BB a écrit 527 commentaires

  • [^] # Re: Mes idéaux

    Posté par  . En réponse au journal Votre langage idéal ?. Évalué à 3.

    opcodes sont reconverties au vol par le processeur vers des sets de microcode RISC-style

    Je ne m’y connais pas, mais dit comme ça, j’aurai plutôt classé ça comme de la traduction, non ? C’est-à-dire qu’il y une équivalence directe entre l’opcode et la série d’instructions RISC-style, un peu comme l’assembleur je veux dire.

    Ou alors les téléphones portables qui gèrent le bytecode Java au niveau matériel (cf. Jazelle), ça fait de Java (ou Scala, Clojure...) un langage compilé selon ta définition ?

    Parfaitement. Et j’ajouterai que comme la notion de compilation va forcément avec une cible de compilation, je dirai que le Java est un langage (partiellement) compilé pour Jazelle, alors qu’il n’est qu’interprété pour des processeurs plus classiques. D’après la page wikipedia, le bytecode java n’est pas totalement compris par le hard. Sans oublier que, comme dit par toi-même je crois, cette histoire d’interprété/compilé concerne avant tout l’implémentation, et n’est pas une qualité intrinsèque d’un langage.

  • [^] # Re: Mes idéaux

    Posté par  . En réponse au journal Votre langage idéal ?. Évalué à 2.

    Perso. je m’en tiens à la définition à grand papa : la compilation doit permettre d’obtenir un exécutable pour la machine (pas virtuelle, physique) sur laquelle le programme va s’exécuter. Du coup, oui, un code « compilé » est plus performant qu’un code interprété. Peut-être vaut-il mieux parler de langage avec machine virtuelle ou pas.

  • [^] # Re: Carte graphique

    Posté par  . En réponse au journal Mon expérience comparée d'installation de Linux et Windows XP sur mini-pc. Évalué à 4.

    Xorg s’auto-configure maintenant. Pour ton problème de lenteur, vérifie que les effets graphiques soient désactivés (ie. pas de transitions au changement de bureau, pas de transparence, etc.) car je crois que maintenant XFCE les active par défaut. D’autres que moi pourront confirmer car je ne l’utilise pas. Il devrait y avoir une option pour tout désactiver dans le panneau de configuration. Si ça marche mieux après ça, alors banco, c’est un problème avec la carte graphique.

  • [^] # Re: à ce point là ?

    Posté par  . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 0.

    Que tu ne relèves pas le dictionnaire est symptomatique de ce que je dénonçais.

  • [^] # Re: pour moi

    Posté par  . En réponse au journal Votre langage idéal ?. Évalué à 2.

    VHDL

    ->[]

  • [^] # Re: J'aimerais

    Posté par  . En réponse au journal Votre langage idéal ?. Évalué à 3.

    Je suis assez d’accord avec toi, dans la théorie ; J’étais assez méfiant sur cette histoire de typage lorsque j’ai commencé à utiliser sérieusement Python. Toutefois depuis maintenant quelques années, je me suis rendu compte qu’en pratique j’ai rarement des problèmes liés au typage. Notons aussi que je fais du numérique, et que lorsque c’est nécessaire je peux quand même spécifier le type d’un tableau, et c’est ce qui m’importe (dtype=int32,float32,float64 et c’est à peu près tout). Du code numérique manipule assez peu de type en réalité, par contre il peut donner beaucoup de contrainte sur la taille, l’intervalle, la précision et l’étendue ainsi que sur les propriétés entre les nombres, toutes choses ne pouvant pas être vérifiés par un compilateur, et accessoirement pénible à gérer proprement (NaN&Co). Le type des variables à manipuler devient un « problème » négligeable et le b.a-ba de tout programmeur numérique, parce qu’une formation mathématique t’apprends nécessairement à bien définir ce que sont tes variables, avant même de réfléchir à une implémentation.

    La doc c'est bien joli mais comme ce n'est pas pris en compte par le langage

    C’est une approche typiquement pythonesque que de dire que le programmeur sait ce qu’il fait, et de rester très souple concernant le langage lui même (typage, pas de protection dans les classes, etc.). Qu’on aime ou pas, je ne dirai pas ce que ça donne sur un gros projet en équipe, mais pour du code à soi, j’ai constaté que toutes ces vérifications de type sont peu utiles et les erreurs liées sont tout aussi vite corrigées dans un code Python. J’ai même acquis la conviction que ça encourage la bonne pratique de bien réfléchir à l’avance à ses structures de données.

    Et pour moi, il est hors de question de vérifier, par exemple qu’un vecteur qui arrive à l’entrée d’une fonction est normalisé, c’est au programmeur qui fait appel à la fonction de vérifier ça. Pour des raisons de performances comme tu le dis… plus par habitude qu’autre chose, parce que de toute façon Python est d’une lenteur effroyable…

    Pour les inférences de type, je n’ai jamais utilisé, donc je ne peux pas dire ce que ça donne en pratique, mais pourquoi pas.

  • [^] # Re: Mes idéaux

    Posté par  . En réponse au journal Votre langage idéal ?. Évalué à 1.

    mode de compatibilité F77

    Mais il y a des constructions qui ont été supprimées. Je sais que c’est au moins le cas pour le f95 (cf. wikipedia anglaise).

  • [^] # Re: J'aimerais

    Posté par  . En réponse au journal Votre langage idéal ?. Évalué à -1.

    Pour le typage dynamique je ne suis pas fan non plus mais il y a moyen de faire les choses proprement en étant rigoureux dans la documentation. Parce qu’au final se reposer sur un système de typage statique n’est pas viable non plus sur un gros projet, car bien souvent ce n’est pas d’un entier ou d’un flottant qu’on a besoin, mais d’un entier entre 1 et 3, d’un flottant positif, d’un vecteur normalisé, etc. Du coup l’un ou l’autre des typages n’apporte pas les garanties nécessaires. Du coup je préfère largement ne pas avoir à taper une liste de déclarations longue comme le bras et passer mon temps plutôt à écrire en doc ce que je veux et ce que je ne veux pas.

    Pour le lock… oui c’est naze, et le multiprocess me fait planter une librairie tiers, c’est assez lourd à gérer…

  • # Mouai…

    Posté par  . En réponse au journal Votre langage idéal ?. Évalué à 10.

    J’utilise quotidiennement deux langages, et je jongle avec quatre. Il ne me viendrait pas à l’idée de déplacer mes fichiers avec Fortran, ni faire de la programmation numérique avec le shell. Du coup cette recherche du langage ultime est totalement illusoire.

    D’ailleurs tout le monde sait qu’il existe déjà et qu’il s’appelle Python. :)

  • [^] # Re: Parasitisme

    Posté par  . En réponse au journal Vous avez internet, vous financez la musique française. Évalué à -1.

    une bonne partie des oeuvres sont des impostures totales (un mur blanc ; une chaise avec deux clous etc.).

    Le mec qui a fait le mur blanc l’a fait précisément pour provoquer le discours que tu tiens.

    <mode philosophie du comptoir>Si son message était de faire passer l’idée que l’art c’est du vent, ben ça a magnifiquement marché sur toi. Mais alors se pourrait-il qu’avec un objet ne représentant rien, il arrive à faire passer un message artistique, que ce message artistique loin d’être nul (nul comme dans « égal à zero », pas comme « pourri »), a été parfaitement transmis ? Beau coup pour une soit disante imposture nan ? (et les plus perspicace d’entre vous auront noté le paradoxe du message passé qui nie son existence… enfin, je crois que j’ai perdu tout le monde là xD)</>

    Bon en même temps se foutre la gueule des collectionneurs contemporains qui vont acheter ça, ça n’a pas de prix. :)

    PS : là où il y a imposture c’est lors d’une affaire qui date maintenant où des gens avaient lacéré un tableau blanc, et où le soit-disant artiste les a poursuivi, signe qu’il ne voulait pas leur reconnaître une démarche tout autant artistique, et par là même que la sienne était juste du foutage de gueule. :/

  • [^] # Re: à ce point là ?

    Posté par  . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à -4.

    PS : Je relève au passage l'utilisation de "libre" tout seul. Pour moi c'est "logiciel libre".

    Oulà qu’est-ce que tu fais pas… Ici on parle pas français. J’ai même pas réussi à faire accepter à Zenitram l’adjectif « libre » tel que définit dans son acceptation courante, pas plus tard que cette semaine. ;) Et il m’a clairement fait comprendre que les subtilité linguistique qui visent à changer la sémantique d’un mot en fonction du contexte, il n’en voulait pas.

    Enfin… bon, ben… bon courage quoi…

  • [^] # Re: à ce point là ?

    Posté par  . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 3.

    Mea culpa, j’ai zappé pour SMTPS. À priori rien ne distingue Google d’un autre dans ce cas là.

  • [^] # Re: à ce point là ?

    Posté par  . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 5.

    D’ailleurs on est en plein dans un des travers du logiciel proprio. : on ne peut pas choisir et maîtriser ses outils, le fournisseur est imposé par le choix du webmail, alors qu’il n’y a techniquement pas de raison à cela… enfin… sauf cette histoire de tag avec imap… j’ai jamais bien su si c’était possible. Mais dans le cas contraire j’aurai préféré que Google s’attèle à la tâche de rendre l’opération standard et accessible.

  • [^] # Re: à ce point là ?

    Posté par  . En réponse au journal Linux Magazine 146 - suicide ou rachat par google ? . Évalué à 2.

    J’essaie de suivre, mais je ne sais plus de quoi on parle. SMTP (en envoi), le fournisseur de l’adresse (ie. la réception), IMAP/POP, et webmail sont quatres choses bien distinctes. On peut avoir l’un sans l’autre. Du coup je suis un peu largué .

    Le SMTP est fourni par le FAI, autant l’utiliser, il aura de toute manière accès à nos mails. Ce truc là est facile à configurer, plus dur à maintenir pour être certain de ne pas être blacklisté. Donc, pour le SMTP pour envoyer : quel est l’intérêt de Google ?

    La fourniture d’adresse et donc avoir un SMTP en réception est quelque chose d’un peu plus délicat, entre la nécessité d’être à l’écoute, donc allumé quasiment tout le temps et la protection contre les attaques (en passant sur ces histoires de DNS/MX&co auxquelles je pige que dalle). Là on se trouve un bon petit fournisseur qui propose un moyen de récupérer ces mails en IMAP/POP. Google n’est pas le meilleur de ce point de vue là, le FAI auquel on est lié par contrat (y’a-t-il une clause de confidentialité ?), certains franco-français gratuit à la politique de confidentialité plus claire par nécessité légale, etc. De plus il y a moyen de multiplier les fournisseurs (pour être moins dépendant).

    Par contre, lorsqu’il s’agit d’un serveur IMAP, et webmail c’est facile à installer et configurer. Je crois même que Dovecot marche clef en main. Roundcube est guère plus compliqué.

    Il reste quoi pour Gmail ? Aussi bien comme service gratuit aux particuliers que celui au entreprises, que je ne connais pas.

  • [^] # Re: Testé avec MAGEIA - Retour des commentaires JPEG ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche KDE SC 4.8 est disponible. Évalué à 3.

    Lorgne du côté de Digikam, lui a sa propre base de donnée et doit probablement pouvoir modifier les méta-données EXIFjpeg. En bonus il s’occupera de faire la synchro. avec la base de donnée kde (je suppose d’ailleurs que tu parles des commentaires Nepomuk).

  • [^] # Re: Mais !

    Posté par  . En réponse au journal OLPC XO 3 en approche. Évalué à 1.

    Et dans la deuxième vidéo, c’est pas un clavier qu’il branche ? :p

  • [^] # Re: Le rapport?

    Posté par  . En réponse à la dépêche La SACEM autorise l'utilisation des licences Creative Commons Non Commerciales. Évalué à -1.

    Tu veux changer le sens

    Ma critique de départ était que le sens de « libre » a été dévoyé par le monde informatique qui voudrait imposer maintenant sa définition ailleurs que dans le logiciel… -_-

  • [^] # Re: Le rapport?

    Posté par  . En réponse à la dépêche La SACEM autorise l'utilisation des licences Creative Commons Non Commerciales. Évalué à -2.

    Oh rassure toi, je n’ai pas oublié Wikipedia, veni, vidi, comme qui dirait. Va voir la page anglaise.

  • [^] # Re: Le rapport?

    Posté par  . En réponse à la dépêche La SACEM autorise l'utilisation des licences Creative Commons Non Commerciales. Évalué à -2.

    C'est ta définition, mais clairement pas le consensus.

    Ce n'est pas ma définition.

    Mais c’est la mienne.

    Alors comme le débat revient à chaque fois, et que c’est toujours le(s) même(s) qui le relance. Juste deux mots :
    — OSI comme dans “open source initiative” ;
    — FSF comme dans “free software fundation”.

  • [^] # Re: Même pas peur…

    Posté par  . En réponse au journal Synchroniser deux répertoires rdiff-backup. Évalué à 1.

    Oui, btrfs oublie, je ne me permet de l’utiliser que parce que c’est un usage personnel, pour seulement ~25 Go de données. Non seulement il n’y a pas de fsck (quoique il y a bien un utilitaire btrfsck, mais pas l’attendu fsck.btrfs — aucune idée de la différence entre les deux). Et contrairement à ce qui est indiqué un peu partout, j’ai eu la surprise de voir que le format n’est pas encore réellement stable : « As of 2.6.31, we only plan to make forward compatible disk format changes », et il faut un noyau récent qui plus est.

    Pour ce qui est des performances, je ne me risquerai pas à extrapoler sur des To, et d’autres ont mieux répondu que moi pour de gros volumes. Mais il ne faut pas oublier que pour la copie c’est toujours rsync --inplace qui travaille donc le gain en bande passante et écriture disque est toujours là. Là où j’avais peur c’était que la création des snapshots soit longue, mais en fait c’est quasi-instantanné (et je doute que ça dépende du volume). Je ne connais pas la surcharge liée au copy-on-write ou à la compression (là encore, pour un usage domestique avec une sauvegarde à travers l’usb qui se traîne à 30 Mo/s, je ne peut pas extrapoler avec une utilisation industrielle). Dans tous les cas je m’en tire avec de meilleures performances que rdiff-backup, sans avoir fait de mesures précises.

  • [^] # Re: Commentaires

    Posté par  . En réponse au journal Nouvelle version de Cinnamon, le fork de Gnome-shell de Linux Mint . Évalué à 2.

    Au contraire, une plateforme centralisée ne peut se permettre de donner des droits d’écriture au tout-venant car le risque de spam est plus important (plus de personnes potentiellement touchée). Alors qu’un petit projet avec son propre bug tracker peut ouvrir aux connexions anonymes les droits nécessaires.

  • # Même pas peur…

    Posté par  . En réponse au journal Synchroniser deux répertoires rdiff-backup. Évalué à 6.

    J’en profite pour y aller moi aussi de ma petite question, et ça pourrait donner des idées à ceux qui n’ont pas froid au yeux…

    Y’en a qui ont tenté d’utilise btrfs (ou tout autre système de fichier adéquat) comme système de sauvegarde ?

    Entre la compression à la volée et les snapshots avec le copy on write j’ai pu monter un système de sauvegarde simplissime. Il m’a semblé que ça consommait un peu plus de mémoire que rdiff-backup, par contre c’est beaucoup plus rapide et la méthode pour accéder aux fichiers est plus standard (pas besoin de faire appel à un programme, il suffit de parcourir l’arborescence).

    Voici la ligne de commande :

    mount /mnt/backup;rsync -av --inplace --delete --filter="merge $HOME/.rsync.pattern" ~ /mnt/backup/latest;[ -d /mnt/backup/`date +'%Y-%m-%d'` ]||sudo btrfs subvolume snapshot /mnt/backup/latest /mnt/backup/`date +'%Y-%m-%d'`;df -h;umount /mnt/backup
    
    

    /mnt/backup est le point de montage d’un volume btrfs appelé backup et latest est un sous volume. Tous les jours je créé un snapshot. La compression est une option de montage (zlib pour les sauvegardes). Et j’utilise le classique rsync pour faire la synchro.

    Après quelques jours ça se présente sous cette forme :

    ~ ls /mnt/backup 
    2012-01-14/  2012-01-15/  2012-01-16/  2012-01-17/  2012-01-18/  2012-01-19/  2012-01-20/  2012-01-21/  2012-01-22/  2012-01-23/  latest/
    
    

    J’améliorerai le système pour effacer les snapshots de plus de 1 mois, sauf ceux du premier de chaque mois, idem sur 1 ans, etc.

  • [^] # Re: C'est un peu comme l'hydre tout ça

    Posté par  . En réponse au journal Vers la fin du direct download ?. Évalué à 9.

    Sans oublier le transfert « dans la cours de récré » qui est encore le moyen le plus sûr et le plus rapide. :/

  • [^] # Re: fanboy

    Posté par  . En réponse au journal Bouygues Télécom se fait tout grognon à cause de Xavier Niel. Évalué à 8.

    Je n'ai jamais compris pourquoi l’appelant qui appelle un mobile doit payer le choix de l'appelé d'être sur mobile...

    Car l’appelé n’a pas le choix de l’appel.

  • [^] # Re: fanboy

    Posté par  . En réponse au journal Bouygues Télécom se fait tout grognon à cause de Xavier Niel. Évalué à 2.

    D’après ce que j’ai compris, oui, il refacture à X quand le destinataire de l’appel est chez lui et que l’émetteur est chez X.

    L’argument de la concurrence est celui développé par l’ARCEP, par définition le marché des terminaisons d’appel est monopôlistique (seul l’opérateur du réseau est en mesure de vendre les terminaisons d’appel de son réseau). Du coup :
    — il y a un effet de distorsion important lorsqu’un nouvel arrivant entre sur le marché, il faut qu’il rejoigne des parts de marché similaires aux autres, sinon il se fait entuber. Un prix des terminaisons d’appel multiplié par deux signifie qu’il faudra rejoindre des parts de marché au moins de moitié la moyenne des autres opérateurs, durant la montée des parts de marché free perd de l’argent !
    — l’ARCEP veut développer les offres fixes vers mobiles, quasi-inexistante à cause des terminaisons d’appel trop chère vers les mobiles, relativement à leur coûts respectifs bien entendu (une terminaison d’appel coûte plus vers un mobile que vers un fixe, mais il y avait une tendance à l’abus semble-t-il de la part des trois opérateurs mobiles).