Lien Le superordinateur de l’ISS de retour sur terre pour un examen


Rencontre avec un code de calcul scientifique open-source - écrit en Python - qui tente de rivaliser avec du C++ sur des supercalculateurs, spectralDNS!
La publication initiale : https://arxiv.org/pdf/1602.03638v1.pdf
Une seconde publication : https://arxiv.org/pdf/1607.00850.pdf
Une publication plus récente : https://arxiv.org/pdf/1701.03787v1.pdf
Le dépôt GitHub : https://github.com/spectralDNS/spectralDNS
Je ne sais pas quelle est votre première réaction. Moi j'y croyais pas trop. Puis j'ai potassé les articles, j'ai fait quelques tests avec le code, j'ai contacté l'auteur principal, et (…)
Salutations,
Je ne pense pas avoir lu un journal ou une dépêche sur le sujet (si c’est pas le cas, je m’excuse), donc je vais le partager avec vous et faire quelques liens supplémentaires en rapport.
Cet article souligne l’importance que donne Google à l’ordinateur quantique en cherchant à démontrer qu’il est bien au‐dessus des performances des meilleurs supercalculateurs.
Pour cela, Google veut mettre en place une puce de 49 qubits pour parvenir à ses fins.
Une des premières (…)

Bonjour Nal,
La société d'Intelligence Artificielle ouverte OpenAI reçoit en cadeau de Nvidia le premier super ordinateur "in a box" dédié à l'IA (je suppose que la plupart des super ordinateurs le sont).
Les détails (en Anglais) sur le blog de Nvidia.
Le quarante‐septième Top 500 des supercalculateurs mondiaux est sorti en juin 2016.
Rappelons que le Top 500 se base sur une soumission volontaire (de nombreuses machines puissantes mais classifiées, par exemple, ne participent pas à la course) et sur un comparateur de performances spécifique extrêmement parallélisable, le code LINPACK, qui concerne la résolution de systèmes d’équations linéaires.
La deuxième partie de la dépêche revient sur ce classement et aborde une partie des commentaires de la page d’annonce.

Un petit journal bookmark parce que j'ai beau chercher, j'ai rien à ajouter à ce lien : http://huet.blog.lemonde.fr/2016/06/28/supercalculateurs-la-chine-creuse-lecart/ qui pourrait tout à fait être une dépêche d'ici.
Alors que l'Ecole Centrale de Paris héberge les données sensibles de ses étudiants par une société américaine, le Département de la défense US fait le contraire : Air Force Research Laboratory vient d'acquérir un supercalculateur SGI qui fonctionne avec une version Européenne de Linux :
SGI
On pourrait se demander si cette société ne va pas transmettre à l'Union Européenne des données confidentielles US notamment sur les recherches aérospatiales.
Encore une victoire pour Linux, encore une victoire pour l'Europe !
Un supercomputer petaflops est en cours de mise au point par SGI pour le département de la défense US. Ce sera l'un des 10 ordinateurs les plus puissants au mondE.
Linux a été choisi, ce qui n'est pas une surprise, mise à part que l'OS ne sera pas américain.
Architecture Haswell, processeurs Xeon : la bête aura une puissance de calcul maximale de 4,5 petaflops.
Quand je regarde les ordinateurs de compétition que nous utilisons aujourd’hui et ceux avec lesquels j’ai découvert l’informatique, j’ai l’impression de voir l’évolution de la vie sur terre — qui a commencé il y a environ 3,5 milliards d’années avec l’apparition des premières bactéries, pour arriver jusqu’à l’homme plus ou moins évolué que nous sommes aujourd’hui — ramenée à une soixaine d’années si l’on part du transistor jusqu’aux processeurs les plus avancés d’aujourd’hui, parmi lesquels le processeur MPPA MANYCORE de Kalray.
Le quarante‐et‐unième Top 500 des super‐calculateurs mondiaux est sorti aujourd’hui à l’occasion de l’International Supercomputing Conference qui a lieu à Hambourg en Allemagne.
Rappelons que le Top 500 se base sur une soumission volontaire (de nombreuses machines puissantes mais classifiées ne participent pas à la course) et sur un comparateur de performances spécifique extrêmement parallélisable (le code Linpack qui concerne la résolution de systèmes d’équations linéaires).
L’analyse dans la suite de la dépêche.
Le quarantième Top 500 des supercalculateurs mondiaux est sorti aujourd’hui à l’occasion de la conférence Supercomputing 2012 qui a lieu à Salt Lake City aux États‐Unis.
Rappelons que le Top 500 se base sur une soumission volontaire (de nombreuses machines, puissantes mais classifiées ne participent pas à la course) et sur un comparateur spécifique de performances extrêmement parallélisable (le code Linpack qui concerne la résolution de systèmes d’équations linéaires).
L’analyse dans la suite de la dépêche…
Le trente‐neuvième Top 500 des super‐calculateurs mondiaux est sorti aujourd’hui à l’occasion de l’« International Supercomputing Conference » qui a lieu à Hambourg en Allemagne.
Rappelons que le Top 500 se base sur une soumission volontaire (de nombreuses machines puissantes mais classifiées ne participent pas à la course) et sur un comparateur de performances spécifique extrêmement parallélisable (le code Linpack qui concerne la résolution de systèmes d’équations linéaires).
L’analyse dans la suite de la dépêche.
Le trente‐huitième Top 500 des supercalculateurs mondiaux est sorti aujourd’hui à l’occasion de la conférence Supercomputing 2011 qui a lieu à Seattle aux États‐Unis.
Rappelons que le Top 500 se base sur une soumission volontaire (de nombreuses machines puissantes mais classifiées ne participent pas à la course) et sur un comparateur spécifique de performances extrêmement parallélisable (le code Linpack qui concerne la résolution de systèmes d’équations linéaires).
L’analyse dans la suite de la dépêche…
Le supercalculateur Sequoia (prévu pour être le plus puissant supercalculateur lors de sa sortie) ne fera pas que battre des records de FLOPS, il utilisera aussi des processeurs BlueGene/Q d’IBM, les premiers processeurs commerciaux à utiliser une mémoire transactionnelle matérielle. Le processeur développé par Sun et annulé avec le rachat par Oracle, aurait également dû le prendre en charge.
C’est l’occasion d’expliquer ce qu’est la mémoire transactionnelle : une technique peu connue car elle pose des problèmes de performance lorsque plusieurs processus ou fils d’exécution (threads) doivent accéder à une valeur partagée.
N. D. A. : Merci à Nÿco, NeoX et Michel Barret pour leur aide lors de la rédaction de cette dépêche.