Réponse d' un autre modo : j'ai fait le choix d'attendre pour mon vote celui d'autres avant, ayant vu que Pierre avait voté contre. Une fois d'autres choix tombés, j'ai aussi voté pour.
À vrai dire pas parce-que je suis pour ou contre ce style d'ecriture, mais bien plus simplement pour le style de la dépêche. En effet, globalement j'agis de la sorte. Soit la dépêche est factuelle, non personnalisée et adopte un ton neutre (de qualité style wikipedia) et alors je corrigerai au mieux. Soit la dépêche adopte un ton plus personnel, auquel cas le style ne sera pas retouché.
Ces deux styles de dépêches ont leurs avantages et leurs places.
C'est juste ça qui me fera m'adapter, et non un quelconque jugement personnel.
Pour ce qui est de l'écriture inclusive, il s'agit bien d'un acte militant, il me semble au départ utilisé massivement par Zebda, afin de mettre en lumière un manque de notre langue aux yeux de certains : la masculinisation du langage à n. La langue évolue et on ne dit plus madame le président, par exemple. Zenitram a raison sur ce point : c' est bien un acte militant. Il exagère cependant sur les comparaisons et sa généralisation : cela ne blesse ni n'exclue personne. Pour trouver un équivalent réel il faut plutôt chercher vers le vieux langage employant encore madame le président, malgré les réformes successives.
Globalement il n'y a donc aucun jugement qui entre en ligne de compte autre que celui de savoir si le ton employé est personnel ou impersonnel.
Enfin concernant l'aspect sanguin de certains échanges, outre le fait de se focaliser sur de tels détails (au delà, autre qu'une remarque de désapprobation) on peut juste rappeler que cela conduit souvent vers le xkcd : "Someone has wrong on the internet".. dommage.
Puis employer simplement le même ton pour la réponse, surtout sur le sujet du sexisme, où les remarques perçues comme désobligeantes ou stigmatisantes ne sont en fait souvent qu'une écriture équivalente à une mauvaise blague quasi culturelle accompagnée de son ton sarcastique (ou ironique dans le meilleur des cas). La réponse serait donc meilleure, certainement, si elle employait simplement le même ton et le même mode sans ajouter de couche de moralisation 'someone has wrong', encore moins de violence.
Bravo et Merci !
Pour la Belgique, cela permettra à la fameuse ville de Mons (connue pour ses scènes culturelle, musicale et logiciels libres) d'être dans l'AdL.
Signalons aussi que la «Tribue des Gelbes» accueille chaleureusement une méga moulebouffe le week-end du 13 aout.
Seront présents :
2petitsverres<
Alenvers<
Altor<
Claudex<
Krunch<
Madame_alenvers<
Seeschloß<
Tankey<
et des guests stars de dernière minute
Cela sera aussi l'occasion de visiter cette belle ville de Bruxelles, de jour & de nuit ! Les thèmes évoqués iront du pilotage de satellites à la conception de vaisseaux spatiaux, en passant par FreeBSD, KDE en production, l'imagerie satellite, la bio-informatique, la visualisation pour les big-datas, le domptage de pare-feu poilus, la vie ministérielle, le contrôle qualité avionique, la modélisation mathématique du piano, de GNU, de GNU et encore de GNU, l'avenir des bouchots et des c², le programme de Jean-Luc Mélenchon, ou l'incubation d'excellence en milieu urbain.
Je l'ai utilisé, au quotidien, pendant une dizaine de mois, sur un serveur dédié au DC3 (donc un double xeon avec 16go de ram, la base là bas). CozyCloud fonctionne plutôt bien (une vidéo si tu veux, elle date un peu). Ce qui me déplait :
le client mail : il ne suit qu'une seule RFC dont pas fichu de fonctionner avec de vieux systèmes (plus les ref en tête, désolé) quant n'importe quel autre (kmail, thunderbird, evolution, celui de nextcloud, et j'en passe) fonctionne avec de vieux systèmes de mails
l'import google photos : il ne se rends compte d'aucun fail, donc on se retrouve avec une page de miniatures/accueil pleine de trous. Comme il n'y a aucun fonction de synchro disponible, ça restera comme ça. Bizzarement en passant par l'export des données de google, puis l'import dans Cozy à la main, ça fonctionne.
La lenteur ahurissante pour afficher une page contenant moins de 1000 miniatures d'images, et qui sera rechargé de zéro à chaque fois, surtout ça.
npm, ce truc me file des boutons.
Donc, amha, c'est du à la jeunesse du projet. Et tout ceci va s'améliorer avec le temps (à part le client mail, j'ai cru comprendre dans les réponses du forum que ça bougera jamais, trop compliqué)
Je viens de passer à NextCloud, il y a tout juste 15 jours. C'est un autre monde, pas comparable. J'avais besoin de pouvoir partager des fichiers et gérer des utilisateurs, en plus nextcloud intègre videojs, c'est vraiment sympa d'avoir du streaming vidéo en deux cliqous pour les gens.
Je reviendrais à n'en pas douter sur CozyCloud. Mais pas maintenant.
M'enfin, ce que j'attends surtout d'un "cloud" ce sont les réplicats faciles sur d'autres serveurs, la synchro et le failover (voir un eq à pacemaker). Sans cela, c'est juste de belles WUI pour des fonctions sommes toutes basiques. Ce qui est drôle c'est que mon "trop vieux serveur de mail tout pourri", lui fait ça en 2 lignes de shell, nativement.
J'ajouterai "à ne poster sur le contexte mais seulement sur le contenu", donc ne pas s'attacher au cheminement qui a suivi la décision, mais seulement à celui qui mené à la décision.
Mes deux cents, pour un exposé clair.
Attention à noter que poster ici peut mettre en porte à faux quelqu'un de précieux pour la communauté. Savoir qu'il ne pourra ni répondre personnellement ni répondre officiellement peut conduire à des situations que personne ne souhaite. Personne (je pense). Donc attention à vous lecteurs de garder la capacité de différenciation. Et merci, Gelnior<, de penser et de porter attention aux autres avant de poster.
mes deux cents (qui ont la chance, eux, de rester indépendant et non impliqués.)
Posté par bubar🦥 .
En réponse au journal Mon Backup de backup.
Évalué à 8.
Dernière modification le 26 juillet 2016 à 11:15.
Cette distinction sauvegarde/archivage, c’est une distinction de technicien
Non. Vraiment pas.
Seul l'utilisateur connait sa donnée. C'est le seul en mesure de savoir ce qui doit être archivé.
L'archive relève donc entièrement de la responsabilité de l'utilisateur.
Nous sommes là dans un sujet de conservation et de pérennisation de patrimoine. Ici l'informatique n'intervient que pour mettre à disposition de l'espace et un outil. L'outil d'archivage doit être manipulé par les utilisateurs exclusivement.
Pour la sauvegarde, l'informatique intervient à tout les niveaux : donner le service dans des contraintes mutuellement comprises d'espace et de temps, rendre le service selon les contraintes mutuellement définies (& avoir à disposition de l'espace et de l'outillage.)
Le fait d'avoir du mal à distinguer ce qui doit être archivé de ce qui doit être sauvegardé et de ce qui ne doit pas l'être est un problème humain, et pas technique. Ce problème est certes commun et partagé par le technicien et l'usager, oui :-)) Mais cela n'en fait pas une raison pour que l'usager délègue la responsabilité du choix de ce qui doit être archivé au technicien.
C'est vraiment primordial cette histoire.
Les sauvegardes sont décidées initialement par l'usager. Puis le service est rendu par le technicien informatique.
L'archivage doit être maintenu par l'utilisateur.
Si tu n'as pas ce problème, alors tu n'as pas de question d'archivage. Tu as juste un problème de dates à tes sauvegardes ;-)
Posté par bubar🦥 .
En réponse au journal Mon Backup de backup.
Évalué à 4.
Dernière modification le 26 juillet 2016 à 11:27.
QNAP TS-509 Pro (..) relié en NFS à mon réseau local ( …) un autre NAS (…) fait le rsync sur un disque relié en e-sata.
C'est pas si compliqué que ça :-)
une sorte de dico des inodes en mémoire.
Ce sont les dentries, qui n'existent que pour ça. Et c'est sur ça que joue les liens. La dentry référence donc un nom de fichier à un numéro d'inode et à son dossier parent. Le fait de stocker à part les noms remonte à l'invention des hardlinks (c'est aujourd'hui critiqué, il me semble amha toussa) d'avoir séparé les deux, et la notion même de hardlink est critiquée (du moins, à ce niveau là) Les inodes, quant à elles, contiennent des méta-données (permissions bases par exemple, bref, "l'index du noeud")
Le débit est effectivement très faible… Ce n’est pas du débit pur, sachant que pour les hardkinks il faut stocker une sorte de dico des inodes en mémoire. En fait, j’ai l’impression qu’il diminue fortement avec le temps (sans doute dès qu’il utilise le swap ???) (…) Hélas, je ne me souviens pas de tout ce que j’ai essayé !
Tu devrais essayer un bon vieux logiciel tel que cpdup qui est fait pour ça :
The cpdup utility makes an exact mirror copy of the source in the destination, creating and deleting files and directories as necessary. utimes, hardlinks, softlinks, devices, permissions, and flags are mirrored
à priori il rencontre la même difficulté que toutes autres solutions lorsqu'il s'agit de créer des hardlinks : maintenir la table est couteux en ressources. Mais il n'a pas ce problème lorsqu'il s'agit de copier une structure existante, avec de nombreux hardlinks déjà présents. Si ceci, après tes tests, se confirme, alors tu as une réponse à ta question initiale « mon backup de backup »
Posté par bubar🦥 .
En réponse au journal Mon Backup de backup.
Évalué à 4.
Dernière modification le 26 juillet 2016 à 10:06.
La différenciation sauvegarde/archivage est super saine… Mais elle ne résiste pas à l’UX des personnes pour lesquelles je fais cette sauvegarde.
C'est parce qu'ils n'ont pas compris la différence.
C'est très courant, les utilisateurs (même scientifiques) ne voient pas, ne veulent pas voir, le "côté informatique". Et perso je ne leur jette pas la pierre puisque mon expérience fait que je vois des architecctes qui eux mêmes n'ont aucune conscience des outils et organisation qu'ils inventent, aujourd'hui des gens sont propulsés architectes sans aucune expérience technique de terrain. Bon revenons à nos moutons, ce n'est pas le sujet, il s'agissait juste d'illustrer le fait qu'il est difficile de reprocher quoi que ce soit aux utilisateurs lorsque nos propres collègues ne comprennent pas les enjeux techniques et financiers de leur solutions. Ajoutons à cela bon nombre de gens du métier qui voudraient faire comprendre les tenants et aboutissants de chaque contrainte et solution technique à leurs utilisateurs. Au final, c'est pas gagné :)
Pour faire comprendre il faut illustrer. Pour illustrer il faut des chiffres. Pour faire parler des chiffres il faut parler du besoin. Pour faire parler les utilisateurs de leur besoin il faut poser les bases et leur donner les bons outils d'expression :
a) retour en service
b) quantité
c) durée de conservation
Ça a l'air con comme ça, mais c'est bien le centre de la question : exprimer les contraintes techniques pour ajuster la réponse au besoin. Lorsqu'on annonce clairement que le temps de restauration sera de cinq jours, il faut bien que les utilisateurs comprennent que c'est cinq jours de service sans données disponibles … Et ça, en général, ils comprennent bien.
Cela permet de poser ensemble le problème mais selon leur vision à eux, qui est générale binaire :
La donnée qui doit être disponible le plus vite possible en cas de restauration.
La donnée qui n'est pas indispensable à un retour rapide de service.
Voilà, on a nos deux ensembles, les deux seuls réellement indispensables. Tout le reste, dessous, c'est du métier, de la tambouille interne.
Au final je dirais bien humblement qu'il faut distinguer non pas deux mais trois différences. Pas seulement la distinction sauvegarde / archivage, mais des différences en terme de date : retour rapide / restauration partielle / restauration complète.
il y a plusieurs cas avec récupération de données assez anciennes.
C'est (je trouve aussi, toujours amha) le second point, une fois le premier correctement posé et expliqué. C'est la date limite de conservation du produit, au delà de laquelle il sera périmé. Et cela permet d'illustrer parfaitement la différence en terme de temps à retour de service.
Au final, cela fait un tableau de ce genre :
les temps à retour attendu de services (retour rapide / restauration partielle / restauration complète)
les estimations de poids nécessaires à ces services.
elles ne le feront pas elles-mêmes
Non, car ce n'est ni leur job ni une nécessité pour eux.
Par contre la gestion de l'archivage est de leur responsabilité. Au final ils doivent faire deux choses :
Désigner initialement ce qui sera sauvegardé (à faire une seule fois au début, puis rarement en cas de modif).
Et gérer ce qui devra être archivé (à faire de manière régulière)
On ne bascule pas une sauvegarde en archive, et on ne sert pas d'un archivage pour des sauvegardes. Les seules personnes à même de savoir ce qui doit être archivé ce sont les utilisateurs. Qu'ils dérapent et que ça ne soit pas parfait n'est pas ton problème, et rien n'est jamais parfait. La sauvegarde c'est toi, l'archivage tu te contente de leur fournir de l'espace et un outil.
tl;dr, un peu blabla, désolé.
et on va laisser de côté le vocabulaire bingoloto du genre "dé-duplication / ré-hydratation de la donnée" …
Oupss, désolé Albert, ai répondu au premier commentaire avant de voir le tiens. Cela aurait été mieux de rebondir sur le tiens vu qu'on expose deux avis différents avec deux argumentations différentes.
Posté par bubar🦥 .
En réponse au journal La déception skype.
Évalué à 2.
Dernière modification le 19 juillet 2016 à 11:32.
Skype fonctionnait merveilleusement bien au début et au milieu des années 2000. Et bien intégré en plus.
Cela fonctionnait tellement bien, et par ailleurs assez "respecté" par des experts en sécurité, que de nombreuses personnes ont adopté Skype, même sur Linux. S'en suivit le bouche à oreille, le fameux cercle vertueux était lancé, les utilisateurs toujours plus nombreux. Bref, Skype was everywhere. Logiquement Skype est devenue attrayant, autant pour les investisseurs que les fossoyeurs.
Et parfois, il arrive que l'investisseur devienne le fossoyeur.
Skype est découpé en tranches (techniques ou de services, peu importe) entre Lync pour les entreprises et Facebook messenger pour les particuliers. Est ce une volonté ou simplement un état de fait qui mène à ce semblant d'indécision actuelle (qui ressemble à un "laissons le mourir de sa belle mort") ? Aucune idée, me gardant bien de juger sur une hypothèse. Ce qui semble sûr c'est que Skype se meurt.
Pareil, obligé de remplir ce type de formulaire, il m'a fallu passer par playonlinux/wine + adobe reader.
C'est désolant qu'après toutes ces années de "référentiel d'interopérabilité" et de consignes ministérielles, certains formulaires n'aient toujours pas été mis à jour.
Je comprends tout à fait ce que tu sous-entends dans ces commentaires et comprends la problématique globale posée par cela, cependant je m'abstiens de tout jugement personnel et ne fais que relayer l'existant : oui ç ça peut être en théorie sujet à discussion, et non dans les faits ça ne l'est jamais car le droit légal encadrant la protection de la nation sera par défaut le cadre global dès lors qu'une de ces questions est abordée. That's all. Donc un "LE dépôt fourni par l'administration" ne peut s'entendre de facto que comme en dehors de ce cadre légal particulier.
Fork_bomb< maintient un site, des plus agréables, logguant tout ce qu'il s'y passe. L'adresse revient souvent sur la ³bune, il suffit d'y perdre son temps pour ne pas avoir à le faire.
Les gens de GRsec parlent aux gens de Kernel.org maintenant, d'une manière très apaisée et constructive. Pas mal de choses sont en train d'être mergées dans next venant de Brillo Sec, de GRsec et de OpenWall. Ça aussi c'est une super nouvelle :-)
Posté par bubar🦥 .
En réponse au journal Nuit du Hack 2016 & ANSSI.
Évalué à 2.
Dernière modification le 06 juillet 2016 à 19:09.
Merci beaucoup pour ce retour, je regrette de ne pas avoir pu y assister (en plus les évènements organisés par hzn sont plutôt sympas en général, en tout cas les ndh du milieu des années 2000 étaient vraiment chouettes).
Perso j'apprécie le côté que tu décris : qu'ils préfèrent s'abstraire du matériel, car on a un meilleur contrôle sur le logiciel.
Bon le discours était un peu confus, au final je pense personnellement que ça va resté cantonné chez eux
Ils n'ont clairement pas les moyens, le soutien, qui leur permettraient de mettre en œuvre le nécessaire : publication de ce qui peut l'être, tel qu'un guide de recommandation, des bonnes pratiques et des recettes, et distribution séparée pour l'interne et les partenaires. Quant on pense qu'aux usa leur équivalent propose même un dépôt pour Fedora, avec un skin (bon, c'est vieux ça, ils ne l'ont pas mis à jour pour gnome3) permettant de déguiser totalement un bureau gnome en bureau XP pour ne pas éveiller l'intérêt dans les lieux publics tels que les avions et les trains.
Bref, c'est super que l'ANSSI commence ce genre de démarche.
La page wikipedia fourmille de références. Tu verra qu'il n'y aurait même pas besoin de spécifier un genre de "sauf dans le cas défense" si une loi telle que "tout les logiciels publiés par l'état seront maintenant en opensource". Même pas besoin : le cadre légal de la protection de la nation prends le pas par défaut.
Ça c'est mon côté chipoteur, mais si c'est une loi, ça n'est pas dérogeable. Comment l'industrie de défense fait pour le classifié ?
Si bien sûr que c'est "dérogeable". Et c'est même par défaut et de facto que le "défense" ne rentre pas dans ce cadre. En fait il n'y a même pas besoin de "dérogation" pour ce type de cadre.
Si une telle loi était promulguée en France, elle ne poserait absolument aucun problème pour la Défense.
Certains produits NASA sont soumis à d'autres règles au dessus de la licence. Par exemple les AIRS (sondeurs infrarouge pointés vers la terre) sont sous licence NASA le plus souvent mais ne sont pas distribuables en dehors d'un certains nombres de pays, la liste est précise. Ces limitations ne sont pas des limitations internes NASA mais imposées par le gouvernement fédéral.
Pour les apps et logiciels c'est plus clair : il y a différentes licences utilisées (dont la NASA elle même) et les limitations ne s'appliquent que sur ce qui n'est pas taggué "open source". En tout cas je n'ai jamais vu de contradiction pour leurs logiciels.
Posté par bubar🦥 .
En réponse à la dépêche Slackware 14.2.
Évalué à 5.
Dernière modification le 04 juillet 2016 à 18:50.
Ce subtil troll n'était pas présent initialement, il a été introduit en enlevant une partie de la phrase («of the») initiale exacte, ce qui change un peu son sens et introduit un joli troll sujet à discussion.
you'll find two of the most advanced desktop environments available today
Module Intel ? ne serait pas plutôt un bug du noyal que le bureau ne bypass pas ?
Essai de configurer un raccourci clavier pour augmenter/baisser la luminosité, souvent ça suffit.
J'ai eu ça pendant qq temps sur un ancien portable, il m' a fallut plusieurs fois avant d'essayer ce truc là :p
Posté par bubar🦥 .
En réponse au journal La pétition anti Brexit.
Évalué à 10.
Dernière modification le 26 juin 2016 à 14:31.
Il suffit de voir la corrélation entre le vote Leave et le niveau d'éducation
Intéressant mais pas vraiment suffisant.
C'est une stat parmi d'autres, sortie seule elle met en exergue une partie du problème, mais ne suffit pas à l'expliquer (ou alors en faisant la même chose que plus bas)
On peut en outre faire dire autre chose à cette statistique : ce sont les bourgeois qui ont votés pour le brexit. Oui, les vieux ne sont pas exactement les mêmes que les défavorisés : ils ne sont pas "que" vieux, ils sont également relativement bien natis : propriétaires, jouissance d'un niveau de vie plus que correct
dans des provinces sinistrées
90% de la population d'Angleterre est urbaine. 90%.
En Angleterre les marchés de l'immobilier se composent d'une énorme part de marché résidentiel, dans lequel l'usage de la propriété privé est la grande majorité (70% des anglais vivent dans le logement dont ils sont propriétaires). Le marché commercial. Et le marché rural. Ce dernier est également intéressant car il a connu une baisse de sa valeur de 70% en 10 ans. Essentiellement du à … la politique interne du Royaume-Uni sur sa propre politique agricole (crise successive, vache folle puis plus récemment fièvre aphteuse, nombreuses interdiction d'exportation…Ce sont les résultats directs et exclusif de la politique interne à l'Angleterre, et pas de la politique Européenne.
La dé-sindustrilisation et le dumping social imposé par Tatcher a fait ressentir ses violents effets jusqu'au milieu des années 2000, et là encore ce ne sont pas des "provinces" mais des zones.
Il n'est donc pas exact de parler de "provinces", on y appliquerait un peu trop facilement la répartition fr_fr sur la gb, ce qui est à minima incorrect.
De plus les "zones sinistrées" ne suffisent pas non plus à expliquer le vote, une bonne partie de ces zones a votée pour le maintien dans l'Europe, si on regarde plus loins que la seule Angleterre, mais pour tout le Royaume-(?)Uni : Irlande du Nord et Pays de Galle ne sont pas vraiment privilégiés comme la City … Ils ont cependant vu tout deux les bénéfices de la ré-distribution des fonds européens [EDIT : ajout] et ils ont pourtant voté l'un pour le maintien l'autre pour la sortie.
Enfin, et ceci enfonce le clou de vote d'une certaine bourgeoisie contre le maintien : les zones dites "stations touristiques et balnéaires" ont votés pour le brexit. Là encore, ce ne sont ni des gens de peu d'éducation ni des gens dans la difficulté économique.
En bref, résumé par l'analyse "ce sont les sans éducation" qui ont votés brexit" est aussi faux que "ce sont les bourgeois qui ont votés brexit" si l'une d'elle est présentée seule. Les deux sont vrais. Mais ensemble.
Il y a à la fois une partie des déshérités du tatchersime, clairement, et à la fois une partie de la bourgeoisie anglaise (noblesse), celle vivant en dehors de la city.
une flagrante démonstration des problèmes de la démocratie directe.
Une flagrante démonstration de l'impact de la manipulation médiatique et politique avant tout. La démocratie directe ne peut être qu'avec des "avis éclairé". Là on en est loin, très loin. Ce n'est pas la démocratie directe qui est en cause, mais la manière dont la démocratie est animée par cette classe politique et les arguments donnés aux gens.
Et il faut insister sur le "médiatique" car c'est seulement avec l'aval et le consentement des médias que les politiques peuvent proférés autant de mensonges aussi longtemps.
[^] # Re: Modération?
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Unixcorn, trois mois plus tard : évolutions, remises en questions et stabilisation. Évalué à 9. Dernière modification le 09 août 2016 à 01:00.
Réponse d' un autre modo : j'ai fait le choix d'attendre pour mon vote celui d'autres avant, ayant vu que Pierre avait voté contre. Une fois d'autres choix tombés, j'ai aussi voté pour.
À vrai dire pas parce-que je suis pour ou contre ce style d'ecriture, mais bien plus simplement pour le style de la dépêche. En effet, globalement j'agis de la sorte. Soit la dépêche est factuelle, non personnalisée et adopte un ton neutre (de qualité style wikipedia) et alors je corrigerai au mieux. Soit la dépêche adopte un ton plus personnel, auquel cas le style ne sera pas retouché.
Ces deux styles de dépêches ont leurs avantages et leurs places.
C'est juste ça qui me fera m'adapter, et non un quelconque jugement personnel.
Pour ce qui est de l'écriture inclusive, il s'agit bien d'un acte militant, il me semble au départ utilisé massivement par Zebda, afin de mettre en lumière un manque de notre langue aux yeux de certains : la masculinisation du langage à n. La langue évolue et on ne dit plus madame le président, par exemple. Zenitram a raison sur ce point : c' est bien un acte militant. Il exagère cependant sur les comparaisons et sa généralisation : cela ne blesse ni n'exclue personne. Pour trouver un équivalent réel il faut plutôt chercher vers le vieux langage employant encore madame le président, malgré les réformes successives.
Globalement il n'y a donc aucun jugement qui entre en ligne de compte autre que celui de savoir si le ton employé est personnel ou impersonnel.
Enfin concernant l'aspect sanguin de certains échanges, outre le fait de se focaliser sur de tels détails (au delà, autre qu'une remarque de désapprobation) on peut juste rappeler que cela conduit souvent vers le xkcd : "Someone has wrong on the internet".. dommage.
Puis employer simplement le même ton pour la réponse, surtout sur le sujet du sexisme, où les remarques perçues comme désobligeantes ou stigmatisantes ne sont en fait souvent qu'une écriture équivalente à une mauvaise blague quasi culturelle accompagnée de son ton sarcastique (ou ironique dans le meilleur des cas). La réponse serait donc meilleure, certainement, si elle employait simplement le même ton et le même mode sans ajouter de couche de moralisation 'someone has wrong', encore moins de violence.
Et puis on passe à autre chose.
Mes deux cents.
# Bravo
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Agenda du Libre pour la semaine 32 de l'année 2016. Évalué à 2.
Bravo et Merci !
Pour la Belgique, cela permettra à la fameuse ville de Mons (connue pour ses scènes culturelle, musicale et logiciels libres) d'être dans l'AdL.
# Autre MouleBouffe
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Moulebouffe parisienne ce soir. Évalué à 7. Dernière modification le 30 juillet 2016 à 11:37.
Signalons aussi que la «Tribue des Gelbes» accueille chaleureusement une méga moulebouffe le week-end du 13 aout.
Seront présents :
Cela sera aussi l'occasion de visiter cette belle ville de Bruxelles, de jour & de nuit ! Les thèmes évoqués iront du pilotage de satellites à la conception de vaisseaux spatiaux, en passant par FreeBSD, KDE en production, l'imagerie satellite, la bio-informatique, la visualisation pour les big-datas, le domptage de pare-feu poilus, la vie ministérielle, le contrôle qualité avionique, la modélisation mathématique du piano, de GNU, de GNU et encore de GNU, l'avenir des bouchots et des c², le programme de Jean-Luc Mélenchon, ou l'incubation d'excellence en milieu urbain.
[^] # Re: J'aimerais voir ceux qui ont coché Cozy
Posté par bubar🦥 . En réponse au sondage Votre « cloud » privé favori. Évalué à 9. Dernière modification le 27 juillet 2016 à 22:52.
Je l'ai utilisé, au quotidien, pendant une dizaine de mois, sur un serveur dédié au DC3 (donc un double xeon avec 16go de ram, la base là bas). CozyCloud fonctionne plutôt bien (une vidéo si tu veux, elle date un peu). Ce qui me déplait :
Donc, amha, c'est du à la jeunesse du projet. Et tout ceci va s'améliorer avec le temps (à part le client mail, j'ai cru comprendre dans les réponses du forum que ça bougera jamais, trop compliqué)
Je viens de passer à NextCloud, il y a tout juste 15 jours. C'est un autre monde, pas comparable. J'avais besoin de pouvoir partager des fichiers et gérer des utilisateurs, en plus nextcloud intègre videojs, c'est vraiment sympa d'avoir du streaming vidéo en deux cliqous pour les gens.
Je reviendrais à n'en pas douter sur CozyCloud. Mais pas maintenant.
M'enfin, ce que j'attends surtout d'un "cloud" ce sont les réplicats faciles sur d'autres serveurs, la synchro et le failover (voir un eq à pacemaker). Sans cela, c'est juste de belles WUI pour des fonctions sommes toutes basiques. Ce qui est drôle c'est que mon "trop vieux serveur de mail tout pourri", lui fait ça en 2 lignes de shell, nativement.
[^] # Re: La version officielle
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Cozy cloud, maif et licenciement du CTO???. Évalué à 1. Dernière modification le 26 juillet 2016 à 18:45.
J'ajouterai "à ne poster sur le contexte mais seulement sur le contenu", donc ne pas s'attacher au cheminement qui a suivi la décision, mais seulement à celui qui mené à la décision.
Mes deux cents, pour un exposé clair.
Attention à noter que poster ici peut mettre en porte à faux quelqu'un de précieux pour la communauté. Savoir qu'il ne pourra ni répondre personnellement ni répondre officiellement peut conduire à des situations que personne ne souhaite. Personne (je pense). Donc attention à vous lecteurs de garder la capacité de différenciation. Et merci, Gelnior<, de penser et de porter attention aux autres avant de poster.
mes deux cents (qui ont la chance, eux, de rester indépendant et non impliqués.)
[^] # Re: méthode brute ?
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Mon Backup de backup. Évalué à 8. Dernière modification le 26 juillet 2016 à 11:15.
Non. Vraiment pas.
Seul l'utilisateur connait sa donnée. C'est le seul en mesure de savoir ce qui doit être archivé.
L'archive relève donc entièrement de la responsabilité de l'utilisateur.
Nous sommes là dans un sujet de conservation et de pérennisation de patrimoine. Ici l'informatique n'intervient que pour mettre à disposition de l'espace et un outil. L'outil d'archivage doit être manipulé par les utilisateurs exclusivement.
Pour la sauvegarde, l'informatique intervient à tout les niveaux : donner le service dans des contraintes mutuellement comprises d'espace et de temps, rendre le service selon les contraintes mutuellement définies (& avoir à disposition de l'espace et de l'outillage.)
Le fait d'avoir du mal à distinguer ce qui doit être archivé de ce qui doit être sauvegardé et de ce qui ne doit pas l'être est un problème humain, et pas technique. Ce problème est certes commun et partagé par le technicien et l'usager, oui :-)) Mais cela n'en fait pas une raison pour que l'usager délègue la responsabilité du choix de ce qui doit être archivé au technicien.
C'est vraiment primordial cette histoire.
Les sauvegardes sont décidées initialement par l'usager. Puis le service est rendu par le technicien informatique.
L'archivage doit être maintenu par l'utilisateur.
Si tu n'as pas ce problème, alors tu n'as pas de question d'archivage. Tu as juste un problème de dates à tes sauvegardes ;-)
[^] # Re: .
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Mon Backup de backup. Évalué à 2.
Avec une référence :
https://lwn.net/Articles/416494/
[^] # Re: .
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Mon Backup de backup. Évalué à 4. Dernière modification le 26 juillet 2016 à 11:27.
C'est pas si compliqué que ça :-)
Ce sont les
dentries
, qui n'existent que pour ça. Et c'est sur ça que joue les liens. Ladentry
référence donc un nom de fichier à un numéro d'inode et à son dossier parent. Le fait de stocker à part les noms remonte à l'invention des hardlinks (c'est aujourd'hui critiqué, il me semble amha toussa) d'avoir séparé les deux, et la notion même de hardlink est critiquée (du moins, à ce niveau là) Lesinodes
, quant à elles, contiennent des méta-données (permissions bases par exemple, bref, "l'index du noeud")Tu devrais essayer un bon vieux logiciel tel que
cpdup
qui est fait pour ça :à priori il rencontre la même difficulté que toutes autres solutions lorsqu'il s'agit de créer des hardlinks : maintenir la table est couteux en ressources. Mais il n'a pas ce problème lorsqu'il s'agit de copier une structure existante, avec de nombreux hardlinks déjà présents. Si ceci, après tes tests, se confirme, alors tu as une réponse à ta question initiale « mon backup de backup »
[^] # Re: méthode brute ?
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Mon Backup de backup. Évalué à 4. Dernière modification le 26 juillet 2016 à 10:06.
C'est parce qu'ils n'ont pas compris la différence.
C'est très courant, les utilisateurs (même scientifiques) ne voient pas, ne veulent pas voir, le "côté informatique". Et perso je ne leur jette pas la pierre puisque mon expérience fait que je vois des architecctes qui eux mêmes n'ont aucune conscience des outils et organisation qu'ils inventent, aujourd'hui des gens sont propulsés architectes sans aucune expérience technique de terrain. Bon revenons à nos moutons, ce n'est pas le sujet, il s'agissait juste d'illustrer le fait qu'il est difficile de reprocher quoi que ce soit aux utilisateurs lorsque nos propres collègues ne comprennent pas les enjeux techniques et financiers de leur solutions. Ajoutons à cela bon nombre de gens du métier qui voudraient faire comprendre les tenants et aboutissants de chaque contrainte et solution technique à leurs utilisateurs. Au final, c'est pas gagné :)
Pour faire comprendre il faut illustrer. Pour illustrer il faut des chiffres. Pour faire parler des chiffres il faut parler du besoin. Pour faire parler les utilisateurs de leur besoin il faut poser les bases et leur donner les bons outils d'expression :
a) retour en service
b) quantité
c) durée de conservation
Ça a l'air con comme ça, mais c'est bien le centre de la question : exprimer les contraintes techniques pour ajuster la réponse au besoin. Lorsqu'on annonce clairement que le temps de restauration sera de cinq jours, il faut bien que les utilisateurs comprennent que c'est cinq jours de service sans données disponibles … Et ça, en général, ils comprennent bien.
Cela permet de poser ensemble le problème mais selon leur vision à eux, qui est générale binaire :
La donnée qui doit être disponible le plus vite possible en cas de restauration.
La donnée qui n'est pas indispensable à un retour rapide de service.
Voilà, on a nos deux ensembles, les deux seuls réellement indispensables. Tout le reste, dessous, c'est du métier, de la tambouille interne.
Au final je dirais bien humblement qu'il faut distinguer non pas deux mais trois différences. Pas seulement la distinction sauvegarde / archivage, mais des différences en terme de date : retour rapide / restauration partielle / restauration complète.
C'est (je trouve aussi, toujours amha) le second point, une fois le premier correctement posé et expliqué. C'est la date limite de conservation du produit, au delà de laquelle il sera périmé. Et cela permet d'illustrer parfaitement la différence en terme de temps à retour de service.
Au final, cela fait un tableau de ce genre :
les temps à retour attendu de services (retour rapide / restauration partielle / restauration complète)
les estimations de poids nécessaires à ces services.
Non, car ce n'est ni leur job ni une nécessité pour eux.
Par contre la gestion de l'archivage est de leur responsabilité. Au final ils doivent faire deux choses :
Désigner initialement ce qui sera sauvegardé (à faire une seule fois au début, puis rarement en cas de modif).
Et gérer ce qui devra être archivé (à faire de manière régulière)
On ne bascule pas une sauvegarde en archive, et on ne sert pas d'un archivage pour des sauvegardes. Les seules personnes à même de savoir ce qui doit être archivé ce sont les utilisateurs. Qu'ils dérapent et que ça ne soit pas parfait n'est pas ton problème, et rien n'est jamais parfait. La sauvegarde c'est toi, l'archivage tu te contente de leur fournir de l'espace et un outil.
tl;dr, un peu blabla, désolé.
et on va laisser de côté le vocabulaire bingoloto du genre "dé-duplication / ré-hydratation de la donnée" …
[^] # Re: skype va mourir sous linux comme prevu
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal La déception skype. Évalué à 2.
Oupss, désolé Albert, ai répondu au premier commentaire avant de voir le tiens. Cela aurait été mieux de rebondir sur le tiens vu qu'on expose deux avis différents avec deux argumentations différentes.
[^] # Re: skype va mourir
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal La déception skype. Évalué à 2. Dernière modification le 19 juillet 2016 à 11:32.
Skype fonctionnait merveilleusement bien au début et au milieu des années 2000. Et bien intégré en plus.
Cela fonctionnait tellement bien, et par ailleurs assez "respecté" par des experts en sécurité, que de nombreuses personnes ont adopté Skype, même sur Linux. S'en suivit le bouche à oreille, le fameux cercle vertueux était lancé, les utilisateurs toujours plus nombreux. Bref, Skype was everywhere. Logiquement Skype est devenue attrayant, autant pour les investisseurs que les fossoyeurs.
Et parfois, il arrive que l'investisseur devienne le fossoyeur.
Skype est découpé en tranches (techniques ou de services, peu importe) entre Lync pour les entreprises et Facebook messenger pour les particuliers. Est ce une volonté ou simplement un état de fait qui mène à ce semblant d'indécision actuelle (qui ressemble à un "laissons le mourir de sa belle mort") ? Aucune idée, me gardant bien de juger sur une hypothèse. Ce qui semble sûr c'est que Skype se meurt.
# & les petits bots suivent
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Microsoft ♥ Docker. Évalué à 3.
Et un petit bot des Romulans pour discuter entre eux sera disponible demain à tout les membres de la Fédération.
[^] # Re: POL+Reader windows
Posté par bubar🦥 . En réponse au message PDF avec champs interactifs. Évalué à 4. Dernière modification le 11 juillet 2016 à 23:11.
Pareil, obligé de remplir ce type de formulaire, il m'a fallu passer par playonlinux/wine + adobe reader.
C'est désolant qu'après toutes ces années de "référentiel d'interopérabilité" et de consignes ministérielles, certains formulaires n'aient toujours pas été mis à jour.
[^] # Re: tribune (résumé)
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal LinuxFr.org : seconde quinzaine de juin 2016. Évalué à 1.
C'est à cause des petits gris qui orbitent à 1M km de la terre en héliosynchrone. Les petits gris sont très exigents. [:zino]
[^] # Re: J'attends les contentieux
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Nouvelles Open-Source de Bulgarie. Évalué à 3. Dernière modification le 06 juillet 2016 à 21:57.
Je comprends tout à fait ce que tu sous-entends dans ces commentaires et comprends la problématique globale posée par cela, cependant je m'abstiens de tout jugement personnel et ne fais que relayer l'existant : oui ç ça peut être en théorie sujet à discussion, et non dans les faits ça ne l'est jamais car le droit légal encadrant la protection de la nation sera par défaut le cadre global dès lors qu'une de ces questions est abordée. That's all. Donc un "LE dépôt fourni par l'administration" ne peut s'entendre de facto que comme en dehors de ce cadre légal particulier.
[^] # Re: tribune (résumé)
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal LinuxFr.org : seconde quinzaine de juin 2016. Évalué à 1. Dernière modification le 06 juillet 2016 à 21:11.
Fork_bomb< maintient un site, des plus agréables, logguant tout ce qu'il s'y passe. L'adresse revient souvent sur la ³bune, il suffit d'y perdre son temps pour ne pas avoir à le faire.
[^] # Re: Disponibilité
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Nuit du Hack 2016 & ANSSI. Évalué à 2.
Les gens de GRsec parlent aux gens de Kernel.org maintenant, d'une manière très apaisée et constructive. Pas mal de choses sont en train d'être mergées dans next venant de Brillo Sec, de GRsec et de OpenWall. Ça aussi c'est une super nouvelle :-)
[^] # Re: Disponibilité
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Nuit du Hack 2016 & ANSSI. Évalué à 2. Dernière modification le 06 juillet 2016 à 19:09.
Merci beaucoup pour ce retour, je regrette de ne pas avoir pu y assister (en plus les évènements organisés par hzn sont plutôt sympas en général, en tout cas les ndh du milieu des années 2000 étaient vraiment chouettes).
Perso j'apprécie le côté que tu décris : qu'ils préfèrent s'abstraire du matériel, car on a un meilleur contrôle sur le logiciel.
Ils n'ont clairement pas les moyens, le soutien, qui leur permettraient de mettre en œuvre le nécessaire : publication de ce qui peut l'être, tel qu'un guide de recommandation, des bonnes pratiques et des recettes, et distribution séparée pour l'interne et les partenaires. Quant on pense qu'aux usa leur équivalent propose même un dépôt pour Fedora, avec un skin (bon, c'est vieux ça, ils ne l'ont pas mis à jour pour gnome3) permettant de déguiser totalement un bureau gnome en bureau XP pour ne pas éveiller l'intérêt dans les lieux publics tels que les avions et les trains.
Bref, c'est super que l'ANSSI commence ce genre de démarche.
[^] # Re: J'attends les contentieux
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Nouvelles Open-Source de Bulgarie. Évalué à 4. Dernière modification le 06 juillet 2016 à 18:32.
Non vraiment pas.
La page wikipedia fourmille de références. Tu verra qu'il n'y aurait même pas besoin de spécifier un genre de "sauf dans le cas défense" si une loi telle que "tout les logiciels publiés par l'état seront maintenant en opensource". Même pas besoin : le cadre légal de la protection de la nation prends le pas par défaut.
[^] # Re: J'attends les contentieux
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Nouvelles Open-Source de Bulgarie. Évalué à 3. Dernière modification le 06 juillet 2016 à 11:28.
Si bien sûr que c'est "dérogeable". Et c'est même par défaut et de facto que le "défense" ne rentre pas dans ce cadre. En fait il n'y a même pas besoin de "dérogation" pour ce type de cadre.
Si une telle loi était promulguée en France, elle ne poserait absolument aucun problème pour la Défense.
[^] # Re: J'attends les contentieux
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal Nouvelles Open-Source de Bulgarie. Évalué à 2. Dernière modification le 06 juillet 2016 à 11:13.
Certains produits NASA sont soumis à d'autres règles au dessus de la licence. Par exemple les AIRS (sondeurs infrarouge pointés vers la terre) sont sous licence NASA le plus souvent mais ne sont pas distribuables en dehors d'un certains nombres de pays, la liste est précise. Ces limitations ne sont pas des limitations internes NASA mais imposées par le gouvernement fédéral.
Pour les apps et logiciels c'est plus clair : il y a différentes licences utilisées (dont la NASA elle même) et les limitations ne s'appliquent que sur ce qui n'est pas taggué "open source". En tout cas je n'ai jamais vu de contradiction pour leurs logiciels.
Mes deux cents.
[^] # Re: Slackwariens/puristes complètement déconnectés de la réalité
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Slackware 14.2. Évalué à 5. Dernière modification le 04 juillet 2016 à 18:50.
Ce subtil troll n'était pas présent initialement, il a été introduit en enlevant une partie de la phrase («of the») initiale exacte, ce qui change un peu son sens et introduit un joli troll sujet à discussion.
[^] # Re: Slackwariens/puristes complètement déconnectés de la réalité
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Slackware 14.2. Évalué à 3.
Module Intel ? ne serait pas plutôt un bug du noyal que le bureau ne bypass pas ?
Essai de configurer un raccourci clavier pour augmenter/baisser la luminosité, souvent ça suffit.
J'ai eu ça pendant qq temps sur un ancien portable, il m' a fallut plusieurs fois avant d'essayer ce truc là :p
[^] # Re: Damned, trop lent
Posté par bubar🦥 . En réponse à la dépêche Slackware 14.2. Évalué à 3.
Journal mergé dans la dépêche (et correction de la typo du journal sur la version). Merci !
[^] # Re: je comprends pas...
Posté par bubar🦥 . En réponse au journal La pétition anti Brexit. Évalué à 10. Dernière modification le 26 juin 2016 à 14:31.
Intéressant mais pas vraiment suffisant.
C'est une stat parmi d'autres, sortie seule elle met en exergue une partie du problème, mais ne suffit pas à l'expliquer (ou alors en faisant la même chose que plus bas)
On peut en outre faire dire autre chose à cette statistique : ce sont les bourgeois qui ont votés pour le brexit. Oui, les vieux ne sont pas exactement les mêmes que les défavorisés : ils ne sont pas "que" vieux, ils sont également relativement bien natis : propriétaires, jouissance d'un niveau de vie plus que correct
90% de la population d'Angleterre est urbaine. 90%.
En Angleterre les marchés de l'immobilier se composent d'une énorme part de marché résidentiel, dans lequel l'usage de la propriété privé est la grande majorité (70% des anglais vivent dans le logement dont ils sont propriétaires). Le marché commercial. Et le marché rural. Ce dernier est également intéressant car il a connu une baisse de sa valeur de 70% en 10 ans. Essentiellement du à … la politique interne du Royaume-Uni sur sa propre politique agricole (crise successive, vache folle puis plus récemment fièvre aphteuse, nombreuses interdiction d'exportation…Ce sont les résultats directs et exclusif de la politique interne à l'Angleterre, et pas de la politique Européenne.
La dé-sindustrilisation et le dumping social imposé par Tatcher a fait ressentir ses violents effets jusqu'au milieu des années 2000, et là encore ce ne sont pas des "provinces" mais des zones.
Il n'est donc pas exact de parler de "provinces", on y appliquerait un peu trop facilement la répartition fr_fr sur la gb, ce qui est à minima incorrect.
De plus les "zones sinistrées" ne suffisent pas non plus à expliquer le vote, une bonne partie de ces zones a votée pour le maintien dans l'Europe, si on regarde plus loins que la seule Angleterre, mais pour tout le Royaume-(?)Uni : Irlande du Nord et Pays de Galle ne sont pas vraiment privilégiés comme la City … Ils ont cependant vu tout deux les bénéfices de la ré-distribution des fonds européens [EDIT : ajout] et ils ont pourtant voté l'un pour le maintien l'autre pour la sortie.
Enfin, et ceci enfonce le clou de vote d'une certaine bourgeoisie contre le maintien : les zones dites "stations touristiques et balnéaires" ont votés pour le brexit. Là encore, ce ne sont ni des gens de peu d'éducation ni des gens dans la difficulté économique.
En bref, résumé par l'analyse "ce sont les sans éducation" qui ont votés brexit" est aussi faux que "ce sont les bourgeois qui ont votés brexit" si l'une d'elle est présentée seule. Les deux sont vrais. Mais ensemble.
Il y a à la fois une partie des déshérités du tatchersime, clairement, et à la fois une partie de la bourgeoisie anglaise (noblesse), celle vivant en dehors de la city.
Une flagrante démonstration de l'impact de la manipulation médiatique et politique avant tout. La démocratie directe ne peut être qu'avec des "avis éclairé". Là on en est loin, très loin. Ce n'est pas la démocratie directe qui est en cause, mais la manière dont la démocratie est animée par cette classe politique et les arguments donnés aux gens.
Et il faut insister sur le "médiatique" car c'est seulement avec l'aval et le consentement des médias que les politiques peuvent proférés autant de mensonges aussi longtemps.