bubar🦥 a écrit 6943 commentaires

  • # Interaction et retour

    Posté par  . En réponse au journal Consultation « République Numérique » ouverte. Évalué à 3.

    Ce site n'est pas mature pour être jugé. Il n'est pour l'instant rien d'autre qu'un déversoir. Il y a très probablement de bonnes choses dedans, dont celles citées ici, mais il n'existe pour rien à cette heure.

    Pourquoi cette réaction épidermique ?
    Car on ne peut demander à tous de relire tous. Dit simplement, et en résumé, c'est bien de cela dont il s'agit. Sur le comptoir on pourrait dire "en matière de démocratie on ne disrupte, on améliore petit à petit, le passage de la représentation à la participation ne peut être sans cadre, d'autant plus qu'il n'y a pas lieu de remplacer mais de proposer". Il faut une équipe derrière, afin de compulser le contenu et le transmettre, puis écrire le retour sur les morceaux choisis. Sans interactions retours, ce site restera un déversoir, peut être de meilleur niveau que facebook, mais dans le fond pas tellement mieux en réalité.
    Donc attendons de voir s'il y a interaction avant de jauger.

    ps : à mon avis, il n'y aura rien d'autre que cette plateforme

  • [^] # Re: petite question

    Posté par  . En réponse au journal Microsoft sort sa distribution Linux, dédiée au réseau du Cloud Azure. Évalué à 3.

    Vous ne pouvez pas imaginer utiliser Linux sans cela ?

    ha si, si ! bon je ne généralise pas, moi ça fait juste 12 ans que je n'ai pas touché à windows. tout va bien, pas besoin de lui pour me convaincre que linux est bien.

  • [^] # Re: Merci aux modérateurs

    Posté par  . En réponse à la dépêche Atelier GNS3 le 3 octobre 2015 à Argenteuil. Évalué à 3.

    D'ailleurs pour changer de voiture j'hésite à acheter une voiture-du-peuple polo ou une oeuvre-des-moteurs-bavarois i3 : tu me conseilles quoi ?

  • # Merci

    Posté par  . En réponse à la dépêche Transcriptions de conférences par l'April en août et septembre 2015. Évalué à 2.

    C'est très agréable de pouvoir lire, et non seulement écouter. Je me suis régalé à lire "humanisme et informatique libre" pour le moment, ainsi que celle de T.Nitot. Merci l'April pour ces transcriptions textuelles.
    C'est tout :)

  • [^] # Re: En un an! Ils sont fous ces romains!

    Posté par  . En réponse au journal Le ministère italien de la défense en cours de migration vers Libre Office et ODF. Évalué à 2.

    Peut être qu'aujourd'hui les migrations sont facilitées ? ie :

    • retour d'expérience par d'autres
    • maturité de LibreOffice
    • tierces fonctionnalités agréables et utiles aux utilisateurs, par d'autres biais (app web)
    • usage de ODF même dans Microsoft Office.

    Ce dernier point me semble très important. En tout cas c'est ce que je ferai soit en premier soit en parallèle. Et avec l'éclairage sur la migration de Nantes, cela permettrait de passer les modules de formations avancés autant avant que après la migration (concernant le développement dans un office, aussi les plus simples macros, et enfin la mise à niveau des documents courants vers le format ODF). Permettant ainsi de distinguer, tant aux yeux des usagers qu'en terme de coût, ce qui relève de la migration vers le format ODF, de ce qui relève de l'usage d'un nouvel outil.
    Non ?

  • [^] # Re: code des drones parrot ?

    Posté par  . En réponse au journal Qualcomm & les drones & Ubuntu. Évalué à 2.

    Tu as le site web de dev des drones parrot ?

    par exemple.

  • [^] # Re: il dit qu'il ne voit pas le rapport

    Posté par  . En réponse au message le financement participatif. Évalué à 2.

    le : était cassé sur le clavier du webmestre, en tout cas ..
    :p

  • [^] # Re: Effet de mode ?

    Posté par  . En réponse au journal Ethereum, désormais officiellement lancé. Évalué à 3. Dernière modification le 13 septembre 2015 à 13:55.

    C'est passionnant de lire des articles comme les tiens, et d'autres, techniques et pointus, permettant d'expliquer à toutes et tous le fonctionnement et les intérêts techniques. Grand merci. J'rebondis sur ce commentaire (désolé :p)

    D'un point de vue psy/philo/pragma/comptoir : tant que ces types de monnaies naîtront avec immédiatement des passerelles vers les autres, je les regarderais d'un oeil particulièrement aiguisé, pour ne pas dire "comme on regarde un ennemi en face". Si une monnaie techniquement proche voyait le jour avec l'impossibilité de change, alors tout serait différent à mes yeux. Mais cette impossiblité de change ne peut pas tenir, elle apparaitrait à un moment où un autre de manière certaine. A moins de pouvoir créer une volatilité en dehors de tout attachement à d'autres vecteurs de valeurs. Mais qu'est ce qui pourrait correspondre à cette définition ? Moi franchement je ne vois rien. Ou peut être seulement des implémentations d'algo de chiffrement prenant de la valeur avec le temps pendant lequel ils ne sont pas contournés ? Hum, pas grand chose. Tout le reste de ce qui pourrait être échangés en n'utilisant qu'une monnaie virtuelle non adossée ni changeable en une autre monnaie semble être totalement lié à la nouveauté, donc à des dépréciations prévisibles donc de très faibles possibilités de fluctuations. Donc aucun intérêt d'usage (à moins de vouloir faire un bon en arrière dans la notion de monnaie). Difficile. C'est pkoi je vois ces monnaies nouvelles comme de "simples" instruments supplémentaires de transfert de pouvoir : où les marchés des changes s'unifient et sont contrôlés uniquement par des porteurs, sans possibilités de notions de politiques communes, seule s'appliquera celle des porteurs majoritaires.
    Une autre possiblité serait peut être d'empêcher toute possibilité de changes tant que la (quasi)totalité de la monnaie n'a pas été minée. Seule la spéculation, en plus des échanges de services et objets, serait alors possible. Et mettrait tout le monde sur un pied d'égalité dès lors que chacun décide d'y participer.

  • [^] # Re: "Il faut payer"?

    Posté par  . En réponse au journal Ethereum, désormais officiellement lancé. Évalué à 2.

    On ajoute, et le journal nous l'explique, des notions de services au minage et actes de validations transactionnels. On ajoute du chocolat à la tartine pour espérer appater les enfants et mieux vendre le tout.

  • [^] # Re: "Il faut payer"?

    Posté par  . En réponse au journal Ethereum, désormais officiellement lancé. Évalué à 6. Dernière modification le 13 septembre 2015 à 13:29.

    J'me souviens d'un cours élémentaire de psychologie décrivant l'histoire et l'arrivée de la monnaie dans la relation inter-personnelle d'échange (bon, p'tete pas si élémentaire que ça, pas un cours de fac, bref peu importe). En résumé, et juste sur la partie histoire fonctionnelle : la notion de transferts de valeurs vers la monnaie n'a que peu (voir pas) d'importance (il existait d'autres méthodes, certes plus compliquées que la monnaie [de base, car c'est finalement compliqué aussi] pour tenir des équivalences (tableaux de rapports pondérés : saisonniers et de pénibilité/temps, auxquels on pourrait ajouter aujourd'hui la notion de distance). Il existait également les notions de prêts, d'intérêts, et de spéculation. La monnaie n'a apporté aucun outil nouveau, mais il semble plutôt que la monnaie ai simplement permis d'assembler tout ces outils et de les rendre plus accessibles à tous. Ce serait donc la complexification des rapports d'échanges qui aurait amené la notion de monnaie. Et elle n'a peut être amené aucun nouvel outil, mais une nouvelle notion dans l'échange : le tiers non-humain.

    Ce tiers dans l'échange est une délègation, de manière entendue et commune, de l'attribution de la valeur des objets de l'échange. Elle ne règle rien sur rien, aucun des problèmes intrinsèques à la notion de valeurs d'objets différents. Elle transpose ce règlement sur un tiers et non plus sur les acteurs de l'échange. Ces acteurs ne sont donc plus les porteurs du conflit d'équivalence de valeur, les relations d'échanges en sont immédiatement appaisées. C'est probablement là l'origine de son succès planétaire, de son apparition dans toutes les cultures sous une forme ou une autre.

    Ce n'est donc pas la simple «entente sur les valeurs», qui existait déjà, mais bel et bien la transposition de la notion de tiers sur un objet intermédiaire porteur.

    (Elle aura dès lors aussi des impacts majeurs dans la structure des groupes sociaux, etc .. et sans rien règler réellement, jusqu' à conduire à l'outil que nous connaissons tous, finalement bien plus complexe que tout les tableaux d'équivalences prenant en compte tout les paramètres : elle délégue aussi cette connnaissance) Et, au passage, on pourrait mettre un petit pic à ceux souhaitant le "retour à l'étalon or" qui n'est rien d'autre qu'au mieux une mauvaise compréhension au pire une fumisterie. Mais bon, là, mieux vaut aller lire des économistes et non pas des psy/phil.

    Donc les monnaies virtuelles s'inscrivent parfaitement dans cette évolution logique de détacher l'attribution d'une valeur à un objet de l'échange des objets.

    Maintenant reste à savoir si on adhère ou pas au détachement de la monnaie de toute organisation sociale. On pourrait se dire que là encore c'est une évolution logique dans l'histoire. Les monnaies virtuelles sont parfaitement prévisibles si elles existaient seules, dans un monde "idéal" (sans jugement, disons dans un cadre pur pour elles). Mais l'adossement aux autres monnaies leur confère leur volatilité en temps que valeur. Si tout le monde se met à échanger avec des monnaies virtuelles directement des objets et des biens, alors c'est une nouvelle monnaie d'un point de vue "histoire". Mais on constate que ces monnaies sont en (grande ?) partie simplement un nouveau marché de change. Affranchissant le change de tout contrôle d'organisations sociales (états ou groupes bancaire). Et toutes leurs fluctuations ne viennent que de là : le change avec d'autres monnaies.

    Ces "monnaies" "virtuelles" ne sont pas des monnaies mais un nouveau marché de change.
    Tant que la part des échanges entre "monnaies virtuelles" et "objets" ne dépassera pas la part des échanges entre "monnaies nouvelles (plutôt que l'adjectif virtuelles") et "monnaies historiques" (plutôt que l'adjectif "réelles"), il en sera ainsi. Quant à savoir si cela arrivera un jour, encore une fois il vaut mieux aller lire des économistes. Logiquement, oui, à priori, les marchés de changes étant (semblant être) peut être l'expression moderne de l'universalité du tiers détenteur de l'attribution de valeur.

    Quant à moi, je regarde cela comme hautement problématique, bien plus encore que tout évènements économiques/politiques passés, car nous allons adosser la valeur du réel (ce que sont les anciennes monnaies, encore en majorité) sur la seule notion d'échange entre les anciennes monnaies. Tout. Avec une volatilité qui sera uniquement confiée aux détenteurs pérennes de ces nouvelles monnaies. Le marché des changes de monnaies à son paroxysme absolue. Soros. À ceux croyant que cela va révolutionner quoi que ce soit, je leur dirais de "bémoler" leur optimisme en leur rappelant que dans des mondes finis seules comptent la terre & la pierre. Le reste n'est que jouet (influant sur la terre et la pierre des autres) une fois que l'on a plus que le nécessaire de ces deux là, pour soi.

    Hop, pavé tl;dr du dimanche.

  • [^] # Re: Goût enfin

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les évolutions KDE avec KDE Frameworks 5.13, KDE Applications 15.08 et Plasma 5.4. Évalué à 10.

    Venant de quelqu'un qui a cet avatar

    le commentaire détonne ;-)

  • [^] # Re: J'ai pas très bien compris

    Posté par  . En réponse au journal Grsecurity : le patch stable réservé aux sponsors. Évalué à 5. Dernière modification le 27 août 2015 à 14:26.

    Red Hat ne se contente pas de respecter la licence, ils en respectent aussi l'esprit (ou, disons, l'organisation de développement) : non ?

    Dis comme cela (et plus bas aussi) on a l'impression que Red Hat est comparé à un vulgaire constructeur taïwanais de téléphone. Red Hat ne fait pas que publier un gros tarball sur un sous-site obscur de son domaine : L'immense majorité de ses développements en fait directement dans les projets en amont (kernel, gnome, … et même LibreOffice, les citer tous serait trop long :p)

    Pour le reste ce sont des projets internes qui n'intéresse personne au presque probablement et dont le développement est complètement fait par eux. Mais mêmes pour ces projets là le développement est public et ouvert (katello par exemple). Au final il doit y avoir pouillème qui reste vraiment interne chez eux. Les chiffres exacts doivent se trouver avec un peu de temps :)

    Pour comparer grsec avec red hat, il faudrait que grsec :

    • code avant tout chez kernel.org
    • pense son organisation de dev et son code pour kernel.org
    • fournisse un suivi dans kernel.org

    Ceci ne l'empêcherai pas de continuer à livrer un "gros patch intrusif" à ses clients, si les deux parties en sont satisfaites. Le patch perdrait certainement un peu de poids, et grsec devrait faire cet effort d'adaptation, mais à côté ils gagneraient en aura sans perdre en exclusivité (le kernel n'avançant jamais assez vite pour eux \o/ dans l'intégration de leur patch de sécu ou diffère de leur vision)

  • [^] # Re: Un prétexte uniquement ?

    Posté par  . En réponse au journal Grsecurity : le patch stable réservé aux sponsors. Évalué à 3. Dernière modification le 27 août 2015 à 14:27.

    Si la qualité technique n'est pas remise en cause, pourquoi c'est pas upstream ?

    Parcequ'il n'y a aucune volonté que cela le soit ?

    sauf à dire que le kernel n'est pas une meritocracie comme on le dit si souvent, et qu'au final, l'humain joue

    Il n'y a pas exclusion mutuelle entre ces affirmations (me semble t il)

    Ce n'est pas "l'humain" côté noyau (qui entrainerait effectivement à dire que ce n'est pas une méritocracie) mais uniquement l'humain côté grsec. Ils font le choix de ne pas faire le travail d'intégration en amont.

    au final, l'humain joue

    Au final, oui, sans entrainer de conséquence pour la méritocratie (même teintée d'apport de connaissances personnelles, où il serait plus facile d'avoir une acceptation de bon patch si on est déjà tamponné red hat ou fujitsu, que lorsqu'on est inconnu). L'humain joue pleinement ici, mais chez Grsec initialement au moins.

    Non ?

  • [^] # Re: Grand public?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Sortie de la version 3.0 de Chouette. Évalué à 10.

    ça me fait penser à la météo.
    quant j'étais petit la météo causait bar & hectopascal.
    aujourd'hui elle se contente d'afficher un soleil, des nuages ou de la pluie.

    c'est grand public.
    parait il.

    ;-)

  • [^] # Re: Avis sur l'article

    Posté par  . En réponse à la dépêche Librem 13, l’espoir d’avoir un jour un ordinateur libre. Évalué à 3. Dernière modification le 19 août 2015 à 20:55.

    Arf, désolé ami moulesque, je n'ai vu ton post qu'après.
    Le FSP c'est le bundle logiciel complet comprenant entre autre choses le binaire ME (et ses extensions). Enfin.. seulement la partie se situant dans la puce SPI donc flashable (la partie se situant dans le southbridge n'est pas atteignable). Tu trouvera des infos avec les liens chez Intel cités plus haut.

  • [^] # Re: Avis sur l'article

    Posté par  . En réponse à la dépêche Librem 13, l’espoir d’avoir un jour un ordinateur libre. Évalué à 6. Dernière modification le 19 août 2015 à 22:02.

    Pareil pour moi.
    Et il est fort probable qu'ensemble (hwnd, toi moi et d'autres) on puisse sortir une dépêche intéressante sur CoreBoot.

    Purism reste un bon angle d'attaque (merci hwnd pour cette dépêche) pour exposer le principal problème du libre aujourd'hui : l'augmentation des capacités des "firmwares" (si tant est que l'on puisse encore nommer ça comme cela sans déformer le sens originel, il n'est plus question de petites saletés qui devraient se trouver dans le module d'une carte wifi au lieu d'être dans le firmware par exemple, mais bien de quasi micro-noyau tellement les capacités de ME & MEBx sont étendues)

  • [^] # Re: Librem is just as free as any other laptop on the market with GNU/Linux

    Posté par  . En réponse à la dépêche Librem 13, l’espoir d’avoir un jour un ordinateur libre. Évalué à 10. Dernière modification le 19 août 2015 à 22:43.

    En gros Purims nous propose :

    • un pc haut de gamme normal
    • des prix que même Apple n'ose faire, et qui ne peuvent être expliqués par la seule rareté de fabrication (exemple : 350€ la batterie supplémentaire)
    • une bonne tranche de rigolade lorsqu'il y a qq jours à peine ils claironnent « purism has spi and ec », sur un "open blog" sur le site du projet coreboot (on attends le post suivant où ils découvrent le spi-0 & le spi-1)

    -> Cependant il est probable que ce projet ne se soit pas rendu compte de l'ampleur de la tâche, et de l'impact de l'annonce "firmware libre". Gardons en une réelle volonté de proposer un PC avec un O.S. libre. C'est très bien. Même s'ils sont un peu cher :p

    Concernant le problème actuel des firmwares, en gros on peut résumer : des accès pour ces périphériques à d'autres périphériques sans passer par le CPU central.

    • Sans passer par le CPU central veut dire que le système installé n'aura jamais accès à ces activités, elles seront totalement transparentes/agnostiques pour lui.
    • Placer dans le southbridge par exemple, chip servant de controlleur d'i/o pour tout les autres périphériques (cmos bien sûr, mais aussi rj45, sata, usb …) & accès complet dma (direct access memory)
    • Augmentation des capacités qui suit à peu près le même rythme que celle des cpu (aujourd'hui il est moins cher de coller une puce armv5 dans un disque dur… Alors une petite puce ARC dans un southbridge, pensez vous ;)
    • Augmentation qui suivent des capacités logicielles (capacité de traitements du flux d'informations des ports usb et sata, par exemple, capacité à offrir des services de contrôle distant fonctionnels même en état S3, etc ..)

    Nous sommes aujourd'hui loin du petit intel ME implémenté dans les cartes réseau d'il y a quelques années : le SPI d'aujourd'hui est partagé entre le bios et le management engine, le premier n'as pas accès au second mais le second a accès au premier. Pour fonctionner celui-ci doit communiquer avec le code présent dans le southbridge (ce code n'est pas retirable) et exécuté sur le Arc.

    Parmis les services proposés, on trouve :

    • PAVp ("protection" audio & vidéo)
    • CLS (gestion de "license")
    • Corwin Spring (contrôle complet à distance)
    • I-AT (ex TDT) & IPT ("protection" de l'identité avec JOM : exécution d'apps tierces envoyées au ME, c'est du java c'est la joie par ici)

    Pour ceux souhaitant en lire plus, et plus précis :

    Pour ceux souhaitant se lancer dans l'usage quotidien d'un ordinateur le plus dépouillé possible : x200 de chez minifree, un peu ancien. Ou un Acer C720p Google Chromebook (où même le code de la puce EC (entrées/sorties clavier) est livré OpenSource : jamais un contructeur ne nous a auparavant laissé autant de code libre) mais il faudra encore compter sur le ME :-/

    happy hacking

  • [^] # Re: conférences

    Posté par  . En réponse à la dépêche Retour sur les RMLL 2015. Évalué à 4. Dernière modification le 10 août 2015 à 20:14.

    Je crois que tu as fais le tour de *toute* la question dans ce commentaire.
    Les utilisateurs (nous tous) veulent des choses simples pour ce qu'ils ne maitrisent pas et des choses complètes pour ce qu'ils maitrisent (pouvant apparaitre comme complexe par d'autres). Voilà en résumé les usagers de Macs : ils ont une interface simple pour tout et choisissent un soft pour leur périmètre d'activité. Cela reste une piste essentielle en terme de gui.
    Non ?

  • [^] # Re: Android != HangOut

    Posté par  . En réponse au journal Stagefright, une faille Android qui va faire mal ?. Évalué à 4. Dernière modification le 31 juillet 2015 à 14:17.

    Peut être ? Peut être aussi que :

    12d11
    <     allow mediaserver self:process execmem;
    

    dans la règle nommée mediaserver.te suffit ? Suffit à tout casser :p

    En tout cas, espérons que cette faille oblige les constructeurs à changer leur fusil d'épaule concernant les mises à jour. Pour l'instant, les mises à jour Android c'est vraiment le foutoir. Perso je n'ai acheté que des Nexus et c'est dans ces moments là que je ne regrette pas (mais bon, le nombre de modules proprio ne cessent d'augmenter :-/ passant de 4 sur le magic32b, à 10 sur le N4, maintenant à 14 sur le N6 ! C'est un autre sujet mais c'est inquiétant aussi)

  • [^] # Re: C'est partout pareil

    Posté par  . En réponse au journal François Hollande visite 42, non mais allô quoi.... Évalué à 6. Dernière modification le 30 juillet 2015 à 13:41.

    C'est bien le noeud du problème (celui ici évoqué : le syndicalisme)
    Mon grand-père disait « le syndicalisme français est mort le jour où les syndicats ont acceptés les jours de délégation »
    C'était un dur, mais il avait raison.

    D'un côté il y a une réelle pression sociale très forte dans beaucoup de secteurs du privé, qui empêche, contraint au moins, le fait de se syndiquer. C'est une pu**** de réalité que l'adhésion a un syndicat peut signer ta carrière et son arrêt.
    D'un autre côté il y a cet historique syndical qui n'est pas aussi glorieux qu'on nous le rabache, s'arc-boutant un peu trop souvent sur "les grandes luttes" (de nos grands parents) en passant sous silence une volonté plus récente d'opposition systématique idéologique, et un éclatement politique des familles syndicales. Or le syndicat n'est pas (ne devrait pas être) la politique.
    Les deux s'entrechoquent et s'auto-alimentent.

    Enfin, il reste quelques héros. Probablement.
    Tout comme ces héros du service public qui à quelques un tiennent des services entiers, à côté d'une ribambelles de collègues disons moins efficaces …

    C'est un serpent qui se mord la queue, oui. Et ce n'est pas individuellement qu'on pourra faire autre chose (que se mettre des batons dans les roues de sa propre carrière). C'est bien aux syndicats de changer.

    ps : perso, la dernière fois que j'ai fait grêve, avec moins de 5% de l'effectif de mon agence d'alors, on s'en apperçu ensuite qu'on s'était fait bai*** la gueu**, et que cette grêve n'avait en fait pour objet que de défendre les intérêts de "high-tech", l'agence d'à côté. Filouterie et honnêteté, poutre paille et toussa …

  • [^] # Re: Lol

    Posté par  . En réponse au journal François Hollande visite 42, non mais allô quoi.... Évalué à 7. Dernière modification le 30 juillet 2015 à 01:16.

    Je te présente mes excuses pour le terme gauchiste. Si on se connaissait en privé tu comprendrai pourquoi j'emploi ce terme, mais ce n'est pas le cas, alors ça appelle des excuses.

    mais ça vaut toujours mieux que d'être payé à la tête du client.

    à la tête du client, oui bien sûr.
    à la tête du travail, certainement pas.
    c'est même une abbération : familiale, personnelle, sociale et politique. Et entendre "la gauche" soutenir ce type d'énormité me hérisse le poil.

    voulant faire passer les accords d'entreprise par dessus les accords de branche

    Les syndicats sont les premiers à faire cela. les accords de branche par dessus les intérêts de l'entreprise, ça n'est pas le monde à l'envers ? qu'est ce que c'est que ces bêtises de Comité d'Entreprise, de salaires différents pour un même poste selon la convention ? Ce sont là encore des luttes sociales ? Allons, allons, un peu d'objectivité : les syndicats ont été les premiers a casser la notion d'égalité entre salariés.

    Tant la réalité actuelle du monde du privé que la volonté réelle des syndicats : ce n'est pas aussi simple que ton opposition medef vs salariés.

    ayant réussi leur formation

    Tu viens à mes yeux de résumer le coeur du problème, en choisissant cette conjugaison là …

    Si tu trouves normal qu'avec un diplôme acquis à 20 ans tu as une voie tracée, alors un fossé nous sépare. L'apprentissage se fait tout au long de la vie. Or, reconnaissance & évolution ont été remplacés petit à petit par diplôme au rabais et sortant d'écoles propulsés à des hauts postes : ton système. Super. Si ce système te va, moi non. Décrocher un diplôme à 20 ans ne devrait pas tracer le destin de quelqu'un. Un diplôme signe deux choses : une quantité de connaissances et une capacité d'apprentissage. Et c'est déjà pas mal.

    Que l'entreprise rejette sans cesse son manquement à son devoir de formation à la tronche des écoles en exigeant des "prêts à bosser" est un problème : ce n'est pas le rôle de l'école que de former des salariés. La formation au travail est une autre affaire, et 42 remplis ce rôle, que personne ne voulait assumer.

    Enfin, il faut bien distinguer les différences entre éducation, enseignement, et formation. Et là, on entre dans un autre débat : que sera la place de l'enseignement dans le monde de demain où l'éducation aura été de qualité pour toutes et tous, et la formation accessible à toutes et tous, tout le temps et partout ? Hum.

  • [^] # Re: Lol

    Posté par  . En réponse au journal François Hollande visite 42, non mais allô quoi.... Évalué à 6. Dernière modification le 29 juillet 2015 à 17:17.

    Ce n'est pas si anodin cette histoire de diplôme et de qualifications

    On est bien d'accord. Cela fait 20 ans que je la prends dans la gueule, alors en effet ce n'est pas anodin.

    c'est le résultat d'années de luttes syndicales et sociales

    Que viennent faire les luttes syndicales et sociales là dedans ? Ah, tu fais un amalgamme entre "diplôme" et "position sociale", dans ton argumentaire ? Et tu penses que c'est un acquis social gagné de haute lutte que le destin d'un citoyen soit déterminé par son diplôme, donc avant 20 ou 30 ans ? J'ai mal rien qu'à lire ça.

    exact inverse de la concurrence entre établissements d'enseignement

    Fuck*** lol. On dirait un tract de la cgt.
    En quoi une concurence entre établissements serait mauvaise ? exactement
    Ce qui serait mauvais, c'est que les crédits accordés par la Force Publique y soient assujettis. Ce qui serait mauvais c'est que des fonds privées puissent financer des programmes au lieu de financer des labos. Beaucoup de chose seraient mauvaises, et beaucoup le sont déjà. Mais, s'il te plait, prenons la définition de concurrence, et aucun extrapolation politique du terme, afin d'être d'accord sur le vocabulaire avant tout : et alors tu verra que le problème est déjà là, depuis longtemps, et mis en oeuvre par notre chère "école publique". L'école devrait former des citoyens, l'université des intellectuels. Que l'on souhaite défendre une qualité de service publique d'éducation nationale est légitime et noble, mais cela n'a rien à voir avec la réalité sociale d'une part, ni économique d'autre part.

    ps : un exemple pour mettre sur la piste de la contradiction à ce fallacieux discours syndical fourre-tout, déformant définition et valeurs. Cambridge et Oxford sont des écoles publiques. Avec des programmes exemplaires d'intégration sociale. Elles sont en concurrence farouche depuis longtemps. Où est le problème lorsqu'on est avant tout attaché à des valeurs de services publics, de nation et d'égalité ?

  • [^] # Re: Lol

    Posté par  . En réponse au journal François Hollande visite 42, non mais allô quoi.... Évalué à 4. Dernière modification le 29 juillet 2015 à 16:42.

    Tiens c'est marrant ce que tu dis, car j'ai plutôt souvent entendu "tu n'es pas ingénieur, on ne peut pas t'embaucher" ou encore "tu n'es pas diplômé, tu ne peux pas avoir ce poste". Donc il reste encore un gros effort… Bref, cette vision fonctionnaire du monde du privée est biaisée. En fait, la plupart des entreprises refusent les embauches sans diplômes. Et qu'un sans diplôme est éternellement en période d'essai.

    Un diplôme ne vaut pas grand chose, voir rien, car les entreprises le savent : cela va leur couter 5 ou 6 ans au bas mot avant d'avoir un salarié réellement productif. Le diplôme n'est qu'une question politique, certainement pas une question technique ou sociale.

    On cherche à nous opposer (public vs privé) : ne tombons pas dans ce panneau, nous sommes complémentaires.

  • # écoles privées / 42/ école publique

    Posté par  . En réponse au journal François Hollande visite 42, non mais allô quoi.... Évalué à 10. Dernière modification le 29 juillet 2015 à 16:30.

    Utiliser 42 pour rabacher un discours sur un vrai problème de fond est au mieux maladroit, au pire malhonnête. L'école publique ne va pas très bien (primaire à qui on demande un rôle parental, collège toujours grande faucheuse sociale, lycée ne prenant pas compte l'allongement de l'adolescence, universités idem avec pour cette dernière un détricottage minutieux de la notion "d'école" pour aller vers "les écoles" [en résumé, c'est de ça dont il s'agit]) OK. C'est intéressant, et pose question quant à ce qui constitue le socle d'une nation de citoyens). Mais vraiment, utiliser la venue du Président François Hollande à 42 pour causer des problèmes des universitaires, c'est capillotracté.

    1/ ça fait trop longtemps que les écoles privées d'ingénieurs degueulent sur le marché des feignasses se croyant arrivées (ce n'est pas de leur faute, c'est ce qu'on leur rabache) qui ne savent faire qu'une seule chose : le "parapluie" («c'est pas chez moi»)
    2/ Le diplôme d'ingénieur en subit les conséquences. Ces écoles ont affaissé, dévalorisé, vendu, l'ingénieur.
    3/ 42 ne prétends pas former des ingénieurs
    4/ 42 apprends la culture du travail

    Alors, vraiment, essayons de cibler correctement les questions. 42 est une vraie bouffée d'oxygène sur le "marché" (sic) de l'éducation privée. Et 42 est également un allié objectif de l'école publique, en participant à redonner ses lettres de noblesses au diplôme d'ingé.

    tankey<, autodidacte

  • [^] # Re: Toulouse

    Posté par  . En réponse au journal Free Mobile: C'est quoi leur projet?. Évalué à 2.

    Un exemple ?
    La Bastide De Serou : c'est pas un patelin paumé dans la montagne, c'est le piémont, avec un golf, et … une antenne posée en hauteur (à Unjat) couvrant tout pour tout les services. SFR ? 5/5 en 3G. Orange ? 1/5 en edge. Au même endroit. Bon, :-/
    Autre exemple ? Seintein (là c'est la montagne) : SFR ok, Orange on cherche tjs. Encore un exemple ? Toute la zone protestante (le meilleur coin d'Ariège :p) au delà du Maz d'Azil, SFR : 5/5, Orange si t'as de la chance tu peux passer un appel vocal.

    (bouygues je ne sais pas, il me semble qu'il couvre seulement les routes et villes principales, mais pas sûr)