...Mon troll n'est pas passé tant pis j'ai essayé :)
D'accord avec toi sur tout ce que tu penses de bien sur Hibernate. Même si parfois une bonne requête vaut bien une description .hbm .Je suis chez un client avec une base de données assez ..."particulière" disons. Des jointures sur un caractère au milieu d'un champ, des joitures int<-> string, des grandes tables sans jointure, et j'avoue que je préfère me tester mon sql plutôt qu'essayer de tatonner pour faire une description hibernate valide de la base de données. Bref, Hibernate sera plus facile à tester et appliquer sur une base qui respecte les règles et sans trop de redondance. Bref... mais pour le client ça marche! ne pas oublier ça.
Ceci dit, cette histoire de standard Sun:ça m'intrigue en fait pas mal qu'on soit en pleine recrdescence de standards Hors-Sun:hibernate, les conteneurs IoC, Log4j, jmx réintégré par Sun je crois? Bref... J'y comprends rien. Mon coeur va vers ce qui ne fait pas l'objet des specs de Sun, mais la raison râle....
PS : une petite news à écrire sur Enhydra?
Hibernate? c'est le machin de 6 méga pour ralentir les requêtes sql? Donner de la peine aux serveurs et du souci aux développeurs qui doivent encore apprendre un outil alors qu'ils ont déjà mangé un éléphant en apprenant les ejb?
Je préfère les standards de Sun, excuse moi. Parce que dans deux ans il n'y aura plus de hibernate : mais du jdbc, du jdo ou des ejb 3. Appelées par des Jsf. Soutenu par les grands du milieu: ibm, sun, bea...
Ben... Pour des raisons politiques. Si les hommes politiques se contentent de gérer un budget sans vision à long terme ni vision politique, et ne font pas des choix, autant privatiser cette gestion.
Mon site internet est un fourre-tout privé. Principalement privé c'est à dire chaint à mourir. C'est ma page par défaut, c'est ma raison de vivre, c'est ... mon inexistant à moi
OK, en fait c'est un peu tout ça. C'est un peu mon image publique, mais aussi ma réserve privée. D'un côté le n'importe quoi de mes "réflexions".
Et surtout une demi douzaine d'idées non abouties, de sites rêvés, au pire avortés à peine entamés.
De l'autre une URL privée pour avec un wiki afin de rassembler et garder et avoir accès de n'importe où à mes signets, URL, articles...
Mais pas de privé privé.
Même si c'est ce que je préfère peut-être dans le web, les pages persos, avec les photos du chien du chat et du mariage de Tante Léonie. Pour les autres.
Suppose que tu as un objet qui veut sauvegarder des données en base de données.
Naturellement tu fera
ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees o= new ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees()
o.save (mesDonnees)
C'est ton objet qui appelle ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees
Bref, tu as codé en dur le nom de l'objet qui te permet de faire de la persistence.
Tu pourrais mettre une interface (mais bien sûr tu mets déjà une interface), mais quand même quand tu vas instancier ton objet, il faudra bien dire quelle est la classe utilisée.
InterfacePersistance o= new ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees()
Le principe de l'inversion de contrôle (aussi appelé drôlement "syndrôme d'Holywood") est:" Don't call me I call you"
Objet, ne demande pas une instance de ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees. C'est un moyen extérieur qui va te passer la référence à cet objet- en l'occurence un framework.
Ce framework va lire un fichier xml de config où il y aura écrit : "Voici l'objet que je vais utiliser pour sauvegarder mes données : c'est ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees"
Autrement dit, tu as défini ce qui relie chacune entre elles chacune des couche qui font ton appli.
Avantage : c'est défini en un seul endroit. Tu veux changer ton appel à une base de données par une gestion via un file système : tu changes la config. Ou tu veux tester ton objet - et pas l'accès à la base de données : au lieu d'utiliser l'objet qui fait l'accès à la base (et qui ets peut-être buggé) tu crées un faux objet (Mock) qui va mimer le comportement attendu - mais que tu veux pas tester.
Avantage aussi : un seul lieu pour centraliser le cycle de vie des objets. En général, un accès en base c'est un singleton. Là, c'est ton framework qui va être responsable de la vie de l'objet , donc de son unicité.
de même tu peux du coup très facilement, par config, quand tu crées un objet, dire d'executer telle méthode (log, sécurité) et ainsi tu implémentes en un seul endroit un comportement général (aop)
Et qu'est-ce qui te fait encore bien aimer ces ejb? Qu'est-ce qu'ils t'apportent que tu ne pourrais pas avoir aileurs?
Mis à part qu'ils tournent sur Jonas bien sûr ;-)
des solutions plus simples, mieux dimensionnées, plus flexibles et à terme souvent plus efficaces. Ces solutions sont d'autant plus vite menées et promues qu'elles sont toutes open source.
Tu pourrais être plus explicite ? Pour ma part, sur le front du concept, ces derniers mois ont amené l'émergence d'une vraie révolution sémantique, l'IoC, d'un vrai buzzword (l'architecture orientée service ou SOA).
J'ai l'impression qu'on reprend les mêmes problèmes mais au lieu de construire une grande solution toute faite et qui se voudrait tout terrain (à la EJB), on reprend avec les bases du langage (POJO) et on construit de petites solutions ciblées : jdo/Hibernate pour la persistence, Struts/webwork/tapestry pour les vues... et un framework d'application (pico Container, Spring) pour relier le tout.
ça amène d'un part à des solutions plus simples à construire et à appréhender. Deuxio, ça pousse (toujours plus) vers les modèles Model-View-Controller. On a donc une séparation des tâches qui devient nette, entre les controllers, le model et les vues.
Et dans ce sens je trouve aussi que IoC est un achèvement : cela revient à découper ses classes de manière très strictes, à bien les tester. Chacun fait une seule chose mais la fait bien.
Puis seulement après à les re-cabler , à les relier avec le framework Spring ou Pico.
Le tout est assez cohérent dans la démarche. De plus cela amène une plus grande solidité : si JDO ne suffit pas tu le remplaces dans ton cablage (IoC) par Hibernate ou par une solution jdbc, sans toucher au reste. Ce qui implique naturellement de coder par interface, afin de rendre le code remplaçable facilement: la classe qui utilise hibernate peut être remplacée par la classe qui utilise ojb (ou ejb) tant que le contrat défini par l'interface est rempli. De plus dans le contexte de test, on peut remplacer très facilement les vrais objets par de faux objets qui suivent le même interface mais qui mimeront le comportement d'un objet normal en envoyant des donénes en dur, afin d'isoler l'objet. L'implémentation devient une question de configuration.
Cela fait beaucoup de "bonnes pratiques" d'un coup: separation of concerns, Inversion Of Control, classes testables, faire au plus simple (POJO), coder des interfaces.
Et les questions "matérielles", de charges pour la base de données par exemple sont laissés à la base de donnée, ce qui semble assez acceptable.
Donc, oui, je pensais aussi à l' IoC :-)
Pour le SOA : on dirait que c'est un peu du vent. Mais l'idée de programmer avec l'objectif derrière de délivrer un service, pourrait bien devenir peu à peu une sorte d'obligation, pour mettre en relation les données de serveur en serveur.
Je crois que tu as bien touché du doigt le truc. L’open source est un outil puissant. On peut tout réaliser par ce biais mais à condition de développer. dit l'article
C'est un peu évident, non? C'est un autre système économique, où l'argent va au développeurs, aux concepteurs, et pas à Bill G.
Quand on est (comme nous) au bas de l'échelle, dans la position de celui qui vit de et avec l'open source (sans parler de conviction) ça choque mais à sa place, s'il suit ses intérets, ça peut se comprendre à court terme. Il n'a plus à payer une paire de développpeurs php qui passent leur temps à surfer sur internet et mouler sur linuxfr.
Mais à long terme, comment il va faire évoluer son machin? Quand il va devoir upgrader son système, il va douiller de nouveau. Quand il voudra une fonctionnalité qui n'est pas dans son pack, il va demander à son développeur asp de faire ça.
ok. En fin de compte, l'argent lui revient. Je ne pense pas que cela soit si rentable, même à court terme, mais ça fait plus "gestionnaire". J'ai de l'argent pour un projet et je le mise.
Le temps des cravatés est arrivé. Planquez vous!
Leur problème, ils le disent, est qu'ils arrivaient pas à trouver de bons informaticiens et à les garder. Alors ils ont mis microsoft. ça se tient comme discours.
C'est un changement dans la culture d'entreprise qui est profond, ça se sent. Ils sont en train de tourner une page, les gens qui ont fait la plateforme au début se sont barré et maintenant ils ont du pognon mais plus de devs.
De toutes façons, tu aurais envie de bosser dans une boite qui privilégie microsoft et l'argent? Bon, ben voilà...
Leur discours se tient, mais comment un développeur open source pourrait y adhérer?
Enfin bon je dis ça mais en fait j'en sais rien, je suppute, et encore je reste poli...
Mais techniquement à moyen et long terme ils paieront au moins autant, mais ils auront externalisé les couts et les soucis.
PS:ils ont aussi migré le serveur de mails. Ils vont en ch...er excusez moi du terme...
Au pourquoi c'était le bordel? J'ai une théorie personnelle. Souvent ça dérape quand il y a un point de détail (3e point goodwin!) dans la news qui accroche. C'est rarement le centre de la news qui engendre un troll. Souvent même c'est une discussion en fin de compte assez convenue et attendue, sauf qu'elle prend un tour violent. Affligeant? oui..
Après, pour la politique: les LL font partie de cette nébuleuse inconstituée d'où émerge pas mal d'idées "alternatives". En fait c'est même je trouve un des rares endroits où il y a pas trop de discours mais plutôt pas mal d'actions. Dans beaucoup de domaine, on parle mais on n'a pas moyen de faire. Dans ce domaine on démontre la marche en marchant, on démontre l'alternative viable des LL par la réalité.
Mais...Parce qu'on peut! N'importe qui peut proposer une alternative à m$, même un finlandais qui veut lire ses mails à la fac. C'est une raison technique. Parce que le réseau a eu raison de la pyramide. Le rhysome a pris.
Mais avec un réseau tu peux pas avoir de hiérarchie. ça devrait obliger les partis en général et de gauche en particulier à repenser.
Mais bon, demander à François Hollande, le nouveau Guy Mollet, de penser... Autant ne pas les attendre ;-)
Tu as raison! Pas de doute là dessus. Mais l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques s'appelait avec "Socialiste" mais ils n'ont jamais lâché le communisme pour le socialisme. Je ne sais pas pq ils s'appellaient républiques socialistes plutot que communistes.
Vous ne parlez pas de la même chose. Du coup vous avez tous les deux raisons.
Le socialisme est le stade ultime du communisme qui marque notamment la fin de la dictature du prolétariat.
Vous êtes trop jeunes vous pouvez pas comprendre ;-))
[++]
Le libre est viral. Il n'y a pas de majorité ou d'opposition, et de pouvoir majoritaire, car ceux de la minorité peuvent agir aussi. Ex. Xfree et X.org. Contrairement à en politique, où seuls ceux qui sont au pouvoir agissent, dans le libre les minoritaires ont autant de latitudes que les majoritaires.
Et si tu es pas content, tu forkes.
C'est pas a-politique, c'est au contraire une production de politique, c'est une proposition que chacun peut faire. De droite, gauche, centre, extrème centre, extrême droite, extrême gauche...
Après c'est au pied du mur qu'on voit le maçon.
C'est vrai, mais pour toujours les mêmes opérations, mais là il s'agit de comparer deux programmes différents.
Si c'est pas mauvais signe qu'il consomme plus de cpu, c'est pas bon signe non plus, s'il prend trop de cpu parce qu'au pire cela peut vouloir qu'il est juste mal foutu.
Donc c'est, à opération égales, qui consomme le plus de cpu et qui prend le plus de temps?
(mais bon ... j'y connais moins que rien! )
Sauf que le FN n'a jamais tué personne
Elle est bonne celle-là. L'extrême-droite n'a jamais tué personne!
Et le gars passé par dessus le pont pendant un 1er mai (si je me souviens bien)?
N'importe quoi. N'importe quoi.
Un beau troll mis à l'eau par ses célibataires mêmes. (1)
Technologies et richesses, partage ou concurrence des connaissances. Mais aussi: rêve ou réalité?
Linux, permet à tout le monde d'avoir accès au meilleur de la technologie, parce que le code est ouvert et sans un droit d'entrée à payer. Je trouve cela intéressant, politiquement, dans un monde où les écarts grandissent entre riches et pauvres, et où justement c'est en grande partie grâce à la technologie que les riches sont riches. Je me fais certainement des idées mais je vois un peu Linus et les gens du libre comme une chouette bande qui joue à robin des bois.
Après "on sait bien" qu'il y a de l'argent derrière, beaucoup d'argent, ibm, sun, novell, mandrake, tout cela contre le monopole de microsoft. Pour eux c'est aussi une aubaine de voir du code émerger efficacement (en terme de parts de marché) contre m$.
Mais c'est à se demander si cet argent est un "retour du réel" ou une "ironie de l'histoire"? Est-ce un tour de passe-passe du progrès en marche, qui amène les robins des bois en pull et sandales à lutter contre un groupe qui monopolise l'argent le savoir et le pouvoir?
Ou est-ce simplement un effet de réel, une opportunité attrapée par quelques mastodontes pour lutter contre d'autres mastodontes? Et au fond on resterait encore et toujours dans la logique de marché.
Après tout, peu importe s'il y a de l'argent. ça ne salit pas tout. Serge Daney parlait souvent du cinéma comme d'un art impur, un produit de l'industrie et de la créativité. Quand O'Selznick rencontre Hitchcock, ils parlent argent, ils bataillent sur des droits, des dollars, et tout un tas de choses pas attrayantes. Mais à la fin il reste des films.
Alors si ibm paye une petite armée de développeurs pour faire du code ouvert, et paye une petite armée d'avocats pour le défendre, tant mieux. Car à la fin il reste des connaissances, des programmes, que l'on peut partager.
Tout cela est idéaliste, mais l'effet se paraît viral, réel et à long terme.
Ceci dit, tout cela est bien bien loin du communisme, car le code open source demande, exige la pluralité des projets, la pluralité des sources, l'égalité des droits des développeurs et des utilisateurs, et une anarchie où chacun s'arroge le droit d'être responsable (de lire et modifier) ce qu'il utilise.
C'est assez loin d'une vision soviétique et pyramidale. C'est trop anar pour être vraiment....
Et puis, prêter une immense conscience collective à un groupe de gens qui passent leurs journées seuls devant un clavier, c'est pas gagné... Il y aurait, il y a une sorte de conscience collective virtuelle? Sans rencontres, sans statuts, qui passerait par les imaginaires véhiculés par internet?
Oui bien sûr mais où sont les frontières?
Bon enfin voilà quoi....
(1) Ch'tit emprunt à Duchamp... et à Jean-François Vilar.
Si tu es moinsé ce sera peut-être aussi parce que ton argumentaire, ce que tu apportes au débat, est assez pauvre: "moi pareil".
Il faut pas confondre être fort et rebel, et prendre la pose.
[^] # Re: Il manque un monstre sacré...
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche La parabole des langages de Shelley Powers. Évalué à 5.
Il fait la vaisselle, comme d'habitude. Des piles et des piles et des piles
[^] # Re: Comment ça ...
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Recherche d'un mainteneur et de développeur pour Bookmark4U. Évalué à 2.
D'accord avec toi sur tout ce que tu penses de bien sur Hibernate. Même si parfois une bonne requête vaut bien une description .hbm .Je suis chez un client avec une base de données assez ..."particulière" disons. Des jointures sur un caractère au milieu d'un champ, des joitures int<-> string, des grandes tables sans jointure, et j'avoue que je préfère me tester mon sql plutôt qu'essayer de tatonner pour faire une description hibernate valide de la base de données. Bref, Hibernate sera plus facile à tester et appliquer sur une base qui respecte les règles et sans trop de redondance. Bref... mais pour le client ça marche! ne pas oublier ça.
Ceci dit, cette histoire de standard Sun:ça m'intrigue en fait pas mal qu'on soit en pleine recrdescence de standards Hors-Sun:hibernate, les conteneurs IoC, Log4j, jmx réintégré par Sun je crois? Bref... J'y comprends rien. Mon coeur va vers ce qui ne fait pas l'objet des specs de Sun, mais la raison râle....
PS : une petite news à écrire sur Enhydra?
[^] # Re: Comment ça ...
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Recherche d'un mainteneur et de développeur pour Bookmark4U. Évalué à 3.
Je préfère les standards de Sun, excuse moi. Parce que dans deux ans il n'y aura plus de hibernate : mais du jdbc, du jdo ou des ejb 3. Appelées par des Jsf. Soutenu par les grands du milieu: ibm, sun, bea...
[^] # Re: Avaler des couleuvres
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Mairie de Paris : une contre-offensive libre ?. Évalué à -3.
Mais... si tu penses ce que tu dis c'est encore plus drôle!
[^] # Re: Microsoft contre-attaque
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Mairie de Paris : une contre-offensive libre ?. Évalué à 6.
# tout tout tout
Posté par Gabriel . En réponse au sondage Mon site web perso est. Évalué à 3.
OK, en fait c'est un peu tout ça. C'est un peu mon image publique, mais aussi ma réserve privée. D'un côté le n'importe quoi de mes "réflexions".
Et surtout une demi douzaine d'idées non abouties, de sites rêvés, au pire avortés à peine entamés.
De l'autre une URL privée pour avec un wiki afin de rassembler et garder et avoir accès de n'importe où à mes signets, URL, articles...
Mais pas de privé privé.
Même si c'est ce que je préfère peut-être dans le web, les pages persos, avec les photos du chien du chat et du mariage de Tante Léonie. Pour les autres.
[^] # Re: Hasta la revolucion..
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Brèves Java. Évalué à 9.
Naturellement tu fera
ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees o= new ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees()
o.save (mesDonnees)
C'est ton objet qui appelle ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees
Bref, tu as codé en dur le nom de l'objet qui te permet de faire de la persistence.
Tu pourrais mettre une interface (mais bien sûr tu mets déjà une interface), mais quand même quand tu vas instancier ton objet, il faudra bien dire quelle est la classe utilisée.
InterfacePersistance o= new ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees()
Le principe de l'inversion de contrôle (aussi appelé drôlement "syndrôme d'Holywood") est:" Don't call me I call you"
Objet, ne demande pas une instance de ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees. C'est un moyen extérieur qui va te passer la référence à cet objet- en l'occurence un framework.
Ce framework va lire un fichier xml de config où il y aura écrit : "Voici l'objet que je vais utiliser pour sauvegarder mes données : c'est ObjetQuiPermetAccesBaseDeDonnees"
Autrement dit, tu as défini ce qui relie chacune entre elles chacune des couche qui font ton appli.
Avantage : c'est défini en un seul endroit. Tu veux changer ton appel à une base de données par une gestion via un file système : tu changes la config. Ou tu veux tester ton objet - et pas l'accès à la base de données : au lieu d'utiliser l'objet qui fait l'accès à la base (et qui ets peut-être buggé) tu crées un faux objet (Mock) qui va mimer le comportement attendu - mais que tu veux pas tester.
Avantage aussi : un seul lieu pour centraliser le cycle de vie des objets. En général, un accès en base c'est un singleton. Là, c'est ton framework qui va être responsable de la vie de l'objet , donc de son unicité.
de même tu peux du coup très facilement, par config, quand tu crées un objet, dire d'executer telle méthode (log, sécurité) et ainsi tu implémentes en un seul endroit un comportement général (aop)
http://martinfowler.com/articles/injection.html(...)
http://www.dotnetguru.org/articles/dossiers/ioc/ioc.htm(...)
[^] # Re: Hibernate
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Brèves Java. Évalué à 2.
Mis à part qu'ils tournent sur Jonas bien sûr ;-)
[^] # Hasta la revolucion..
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Brèves Java. Évalué à 3.
Tu pourrais être plus explicite ? Pour ma part, sur le front du concept, ces derniers mois ont amené l'émergence d'une vraie révolution sémantique, l'IoC, d'un vrai buzzword (l'architecture orientée service ou SOA).
J'ai l'impression qu'on reprend les mêmes problèmes mais au lieu de construire une grande solution toute faite et qui se voudrait tout terrain (à la EJB), on reprend avec les bases du langage (POJO) et on construit de petites solutions ciblées : jdo/Hibernate pour la persistence, Struts/webwork/tapestry pour les vues... et un framework d'application (pico Container, Spring) pour relier le tout.
ça amène d'un part à des solutions plus simples à construire et à appréhender. Deuxio, ça pousse (toujours plus) vers les modèles Model-View-Controller. On a donc une séparation des tâches qui devient nette, entre les controllers, le model et les vues.
Et dans ce sens je trouve aussi que IoC est un achèvement : cela revient à découper ses classes de manière très strictes, à bien les tester. Chacun fait une seule chose mais la fait bien.
Puis seulement après à les re-cabler , à les relier avec le framework Spring ou Pico.
Le tout est assez cohérent dans la démarche. De plus cela amène une plus grande solidité : si JDO ne suffit pas tu le remplaces dans ton cablage (IoC) par Hibernate ou par une solution jdbc, sans toucher au reste. Ce qui implique naturellement de coder par interface, afin de rendre le code remplaçable facilement: la classe qui utilise hibernate peut être remplacée par la classe qui utilise ojb (ou ejb) tant que le contrat défini par l'interface est rempli. De plus dans le contexte de test, on peut remplacer très facilement les vrais objets par de faux objets qui suivent le même interface mais qui mimeront le comportement d'un objet normal en envoyant des donénes en dur, afin d'isoler l'objet. L'implémentation devient une question de configuration.
Cela fait beaucoup de "bonnes pratiques" d'un coup: separation of concerns, Inversion Of Control, classes testables, faire au plus simple (POJO), coder des interfaces.
Et les questions "matérielles", de charges pour la base de données par exemple sont laissés à la base de donnée, ce qui semble assez acceptable.
Donc, oui, je pensais aussi à l' IoC :-)
Pour le SOA : on dirait que c'est un peu du vent. Mais l'idée de programmer avec l'objectif derrière de délivrer un service, pourrait bien devenir peu à peu une sorte d'obligation, pour mettre en relation les données de serveur en serveur.
# Duos habet et bene pendentes
Posté par Gabriel . En réponse au sondage Nom de domaine. Évalué à 2.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Papesse_Jeanne(...)
-----------> vite entré vite sorti!!----------> []
[^] # Re: Dégouté..
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Fin du support Linux des webcams Philips. Évalué à 1.
Les trolls jouent dans le jardin.
Un peu de sauce pour la salade?
[^] # Re: Bof...
Posté par Gabriel . En réponse au journal LDLC un passage a microsoft à tout va, après une longue histoire "opensource". Évalué à 3.
[^] # Re: J'ai marché dedans
Posté par Gabriel . En réponse au journal LDLC un passage a microsoft à tout va, après une longue histoire "opensource". Évalué à 6.
L’open source est un outil puissant. On peut tout réaliser par ce biais mais à condition de développer. dit l'article
C'est un peu évident, non? C'est un autre système économique, où l'argent va au développeurs, aux concepteurs, et pas à Bill G.
Quand on est (comme nous) au bas de l'échelle, dans la position de celui qui vit de et avec l'open source (sans parler de conviction) ça choque mais à sa place, s'il suit ses intérets, ça peut se comprendre à court terme. Il n'a plus à payer une paire de développpeurs php qui passent leur temps à surfer sur internet et mouler sur linuxfr.
Mais à long terme, comment il va faire évoluer son machin? Quand il va devoir upgrader son système, il va douiller de nouveau. Quand il voudra une fonctionnalité qui n'est pas dans son pack, il va demander à son développeur asp de faire ça.
ok. En fin de compte, l'argent lui revient. Je ne pense pas que cela soit si rentable, même à court terme, mais ça fait plus "gestionnaire". J'ai de l'argent pour un projet et je le mise.
Le temps des cravatés est arrivé. Planquez vous!
Leur problème, ils le disent, est qu'ils arrivaient pas à trouver de bons informaticiens et à les garder. Alors ils ont mis microsoft. ça se tient comme discours.
C'est un changement dans la culture d'entreprise qui est profond, ça se sent. Ils sont en train de tourner une page, les gens qui ont fait la plateforme au début se sont barré et maintenant ils ont du pognon mais plus de devs.
De toutes façons, tu aurais envie de bosser dans une boite qui privilégie microsoft et l'argent? Bon, ben voilà...
Leur discours se tient, mais comment un développeur open source pourrait y adhérer?
Enfin bon je dis ça mais en fait j'en sais rien, je suppute, et encore je reste poli...
Mais techniquement à moyen et long terme ils paieront au moins autant, mais ils auront externalisé les couts et les soucis.
PS:ils ont aussi migré le serveur de mails. Ils vont en ch...er excusez moi du terme...
[^] # Re: Affligeant
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Internet et le Libre dans l'Huma Hebdo. Évalué à 3.
Après, pour la politique: les LL font partie de cette nébuleuse inconstituée d'où émerge pas mal d'idées "alternatives". En fait c'est même je trouve un des rares endroits où il y a pas trop de discours mais plutôt pas mal d'actions. Dans beaucoup de domaine, on parle mais on n'a pas moyen de faire. Dans ce domaine on démontre la marche en marchant, on démontre l'alternative viable des LL par la réalité.
Mais...Parce qu'on peut! N'importe qui peut proposer une alternative à m$, même un finlandais qui veut lire ses mails à la fac. C'est une raison technique. Parce que le réseau a eu raison de la pyramide. Le rhysome a pris.
Mais avec un réseau tu peux pas avoir de hiérarchie. ça devrait obliger les partis en général et de gauche en particulier à repenser.
Mais bon, demander à François Hollande, le nouveau Guy Mollet, de penser... Autant ne pas les attendre ;-)
[^] # Re: Pas d'inquiétudes
Posté par Gabriel . En réponse au journal Reiserfs 4 !. Évalué à 2.
[^] # Re: C'est vrai que c'est chiant les ??
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Internet et le Libre dans l'Huma Hebdo. Évalué à 2.
[^] # Re: ???????????????????????????????????????????
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Internet et le Libre dans l'Huma Hebdo. Évalué à 3.
Le socialisme est le stade ultime du communisme qui marque notamment la fin de la dictature du prolétariat.
Vous êtes trop jeunes vous pouvez pas comprendre ;-))
[^] # Re: Politique et informatique
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Internet et le Libre dans l'Huma Hebdo. Évalué à 2.
Le libre est viral. Il n'y a pas de majorité ou d'opposition, et de pouvoir majoritaire, car ceux de la minorité peuvent agir aussi. Ex. Xfree et X.org. Contrairement à en politique, où seuls ceux qui sont au pouvoir agissent, dans le libre les minoritaires ont autant de latitudes que les majoritaires.
Et si tu es pas content, tu forkes.
C'est pas a-politique, c'est au contraire une production de politique, c'est une proposition que chacun peut faire. De droite, gauche, centre, extrème centre, extrême droite, extrême gauche...
Après c'est au pied du mur qu'on voit le maçon.
[^] # Re: Pas d'inquiétudes
Posté par Gabriel . En réponse au journal Reiserfs 4 !. Évalué à 3.
Si c'est pas mauvais signe qu'il consomme plus de cpu, c'est pas bon signe non plus, s'il prend trop de cpu parce qu'au pire cela peut vouloir qu'il est juste mal foutu.
Donc c'est, à opération égales, qui consomme le plus de cpu et qui prend le plus de temps?
(mais bon ... j'y connais moins que rien! )
[^] # Re: Dommage...
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Internet et le Libre dans l'Huma Hebdo. Évalué à 6.
[^] # Re: ???????????????????????????????????????????
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Internet et le Libre dans l'Huma Hebdo. Évalué à 8.
Elle est bonne celle-là. L'extrême-droite n'a jamais tué personne!
Et le gars passé par dessus le pont pendant un 1er mai (si je me souviens bien)?
N'importe quoi. N'importe quoi.
[^] # Re: pour un rendu plus convivial ...
Posté par Gabriel . En réponse au journal Votre commande favorite. Évalué à 3.
# Dommage...
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Internet et le Libre dans l'Huma Hebdo. Évalué à 10.
Technologies et richesses, partage ou concurrence des connaissances. Mais aussi: rêve ou réalité?
Linux, permet à tout le monde d'avoir accès au meilleur de la technologie, parce que le code est ouvert et sans un droit d'entrée à payer. Je trouve cela intéressant, politiquement, dans un monde où les écarts grandissent entre riches et pauvres, et où justement c'est en grande partie grâce à la technologie que les riches sont riches. Je me fais certainement des idées mais je vois un peu Linus et les gens du libre comme une chouette bande qui joue à robin des bois.
Après "on sait bien" qu'il y a de l'argent derrière, beaucoup d'argent, ibm, sun, novell, mandrake, tout cela contre le monopole de microsoft. Pour eux c'est aussi une aubaine de voir du code émerger efficacement (en terme de parts de marché) contre m$.
Mais c'est à se demander si cet argent est un "retour du réel" ou une "ironie de l'histoire"? Est-ce un tour de passe-passe du progrès en marche, qui amène les robins des bois en pull et sandales à lutter contre un groupe qui monopolise l'argent le savoir et le pouvoir?
Ou est-ce simplement un effet de réel, une opportunité attrapée par quelques mastodontes pour lutter contre d'autres mastodontes? Et au fond on resterait encore et toujours dans la logique de marché.
Après tout, peu importe s'il y a de l'argent. ça ne salit pas tout. Serge Daney parlait souvent du cinéma comme d'un art impur, un produit de l'industrie et de la créativité. Quand O'Selznick rencontre Hitchcock, ils parlent argent, ils bataillent sur des droits, des dollars, et tout un tas de choses pas attrayantes. Mais à la fin il reste des films.
Alors si ibm paye une petite armée de développeurs pour faire du code ouvert, et paye une petite armée d'avocats pour le défendre, tant mieux. Car à la fin il reste des connaissances, des programmes, que l'on peut partager.
Tout cela est idéaliste, mais l'effet se paraît viral, réel et à long terme.
Ceci dit, tout cela est bien bien loin du communisme, car le code open source demande, exige la pluralité des projets, la pluralité des sources, l'égalité des droits des développeurs et des utilisateurs, et une anarchie où chacun s'arroge le droit d'être responsable (de lire et modifier) ce qu'il utilise.
C'est assez loin d'une vision soviétique et pyramidale. C'est trop anar pour être vraiment....
Et puis, prêter une immense conscience collective à un groupe de gens qui passent leurs journées seuls devant un clavier, c'est pas gagné... Il y aurait, il y a une sorte de conscience collective virtuelle? Sans rencontres, sans statuts, qui passerait par les imaginaires véhiculés par internet?
Oui bien sûr mais où sont les frontières?
Bon enfin voilà quoi....
(1) Ch'tit emprunt à Duchamp... et à Jean-François Vilar.
[^] # Re: ???????????????????????????????????????????
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche Internet et le Libre dans l'Huma Hebdo. Évalué à 4.
Il faut pas confondre être fort et rebel, et prendre la pose.
[^] # Re: A propos du Gnome Love Day
Posté par Gabriel . En réponse à la dépêche S'investir dans le projet Gnome, développeur ou non.. Évalué à 1.