Le pacte des loups

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5
fév.
2001
Cinema
Une belle affiche, de bons acteurs, un cinéaste qui a du métier, je rêvais à un très bon film.

Effectivement, l'ensemble est de bon aloi : des costumes superbes, des acteurs qui jouent bien, des images à couper le souffle, une ambiance d'enfer, bref un bon film. Mais ... (il y a toujours un mais)
Un réalisateur qui a trop voulu en faire : les bruitage sont accentués, et deviennent même désagréable à force, des vilains déguisés en jenesaisquoi à la mad max. On crois rêver. Et le pire, ce sont des combats alliant capoueira et kung fu dans le XVIIIe français. C'est l'hallucination complète. Pas une seule arme blanche normale utilisée, excepté quelques bâtons maniés à la Robin des bois (version Kevin Kostner) et un couteau de taille normale.

Merde ! Je ne suis pas allé voir Jackie Chan et les loups garous !

En résumé : un bon film qui n'est pas très bon pour 10% du film, mais ces 10% gâchent tout.

Dommage.

Toutefois, tout ceux qui ont appréciés les combats dans Matrix devraient ne pas être choqué : c'est du même acabit.

Publicité déguisée ?

Posté par  . Modéré par Val.
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19
jan.
2001
Linux
Dans le dernier film de weber "le placard", on peut voir clairement sur une étagère, dans une scene entre la mère et le fils, le livre "linux in a nutshell". Un peu de pub pour notre OS préféré ???

Ps: le film est vraiment marrant.

Note du modérateur: quelqu'un pour confirmer ?

Liste de préférences 1

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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16
jan.
2001
Cinema
Comme j'ai pas trop le temps et la flemme d'écrire une chronique pour les films qui suivent je les ai classés par ordre de préférence.
1. Mon beau père et moi (Une vraie tranche de rigolade, un régal)
2. Duos d'un jour (Le karaoké, une manière d'être la star d'un instant. Une quête de la liberté)
4. La confusion des genres (attention c'est un peu spécial)
3. Les gens en maillot ne sont pas forcément superficiels (A la recherche de l'amour pendant les vacances)
5. Escrocs mais pas trop (Je trouve Woody Allen parfois énervant comme acteur avec sa manière de gesticuler. Cependant je trouve ce film très bien travaillé aux niveaux des décors et du dialogue)

Death to billou?

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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9
jan.
2001
Cinema
Ca y'est, un nouveau film a l'US va sortir sur les écrans: Antitrust va raconter les déboires d'un gentil développeur contre une méchante multinationale pleine de millions à ne plus savoir qu'en faire. Enfin un film pro logiciel libre =)
En tout cas, plus manichéencomme titre, y'a pas...
Note du modérateur: Je ne vois pas pourquoi ca serait pro Logiciel Libre, mais bon.

GNOME au cinéma...

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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5
jan.
2001
Gnome
Un nouveau film, Antitrust, sort au cinéma le 12 janvier avec en guest star GNOME !!
Dans les specials features du site web du film vous trouverez une interview de John Hall et de Miguel de Icaza.

Retrouvez GNOME dans les captures d'écrans ;))

Incassable

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3
jan.
2001
Cinema
Voilà un bon film pour terminer l'année. Le scénario est original. Ce film est à comme trame de fond la recherche de soi. Il est teinté par l'univers du Comic. Pour une fois je trouve que le coté superhéros n'est pas trop mis en avant comme dans certains des films de Bruce Willis. Comme dans le 6ème sens, on retrouve la patte de M.Night Shyamalan.

A l'aube du 6eme jour

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27
déc.
2000
Cinema
Bon, pour les moines tibétains qui connaitraient pas l'histoire, c'est dans un futur proche (plus proche que vous ne le croyez !), un gars qui rentre chez lui après une journée de boulot, et qui trouve un autre lui en train de féter son anniversaire.

L'histoire est assez intéressante, avec quelques petites pointes d'humour plus ou moins noir, et on a même droit à quelques scènes philosophiques sur le clonage humain (je vais pas lancer le débat ici, mais je suis sur qu'il y aura des volontaires pour faire ca dans les commentaires :-). Je précise que les auteurs ont réussi à bien défendre les 2 camps, en apportant à chaque fois les arguments qui touchent, mais on sent quand même un peu trop à mon gout les arguments religieux pour les opposants au clonage.

On regrettera le manque d'originalité dans l'action, la plupart des 'feintes' étant tout à fait prévisibles, mais bon, y'a des feintes, c'est déjà ca, et l'action elle même est "bien" (bon, ca vaut pas Matrix non plus, mais c'est bien).

Pour les fans de SF, films d'anticipation, etc..., le monde est cohérent, et la plupart des "gadgets futuristes" se trouvent déjà dans les salons HiTech ou dans les news de /.
(frigo qui passe les commandes, voiture qui conduit toute seule, etc....).


Bon........
Reste une grande question à propos de la fin.........
Comme y'en a surement qui vont lire la news avant d'avoir vu le film, je pose pas la question la, je vais attendre et la passer en commentaire, merci de m'apporter vos avis éclairés.

En attendant, bon film !

Eureka

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20
déc.
2000
Cinema
C'est l'histoire d'un bus qui roulait, roulait, .... etc. Tout ca pour ne pas vous raconter l'histoire de ce road movie japonnais de Aoyama Shinji.
L'histoire filmée sans couleur (mais pas tout à fait en noir et blanc), se deroule en province (pas à Tokyo mais à Kyushu) et raconte une histoire toute simple sur des personnages tout simples.Rien de bien fabuleux donc sur l'histoire mais une mise en scene et des images superbes qui donnent envie de prendre des photos dans la salle de ciné.
Donc tout ca pour dire que ce petit film (Durée: 3h37) est bien mais quand même pas "très bien".

Aniki, mon frère

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19
déc.
2000
Cinema
Kitano revient et pas comme dans "L'été de Kikujiro" où le style était plutôt gentil et pour tout public. Dans "Aniki, mon frère" (mélange de comédie et d'ultra violence) Takeshi Kitano oublie son coté romantique ou ses phases pleine d'émotions pour mettre pas mal de violence dans un film qui parle de la Mafia japonnaise dans le milieu de Los Angeles.
Résultat un film qu'on ne peux pas trop comparer avec ses précédents films (il est passé d'un extrême à l'autre par rapport à son précédent film) mais qui reste de très bonne qualité et un jeu d'acteur de Kitano comme d'habitude formidable.
Pour ma part c'est un très bon film (pour son premier film hors du japon) qu'il vaut mieux aller voir avec ses potes (et non pas avec ses copines ?)

Escrot mais pas trop

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18
déc.
2000
Cinema
Le dernier film de Woody Allen raconte l'histoire d'un couple New-Yorkais qui se trouve propulsé dans le gotta New-Yorkai après avoir crée la plus grosse entreprise de cookie du monde.

Comme d'habitude le scenario de Woody est géniale (donc il ne peut etre résumé).

Ce film est une critique de la haute société New-Yorkaise, une reflexion sur le thème de l'argent et sur les relaions entre les personnes et l'argent, et un brun de critique sur la télévision mass-média.

Le film est vraiment tordant de rire surtout lorsqu'on a droit à une présentaiotn à la CNN de la societe ou Woody Allen est le PDG.
Ainsi vous saurez ce qui se passe pendant les conseils d'administrations des grandes sociétés (vraiment délirant)

Ce film est donc une véritable petite perle est je vous le conseille vivement.

Il repondra surement à une de vos questions existencielles :
Pourquoi y a t'il des pub de cookie dans play-boy?

Chicken Run

Posté par  . Modéré par I P.
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14
déc.
2000
Cinema
Voici le dernier film d'animations sorti des studios DreamWorks. Le thème central est la liberté assortie de la survie et de l'entraide. Il met en scène une colonie de poules enfermées dans un camp de concentration et obligées de pondre sous peine de mort. En effet Mrs Tweedy qui est trés à cheval sur la rentabilité a le rôle de chef, et son mari celui de gardien aidé par 2 gros mollosses. Ginger la meneuse, avec l'aide d'une amie va déployer une imagination hors du commun pour construire des plans d'évasions dont les premiers sont des fiascos. L'arrivée d'un dénommé Rocky va bouleverser la vie de cette petite colonie.
Je suis admiratif devant le travail réalisé. Malgré quelques moments de fous rires ce film m'a déplu par les sujets traités qui sont graves et qui n'ont pas être mélangés avec une technique qui adoucit l'image:
- l'exploitation humaine et l'aliénation des autres.
- Ce que j'appellerai du féminisme (En effet les rôles de pouvoirs sont joués des personnages féminins et les rares personnages masculins sont gardien bête, vendeur invétéré, menteur vantard et radoteur ). Autant je trouve cela bien dans des films comme "Girlfight" ou "la squale" qui sont trés bien au passage.
- Les clichés américains: le mythe du héros volant (superbe mâle costaud comme superman), un vieillard anglais un peu sénile (représentant le vieux continent qu'est l'Europe), la productivité, ...
Le point positif et que cela fera peut-être partie des références des enfants qui en auront une vision autre que la mienne. Les 2 clins d'oeils que j'ai envie de faire sont à la série Papa Schultz (pour la liberté d'actions à l'intérieur du camp) et aux Mystérieuses Cités d'Or (pour la préparation d'envol de l'oiseau salvateur lorsqu'il déploit ses ailes). N'ayant pas vu Wallace et Gromit, je ne peut pas faire de comparaison intéressante.

Antilles sur Seine

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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14
déc.
2000
Cinema
C'est l'histoire d'une famille antillaise dont la femme est capturée pour faire pression sur son mari, maire de l'île Marie Galante. Le père et ses 2 fils se rendent donc à la capitale où avec l'aide de la communauté antillaise ils vont réussir à contre-carrer les malfaiteurs.
La comédie française prend des couleurs et ca fait du bien en ce début d'hiver. Ce film est bourré de clins d'oeils et de clichés. Même si ce n'est pas toujours très fin je me suis bien marré. La satire rondement menée dessine une caricature parfois marquée mais il y toujours un fond de vérité.
Les enseignements que ce film me rappelle sont la solidarité (Le groupe est plus fort que la somme de ces individus), la méfiance (contre la trahison et les arnaques) et la bonne humeur (percevoir les choses de manière plus positive).
Aux amateurs de détails, chercher Mario Van Peebles dans les personnages ainsi que les 4 ou 5 Pascal Légitimus qui se fondent dans le décor.

Billy Elliot

Posté par  . Modéré par Fabien Penso.
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13
déc.
2000
Cinema
Romain (rbuthigieg@free.fr) a posté l'avis suivant sur fr.rec.cinema.discussion. Je me permets avec son accord de le publier ici.

"Tu vois, Tuco, en 2000, le cinéma britannique se divise en deux catégories : les films pour djeunz avec XTC, LSD, Techno dont Trainspotting reste probablement l'initiateur (du moins dans sa forme actuelle), et les films "sociaux" - souviens-toi Stephen Frears dans les années 80." - Clint Eastwoord dans "Le bon, la brute, et le cinéma britannique".

Dans les films "sociaux", les plus gros succès anglais (en terme d'exportation) sont dû à un sous-genre : la bleuette social comme "Brassed Off". Règlement de compte à OK Coral, ces films dénoncent dans l'aboslu le "régime tatcherien" des années 80, à l'origine de la chute économique du pays (notamment la fermeture des mines de charbons). Dire que Tatcher a traumatisé les Royaumes-Unis serait en-dessous de la réalité.

"Billy Elliot" n'ai pas un ovni dans le cinéma britannique : il appartient définitivement à cette catégorie (même si son argument principal tient plus du conte de fée que du message social).

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