Jimmy a écrit 430 commentaires

  • [^] # Re: Cisco et licences libres

    Posté par  . En réponse à la dépêche La saga Maui X-Stream continue. Évalué à 2.

    si tu fournis et l'application et l'OS sur un système embarqué, je doute qu'il n'y ait aucune obligation en ce qui concerne le code sous gpl.

    Si tu n'as pas modifié le code GPL (noyau vanilla, drivers proprios sous forme de modules binaires, aucune correction de bug) et que les applis proprio sont clairement distinctes des éléments GPL (linkées avec des libs LGPL ou BSD), il me semble que tu n'as rien de spécial à redistribuer ...

    Par contre, tu as toujours obligation de laisser les copyrights et afficher la licence sur les parties libres, et sans doute de laisser un pointeur vers les sources que tu as utilisé.
  • [^] # Re: voler du code?

    Posté par  . En réponse à la dépêche La saga Maui X-Stream continue. Évalué à 2.

    le brevet c'est la propriété d'une idée, pas d'une impléméntation.

    Euh, pas tout à fait : le brevet protège normalement un procédé, une implémentation.
    Le problème avec les brevets logiciels, c'est justement qu'ils permettent la protection des idées au lieu des seules implémentations.
  • [^] # Re: ironie...

    Posté par  . En réponse au journal Voleurs de pensée : nouveau FUD de Microsoft. Évalué à 10.

    Du coup, on pourrait faire un scénario récursif :
    "Une grande société monopolistique, qui veut illustrer l'importance de la propriété intellectuelle, lance une campagne sur le "vol d'idées". Pour cela, elle dépossède des bénévoles de leurs droits d'auteur sur leurs idées de scénarios pour cette campagne. L'un de ces scénarios décrit "Une grande société monopolistique ... " "
  • [^] # Re: Super Idée

    Posté par  . En réponse au journal Voleurs de pensée : nouveau FUD de Microsoft. Évalué à 2.

    Tu as raison concernant le QDOS.
    Mais on peut ajouter que Tim Patterson s'est fortement inspiré d'Unix et de CP/M.
    Comme il avait utilisé le '/ 'à la place du '-' pour les options des programmes, il a dû prendre le '\' comme séparateur de chemins (que les utilisateurs de M$ et de claviers AZERTY maudissent).

    Finalement, en passant de QDOS à DOS, M$ a viré le "quick", mais a gardé le "dirty" ;-)
  • [^] # Re: Reconnaissance par les professionnels de l'audio

    Posté par  . En réponse à la dépêche Un point sur l'audiovisuel dans le monde du libre.. Évalué à 7.

    Pour essayer facilement ces outils musicaux libres, il y a une super distrib' qui les regroupe : il s'agit d'AGNULA, basée sur Debian (DeMuDi) ou RedHat (RehMuDi)
    http://www.agnula.org/(...)

    Et on peut faire de la vraie musique libre avec :
    http://muzik.agnula.org/(...)
  • [^] # Re: bientot

    Posté par  . En réponse au journal Les clefs USB soumises à la taxe sur la copie privée ?. Évalué à 3.

    Quand on voit que le simple fait de siffler un air est passible de contrefaçon ...

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0%402-3476,36-636777,0.html(...)
    Pendant sept secondes, dans son long métrage Insurrection résurrection, l'acteur et réalisateur Pierre Merejkowsky a siffloté L'Internationale.[...]"Au cours d'un contrôle dans les salles de cinéma, nos inspecteurs musicaux ont constaté que l'½uvre L'Internationale avait été reproduite dans le film" sans autorisation. La SDRM demande donc 1 000 euros pour avoir omis de déclarer ce sifflotement, qui constitue une exploitation illégale[...] Selon la loi sur la propriété intellectuelle, cette ½uvre ne tombera dans le domaine public qu'en 2014, souligne Philippe Lemoine, responsable des autorisations audiovisuelles de la SDRM
  • [^] # Re: adresse valide

    Posté par  . En réponse au journal Répondre aux spams ?. Évalué à 2.

    J'avais pensé à répondre quelquechose qui ressemble justement à un rapport d'adresse non valide, pour se faire rayer de la liste. Par exemple un message de Monsieur Mailer Daemon, vous savez, celui qui dit que votre correspondant n'existe pas et que sa boîte est pleine ...

    Je verrais bien un truc du genre :
    From: Mail Delivery System
    Subject: Undelivered Mail Returned to Sender
    Arrival-Date: Tue, 11 May 2005 21:50:55 +0100 (CET)
    Final-Recipient: rfc822; vi4gra@spam.com
    Action: failed
    Status: 4.0.0
    Mail could not be delivered. Reason : I don't like spam, go to hell.

    Par contre je ne sais pas si le sujet/contenu suffit, ou si il faut également falsifier l'adresse d'envoi (ce qui revient à pratiquer les mêmes techniques que les spammers).

    Vos suggestions sont bienvenues.
  • [^] # Re: Constaté

    Posté par  . En réponse au journal www.debian.org indisponible ce soir?. Évalué à 2.

    Je confirme, j'ai aussi constaté hier soir que le serveur security.debian.org ne répondait pas à mon apt-get update.
    Par contre les autres marchaient bien.

    Quelqu'un s'était pris les pieds dans la rallonge ?
  • [^] # Re: le bon vieux mercantilisme colbertien....

    Posté par  . En réponse au journal "Tony Blair part en guerre contre Microsoft". Évalué à 8.

    Tu généralises ...
    Y'a aussi celles qui vendent à perte à leurs filiales européennes (aux Etats-unis ils ont le droit), afin que ces dernières puissent faire du dumping "légalement".

    Ah, on me souffle dans l'oreillette qu'en fait, ce serait les mêmes qui pratiquent ces deux techniques ... parfois en même temps, par exemple sur une console de jeux et sur les softs qui tournent dessus !
  • [^] # Re: Microsoft pragmatique?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Microsoft lance un pont, Eric Raymond répond. Évalué à 2.

    Effectivement !
    Mais il s'agit en fait d'une archive zip auto-extractible, qui s'ouvre sans pb avec Wine. Ensuite, on a un bô fichier .doc, qui s'ouvre (lentement mais sûrement) avec OpenOffice ;-)
    Comme tu dis, la route est encore longue.
    (D'un autre côté, je les vois mal envoyer un PDF quand le but est de concurrencer ce format ...)
  • [^] # Re: Microsoft pragmatique?

    Posté par  . En réponse à la dépêche Microsoft lance un pont, Eric Raymond répond. Évalué à 4.

    Lors de la même série de conférences, M$ a annoncé la création d'un nouveau format de "papier électronique" avec comme objectif de concurrencer le PDF d'Adobe [2].
    Ce dernier, standard de fait pour la publication et l'impression, est un format ouvert et documenté, supporté par plusieurs logiciels libres.

    Ce format nommé Metro, serait d'après le communiqué axé sur l'interopérabilité, car basé sur "le XML, l'Unicode, la compression ZIP"[3]. La visionneuse (intégrée à Longhorn) sera gratuite, et les portages sur d'autres OS sont encouragés[4]. La spécification est disponible[5], mais requiert un accord de licence pour être consultée. De plus, une gestion des droits numériques (DRM) sera incluse dans ce format.

    L'adoption de ce format par les futurs utilisateurs de Longhorn est très probable, vu son intégration dans l'OS en état de "position dominante", dans les applications bureautiques du même éditeur et même dans les futurs drivers d'imprimante.

    Dans le cadre de l'interopérabilité avec les logiciels libres, qui nous intéresse ici, il y a finalement deux alternatives :

    - Soit ce communiqué est sincère, et ce format pourrait être un "pont" intéressant entre les systèmes. Avec les spécifications (qui ont l'air assez complètes après un parcours rapide) des implémentations libres verront rapidement le jour, ainsi que des passerelles PDF <-> Metro et OOOasis <-> Metro. Si il y a une réelle plus-value par rapport à d'autres formats, ca pourrait même devenir une norme ...

    - Soit, et c'est ce à quoi M$ nous a habitués, il s'agit d'une manoeuvre marketing de plus. On peut alors craindre des licences restrictives, des standards non respectés ou des fonctions incomplètement documentées (comme on l'a vu avec l'XML de MS Office).

    Le DRM annoncé pose aussi la question de la sécurité par l'obscurité : si son mécanisme est documenté, une implémentation tierce pourra le contourner, et donc le rendre inutile. [update : la spec indique comment obfusquer/désobfusquer une police copyrightée dans un document]

    Donc la publication de cette spécification me semble être un premier pas dans la bonne direction, reste à savoir si l'implémentation sera faite avec le même esprit ...

    [1] http://www.republique-des-lettres.com/journal/rl05200504.php(...)
    [2] http://www.theregister.co.uk/2005/04/28/metro_longhorn/(...)
    [3] http://www.generation-nt.com/actualites/6816/Metro-le-format-PDF-de(...)
    [4] http://www.pcinpact.com/actu/newsg/20950.htm(...)
    [5] http://www.microsoft.com/whdc/device/print/metro.mspx(...)
  • [^] # Re: interopérabilité oui, mais pas pour tout le monde !

    Posté par  . En réponse à la dépêche Microsoft lance un pont, Eric Raymond répond. Évalué à 5.

    Parce que le développement propriétaire, ca encourage tout le monde a collaborer sur un logiciel unique ?
    <mode=pessimiste>
    Ben, oui : les quelques startup et PME qui ne se sont pas fait racheter par les "grands" seront laminés lors de procès pour contrefaçon de brevets logiciels.
    "Il ne doit en rester qu'un."
    < /mode>
  • [^] # Re: Un bémol quand même...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quelques réflexions autour des brevets logiciels. Évalué à 2.

    Il suffirait que le brevet soit accessible gratuitement et librement à tous, sans discrimination.

    C'est déjà le cas, le but premier du brevet est d'éviter la perte des inventions protégées par le secret. Tu peux consulter les brevets européens sur http://fr.espacenet.com/(...)

    Qu'est-ce qui empêcherait de donner des licences à tout le monde et gratuitement ?
    Effectivement, c'est tout à fait possible. Mais dans ce cas, pourquoi payer cher un brevet et ne pas profiter des avantages qu'il procure ? Il vaut mieux dépenser cet argent à faire de la recherche ...

    L'intérêt ? Protéger une innovation dont la première implémentation a été réalisée dans un logiciel sous licence GPL du brevetage par une société
    On ne le répètera jamais assez, on ne peut breveter que quelquechose de nouveau. Si une société dépose un brevet sur un logiciel libre existant, ce brevet est invalide pour cause d'antériorité.
  • [^] # Re: Un bémol quand même...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quelques réflexions autour des brevets logiciels. Évalué à 2.

    Ton exemple montre justement que lorsqu'on invente qqchose, en général, un des réflexes est de se demander si ca n'a pas déjà été inventé.

    Plus précisément : quand on pense avoir inventé qqchose, un des réflexes est de se demander si ...
    Par contre, il est tout à fait possible d'utiliser une méthode brevetée, en étant persuadé qu'elle n'est pas nouvelle (20 ans de nouveauté, c'est long !) et donc d'être passible de contrefaçon tout en étant de bonne foi.

    J'appelle ca un champ de mines. On peut y aller prudemment, en sondant chaque centimètre. Ou on peut foncer, mais il faut assumer les risques. Quelle PME, quel développeur de LL a les moyens de déminer avant de coder ?

    Un labo de recherche peut très bien breveter une invention, et ensuite l'implémenter dans un logiciel distribué sous licence libre.

    Effectivement, il en a le droit.
    Mais je ne vois toujours pas l'intérêt, car la plupart des libertés accordées par le logiciel libre sont annulées par le brevet.
    - utiliser le logiciel : Le labo peut exiger des royalties sur l'invention implémentée (libre!=gratuit).
    - voir le source et l'étudier : OK si le code source est dans le texte du brevet. Sinon, le paiment de royalties peut aussi être exigé pour y avoir accès.
    - distribuer le logiciel sous les mêmes conditions : C'est de la contrefaçon.
    - modifier et distribuer les modifications : C'est de la contrefaçon.

    J'en conclus qu'un logiciel libre implémentant une invention brevetée (par l'auteur du soft) n'est pas un logiciel libre. C'est juste équivalent à un brevet logiciel correctement rédigé (avec source) accompagné d'une implémentation propriétaire.
  • [^] # Re: Heuuuu....

    Posté par  . En réponse au journal Et ca continu.... Évalué à 2.

    une carte d'identité numérique sur laquelle sera indiquée notre NUH (numéro universel d'humain)

    Rendu là, il n'y a plus besion de carte ... Il suffit d'implater une puce RFID, comme on le fait pour certains animaux et diplomates. Ca ne sera pas plus gratuit, mais ca permet de te suivre à la trace, même sans que tu le saches.

    Et quant au numéro lui-même, on a déjà le numéro INSEE (n° de sécu) au niveau national, il suffirait de rajouter qq bits pour le code pays.

    --
    "Monde de merde." G. Abitbol
  • [^] # Re: souvenir souvenir ...

    Posté par  . En réponse au journal Des Laptops incompatibles Linux. Évalué à 3.

    Effectivement, c'était sur les PIII.
    (la Red Hat 6.2 que j'avais essayé d'installer voulait le désactiver ... sur mon Duron ! Résultat = kernel panic)

    Un début de boycott avait obligé Intel à faire marche arrière, et à publier un patch qui le désactive par défaut.

    Mais on oublie que ce numéro de série est bel et bien présent dans le Pentium 4, et là personne n'a rien dit. Finalement on s'habitue à tout ...
  • [^] # Re: LiveCd et dvdrip

    Posté par  . En réponse à la dépêche DCC en LiveCD. Évalué à 2.

    Le plus simple est sans doute de "remasteriser" un live-CD avec transcode (et éventuellement son IHM dvd::rip).
    Avec Damn Small Linux (http://www.damnsmalllinux.org(...) )ca devrait se faire très bien, il suffit de mettre le .tgz de ton programme à la racine du CD pour qu'il l'installe au boot ...

    Ou encore de faire "apt-get install dvdrip" une fois booté !
  • [^] # Re: Un bémol quand même...

    Posté par  . En réponse à la dépêche Quelques réflexions autour des brevets logiciels. Évalué à 5.

    Poursuivons un peu cette analyse pertinente, en reprenant des passages de la dépêche.

    il n'est pas possible de redécouvrir "par hasard", sans s'en rendre compte

    Cette affirmation implique que tout inventeur potentiel a connaissance de la totalité des brevets déjà déposés dans son domaine. Même si l'accès aux brevets est censé libre (notamment avec espacenet.com en Europe), les recherches et l'analyse requièrent un temps énorme. Coûteux et non productif. De plus, une trop bonne connaissance de l'état de l'art peut mener à un bridage de la créativité, l'échouage dans un "optimum local" traditionnel. Combien de génies, ne sachant pas que leur idée était impossible, l'ont finalement réalisée ?

    Plus concrètement, j'ai été plusieurs fois témoin de "ré-invention" en toute bonne foi. Par exemple, un instituteur (il y a ~ 15 ans), énervé de se salir les mains en mettant de l'essence dans sa voiture, avait pensé à un système de distributeur de gants plastiques sous forme de rouleau. Il est allé voir un conseil en brevet, et après recherches il s'est avéré que cette invention avait déjà été brevetée presque 20 ans auparavant. Peu de temps après que ce brevet soit tombé dans le domaine public, de tels distributeurs de gants sont apparus massivement dans les stations-services ...
    Conclusions :
    1 - Si il n'avait pas supposé que son idée était inventive, et tenté de la breveter, il aurait très bien pu commercialiser une contrefaçon.
    2 - Les grandes entreprises choisissent parfois la patience, et n'exploitent l'invention que quand elle est tombée dans le domaine public.

    le mauvais fonctionnement du système actuel des brevets, qui permet de breveter des inventions qui ne sont ni nouvelles, ni inventives. Le vrai problème est ici.

    C'est effectivement ici qu'il faut agir en priorité, et je suis tout à fait d'accord avec l'analyse sur les défaults du fonctionnement actuel des offices de brevets. Mais comment forcer l'OEB (ainsi que son équivalent étatsunien) à respecter les règles ? Certains ont tenté de déposer volontairement des brevets invalides : qu'en est-il du brevet sur les 35 heures déposé par l'AFUL ?

    si l'inventeur d'un format révolutionnaire souhaite qu'il soit largement utilisé, il ne pourra pas le breveter, mais devra chercher des modèles économiques alternatifs.

    Il faut mettre cette question en perspective. Dans l'absolu, pour faire adopter un standard au marché, il faut éviter d'entraver sa diffusion. Mais dans le cas de sociétés déjà en position monopolistiques sur un marché, ou pratiquant l'abus de position dominante, tout est possible. Et quand on voit l'inertie juridique dans ce domaine (Microsoft contre l'UE, vous aviez deviné), un contrôle plus serré concernant l'interopérabilité me semble souhaitable.

    dans le cas où un développeur de logiciels libres voudrait [...] déposer un [brevet logiciel]

    Là, j'avoue qu'il y a quelquechose qui coince.
    Jusque-là, on parle des dangers que font peser les brevets logiciels déposés par les grandes entreprises (logiciels propriétaires), sur les développeurs de logiciels libres et les PME. Mais déposer un brevet sur un logiciel libre n'est-il pas contradictoire ?

    - Le brevet oblige à divulguer l'objet de l'invention, un logiciel libre doit donner accès au code source. OK, ca colle, sauf que je n'ai pas connaissance d'un brevet logiciel publiant le code source d'une implémentation de référence ...

    - "Améliorer, c'est contrefaire", alors qu'un logiciel libre offre la liberté de modification. Brevet et LL sont incompatibles sur ce point.

    - Le monopole accordé par le brevet va également à l'encontre de la liberté de diffusion d'un logiciel libre.

    - La simple publication d'un logiciel libre devrait assurer que tout dépôt de brevet ultérieur sur ses méthodes soit invalidé, faute de nouveauté.

    Je ne vois donc aucun intérêt à breveter un logiciel libre !

    N'hésitez pas à me reprendre si je me trompe ...
  • [^] # Re: Difficile de repondre sans plus d'infos

    Posté par  . En réponse au message Probléme de configuration d'une carte graphique nvidia Riva tnt2 64 mo. Évalué à 2.

    Chez moi ca marche ®
    A vrai dire, je ne me suis jamais posé la question, les Mandrake, Knoppix, Slax et Damn Small Linux que j'ai utilisé sur ma vieille machine équipée de cette carte ont toutes fonctionné sans souci. (avec le driver libre)

    Je te suggère de booter une Knoppix, de sauvegarder la conf de X11 qu'elle a fait automatiquement, et de l'appliquer sur ta Debian. Ce n'est sans doute pas très orthodoxe, mais ca me semble le plus rapide.
  • [^] # Re: Et ouai ...

    Posté par  . En réponse au journal Violence routière. Évalué à 3.

    Un blaireau qui ne sait pas faire un créneau ou qui ne met pas son clignotant avant de tourner, il ne l'a pas son permis auto/moto !

    Pourtant, on en voit plein sur les routes ...
    Diable, mais comment ont-ils décroché le petit papier rose ?

    Comme dit plus haut, le code de la route évolue, les conducteurs prennent de mauvaises habitudes, après un certain âge leur état de santé n'est plus toujours suffisant (vue, réflexes) ... Une mise à jour périodique du permis ne serait sans doute pas une si mauvise idée, ce serait comme appliquer un patch sur une faille de sécurité.
  • [^] # Re: Y'a ça aussi...

    Posté par  . En réponse au journal Violence routière. Évalué à 4.

    Je confirme !
    Précisons le dispositif : Un feu normal pour les voitures, et au même niveau sur la piste cyclable un petit feu pour les cyclistes, qui est rouge quand le feu voitures est vert, et inversement. Enfin, 2 ou 3 mètres plus loin, un grand feu pour tout le monde, synchronisé avec le feu des voitures.

    Il y a plusieurs cas de figure :
    - la voiture grille le premier feu rouge et vient se placer sur la zone réservée aux cyclistes. Elle les empêche alors de profiter de cette distance pour démarrer, ainsi que de se placer pour tourner à gauche ...
    - le deux-roues (souvent une mobylette d'ailleurs) ignore le petit feu, et passe en même temps que les voitures. C'est le meilleur moyen pour lui, si il va tout droit, de se faire faucher par une voiture qui tourne à droite et qui pense qu'il va s'arrêter.
    Bref, ce dspositif est mal utilisé par tout le monde, je ne me souviens pas qu'il soit détaillé dans le code de la route, même si il est logique.

    Pour en revenir à Nantes, une grande particularité est la quantité importante de rond-points (dont des situations complexes, comme les doubles-ronds-points, ou ceux qui sont traversés par le tram). Beaucoup critiquent, moi je trouve ca très bien, ca fluidifie ... si seulement les usagers de la route savaient s'en servir ! C'est portant simple de mettre son clignotant à gauche si on fait plus de 50% de la boucle, à droite avant de sortir, et de bien choisir sa file selon sa destination ... pourtant, il est très courant de voir le "fangio" de la file de gauche qui va tout droit en passant à la corde, et le "pépé" qui tourne à gauche en restant sur la file de droite : tout ca se rencontre méchamment à l'autre bout, et à chaque fois ca ne passe pas loin !!!

    Le pire, c'est quand même les rond-points à priorité à droite qui subsistent massivement en région parisienne, voire même en alternance avec des rond-points "normaux" (à priorité à gauche). Quand on ne connait pas le quartier, on a une chance sur deux de griller la priorité. Un rond-point à priorité à droite, c'est le meilleur moyen de bloquer le flux de circulation, surtout dès qu'un poids-lourd tente de tourner à gauche. Le "fangio" de tout à l'heure déboîte alors sur la file extérieure, toujours sans cligno, et toujours aussi dangereux.

    Je passe sur tous les dispositifs d'"urbanisme répressif" comme les rétrécissements et chicanes qui obligent à une circulation alternée, les priorités à droite non signalées pour des voies annexes et autres limitations de vitesses excessives. C'est censé inciter à ralentir en créant un danger, et en fait ca crée un danger tout court.

    La solution, il faut peut-être aller la chercher à l'autre bout du monde. A Saigon, il y a 8 million d'habitants (tout âge confondu) et 4 millions de mobylettes. Bref, une vraie ruche, où la voiture est minoritaire. http://jlerhun.free.fr/2bgal/disp_img.php?id_img=113(...) Eh bien la circulation est incroyablement fluide malgré l'encombrement : chacun adapte sa trajectoire et sa vitesse pour éviter l'autre, sans jamais s'arrêter, et signale ses intentions avec les clignotants. Un piéton qui traverse n'a aucune chance que le taffic cesse, il traverse donc le flux à vitesse constante ; les vélos et cyclos l'éviteront en estimant sa trajectoire, passant devant ou derrière, ralentissant à peine.

    Sur ce, soyez, prudents !
  • [^] # Re: Au contraire: sortons du "tout fichier"

    Posté par  . En réponse au journal Unix, que sont devenus tes concepts ?. Évalué à 4.

    Je ne vois pas en quoi l'idée de "tout est fichier" et ton idée du classement intelligent des données sont incompatbles.

    Tu prônes l'homogénéité, et le "tout est fichier" est une solution plutôt homogène (même si ce n'est pas la seule). Plutôt que d'avoir mes fichiers "bureautiques" dans des répertoire, mes mails dans une archive de ThunderBird et des URLs dans un boomark.html, je préfèrerais que ce soient tous des fichiers indépendants, avec les méta-infos qui vont bien pour faire des super-recherches-de-la-mort, et un filesystem optimisé pour plein de tout petits fichiers.

    Ensuite, on peut donner différents noms à ca, selon le point de vue. Certains parleront de base de données à la WinFS ... Why not, tant que l'implémentation répond au besoin !
  • [^] # Re: A méditer

    Posté par  . En réponse à la dépêche La réaction de Richard Stallman aux récents évènements autour de BitKeeper. Évalué à 5.

    si il y a assez d'utilisateurs pour payer, la boite [...] continue le développement pour gagner des sous

    La différence, c'est qu' "un logiciel libre est gratuit quand il a été payé une fois."

    la quantité d'argent que les utilisateurs doivent mettre sur la table n'est pas la même si il s'agit juste de faire le développement (prestation auprès de développeurs de logiciels libres) ou si il faut assurer la rentabilité durable d'un produit, dans une structure commerciale (en plus des codeurs, il faut payer les commerciaux, les juristes, les patrons, les infrastructures ...).

    En pratique, dans le premiers cas une fois le dev fini, d'autres utilisateurs profiteront gratuitement de cette version du soft.
    Dans le second cas, même une fois l'investissement rentabilisé il faudra continuer de payer ...

    Donc effectivement libre =! gratuit, mais c'est quand même moins cher que le propriétaire !
  • [^] # Re: ...debian avant, et encore et encore ...

    Posté par  . En réponse au sondage Juste avant mon OS actuel, j'utilisais. Évalué à 2.

    Pff, ca ne nous rajeunit pas tout ca !
    <ma vie>
    le basic en ROM du CPC464,
    DOS 3.3 sur Apple ][
    Mac OS 7.0 puis 7.5 puis 8.1 puis 8.5
    Linux PPC
    Windows 98 et Mandrake 8.1 en double boot
    Lors du suicide du disque dur, Knoppix et Damn Small Linux pendant deux semaines, prise de conscience de l'inutilité pour moi de Windows
    Maintenant : Mandrake 10 et Knoppix (debianisée).
    </ma vie>
  • [^] # Re: Pareil avec GNU

    Posté par  . En réponse au journal Slogan. Évalué à 2.

    Il suffirait de l'écrire "BienveGNUe".
    Un logo qui décale un peu le G serait encore plus explicite ...