liberforce a écrit 4730 commentaires

  • [^] # Re: nombre de cartes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Magic: the Gathering, le problème de l'arrêt, et une inférence un peu rapide. Évalué à 3.

    Epicure Of Blood et Exquisite Blood n'ont pas vraiment le même effet… La cause de l'un est la consséquence de l'autre (et inversement).

  • [^] # Re: nombre de cartes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Magic: the Gathering, le problème de l'arrêt, et une inférence un peu rapide. Évalué à 3.

    La pile c'est quand même pas nouveau, j'ai commencé à jouer en 1995, et ça existait déjà, alors que le jeu date de 1993. Les règles se sont précisées mais il y a surtout eu un changement de règle avec l'arrivée de la 6ème édition je crois, qui faisait que les blessures de combat passaient par la pile. Cela avait des effets de bord en terme de cohérence. Quelques années plus tard les règles ont à nouveau changé pour revenir comme avant sur cet aspect. Dans les anciennes règles, on pouvait aussi engager un artefact pour le désactiver.

    Pour ce qui est de la formulation, oui ça s'est bien amélioré. Ils ont beaucoup utilisé de mots-clés pour définir des mécaniques existantes, ce qui permet de savoir assez rapidement ce que fait une carte. La contrepartie c'est qu'il y a un paquet de mots-clés.

    Il faut aussi savoir que ce qui est écrit sur la carte ne fait pas forcément foi: c'est le texte Oracle de la carte qui fait foi. Certaines anciennes cartes ont ainsi subi des modifications, notamment au niveau des types. Avec l'apparition récente du type de créature "dinosaure", certaines anciennes cartes ont donc vu leur type mis à jour, parce qu'elles étaient plus conforme à ce qu'elles étaient vraiment. Exemple: Fongosaure, Raptor Putride.

  • [^] # Re: nombre de cartes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Magic: the Gathering, le problème de l'arrêt, et une inférence un peu rapide. Évalué à 3.

    Les cartes rééditées "à l'identique" (i.e. avec exactement les mêmes caractéristiques sauf le nom) sont le plus souvent des communes sans valeur. Les rééditions "similaires" de cartes plus rares ont des modifications fonctionnelles qui font que ce n'est pas la même carte.

  • [^] # Re: nombre de cartes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Magic: the Gathering, le problème de l'arrêt, et une inférence un peu rapide. Évalué à 4.

    Il est important de ne pas confondre le nom de la carte, et le type de la carte. "+1/+1 à tous les gobelins" désigne un type de créature, ce qui est indépendant du nom de la carte.

    Les cartes qui font référence au nom complet d'une carte sont par exemple pour lever une limitation comme le nombre maximal de cartes portant ce nom dans un jeu, ou permettent d'aller chercher une carte avec un nom spécifique, donnent un bonus spécial, ou permettent de créer un objet permanent qu'il faut alors nommer (pour ceux que ça intéresse, voici une liste plus exhaustive).

    Quand une carte est rééditée sous un autre nom, c'est plus souvent pour des contraintes d'homogénéité. Il y a une histoire derrière chaque extension, avec parfois des livres édités spécifiquement pour raconter cette histoire. Cette histoire décrit un multivers, avec différents plans de réalité, et même si certains personnages (qu'on nomme des planeswalkers, mais j'aime bien le terme français d'« arpenteur »), peuvent passer d'un plan à l'autre (transplaner), d'autres personnages sont ancrés dans un plan particulier. Ainsi il est très fréquent que le nom d'un personnage apparaisse dans le nom d'une carte, et ce nom étant souvent associé à un plan, situer l'action dans un autre plan nécessite de renommer la carte.

    Parfois des cartes sont aussi extrêmement similaires avec juste un changement mineur, comme un type de créature: On peut avoir des créatures identiques en tout point, sauf qu'une est un ours, l'autre un grand singe, l'autre un elfe et éclaireur, l'autre un elfe et guerrier. Cela permet d'avoir des synergies dans les jeux qui tirent parti de ces aspects (decks tribaux).

  • [^] # Re: nombre de cartes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Magic: the Gathering, le problème de l'arrêt, et une inférence un peu rapide. Évalué à 3. Dernière modification le 10 mai 2019 à 18:19.

    Il faut voir aussi que le jeux n'aide pas trop, sachant qu'il y a des cartes à deux faces, à deux sens, avec deux cartes sur une face, ou à construire avec deux cartes.

  • [^] # Re: nombre de cartes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Magic: the Gathering, le problème de l'arrêt, et une inférence un peu rapide. Évalué à 3.

    Wikipédia me contredit, et effectivement il doit y avoir un soucis avec ma requête pour le nombre total de cartes toutes éditions confondues, mais les autres chiffres doivent être corrects.

  • [^] # Re: nombre de cartes

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Magic: the Gathering, le problème de l'arrêt, et une inférence un peu rapide. Évalué à 3.

    19036 cartes à ce jour.
    18574 cartes quand on exclut les sets "humoristiques" (unglued, unhinged, unstable)
    18466 cartes valides dans le format "legacy", valide en tournoi.
    1764 cartes valides dans le format "standard", valide en tournoi.

    Les nombres ci dessus sont des cartes avec un nom uniques: les variantes "foil" (ce que tu appelles shiny), ainsi que les rééditions d'une même carte sont comptées comme une seul carte. En revanche, certaines cartes assez basiques sont rééditées à l'identique en termes de capacités, mais avec un nom différent pour mieux coller à l'édition dont fait partie la carte. N'ayant pas le même nom, elles sont considérées comme des cates différentes.

  • [^] # Re: Fibre écologique

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Mon nouveau smartphone Android dégooglisé. Évalué à 3. Dernière modification le 30 avril 2019 à 10:46.

    Je suis passé par la FNAC marketplace pour un achat d'ordinateur d'occasion. Pour la faire courte, j'ai eu des problèmes avec l'ordinateur en question, et je suis tombé sur une société qui est en France, mais quasi-impossible à joindre par téléphone. On m'a baladé pendant 6 mois, ils ont des adresses différentes qui font que mon premier recommandé est revenu à l'expéditeur et qu'ils n'ont jamais répondu au recommandé suivant alors qu'on m'avait promis par téléphone un remplacement. Je déconseille donc très très fortement tout achat chez ORDI2PRO (sic).

    Je suis passé par backmarket pour en racheter un, et je n'ai eu aucun soucis, je ne peux donc pas évaluer leur SAV. J'ai cependant fait un achat puis annulation, puis rachat, et j'ai eu largement une meilleure expérience sur backmarket.

  • [^] # Re: man 2 read

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message question sur strace. Évalué à 3. Dernière modification le 26 avril 2019 à 12:27.

    Tu peux utiliser od pour le vérifier: ici je lis les 32 premiers octets du fichier en question, les caractères non-imprimables étant affichés sous leur forme en octal:

    od -c -N 32 /lib/x86_64-linux-gnu/libc.so.6
    
    0000000 177   E   L   F 002 001 001 003  \0  \0  \0  \0  \0  \0  \0  \0
    0000020 003  \0   >  \0 001  \0  \0  \0 260 034 002  \0  \0  \0  \0  \0
    0000040
    

    La même chose en hexadécimal:

    od -t x1 -N 32 /lib/x86_64-linux-gnu/libc.so.6
    
    0000000 7f 45 4c 46 02 01 01 03 00 00 00 00 00 00 00 00
    0000020 03 00 3e 00 01 00 00 00 b0 1c 02 00 00 00 00 00
    0000040
    
  • # man 2 read

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message question sur strace. Évalué à 3.

    http://codewiki.wikidot.com/c:system-calls:read

    Le 2ème paramètre, buf est le buffer où tu vas stocker les données lues. strace ne fait que t'afficher le contenu de ce buffer (après l'appel il me semble, à vérifier). Donc je dirais que la chaine que tu trouves bizarre correspond aux premiers octets de la libc que tu es en train de charger.

  • [^] # Re: Parinux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Mise à jour parties pour Mageia 7. Évalué à 2. Dernière modification le 12 avril 2019 à 10:38.

    Certes, mais ça ne répond pas du tout à ma question ;-)
    J'ai aussi fait une présentation sur la configuration de GNOME à la dernière install party Ubuntu à la Cité des Sciences (présentation faite sous Mageia d'ailleurs, c'était sur mon portable perso). Cependant ce serait super d'avoir l'occasion de présenter d'autres distributions là bas pour ceux qui sont déjà familiers du lieu, histoire montrer que GNU/Linux ce n'est pas qu'Ubuntu.

  • # Parinux

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Mise à jour parties pour Mageia 7. Évalué à 2. Dernière modification le 11 avril 2019 à 18:51.

    J'ai participé à quelques install parties à la cité des sciences, organisée par Parinux, du temps de Mandriva. Pourquoi organiser quelque chose à part au lieu de repasser par eux ? Les install parties Ubuntu ont encore lieu là bas par exemple. Il y a sans doute des contraintes, mais ça reste tout de même un repaire pour les utilisateurs en quête d'information.

  • [^] # Re: Autres astuces non mentionnées dans mon journal

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Quelques bonnes pratiques Python pour 2019. Évalué à 2.

    Au boulot on utilise yapf, mais je n'étais pas emballé par la config utilisée. J'ai essayé black mais je ne suis vraiment pas convaincu par le formatage. Il ne va pas changer que l'indentation et les retours chariots, mais aussi le type de guillemets utilisé (guillemets doubles partout). C'est bien pour l'homogénéité, mais cela altère plus que juste le formatage. Perso je préfère des lignes courtes avec un paramètre par ligne car cela permet d'avoir des diff minimalistes et faciles à lire, et d'éviter au maximum les conflits. Black va lui au contraire essayer de tout faire tenir sur une ligne.

    De son côté, yapf permet de donner des indications sur le formatage, mais c'est toi qui les contrôles.
    Par exemple, prendre l'habitude de mettre une virgule après le dernier paramètre d'une liste (de valeurs ou d'arguments) permet aussi de réduire les diff. Ainsi quand on ajoute un nouveau paramètre, le pas besoin de modifier la ligne précédente pour rajouter une virgule. On a un diff propre avec juste une ligne ajoutée correspondant à la valeur ajoutée. Et yapf a la bonne idée de comprendre qu'une virgule sans autre valeur derrière indique que tu préfères un formatage avec un paramètre par ligne.

    On est finalement restés sur yapf avec quelques améliorations sur la config.

  • [^] # Re: Comment "démasquer" un faux visage

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Cette personne n'existe pas. Évalué à 9. Dernière modification le 18 février 2019 à 11:24.

    Le journaliste se fie aux sources. Quand les sources ne sont pas falsifiées, c'est déjà difficile d'avoir du journalisme de qualité. Si les sources sont falsifiées, je te laisse imaginer…

  • [^] # Re: Comment "démasquer" un faux visage

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Cette personne n'existe pas. Évalué à 5.

    C'est surtout effrayant compte tenu du risque d'utilisation de ces technologies pour faire de la désinformation de masse. Si tu n'es plus capable de garantir que ce que tu vois est la réalité, comment les gens peuvent faire confiance à une information plutôt qu'à une autre. On a déjà vu des images avec une IA qui modifie une scène pour changer la saison durant laquelle elle est filmée. Si on arrive à plaquer le visage d'une personne fictive sur celui sur un individu réel, ça va devenir difficile de se la jouer Saint Thomas…

  • # Rachida, sors de ce corps !

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au lien Un client lourd Gnome pour visualiser (bientôt modifier si il y a des sous) les Wikidatas. Évalué à 2.

    .

  • [^] # Re: Merci

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal De l'absence de débat en France sur l'article 13 de la directive européenne droit d'auteur.. Évalué à 3.

    J'avais déjà envoyé un message lors de la précédente émission sur le sujet, où les questions étaient posées pour la forme, la journaliste ponctuant les réponses lapidaires sur la forme et non le fond par un "voilà", qui montrait qu'on était entre gens qui pensent pareil. J'ai aussi envoyé un message suite à cette émission là. La ligne éditoriale n'a pas changé, à ce que je vois.

  • # Portage salarial, attention à la fraude

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Devenir un indépendant libre. Évalué à 5.

    Comme un peu tout le monde, je m'intéresse aux statuts plus indépendants, mais difficile de quitter la sécurité du salariat. Cependant, un reportage récent sur le portage salarial m'a un peu douché. Certaines sociétés peu scrupuleuses factureraient ainsi des frais indus, et plusieurs sont en procès car la pratique s'est répandue.

    Source: https://www.franceinter.fr/emissions/secrets-d-info/secrets-d-info-10-novembre-2018

  • [^] # Re: Une histoire qui plait à tout les gosses ...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Lunii, la boîte à histoires sous Linux. Évalué à 3.

    apapou ?

  • # LibreOffice + secretary

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Gestion de documentation. Évalué à 6. Dernière modification le 22 janvier 2019 à 14:23.

    J'ai essayé il y a 2 ans de mettre en place un système de génération notes de publication, et j'avais découvert secretary. Le principe: tu utilises un fichier OpenDocument classique dans lequel tu as des données variables dans du json ou du yaml à côté. Avec secretary, qui se base sur le moteur de templates jinja2, tu remplaces les données dans le document. Ainsi les données variables sont à part, et le fichier final généré à partir du modèle. Ton modèle contient juste des insertions de variables pour que secretary puisse les trouver. Tu peux ainsi faire une boucle for sur la liste de tes équipements pour créer un tableau dans le document final. L'ODT peut être mis en gestion de version sous forme décompressée si besoin pour pouvoir faire des diff (idéalement avec un outil qui comprend l'ODT plutôt que de comparer le XML soi même). Je n'ai pas eu le temps d'aller au bout de l'approche et j'ai vu quelques petits bugs dans secretary, mais l'auteur était réactif et l'expérience intéressante.

  • # C'est bien joli mais...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse à la dépêche Comparaison de technologies Web pour implémenter une application de dessin basique. Évalué à 5.

    Ton comparatif manque un peu de TapTempo.

  • # Yet another build system

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal `smk`, un make sans Makefile. Évalué à 7. Dernière modification le 11 décembre 2018 à 10:27.

    Tu peux récupérer les dépendances aux headers via le compilateur, par exemple avec gcc -M et gcc -MM
    Cf. https://stackoverflow.com/a/2394651/518853

    J'avoue que j'ai du mal à voir l'intérêt du projet (si ce n'est pédagogique, et ça c'est toujours bien). Les cas où on se farcit toutes les commandes pour compiler un binaire en spécifiant indépendamment les .o sont rares. En général tu utilises plutôt les fonctions de remplacement de make pour créer des règles génériques (voilà comment transformer des .c en .o, et tel binaire a besoin de tels fichiers .c, et voilà comment déduire les headers nécessaires).

    Je te conseille de regarder un peu du côté de Ninja, même si les fichiers de règles de ce dernier n'ont pas vocation à être écrites à la main, mais plutôt via un build system comme CMake ou Meson.

  • [^] # Re: exemple de recherche devops

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au message Devops. Évalué à 3. Dernière modification le 05 décembre 2018 à 12:22.

    J'ajoute packer pour la création d'images, Gitlab-CI et Jenkins pour l'intégration continue, et potentiellement AWS si on met des VM dans le cloud.

  • [^] # Re: Ha ouais, quand même...

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal Une backdoor vient d’être trouvée dans un paquet npm connu. Évalué à 7. Dernière modification le 28 novembre 2018 à 16:38.

    Open Source = logiciel libre…

    Open Source, surtout avec les majuscules, c'est Open Source au sens de Open Source Initiative, qui dit à 99% la même chose que le logiciel libre sur le plan technique. La rhétorique autour du logiciel libre insiste plus sur les libertés de l'utilisateur, mais ces libertés n'ont pas pour but l'asservissement du mainteneur.

    Ensuite, tu as des logiciels propriétaires qui sont très à l'écoute des demandes des utilisateurs, et des logiciels libres où une personne code pour ses propres besoins et si ça profite à d'autres c'est bien, mais ce n'est pas le but recherché. Les questions morales et politiques sont donc orthogonales à la liberté du logiciel. Les mots ont un sens, qu'il ne faut pas extrapoler.

    Être plus honnête et gérer une communauté, ça c'est vraiment du « Logiciel Libre » pour moi.

    https://yourlogicalfallacyis.com/fr/le-vrai-bon-ecossais

  • [^] # Re: Bizarre

    Posté par  (site web personnel) . En réponse au journal La DGSE utilise Arch Linux.... Évalué à 3. Dernière modification le 27 novembre 2018 à 18:07.

    Note qu'ils ne savent pas écrire "depth" tout de même (zoome sur la première capture).