Hmm, le troll^W^W la comparaison est intéressante, mais ce n'est pas tout à fait ce qu'il voulait dire. Ce serait plutôt :
< troll inside >
Imagine deux voitures, l'une très solide, et l'autre, en "carton-pâte".
En cas d'accident, seule la deuxième est amochée.
Mais dans les deux cas, les passagers vont tous au cimetière bras dessus bras dessous.
=> Ca ne sert à rien les voitures très solides, car en cas d'accident, il faut quand même aller au cimetière
< /troll inside >
Bon, OK, c'est un peu tiré par les cheveux, mais je crois comprendre du post précédent qu'il est plus facile de réparer/réinstaller la distrib à partir du CD d'origine que de réssuciter ses chères données.
Enfin, d'expérience, c'est ce que j'ai ressenti le jour où mon disque dur s'est suicidé ...
C'est aussi pour ca qu'on préfère aujourd'hui faire des voitures qui s'écrabouillent pour un rien mais qui évitent de tuer les clients^Wgens.
Mais dans le domaine des bidules pour geek, c'est toujours pareil (cf. Zaurus) : ca ne sort qu'au pays du soleil levant, voire sur l'autre rive du Pacifique ...
Je voulais juste dire que Knoppix avait conservé la logique de Debian, avec un fichier /etc/-version, et pas un /etc/*release*.
Les numéros de version de Knoppix n'ont rien à voir avec ceux de Debian (tout comme ceux de Mandriva n'ont rien à voir avec ceux de Slackware).
D'ailleurs la date y est accolée, car Knoppix a un rythme de sortie assez déstabilisant (plusieurs releases avec le même numéro, justevdistinguées par la date, des versions exclusives pour LinuxTag ...)
On pourrait aussi parler de Damn Small Linux, qui a ces temps-ci un cycle de sortie d'environ 2 semaines, et qui vient de passer en 1.0.1. (et oui, c'est basé sur Debian et Knoppix). http://www/damnsmalllinux.org(...)
Je croyais (bêtement) que gcc faisait partie les paquets "de base" d'une distrib, et qu'il était sytématiquement installé pour finir l'install du système ...
Mais tout le monde n'utilise pas Gentoo, Sourcemage ou LFS !
Cela dit, en ayant juste détarré le paquet, on devrait quand même pouvoir exécuter le gcc, en lui précisant explicitement le chemin vers toutes les librairies dont il a besoin ... à moins que ce soit les sources de gcc ? [question con : comment a été compilé le premier compilateur ?]
Bref, tu as raison, une install propre du compilo avec le système de gestion de paquets de la distrib est le bon point de départ :-)
La version 1.0-pre7 est bel et bien sortie, et un package Debian semble dispo. Mais apt-get me dit que le paquet est cassé, ou qu'il exige des dépendances impossibles à satisfaire ...
Ou bien c'est moi qui ne sais pas me servir d'apt-get ???
# apt-get install mplayer
Lecture des listes de paquets... Fait
Construction de l'arbre des dépendances... Fait
Le paquet mplayer est un paquet virtuel fourni par :
mplayer-nogui 1:1.0-pre7-0.0
mplayer-k6 1:1.0-pre7-0.0
mplayer-586 1:1.0-pre7-0.0
mplayer-386 1:1.0-pre7-0.0
Vous devez explicitement sélectionner un paquet à installer.
E: Aucun paquet ne correspond au paquet mplayer
# apt-get install mplayer-k6
Lecture des listes de paquets... Fait
Construction de l'arbre des dépendances... Fait
Certains paquets ne peuvent être installés. Ceci peut signifier que vous avez demandé l'impossible, ou bien, si vous utilisez la distribution unstable, que certains paquets n'ont pas encore été créés ou ne sont pas sortis d'Incoming.
Puisque vous n'avez demandé qu'une seule opération, le paquet n'est probablement pas installable et vous devriez envoyer un rapport de bogue. L'information suivante devrait vous aider à résoudre la situation :
Les paquets suivants contiennent des dépendances non satisfaites :
mplayer-k6: Dépend: libavcodeccvs (>= 2:20050417-0.0) mais 2:20050110-0.0 devra être installé
Dépend: libc6 (>= 2.3.2.ds1-21) mais 2.3.2.ds1-20 devra être installé
Dépend: libpostproc0 (>= 2:20050417-0.0) mais 1:1.0-pre1.1 devra être installé
Dépend: xmms (>= 1.2.10+cvs20050209) mais 1.2.10-2 devra être installé
E: Paquets défectueux
ça semble flou pour pas mal de monde :
une société modifie la libxml2 par exemple pour leur besoin perso vend leur soft avec cette license a monsieurX, doivent-il redistribuer le code de leur libxml2 modifiés a une autre personne que monsieurX???
La société en question n'a obligation de fournir les sources modifiées qu'à monsieurX (désigné comme "l'utilisateur" dans la GPL). Mais ce monsieurX a à son tour le droit de redistribuer librement le source, toujours selon les termes de la GPL, même gratuitement si il en a envie.
Un exemple concret : la société Microtronix a réalisé un portage de µClinux sur le processeur Nios d'Altera (un proc reconfigurable). Le portage est sous GPL, mais cette société ne proposait qu'un kit comprenant matériel et logiciel, dans lequel "seul le matériel est payant" ... 2500$ quand même pour une carte réseau !
Pour utiliser ce logiciel libre, il faut donc payer. Sauf que n'importe quel client ayant acheté ce kit a le droit de rediffuser le logiciel gratuitement sur son site, modifié ou pas.
Effectivement, ce portage est aujourd'hui dispo sans avoir acheter le kit, mais la société qui a investi dans ce développement a sans doute eu le temps de le rentabiliser avec ses premiers clients, avant qu'il ne soit diffusé gratuitement. Ensuite il lui reste les prestations de support pour gagner sa croûte.
C'est ce qui fait dire à RMS que libre et payant ne sont pas incompatibles, ainsi que le dicton "un logiciel libre est gratuit quand il a été payé une fois".
Une vérif en passant : la variable PATH pointe-t-elle bien sur le répertoire d'installation de gcc ? Si non, le shell ne le trouve pas !
% which gcc -> si il le trouve, c'est bon. En général, dans /usr/bin
% echo $PATH -> tous les réprtoires où le shell va chercher les exécutables. Si celui qui nous intéresse n'y est pas, il faut faire :
% export PATH=$PATH:/le/repertoire/contenant/gcc/
Ou alors, tu peux y aller à la main à chaque fois, mais c'est lourd :
% cd /le/repertoire/contenant/gcc/
% ./gcc <plein d'options pour compiler mon prog>
Pour Debian, je confirme, le PPC est supporté.
YellowDog est au départ un portage de RH sur powerPC il me semble, mais depuis le temps il n'en reste sans doute pas grand-chose.
LinuxPPC a disparu depuis qq années (dommage, c'était ma première distrib', sur un powermac 5400 ... avec un noyau 2.2.10)
Il y a sans doute plein d'autres distrib' supportant le PPC, notamment tout ce qui tourne autour de l'embarqué (MontaVista Linux, BlueCat Linux, RTAI, ...)
déposer des brevet sur des trucs qui existaient avant (Il n'y a pas eu un brevet demandé sur les bureaux virtuels il y a un certain temps, ou c'est juste une légende ?)
Si si, il y avait bien un brevet posé par M$ sur les bureaux virtuels, et c'était il y a à peine plus d'un an. Dans la catégorie "état de l'art" il y avait même des dessins d'écran de Gnome et KDE. Je crois me souvenir que le brevet portait plus précisément sur la façon de montrer les bureaux en réduction pour passer de l'un à l'autre (plus un plagiat d'Exposé que de KDE finalement).
Mais pour un rouleau compresseur financier comme M$, valide ou pas un brevet ca sert à intimider.
On avait parlé ici du double-clic aussi (en fait, faire des fonctions différentres selon le nombre/le temps d'appui(s)) sur un bouton sur un "limited ressource computing device" (ordi de puissance limitée ? Le jour où vous trouvez une babasse aux ressources illimitées, appelez-moi ca m'intéresse ;-)
D'un autre côté, la Freebox est également un routeur (à condition de l'activer sur le site de Free), et on peut lui adjoindre une carte wi-fi ... autant faire des économies !
Je suppose que tu as déjà configuré la Freebox en routeur pour partager l'accès (filaire) entre tes deux machines. Normalement il n'y a rien à changer de ce côté-là.
Ensuite, il te faudra une carte wi-fi par machine. Tant que le portable reste sous Windoze, n'importe quelle carte PCMCIA sera fournie avec les drivers kivonbien. Mais il vaut mieux prévoir la future migration complète sous Linux, et choisir une carte supportée.
C'est là que ca se corse, car certains fournisseurs changent de chipset sans changer de référence de la carte, donc c'est un peu la loterie. Sinon il y a aussi ndiswrapper qui permet d'"emballer" le driver Windows pour l'utiliser sous Linux.
L'entrée en guerre du Japon contre la chine c'est bien plus tôt.
C'est pourtant ce que j'ai lu dans l'article Wikipédia cité ci-dessus. Si il y a une erreur, je te prie de la corriger.
Le gouvernement français en Angleterre n'est devenu le "bon représentant" de la France qu'une fois que le vent a tourné...
C'est pour ca que je parle de point de vue. La distinction rebelles/résistants et libérateurs/envahisseurs dépend de l'issue du conflit, et c'est toujours les vainqueurs qui avaient raison (sinon ils n'auraient pas gagné, voyons).
point Godwin. Je veux le mériter vraiment.
J'ai dit qu'on s'en approchait, allez, encore un petit effort ;-)
Seulement si il est dans ton PATH justement
effectivement, c'était pour tester ca que je proposais cette commande.
Un "echo $PATH" me parait un tantinet moins bourrin ;-)
Bourrin, moi ? Hm, peut-être un peu quand même ... A ma décharge j'utilise au boulot un vieux Solaris pas tjrs subtil.
dans le groupe Linux.suse
Quand je trolle, je préviens avant ! ;-)
C'est une question de point de vue. On peut compter 1 an de "drôle de guerre" (1939-1940) et 1 an de libération (1944-1945), mais je continue de penser que c'est le même conflit.
Même cet article de Wikipédia parle de 1939-1945, voire même 1937-1945 si on compte l'entrée en guerre du Japon.
Attention, outre le côté hors sujet on s'aproche dangereusement du point Godwin ;-)
Il y a plusieurs méthodes pour charger un FPGA, mais le plus souvent c'est à partir d'une flash série. Le temps pour acheminer les données de la Flash vers le FPGA dépend directement de la quantité de données et de la fréquence d'horloge de ce lien série.
Ces deux paramètres suivent la loi de Moore ... donc le temps a dû rester sensiblement le même.
Je compte environ 1s entre la mise sous tension de la carte et la fin de la configuration du FPGA (qq millions de portes), mais ca comprend aussi le temps de montée des alims, la tempo du reset, ...
Le mieux est de regarder les datasheets des fabricants, c'est dispo sur leurs sites ouaibe.
Il y a aussi la reconfiguration partielle, qui permet de ne recharger qu'une partie du FPGA, voire même de ne charger que le "diff" entre la version en cours d'utilisation et la nouvelle. Ca implique quand même pas mal de gymnastique au niveau du développement, pour mettre géograpiquement toutes les modifs dans la même zone.
Une autre façon de voire les choses est de distinguer les traitements parallèles (bien adaptés au traitement par FPGA, avec une configuration donnée) et les traitements séquentiels (bien adaptés à un logiciel sur un processeur). Les fabricants de FPGA proposent ainsi des CPU embarqués dans leurs puces, soit en dur dans le silicium (ARM chez Altera, PowerPC chez Xilinx, Mips chez d'autres ...) soit sous la forme d'une macro VHDL (Nios chez Altera, MicroBlaze et PicoBlaze chez Xilinx, et plein d'autres sur le marché, notamment des designs libres comme LEON (http://www.gaisler.com(...) )). Dans ce cas on peut voir le FPGA comme un coprocesseur sur mesure pour le CPU ; ou au contraire, voir le CPU comme une partie séquentielle du FPGA, utilisée à diverses tâches au cours du temps.
Quant au traitement vidéo par FPGA, c'est une des principales utilisations qui en est faite, en tout cas dans les industries n'ayant pas assez de volume de vente pour faire des ASICs : aéronautique, défense, broadcast ... Ca a toutefois tendance à se démocratiser, la preuve y'a même un Xilinx dans la FreeBox.
L'avantage est de pouvoir paralléliser à volonté les opérations, dans la limite de la taille de la puce bien sûr, ce qui donne des performances énormes (des GFlops à en faire pâlir les fabricants de DSP) malgré une fréquence pas toujours énorme.
Un FPGA à 66MHz saura traiter une vidéo qui mettrait à genoux un DSP à 500 MHz !
Gcc est peut-être installé, mais la variable PATH ne pointe peut-être pas dessus [ca serait bizarre quand même].
Un petit 'gcc -v' affiche le numéro de version et prouve qu'il est bien là, puis 'which gcc' te dira où il se trouve. Dans les deux cas, il faut que le répertoire d'installation soit dans le PATH, généralement c'est /usr/bin.
Pour vois la valeur de PATH, il suffit de faire 'env | grep PATH'.
Le plus probable est que le paquet gcc n'est pas installé, il suffit de faire 'apt-get install gcc' [attention, troll détecté : ca c'est seulement pour Debian]
Posté par Jimmy .
En réponse au message Bonjour.
Évalué à 4.
Tout à fait d'accord en ce qui concerne Knoppix.
Mais pour les petites configs, je recommande une version réduite de Knoppix, nommée Damn Small Linux.
Certes il y a moins de choses que dans la vraie Knoppix, mais c'est fou ce qu'ils ont réussi à mettre sur une ISO de 50 Mo ! Et pour un début, c'est déjà bien suffisant.
> > « Aux soixante-dix ans de protection post-mortem de l'artiste, s'ajoutent les années de guerre.»
> "environ un an de guerre en France dans cette periode (1939-1940)..."
Euh, c'était 1939 - 1945, non ?
Et peut-être qu'on compte aussi la guerre d'Indochine, la guerre d'Algérie, la guerre du Golfe ...
A ce rythme-là, on a pas fini, y'a pas grand-chose qui va tomber dans le domaine public !
C'est vraiment affligeant toutes ces histoires pour préserver les précieux droits des maisons de disques/producteurs/multinationales ... Tout est bon pour contourner/modifier les lois dans ce domaine, cf. Mickey, les premiers enregistrements de Jazz, j'ai même entendu parler de manoeuvres pour étendre la durée des droits sur le répertoire d'Elvis Presley !
Bon, c'est vrai l'investissement est bcp plus important pour faire de la recherche pharmaceutique (et les tests in-vivo) que pour écrire du code, et le coût de reproduction d'une molécule est loin d'être nul, contrairement à la diffusion d'un code source sur le net.
On pourrait plus comparer le concept de médicament libre avec celui de matériel libre [http://opencollector.org/Whyfree/(...) , voir aussi le lien vers une interview de RMS sur le sujet] : la publication d'un design libre en comptant sur les nombreux sous-traitants de production pour inonder le marché à bas prix. Il suffit d'assurer la rentabilité du design initial, par exemple en facturant/taxant les riches occidentaux pendant une durée limitée.
Finalement, le pb du brevet aussi bien logiciel que pharmaceutique, c'est qu'il peut rapporter trop gros pour que les entreprises s'en servent de manière "raisonnable". Le brevet est censé encourager l'innovation, en accordant un monopole pour rembourser l'investissement de recherche. Or la durée du monople est bien supérieure à celle du retour sur investissement !
Pourquoi ne pas limiter la durée d'un brevet en fonction de l'investissemnt effectué ?
< /utopie >
On vient de voir un bon exemple récemment, avec le développement quasi-communautaire (plein d'instituts de recherche publique dans le monde, coordonnés par l'OMS) d'un médicament simple et pas cher contre le paludisme. Y'a même un labo commercial qui a accepté de le produire à prix coûtant !
augmenter la frèquence d'un CAN a tendance à en augmenter la résolution non ?
Ben ... pas tout à fait !
Fréquence d'échantillonnage != résolution.
Le premier est le nombre de mesures que tu effectues par seconde, tandis que l'autre est la précision de cette mesure.
Un exemple pour l'audio numérique : le CD est échantillonné à 44.1 kHz, avec une résolution de 16 bits. Si on réduit la fréquence d'échantillonnage, on réduit également la bande passante du signal audio (Condition de Shannon, la fréquence max du signal est la moitié de la fréquence d'échantillonnage). Si tu réduis la résolution, c'est le rapport signal/bruit qui va se dégrader.
Graphiquement, si tu représente ton signal numérisé (une sorte d'escalier) avec le temps en abscisses et l'amplitude en ordonnée, la période d'échantillonnage est la largeur des marches, et la résolution donne la hauteur des marches (2^résolution marches sur toute la plage de dynamique).
Augmenter la fréquence rendra effectivement la mesure plus fine dans une dimension (le temps), mais pas dans l'autre (amplitude).
PS : dommage, ca ne s'applique pas aux souris ! Si elles ont une boule, on compte les impulsions optiques entre les dents de la roue, ca reste numérique. Si elle est optique, c'est carrément un traitement d'image qui est effectué pour mesurer le déplacement !
Quoi qu'il en soit je n'ai pas encore trouvé de pdf qui posaient probleme sous xpdf
Tout à fait d'accord.
Récemment j'ai reçu au boulot des fichiers PDF, apparemment générés avec Acrobat 7, dont la première moitié des pages seulement s'affichait avec Acrobat Reader 5, sous Linux comme sous Windows. Même un essai avec Acrobat Reader 7 sous Windows s'est avéré infructueux pour lire la fin du fichier.
Par contre, aucun pb avec xpdf, il voit tout.
xpdf rulez !
Je sais bien que Windows marche sur PPC, merci. Mais je pense que ce n'est pas économiquement viable pour M$, qui base tout sa stratégie sur la compatibilité ascendante ("restez chez nous, vous n'aurez pas besoin de migrer, il va juste falloir acheter de la RAM et de nouvelles licences").
Quitte à faire une migration proprio -> libre, pourquoi ne pas en profiter pour faire table rase de ce fardeau de la compatibilité, ne serait-ce qu'en utilisant un processeur RISC ? C'est plus performant, et si il s'en vendait autant de volume que les x86, ce serait bien moins cher !
Autant pour passer d'une architecture à une autre dans le monde propriétaire il faut attendre le bon vouloir du fournisseur (A ma connaissance, il n'est pas publiquement dispo, ce Windows-PPC, hein ?) autant les portages d'OS libres sont légions ...
L'autre avantage serait dans un premier temps de se laver des soupçons de piratage. Ensuite, si les OS propio veulent attaquer ce marché, libre à eux. Mais on partirait sur des bases de concurrence saine.
Le monopole de M$ est venu avec le PC, il mourra avec le PC.
une machine avec Linux et sans Windows risquerait d'être pour beaucoup d'acheteurs un moyen de ne pas payer Windows, et de le pirater ensuite.
Une solution pour avoir une plate-forme libre sans risquer d'encourager le piratage des logiciels propriétaires, ce serait de changer d'architecture, de casser la sacro-sainte compatibilité. (Même si on a vu avec le 64 bits que ca ne sera pas facile)
Jetons le PC, qui n'a comme constante que de faire tourner Windows !
IBM, Motorola et Apple avaient, à une époque, proposé une architecture ouverte basée sur le PowerPC (CHRP, Common Hardware R? Platform, prononcez "tcheurp"). Ca n'avait pas marché, mais je ne sais plus pourquoi (Apple était devenu frileux ?).
Si quelques grands comme IBM et Novell s'unissent pour promouvoir à grande échelle une archi efficace (RISC) et pas chère, compatible Linux mais non supportée par Windows, ce serait une porte ouverte à une diffusion massive de notre pingouin préféré, et à une démocratisation globale de l'informatique, notamment vers les pays comme la Chine.
Au fait, c'est pas ce qu'IBM est en train de faire en se débarassant de ses PC ?
[^] # Re: Il a pas tord
Posté par Jimmy . En réponse au journal du troll de compete. Évalué à 2.
Bon, OK, c'est un peu tiré par les cheveux, mais je crois comprendre du post précédent qu'il est plus facile de réparer/réinstaller la distrib à partir du CD d'origine que de réssuciter ses chères données.
Enfin, d'expérience, c'est ce que j'ai ressenti le jour où mon disque dur s'est suicidé ...
C'est aussi pour ca qu'on préfère aujourd'hui faire des voitures qui s'écrabouillent pour un rien mais qui évitent de tuer les clients^Wgens.
[^] # Portable Motorola sous Linux
Posté par Jimmy . En réponse à la dépêche Familiar Linux 0.8.2. Évalué à 2.
http://www.linuxdevices.com(...)
Mais dans le domaine des bidules pour geek, c'est toujours pareil (cf. Zaurus) : ca ne sort qu'au pays du soleil levant, voire sur l'autre rive du Pacifique ...
[^] # Re: Re:
Posté par Jimmy . En réponse au message Comment connaitre la version et le nom d'une distrib installée ?. Évalué à 3.
Les numéros de version de Knoppix n'ont rien à voir avec ceux de Debian (tout comme ceux de Mandriva n'ont rien à voir avec ceux de Slackware).
D'ailleurs la date y est accolée, car Knoppix a un rythme de sortie assez déstabilisant (plusieurs releases avec le même numéro, justevdistinguées par la date, des versions exclusives pour LinuxTag ...)
On pourrait aussi parler de Damn Small Linux, qui a ces temps-ci un cycle de sortie d'environ 2 semaines, et qui vient de passer en 1.0.1. (et oui, c'est basé sur Debian et Knoppix). http://www/damnsmalllinux.org(...)
[^] # Re: Re:
Posté par Jimmy . En réponse au message Comment connaitre la version et le nom d'une distrib installée ?. Évalué à 2.
$ cat /etc/knoppix-version
3.4 2004-05-04
[^] # Re: Pour commencer :
Posté par Jimmy . En réponse au message Installation de GCC. Évalué à 2.
Mais tout le monde n'utilise pas Gentoo, Sourcemage ou LFS !
Cela dit, en ayant juste détarré le paquet, on devrait quand même pouvoir exécuter le gcc, en lui précisant explicitement le chemin vers toutes les librairies dont il a besoin ... à moins que ce soit les sources de gcc ? [question con : comment a été compilé le premier compilateur ?]
Bref, tu as raison, une install propre du compilo avec le système de gestion de paquets de la distrib est le bon point de départ :-)
# Chez moi ca ne marche pas
Posté par Jimmy . En réponse au journal MPlayer-1.0pre7-test dispo, -pre7 imminent!. Évalué à 2.
Ou bien c'est moi qui ne sais pas me servir d'apt-get ???
[^] # Re: Je suis perdu
Posté par Jimmy . En réponse à la dépêche Le tribunal de Munich confirme de nouveau la validité de la GPL. Évalué à 4.
une société modifie la libxml2 par exemple pour leur besoin perso vend leur soft avec cette license a monsieurX, doivent-il redistribuer le code de leur libxml2 modifiés a une autre personne que monsieurX???
La société en question n'a obligation de fournir les sources modifiées qu'à monsieurX (désigné comme "l'utilisateur" dans la GPL). Mais ce monsieurX a à son tour le droit de redistribuer librement le source, toujours selon les termes de la GPL, même gratuitement si il en a envie.
Un exemple concret : la société Microtronix a réalisé un portage de µClinux sur le processeur Nios d'Altera (un proc reconfigurable). Le portage est sous GPL, mais cette société ne proposait qu'un kit comprenant matériel et logiciel, dans lequel "seul le matériel est payant" ... 2500$ quand même pour une carte réseau !
Pour utiliser ce logiciel libre, il faut donc payer. Sauf que n'importe quel client ayant acheté ce kit a le droit de rediffuser le logiciel gratuitement sur son site, modifié ou pas.
Effectivement, ce portage est aujourd'hui dispo sans avoir acheter le kit, mais la société qui a investi dans ce développement a sans doute eu le temps de le rentabiliser avec ses premiers clients, avant qu'il ne soit diffusé gratuitement. Ensuite il lui reste les prestations de support pour gagner sa croûte.
C'est ce qui fait dire à RMS que libre et payant ne sont pas incompatibles, ainsi que le dicton "un logiciel libre est gratuit quand il a été payé une fois".
[^] # Re: Pour commencer :
Posté par Jimmy . En réponse au message Installation de GCC. Évalué à 3.
% which gcc -> si il le trouve, c'est bon. En général, dans /usr/bin
% echo $PATH -> tous les réprtoires où le shell va chercher les exécutables. Si celui qui nous intéresse n'y est pas, il faut faire :
% export PATH=$PATH:/le/repertoire/contenant/gcc/
Ou alors, tu peux y aller à la main à chaque fois, mais c'est lourd :
% cd /le/repertoire/contenant/gcc/
% ./gcc <plein d'options pour compiler mon prog>
[^] # Re: G5 == ppc
Posté par Jimmy . En réponse au message Aidez-moi. Évalué à 2.
http://www.ppcnerds.org/Article235.html(...)
http://www.mandriva.com/products/range?lg=fr(...) (tout en bas)
Pour Debian, je confirme, le PPC est supporté.
YellowDog est au départ un portage de RH sur powerPC il me semble, mais depuis le temps il n'en reste sans doute pas grand-chose.
LinuxPPC a disparu depuis qq années (dommage, c'était ma première distrib', sur un powermac 5400 ... avec un noyau 2.2.10)
Il y a sans doute plein d'autres distrib' supportant le PPC, notamment tout ce qui tourne autour de l'embarqué (MontaVista Linux, BlueCat Linux, RTAI, ...)
Et puis LFS en dernier recours ;-)
[^] # Re: Pas tres serieux...
Posté par Jimmy . En réponse au journal 101 ou même 183 brevets violés par Microsoft ?. Évalué à 2.
Si si, il y avait bien un brevet posé par M$ sur les bureaux virtuels, et c'était il y a à peine plus d'un an. Dans la catégorie "état de l'art" il y avait même des dessins d'écran de Gnome et KDE. Je crois me souvenir que le brevet portait plus précisément sur la façon de montrer les bureaux en réduction pour passer de l'un à l'autre (plus un plagiat d'Exposé que de KDE finalement).
Mais pour un rouleau compresseur financier comme M$, valide ou pas un brevet ca sert à intimider.
On avait parlé ici du double-clic aussi (en fait, faire des fonctions différentres selon le nombre/le temps d'appui(s)) sur un bouton sur un "limited ressource computing device" (ordi de puissance limitée ? Le jour où vous trouvez une babasse aux ressources illimitées, appelez-moi ca m'intéresse ;-)
Tiens, en fouillant un peu les voilà :
http://l2.espacenet.com/espacenet/viewer?PN=US2003189597&CY=fr&(...)
http://l2.espacenet.com/espacenet/viewer?PN=US2002180622&CY=fr&(...)
[^] # Re: un routeur!!
Posté par Jimmy . En réponse au message Freebox wifi et partage internet. Évalué à 2.
Je suppose que tu as déjà configuré la Freebox en routeur pour partager l'accès (filaire) entre tes deux machines. Normalement il n'y a rien à changer de ce côté-là.
Ensuite, il te faudra une carte wi-fi par machine. Tant que le portable reste sous Windoze, n'importe quelle carte PCMCIA sera fournie avec les drivers kivonbien. Mais il vaut mieux prévoir la future migration complète sous Linux, et choisir une carte supportée.
C'est là que ca se corse, car certains fournisseurs changent de chipset sans changer de référence de la carte, donc c'est un peu la loterie. Sinon il y a aussi ndiswrapper qui permet d'"emballer" le driver Windows pour l'utiliser sous Linux.
Une liste des cartes wi-fi supportées sous Linux :
http://madwifiwiki.thewebhost.de/wiki/WifiCards(...)
Enfin, en ce qui concerne la configuration (notamment les aspects sécurité) je ne connais pas encore, mais Léa est ton amie http://lea-linux.org/hardware/hard_net/wifi.html(...)
[^] # Re: J'allais oublier
Posté par Jimmy . En réponse au journal Siffler n'est pas jouer. Évalué à 1.
C'est pourtant ce que j'ai lu dans l'article Wikipédia cité ci-dessus. Si il y a une erreur, je te prie de la corriger.
Le gouvernement français en Angleterre n'est devenu le "bon représentant" de la France qu'une fois que le vent a tourné...
C'est pour ca que je parle de point de vue. La distinction rebelles/résistants et libérateurs/envahisseurs dépend de l'issue du conflit, et c'est toujours les vainqueurs qui avaient raison (sinon ils n'auraient pas gagné, voyons).
point Godwin. Je veux le mériter vraiment.
J'ai dit qu'on s'en approchait, allez, encore un petit effort ;-)
[^] # Re: Gcc
Posté par Jimmy . En réponse au message Impossible de trouver un compilateur.... Évalué à 2.
effectivement, c'était pour tester ca que je proposais cette commande.
Un "echo $PATH" me parait un tantinet moins bourrin ;-)
Bourrin, moi ? Hm, peut-être un peu quand même ... A ma décharge j'utilise au boulot un vieux Solaris pas tjrs subtil.
dans le groupe Linux.suse
Quand je trolle, je préviens avant ! ;-)
[^] # Re: J'allais oublier
Posté par Jimmy . En réponse au journal Siffler n'est pas jouer. Évalué à 2.
Même cet article de Wikipédia parle de 1939-1945, voire même 1937-1945 si on compte l'entrée en guerre du Japon.
Attention, outre le côté hors sujet on s'aproche dangereusement du point Godwin ;-)
# ca dépend ...
Posté par Jimmy . En réponse au message Combien de temps met un FPGA pour se reconfigurer ?. Évalué à 6.
Il y a plusieurs méthodes pour charger un FPGA, mais le plus souvent c'est à partir d'une flash série. Le temps pour acheminer les données de la Flash vers le FPGA dépend directement de la quantité de données et de la fréquence d'horloge de ce lien série.
Ces deux paramètres suivent la loi de Moore ... donc le temps a dû rester sensiblement le même.
Je compte environ 1s entre la mise sous tension de la carte et la fin de la configuration du FPGA (qq millions de portes), mais ca comprend aussi le temps de montée des alims, la tempo du reset, ...
Le mieux est de regarder les datasheets des fabricants, c'est dispo sur leurs sites ouaibe.
Il y a aussi la reconfiguration partielle, qui permet de ne recharger qu'une partie du FPGA, voire même de ne charger que le "diff" entre la version en cours d'utilisation et la nouvelle. Ca implique quand même pas mal de gymnastique au niveau du développement, pour mettre géograpiquement toutes les modifs dans la même zone.
Une autre façon de voire les choses est de distinguer les traitements parallèles (bien adaptés au traitement par FPGA, avec une configuration donnée) et les traitements séquentiels (bien adaptés à un logiciel sur un processeur). Les fabricants de FPGA proposent ainsi des CPU embarqués dans leurs puces, soit en dur dans le silicium (ARM chez Altera, PowerPC chez Xilinx, Mips chez d'autres ...) soit sous la forme d'une macro VHDL (Nios chez Altera, MicroBlaze et PicoBlaze chez Xilinx, et plein d'autres sur le marché, notamment des designs libres comme LEON (http://www.gaisler.com(...) )). Dans ce cas on peut voir le FPGA comme un coprocesseur sur mesure pour le CPU ; ou au contraire, voir le CPU comme une partie séquentielle du FPGA, utilisée à diverses tâches au cours du temps.
Quant au traitement vidéo par FPGA, c'est une des principales utilisations qui en est faite, en tout cas dans les industries n'ayant pas assez de volume de vente pour faire des ASICs : aéronautique, défense, broadcast ... Ca a toutefois tendance à se démocratiser, la preuve y'a même un Xilinx dans la FreeBox.
L'avantage est de pouvoir paralléliser à volonté les opérations, dans la limite de la taille de la puce bien sûr, ce qui donne des performances énormes (des GFlops à en faire pâlir les fabricants de DSP) malgré une fréquence pas toujours énorme.
Un FPGA à 66MHz saura traiter une vidéo qui mettrait à genoux un DSP à 500 MHz !
Pour les processeurs enfouis dans les FPGA : http://www.fpgacpu.org(...)
[^] # Re: Gcc
Posté par Jimmy . En réponse au message Impossible de trouver un compilateur.... Évalué à 2.
Un petit 'gcc -v' affiche le numéro de version et prouve qu'il est bien là, puis 'which gcc' te dira où il se trouve. Dans les deux cas, il faut que le répertoire d'installation soit dans le PATH, généralement c'est /usr/bin.
Pour vois la valeur de PATH, il suffit de faire 'env | grep PATH'.
Le plus probable est que le paquet gcc n'est pas installé, il suffit de faire 'apt-get install gcc' [attention, troll détecté : ca c'est seulement pour Debian]
[^] # Re: Knoppix
Posté par Jimmy . En réponse au message Bonjour. Évalué à 4.
Mais pour les petites configs, je recommande une version réduite de Knoppix, nommée Damn Small Linux.
Certes il y a moins de choses que dans la vraie Knoppix, mais c'est fou ce qu'ils ont réussi à mettre sur une ISO de 50 Mo ! Et pour un début, c'est déjà bien suffisant.
http://www.damnsmalllinux.org(...)
[^] # Re: J'allais oublier
Posté par Jimmy . En réponse au journal Siffler n'est pas jouer. Évalué à 3.
> "environ un an de guerre en France dans cette periode (1939-1940)..."
Euh, c'était 1939 - 1945, non ?
Et peut-être qu'on compte aussi la guerre d'Indochine, la guerre d'Algérie, la guerre du Golfe ...
A ce rythme-là, on a pas fini, y'a pas grand-chose qui va tomber dans le domaine public !
C'est vraiment affligeant toutes ces histoires pour préserver les précieux droits des maisons de disques/producteurs/multinationales ... Tout est bon pour contourner/modifier les lois dans ce domaine, cf. Mickey, les premiers enregistrements de Jazz, j'ai même entendu parler de manoeuvres pour étendre la durée des droits sur le répertoire d'Elvis Presley !
[^] # Re: pas si simple
Posté par Jimmy . En réponse au journal Brevets pharmaceutiques et brevets logiciels. Évalué à 3.
A quand le médicament libre ?
Bon, c'est vrai l'investissement est bcp plus important pour faire de la recherche pharmaceutique (et les tests in-vivo) que pour écrire du code, et le coût de reproduction d'une molécule est loin d'être nul, contrairement à la diffusion d'un code source sur le net.
On pourrait plus comparer le concept de médicament libre avec celui de matériel libre [http://opencollector.org/Whyfree/(...) , voir aussi le lien vers une interview de RMS sur le sujet] : la publication d'un design libre en comptant sur les nombreux sous-traitants de production pour inonder le marché à bas prix. Il suffit d'assurer la rentabilité du design initial, par exemple en facturant/taxant les riches occidentaux pendant une durée limitée.
Finalement, le pb du brevet aussi bien logiciel que pharmaceutique, c'est qu'il peut rapporter trop gros pour que les entreprises s'en servent de manière "raisonnable". Le brevet est censé encourager l'innovation, en accordant un monopole pour rembourser l'investissement de recherche. Or la durée du monople est bien supérieure à celle du retour sur investissement !
Pourquoi ne pas limiter la durée d'un brevet en fonction de l'investissemnt effectué ?
< /utopie >
On vient de voir un bon exemple récemment, avec le développement quasi-communautaire (plein d'instituts de recherche publique dans le monde, coordonnés par l'OMS) d'un médicament simple et pas cher contre le paludisme. Y'a même un labo commercial qui a accepté de le produire à prix coûtant !
http://permanent.nouvelobs.com/sciences/20050408.OBS3458.html(...)
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3220,36-637314@51-637399,(...)
http://www.lexpansion.com/art/3712.130246.0.html(...)
[^] # Re: Pour la bureautique ...
Posté par Jimmy . En réponse au journal Driver materiel pour Linux. Évalué à 3.
Ben ... pas tout à fait !
Fréquence d'échantillonnage != résolution.
Le premier est le nombre de mesures que tu effectues par seconde, tandis que l'autre est la précision de cette mesure.
Un exemple pour l'audio numérique : le CD est échantillonné à 44.1 kHz, avec une résolution de 16 bits. Si on réduit la fréquence d'échantillonnage, on réduit également la bande passante du signal audio (Condition de Shannon, la fréquence max du signal est la moitié de la fréquence d'échantillonnage). Si tu réduis la résolution, c'est le rapport signal/bruit qui va se dégrader.
Graphiquement, si tu représente ton signal numérisé (une sorte d'escalier) avec le temps en abscisses et l'amplitude en ordonnée, la période d'échantillonnage est la largeur des marches, et la résolution donne la hauteur des marches (2^résolution marches sur toute la plage de dynamique).
Augmenter la fréquence rendra effectivement la mesure plus fine dans une dimension (le temps), mais pas dans l'autre (amplitude).
PS : dommage, ca ne s'applique pas aux souris ! Si elles ont une boule, on compte les impulsions optiques entre les dents de la roue, ca reste numérique. Si elle est optique, c'est carrément un traitement d'image qui est effectué pour mesurer le déplacement !
[^] # Re: Entre autres
Posté par Jimmy . En réponse au journal brevet logiciel...un article pour. Évalué à 2.
http://www.technewsworld.com/perl/board/mboard.pl?board=lnitalkback(...)
Bon, OK, il faut s'enregistrer, toussa.
Mais www.jetable.org est votre ami ;-)
[^] # Re: Utilité ?
Posté par Jimmy . En réponse à la dépêche Mandrake devient Mandriva. Évalué à 2.
Pff, ca m'fout un coup de vieux.
[^] # Re: Test rapide
Posté par Jimmy . En réponse à la dépêche Retour d'Adobe sur les plates-formes Linux ?. Évalué à 1.
Tout à fait d'accord.
Récemment j'ai reçu au boulot des fichiers PDF, apparemment générés avec Acrobat 7, dont la première moitié des pages seulement s'affichait avec Acrobat Reader 5, sous Linux comme sous Windows. Même un essai avec Acrobat Reader 7 sous Windows s'est avéré infructueux pour lire la fin du fichier.
Par contre, aucun pb avec xpdf, il voit tout.
xpdf rulez !
[^] # Re: HP, IBM et les autres : tous piégés !
Posté par Jimmy . En réponse à la dépêche Mobilisation pour le portable HP-Compaq sans Windows sur le Mandrakestore. Évalué à 1.
Quitte à faire une migration proprio -> libre, pourquoi ne pas en profiter pour faire table rase de ce fardeau de la compatibilité, ne serait-ce qu'en utilisant un processeur RISC ? C'est plus performant, et si il s'en vendait autant de volume que les x86, ce serait bien moins cher !
Autant pour passer d'une architecture à une autre dans le monde propriétaire il faut attendre le bon vouloir du fournisseur (A ma connaissance, il n'est pas publiquement dispo, ce Windows-PPC, hein ?) autant les portages d'OS libres sont légions ...
L'autre avantage serait dans un premier temps de se laver des soupçons de piratage. Ensuite, si les OS propio veulent attaquer ce marché, libre à eux. Mais on partirait sur des bases de concurrence saine.
Le monopole de M$ est venu avec le PC, il mourra avec le PC.
[^] # Re: HP, IBM et les autres : tous piégés !
Posté par Jimmy . En réponse à la dépêche Mobilisation pour le portable HP-Compaq sans Windows sur le Mandrakestore. Évalué à 1.
Une solution pour avoir une plate-forme libre sans risquer d'encourager le piratage des logiciels propriétaires, ce serait de changer d'architecture, de casser la sacro-sainte compatibilité. (Même si on a vu avec le 64 bits que ca ne sera pas facile)
Jetons le PC, qui n'a comme constante que de faire tourner Windows !
IBM, Motorola et Apple avaient, à une époque, proposé une architecture ouverte basée sur le PowerPC (CHRP, Common Hardware R? Platform, prononcez "tcheurp"). Ca n'avait pas marché, mais je ne sais plus pourquoi (Apple était devenu frileux ?).
Si quelques grands comme IBM et Novell s'unissent pour promouvoir à grande échelle une archi efficace (RISC) et pas chère, compatible Linux mais non supportée par Windows, ce serait une porte ouverte à une diffusion massive de notre pingouin préféré, et à une démocratisation globale de l'informatique, notamment vers les pays comme la Chine.
Au fait, c'est pas ce qu'IBM est en train de faire en se débarassant de ses PC ?