Paquet Olivier a écrit 25 commentaires

  • [^] # Re: institutions

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le parlement néerlandais oblige le ministre Brinkhorst à retirer son soutien à la directive sur les brevets logiciels. Évalué à 6.

    Oui, c'est effectivement un débat intéressant. Mais comme la construction européenne s'est plutôt faite avec les Etats qu'avec le Parlement, ceux-ci ont encore la haute main sur les institutions. Cela dit, le Parlement n'est pas non plus à l'abri des intérêts nationaux. Seule la Commission s'arc-boute sur le principe que les intérêts nationaux ne doivent pas interférer avec les intérêts communautaires. Je sais, ça paraît pas évident comme ça. Toutefois, comme la Commission se méfie des interventions nationale, elle est beaucoup plus à l'écoute des lobbies. C'est un fonctionnement à l'anglo-saxonne qui prévaut. Et là, faut bien dire que les français sont nuls et n'ont rien compris.
    Bref, si vous trouvez que le fonctionnement de l'Union européenne est opaque, confus et complexe, vous avez raison. Si vous estimez que les Etats n'ont pas à intervenir, il faut bien savoir que ce sont alors les lobbies qui interviennent, parce que la Commission a besoin d'avis divers pour prendre des décisions. Tout dépend de la vision démocratique que vous avez. Pour un français, la notion de lobby est perçue négativement, parce qu'il s'agit d'une intervention politique de la part d'individus non-élus, mais pour un anglo-saxon, il s'agit d'un fonctionnement normal qui oblige les adversaires d'un lobby, à devenir lobby soi-même.
  • [^] # Re: institutions

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le parlement néerlandais oblige le ministre Brinkhorst à retirer son soutien à la directive sur les brevets logiciels. Évalué à 7.

    Les institutions européennes sont triples. Il existe le Parlement dont on élit les députés, la Commission, et le Conseil des Ministres de chaque pays. Donc, les états ont évidemment le droit d'intervenir dans les décisions européennes, il s'agit même d'une de leurs prérogatives. La Commission n'est pas un gouvernement désigné par les députés, mais nommé par les états selon des règles d'équilibres assez complexes. Donc, cela n'a rien à voir avec l'organisation des pouvoir dans chaque état.
  • [^] # Re: Ce matin sur France Culture

    Posté par  . En réponse à la dépêche Élections européennes et brevets logiciels. Évalué à 1.

    Il n'a pas été recyclé sur les listes européennes espagnoles ?
  • # Sites des élections européennes

    Posté par  . En réponse à la dépêche Élections européennes et brevets logiciels. Évalué à 4.

    A noter que les sites du PS, de l'UMP, de l'UDF et des Verts utilisent des CMS libres (les sites de Pasqua, De Villiers et du FN ne donnent pas l'info, mais il serait étonnant qu'ils ne soient pas au moins sous SPIP). Le site des Verts recommande même l'utilisation du navigateur Mozilla ou Safari.
    Par conséquent, pour sensibiliser les futurs élus UMP ou UDF, par exemple, il serait bon de leur rappeler que s'ils laissent passer la directive sur les brevets, ils s'exposent à la menace de devoir payer leurs CMS, et par conséquent, cela grèverait leur budget de campagne (bon, ca ne serait pas énorme, mais rien que sur le principe).
    Notez le commentaire sur le site de l'UMP : "Ce site utilise le système open-source SPIP. Merci à toutes les personnes qui ont contribué à cet ingénieux, souple et puissant système de publication. "
  • [^] # Re: complément d'information

    Posté par  . En réponse à la dépêche Un collectif d'enseignants lance une campagne d'information sur les logiciels libres. Évalué à 10.

    Sauf que, puisque ces logiciels sont non seulement libres mais gratuits, il n'y a pas de crédit à demander, bien au contraire. Le seul point où la région par exemple, aurait son mot à dire, c'est sur l'équipement hardware, mais si il peut économiser sur le soft. C'est tout bénéf.
    En fait, le problème vient surtout du fait que dans certains établissements, notamment dans le supérieur, l'équipement en logiciel peut être subventionné par l'extérieur. Je me souviens d'une salle informatique sous windows, sponsorisée et subventionnée par Microsoft. Alors, évidemment, ca ne coûte rien, et ca fait de la pub.
    Difficile de lutter dans ces conditions.
  • [^] # Re: N'empeche que...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linus s'en va ?. Évalué à 10.

    Surtout sous prétexte qu'il est parvenu à reproduire l'intégration de Microsoft Visual C++. Franchement, alors que tout le monde sait qu'il participe activement à la mise en sécurité de .NET (qui tournera sur des mainframes utilisant Hurd).
    Et après on prendra au sérieux les informaticiens qui vous disent "faut reformater votre disque dur..."
    Pfff...
  • [^] # Re: Comme c'est étrange...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Internet sur les lignes a haute tension. Évalué à 10.

    Si je me souviens bien. Les lignes haute tension concernées sont celles qui font déjà passer une fibre optique. Il reste ensuite aux communes et aux opérateurs de connecter chaque foyer. Et là, c'est la solution que chacun négocie.

    C'est effectivement une question de coût, mais parce que le coût a déjà été payé par les contribuables.
    En plus, j'imagine mal EDF passer à côté d'une source de revenus comme la com' par lignes electriques. Donc, remplacer la domination de FT par celle d'EDF. Mouais, pas probant, probant.
  • [^] # Re: Le minitel n'a pas (encore) perdu face au Web

    Posté par  . En réponse à la dépêche Contre le SSSCA : l'exemple du Minitel!. Évalué à 9.

    Juste pour donner une précision et rectifier un peu. Selon le cabinet MMXI, le commerce sur Internet va dépasser cette année pour la première fois les transactions effectuées par le Minitel 1,6 milliard d'euros pour Internet contre 712 millions d'euros. (Source Netbug n°2 Décembre/Janvier)
  • [^] # Re: invitation a la reflexion...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Conférence sur la Propriété intellectuelle. Évalué à 1.

    Je ne connais pas précisément ce qui se passe pour les chanteurs et musiciens, mais je connais mieux pour la littérature.
    Les cas d'auto-édition rentable sont rares, très rares. Il est certains que l'on gagne plus d'argent en auto-édition qu'en étant édité par un éditeur, mais il faut que le livre se vende (en clair, qu'il soit distribué) et c'est pas gagné.
    Un éditeur n'offre pas seulement comme service d'imprimer un ouvrage (ca, n'importe quel imprimeur peut le faire). Il offre, un travail éditorial (dans les bonnes maisons), une distribution conséquente, de la publicité.
    C'est en fonction de ces services que l'on accepte de "s'enchaîner" à un éditeur. Et croyez-moi, j'ai reçu mon contrat de Flammarion et les chaînes sont subtiles.
    Un auteur, "cède" ses droits à l'éditeur. En fait, sa marge de négociation est faible quand il débute.

    Dans le domaine de l'écriture, la propriété intellectuelle existe, mais sous deux formes : droits patrimoniaux, et droits annexes. Les premiers sont la propriété inaliénable de l'auteur (droit moral, essentiellement), mais rapportent que dalle. Les deuxièmes sont dans les mains de l'éditeur (et ce sont eux qui rapportent). En fait, certains collectifs d'auteurs demandent que les contrats ne cèdent les droits annexes que pour une durée limitée à 5 ans (et non à 75ans). Ben c'est pas facile.
    Tout ceci pour dire que les relations entre un artiste et son éditeur sont complexes et qu'il s'agit d'un équilibre entre les avantages "possibles" pour chaque acteur de ce marché.
    L'art n'ayant que peu à voir avec tout ça, et les petits comme les grands sont à la même enseigne.
  • [^] # Re: Je reves ou bien ??

    Posté par  . En réponse à la dépêche Conférence sur la Propriété intellectuelle. Évalué à 1.

    Le fichier contient l'invitation, et c'est ce qui a été envoyé par les labos aux chercheurs.
    Déjà qu'on a reçu l'invitation en extrème limite (le 22 pour le 23).
    Sans doute que mon labo s'est dit que ca ne devait pas intéresser grand monde.
  • [^] # Re: XP est tres automatique !!!

    Posté par  . En réponse à la dépêche La stratégie de Microsoft pour la domination. Évalué à 8.

    Un jour, ca va finir par se voir.
    Remarquez, j'ai installé OfficeXP et lors de l'enregistrement, je n'ai donné que l'info minimale (le pays). La question du passport ne se pose que si les infos collectées le sont à l'insu de l'utilisateur.
    A preuve du contraire, Microsoft ne vérifie pas les infos qu'on lui donne. Je me suis plusieurs fois amusé à mettre des infos fantaisistes.
    Ce que veux faire Microsoft, c'est disposer d'une base de données perso et la vendre (à plus ou moins long terme). Si la Base de donnée n'est pas fiable, le truc tombe de lui-même.
    Il faut saboter, si c'est possible.
  • [^] # Re: Espionage industrielle.

    Posté par  . En réponse à la dépêche Frenchelon dans le texte. Évalué à 10.

    Le coup des papiers dans la poubelle est si vrai que du temps de la Stasi, Marcus Wolf avait des espions qui jouaient les femmes de ménages dans les organisations internationales.
    En fait, la plus grosse partie du boulot des espions, ce sont ces petites recherches, ces informations au compte-goutte que l'on obtient par des moyens souvent simples (voir aussi les "Roméo" et les "Juliette" qui séduisaient les militaires à Bonn pour livrer les secrets sur l'oreiller).
    Donc, avant d'avoir besoin des capacités d'Echelon pour espionner, il existe des méthodes beaucoup moins couteuses et beaucoup plus sûres.
    L'humain reste quand même plus fragile que les systèmes informatiques...
  • [^] # Re: Cyber elections

    Posté par  . En réponse à la dépêche Liberty Alliance Project. Évalué à 2.

    Juste un détail (c'est le prof de Sc-Po qui parle là). D'une part, la démocratie directe ne se limite pas au vote, mais tout autant à la délibération, à la discussion, etc. D'autre part, le vote électronique n'assure pas une meilleure implication du citoyen. Le vote, c'est aussi le fait de se déplacer, de se rendre dans l'urne (qui peut assurer que derrière son ordinateur, le citoyen ne sera pas influencé par quelqu'un d'autre), de signer des registres, jusqu'au fait d'entendre "A voté !".
    Il n'y a pas que glisser le bulletin dans l'urne, il y a aussi toute une dramaturgie qui participe du poids et de l'importance du vote.
    Rien ne permet d'affirmer qu'une procédure électronique assure une plus grande démocratie, au contraire on pourrait voir la participation chuter à mesure que l'"effort" et l'importance du geste diminue.
  • [^] # Re: ça me rappelle une histoire humaine ça !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Des transistors de la taille de molécules. Évalué à 4.

    Sauf que Truong voit la succession de l'Humanité dans le silicium et que l'électronique moléculaire n'a pas besoin du silicium.
    Au contraire, j'aurai plutôt tendance à penser qu'une telle technologie va à l'encontre des idées de Truong. Ou du moins, en présente une autre alternative.
  • [^] # Re: ça me rappelle une histoire humaine ça !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Des transistors de la taille de molécules. Évalué à 5.

    Si l'on considère que l'intelligence humaine ne repose que sur des configurations de neurones, des assemblements et des potentiels électriques, rien n'empêche la formation d'une intelligence artificielle à partir de la libre association de molécules.
    Ce qui me fait sourire, c'est que j'ai terminé une nouvelle de SF qui paraîtra dès que j'aurai réécrit certains passages et qui met en scène des IA moléculaires (appelées aussi bio-mimétiques). J'ai bien fait de ne pas mettre de date.
    Je ne suis absolument pas persuadé qu'il puisse y avoir une concurrence avec l'intelligence humaine, plutôt que l'on aura affaire à deux types d'intelligence. Rien d'inquiétant la-dessous.
  • [^] # Re: c'est pas gagné

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open Source et management stratégique. Évalué à 1.

    Tiens, une rémunération à envisager : du temps libre.
    Si un développeur d'une société A passe ses nuits à développer un logiciel libre qu'utilise la société B. La société B peut payer à la société A du temps libre au développeur (dans une certaine limite).
    Non, je sais, c'est totalement bancal comme truc, mais je pensais à une utopie où l'important, ce n'est pas l'argent, mais le temps libre (qu'on le passe à coder ou pas).
    Rêvons un peu :-)
  • [^] # Re: c'est pas gagné

    Posté par  . En réponse à la dépêche Open Source et management stratégique. Évalué à 10.

    Il me semble qu'il ne faut pas se limiter à la simple "production" informatique. Si l'idée et le concept d'Open Source peuvent être introduit dans les théories de Management, c'est dû à deux points :
    1- La nouvelle crise économique oblige les entreprises à reconsidérer leurs investissements informatiques et technologiques. Gros point d'interrogation sur l'avenir de WindowsXP à ce sujet;
    2- Les logiciels libres sont une alternative, mais, ce que ces études suggèrent, c'est qu'il ne suffit pas de changer de logiciel, de passer d'une solution propriétaire à une solution Open Source. Or, le mode de développement Open Source, loin d'être un handicap, offre des avantages multiples aux entreprises.
    Maintenant, il reste à déterminer les avantages de la "méthode Open Source", et si cela ne va pas conduire à une autre forme d'exploitation, d'autres contraintes plutôt qu'une liberté et une autonomie plus grande.
    Que la boîte développe ou pas, c'est l'esprit de l'Open Source qui devient un enjeu managérial. Et avant même les questions de license, c'est l'esprit fermé des entreprise qui constitue l'obstacle le plus grand.
    Effectivement, c'est pas gagné, mais si l'Open Source cesse de n'être vu que sous l'angle informatique, ce sera tout bénéfice pour les logiciels libres dans leur ensemble. Leur crédibilité sera accrue car leur mode de développement sera vu comme sûr et plus performant que le développement proprio.
    Faut pas désespérer...
  • [^] # Re: Les frères ennemis

    Posté par  . En réponse à la dépêche interview de Linus. Évalué à 7.

    Même si Linus disparaît ou arrête de travailler sur le noyau, linux continuera toujours. Alan Cox contribue même plus souvent aux versions du noyau que Linus.
    C'est tout l'avantage du libre sur le propriétaire : son développement ne dépend pas des individus mais des sources.
    Si je me souviens bien de _la cathédrale et le bazaar" d'Eric S. Raymond, ce dernier avait repris un code en sommeil voire abandonné.
    Donc, peu importe si Linux est motivé ou pas. La communauté du libre est plus importante que chaque individu. Même si Linus est un porte-drapeau et une sorte d'icône pour certains.
    ... Beaucoup d'entreprises ont survécu à leur fondateur, fort heureusement.
  • [^] # Re: haaaa ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche L'armée française aurait du investir dans le libre. Évalué à 6.

    Si je me souviens bien des infos à l'époque. L'armée française n'utilise pas linux, mais BSD.
    En tout cas, je peux dire (vu de mes yeux vu) qu'à St-Cyr Coetquidan, la salle internet est sous linux Suse (ca a permis de recycler des vieilles machines sous-dimensionnées).
  • # fin du Nasdaq ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Crash sur le World Trade Center. Évalué à 3.

    Effectivement, le Pentagone a été touché par un avion et évacué. L'une des deux tours est détruite à moitié.
    A part le nombre de victimes, on peut se dire que le krach boursier immédiat qui va suivre va rendre risible la chute du Nasdaq en 2000. On parie ?
  • [^] # Re: Mais qu'elle est l'avenir de Linux ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Les experts informatiques croient en Linux. Évalué à 4.

    Avant d'angoisser, il faut aussi rappeler qu'il y a dix ans, Linux existait tout juste (happy birhday) et qu'il n'était pas conçu pour devenir un OS complet, librement distribuable, etc. De nombreux développeurs se sont attelés à la tâche de fournir les applications nécessaires en un temps record.
    Il a fallut moins de dix ans pour faire de Linux un équivalent de Windows. Et malgré tout ce que l'on dit, les BSD et autres systèmes alternatifs sont toujours là. La grande supériorité du libre sur l'antique ère de l'informatique (Atari, Amiga et autres Oric), c'est que, même si Suse et Mandrake plongent, le libre subsiste et subsistera. Les développeurs continueront toujours de développer pour un OS dont les sources sont libres, alors que les autres applis sont fermées.
    L'inquiétude ne doit pas porter sur Linux en tant que tel, mais sur le concept de logiciel libre et la question des brevets qui sont les garants de la perennité de ce modèle de développement.
    On ne peut pas mettre en difficulté un quasi monopole de plus de dix ans avec Gimp ou Konqueror. Faut pas rêver non plus. La progression du libre est étonnante, il ne faut s'alarmer de périodes plus difficiles (pas propre au libre, mais propre à la crise des valeurs internet).
  • [^] # Re: Ouais bof!!!! Il nous compare encore à des gauchistes/anarchistes

    Posté par  . En réponse à la dépêche libé: linux, la victoire en troquant. Évalué à 1.

    Bien entendu, le terme viral a un sens particulier dans la bouche de Ballmer et les pontes de Microsoft. Néanmoins, un "virus" peut avoir des effets positifs. C'est pourquoi j'avais mis le terme entre guillemets et que je parlais de l'aspect viral, et non de la réalité virale de la GPL.
    Mais si quelqu'un a un meilleur terme... qu'il propose. Le FUD microsoft n'est jamais que l'expression de sa peur, il est important de ne pas être obnubilé par ses procédés de rhétorique.
  • [^] # Re: Ouais bof!!!! Il nous compare encore à des gauchistes/anarchistes

    Posté par  . En réponse à la dépêche libé: linux, la victoire en troquant. Évalué à 7.

    Ce passage de l'article a plutôt comme objectif de souligner l'extension de l'aspect "viral" de la license GPL.
    L'idée politique (au vrai sens du terme) qui sous tend le GPL de Stallman est accaparée par d'autres types d'associations qui en voient l'utilité pour leurs débats.
    Je suis d'accord qu'il ne faut pas faire de la GPL un instrument purement politique, mais on ne peut que se féliciter de l'extension des principes dans d'autres domaines scientifiques.
    Petit à petit, cela peut amener la population à considérer que la propriété de certains produits intellectuels peut être protégée de manière différente en fonction des besoins généraux.
    Il s'agit d'une autre définition de ce qu'est un "bien public", et il n'appartient pas nécessairement au domaine informatique.
  • [^] # Re: Là, ils exagèrent !!!!!!!

    Posté par  . En réponse à la dépêche Le MP3 sacrifié sur l'autel du monopole ?. Évalué à 1.

    J'ai plus la référence sous la main, mais dans un Libé de cette semaine, le journaliste disait que les éditeurs étaient intéressés par le mp3 pour une seule et simple raison : les napsteriens ont mp3isé à coût nul des millions de titre.
    Pour faire la même chose avec d'autres formats, ca va coûter beaucoup, beaucoup plus cher.
    En conclusion, les éditeurs sont piégés : soit ils enterrent le mp3 et se prennent le coût de la numérisation dans la tronche, soit ils le laissent se développer et se font pirater.
    On peut créer un format, l'important c'est qu'il soit lisible par tous et diffusable à un coût raisonnable.
    Bref, sont pas sortis de l'auberge.
  • [^] # Re: rapidement jugé

    Posté par  . En réponse à la dépêche Linux vraiment mort ?. Évalué à 1.

    Avant de classer, j'ai quand même envoyé un ch'ti mail au monsieur qui se finit ainsi :

    Et puis, de toute façon, par rapport aux incompatibilités entre
    versions de windows, et la tentative de microsoft de casser les
    standards sur le net, les distributions linux ne pourront pas faire
    autant de mal au monde informatique. Après tout, il n'existe aucune
    distribution linux qui empêche ses utilisateurs de voir des sites
    construits avec des applications d'autres distributions, tandis que le
    site où votre article est disponible est interdit à tout utilisateur de
    netscape (mais Konqueror de Kde parvient à les lire). Preuve que le
    danger ne vient pas de la diversité.

    Je sais, ca fait pas avancer le schmilblick, mais ca défoule,

    Amicalement,