui concerne l'interface web. Je ne serais pas aussi dur.
Nous travaillons à améliorer le look.
Pour l'ergonomie, c'est un peu plus complexe. D'une part il y a des limites sérieuses : le calendrier, par exemple, est trop rudimentaire et assez buggé (par exemple pour l'affichage des évémenents sur plusieurs jours). Et d'autre part, on retrouve - ce n'est pas étonnant - l'origine BBS dans le fait qu'il n'y ait pas de fil de discussion. C'est assez déroutant (mais en pratique l'utilisateur "normal" justement utilise assez peu ce mode de visualisation.
(si il y a des membres de la communauté citadel intéressés sur ce site, je traduirais/retravaillerais ma "critique" et posterais un journal)
Je ne dirais pas que c'est un Exchange-Killer pour autant... Mais il permet de bricoler.
Il va à l'essentiel, et c'est ce que l'on demande.
Je m'était promi de faire un bug report, faudra que je le fasse un jour que j'aurais le temps.
Cela ne prendra pas plus de temps que de poster sur Linuxfr
- L'interface web est vilaine.
Mais c'est encore pas trop grave, le système est bien concu et ca serais très simple de la refaire.
C'est en cours. Non pas de refaire l'interface actuelle (on ne touche pas comme cela à un monument historique ;-) mais tout simplement de permettre une personnalisation - puis de réaliser des thèmes - basée sur les feuilles de style.
Une grosse partie des fonctionnalités semble d'ores et déjà tourner sous Linux, je n'ai pas eu le temps de tester plus avant.
Pour essayer, il suffit de transférer sous Linux le répertoire généré par l'installation sous Windows, puis de lancer l'image Scratch.image avec la machine virtuelle Squeak sous Linux. Pour info, l'installation de Squeak sous Linux est détaillée ici http://community.ofset.org/wiki/T%C3%A9l%C3%A9charger_Squeak
Les sources sont évidemment accessibles dans l'image à l'aide des outils classiques de Squeak.
La licence est fournie avec le paquet. La voici :
Scratch
Copyright (c) 2007 Massachusetts Institute of Technology
Scratch was developed by Lifelong Kindergarten group at the MIT Media Lab. See scratch.mit.edu.
Permission is hereby granted, free of charge, to any person obtaining a copy of this software and associated documentation and media files (the "Software"), to deal in the Software without restriction, including without limitation the rights to use, copy, modify, merge, publish, distribute, sublicense, and/or sell copies of the Software, and to permit persons to whom the Software is furnished to do so, subject to the following conditions:
The above copyright notice and this permission notice shall be included in all copies or substantial portions of the Software.
THE SOFTWARE IS PROVIDED "AS IS", WITHOUT WARRANTY OF ANY KIND, EXPRESS OR IMPLIED, INCLUDING BUT NOT LIMITED TO THE WARRANTIES OF MERCHANTABILITY, FITNESS FOR A PARTICULAR PURPOSE AND NONINFRINGEMENT. IN NO EVENT SHALL THE AUTHORS OR COPYRIGHT HOLDERS BE LIABLE FOR ANY CLAIM, DAMAGES OR OTHER LIABILITY, WHETHER IN AN ACTION OF CONTRACT, TORT OR OTHERWISE, ARISING FROM, OUT OF OR IN CONNECTION WITH THE SOFTWARE OR THE USE OR OTHER DEALINGS IN THE SOFTWARE.
# Jaillissements de l'esprit surtout
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Seymour Papert bronsonisé. Évalué à 6.
Difficile de réduire Papert à l'inventeur de Logo et qui plus est de voir dans ce dernier un langage simplifié destiné à l'apprentissage de la programmation.
Il a présenté ses idées originales, inspirées de celles de Jean Piaget, et une synthèse de ses travaux au MIT sur l'apprentissage dans un ouvrage très discuté à sa sortie Jaillissement de l'esprit. Ordinateurs et apprentissage (1981, réédité et disponible dans la collection de poche Champs chez Flammarion) traduction française de Mindstorms: Children, Computers, and Powerful Ideas (1980, Basic Books).
Il y reprend son interrogation « Should the kid program computer, or should the computer program the kid. » que Alan Kay citait déjà dans son fameux article de 1972 où il présentait le Dynabook, un projet d'ordinateur portable à usage créatif pour enfants, conduit au Xerox PARC à l'époque.
Papert constate que l'enfant apprend dès son plus jeune age, sans attendre après un dispositif didactique particulier, d'abord en interagissant constamment avec son environnement et notamment en manipulant par lui-même. Il présuppose que ce processus repose sur la médiation "d'objets pour penser avec" et suggère une collaboration constructive des enfants et des ordinateurs. C'est pour cela qu'il créé Logo et sa tortue, qui soit dit en passant permet à l'enfant de s'identifier et de (re)faire physiquement les commandes qu'il lui passe ; qu'il invente la notion de micromondes pour "explorer les pays des mathématiques et des sciences" chacun à son rythme.
Cette note de lecture de Loic Dayot donne une idée très complète de l'ouvrage.
Finalement, l'école n'ayant jamais assimilé ses propositions, il en a conclut qu'elle était de toute façon condamnée à disparaître. Prise de position radicale qui a suscité des discussions enflammées.
Pour se convaincre que l'idée de "géométrie tortue" est loin d'être idiote et triviale, lire _Turtle Geometry. The Computer as a Medium for Exploring Mathematics _ de Hal Abelson et Andrea diSessa (The MIT Press, 1986).
[^] # Re: Qu'est-ce que Webmaker ?
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche WebMakerNight#1 @MozillaParis. Évalué à 1.
Les trois outils qui composent webmaker sont accessible en suivant l'onglet "Outils" https://webmaker.org/fr/tools
Les productions peuvent êtres clonées pour êtres réutilisées. Il passer le verbiage mais l'approche pédagogique de ces trois outils me semble assez sympa.
A propos du code, c'est ici : https://wiki.mozilla.org/Webmaker/Code
[^] # Re: Scratch
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche WebMakerNight#1 @MozillaParis. Évalué à 1.
Deux autres variantes de Scratch libres sont aussi disponibles
Snap est une réimplémentation en javascript qui propose des fonctions avancées de gestion des listes et des sprites, la possibilité de définir des procédures et des fonctions. Snap est sous GNU Affero General Public License.
- SNAP! (Build Your Own Blocks)
- sources sur Github
Phratch est la reprise de Scratch 1.4 (écrit en Smalltalk) dans Pharo par Jannick Laval et des élèves de l'Ecole des Mines de Douai.
- http://www.phratch.com/
# Notational Velocity / nvALT ou org + deft sous emacs
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Improuve ton thinkflow : de Catch à EverNote. Évalué à 1.
Seulement sous OSX, sous GPL, Notational Velocity est une application de gestion de notes dont l'interface est véritablement originale.
Selon son concepteur : "C'est une tentative de soulager les blocages mentaux qui entravent la prise de notes, et de gratter le tartre des habitudes qui handicape leur récupération. La solution est par nature non conformiste."
- La recherche des notes n'est pas une action distincte. C'est même l'interface principale.
- les données peuvent-être stockées en texte plat ou en rtf (un fichier par note) ou compressées et chiffrées avant d'être enregistrées sur le disque.
- Conçue avant tout pour le clavier, la fenêtre de Notational Velocity ne comporte pas de bouton.
- Pas de "sauvegarde" manuelle : toutes les modifications prennent effet immédiatement.
- Synchronisation native avec Simplenote, ou via des fichiers avec les méthodes classiques.
Le développement de Notational Velocity semble au point mort. Cependant le fork nvALT bénéficie d'un développement dynamique et propose des fonctionnalités supplémentaires tout en gardant l'esprit de NV.
A noter aussi l'existence de Deft, un mode pour Emacs qui reprend le fonctionnement de Notational Velocity et notamment son système de recherche. Et évidemment, Deft est utilisable conjointement avec org-mode.
# donnez-nous envie
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Benevolus. Évalué à 2.
Félicitations pour l'initiative, le projet est intéressant et devrait combler un vide.
Cependant, il est difficile de s'en faire une idée précise, le README est ... minimaliste, pas de site web ou de documentation même embryonnaires. Un site de démo quelque part ? Ai-je mal cherché ?
Je comprends bien que c'est probablement aussi pour cela que vous lancez votre appel, mais il faudrait fournir d'emblée un chouïa plus d'informations.
[^] # Re: Wiki ?
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Zim, wiki personnel de bureau, prise de notes, et peut-être le café.. Évalué à 1.
entièrement d'accord
Un wiki est d'abord un outil de coopération ou de collaboration qui repose sur les technologies du web. Le versionning est une fonctionnalité essentielle pour motiver les usagers à participer (rien n'est irréparable) et faire face au vandalisme (retour à la version d'avant).
Évidemment, rien n'empêche de l'utiliser comme bloc-note personnel.
Vous ne manquerez pas de remarquer d'ailleurs qu'une partie de la documentation en ligne de Zim repose sur ... Dokuwiki
# Foswiki + PublishPlugin
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au message Cherche Wiki avec outils de modération. Évalué à 0.
Il me semble que Foswiki répondrait au cahier des charges : libre (GPL), écrit en perl, tourne avec Apache, les pages sont des fichiers texte versionnés avec RCS, idem pour les fichiers externes (attachés aux pages).
http://foswiki.org
Par rapport à la demande d'export et de validation de la doc, l'extension PublishPlugin ferait probablement l'affaire : http://foswiki.org/Extensions/PublishPlugin. Elle permet de générer, à la demande des pages statiques, ou un pdf, ou des archives zip ou tgz.
L'installation d'un foswiki est moins simple que celle de foswiki, l'installation du plugin ne pose pas de problème particulier (elle s'effectue avec l'interface web de gestion de la plate-forme).
# The Visual Understanding Environment (VUE)
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au message Desktop Wiki ++ . Évalué à 1.
Je suis tombé sur The Visual Understanding Environment (VUE) développé par l'université de Tufts.
Annoncé comme open source, écrit en Java, il est multi-plateformes.
Sans vraiment pousser très loin mes tests n'y produire grand chose, je m'y suis intéressé comme une alternative aux outils classiques de présentation genre Powepoint, Impress ou d'autres.
J'ai trouvé deux fonctions vraiment originales :
- récupération et traitement de données structurées (par exemple des relations décrites en CSV), des notices ou des images en ligne ;
- possibilité de définir des chemins qui génèrent semi-automatiquement autant de présentations
Bref, gros potentiel en matière de médiation, pour une utilisation personnelle je ne sais pas trop.
[^] # Re: raid 1
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au message Conseil d'achat d'un serveur. Évalué à 2.
justement je récupère une des machines actuelles pour les backups
[^] # Re: Si vous désirez poser une question, merci d'utiliser les forums.
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au message Conseil d'achat d'un serveur. Évalué à 1.
[^] # Re: Les trolls pleurnicheurs sont de sortie
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Un peu de futur pour les traitements de texte. Évalué à 2.
http://dlc.sun.com/pdf/802-2109/802-2109.pdf
[^] # Re: Dans la vraie vie...
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Email Standards : les standards du web dans l'email ??!?. Évalué à 1.
http://www.campaignmonitor.com/css/
[^] # Re: Outil de partage de documents + versionning
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Sortie de Maarch Framework 3.0. Évalué à 2.
http://twiki.org
http://foswwiki.org fork récent du premier
http://www.xwiki.org/ à vérifier...
et d'autres sans doute, cf sur wikimatrix , la recherche sur le seul critère "Media revisions" retourne près de 50 wikis http://www.wikimatrix.org/search.php?sid=2700
[^] # Re: Migration
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Sortie de la version initiale de Foswiki - fork de TWiki. Évalué à 3.
Je n'ai pas d'expérience véritablement d'une migration. Il existe des convertisseurs comme Universal Wiki Converter par exemple du côté de Confluence. En pratique, j'ai l'impression que chacun développe des filtres d'importation plus ou moins efficaces.
La syntaxe wiki est l'un des aspects mais pour ce genre de moteurs orienté principalement vers des utilisations en intranet (voir aussi XWiki, Confluence, Socialtext Open, etc) le problème principal réside dans doute dans l'incompatibilité quasi systématique des langages et des macros spécifiques destinés à développer des micro-applications dans les pages et les espaces de travail ; idem pour les extensions et les métadonnées. Voir par exemple la liste des macros de foswiki ( http://foswiki.org/System ), de son côté xWiki( utilise Velocity propre au monde Java, etc.
Ce n'est pas trivial donc surtout avec un grand nombre de pages et de documents structurées propres à ce type d'outils.
[^] # Re: Plate-formes collaboratives d'entreprise
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche MindTouch Deki, une plate-forme collaborative. Évalué à 2.
TWiki est d'un accès facile : partage en espaces de travail, gestion des droits, documents attachés aux pages, versionning des pages et des fichiers attachés, thèmes par espace ou par usager, une floppée de plugins disponibles, etc. Il est d'une robustesse à toute épreuve et d'une flexibilité étonnante, on peut construire des sortes de micro-applications à la carte dans les pages.
J'ai rédigé un billet à son sujet en début d'année http://linuxfr.org/2008/02/09/23669.html
# Les Etoys de Squeak ou Processing
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal [cherche] outils de réalisation d'animation 2D. Évalué à 3.
Squeak (http://squeak.org/) et plus précisément les Etoys, un système de programmation graphique qui permet des modélisations / simulations aisées et évolutives. Il existe une abondante documentation sur le wiki francophone (http://community.ofset.org/index.php/Squeak_Education). évidemment, il est aussi possible de manipuler directement des objets graphique en Squeak. Le livre Squeak par l'exemple vient d'être traduit en français... (http://www.squeakbyexample.org/fr/)
Voir aussi , avec une fibre plus artistique, du côté de Processing (http://processing.org/) basé sur java et destiné à la programmation multimédia interactive.
# WorldWideWeb : HyperMedia Browser/Editor
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Le quinzième anniversaire et Atlas. Évalué à 10.
Voir ses explications dans cette page personnelle relative au "first web browser - or browser-editor rather -" :
http://www.w3.org/People/Berners-Lee/WorldWideWeb.html
et cette autre copie d'écran :
http://www.w3.org/MarkUp/tims_editor
Les plus anciens, nostalgiques des NeXT, apprécieront son explication sur le choix de la plate-forme :
I wrote the program using a NeXT computer. This had the advantage that there were some great tools available -it was a great computing environment in general. In fact, I could do in a couple of months what would take more like a year on other platforms, because on the NeXT, a lot of it was done for me already. There was an application builder to make all the menus as quickly as you could dream them up. there were all the software parts to make a wysiwyg (what you see is what you get - in other words direct manipulation of text on screen as on the printed - or browsed page) word processor. I just had to add hypertext, (by subclassing the Text object)
Le premier navigateur / éditeur a été programmé en Objective-C, une surcouche smalltalk au C, à noter que quelques années plus tard, Ward Cunningham, l'inventeur du concept du Wiki, également un programmeur Smalltalk, a redécouvert que le web était fait pour lire ET écrire.
Un petit clin d'oeil au rédacteur de la récente news sur la sortie de Squeak par l'exemple qui peu après découvrait le wiki et, dans une sortie mémorable, l'a ramené en terre francophone le 10 mai 1995 (bon anniversaire Serge !).
http://web.archive.org/web/19961201150649/http://c2.com/cgi/(...)
[^] # Re: mieux que dokuwiki ?
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche TWiki 4.2. Évalué à 2.
Comme il a été indiqué plus haut, ce qui fait la spécificité de TWiki ce sont les divers moyens de structuration de l'information (recherche, formulaire, versionning des contenus et des documents attachés, etc.) qu'il propose grâce à la richesse et à la puissance de son API au sens large (fonctions perl, directives, variables, etc.) ainsi qu'à ses plugins (environ 200)
[^] # Re: Bon et loyaux services
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche TWiki 4.2. Évalué à 1.
Quels plugins de gestion de projet utilisez vous ?
Nous (pour un centre de culture scientifique et technique) utilisons TWiki comme moyens de faire coopérer les professionnels, les bénévoles et les partenaires des différents projets que nous menons ou auxquels nous participons. Au départ (2005), nous avons eu tendance à construire une espèce d'usine à gaz avec de nombreux formulaires, plugins, skins, etc.. Très rapidement, nous sommes revenus a l'essentiel : TWiki de base avec quelques plugins et un formulaire simplifié à l'extrême.
[^] # Re: Bon et loyaux services
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche TWiki 4.2. Évalué à 3.
L'objectif de cet outil n'est pas la publication web comme médiawiki où les lecteurs sont bien plus nombreux que les rédacteurs. Son orientation est le travail collaboratif :
une communauté d'usagers lecteurs & rédacteurs
de nombreux espaces de travail,
des pages dont les contenus peuvent êtres purement textuels ou comporter des formulaires ou des traitement de données assez simple à mettre en oeuvre
la possibilité de gérer l'information sur l'information (des métadonnées à la carte)
des compétences évolutives dans l'utilisation des fonctionnalités avancées par les usagers eux-mêmes
une gestion partagée des droits
etc.
L'utilisation d'un wiki en lieu place d'un groupware ou en remplacement des interminables échanges de mails et des pièce jointes est assez déroutante, et demande à remettre à plat les façons de travailler. C'est la cas, quel que soit le moteur de wiki utilisé.
# Critiquer c'est bien. Faire c'est bien aussi.
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Test du serveur citadel. Évalué à 2.
Ne pas hésiter La communauté Citadel est accueillante et me semble ouverte à toutes les suggestions pour peu qu'elles viennent de quelqu'un qui soit prêt à mettre un minimum la main à la pâte.
Les solutions de groupware ne se limitent pas à des produits dont la facilité d'utilisation n'est pas vraiment la première des qualités. La définition communément acceptée est celle d'un logiciel de travail de groupe cf http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupware.
Idem pour le Web 2.0, réduire cette notion à de l'Ajax dans des pages web au look sexy (aujourd'hui) est réductrice au possible,. Le web 2.0, pour reprendre une définition communément admise, c'est 1/ un média symétrique ou les usagers sont aussi producteurs, 2/ un certain nombres de techniques éprouvées et "redécouvertes", 3/ enfin les applis et les données disponibles en ligne. cf. par exemple Eric van der Vlist sur http://xmlfr.org/actualites/decid/051201-0001 ou http://www.deuxzero.com/ pour les débats sur le sujet.
Citadel peut parfaitement se présenter comme une solution de groupware web 2.0 ; de là a dire que c'est la solution...
Comme indiqué ici lors de la sortie de Citadel 7.0 http://linuxfr.org/2006/12/19/21788.html Webcit est maintenant traduit en français et la notion de "salons où l'on cause", regroupés en paliers, vaut bien celle de forums ou des dossiers.
Webcit est l'interface web de citadel, mais c'est aussi un client parmi d'autres . Il est tout à fait possible d'en écrire un autre dans un langage et avec un look&feel "modernes". Les spécifications sont publiques. Et ce peut être un projet parfaitement indépendant de la communauté Citadel.
Nous essayons actuellement de nettoyer le code de Webcit afin de pouvoir personnaliser l'interface avec les CSS, d'implémenter des thèmes et d'améliorer l'accessibilité. Si, il y a des volontaires...
[^] # Re: comparaison avec citadel ?
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Sortie de Zimbra 4.5. Évalué à 2.
Pour ce qui concerne l'interface web. Je ne serais pas aussi dur.
Nous travaillons à améliorer le look.
Pour l'ergonomie, c'est un peu plus complexe. D'une part il y a des limites sérieuses : le calendrier, par exemple, est trop rudimentaire et assez buggé (par exemple pour l'affichage des évémenents sur plusieurs jours). Et d'autre part, on retrouve - ce n'est pas étonnant - l'origine BBS dans le fait qu'il n'y ait pas de fil de discussion. C'est assez déroutant (mais en pratique l'utilisateur "normal" justement utilise assez peu ce mode de visualisation.
Ce serait vraiment bienvenue
[^] # Re: comparaison avec citadel ?
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse au journal Sortie de Zimbra 4.5. Évalué à 1.
Il va à l'essentiel, et c'est ce que l'on demande.
Cela ne prendra pas plus de temps que de poster sur Linuxfr
C'est en cours. Non pas de refaire l'interface actuelle (on ne touche pas comme cela à un monument historique ;-) mais tout simplement de permettre une personnalisation - puis de réaliser des thèmes - basée sur les feuilles de style.
[^] # Re: Argh !
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Première version de Scratch : logiciel libre d'animation multimédia. Évalué à 7.
Pour essayer, il suffit de transférer sous Linux le répertoire généré par l'installation sous Windows, puis de lancer l'image Scratch.image avec la machine virtuelle Squeak sous Linux. Pour info, l'installation de Squeak sous Linux est détaillée ici http://community.ofset.org/wiki/T%C3%A9l%C3%A9charger_Squeak
Les sources sont évidemment accessibles dans l'image à l'aide des outils classiques de Squeak.
La licence est fournie avec le paquet. La voici :
Scratch
Copyright (c) 2007 Massachusetts Institute of Technology
Scratch was developed by Lifelong Kindergarten group at the MIT Media Lab. See scratch.mit.edu.
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[^] # Re: Argh !
Posté par Thierry Pasquier (site web personnel, Mastodon) . En réponse à la dépêche Première version de Scratch : logiciel libre d'animation multimédia. Évalué à 3.