Peut être est-ce la peur du 666 mais je ne comprends pas le conflit religieux qui empêche de faire du NAT66 ou du moins une masquarade 66?
En effet, admettons qu'une routeur serve de passerelle entre les internets et un réseau local et qu'il dispose d'un préfixe sur les internets donnant une grande plage d'ipv6 (par exemple si le nombre ipv6 disponible est très grand devant le nombre de machines réelles). Alors quel dogme l'empêche à chaque connexion sortante de la machine X du réseau local vers les nets de tirer au hasard une IP Y dans sa plage et faire une masquarade de Y vers X le temps de la connexion ? C'est beaucoup plus simple que du NAT44.
Est-ce que quelqu'un connaîtrait le nom de la voix off sur l'extrait de l'émission d'Arte ? J'ai l'impression que ce comédien à illustrer de sa voix beaucoup de reportages et documentaires scientifiques de ma jeunesse (petite larme).
L'apport du "deep" c'est justement le contraire: réduire le plus possible le "features engineering" effectué par des humains pour aller vers du "features learning" …
Merci de passer sous silence l’existence de gtkmm pour gobject ou de swift pour libobjc…
Clairement Qt est mieux foutu (aussi bien pour l'utilisateur que pour le dev) que GTK. Par contre, c'est vraiment la misère pour s'interfacer avec un autre modèle objet.
Le problème de Qt c'est qu'ils se veulent multi plates-formes et multi langages…
Le modèle QObject est une surcouche du modèle de C++ et donc cela impose que les autres langages puissent se contorsionner pour rentrer dans ce modèle.
En revanche, les modèles d'objets de GTK et de Cocoa (OpenStep),respectivement GObject et libobjc, sont écrits indépendamment d'un langage. Dans les deux cas tu peux écrire un programme en C pure si tu as envie (avec tout le glue code que cela implique) mais aussi contrairement à ce que tu indiques en langage de haut niveau type C++ ou objective-C ou SWIFT ou vala ou c# …
A ce moment là, la classe objet de base court-circuite le modèle objet propre au langage pour utiliser celui externe (ce qui relativement facile à faire). Ainsi tu codes en gtkmm (le binding c++ de gtk) comme si tu codais en c++ sans le glue code. Idem pour Cocoa en c++.
Comme effet de bord, ça permet de s'échanger des classes entre langages différents ce qui pour rappel n'est pas standard même entre deux compilos de c++.
Essayes d'utiliser une classe héritant de QObject écrite en Java dans un programme en python…tu vas pleurer.
L'utilisateur se fout de savoir à quel niveau d’abstraction se fait la persistance des données. Ce qu'il veut s'est juste retrouvé ses petits la prochaine fois qu'il ouvre le même logiciel.
Par contre, je pense 90% des développeur ont entendu parler sinon pratiqué la programmation orienté objet. Alors pourquoi en tant que programmeur on doit toujours se taper à la main:
*L'annulation des actions de l'utilisateur
*Le branchage, la fusion d'un graphe d'objets
*La gestion de version en générale
et choisir avec ses propres a priori entre:
*La sérialisation/désérialisation d'un graphe d'objets vers un fichier
*La persistance d'un graphe d'objets vers une BD (via ORM ou pas).
Ainsi pour moi, c'est pas à l'application mais bien à l'environnement desktop de l'utilisateur de décider comment se fait cette persistance.
Quelques pointeurs supplémentaires sur des projets qui vont dans le même sens:
* Gobject un gestionnaire d'objets agnostique du langage de programmation
* MMtk le gestionnaire de mémoire de llvm
* VMkit et VMkit2 ou comment factoriser le travail de différentes VM
Sauf erreur de ma part, le paradigme de fichier et de dossier est antérieur à la métaphore du bureau. Il même antérieur à l'informatique ! Il provient de la mécanographie et du traitement automatique des cartes perforées Source .
Mais encore une fois, on reste sur le troll hiérarchie vs tags, alors que le vrai débat c'était: Est-ce que le prog, il doit penser fichier ou objet pour faire la persistance de ces données ?
Si la réponse est objet, alors que tous les environnements possède un accès aux fichiers standardisé (cf stdio), rien de tel n'existe côté objet. Plein de petits bouts ici et là … mais c'est pas pensé et construit de façon cohérente.
Mettez un diamant Core Object au cou d'un vieux troll tout poilu, hiérarchie vs tags, vous êtes sûr que personne ne verra la pierre précieuse.
Trêve de plaisanterie, le dit Core Object permet d'intégrer très simplement les mécanismes d'un DVCS au sein de son application Desktop. La granularité de ce DVCS étant un objet et non pas un document, l'application gagne automatiquement un mécanisme undo/redo et un mécanisme d'édition collaborative.
En contrepartie, il faut déléguer la partie Modèle de son MVC à une bibliothèque externe.
C'est une réelle avancée pour le développement et la maintenance des applications. Imaginer donc, pour un traitement de texte par exemple, une fois écrit proprement l'UML de mon modèle de document et instancié ce modèle par ce mécanisme, le développement pourra se concentrer sur le contrôleur et la vue.
Problème, Core Object s’appuie sur la gestion des objets d'un langage / d'une VM précis en l’occurrence Objective C. Afin de pouvoir généraliser ces mécanismes, il faudra penser une plate-forme de gestion des objets commune aux différents VM, langages, et frameworks.
Il me semble inefficient (voir dangereux) que cette plate-forme commune soit uniquement disponible sous forme de SAS via Drive, iCloud, Dropbox…
Par contre, le niveau OS ou Desktop me semble tout à fait adéquat.
Il y a déjà des expérimentations en ce sens. Par exemple, l'interface graphique rio de Plan 9 s'appuie sur le VFS unique à chaque processus pour fournir un mécanisme équivalent. Chaque objet de l'UI d'un processus est représenté par un fichier dans son propre VFS.
Encore une fois les styles sont relégués à un plan secondaire…
Structurer un document et le faire à travers les styles c'est LA compétence à acquérir juste après la frappe au clavier et le déplacement de la souris.
Une fois que les gens ont pris l'habitude d'utiliser le formatage direct c'est trop tard.
Comme tu le dis si bien dans ta conclusion, ce qui favorise en premier une bonne orthographe c'est de lire beaucoup. En fait, une langue (et son orthographe) çà s'apprend en la pratiquant car c'est un processus statistique et non un processus à base de règle qui prévaut dans le cerveau.
Pour preuve c'est qu'il n'existe pas de corpus de règles simples et limitées qui génère une langue donnée.
Si on doit décrire le français, il s'agit de plus de 1000 règles (avec ou sans les exceptions je ne sais plus). Or Rablais n'a jamais eu en mémoire de façon consciente ou inconsciente ces milles règles lorsqu'il écrivit notre langue.
Non la grammaire n'est pas le fondement d'une langue, les humains parlaient et écrivaient avant que les linguistes existent. Il s'agit d'usages, de traditions de l'écrit ou de l'oral. Usages et traditions qui dans un contexte donné (période historique, milieu professionnel,…) aboutissent à un code de correction d'erreurs améliorant la communication.
Les ressorts du langage ne sont nullement des règles logiques, fixes et intemporelles. La grammaire est là pour faciliter l'apprentissage de ces traditions en créant de la simplicité dans la complexité pour en améliorer la compréhension (en fait çà c'est une définition de la Science en générale). La grammaire découle de l'usage mais ne le fait pas.
Cependant pour marcher droit, il faut des lois, avec le législateur immortelle qu'est l'Académie Française, pour bien insister sur le côté cartésien, logique, idéal et immuable. Ici, on fait une erreur en inversant le processus. Du coup, on pond des chimères horribles, sans vie, sans substance comme "cédérom".
Bref ce qui importe c'est que le message passe. Maintenant, si tu ne peux juger au-delà de l'apparence.
PS Il y a certainement plein de fautes, mais en fait je m'en f…
Premièrement, tous ce que tu cites peut être aussi supports de la raison.
Deuxièmement, en écrivant Les souffrances du jeunes Werther Goethe n'a pas voulu me pousser au suicide. Il a voulu provoquer chez ses lecteurs de l'émotion sans pour autant chercher à modifier leur comportement.
Troisièmement, ce qui est important c'est ce qui nourrit ton propre esprit, ce qui te rend plus libre et, élévation ultime, ce qui rend autrui plus libre.
Si je voulais nourrir le troll, je dirai que le forçage en prestidigitation çà existe. Pourquoi pas ailleurs…
Plus sérieusement ce qui s'adresse à la raison cultive le libre-arbitre, ce qui s'adresse à l'émotion nous asservit.
On devient libre parce qu'on à accès au code source, ce qui favorise notre compréhension et augmente ainsi notre raison (au sens de notre possibilité de décision rationnel).
Je suis pas sûr que les publicitaires attendent un comportement rationnel des consommateurs.
Ben en comparaison de mon expérience à l'international, je préfère le cadencement à la Suisse ou à la Belge. Sinon c'est vraiment pas trop bordelique.
Le bordel c'est surtout pour des liaisons qui partent ou viennent de Paris et des très grandes villes du fait de la saturation du réseau, ailleurs c'est très vivable.
Pour ce qui est des MVNO en téléphonie, çà n'a pas vraiment fonctionné en France, il a fallu un vrai opérateur pour que les choses commencent à bouger.
Pour ce qui est des rames, il n'y a pas que l’achat mais l'entretien et le maintient…
La réflexion a avoir reste est-ce que la concurrence est vraiment l'optimum économique dans les industries de réseau? On se retrouve avec des coûts pour le contribuable exorbitant pour maintenir une "fausse" concurrence. (subvention déguisé pour les opérateurs non historique via les tarifs spéciaux, prix d'achat par les collectivités ne correspondant pas du tout au coût du marché…)
Pour ce qui est des gares, si tu va faire un tour gare du Nord de Paris (4 opérateurs: eurostar, thalys, sncf et RATP) tu te rendras vite compte que pour des questions de coûts de gestions et d'entretiens, c'est en fait 4 gares dans un même lieu. Avec une séparation stricte des quais.
De plus, une gare au bout çà finit seulement par deux voies, il faut convenir des horaires d'arriver et de départ des trains. Tu me diras c'est pareil aux aéroports, mais les avions entre deux aéroports…ils sont libres, la ressource, le ciel, n'est pas rare. C'est très différents des voies. Il n'y a pas vraiment de marge de manœuvre entre la politique horaire d'une compagnie donnée, la politique horaire de l'opérateur de la gare et la politique horaire de l'opérateur des voies.
En outre, si ton opérateur de voies il fait payer aux coûts réels l'utilisation de sa voie, alors ton billet il peut tripler. Il faut pas oublier que le train, c'est pas juste un service que tu achètes en tant qu'utilisateur. C'est aussi un outil de gestion géographique (aménagement du territoire) et temporelle (gestion des naveteurs par exemple) , bref de service de communs (pour pas dire un service public) avec plein d'externalités positives (ou négatives) que le marché ne peut pas appréhender.
# NAT66 ou masquarade66
Posté par pepie34 . En réponse à la dépêche Protéger sa vie privée avec l’IPv6. Évalué à 3.
Peut être est-ce la peur du 666 mais je ne comprends pas le conflit religieux qui empêche de faire du NAT66 ou du moins une masquarade 66?
En effet, admettons qu'une routeur serve de passerelle entre les internets et un réseau local et qu'il dispose d'un préfixe sur les internets donnant une grande plage d'ipv6 (par exemple si le nombre ipv6 disponible est très grand devant le nombre de machines réelles). Alors quel dogme l'empêche à chaque connexion sortante de la machine X du réseau local vers les nets de tirer au hasard une IP Y dans sa plage et faire une masquarade de Y vers X le temps de la connexion ? C'est beaucoup plus simple que du NAT44.
# Voix Off
Posté par pepie34 . En réponse à la dépêche Michel Rocard : un ami des logiciels libres nous a quittés. Évalué à 1.
Est-ce que quelqu'un connaîtrait le nom de la voix off sur l'extrait de l'émission d'Arte ? J'ai l'impression que ce comédien à illustrer de sa voix beaucoup de reportages et documentaires scientifiques de ma jeunesse (petite larme).
[^] # Re: Machine learning #2
Posté par pepie34 . En réponse au journal AlphaGo remporte le premier match contre Lee Sedol. Évalué à 2.
L'apport du "deep" c'est justement le contraire: réduire le plus possible le "features engineering" effectué par des humains pour aller vers du "features learning" …
[^] # Re: C++ / Modèle Objet
Posté par pepie34 . En réponse au journal [Bookmark] Qt fête ses vingt ans. Évalué à 2.
C++ et langage X avec Qt çà va encore mais c'est quand il y a ménage à trois que le statut change pour "C'est compliqué"…
Et avec la volonté de Qt de pousser à ce que la vue soit codé en JS çà va arriver vite.
[^] # Re: C++ / Modèle Objet
Posté par pepie34 . En réponse au journal [Bookmark] Qt fête ses vingt ans. Évalué à 3.
Merci de passer sous silence l’existence de gtkmm pour gobject ou de swift pour libobjc…
Clairement Qt est mieux foutu (aussi bien pour l'utilisateur que pour le dev) que GTK. Par contre, c'est vraiment la misère pour s'interfacer avec un autre modèle objet.
[^] # Re: C++ / Modèle Objet
Posté par pepie34 . En réponse au journal [Bookmark] Qt fête ses vingt ans. Évalué à 8.
Premièrement attention gtk ≠ gtkmm ≠ gobject ≠ glib .
Le problème de Qt c'est qu'ils se veulent multi plates-formes et multi langages…
Le modèle QObject est une surcouche du modèle de C++ et donc cela impose que les autres langages puissent se contorsionner pour rentrer dans ce modèle.
En revanche, les modèles d'objets de GTK et de Cocoa (OpenStep),respectivement GObject et libobjc, sont écrits indépendamment d'un langage. Dans les deux cas tu peux écrire un programme en C pure si tu as envie (avec tout le glue code que cela implique) mais aussi contrairement à ce que tu indiques en langage de haut niveau type C++ ou objective-C ou SWIFT ou vala ou c# …
A ce moment là, la classe objet de base court-circuite le modèle objet propre au langage pour utiliser celui externe (ce qui relativement facile à faire). Ainsi tu codes en gtkmm (le binding c++ de gtk) comme si tu codais en c++ sans le glue code. Idem pour Cocoa en c++.
Comme effet de bord, ça permet de s'échanger des classes entre langages différents ce qui pour rappel n'est pas standard même entre deux compilos de c++.
Essayes d'utiliser une classe héritant de QObject écrite en Java dans un programme en python…tu vas pleurer.
# C++ / Modèle Objet
Posté par pepie34 . En réponse au journal [Bookmark] Qt fête ses vingt ans. Évalué à 0.
Le truc qui me peine vraiment avec Qt est que son modèle objet est fortement lié à celui du C++ .
Ca rend le binding difficile pour certains langages et en plus ca le prive de technos innovantes comme Core Data ou son équivalent libre Core Object.
Mon idéal serait donc un Qt reposant sur un modèle objet indépendant du langage. Et oui: gobject + Qt !
[^] # Re: Métaphore du bureau
Posté par pepie34 . En réponse au journal Pourquoi on est bloqué, vers où on va peut-être pas. Évalué à 2. Dernière modification le 31 décembre 2014 à 16:33.
Là je crois qu'il y a quiproquo.
L'utilisateur se fout de savoir à quel niveau d’abstraction se fait la persistance des données. Ce qu'il veut s'est juste retrouvé ses petits la prochaine fois qu'il ouvre le même logiciel.
Par contre, je pense 90% des développeur ont entendu parler sinon pratiqué la programmation orienté objet. Alors pourquoi en tant que programmeur on doit toujours se taper à la main:
*L'annulation des actions de l'utilisateur
*Le branchage, la fusion d'un graphe d'objets
*La gestion de version en générale
et choisir avec ses propres a priori entre:
*La sérialisation/désérialisation d'un graphe d'objets vers un fichier
*La persistance d'un graphe d'objets vers une BD (via ORM ou pas).
Ainsi pour moi, c'est pas à l'application mais bien à l'environnement desktop de l'utilisateur de décider comment se fait cette persistance.
[^] # Re: Expérience réussie
Posté par pepie34 . En réponse au journal Pourquoi on est bloqué, vers où on va peut-être pas. Évalué à 1.
Quelques pointeurs supplémentaires sur des projets qui vont dans le même sens:
* Gobject un gestionnaire d'objets agnostique du langage de programmation
* MMtk le gestionnaire de mémoire de llvm
* VMkit et VMkit2 ou comment factoriser le travail de différentes VM
[^] # Re: Métaphore du bureau
Posté par pepie34 . En réponse au journal Pourquoi on est bloqué, vers où on va peut-être pas. Évalué à 2.
Sauf erreur de ma part, le paradigme de fichier et de dossier est antérieur à la métaphore du bureau. Il même antérieur à l'informatique ! Il provient de la mécanographie et du traitement automatique des cartes perforées Source .
Mais encore une fois, on reste sur le troll hiérarchie vs tags, alors que le vrai débat c'était: Est-ce que le prog, il doit penser fichier ou objet pour faire la persistance de ces données ?
Si la réponse est objet, alors que tous les environnements possède un accès aux fichiers standardisé (cf stdio), rien de tel n'existe côté objet. Plein de petits bouts ici et là … mais c'est pas pensé et construit de façon cohérente.
# Expérience réussie
Posté par pepie34 . En réponse au journal Pourquoi on est bloqué, vers où on va peut-être pas. Évalué à 3.
Mettez un diamant Core Object au cou d'un vieux troll tout poilu, hiérarchie vs tags, vous êtes sûr que personne ne verra la pierre précieuse.
Trêve de plaisanterie, le dit Core Object permet d'intégrer très simplement les mécanismes d'un DVCS au sein de son application Desktop. La granularité de ce DVCS étant un objet et non pas un document, l'application gagne automatiquement un mécanisme undo/redo et un mécanisme d'édition collaborative.
En contrepartie, il faut déléguer la partie Modèle de son MVC à une bibliothèque externe.
C'est une réelle avancée pour le développement et la maintenance des applications. Imaginer donc, pour un traitement de texte par exemple, une fois écrit proprement l'UML de mon modèle de document et instancié ce modèle par ce mécanisme, le développement pourra se concentrer sur le contrôleur et la vue.
Problème, Core Object s’appuie sur la gestion des objets d'un langage / d'une VM précis en l’occurrence Objective C. Afin de pouvoir généraliser ces mécanismes, il faudra penser une plate-forme de gestion des objets commune aux différents VM, langages, et frameworks.
Il me semble inefficient (voir dangereux) que cette plate-forme commune soit uniquement disponible sous forme de SAS via Drive, iCloud, Dropbox…
Par contre, le niveau OS ou Desktop me semble tout à fait adéquat.
Il y a déjà des expérimentations en ce sens. Par exemple, l'interface graphique rio de Plan 9 s'appuie sur le VFS unique à chaque processus pour fournir un mécanisme équivalent. Chaque objet de l'UI d'un processus est représenté par un fichier dans son propre VFS.
# Les styles
Posté par pepie34 . En réponse à la dépêche Atelier traitement de texte LibreOffice Writer. Évalué à 8.
Encore une fois les styles sont relégués à un plan secondaire…
Structurer un document et le faire à travers les styles c'est LA compétence à acquérir juste après la frappe au clavier et le déplacement de la souris.
Une fois que les gens ont pris l'habitude d'utiliser le formatage direct c'est trop tard.
# Complément
Posté par pepie34 . En réponse au journal Une contre-histoire de l'Internet. Évalué à 3.
Les interviews du documentaire + celles non retenues pour la version TV sur youtube
Que du beau monde !
[^] # Re: Toc toc…
Posté par pepie34 . En réponse au journal Un flim de les Nuls ce soir (pour ceux qui le veulent bien). Évalué à 3.
poum poum
# Petite annonce et dialogue dans le dialogue
Posté par pepie34 . En réponse au journal Un flim de les Nuls ce soir (pour ceux qui le veulent bien). Évalué à 2.
Rech proj pour proj priv s'adrr a l'hot mart
Et plus si affinité.
Il nous détestait parque nous gagnions de l'argent et dans son optique prolétarienne le profit lui était insupportable.
[^] # Re: Œuf et poule, règle ou usage
Posté par pepie34 . En réponse au journal La langue française, un standard commun ?. Évalué à 1.
C'était une des fautes du PS, mais tu as bien compris de qui je parlais ?
Si non Lien Wikipédia
# Œuf et poule, règle ou usage
Posté par pepie34 . En réponse au journal La langue française, un standard commun ?. Évalué à 6.
Comme tu le dis si bien dans ta conclusion, ce qui favorise en premier une bonne orthographe c'est de lire beaucoup. En fait, une langue (et son orthographe) çà s'apprend en la pratiquant car c'est un processus statistique et non un processus à base de règle qui prévaut dans le cerveau.
Pour preuve c'est qu'il n'existe pas de corpus de règles simples et limitées qui génère une langue donnée.
Si on doit décrire le français, il s'agit de plus de 1000 règles (avec ou sans les exceptions je ne sais plus). Or Rablais n'a jamais eu en mémoire de façon consciente ou inconsciente ces milles règles lorsqu'il écrivit notre langue.
Non la grammaire n'est pas le fondement d'une langue, les humains parlaient et écrivaient avant que les linguistes existent. Il s'agit d'usages, de traditions de l'écrit ou de l'oral. Usages et traditions qui dans un contexte donné (période historique, milieu professionnel,…) aboutissent à un code de correction d'erreurs améliorant la communication.
Les ressorts du langage ne sont nullement des règles logiques, fixes et intemporelles. La grammaire est là pour faciliter l'apprentissage de ces traditions en créant de la simplicité dans la complexité pour en améliorer la compréhension (en fait çà c'est une définition de la Science en générale). La grammaire découle de l'usage mais ne le fait pas.
Cependant pour marcher droit, il faut des lois, avec le législateur immortelle qu'est l'Académie Française, pour bien insister sur le côté cartésien, logique, idéal et immuable. Ici, on fait une erreur en inversant le processus. Du coup, on pond des chimères horribles, sans vie, sans substance comme "cédérom".
Bref ce qui importe c'est que le message passe. Maintenant, si tu ne peux juger au-delà de l'apparence.
PS Il y a certainement plein de fautes, mais en fait je m'en f…
# Wayback Machine
Posté par pepie34 . En réponse à la dépêche LinuxFr.org fête aujourd'hui ses 14 ans. Évalué à 5.
Une des premières captures par Internet Archive.
Bizarrement
finger news@linuxfr.org
çà marche plus. En revanche on peut toujours consulter à peu près bien le site par lynx.[^] # Re: Publicité
Posté par pepie34 . En réponse au journal Obsolescence programmé = FOUTAISE. Évalué à 7.
Là on va partir loin dans la philo.
Premièrement, tous ce que tu cites peut être aussi supports de la raison.
Deuxièmement, en écrivant Les souffrances du jeunes Werther Goethe n'a pas voulu me pousser au suicide. Il a voulu provoquer chez ses lecteurs de l'émotion sans pour autant chercher à modifier leur comportement.
Troisièmement, ce qui est important c'est ce qui nourrit ton propre esprit, ce qui te rend plus libre et, élévation ultime, ce qui rend autrui plus libre.
[^] # Re: Publicité
Posté par pepie34 . En réponse au journal Obsolescence programmé = FOUTAISE. Évalué à 9.
Si je voulais nourrir le troll, je dirai que le forçage en prestidigitation çà existe. Pourquoi pas ailleurs…
Plus sérieusement ce qui s'adresse à la raison cultive le libre-arbitre, ce qui s'adresse à l'émotion nous asservit.
On devient libre parce qu'on à accès au code source, ce qui favorise notre compréhension et augmente ainsi notre raison (au sens de notre possibilité de décision rationnel).
Je suis pas sûr que les publicitaires attendent un comportement rationnel des consommateurs.
# Publicité
Posté par pepie34 . En réponse au journal Obsolescence programmé = FOUTAISE. Évalué à 1.
Ne lui suggère donc pas d'agir ainsi ?
Troll
Une activité qui vise spécifiquement a contourné le libre-arbitre des individus çà devrait être interdit.
Troll
[^] # Re: C'est dommage… pour l'effet de serre !
Posté par pepie34 . En réponse au journal Le nouveau programme de fidélité de la SNCF : Le programme Voyageur. Évalué à -1.
Justement, je revendique être un usager pas un client !!!
Si tu n'étais qu'un client, tu payerais 3 fois plus chers ton billet.
[^] # Re: C'est dommage… pour l'effet de serre !
Posté par pepie34 . En réponse au journal Le nouveau programme de fidélité de la SNCF : Le programme Voyageur. Évalué à 1.
Ben en comparaison de mon expérience à l'international, je préfère le cadencement à la Suisse ou à la Belge. Sinon c'est vraiment pas trop bordelique.
Le bordel c'est surtout pour des liaisons qui partent ou viennent de Paris et des très grandes villes du fait de la saturation du réseau, ailleurs c'est très vivable.
[^] # Re: C'est dommage… pour l'effet de serre !
Posté par pepie34 . En réponse au journal Le nouveau programme de fidélité de la SNCF : Le programme Voyageur. Évalué à 3.
Why not !!
Mais maintenant donne moi un pays ouvert a la concurence où ca marche ?
:)
[^] # Re: C'est dommage… pour l'effet de serre !
Posté par pepie34 . En réponse au journal Le nouveau programme de fidélité de la SNCF : Le programme Voyageur. Évalué à 1.
Pour ce qui est des MVNO en téléphonie, çà n'a pas vraiment fonctionné en France, il a fallu un vrai opérateur pour que les choses commencent à bouger.
Pour ce qui est des rames, il n'y a pas que l’achat mais l'entretien et le maintient…
La réflexion a avoir reste est-ce que la concurrence est vraiment l'optimum économique dans les industries de réseau? On se retrouve avec des coûts pour le contribuable exorbitant pour maintenir une "fausse" concurrence. (subvention déguisé pour les opérateurs non historique via les tarifs spéciaux, prix d'achat par les collectivités ne correspondant pas du tout au coût du marché…)
Pour ce qui est des gares, si tu va faire un tour gare du Nord de Paris (4 opérateurs: eurostar, thalys, sncf et RATP) tu te rendras vite compte que pour des questions de coûts de gestions et d'entretiens, c'est en fait 4 gares dans un même lieu. Avec une séparation stricte des quais.
De plus, une gare au bout çà finit seulement par deux voies, il faut convenir des horaires d'arriver et de départ des trains. Tu me diras c'est pareil aux aéroports, mais les avions entre deux aéroports…ils sont libres, la ressource, le ciel, n'est pas rare. C'est très différents des voies. Il n'y a pas vraiment de marge de manœuvre entre la politique horaire d'une compagnie donnée, la politique horaire de l'opérateur de la gare et la politique horaire de l'opérateur des voies.
En outre, si ton opérateur de voies il fait payer aux coûts réels l'utilisation de sa voie, alors ton billet il peut tripler. Il faut pas oublier que le train, c'est pas juste un service que tu achètes en tant qu'utilisateur. C'est aussi un outil de gestion géographique (aménagement du territoire) et temporelle (gestion des naveteurs par exemple) , bref de service de communs (pour pas dire un service public) avec plein d'externalités positives (ou négatives) que le marché ne peut pas appréhender.