Il manque le tapis roulant (à croire qu’ᴼ ᴹᴬᴺᴺ n’a pas lu Asimov).
On gagne sur le temps d’attente ce qu’on perd sur la vitesse, et même bien plus si l’on a des correspondances. La capacité bien plus importante que celle d’un bus ou d’un métro (qui ont beaucoup plus d’espace entre les rames que dedans) garantit qu’on ne sera pas trop serré, même aux heures de pointe. On a l’assurance d’une place assise pour les longs trajets, simplement en amenant une chaise pliante. Si l’on habite un peu loin des transports en commun, on peut facilement envisager un trajet mixte vélo-tapis roulant, puisqu’il y aura la place à embarquer le vélo sans problème.
En plus, s’il le tapis roulant en panne, on le voit tout de suite (quand on a pris le tramway de Caen, on pense à cet aspect…).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Et puis, sauf preuve du contraire, le type reconstitué au bout est une copie, toi, tu es mort désintégré. C’est peut-être un moyen de transport du point de vue la société, mais c’est la négation même de l’homme en tant qu’individu.
Alors sauf comme intéressant moyen de suicide (le monde n’est pas débarrassé de toi, ton clone est là pour continuer à l’emmerder), je suis farouchement contre le téléporteur.
Ou dois-je signer ta pétition ?
D’un autre côté, en coupant la désintégration au départ, on explose le coût énergétique (puisqu’on ne récupère pas l’énergie atomique du sujet, alors qu’on devra bien la dépenser pour le reconstituer à l’arrivée), mais on obtient un moyen de production qui peut avoir un intérêt pour des produits très rares.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Pour ceux qui n’ont pas eu la chance de voir la merveille technologique de la société Bombardier, c’est un véhicule sur pneus, mais avec une roulette métallique qui suit un rail de guidage et un dispositif de contrôle de la direction suivant la position de la roulette.
Contrairement à un vrai tramway, ou le poids maintient les roues contre les rails, la roulette brinquebale sur le rail de guidage, d’où un bruit… de ferraille brinquebalante.
Mais il manque dans le sondage l’autre moyen de transport associé au tramway à pneus : le tramway virtuel. Moderne (virtuel), écologique (aucune consommation d’énergie fossile), fiable, silencieux, il remplace le tramway à pneus en diverses occasions (ses pannes, assez fréquentes, la neige à partir d’un centimètre…).
Ce sont des personnes qui se déplacent en petits groupes sur la ligne de tramway, mais sans le tramway autour.
Sinon, le tramway à pneus peut rouler avec un peu de neige… à condition de trouver une équipe de curling pour balayer le rail de guidage devant (je suis sérieux, je l’ai vu une fois !). Ça doit avoir un rapport avec la popularité de ce sport au Canada, pays du constructeur…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Et ben moi bizarrement, depuis que j'ai migré sous systemd, je n'ai aucun problème à signaler, tout fonctionne comme prévu.
Ça m’a fait ça aussi au début, enfin après que je passe de syslog-ng à rsyslog. Puis c’est Network Manager qui a eu une période à vide. Puis ça a été le nettoyage de /tmp (placé sur une partition dédiée) qui ne s’est plus fait (eh oui, systemd prend aussi ça en charge). Tout de suite, ça a l’air de bien marcher (sur Arch), mais bon…
Ça fait longtemps que tu as migré ?
Par contre, si ton pc ne s'arrête pas ou de façon aléatoire, c'est de la faute du noyau, enfin peut être plus de la faute de certains matériels.
Si c’était l’appel à l’extinction ou au redémarrage matériel qui ratait, je ne pourrais pas changer de console et ça ne se débloquerait pas au bout de 5 ou 15 mn, ce qui arrive assez souvent (le blocage persistent, c’est quand même l’exception ; une fois sur deux, ça s’arrête même en temps normal, génial, non ?).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
PulseAudio, même sur le papier, c’est une usine à gaz rajoutée par dessus Alsa, alors que la principale justification de PulseAudio est qu’Alsa ne donnerait pas satisfaction. Cherchez l’erreur…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Dernièrement j’ai lancé l’arrêt d’une Fedora 17 et j’ai éteint l’écran.
Quand je l’ai rallumé une vingtaine d’heures plus tard, la machine était toujours bloquée sur l’arrêt.
Accessoirement, comme la Fedora s’est encore « améliorée » avec la 17, les messages d’arrêt des services (qu’on voit aussi bien sur une Fedora 15 que sur une Arch avec systemd) ne s’affichent plus (et j’ai vérifié toutes les consoles).
J’avais déjà constaté avec Arch le problème de certains services qui partaient en sucette pendant plusieurs minutes quand systemd essayait de les arrêter, comme syslog-ng (remplaçable) ou à un moment Network Manager (difficilement remplaçable ; à l’essai wicd fonctionne moins bien). Ça m’avait conduit à repasser à l’init normale.
Pourtant, je n’avais jamais constaté un tel problème avec la Fedora 15 (et je l’ai mise sur plus de 100 postes pendant un an), qui utilise systemd aussi, mais uniquement en mode compatible (avec les anciens scripts de /etc/rc.d/init.d).
Il faut croire que ce n’est pas une question d’ordre d’arrêt qui serait inapproprié, mais plutôt que la manière super-fine de systemd de gérer les services pose des problèmes pour l’arrêt et pire, qu’il n’y a pas de timeout de prévu au cas ou un service ne se terminerait pas !
Autant systemd, sur le papier, c’est intéressant.
Autant, dans la pratique, c’est une calamité.
Si seulement Lennart n’était pas si occupé à intégrer tout le reste du système dedans, il pourrait peut-être fiabiliser l’existant…
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Dans les faits, y'a beaucoup de gens qui utilisent autre chose que 127.0.0.1 pour localhost ?
Vu dans le fichier de configuration de ntpd :
# Undisciplined Local Clock. This is a fake driver intended for backup
# and when no outside source of synchronized time is available.
#server 127.127.1.0 # local clock
#fudge 127.127.1.0 stratum 20
C’est commenté par défaut. Décommenté, ça permet à un serveur local de continuer de synchroniser ses clients sur son horloge quand il n’a pas accès à de vraies sources ntp.
Plus précisément, s’il n’a plus de source, ntpd n’indique plus le temps à ses clients.
Ça, ça définit une fausse source locale, basée sur l’horloge interne, avec une très basse priorité, qui fait qu’elle n’est pas prise en considération s’il y a une source sérieuse accessible.
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D’un autre côté, -X désactive toutes les extensions… dont d’extension Xkb.
Plus moyen d’avoir les caractères en AltGr !
Il ne faut pas avoir des trucs trop compliqués à faire…
Encore un truc fait par les américains pour les américains.
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Dans l’enseignement supérieur, le meilleur allié des logiciels propriétaires est l’AMUE.
C’est l’agence qui développe les logiciels indispensables à la gestion des universités, mais sa culture du logiciel propriétaire fait que non seulement ils ne tournent que sous Windows (pour la partie cliente), mais ils nécessitent aussi Oracle et Microsoft Office (certaines fonctionnalités lui sont étroitement liées).
Et vu comme cette agence peine déjà à fournir des logiciels qui n’ont pas un train de retard sur les besoins et à les maintenir à jour (mais ça, c’est sûrement une question de moyens), je ne vois pas comment elle pourrait changer son fusil d’épaule rapidement…
Et pourtant, dans un contexte d’étranglement budgétaire des universités (l’« autonomie » des universités, c’est le même principe que la décentralisation : la dotation budgétaire est constante alors que les charges augmentent), limiter les logiciels propriétaires serait bienvenu.
Il paraît qu’il y a la copie conforme de l’AMUE dans l’Éducation Nationale, en tout cas au niveau de la culture informatique et de la qualité des logiciels (mais cette agence dépend peut-être directement du ministère).
Je me demande s’il n’y a pas un lien de ce type : les passionnés d’informatique qui n’aiment pas Windows n’aiment pas l’informatique de gestion non plus ; du coup, ceux qui restent pour développer des logiciels de gestion, ce sont les autres…
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J’oubliais : en gamme grand public, il y a plus de modèles grand écran, en gamme pro, plus de modèles légers. Ce n’est pas tellement étonnant : pas mal des gens utilisent un ordinateur portable comme un fixe, juste moins encombrant.
Et pour moins me concentrer sur les portables, les PC de bureau de gamme pro sont généralement assez silencieux. Quasiment tous ceux que j’ai vu de gamme grand public en étaient loin. Cela dit, je n’ai pas eu l’occasion de voir un PC de bureau de gamme grand public vraiment récent, alors ça s’est peut-être amélioré, on ne peut que l’espérer.
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La gamme pro, c’est prévu pour travailler dessus toute la journée.
La gamme grand public, c’est prévu pour glander dessus le soir.
Par conséquent, on trouve plus facilement des écrans mats en gamme pro (il y a des marques indécrottables qui font du brillant même en gamme pro, le mieux est de leur laisser leurs merdes) ; c’est presque toujours des écrans brillants en gamme grand public (à l’exception appréciable des portables Samsung).
À prix égal, en gamme pro, on aura plus d’autonomie ; en gamme grand public, de meilleurs haut-parleurs, une carte graphique plus puissante, une webcam…
En gamme pro, on aura souvent un petit touchpad centré sur les touches F et J, pour limiter le risque de le heurter avec la paume quand on tape à dix doigt ; en gamme grand public, un grand touchpad en plein milieu (c’est cohérent avec l’écran brillant : comme ils disaient dans la pub, « le singe préfère la voiture rouge »…).
Un portable top puissant, en gamme pro, ça coûte très cher. En gamme grand public, c’est nettement plus abordable, mais l’autonomie est minable et la fiabilité médiocre (surchauffe).
L’extension de garantie est généralement bien moins chère pour la gamme pro. Si ça ne prouve pas forcément que les modèles grand public sont moins fiables, ça correspond au moins au fait qu’ils ne sont pas conçus pour être réparés, mais principalement pour être moins chers à produire.
En gamme grand public, je conseillerais de s’en tenir au bas de gamme : c’est souvent le plus fiable (par rapport au risque de surchauffe et à ses conséquences) et ça fait une perte financière moindre en cas de panne hors garantie.
Si on veut y mettre cher, mieux vaut prendre une extension de garantie et l’écart de prix de cette dernière compense celui entre les gammes grand public et pro.
Cela dit, si on considère aussi le risque de vol ou de casse, prendre du bas de gamme grand public sans extension de garantie n’est pas forcément un mauvais choix.
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Arch Linux. Incidemment, j’ai trouvé mes premières infos sur la doc d’Arch. Je ne sais pas si ça indique que cette doc est de bonne qualité ou que d’autres distributions considèrent l’économie d’énergie des cartes son Intel comme non fiable et la désactivent à la compilation de leur noyau.
Sinon, après redémarrage, j’ai eu à nouveau le problème, même sur secteur. Manifestement, le module de la carte son active l’économie d’énergie par défaut. Auparavant, pm-utils ou Laptop Mode le désactivait en mode secteur.
Du coup, j’ai dû — comme indiqué sur la fameuse doc — ajouter un fichier /etc/modprobe.d/snd-hda-intel.conf avec comme contenu
L’économie d’énergie pour la carte son se paramètre au niveau de son module noyau, à son chargement, et dynamiquement dans /sys/module/snd_*/parameters/power_save. La seule solution avec mon portable est de la désactiver complètement.
Comme je n’avais pas le problème sur secteur, c’est que ça changeait lors du passage sur batterie.
Pour pm-utils, j’ai créé un fichier /etc/pm/config.d/blacklist avec comme contenu :
HOOK_BLACKLIST="intel-audio-powersave"
Pour Laptop Mode, dans le fichier /etc/laptop-mode/conf.d/intel-hda-powersave.conf, j’ai changé cette variable :
CONTROL_INTEL_HDA_POWER=0
Pour une autre carte son, il faudra adapter.
Pour un grésillement permanent (même sur secteur), ça peut valoir le coup de faire des tests avec le paramètres au chargement du module, au cas où ce serait quand même un problème avec l’économie d’énergie. Pour les récupérer (exemple pour le module Intel HDA) :
modinfo snd-hda-intel | grep power
Ou avant tout vérifier si le fichier /sys/module/snd_*/parameters/power_save est à 0 (pas d’économie d’énergie) ou à une autre valeur.
Une consolation : ce n’est pas spécifique à Linux, il y en a qui ont le même problème sous Windows 7, et pour le régler, pas mieux : il faut modifier la base de registres pour désactiver l’économie d’énergie de la carte son.
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Une nouvelles tendance, je crois, c'est que les cartes son intégrées modernes s'éteignent lorsqu'elles ne sont pas utilisée pour économiser l'énergie.
Ça ressemble tout-à-fait à ce que me fait mon Compaq bas de gamme (pléonasme) quand il est sur batterie. Le plus pénible et le plus inquiétant (pas sûr que ça arrange les composants) est le gros ploc dans les haut-parleurs à chaque changement d’état (pour situer, il y en a un avant et après chaque bip !).
Si quelqu’un connaît un moyen de désactiver ça plus propre que de jouer un son en permanence…
Ça doit dépendre du noyau, je ne constate ça que depuis le 2.6.30 à peu près.
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Avec systemd, les dépendances entre services sont renseignées d’origine, probablement presque toujours correctement (après, si on a par exemple mis les paramètres pour autofs dans l’annuaire LDAP, il faut peut-être ajuster soi-même).
Par contre, l’init standard démarre les services dans l’ordre où tu les as indiqués et les arrête dans l’ordre inverse. C’est à toi de mettre le bon. As-tu essayé de le changer ?
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Ça fait plus d’un an que je suis passé à systemd sous Arch, en mode natif (à l’époque, la Fedora 15 ne l’utilisait qu’en mode compatible).
Ma conclusion principale est que systemd n’est pas stable, au sens Debian du terme, c’est-à-dire que les bugs changent régulièrement.
Étonnament (systemd n’était à l’époque qu’un paquet du dépôt community), il y a un an, tout fonctionnait nickel.
Actuellement, j’ai ce bug, qui n’existait pas à l’époque, et entre les deux, c’était NetworkManager qui partait systématiquement en sucette à l’arrêt du système et systemd qui attendait de très longues minutes après.
Et déboguer l’arrêt du système, ce n’est pas trop pratique… j’étais bien content de m’être gardé la possibilité de démarrer avec rc.sysinit.
À part ça, la prise en compte de la ligne DAEMONS de rc.conf, que j’avais désactivée (l’idée était d’être en mode natif mais en gardant la possibilité de démarrer avec rc.sysinit), a aussi été réactivée (ce n’est plus la même procédure pour la désactiver) et journald est arrivé sans que je l’aie demandé. Je me demande si je pourrai échapper à Pulseaudio, Avahi et aux prochains projets de Lennart, bons ou mauvais…
Bref, à mon avis, systemd n’est pas encore mûr et si l’on veut un truc simple et fiable, mieux vaut en rester au vieux système d’init. Pour ma part, je l’ai remis par défaut.
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s'il veut se casser mac osx et bien tant mieux et qu'il amene lennart avec lui
Ah non, pas sans Jon McCann !
Et puis Lennart n’a pas fait qu’une surcouche audio délirante qui ne suit pas en condition de stress CPU.
Il a aussi fait un système d’init bien conçu, en tout cas sur le papier.
En pratique, quand tu as un service allergique à systemd qui part en sucette à l’extinction et que systemd attend après pendant 5 mn, alors que tu voudrais bien quitter la salle sans que ton portable surchauffe dans son sac et sans le transporter avec le disque dur qui tourne, c’est plus discutable, mais bon…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Les "moinssés" pour désaccord sont souvent lissés par d'autres commentaires "plussés" ailleurs.
Sauf le type qui a une cabale contre lui.
D'autres ont surtout récolté ce qu'ils ont semé.
Je ne dis pas le contraire en ce qui le concerne, mais noter honnêtement ses commentaires (les très lourds arriveraient toujours à -10) suffirait à lui valoir un karma négatif… alors pourquoi s’acharner ? Ça ne peut qu’alimenter sa paranoïa.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Bien sûr, il y a des injustices, mais c'est bien souvent des gens qu'on n'a plus forcémnt envie de relire.
C’est pas bien de faire une cabale contre SamWang.
Quelquefois il a des commentaires pertinents, voire intéressants, qui ne méritent pas d’être « inutilés ».
D’autres sont gavants, mais ses commentaires doivent être jugés chacun pour son contenu, pas juste sur leur auteur.
Ainsi, quand il en a marre de changer de compte toutes les semaines, il essaiera de faire plus de commentaires intéressants que de commentaires lourds…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Celui-ci est le plus souvent répété, pour eux,un mac n'est pas un ordinateur
Tu pousserais pas le bouchon un tout petit peu loin ? :) C'est quoi un Mac pour eux alors ?
Pour eux, je ne sais pas. Pour moi, un Mac, c’est un objet de déco ou un accessoire de mode voire de prestige, qui éventuellement peut aussi faire tourner des logiciels.
Par exemple, dans un labo de recherche en mathématiques que je côtoie, les chercheurs les plus reconnus sont sur la même grille de salaires que d’autres, mais la plupart* sont dotés d’un Mac renouvelé régulièrement, alors que les autres doivent se contenter d’un PC renouvelé moins souvent ou d’un Mac démodé (il faut bien recycler…).
Bon, d’un sens, pour garder des chercheurs de haut vol, c’est un témoignage de reconnaissance qui coûte moins cher que de leur payer un salaire au prestige à l’américaine…
* Certains préfèrent quand même avoir un ordinateur, mais ils ont le choix.
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En fait, concernant la Terminus, c’est plus compliqué que je n’en avais eu l’impression de prime abord : les tailles 10 et 11 sont en fait identiques. Les caractères de la taille 12 sont identiques, mais avec un espacement vertical plus important ; ma critique principale ne s’applique donc pas à cette taille.
Elle est en fait moins large que la Fixed de taille 11 (la variante SemiCondensed n’existant pas dans cette taille), mais plus aérée verticalement. Je vais donc la retenir préférentiellement à celle-ci pour mon éditeur.
Quant à la taille 13, elle est beaucoup plus grosse. On touche aux limites des polices bitmap.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Avant même de considérer la résolution, je parle du format 16/9.
En 24″, tu peux travailler avec deux fenêtres de grosses applications côte à côte, c’est pratique pour certaines choses (d’un autre côté, un 24″ 16/10 1920×1200, c’est mieux).
En 15″, à part pour regarder les DVD, c’est juste trop bas.
À la rigueur, ça peut se défendre pour un net PC : à 10″ ou moins, mieux vaut encore sacrifier la hauteur que la largeur pour gagner de la place.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
Je l’ai comparée à d’autres polices sous LibreOffice en sélectionnant les lignes.
Manifestement, le choix a été fait de laisser plus d’espacement en haut et en bas que pour les autres polices.
Autant je vois un intérêt à ça pour une page web ou dans un éditeur (mais ça concernerait la future version à chasse fixe), autant je n’en vois pas dans l’interface graphique.
C’est dommage que cette police ne soit pas disponible aussi dans une variante avec un espacement vertical classique, on pourrait choisir la version la plus adaptée à l’usage.
D’autant plus qu’elle est non seulement jolie, mais aussi très lisible : les lettres ne sont pas trop serrées comme c’est le cas avec d’autres polices sans empattement, les caractères qui sont sujets à confusion (O0, Il1) sont bien différenciés.
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- je l'utilise car ma mémoire est précieuse ( ce qui peut être perçu comme "mec ou fille proche de ces sous" )
Je paierais bien quelques sous pour ajouter de la mémoire à mon portable, mais je l’ai déjà fait et il est à fond.
On peut aussi utiliser de gros logiciels et souhaiter leur laisser autant de ressources que possible.
D’un point de vue plus général, le système et l’environnement ne sont que des moyens pour gérer ses données et accéder aux applications dont on a besoin. S’ils consomment une grosse partie des ressources pour des tâches basiques, c’est du gaspillage.
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# Un tapis roulant !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au sondage Transport en commun à proximité . Évalué à 4.
Il manque le tapis roulant (à croire qu’ᴼ ᴹᴬᴺᴺ n’a pas lu Asimov).
On gagne sur le temps d’attente ce qu’on perd sur la vitesse, et même bien plus si l’on a des correspondances. La capacité bien plus importante que celle d’un bus ou d’un métro (qui ont beaucoup plus d’espace entre les rames que dedans) garantit qu’on ne sera pas trop serré, même aux heures de pointe. On a l’assurance d’une place assise pour les longs trajets, simplement en amenant une chaise pliante. Si l’on habite un peu loin des transports en commun, on peut facilement envisager un trajet mixte vélo-tapis roulant, puisqu’il y aura la place à embarquer le vélo sans problème.
En plus, s’il le tapis roulant en panne, on le voit tout de suite (quand on a pris le tramway de Caen, on pense à cet aspect…).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Pire…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au sondage Transport en commun à proximité . Évalué à 7.
Et puis, sauf preuve du contraire, le type reconstitué au bout est une copie, toi, tu es mort désintégré. C’est peut-être un moyen de transport du point de vue la société, mais c’est la négation même de l’homme en tant qu’individu.
Alors sauf comme intéressant moyen de suicide (le monde n’est pas débarrassé de toi, ton clone est là pour continuer à l’emmerder), je suis farouchement contre le téléporteur.
Ou dois-je signer ta pétition ?
D’un autre côté, en coupant la désintégration au départ, on explose le coût énergétique (puisqu’on ne récupère pas l’énergie atomique du sujet, alors qu’on devra bien la dépenser pour le reconstituer à l’arrivée), mais on obtient un moyen de production qui peut avoir un intérêt pour des produits très rares.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Il manque le tramway virtuel.
Posté par Arthur Accroc . En réponse au sondage Transport en commun à proximité . Évalué à 10.
Pour ceux qui n’ont pas eu la chance de voir la merveille technologique de la société Bombardier, c’est un véhicule sur pneus, mais avec une roulette métallique qui suit un rail de guidage et un dispositif de contrôle de la direction suivant la position de la roulette.
Contrairement à un vrai tramway, ou le poids maintient les roues contre les rails, la roulette brinquebale sur le rail de guidage, d’où un bruit… de ferraille brinquebalante.
Mais il manque dans le sondage l’autre moyen de transport associé au tramway à pneus : le tramway virtuel. Moderne (virtuel), écologique (aucune consommation d’énergie fossile), fiable, silencieux, il remplace le tramway à pneus en diverses occasions (ses pannes, assez fréquentes, la neige à partir d’un centimètre…).
Ce sont des personnes qui se déplacent en petits groupes sur la ligne de tramway, mais sans le tramway autour.
Sinon, le tramway à pneus peut rouler avec un peu de neige… à condition de trouver une équipe de curling pour balayer le rail de guidage devant (je suis sérieux, je l’ai vu une fois !). Ça doit avoir un rapport avec la popularité de ce sport au Canada, pays du constructeur…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: systemd ! Tant de complexité pour un moins bon fonctionnement…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Archlinux va passer à systemd : appel à volontaire pour maintenir SysVinit. Évalué à 2.
Ça m’a fait ça aussi au début, enfin après que je passe de syslog-ng à rsyslog. Puis c’est Network Manager qui a eu une période à vide. Puis ça a été le nettoyage de /tmp (placé sur une partition dédiée) qui ne s’est plus fait (eh oui, systemd prend aussi ça en charge). Tout de suite, ça a l’air de bien marcher (sur Arch), mais bon…
Ça fait longtemps que tu as migré ?
Si c’était l’appel à l’extinction ou au redémarrage matériel qui ratait, je ne pourrais pas changer de console et ça ne se débloquerait pas au bout de 5 ou 15 mn, ce qui arrive assez souvent (le blocage persistent, c’est quand même l’exception ; une fois sur deux, ça s’arrête même en temps normal, génial, non ?).
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # Re: systemd ! Tant de complexité pour un moins bon fonctionnement…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Archlinux va passer à systemd : appel à volontaire pour maintenir SysVinit. Évalué à 10.
Il ne faut pas généraliser.
PulseAudio, même sur le papier, c’est une usine à gaz rajoutée par dessus Alsa, alors que la principale justification de PulseAudio est qu’Alsa ne donnerait pas satisfaction. Cherchez l’erreur…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# systemd ! Tant de complexité pour un moins bon fonctionnement…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Archlinux va passer à systemd : appel à volontaire pour maintenir SysVinit. Évalué à 2.
Dernièrement j’ai lancé l’arrêt d’une Fedora 17 et j’ai éteint l’écran.
Quand je l’ai rallumé une vingtaine d’heures plus tard, la machine était toujours bloquée sur l’arrêt.
Accessoirement, comme la Fedora s’est encore « améliorée » avec la 17, les messages d’arrêt des services (qu’on voit aussi bien sur une Fedora 15 que sur une Arch avec systemd) ne s’affichent plus (et j’ai vérifié toutes les consoles).
J’avais déjà constaté avec Arch le problème de certains services qui partaient en sucette pendant plusieurs minutes quand systemd essayait de les arrêter, comme syslog-ng (remplaçable) ou à un moment Network Manager (difficilement remplaçable ; à l’essai wicd fonctionne moins bien). Ça m’avait conduit à repasser à l’init normale.
Pourtant, je n’avais jamais constaté un tel problème avec la Fedora 15 (et je l’ai mise sur plus de 100 postes pendant un an), qui utilise systemd aussi, mais uniquement en mode compatible (avec les anciens scripts de /etc/rc.d/init.d).
Il faut croire que ce n’est pas une question d’ordre d’arrêt qui serait inapproprié, mais plutôt que la manière super-fine de systemd de gérer les services pose des problèmes pour l’arrêt et pire, qu’il n’y a pas de timeout de prévu au cas ou un service ne se terminerait pas !
Autant systemd, sur le papier, c’est intéressant.
Autant, dans la pratique, c’est une calamité.
Si seulement Lennart n’était pas si occupé à intégrer tout le reste du système dedans, il pourrait peut-être fiabiliser l’existant…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # NTP
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal 127.0.0.0/8, bientôt sur vos traceroute. Évalué à 3.
Vu dans le fichier de configuration de ntpd :
C’est commenté par défaut. Décommenté, ça permet à un serveur local de continuer de synchroniser ses clients sur son horloge quand il n’a pas accès à de vraies sources ntp.
Plus précisément, s’il n’a plus de source, ntpd n’indique plus le temps à ses clients.
Ça, ça définit une fausse source locale, basée sur l’horloge interne, avec une très basse priorité, qui fait qu’elle n’est pas prise en considération s’il y a une source sérieuse accessible.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # -X est hostile
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal La transparence réseau arrive dans Wayland. Évalué à 4.
D’un autre côté, -X désactive toutes les extensions… dont d’extension Xkb.
Plus moyen d’avoir les caractères en AltGr !
Il ne faut pas avoir des trucs trop compliqués à faire…
Encore un truc fait par les américains pour les américains.
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
# Il reste du boulot...
Posté par Arthur Accroc . En réponse à la dépêche Circulaire du Premier ministre sur l’usage des logiciels libres dans l’Administration. Évalué à 10.
Dans l’enseignement supérieur, le meilleur allié des logiciels propriétaires est l’AMUE.
C’est l’agence qui développe les logiciels indispensables à la gestion des universités, mais sa culture du logiciel propriétaire fait que non seulement ils ne tournent que sous Windows (pour la partie cliente), mais ils nécessitent aussi Oracle et Microsoft Office (certaines fonctionnalités lui sont étroitement liées).
Et vu comme cette agence peine déjà à fournir des logiciels qui n’ont pas un train de retard sur les besoins et à les maintenir à jour (mais ça, c’est sûrement une question de moyens), je ne vois pas comment elle pourrait changer son fusil d’épaule rapidement…
Et pourtant, dans un contexte d’étranglement budgétaire des universités (l’« autonomie » des universités, c’est le même principe que la décentralisation : la dotation budgétaire est constante alors que les charges augmentent), limiter les logiciels propriétaires serait bienvenu.
Il paraît qu’il y a la copie conforme de l’AMUE dans l’Éducation Nationale, en tout cas au niveau de la culture informatique et de la qualité des logiciels (mais cette agence dépend peut-être directement du ministère).
Je me demande s’il n’y a pas un lien de ce type : les passionnés d’informatique qui n’aiment pas Windows n’aiment pas l’informatique de gestion non plus ; du coup, ceux qui restent pour développer des logiciels de gestion, ce sont les autres…
« Le fascisme c’est la gangrène, à Santiago comme à Paris. » — Renaud, Hexagone
[^] # J’oubliais…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Avec un bon Dell on peut.... Évalué à 2.
J’oubliais : en gamme grand public, il y a plus de modèles grand écran, en gamme pro, plus de modèles légers. Ce n’est pas tellement étonnant : pas mal des gens utilisent un ordinateur portable comme un fixe, juste moins encombrant.
Et pour moins me concentrer sur les portables, les PC de bureau de gamme pro sont généralement assez silencieux. Quasiment tous ceux que j’ai vu de gamme grand public en étaient loin. Cela dit, je n’ai pas eu l’occasion de voir un PC de bureau de gamme grand public vraiment récent, alors ça s’est peut-être amélioré, on ne peut que l’espérer.
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[^] # Pro ou pas pro
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Avec un bon Dell on peut.... Évalué à 6.
La gamme pro, c’est prévu pour travailler dessus toute la journée.
La gamme grand public, c’est prévu pour glander dessus le soir.
Par conséquent, on trouve plus facilement des écrans mats en gamme pro (il y a des marques indécrottables qui font du brillant même en gamme pro, le mieux est de leur laisser leurs merdes) ; c’est presque toujours des écrans brillants en gamme grand public (à l’exception appréciable des portables Samsung).
À prix égal, en gamme pro, on aura plus d’autonomie ; en gamme grand public, de meilleurs haut-parleurs, une carte graphique plus puissante, une webcam…
En gamme pro, on aura souvent un petit touchpad centré sur les touches F et J, pour limiter le risque de le heurter avec la paume quand on tape à dix doigt ; en gamme grand public, un grand touchpad en plein milieu (c’est cohérent avec l’écran brillant : comme ils disaient dans la pub, « le singe préfère la voiture rouge »…).
Un portable top puissant, en gamme pro, ça coûte très cher. En gamme grand public, c’est nettement plus abordable, mais l’autonomie est minable et la fiabilité médiocre (surchauffe).
L’extension de garantie est généralement bien moins chère pour la gamme pro. Si ça ne prouve pas forcément que les modèles grand public sont moins fiables, ça correspond au moins au fait qu’ils ne sont pas conçus pour être réparés, mais principalement pour être moins chers à produire.
En gamme grand public, je conseillerais de s’en tenir au bas de gamme : c’est souvent le plus fiable (par rapport au risque de surchauffe et à ses conséquences) et ça fait une perte financière moindre en cas de panne hors garantie.
Si on veut y mettre cher, mieux vaut prendre une extension de garantie et l’écart de prix de cette dernière compense celui entre les gammes grand public et pro.
Cela dit, si on considère aussi le risque de vol ou de casse, prendre du bas de gamme grand public sans extension de garantie n’est pas forcément un mauvais choix.
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[^] # Pas fini...
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Avec un bon Dell on peut.... Évalué à 3.
Arch Linux. Incidemment, j’ai trouvé mes premières infos sur la doc d’Arch. Je ne sais pas si ça indique que cette doc est de bonne qualité ou que d’autres distributions considèrent l’économie d’énergie des cartes son Intel comme non fiable et la désactivent à la compilation de leur noyau.
Sinon, après redémarrage, j’ai eu à nouveau le problème, même sur secteur. Manifestement, le module de la carte son active l’économie d’énergie par défaut. Auparavant, pm-utils ou Laptop Mode le désactivait en mode secteur.
Du coup, j’ai dû — comme indiqué sur la fameuse doc — ajouter un fichier /etc/modprobe.d/snd-hda-intel.conf avec comme contenu
Et cette fois, je crois que c’est vraiment bon.
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[^] # Plus de plocs, plus de grésillements !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Avec un bon Dell on peut.... Évalué à 7.
Sachant quoi chercher, je l’ai trouvé.
L’économie d’énergie pour la carte son se paramètre au niveau de son module noyau, à son chargement, et dynamiquement dans /sys/module/snd_*/parameters/power_save. La seule solution avec mon portable est de la désactiver complètement.
Comme je n’avais pas le problème sur secteur, c’est que ça changeait lors du passage sur batterie.
Pour pm-utils, j’ai créé un fichier /etc/pm/config.d/blacklist avec comme contenu :
Pour Laptop Mode, dans le fichier /etc/laptop-mode/conf.d/intel-hda-powersave.conf, j’ai changé cette variable :
Pour une autre carte son, il faudra adapter.
Pour un grésillement permanent (même sur secteur), ça peut valoir le coup de faire des tests avec le paramètres au chargement du module, au cas où ce serait quand même un problème avec l’économie d’énergie. Pour les récupérer (exemple pour le module Intel HDA) :
Ou avant tout vérifier si le fichier /sys/module/snd_*/parameters/power_save est à 0 (pas d’économie d’énergie) ou à une autre valeur.
Une consolation : ce n’est pas spécifique à Linux, il y en a qui ont le même problème sous Windows 7, et pour le régler, pas mieux : il faut modifier la base de registres pour désactiver l’économie d’énergie de la carte son.
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[^] # C’est ça !
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Avec un bon Dell on peut.... Évalué à 3.
Ça ressemble tout-à-fait à ce que me fait mon Compaq bas de gamme (pléonasme) quand il est sur batterie. Le plus pénible et le plus inquiétant (pas sûr que ça arrange les composants) est le gros ploc dans les haut-parleurs à chaque changement d’état (pour situer, il y en a un avant et après chaque bip !).
Si quelqu’un connaît un moyen de désactiver ça plus propre que de jouer un son en permanence…
Ça doit dépendre du noyau, je ne constate ça que depuis le 2.6.30 à peu près.
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[^] # Re: systemd et arch
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal udev forké. Évalué à 2.
Avec systemd, les dépendances entre services sont renseignées d’origine, probablement presque toujours correctement (après, si on a par exemple mis les paramètres pour autofs dans l’annuaire LDAP, il faut peut-être ajuster soi-même).
Par contre, l’init standard démarre les services dans l’ordre où tu les as indiqués et les arrête dans l’ordre inverse. C’est à toi de mettre le bon. As-tu essayé de le changer ?
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[^] # Re: systemd et arch
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal udev forké. Évalué à 10.
Ça fait plus d’un an que je suis passé à systemd sous Arch, en mode natif (à l’époque, la Fedora 15 ne l’utilisait qu’en mode compatible).
Ma conclusion principale est que systemd n’est pas stable, au sens Debian du terme, c’est-à-dire que les bugs changent régulièrement.
Étonnament (systemd n’était à l’époque qu’un paquet du dépôt community), il y a un an, tout fonctionnait nickel.
Actuellement, j’ai ce bug, qui n’existait pas à l’époque, et entre les deux, c’était NetworkManager qui partait systématiquement en sucette à l’arrêt du système et systemd qui attendait de très longues minutes après.
Et déboguer l’arrêt du système, ce n’est pas trop pratique… j’étais bien content de m’être gardé la possibilité de démarrer avec rc.sysinit.
À part ça, la prise en compte de la ligne DAEMONS de rc.conf, que j’avais désactivée (l’idée était d’être en mode natif mais en gardant la possibilité de démarrer avec rc.sysinit), a aussi été réactivée (ce n’est plus la même procédure pour la désactiver) et journald est arrivé sans que je l’aie demandé. Je me demande si je pourrai échapper à Pulseaudio, Avahi et aux prochains projets de Lennart, bons ou mauvais…
Bref, à mon avis, systemd n’est pas encore mûr et si l’on veut un truc simple et fiable, mieux vaut en rester au vieux système d’init. Pour ma part, je l’ai remis par défaut.
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[^] # Re: euh ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Pour Miguel de Icaza, Linux (sur le Desktop) est mort !. Évalué à 5.
Ah non, pas sans Jon McCann !
Et puis Lennart n’a pas fait qu’une surcouche audio délirante qui ne suit pas en condition de stress CPU.
Il a aussi fait un système d’init bien conçu, en tout cas sur le papier.
En pratique, quand tu as un service allergique à systemd qui part en sucette à l’extinction et que systemd attend après pendant 5 mn, alors que tu voudrais bien quitter la salle sans que ton portable surchauffe dans son sac et sans le transporter avec le disque dur qui tourne, c’est plus discutable, mais bon…
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[^] # Re: Cabale…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Du mauvais usage de la notation sur linuxfr. Évalué à 2.
Sauf le type qui a une cabale contre lui.
Je ne dis pas le contraire en ce qui le concerne, mais noter honnêtement ses commentaires (les très lourds arriveraient toujours à -10) suffirait à lui valoir un karma négatif… alors pourquoi s’acharner ? Ça ne peut qu’alimenter sa paranoïa.
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[^] # Cabale…
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Du mauvais usage de la notation sur linuxfr. Évalué à 2.
C’est pas bien de faire une cabale contre SamWang.
Quelquefois il a des commentaires pertinents, voire intéressants, qui ne méritent pas d’être « inutilés ».
D’autres sont gavants, mais ses commentaires doivent être jugés chacun pour son contenu, pas juste sur leur auteur.
Ainsi, quand il en a marre de changer de compte toutes les semaines, il essaiera de faire plus de commentaires intéressants que de commentaires lourds…
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[^] # Qu’est-ce qu’un Mac ?
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Top 5 des pires excuses pour aimer Windows. Évalué à 5. Dernière modification le 11 août 2012 à 18:34.
Pour eux, je ne sais pas. Pour moi, un Mac, c’est un objet de déco ou un accessoire de mode voire de prestige, qui éventuellement peut aussi faire tourner des logiciels.
Par exemple, dans un labo de recherche en mathématiques que je côtoie, les chercheurs les plus reconnus sont sur la même grille de salaires que d’autres, mais la plupart* sont dotés d’un Mac renouvelé régulièrement, alors que les autres doivent se contenter d’un PC renouvelé moins souvent ou d’un Mac démodé (il faut bien recycler…).
Bon, d’un sens, pour garder des chercheurs de haut vol, c’est un témoignage de reconnaissance qui coûte moins cher que de leur payer un salaire au prestige à l’américaine…
* Certains préfèrent quand même avoir un ordinateur, mais ils ont le choix.
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[^] # Tout le monde descend
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Source Sans Pro : nouvelle police libre d'Adobe. Évalué à 2.
En fait, concernant la Terminus, c’est plus compliqué que je n’en avais eu l’impression de prime abord : les tailles 10 et 11 sont en fait identiques. Les caractères de la taille 12 sont identiques, mais avec un espacement vertical plus important ; ma critique principale ne s’applique donc pas à cette taille.
Elle est en fait moins large que la Fixed de taille 11 (la variante SemiCondensed n’existant pas dans cette taille), mais plus aérée verticalement. Je vais donc la retenir préférentiellement à celle-ci pour mon éditeur.
Quant à la taille 13, elle est beaucoup plus grosse. On touche aux limites des polices bitmap.
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[^] # Format
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Debian Wheezy passe à XFCE ?. Évalué à 3.
Avant même de considérer la résolution, je parle du format 16/9.
En 24″, tu peux travailler avec deux fenêtres de grosses applications côte à côte, c’est pratique pour certaines choses (d’un autre côté, un 24″ 16/10 1920×1200, c’est mieux).
En 15″, à part pour regarder les DVD, c’est juste trop bas.
À la rigueur, ça peut se défendre pour un net PC : à 10″ ou moins, mieux vaut encore sacrifier la hauteur que la largeur pour gagner de la place.
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[^] # Re: Jolie mais petite
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Source Sans Pro : nouvelle police libre d'Adobe. Évalué à 2.
Je l’ai comparée à d’autres polices sous LibreOffice en sélectionnant les lignes.
Manifestement, le choix a été fait de laisser plus d’espacement en haut et en bas que pour les autres polices.
Autant je vois un intérêt à ça pour une page web ou dans un éditeur (mais ça concernerait la future version à chasse fixe), autant je n’en vois pas dans l’interface graphique.
C’est dommage que cette police ne soit pas disponible aussi dans une variante avec un espacement vertical classique, on pourrait choisir la version la plus adaptée à l’usage.
D’autant plus qu’elle est non seulement jolie, mais aussi très lisible : les lettres ne sont pas trop serrées comme c’est le cas avec d’autres polices sans empattement, les caractères qui sont sujets à confusion (O0, Il1) sont bien différenciés.
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[^] # Ressources
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Debian Wheezy passe à XFCE ?. Évalué à 6.
Je paierais bien quelques sous pour ajouter de la mémoire à mon portable, mais je l’ai déjà fait et il est à fond.
On peut aussi utiliser de gros logiciels et souhaiter leur laisser autant de ressources que possible.
D’un point de vue plus général, le système et l’environnement ne sont que des moyens pour gérer ses données et accéder aux applications dont on a besoin. S’ils consomment une grosse partie des ressources pour des tâches basiques, c’est du gaspillage.
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[^] # Le fond
Posté par Arthur Accroc . En réponse au journal Pourquoi Ubuntu Unity est extraordinaire. Évalué à 8.
Il fallait lire entre les lignes : la vraie information du journal, c’est qu’on n’a pas besoin d’être une bête en orthographe pour utiliser Unity.
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