Benjamin Lannoy a écrit 245 commentaires

  • # Ceci explique en partie cela

    Posté par  . En réponse au journal Voyages SNCF, on dirait que nous sommes seuls. Évalué à 10.

    « Les internautes se sont prononcés à partir d'une liste de sites définie par Médiamétrie//NetRatings et la Fevad à partir des résultats d'audience des sites et du baromètre annuel des comportements d'achats des internautes. »

    Le site voyages-sncf.com étant le seul capable de délivrer des billets de train, ça biaise forcément légèrement les statistiques par le « très léger » manque de concurrence dans le domaine spécifique du train. D'où une capacité juste un tout petit peu accrue sur les bords à happer les utilisateurs plus facilement vers les services annexes que le site propose (locations de voiture, de chambres d'hotels, de places d'avion, etc.).

    Enfin bon, moi je dis ça…
  • [^] # Re: Réponse de Kevin, 16 ans

    Posté par  . En réponse au journal Ou télécharger Windows ?!¿?!¿. Évalué à 4.

    On est tous le Kévin de quelqu'un d'autre.
  • # Inutile…

    Posté par  . En réponse au journal De la musique expérimentale en ligne de commande. Évalué à 1.

    … donc indispensable ! (?)
  • # J'en suis certain !

    Posté par  . En réponse au journal DDOS romantique. Évalué à 8.

    Si je comprenais le sens de ce journal, je le trouverais génial.
  • # Apt-mirror

    Posté par  . En réponse au journal Mirroir Local. Évalué à 1.

    Ça fait un moment que je n'utilise plus Debian, et je n'ai jamais utilisé cet outil en particulier, mais apt-mirror n'est-il pas justement dédié à ce genre de chose ?
  • [^] # Re: A quand...

    Posté par  . En réponse au journal Gimp 2.6 est de sortie. Évalué à 2.

    Si c'est sa patiente, c'est lui le médecin.

    Question à réponse récursive ?
  • [^] # Re: Bon bon bon…

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 6.

    Près d'une décharge, je ne sais pas trop, par contre j'ai entendu parler d'un apiculteur qui avait des ruches du côté d'Uzès (sans y habiter) et qui a mis un petit moment à comprendre pourquoi son miel avait une légère teinte rose : il ne se trouvait pas loin de l'usine Haribo. :D
  • [^] # Re: Bon bon bon…

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 7.

    Les ruches sont toujours ouvertes et leurs formats sont standardisés, en tout cas.
  • [^] # Re: Bon bon bon…

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 3.

    Désolé, mais je vais devoir te contredire et aller exactement dans le même sens que Raphaël. :p

    Une règle de base : une ruche, ça se déplace de plus de trois kilomètres au strict minimum, ou bien de moins de trente centimètres.
    En dessous des trois kilomètres, toutes les abeilles risquent en effet de retourner à l'emplacement de leur ancienne ruche, et au dessus de trente centimètres, ça risque de créer des conflits et quelques pertes avec les abeilles qui vont tenter de retrouver leurs ruches (et se tromper).

    Après… En fonction de la saison, de la miellée, du temps, etc., ce problème peut être gommé, mais il existe quand-même.

    En tout état de cause, il vaut mieux éviter, et en tout cas surtout pas en ce moment où les conditions s'y prêtent mal. Au printemps, ça doit être faisable (moins de deux mètres) si elles sont en bonne santé toutes les deux, mais très franchement, je ne le ferais pas moi-même.


    Et… sinon oui, l'exposition au soleil peut jouer, surtout aux abords de l'hiver (fin de l'automne, début du printemps). Pas forcément énormément, mais j'ai plusieurs fois pu constater des disparités de production sur un même rucher entre les colonies à l'ombre ou au soleil.
    Prends aussi garde un peu à l'exposition au vent.

    Et fait aussi attention à ce que les planchers soient inclinés vers le bas afin que l'eau de pluie ne stagne pas dans le fond de la ruche.

    Si tu peux les surréveler sur des pneus ou des parpaings, c'est bien aussi. Même si c'est un luxe que je ne peux pas toujours me permettre sur tous les ruchers, en hiver, elles sont systématiquement à une vingtaine de centimètres au dessus du sol.
  • [^] # Re: Solution simple

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 3.

    Ça m'a bien fait rire, mais le fait est que la question risque de se poser. :p
  • [^] # Re: Bon bon bon…

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 10.

    Hihi.

    C'est assez difficile à dire comme ça.

    En tout cas, je vais commencer à te rassurer en partie : tout n'est pas perdu, loin de là.

    J'hivernais moi-même mes ruches dans le Var jusqu'à cette année (entre Cogolin et le Lavandou, essentiellement dans la forêt des Maures).
    Hors, comme tu dois le savoir, l'hiver arrive tard là en bas. C'est d'ailleurs pour ça qu'on les y emmène. ;)

    Bref… Suivant où sont tes ruches, après la période sèche de l'été, d'ici quelques courtes semaines, devraient arriver la miellée de lierre et de bruyère callune, ainsi que d'autres petites fleurs moins attractives. Ensuite, devrait (avec un peu de chance) succéder la miellée d'arbousier. Ces miellées sont normalement suffisantes pour remonter les colonies éprouvées par l'été dans le Var. Avec plus de chance, il est même possible de faire une petite production de callune ou d'arbousier. Chose que je te déconseille d'ailleurs :
    * le miel de callune est dit thixotropique (thixotropie), ce qui le rend difficile à extraire. Par ailleurs, son degré d'humidité est naturellement élevé (environ 21%), ce qui le rend plus fragile à la fermentation et donc moins facilement conservable.
    * le miel de lierre cristallise dans les cadres, ce qui le rend… juste impossible à extraire.
    * le miel d'arbousier pourrait être intérressant. Mais son goût est tellement… particulier que beaucoup de gens n'aiment pas du tout. Donc avant d'en délester ta ruche, assures-toi que tu aimes.
    * et si tu découvres, évite de prendre des « risques » (tous relatifs) cette année en leur piquant d'éventuelles provisions.
    En deux mots : il est normal que tes ruches soient moins jolies en ce moment qu'elles ne l'étaient à a fin du printemps, mais ça s'améliore à l'automne.

    Mais même malgré ça, qu'il y ait plusieurs cadres vides dans ta seconde ruche me paraît en effet un peu inquiétant, même s'il faudrait relativiser ça en fonction du modèle de la ruche, que tu ne me dis pas : Dadant ? Langstroth ? Autre chose ? En apiculture sédentaire, je te conseillerais les Dadant, mais je me doute que tu ne changera pas deux ruches que possèdes déjà.

    En tout état de cause, il m'est impossible de diagnostiquer quoi que ce soit avec ces informations.
    Je ne peux que te conseiller de jeter un coup d'œil sur quelques points de base :
    * le couvain est-il propre ou parsemé de trous ? > Ascosphérose ou autre maladie du couvain.
    * y a-t-il des espèces de petites écailles blanches au fond de cellules de couvain ? > Ascosphérose
    * y a-t-il des abeilles malformées (petite taille, ailes atrophiées) ? > Surinfestation de varroa (avec quoi le traites-tu d'ailleurs ?).
    * combien de cadres de couvain ? > Il se peut que la reine soit en fait trop vieille.
    * et tellement plein d'autres choses que ce serait trop long de les énumérer ainsi.

    Ceci dit, même si ça semble mal parti, il est tout à fait possible qu'elle se remette suffisamment en état pour passer l'hiver. Si jamais ce n'est pas le cas et que tu n'as pas réussi à diagnostiquer le problème, tu pourras toujours tenter de lui mettre un petit sac de candy en nourrissement.


    Sinon, je te conseillerais de monter à au moins cinq ruches si ça t'es possible ; ça te garantira de pouvoir toujours avoir assez de miel, et de renouveller plus facilement ton petit cheptel en cas de problème, d'accident, ou simplement par faute de temps diponible pour s'en occuper avec un maximum de soin.


    Tu as de la chance que tes abeilles soient calmes et qu'elles restent accrochées au cadre ; ce n'est pas la tendance naturelle des noires (pas de racisme là-dedans, c'est juste une race d'abeilles comme on utilise les « caucasiennes », les « italiennes », les « chinoises », les « carnioliennes », etc.). :p
    Tu ne les aurais pas ouvert alors qu'il faisait trop froid ? J'évite toujours d'ouvrir les ruches s'il fait moins de 20°C.


    Et pour répondre à Ploum ; j'ai justement profité de cette réponse pour corriger l'article de Wikipédia sur la thixotropie. Celui-ci affirmait que le miel de Bruyère avait cette propriété là, alors que ce n'est le cas que de celui de bruyère callune, et pas d celui de bruyère blanche.
  • [^] # Re: Et en plus on les massacre !

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 4.

    En fait, si ton affirmation est exacte, ce n'est pas toujours totalement vrai.

    En effet, on peut constater dans certaines conditions particulières (miellée, météo, saison, etc.) des séries d'essaims dit « secondaires » qui succèdent à ce phénomène d'essaim primaire. Ainsi, une même année, il peut arriver qu'une même ruche fasse ensuite essaimer une à deux reines jeunes après cette « vieille reine ». Exceptionellement trois ou quatre (jamais vu, mais il paraît).
    Il peut donc, certaines années, y avoir plus d'essaims avec des reines jeunes que d'essaimes avec de vieilles reines. Mais on s'en rend en général compte car ces essaims « secondaires » apparaissent relativement tard en saison.

    Bien entendu, en tant qu'apiculteurs, nous avons tout intérêt à ce que nos ruches n'essaiment pas d'elles même, car ce phénomène implique une perte sèche en abeilles, et donc en production de miel. Une ruche qui essaime ainsi perd en effet environ quinze jours de productivité, ce qui est énorme lorsque le phénomène se produit en période de miellée.
    Diverses techniques existent afin d'éviter ceci, mais la principale consiste à « tirer » artificiellement des essaims avant la grosse période de miellée, ce qui permet par ailleurs de renouveller le cheptel décédé pendant l'hiver.
  • [^] # Re: Bon bon bon…

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 8.

    Il y a en effet un « bourdon tueur d'abeilles » qui fait parler de lui, que je n'ai cependant absolument jamais vu, et dont les dommages me semblent a priori (très) fortement exagérés. mais je peux me tromper.
  • [^] # Re: Et en plus on les massacre !

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 10.

    « Les pompier ne se déplacent plus pour des essaim "sauvages" et ne font pas non plus appel à un apiculteur pour lui indiquer un bon plan. »
    Les apiculteurs professionnels (qui tentent de vivre de l'exploitation de leurs ruchent) refusent en général ce genre de propositions car elles sont en fait tout, sauf un bon plan.
    Pourquoi ? C'est assez simple d'un pur point de vue sanitaire : on ne connaît pas l'état de la colonie, les éventuelles maladies qu'elle trimballe, l'âge de la reine, etc. Et qu'une ruche malade risque de contaminer celles de son propre cheptel, qu'on tente de garder dans un bon état sanitaire. Et si malgré tout on accepte de prendre le risque, cela demande souvent du travail et des précautions supplémentaire qui finissent par rendre l'opération peu rentable.

    Pour un type qui a moins d'une cinquantaine de ruches et fait ça pour son agrément, alors oui, ça peut se faire…

    D'ailleurs, un conseil comme ça, puisque je l'ai déjà vu : si vous demandez à un apiculteur pro de vous débarasser d'un essaim qui traîne chez vous, ne le lui faites pas payer sous prétexte que ça a pour lui une certaine valeur (déjà toute relative, comme expliquée ci-dessus). En effet, les essaims se vendent cher (disons environ 150€), mais à condition de connaître leur état sanitaire, l'âge de la reine, qu'il y ait du couvain, etc. Sinon c'est de la merde.
    C'est au mieux un service rendu qui arrange les deux parties. Et si je peux me faire offrir un pot après ça, ce ne sera pas de refus. ;)
  • [^] # Re: Lire les articles

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 6.

    « les scientifiques ne savent pas quelle est la cause de la surmortalité des abeilles. »
    Et au final, je crois qu'on peut tout résumer dans cette phrase pour le moment.
  • # Bon bon bon…

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 10.

    En effet, mon truc de base, c'est plutôt les abeilles que les lignes de codes…

    Cela fait bientôt cinq ans que je suis apiculteur à mon compte avec près de trois-cent ruches, et mon père l'a été avant moi pendant près de vingt ans.

    Alors il est un peu tard et j'ai carrément la flemme de faire une réponse complète, circonstancée, toussaaa, et je risque donc de faire des raccourcis rapides et des approximations grossières, mais ça évitera déjà peut-être que quelques grosses bêtises soient dites.


    * Il y a déjà une quarantaine d'années, il a déjà été question, en France, de disparitions de colonies massives et inexpliquées. Le petit nom à la mode actuelle est « syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles », à l'époque, on en parlait sous le nom de « maladie de la disparition ». Deux noms qui veulent bien dire ce qu'ils signifient : on sait comment ça se termine, mais pas d'où ça vient. Au bout de quelques années, plus personne n'en parlait, plus personne ne le constatait. À peu près tout le monde a oublié ces faits. À ce demander même s'ils ont réellement existés.
    * S'il est assez aisé de diagnostiquer un certain nombre d'infections, de maladies, de mycoses, ou d'accidents divers sur les ruches, le fait est que, souvent, on ne sait pas pourquoi une ruche se porte plus ou moins bien.
    * Les agriculteurs se plaignent toujours, et les apiculteurs pas moins que les autres, que ce soit à tort ou à raison.
    * Les apiculteurs plus que d'autres branches de l'agriculture vivent et professent plus le « bio » et ont donc tendance à tomber plus facilement sur tout ce qui semble s'éloigner de la nature, et bien évidemment sur les pesticides en premier. Souvent à raison, certes… Mais comme je l'ai dit plus haut, souvent, on ne sait juste pas quoi accuser. Alors dire « c'est les pesticides », c'est très facile. De manière très parlante, jusqu'à il y a une quinzaine d'années, les dommages aux ruches dus au pesticides étaient remboursés par les assurances. il y a eu tellement d'abus que ce n'est plus le cas.
    * J'ai en effet moi-même constaté une surmortalité ces deux derniers hivers (disons environ plutôt 35% que les 20% habituels). En partie, je sais pourquoi et c'était ma faute (pas bien), mais ça n'explique pas tout.
    * Cela peut mettre un certain nombre d'apiculteurs dans des situations financières difficiles. J'en suis. Dans la mesure où les assurances ne remboursent plus, il est presque plus aisé de faire bouger du média pour faire bouger des administrations pour toucher des indemnités. Mais si on n'en connaît pas les raisons, tout le monde s'en fout. Il faut un bouc émissaire. Entre la mode bio et les penchants apicoles faciles sus-cités, ça va vite : les boucs émissaires sont immédiatement désignés : les pesticides (encore une fois, c'est sûr, c'est mal et c'est en effet souvent source de problèmes… des problèmes qu'on sait cependant en général reconnaître).
    * En France, l'apiculture professionnelle pratiquée pour la polinisation est marginale. Les apiculteurs la pratiquant se regroupent pour éviter les zones à risques et faire des « listes noires » d'agriculteurs abusant des pesticides.
    * Des conditions météorologiques (et pas climatiques, merci de faire la nuance) mauvaises et répétées pendant plusieurs années en particulier sur les zones apicoles sont aussi sources de problèmes, ce qui peut poser des problèmes en apparence inédits, ou en tout cas peu habituels. Mais c'est une cible moins facile que les pesticides.
    * Je ne sais pas du tout comment ça se passe aux USA.
    * Et plein d'autres trucs, mais là je fatigue…
  • [^] # Re: hmmm

    Posté par  . En réponse au journal Qu'allons nous devenir sans insectes polinisateurs ?. Évalué à 1.

    On m'appelle ? :p
  • # Dans le dernier numéro…

    Posté par  . En réponse au journal SNCF, plus belle la vie !. Évalué à 10.

    … de l'hébdomadaire « La décroissance » se trouvait un dessin humoristique représentant un roi, la main sur l'épaule d'une jeune donzelle et qui disait « … et l'homme qui trouvera ses horaires de train sur le site de la SNCF aura la main de ma fille. »

    J'ai éclaté de rire.

    Je vous scannerais ça quand mon scanner aura des pilotes pour Linux.

  • # [HS] Pourquoi paye-t-on si cher pour…

    Posté par  . En réponse au journal [HS] Paye-t-on la téléphonie mobile trop cher ?. Évalué à 7.

    … un objet finalement si dispensable ?
  • [^] # Re: Quelques commentaires

    Posté par  . En réponse au journal Chrome, les applications web et les logiciels libres en question. Évalué à 4.

    « Si quelqu'un veut "améliorer mon expérience utilisateur", qu'il me fasse un plugin pour lire les pdf plus rapide, parce que le plugin Acrobat, c'est une catastrophe. »

    Je ne sais pas quel navigateur on environnement de travail tu utilises, mais avec Epiphany et Evince, j'ai trouvé mon bonheur : mozplugger.

    http://mozplugger.mozdev.org/
  • [^] # Re: Argh, les communistes reviennent

    Posté par  . En réponse à la dépêche « Le téléphone sonne » (France Inter) sur le logiciel libre à 19h20 ce mardi soir. Évalué à 6.

    Je préfère les versions françaises. :o

    http://www.gnu.org/philosophy/linux-gnu-freedom.fr.html
  • [^] # Re: Reportage ce matin à 8h

    Posté par  . En réponse à la dépêche « Le téléphone sonne » (France Inter) sur le logiciel libre à 19h20 ce mardi soir. Évalué à 10.

    (je n'ai pas entendu Firefox !)
    C'est normal, Firefox c'est pas libre.


    Oui, c'est trop tôt pour le troll mais vendredi prochain, je ne serais pas là.
  • [^] # Re: Argh, les communistes reviennent

    Posté par  . En réponse à la dépêche « Le téléphone sonne » (France Inter) sur le logiciel libre à 19h20 ce mardi soir. Évalué à 5.

    En même temps, lors de la précédente émission du genre sur France Inter, si je me souviens bien, Microsoft avait été invité, mais ils onté décliné.

    Je ne serais pas étonné qu'il en soit de même cette fois-ci.
  • [^] # Re: Un peu de sérieux

    Posté par  . En réponse au journal 52 artistes pour soutenir l'hadopi. Évalué à 2.

    Si.

    C'est pour ça que je précise « théorie », « lieux communs », et « vrais ou faux ». :]
  • [^] # Re: la liste complète

    Posté par  . En réponse au journal 52 artistes pour soutenir l'hadopi. Évalué à 5.

    Pour les humoristes, c'est facile ; il restent dans le milieu artistique, et leurs œuvres sont diffusés de la même manière que les chansons.

    Pour Patrick Bruel, il faut bien qu'il défende la perception de ses royalties.