Pierre Tramonson a écrit 1453 commentaires

  • [^] # Re: Frites maison ?

    Posté par  . En réponse au journal Recette pour burgers. Évalué à 5.

    comme mème ?

  • [^] # Re: La photo !!!

    Posté par  . En réponse au journal Recette pour burgers. Évalué à 10.

    Buns après cuisson
    Bun après cuisson

    Dressage
    Dressage

    Gros plan
    Gros plan

  • # Précisions

    Posté par  . En réponse au journal 1.5 Milliards dépensés par l'État dans du non libre. Évalué à 8.

    J'ai recopié ci-dessous les liens vers les questions posées et leurs réponses.
    Je me suis permis de mettre en gras les phrases qui, pour moi, font que l'interprétation qu'en fait l'APRIL est rapide et biaisée. (je rappelle le titre de leur article : "Les licences privatrices ont coûté plus de 1,5 milliards d'euros à l'Etat sur 5 ans")

    Question sur le coût global de l'achat et de l'utilisation de logiciels non libres
    http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-13179QE.htm

    Les logiciels étant des oeuvres protégées par le droit de la propriété intellectuelle, leur utilisation s'inscrit dans le cadre contractuel établi entre la personne publique utilisatrice et le titulaire des droits (auteur ou ayant-droit). Les principes de tarification de cette licence et le périmètre des droits qui y sont inclus sont variables : cession à titre onéreux d'un droit patrimonial, exclusif ou non, sur la licence ; location ; redevances annuelles de maintenance et de support associé… Les principaux éditeurs ne distribuent toutefois pas directement leurs produits et ont mis en place un réseau de revendeurs. Certains logiciels comme les systèmes d'exploitation sont fournis avec les postes de travail. La mise à disposition du droit d'usage d'un logiciel s'inscrit en outre souvent dans le cadre d'une prestation plus globale (cas en particulier des prestations d'intégration) faisant intervenir des intermédiaires entre l'éditeur et la personne publique. Ces caractéristiques du marché du logiciel rendent particulièrement difficile l'évaluation du coût d'achat et d'utilisation des logiciels par les administrations publiques. Dans ce contexte et pour ce qui concerne l'Etat, la dépense de logiciels « non libres » (acquisition et maintenance) est évaluée à un montant annuel global de 231 à 260 M€ sur les cinq dernières années (2007-2011). Pour ce qui concerne les autres administrations publiques, les seules commandes effectuées par l'intermédiaire de l'UGAP représentent en 2011 un montant global de 63 M€. La dépense publique en logiciels non libres apparaît par conséquent supérieure à 300 M€ annuels, soit 1,5 Md€ sur cinq ans.

    Mes remarques :

    • Tout ce qui est en gras ci dessus n'est pas lié au fait que les logiciels en question soient non libres. On aura tout aussi bien des prestations d'intégration avec des SSII et des contrats de support+maintenance avec des éditeurs dans le cas du LL.
      Par ailleurs je suis persuadé que ces 2 dernières prestations sont loin d'être négligeables dans le coût de 1,5Md€ annoncé.
      Ainsi pour moi le titre de l'APRIL est mensonger, il ne s'agit pas du seul coût des licences ! (ou alors ils ont des informations que je n'ai pas). Et en soit ce chiffre ne veut pas dire grand chose, ces 1,5Md€ ils servent à mettre en place des logiciels qui rendent des services, qui font gagner du temps/de l'argent à l'Etat… bref c'est pas juste du fric dépensé comme ça

    • Il serait effectivement intéressant de savoir exactement ce qui relève des coûts de licence de ce qui relève des prestations intellectuelles.
      Et là dessus ça me semble assez incroyable (outil d'achat incorrectement rempli, mauvaise foi ?) que l'Etat ne sache pas faire le distingo entre coût de licence et coût de prestation intellectuelle. C'est exigé dans tous les appels d'offre !

    Question sur le coût de l'achat de produits Microsoft (pour 2011)
    http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-14884QE.htm

    Les logiciels étant des oeuvres protégées par le droit de la propriété intellectuelle, leur utilisation s'inscrit dans le cadre contractuel établi entre la personne publique utilisatrice et le titulaire des droits (auteur ou ayant-droit). Les principes de tarification de cette licence et le périmètre des droits qui y sont inclus sont variables : cession à titre onéreux d'un droit patrimonial, exclusif ou non, sur la licence ; location ; redevances annuelles de maintenance et de support associé… A l'instar d'autres éditeurs, la société Microsoft ne distribue toutefois pas directement ses produits et s'appuie sur un réseau de revendeurs. Certains logiciels comme les systèmes d'exploitation sont fournis avec les postes de travail selon une licence particulière attachée au matériel. Le montant de cette licence est en outre confidentiel car négocié au niveau mondial entre le constructeur et Microsoft. La mise à disposition du droit d'usage d'un logiciel s'inscrit en outre souvent dans le cadre d'une prestaation plus globale (cas en particulier des prestations d'intégration) faisant intervenir des intermédiaires entre l'éditeur et la personne publique. Ces caractéristiques du marché du logiciel rendent particulièrement difficile l'évaluation du coût d'achat et d'utilisation des logiciels Microsoft par les administrations publiques. Dans ce contexte et pour ce qui concerne l'État, la dépense de logiciels de la société Microsoft (acquisition et maintenance) est évaluée à un montant global estimé pour l'année 2011 de 53,9 M€, dont 10,2 M€ relèvent de logiciels pré-installés sur les postes de travail, 19,8 M€ d'achats de licences et 23,9 M€ de location de licences et de services.

    10M€ de licences postes de travail, 20M€ de licences serveurs par an ! C'est énorme ! A 100€/poste ça fait 100k postes équipés de nouvelles licences par an !

  • # Intérêt des revues de presse de l'April

    Posté par  . En réponse à la dépêche Revue de presse de l'April pour la semaine 19 de l'année 2013. Évalué à 2.

    Bonjour,

    J'ai bien conscience que je ne vais pas me faire que des amis en disant cela, mais est ce que ces revues de presse ont encore un intérêt ?

    J'ai survolé les news postées sur un an glissant et :
    - le nombre de clics sur chaque lien est entre 0 et 15
    - le nombre de commentaires sur chaque news est entre 0 et 10

    Je n'ai pas l'impression que ces news soulèvent un enthousiasme délirant.
    D'autant qu'en plus vous voulez faire un mini extrait de chaque article de presse dans la news, au final j'ai plutôt l'impression que vous vous faites c… pour pas grand chose.

    Cordialement,

  • # Fortunes

    Posté par  . En réponse au journal Les friture essentielles du canard du futur. Évalué à 1.

    Une expérience utilisateur enrichie grâce à la présence de fortunes.
    Ci dessous un ensemble de règles de gestions en vrac :

    • affichage optionnel des fortunes dans olcc. Emplacement à définir en fonction de la nouvelle IHM olcc et de la taille max des fortunes
    • affichage aléatoire des fortunes
    • stockage des fortunes sur olcc-server (ou autre serveur ?)
    • moyen simple d'ajouter une fortune, exemple : via clic droit > nouvelle fortune, ouvrant une petite fenêtre permettant de saisir les horloges des posts concernés, ou de cliquer directement sur les posts
    • bouton + et - (ou autre synonyme) à côté de la fortune affichée, permettant de mettre en valeur ou au contraire de cacher certaines fortunes plus ou moins appréciées => cf le fonctionnement des commentaires
    • définition d'un seuil minimal (par utilisateur) pour indiquer à partir de quel valeur de fortune on souhaite l'afficher (cf le fonctionnement des commentaires)
    • éventuellement ces fonctionnalités pourraient être réservées aux personnes authentifiées sur olccs via le mécanisme proposé plus haut (par skc) sur la gestion centralisée des cookies dans olccs
  • [^] # Re: pull request

    Posté par  . En réponse à l’entrée du suivi Encodage du & dans le remote.xml. Évalué à 4 (+0/-0).

    Elle a ptete été recodée à l'arrache, mais elle présente de prime abord moins de trous dans le slip que ses anciennes versions.

  • # Comment inciter à commenter

    Posté par  . En réponse au journal To comment or not to comment. That is the question.. Évalué à 1.

    Il est évident qu'il est nécessaire (indispensable) de commenter son code, de manière à faire apparaître l'intention derrière le code.
    Du coup je trouve que ta question ne se pose pas.
    Si tu le permets, la question qui me semble plus intéressante est : Comment inciter (obliger) les développeurs à commenter leur code de manière pertinente ?

    Certains éditeurs ont bien compris l'enjeu et proposent des métriques de mesure de nombre de lignes de commentaires rapporté au nombre total de lignes de source. Avec une alerte en dessous d'un certain %. Je pense à CAST par exemple.
    Mais bien souvent, ça sert juste à être relu 1 fois tous les 5 ans par un architecte et on n'en tirera rien.

    Côté documentation (et pas commentaire), je trouve que Java a proposé de bonnes pistes :
    - modèle type de documentation : Javadoc
    - IDE générant automatiquement des prototypes de documentation de code
    - mesure de la présence et l'exhaustivité de la documentation dans des outils d'analyse statique (Sonar, checkstyle…)
    L'écosystème propose ce qu'il faut pour mesurer et suivre la qualité de code.
    Par la suite les IDE et outils utilisés dans le monde Java se sont étendus aux autres langages (je pense à Eclipse, Sonar qui sont utilisés sur d'autres langages).
    Doxygen a permis à peu près la même chose que Javadoc mais sans être lié au langage Java.

    Est il possible d'imaginer la même chose avec les commentaires ?
    Actuellement je ne connais pas de meilleur moyen de faire prendre conscience à un développeur qu'il faut commenter que de lui donner à maintenir du vieux code, ayant subi de nombreuses modifications (pas toujours bien commentées).

  • [^] # Re: Zetes sur qu'il n'y aura pas de neige cette fois ?????

    Posté par  . En réponse au journal Où incuber l'excellence demain?. Évalué à 1.

    la moitié des hits vient de Linuce<

  • [^] # Re: Gares parisiennes

    Posté par  . En réponse au journal Ça faisait longtemps : SNCF mon amour. Évalué à 3.

    Cela dit il est très rapide.

  • [^] # Re: Parce que

    Posté par  . En réponse au journal Une tablette avec RJ45 ?. Évalué à -1.

    _o/ BLAM ! pas chauve, ni ounet !

  • [^] # Re: Parce que

    Posté par  . En réponse au journal Une tablette avec RJ45 ?. Évalué à 1.

    Une tablette connectée à Internet en wifi je pense que c'est pas mal comme solution de secours pour de l'autohébergement de site web + mail (si jamais ton serveur / carte réseau plante).

    Je pense que c'est ça qu'on appelle "Internet mobile".

  • [^] # Re: Le mensonge contre l'ignorance

    Posté par  . En réponse au journal Comment les gens perçoivent la gratuité dans l'informatique ?. Évalué à 1.

    Bien que pratique, cet outil est assez limité.
    Pour l'avoir utilisé cette semaine, tu peux effectivement créer une partition, l'étendre après s'il y a de la place derrière, ou la diminuer pour en créer une après.
    Par contre tu ne peux pas diminuer la taille d'une partition et étendre la partition suivante pour venir prendre l'espace ainsi libéré (il n'est pas possible d'étendre une partition avant son positionnement actuel).

  • # Roadmap

    Posté par  . En réponse à la dépêche GNOME 3.8 : deux ans déjà !. Évalué à 10.

    L'ensemble des applications GNOME 3 commence à se concrétiser, mais la route est encore longue. Des applications et des utilitaires historiques passent à l'ergonomie GNOME 3, mais en dehors d'Epiphany et Nautilus, les principales applications sont encore à attendre pour leur version GNOME 3. Néanmoins, des prototypes parfois assez avancés sont là, témoin du travail en cours : Photos, Musique, Notes, Calendrier, Contacts.

    En 2 ans et 8 versions, cela veut dire qu'il n'existe toujours pas d'applications au standard Gnome 3 en dehors du navigateur web et du navigateur de fichiers ?
    Je sais pas mais pour un des principaux projets de desktop libre existant, ça fait pauvre non ?
    Quand je prends une 3.8 je m'attends à avoir une version 3 déjà bien évoluée. Là rien du tout, j'ai l'équivalent d'une v3.2.

    Quels sont les plans de Gnome pour avoir une roadmap plus cohérente et un peu plus fournie en applications (et pas une succession de refontes de l'interface) ?
    Je veux dire, avant de faire une belle appli, il faudrait peut être commencer par avoir une appli, non ?

  • # Plutôt une bonne chose

    Posté par  . En réponse au journal De la finalité du droit d'auteur . Évalué à 1.

    Pour ma part, même si on peut toujours chipoter sur les détails, je reste convaincu que c'est une bonne chose.
    On parle bien de livres qui ne sont plus publiés, donc ne seront plus jamais accessibles à de nouveaux lecteurs et finiront par tomber dans l'oubli.

    A cela le numérique apporte une réponse technique : il est facile et peu couteux de diffuser numériquement un même objet culturel.
    Si on garde cette solution technique, plusieurs organisations seraient possibles :
    - tout passer dans le domaine public, que la BNF numérise tout et publie tout gratuitement, et rémunère les auteurs avec son budget via société de gestion collective (avec nos impôts/taxes)
    - tout passer dans le domaine public, que la BNF numérise tout et publie tout via paiement, et rémunère les auteurs avec le résultat des ventes, via société de gestion collective (remarque je ne sais pas si c'est possible de faire payer quelque chose du domaine public ?)
    - déléguer aux éditeurs volontaires la publication payante des œuvres numérisées, et rémunérer les auteurs via une société de gestion collective (ce qui est fait ici)
    - les auteurs se démerdent et diffusent eux mêmes leurs œuvres

    Ceci dit passer dans le domaine public revient à supprimer le droit d'auteur (l'auteur ou ses ayants droits n'ont plus aucun droit sur l’œuvre)

    En bref, au lieu de rendre les droits à l'auteur (ce qui est censé se passer dans le cas d'indisponibilité), les éditeurs se réservent le droit d'exploiter ses œuvres (collectivement et avec subventions publiques), hors de tout contrat et sans lui demander préalablement son avis (c'est à lui de consulter tous les ans le registre de ces indisponibles, puis de faire connaître son éventuelle opposition dans les six mois suivant la dernière mise à jour de celui-ci).
    Cette phrase est imprécise. L'auteur garde bien ses droits d'auteurs. Par contre il cède les droits d'exploitation aux éditeurs volontaires via la Sofia.
    Par ailleurs ils sont rémunérés par la société de gestion collective en cas de numérisation / publication de leur œuvre.
    L'argumentaire des liens cités me semble bien creux…

    Bref, en tant que lecteur je ne vois pas trop ce qui chagrine les auteurs.
    Ils ne sont déjà plus lus !
    - S'ils ne veulent plus être lus/publiés (étrange pour un auteur) : qu'ils le signalent.
    - S'ils veulent être republiés : ils sont libres d'accepter ou non
    - S'ils veulent faire profiter à tous leurs œuvres : qu'ils les passent dans le domaine public (mais est ce seulement possible ?)

  • [^] # Re: Pourquoi pas, mais attention quand même !

    Posté par  . En réponse au journal 42 : une nouvelle école informatique. Évalué à 6.

    Ce qui pourrait être profitable c'est la possibilité que des personnes n'ayant pas fait de longues études (et donc peut être dans une situation professionnelle peu glorieuse) mais avec une énorme envie de bosser dans l'informatique puissent réaliser cette envie et améliorer leur situation (car il y a du boulot dans l'informatique au moins).
    Après… il faudra juger sur pièce.

  • [^] # Re: École pour génie ???

    Posté par  . En réponse au journal 42 : une nouvelle école informatique. Évalué à 5.

    Le bon commercial il ne prêtant pas connaître quoi que ce soit à l'informatique. C'est pas son job.

    Au contraire, dans ce cas c'est juste un marchand de tapis qui ne sait pas ce qu'il vend.

  • [^] # Re: Sur le papier

    Posté par  . En réponse au journal 42 : une nouvelle école informatique. Évalué à 3.

    Source ? url ? reference ? lien ?

  • [^] # Re: On cherche en vain l'accroche

    Posté par  . En réponse au journal Notre monde. Évalué à 4.

    Et pourtant il a pris des gants.
    Perso j'aurais dit ça autrement : on n'a aucune idée de quoi parle le journal, donc on ne va voir plus loin.

  • [^] # Re: Compte créé le 25/03/2013

    Posté par  . En réponse au journal Notre monde. Évalué à 5.

  • [^] # Re: merci :-)

    Posté par  . En réponse au journal Mon évolution vis à vis du copyleft. Évalué à 2.

    Sur quels éléments de comparaison te bases tu pour faire ton choix de licence ?

    A part http://en.wikipedia.org/wiki/Comparison_of_free_and_open-source_software_licenses qui ne compare que sur deux axes :
    - liens avec du code sous autre licence / changement de licence
    - acceptation par les différentes organisations du logiciel libre
    je ne connais pas de matrice plus détaillée.

    Il serait extrêmement intéressant d'avoir cette même matrice avec des axes de comparaisons plus nombreux.
    Par exemple :
    - est ce que cela impose des contraintes aux utilisateurs du logiciel
    - limitations hardware ?
    - utilisation soft proprio ?
    - approbation des différents contributeurs pour changer de licence ou pour tout autre modification d'envergure
    - etc…
    Mais je ne connais pas un tel comparatif.

  • [^] # Re: Lu dans l'article

    Posté par  . En réponse au journal Je m'en fous, je n'ai rien à me reprocher. Évalué à 2.

    Pour une fois l'article wikipédia est assez bien fourni sur ce sujet :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9ralisme
    La partie Origines et notamment le § sur les Lumières est très intéressant par exemple.

  • [^] # Re: Commentaire sur les commentaires

    Posté par  . En réponse au journal Interview Julian ASSANGE et Jérémie ZIMMERMANN. Évalué à 10.

    Disons que le format audio ou vidéo est un très mauvais moyen de démarrer une discussion sur un forum/site.

    C'est inhérent au format :
    - on ne peut pas faire de citations
    - il faut se taper le truc jusqu'au bout avant de commenter (oui car une chose dite à 1'30 peut être complétée à 6'47)
    - il est plus difficile de naviguer (revenir en arrière vérifier une chose dite auparavant puis reprendre là où on en était)
    Le format texte permet lui de :
    - faire des citations facilement
    - arrêter la lecture sans (trop) perdre du contexte
    - être plus précis dans les termes utilisés
    - avancer plus vite qu'une vidéo/audio

    Personnellement je n'ai pas envie de m'infliger une vidéo youtube ou un audio de 1h30, du coup je ne prendrai pas connaissance du sujet.
    Tant pis pour moi, certes.

  • [^] # Re: Moi, ce qui me gène, est l'hypocrisie

    Posté par  . En réponse au journal [Attention, journal bookmark ET féministe] Tiens, prends ça, tu le mérites !. Évalué à 10.

    C'est une femme qui a inventé le COBOL ? totoz
    On comprend mieux pourquoi les femmes sont mal vues dans le monde informatique !

  • [^] # Re: BINGO

    Posté par  . En réponse au journal [HS] Un écart de 28 %. Enfin non, 18%. Enfin en comparant des choux et des carottes. Évalué à 4.

    Je partage globalement ton avis sauf sur :

    C'est une des formes de l'inégalité découlant du sexisme et de l'éducation différenciée que reçoivent filles et garçons. Les métiers féminins sont dévalorisés et mal payés.

    Pourrais tu définir un métier féminin ? Personnellement je n'y arrive pas.
    Par ailleurs, même en admettant que cela existe, je pense que ce n'est pas ce qui pose problème. En effet, on pourrait imaginer que éboueur est un métier masculin, pourtant assez dévalorisé et mal payé.

    Amha ce qui pose problème ce sont les postes occupés par des femmes : en moyenne plus en cdd que les hommes, avec des carrières moins "continues" (maternité), et une représentation collective de la société que c'est la femme qui s'occupe des enfants, en priorité par rapport à l'homme (et donc du coup s'impliquerait moins dans son travail).

    C'est plutôt contre cela qu'il faudrait lutter.
    Par contre ce que je ne m'explique pas c'est comme font les pays nordiques (allemagne y compris) pour avoir à la fois une meilleure égalité homme femme ET une place de la femme mère plus éloignée du monde du travail (il me semble que la taux d'activité des femmes en France est supérieur à celui des pays nordiques).
    C'est assez contradictoire en apparence.

  • [^] # Re: Il en reste encore

    Posté par  . En réponse au journal Hugo Chavez bronsonisé!. Évalué à 3.

    ouais donc la France c'est naze donc Chavez c'est bien ?
    super l'argumentation !