Robert VISEUR a écrit 765 commentaires

  • [^] # Re: Conférence sur le logiciel libre à Technofutur3 avec le CEDITI

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Conférence sur le logiciel libre à Technofutur3 avec le CEDITI. Évalué à 1.

    OK, je mettrai ce type d'info la prochaine fois quand je soumettrai news ;-).

    L'Aéropole de Gosselies est donc situé à Charleroi, à 50 km de Mons. Mons est à environ 75km au Nord de Lille. Il y a une autoroute qui y mène directement.
    Vous avez un plan ici : http://www.technofutur3.be/assets/images/plan_acces_technofutur3.gi(...) (le plan donné sur la page présentant la conférence est mort...).
  • [^] # Re: MySQL bientôt basée sur SAPDB ? ... le contraire non ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche MySQL bientôt basée sur SAPDB ?. Évalué à 2.

    Présenté comme cela, ça m'étonne un peu.

    Il me semble qu'il y avait une différenciation nette entre PostGreSQL et MySQL. MySQL est un serveur léger et PostgreSQL est plus pro, comparable à Oracle. Deux produits pour satisfaire des besoins spécifiques.

    Si MySQL se rapproche de SAPDB, lui même proche "concurrent" de PostGreSQL, ça fera deux produits similaires et un trou côté serveur de base de données léger, non ?
  • [^] # Re: Naissance de deux revues scientifiques gratuites et libres

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Naissance de deux revues scientifiques gratuites et libres. Évalué à 3.

    Je confirme. Le chercheur cherche avant tout à faire connaître son travail. Par ailleurs, ici, il ne perd pas le droit d'exploiter ultérieurement son article. Au niveau académique, il faut néanmoins voir si ces revues seront reconnues, car sinon ça limite l'intérêt pour les chercheurs. La nomination dans les universités est en effet liée à la publication dans des revues scientifiques reconnues par la communauté scientifique.
  • [^] # Re: Un navigateur internet quatre fois plus rapide ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Un navigateur internet quatre fois plus rapide ?. Évalué à 5.

    Il y a également une annonce sur le site du concours : http://www.esatys.com/home.htm(...) . Et quelques détails de la cérémonie sur http://www.esatys.com/pr.htm(...) .

    Sur ce site (censé être la source ?), l'accent est plutôt mis sur la richesse fonctionnelle (lecture vocale, traduction, etc). Et ce qui est entendu par "accès quarte fois plus rapide" n'est pas vraiment défini.

    Par contre, ça ne me semble pas un hoax. Plus probablement un effet d'annonce, bénéficiant du flou ambuant. Si l'idée est de faire parler du concours, c'est réussi :-) !
  • # Re: Quelles sont les motivations des développeurs de logiciels libres ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Quelles sont les motivations des développeurs de logiciels libres ?. Évalué à 10.

    Une précédente étude sur la motivation des développeurs avait déjà été faite par le Boston Consulting Groupe en rapport avec le MIT. Pour ceux que cela intéresse, l'adresse est http://www.osdn.com/bcg/(...) .

    Le rapport FLOSS s'est également penché sur le profil des développeurs : http://www.infonomics.nl/FLOSS/report/(...) .
  • [^] # Re: Système de notation sur LinuxFr

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Système de notation sur LinuxFr. Évalué à 2.

    Une question est peut-être de savoir s'il est nécessaire de faire un système dont on ne puisse _pas du tout_ abuser. Je pense que tout système a ses petites fraudes et que ça ne l'empêche pas forcément de fonctionner. Et que le système parfait n'existe pas (ce qui ne veut pas dire que l'on ne puisse pas essayer de l'améliorer)

    Je ne connais pas Linuxfr depuis énormément de temps, mais j'avais le sentiment que le système d'auto-médération était au point, qu'il pemettait globalement de faire disparaître les messages stupides ou démaguoges tout en valorisant les contributions intéressantes.

    Qu'il y ait des abus / stratégies possibles (se créer plusieurs compte, poster en premier pour récolter des XP, etc) ne me semblait pas gênant pour le bon fonctionnement général (d'autant que le nombre d'XP n'est pas fondamental en soi).

    Par rapport aux mesures prises, je trouve dommage de pénaliser les gens qui postent peu, car leurs votes contribuent à filtrer le contenu : cette mesure (=empêcher de voter les gens qui postent peu) me semble plus dommageable à terme que les abus liés au multicompte (que l'on peut combattre via avertissement des admins puis suppression du compte) ou aux stratégies de post (assez inoffensives, me semble-t-il, puisqu'elles influencent surtout le nombre d'XP).
  • [^] # Re: Windows nuit-il aux vocations dans l'informatique ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Windows nuit-il aux vocations dans l'informatique ?. Évalué à 1.

    > T'est vraiment le seul que je connaisse dans ce cas là.

    C'est clair ;). Dan mon cas, je stabilise ma config et j'y touche peu par la suite, à part quelques ajouts / update. Ca évite pas mal de problèmes. Par ailleurs, je n'aime pas les jeux, qui sont la cause de pas mal d'instabilités.

    > Les quelques bidouilleurs

    J'avais parmi mes copains de promo quelques bêtes qui faisaient du réseau, développez sous Delphi avec de l'Interbase et avaient acquis avant leur vie professionnelle des compétences impressionnantes en matière informatique. Tout cela sous Windows. Je ne pense donc pas qu'il n'y ai que des bidouilleurs médiocres sous Windows.

    NB : il y avait aussi de vrais bêtes sous Linux. Mais les uns comme les autres étaient très bons dans leur domaine. Je persiste donc : les deux OS sont à l'origine de vocations, mais peut-être pas les mêmes !

    Pour ma part, je prends plaisir dans les deux mondes, mais pas forcément pour les mêmes tâches.
  • # Re: Windows nuit-il aux vocations dans l'informatique ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Windows nuit-il aux vocations dans l'informatique ?. Évalué à 4.

    Pour ma part, j'ai découvert l'informatique sous DOS et Win 3.1 puis Windows 95, puis Win 98 et 2000. J'ai très peu dû réinstaller ces systèmes (mon WIN98 tourne depuis 3 ans). Combiné au côté opaque et clicodrome de Windows, cela a sans doute suscité chez moi un désintérêt pour les aspects "systèmes".

    Par contre, j'ai très vite pu découvrir le Pascal, le Visual Basic sous DOS puis rapidement sous Windows (VB3), Access et le SQL (avec VB3) puis le C et VB6, puis PHP / MySQL, puis C++ Builder, etc. La création d'interfaces, avec des outils comme VB, Delphi ou Builder, ne m'a jamais posé de problème. Par contre, la simplicité (clicodrome) d'utiliser Windows m'a permis de rentrer facilement dans l'applicatif. J'ai réellement pris bcp de plaisir à programmer pdt mes loisirs étant étudiant.

    Je ne pense donc pas que Windows décourage les vocations. Juste que les vocations sont différentes. Windows masque le système et incite à aller très vite à l'applicatif. Par contre, Linux nécessite de comprendre le système avant de passer efficacement à l'applicatif.

    -> Je pense que les deux systèmes entrainent des vocations et des compétences différentes en matière informatique.
  • [^] # Re: Interview du PDG de JBoss Group sur ZDNet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview du PDG de JBoss Group sur ZDNet. Évalué à 3.

    "Open Source Initiative exists to make this case to the commercial world. (OSI)" Le but de l'Open Source est donc, d'une certaine façon, de transférer le modèle du logiciel libre sur un plan commercial. Du point de vue de la définition, ça revient au même. Mais le premier met l'accent sur le modèle de développement, le second sur la liberté du logiciel. Dès lors que l'on promeut un modèle sur le plan commercial, il doit être rentable. Si un modèle économique n'est pas rentable, il n'est effectivement pas viable. Ya pas matière à débattre, ça me semble assez évident. -> Le logiciel libre est quoiqu'il se passe viable, car il n'est pas lié à des considérations économiques. Par contre passer dans un cadre commercial change la donne.
  • [^] # Re: Interview du PDG de JBoss Group sur ZDNet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview du PDG de JBoss Group sur ZDNet. Évalué à 2.

    > qu'à vraiment faire avancer le LL (je ne parle pas sur le plan technique, mais sur le plan "philosophique"). Je pense que la philosophie l'intéresse effectivement moins. Ce n'est d'ailleurs pas innocent qu'il parle de viabilité de l'_Open Source_, plutôt que de logiciel libre. La technique de développement l'intéresse, moins la philosophie libertaire sous-jacente.
  • [^] # Re: Interview du PDG de JBoss Group sur ZDNet

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Interview du PDG de JBoss Group sur ZDNet. Évalué à 3.

    > Il défend sa vision mais à mon avis il a tort sur toute la ligne sur ce point. Je ne vois pas en quoi c'est un troll. De bons outils peuvent sortir dans un cadre "bénévole" : Emacs, Apache, etc. Mais dès l'instant que des services professionnels sont demandés par le marché, il est nécessaire de pouvoir développer une activité _rentable_. C'est dans ce sens que je comprends sa phrase. Il a une vision pragmatique de patron de PME : pour faire court, "il avance avec sa trésorerie". Il développe les compétences de sa société en construisant JBoss, avec l'appui d'une communauté, et rentabilise le tout par du service. C'est un modèle assez classique, et ça me semble tenir. Pour info, qqn a une idée du nombre de contributeurs extérieurs ? Et des part de marché comparées de Jonas et de JBoss ? Là où je suis moins d'accord, c'est quand il dit qu'on ne peut pas faire de service avec Linux. Moins, d'accord, mais pas du tout, ça me semble exégéré (-> customisation, externalisation de l'admisnistration, etc).
  • [^] # Re: Faire tourner des applications MS sous Linux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Faire tourner des applications MS sous Linux. Évalué à 1.

    > début d'une énorme galère qui va durer des mois

    Si les postes sont surtout utilisés pour de la bureautique et de l'Internet, je ne pense pas que cela conduise à une énorme galère, puisque l'ergonomie des softs libres dans ce domaine est bonne (adaptation facile). Si :

    -> la migration est préparée / testée
    -> les formations données au bon moment (pas deux mois avant -> il ne faut pas avoir 2000 personnes à former)
    -> un support technique proposé

    je pense que ça peut marcher -> c'est un cas particulier, mais je pense que l'on doit le retrouver dans pas mal de structures type TPE ou PME.

    Dans le cas contraire, je suis volontier d'accord avec ta remarque.
  • [^] # Re: Faire tourner des applications MS sous Linux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Faire tourner des applications MS sous Linux. Évalué à 3.

    Tu peux voir ça de deux façons.

    > C'est le meilleur moyen de dégouter un max de personne

    Oui. Mais ça limite le bordel dû au changement d'outils à un minimum de temps. Les gens râlent fort (peut-être), mais pas longtemps si l'encadrement est bon. Ca doit être préparé évidemment (test à petite échelle d'abord pour être sûr que ce soit OK d'un point de vue fonctionnel). Il y a une société d'édition liée à DataNews (j'ai oublié le nom) qui a procédé de la sorte, dit-elle avec succès.

    > Il vaut mieux des bouts proprio sous linux ou des bouts libres sous windows

    C'est ce que je disais plus haut : garder Windows et changer doucement les applics, puis changer Windows par Linux. Ca évite de devoir gérer les problèmes entre Office et Wine, par exemple.
  • [^] # Re: Faire tourner des applications MS sous Linux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Faire tourner des applications MS sous Linux. Évalué à 2.

    > argument de poid pour l'intégration de linux en contexte productif

    Je ne suis pas convaincu que faire tourner Office 2000, Outlook ou IE 6 soit si critique que cela dès lors que Open Office, Star Office, Mozilla Messenger / Nagigator, etc sont disponibles -> autant passer aux outils libres directement.

    J'ajouterai qu'il y a l'argument "formation". Passer à Linux nécessite de former le personnel non technique, car les repères de l'utilisateur diffèrent. Donc, pour tant qu'à perturber en changeant l'OS, autant changer les outils avec et passer directement à Ooo, Mozilla et cie !

    Une bonne stratégie de migration est peut-être de passer à des outils libres sous Windows, puis de changer Windows par Linux. Ca me semble une douce transition.

    Comme dit plus haut, ce qui est vraiment critique, ce sont les logiciels critiques comme ceux de comptabilité, majoritairement sous Windows. Dans ce cas, même en imaginant une bonne solution libre pour Linux, encore faut-il que les reviseurs, par ex. sachent lire le format de données !
  • [^] # Re: L'oeuf ou la poule ? L'analyse prime-t-elle toujours sur le code ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche L'oeuf ou la poule ? L'analyse prime-t-elle toujours sur le code ?. Évalué à 3.

    Lorsque je parlais de co-promotion, je ne parlais pas de co-développement (je suppose que c'est à cela que tu faisais allusion quand tu parlais de partir sur un développement commun, je n'ai jamais encore vu). La co-promotion, c'est en quelque sorte de la publicité où les deux marques sont évoquées.

    Par exemple, l'entreprise B utilise le logiciel libre A. B fait une campagne de promotion, où il explique qu'il utilise A. Et A explique sur son site communautaire qu'il est utilisé par B. D'où :

    -> A gagne en crédibilité du fait de son usage professionnel (à condition que l'entreprise soit crédible évidemment et "librement correct" :).
    -> B gagne en crédibilité du fait de son usage d'une solution libre reconnue.

    Cette façon de procéder implique évidemment que les grosses communautés contrôlent leurs principales marques : par exemple, la marque Debian est déposée et ne peut donc pas être utilisée par n'importe qui.

    Quand à l'aspect co-développement / développement commun entre une communauté et une entreprise, il y a de nombreux exemples qui fonctionnent bien : Roxen, Zope, Linux Kernel, etc. Deux points clefs me semblent une bonne communication entre les différents protagonistes (fixer dès le départ les objectifs, les moyens d'y arriver, etc) et la fixation des interfaces (pour perturber au minimum les autres développements).

    Ca se rapproche en fait assez fort de la gestion de projet dans l'automobile, où la voiture est progressivement décomposée en modules (plate-formes, embrayages, moteurs, etc) en vue de permettre le co-développement et le partage entre différents projets (la Megane II et la future Almera partageant la même plate-forme, la Micra et la Clio II partageant les mêmes diesels, etc).

    Cela pose néanmoins une question : comment ne pas tuer l'innovation architecturale, dès lors que l'on fige les interfaces ?
  • [^] # Re: L'oeuf ou la poule ? L'analyse prime-t-elle toujours sur le code ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche L'oeuf ou la poule ? L'analyse prime-t-elle toujours sur le code ?. Évalué à 6.

    > Ca me donne l'impression que le libre ne peut fournir que des librairies. Certes non. De nombreux projets d'applications pour utilisateurs finaux prouvent d'ailleurs le contraire : Apache, Open Office, Gimp, etc. Dans l'exemple donné avec Apache, Apache est bien utilisé comme un produit à part entière. La réflexion proposée ici partait d'une question : compte tenu de tout le code libre disponible, comment optimaliser le développement de produits innovants ? Comment consacrer l'énergie de l'entreprise à ce dans quoi elle est forte, sans réinventer la route. Cette démarche-là implique la réutilisation et l'intégration de composants (librairies ou autre) comme dans l'exemple de Claroline. Clairement, il s'agit donc d'une stratégie de produit, parmi d'autres stratégies possibles. Par ailleurs, en complément à l'article, j'ajouterai que le gain d'image de marque peut être mutuel (gagnant-gagnant). Si le libre peut être crédibilisé par un usage professionnel, un produit commercial peut être crédibilisé par l'usage d'un produit libre. Un produit basé sur Apache ou Mozilla fera plus sérieux qu'un même produit basé sur un système inconnu. Le libre gagnerait certainement à développer des stratégies de co-promotion, car il s'agit typiquement d'une stratégie gagnant-gagnant.
  • [^] # Re: Mozilla présente Firebird et Thunderbird

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mozilla présente Firebird et Thunderbird. Évalué à 2.

    Il y a en effet moyen de déposer dans toutes les classes. Mais :

    - dans certains pays (de mémoire, au Canada) tu dois justifier d'une utilisation réelle de la marque.
    -> si tu veux déposer dans un max de classes dans bcp de pays, ça revient vite assez cher. Je connais un type qui était en lutte juridique contre VISA (les cartes bancaires) et qui a finit par les épuiser de la sorte (ça a coûté un max de blé à VISA, en pure perte, et VISA a fini par négocier).

    Mais d'une manière générale, je t'accorde qu'à condition d'avoir un bon budget marque, les entreprises ont la possibilité de prendre un max de précaution en terme de PI.

    Personnellement, je trouve que, pour de gros projets libres finançables, ça vaudrait la peine d'avoir un budget marque (pour 10.000 BEF environ, c'est déjà bon). Debian par exemple est une marque déposée. Ca évite une utilisation abusive de la marque par des grosses entreprises, par exemple.
  • [^] # Re: Mozilla présente Firebird et Thunderbird

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Mozilla présente Firebird et Thunderbird. Évalué à 5.

    > On a donc bien le mot "pomme" et "fenêtre" en langue anglaise qui sont enregistré comme des marques commerciales et qu'il faut donc illégal d'utiliser dans le nom d'une marque (a moins bien sur qu'un jury intelligent se rende compte cette l'absurdité).

    Une marque est toujours déposée _dans des classes de produit_. En Belgique, la norme est de trois classes. Tu peux donc utiliser une marque déposée, à condition qu'elle ne figure pas dans une classe où le dépôt a été fait par une autre société. Par exemple, rien ne _devrait_ empêcher d'appeler une marque de compote de pomme "Apple" (à moins que Danone ne l'ai déjà fait :-).
  • [^] # Re: Est-ce qu'HP connait le prix des logiciels installés ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche « Les logiciels Microsoft représentent 25% du prix de l'ordinateur ». Évalué à 4.

    Je _suppose_ que HP paie un forfait pour l'achat d'un nombre donné de licences chaque année, pour bénéficier d'un tarif préférentiel.

    C'est donc une forme de coût fixe. Le coût par machine dépend donc du nombre de machines vendues, qui varie d'une année à l'autre.

    Ce serait donc normal qu'il (=HP) ne puisse pas donner un prix précis.
  • [^] # Re: Le CEA réussit la fusion entre PKI et Open Source

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le CEA réussit la fusion entre PKI et Open Source. Évalué à 1.

    Non (si je comprends bien ta question).
    Tu dois donner le code source GPL dès lors que tu _distribues_ le logiciel. Ici, le code source est partagé par IdealX et ses clients : la GPL est donc respectée, puisque IdealX et ses clients ont le code.
    Il n'y a pas d'obligation de donner le code "au monde entier". Par contre, si IdealX ou un de ses clients souhaite distribuer le code "au monde entier", il PEUT le faire (mais il ne le DOIT pas, sauf s'il distribue le logiciel à l'extérieur : là, il doit donner le soft AVEC les sources).
    Par ailleurs, tu peux contacter IdealX pour contribuer et avoir accès au source.
  • [^] # Re: « Les logiciels Microsoft représentent 25% du prix de l'ordinateur »

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche « Les logiciels Microsoft représentent 25% du prix de l'ordinateur ». Évalué à 10.

    De toute façon, le problème de base n'est pas que les logiciels Microsoft représentent 25% du prix du PC (le fait de payer pour un produits n'est en soi pas gênant), le problème de base est plutôt :

    -> d'avoir le choix de ce qu'on achète,
    -> que les clauses contractuelles soient respectées (remboursement).
  • [^] # Re: Le CEA réussit la fusion entre PKI et Open Source

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Le CEA réussit la fusion entre PKI et Open Source. Évalué à 2.

    Cette URL devrait répondre en partie à tes remarques : http://www.idealx.com/press/20030203.fr.html(...) .

    On y lit notamment :

    # Nous n'en avons pas réellement eu le temps. Publier une version constitue pour nous une certaine charge de travail (tests, documentation, contrôles...) qui n'est pas directement liée à notre activité et ne passe donc qu'une fois nos clients satisfaits.
    # La plupart des gens n'ont pas joué le jeu : IDX-PKI évolue au fur et à mesure des projets menés par IDEALX et des contributions extérieures. Or, malgré le nombre d'installations d'IDX-PKI et le nombre de concurrents proposant IDX-PKI, nous n'avons reçu aucune contribution de leur part.
    # De plus, des PKI dites "Open Source" sont apparues ex nihilo chez certains de nos "confrères". Non seulement, ils ne reversent rien mais de plus ils vendent "leur" PKI sous couvert d'Open Source alors qu'elle est bel et bien propriétaire.
  • # Re: Quel moteur de recherche ?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Quel moteur de recherche ?. Évalué à 2.

    Pour ma part, je m'appuie également sur Guidebeam ( http://www.guidebeam.com(...) ), qui aide à formuler correctement les requêtes sous Google. Vous tapez votre mot-clef et il vous sort ensuite toutes les requêtes dérivées classées par ordre de pertinence. Ca permet de taper les bons mots-clefs dans Google. Ca marche surtout en anglais, mais pour les sujets populaires, les mots-clefs français donnent bien aussi. Si vous cliquez sur les mots-clefs proposés, il exécute la recherche directement dans Yahoo! (qui s'appuie sur Google).

    Par ailleurs, il y a une syntaxe qui peut-être utilisée avec Google, par exemple pour explorer un site ou pour l'exclure de la recherche (site: ou -site:). Sans compter les "", +, -, etc plus classiques dans les moteurs de recherches. Les résulats obtenus sont parfois meilleurs que les résultats via des moteurs internes à un site !

    Il y a ensuite des annuaires spécialisés (par exemple http://www.linux-center.org/fr/(...) pour Linux). J'apprécie par exemple beaucoup Educ21 ( http://www.educ21.com(...) ), qui est un centre de veille qui met à disposition de courtes pages de liens validés par les administrateurs de sites. Une partie est payante, mais de nombreux liens sont librement accessibles.

    Il y a encore des projets de numérisation d'articles de presse. Dans le domaine scientifique, il y a par exemple Science Direct ( http://www.sciencedirect.com(...) ) qui est payant mais qui est aussi une véritable mine d'or (plusieurs centaines de revues en ligne) pour trouver une information de qualité.
  • # Re: Profitabilité du logiciel libre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Profitabilité du logiciel libre. Évalué à 3.

    Indépendemmnt du débat sur la richesse fonctionnelle des différents SGBD, il ne faut pas non plus oublier qu'une des caractéristiques d'Oracle, c'est d'offrir toute une couche applicative, par exemple dans le domaine de la CRM et de l'e-CRM, au dessus de son serveur de base de données.

    Oracle possède donc une gamme de produit plus étendue, puisqu'il ne produit pas que le serveur de base de données. Et il serait intéressant de savoir sur quel type produit Oracle gagne le plus d'argent !

    La situation me semble un peu la même pour d'autres éditeurs qui lient étroitement leur base de données à une solution (DB2 et les solutions ebusiness d'IBM) ou à d'autres produits (mix VBA-Access-VB, etc). La base de données en tant que telle s'efface donc un peu devant le reste.

    Il s'agit d'ailleurs probabablement d'une des conséquences de la montée en puissance de DB libres comme mySQL et PostgreSQL, qui "poussent" les SGBD propriétaires (augmentation des fonctionnalités et/ou ajout d'applications).
  • [^] # Re: Trop de logiciels libre !?

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Trop de logiciels libre !?. Évalué à 7.

    > des selections de logiciels stable interessants

    C'est à ça que je pensais. Un annuaire de logiciels, c'est bien, mais il faut savoir s'y retrouver. Par contre, avoir une sélection de logiciels utilisables, ça me semble plus intéressant.

    C'est un peu ce que fait http://www.framasoft.net/home-free-rubrique.php3(...) mais c'est orienté logiciels libres sous Windows. Par ailleurs, Framasoft ramène sur le site de référence, comme sourceforge pour Filezilla -> pas très folichon pour le novice !

    > Je suis sceptique sur ce coup la. Le developpeur, il va vouloir developper ce qu'il aime.

    Je suis assez d'accord. Mais un peu plus de communication (communication <> information) ne ferait sans doute pas de mal.