Et la Freebox est pas forcement chez toi. T'es locataire ? Elle est chez ton proprio.
Superbe raisonnement.
En continuant un peu, on démontre facilement que si je pirate des DVDs et que je partage des MP3 depuis l'appartement que je loue, c'est mon propriétaire qui est le véritable auteur du délit.
En revanche si tu diffuse la zik dans ton salon, tu dois t'acquitter de rien du tout, c'est une utilisation privée
Analogie tronquée.
Si tu organises dans ton salon une diffusion avec des personnes extérieures à ton cercle privé, alors ce n'est plus le cas et tu tombes bien sous le coup du droit d'auteur.
Voici pour référence l'article de loi traitant de l'exception pour copie et représentation privée :
« Lorsque l'½uvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire :
1/ Les représentations privées et gratuites effectuées exclusivement dans un cercle de famille ;
2/ Les copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, à l'exception des copies des oeuvres d'art destinées à être utilisées pour des fins identiques à celles pour lesquelles l'½uvre originale a été créée et des copies d'un logiciel autres que la copie de sauvegarde établie dans les conditions prévues au II de l'article L. 122-6-1 ainsi que des copies ou des reproductions d'une base de données électronique »
Bonne chance pour démontrer que Free peut effectivement se prévaloir de cette exception... ;-)
Si un jour Iliad publie ses sources je crois que bcp seraient déçus.
C'est surtout une question de principe, et une jurisprudence importante aussi.
(mais s'il y a si peu de modifs et qu'elles sont si anecdotiques on se demande pourquoi ils renâclent tant à les publier ;))
donc ce paragraphe ne devrait par concerner Free car d'après elle il n'y a pas distribution...
C'est le point de vue de Free mais certainement pas celui de ceux qui ont lancé l'affaire, ni d'un certain nombre de personnes qui la commentent ici et là.
Effectivement si le juge décidait qu'il n'y a pas "distribution" au sens de la GPL, Free serait à coup sûr innocenté. Mais je serais personnellement estomaqué qu'il en soit ainsi.
de l'autre tu refuses de comparer Free et ces boites, ou reconnaitre qu'elles n'ont pas la même activité du tout.
D'une façon assez schématique IBM et Free vendent tous deux des services qu'ils fournissent en partie grâce à des logiciels libres. Je crois que la différence fondamentale se situe au niveau de la taille financière des deux entreprises : IBM peut sans problème se permettre de salarier quelques dizaines d'ingénieurs (chiffre pris au hasard, désolé) pour contribuer au libre à plein temps.
Sinon, je ne connais pas le business model de Novell (y en a-t-il encore un ?), quant à Microsoft là il est évident que c'est différent (ils vendent des licences plus que des services).
la freebox n'est pas louée ni achetée par l'utilisateur
Toujours la confusion entre "propriété intellectuelle" et propriété matérielle. (ce qui montre en passant la nocivité de la première dénomination)
Même si la freebox ne vous appartient pas, le logiciel lui est "copié" ou "distribué" lorsqu'il est fourni à l'utilisateur.
(pour une comparaison : si je passe une chanson à la radio, il n'y a pas transfert de propriété matérielle et pourtant je tombe quand même sous le coup du droit d'auteur)
Oui mais s'il trouve des ambiguïtés dans la licence il les résoudra en considérant l'intention du rédacteur de la licence (telle qu'exprimée dans le préambule par exemple), ainsi que celle de l'auteur du logiciel qui a choisi cette licence. En matière de droit d'auteur, tout ce qui n'est pas explicitement autorisé est interdit : Free n'a peut-être pas trop intérêt à vouloir jouer sur des ambiguïtés qui se retourneraient contre lui.
et il se trouve que les NAT dit "symétriques" sont infranchissables sans avoir un relai extérieur
Ce n'est pas qu'ils sont réellement infranchissables, c'est que le couple (IP, port) public change pour chaque pair contacté en UDP. Donc il est impossible pour un noeud (terminologie P2P) présent derrière un NAT symétrique de renseigner a priori ses pairs sur la façon de le contacter. S'il était possible pour ce noeud d'interroger le NAT pour déterminer à l'avance le couple (IP, port) public d'un futur mapping, le problème serait résolu. Si je ne me trompe, c'est à quoi sert la norme uPNP créée/soutenue par Microsoft.
Par ailleurs il faut savoir que la majorité des équipements utilisés par les particuliers (machin-box et compagnie) ne sont pas de type "NAT symétrique" mais "full cone" ou "restricted cone". C'est-à-dire que le couple (IP, port) public en UDP ne dépend que du couple (IP, port) privé correspondant et non du pair avec lequel on échange des messages. Dans ce cas on peut communiquer le couple (IP, port) à ses pairs après l'avoir déterminé grâce à un serveur fixe prédéfini.
Un problème plus coriace se pose quand le noeud se trouve derrière plusieurs NATs en cascade (c'est le cas si on utilise un modem-routeur personnel derrière un FAI qui attribue des IP privées à ses abonnés... il paraît que c'est le cas dans certains pays d'Asie).
mouaip, la différence est importante, c'est à cause d'elle qu'il existe un DEB_BUILD_OPTIONS=risky pour demander à ffmpeg la compilation du support de h264 ou mp3 en Encodage.
MPEG dans son ensemble est aussi soumis à brevets que MP3 (qui n'est d'ailleurs qu'un bout de spec MPEG), dont ça me paraît un peu surréaliste.
Codec : codeur-décodeur, i.e. un logiciel (ou matériel). Le codec est donc effectivement libre, même si dans certains pays les brevets logiciels peuvent amener à payer une licence pour l'exploitation de l'algorithme.
Je ne crois qu'ici on considère le MP3 comme libre
Le MP3 est un format avec des algorithmes associés, XviD est une implémentation.
MP3 n'est pas "libre" mais lame par exemple l'est.
Ben une rame de métro c'est relativement fiable : si elle part, elle arrive à peu près toujours à destination.
A ta place je me pencherais plutôt sur le qualificatif d'"asynchrone"...
Or, dans cette partie et en premier, elle insinue fortement que les responsables au moins indirects de ce genre de méfait (c'en est un) sont les partisans du logiciel libre et des licences type "Creative Comon", sans compter les utilisateurs de Wikipédia...
Elle n'insinue rien de tel (elle affirme au contraire une certaine proximité de vue avec ces mouvements), et sa réflexion est visiblement plus élaborée que ton indignation épidermique et injustifiée... Ce qui est marrant c'est que le fond de l'article, intéressant et sérieux, n'a même pas l'air de te toucher : tu réagis comme un petit soldat quand tu crois percevoir une critique contre la cause que tu défends, et le reste (questions de fond sur le réseau, la question d'identité...) t'est indifférent. Un conseil : enlève les oeillères...
(et puis essaie d'orthographier correctement "Creative Commons", par pitié)
Ensuite, je pense que tu peux au moins citer le cas de choses comme Mono, gnu classpath (au moins avant que Java ne soit vraiment libéré), les libc (qui ont des api -- voire des abi -- stables)
Oui bien sûr. Mais ces bibliothèques ne sont pratiquement jamais sous GPL, parce que le but est de fournir un socle stable pour toutes les applications.
(note : GNU classpath est sous GPL mais avec une exception bizarrement rédigée qui implique qu'on peut tout de même lier des applis propriétaires avec)
En fait, dès qu'on parle « standard » (bon, ça, pas forcément) mais surtout de normes, il n'y a plus rien à dire, GPL, BSD, ou proprio, par définition, il faut pouvoir « interchanger » les appels de fonction
Oui mais si tu regardes dans un /usr/lib par exemple, la plupart des libs ne sont pas des implémentations de standards.
(c'était déjà dans mon message précédent, j'en déduis que tu oublies de lire les messages auxquels tu réponds...)
quand tu me cites mais que tu oublies la partie où je fais comprendre que j'ironise gentiment
Oh, tu es fâché parce que je n'ai pas cité ton smiley ?
Blague à part, c'est mignon de supputer la bêtise sans comprendre que mon argument était de portée générale et non spécifique à pthreads.
Donc les implémentations libres ou proprio des pthreads n'ont pas la même api (voire abi) ?
Oui, et alors ? Il faut comprendre la portée d'une conditionnelle. Quand je dis "si une telle bibliothèque n'existe pas", ça veut dire qu'il faut examiner au cas par cas. S'il existe une implémentation des pthreads sous licence GPL, cela constitue un cas d'école intéressant. Mais la plupart des bibliothèques ("find /usr/lib -name *.so") n'ont pas d'équivalent interchangeable, parce qu'elles implémentent une API qui leur est propre.
-QEMU fait une émulation normale indépandante des OS hôtes et invités
Heu... Ici (sur ma Mandriva encore, je ne sais pas si c'est partout pareil), qemu détecte d'origine la présence de KVM (dans l'OS hôte donc) et l'utilise. Je ne sais pas si les performances sont équivalentes à celles de Xen, mais pour du code qui reste majoritairement en espace utilisateur on est proche de la vitesse native. Pour les I/O je ne sais pas.
[^] # Re: La démarche est vouée à l'échec
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Les auteurs d'iptable et de Busybox appellent Iliad/Free à respecter la GPL. Évalué à 6.
Superbe raisonnement.
En continuant un peu, on démontre facilement que si je pirate des DVDs et que je partage des MP3 depuis l'appartement que je loue, c'est mon propriétaire qui est le véritable auteur du délit.
[^] # Re: et les autres "boites" ?
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Les auteurs d'iptable et de Busybox appellent Iliad/Free à respecter la GPL. Évalué à 2.
Analogie tronquée.
Si tu organises dans ton salon une diffusion avec des personnes extérieures à ton cercle privé, alors ce n'est plus le cas et tu tombes bien sous le coup du droit d'auteur.
Voici pour référence l'article de loi traitant de l'exception pour copie et représentation privée :
« Lorsque l'½uvre a été divulguée, l'auteur ne peut interdire :
1/ Les représentations privées et gratuites effectuées exclusivement dans un cercle de famille ;
2/ Les copies ou reproductions strictement réservées à l'usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, à l'exception des copies des oeuvres d'art destinées à être utilisées pour des fins identiques à celles pour lesquelles l'½uvre originale a été créée et des copies d'un logiciel autres que la copie de sauvegarde établie dans les conditions prévues au II de l'article L. 122-6-1 ainsi que des copies ou des reproductions d'une base de données électronique »
Bonne chance pour démontrer que Free peut effectivement se prévaloir de cette exception... ;-)
[^] # Re: et les autres "boites" ?
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Les auteurs d'iptable et de Busybox appellent Iliad/Free à respecter la GPL. Évalué à 1.
Heu oui, et les clients Free, ils font partie de l'entreprise peut-être ?
[^] # Re: Kernal quasi pas modifié.
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Les auteurs d'iptable et de Busybox appellent Iliad/Free à respecter la GPL. Évalué à 4.
C'est surtout une question de principe, et une jurisprudence importante aussi.
(mais s'il y a si peu de modifs et qu'elles sont si anecdotiques on se demande pourquoi ils renâclent tant à les publier ;))
[^] # Re: Des précisions
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Les auteurs d'iptable et de Busybox appellent Iliad/Free à respecter la GPL. Évalué à 3.
C'est le point de vue de Free mais certainement pas celui de ceux qui ont lancé l'affaire, ni d'un certain nombre de personnes qui la commentent ici et là.
Effectivement si le juge décidait qu'il n'y a pas "distribution" au sens de la GPL, Free serait à coup sûr innocenté. Mais je serais personnellement estomaqué qu'il en soit ainsi.
[^] # Re: La démarche est vouée à l'échec
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Les auteurs d'iptable et de Busybox appellent Iliad/Free à respecter la GPL. Évalué à 1.
D'une façon assez schématique IBM et Free vendent tous deux des services qu'ils fournissent en partie grâce à des logiciels libres. Je crois que la différence fondamentale se situe au niveau de la taille financière des deux entreprises : IBM peut sans problème se permettre de salarier quelques dizaines d'ingénieurs (chiffre pris au hasard, désolé) pour contribuer au libre à plein temps.
Sinon, je ne connais pas le business model de Novell (y en a-t-il encore un ?), quant à Microsoft là il est évident que c'est différent (ils vendent des licences plus que des services).
[^] # Re: et les autres "boites" ?
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Les auteurs d'iptable et de Busybox appellent Iliad/Free à respecter la GPL. Évalué à 6.
Toujours la confusion entre "propriété intellectuelle" et propriété matérielle. (ce qui montre en passant la nocivité de la première dénomination)
Même si la freebox ne vous appartient pas, le logiciel lui est "copié" ou "distribué" lorsqu'il est fourni à l'utilisateur.
(pour une comparaison : si je passe une chanson à la radio, il n'y a pas transfert de propriété matérielle et pourtant je tombe quand même sous le coup du droit d'auteur)
[^] # Re: et les autres "boites" ?
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Les auteurs d'iptable et de Busybox appellent Iliad/Free à respecter la GPL. Évalué à 3.
[^] # Re: Video sous Linux dans Skype
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Polices STIX, sources de Multics et Skype ajoute la vidéo sous Linux. Évalué à 4.
Ce n'est pas qu'ils sont réellement infranchissables, c'est que le couple (IP, port) public change pour chaque pair contacté en UDP. Donc il est impossible pour un noeud (terminologie P2P) présent derrière un NAT symétrique de renseigner a priori ses pairs sur la façon de le contacter. S'il était possible pour ce noeud d'interroger le NAT pour déterminer à l'avance le couple (IP, port) public d'un futur mapping, le problème serait résolu. Si je ne me trompe, c'est à quoi sert la norme uPNP créée/soutenue par Microsoft.
Par ailleurs il faut savoir que la majorité des équipements utilisés par les particuliers (machin-box et compagnie) ne sont pas de type "NAT symétrique" mais "full cone" ou "restricted cone". C'est-à-dire que le couple (IP, port) public en UDP ne dépend que du couple (IP, port) privé correspondant et non du pair avec lequel on échange des messages. Dans ce cas on peut communiquer le couple (IP, port) à ses pairs après l'avoir déterminé grâce à un serveur fixe prédéfini.
Un problème plus coriace se pose quand le noeud se trouve derrière plusieurs NATs en cascade (c'est le cas si on utilise un modem-routeur personnel derrière un FAI qui attribue des IP privées à ses abonnés... il paraît que c'est le cas dans certains pays d'Asie).
[^] # Re: La dispariion
Posté par Antoine . En réponse au journal Liberez le magenTa !. Évalué à 4.
[^] # Re: Forteresse Digitale
Posté par Antoine . En réponse au journal La NSA prise la main dans le sac ?. Évalué à 10.
Les zozos de traducteurs n'ont pas compris qu'il fallait traduire par « Forteresse Numérique » ?
[^] # Re: Dans le privé
Posté par Antoine . En réponse au journal [H.S.] la france un pays de grévistes ? Pas si sûr.... Évalué à 2.
Heu, si ta boîte te demande de "rattraper" tes congés, je te conseille de changer de boîte... (à moins que tu sois à ton compte)
[^] # Re: Pas extraordinaire
Posté par Antoine . En réponse au journal Theora, the push for the 1.0 update. Évalué à 2.
MPEG dans son ensemble est aussi soumis à brevets que MP3 (qui n'est d'ailleurs qu'un bout de spec MPEG), dont ça me paraît un peu surréaliste.
[^] # Re: Pas extraordinaire
Posté par Antoine . En réponse au journal Theora, the push for the 1.0 update. Évalué à 3.
Tant que personne ne cherche à les poursuivre en justice il n'y a aucune preuve que ce soit "illégal".
[^] # Re: Pas extraordinaire
Posté par Antoine . En réponse au journal Theora, the push for the 1.0 update. Évalué à 6.
Pardon???
XviD n'est pas libre
Codec : codeur-décodeur, i.e. un logiciel (ou matériel). Le codec est donc effectivement libre, même si dans certains pays les brevets logiciels peuvent amener à payer une licence pour l'exploitation de l'algorithme.
Je ne crois qu'ici on considère le MP3 comme libre
Le MP3 est un format avec des algorithmes associés, XviD est une implémentation.
MP3 n'est pas "libre" mais lame par exemple l'est.
# fiabilité
Posté par Antoine . En réponse au journal RATP = Moyen de transport fiable. Évalué à 10.
A ta place je me pencherais plutôt sur le qualificatif d'"asynchrone"...
[^] # Re: technique, pas technologie
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Fedora 8: le loup-garou est lâché !. Évalué à 4.
C'est simplement un serveur de son...
# incompréhension
Posté par Antoine . En réponse au journal J'ai écrit à Libé... Évalué à 7.
Elle n'insinue rien de tel (elle affirme au contraire une certaine proximité de vue avec ces mouvements), et sa réflexion est visiblement plus élaborée que ton indignation épidermique et injustifiée... Ce qui est marrant c'est que le fond de l'article, intéressant et sérieux, n'a même pas l'air de te toucher : tu réagis comme un petit soldat quand tu crois percevoir une critique contre la cause que tu défends, et le reste (questions de fond sur le réseau, la question d'identité...) t'est indifférent. Un conseil : enlève les oeillères...
(et puis essaie d'orthographier correctement "Creative Commons", par pitié)
# pédonazis
Posté par Antoine . En réponse au journal Le domaine public et le droit d'auteur. Évalué à 10.
Il paraît que les pires d'entre eux utilisent OOXML et refusent de dire "GNU/Linux".
[^] # Re: Comment ça?
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Trophées du Libre 2007 : Les finalistes annoncés. Évalué à 2.
N'oublie pas non plus de signer la pétition contre OOXML.
[^] # Re: Architectures supportées
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Sortie d'OpenBSD 4.2. Évalué à 2.
Oui bien sûr. Mais ces bibliothèques ne sont pratiquement jamais sous GPL, parce que le but est de fournir un socle stable pour toutes les applications.
(note : GNU classpath est sous GPL mais avec une exception bizarrement rédigée qui implique qu'on peut tout de même lier des applis propriétaires avec)
En fait, dès qu'on parle « standard » (bon, ça, pas forcément) mais surtout de normes, il n'y a plus rien à dire, GPL, BSD, ou proprio, par définition, il faut pouvoir « interchanger » les appels de fonction
Oui mais si tu regardes dans un /usr/lib par exemple, la plupart des libs ne sont pas des implémentations de standards.
(c'était déjà dans mon message précédent, j'en déduis que tu oublies de lire les messages auxquels tu réponds...)
quand tu me cites mais que tu oublies la partie où je fais comprendre que j'ironise gentiment
Oh, tu es fâché parce que je n'ai pas cité ton smiley ?
Blague à part, c'est mignon de supputer la bêtise sans comprendre que mon argument était de portée générale et non spécifique à pthreads.
[^] # Re: Architectures supportées
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Sortie d'OpenBSD 4.2. Évalué à 2.
Oui, et alors ? Il faut comprendre la portée d'une conditionnelle. Quand je dis "si une telle bibliothèque n'existe pas", ça veut dire qu'il faut examiner au cas par cas. S'il existe une implémentation des pthreads sous licence GPL, cela constitue un cas d'école intéressant. Mais la plupart des bibliothèques ("find /usr/lib -name *.so") n'ont pas d'équivalent interchangeable, parce qu'elles implémentent une API qui leur est propre.
[^] # Re: Petite précision sur la NDM :
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Du nouveau chez ATI. Évalué à 4.
Tu as essayé l'option FastDragons dans ton xorg.conf ?
[^] # Re: nvidia rulez
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Du nouveau chez ATI. Évalué à 3.
C'est fait lors du premier démarrage du nouveau noyau (il y a un service dkms).
[^] # Re: nvidia rulez
Posté par Antoine . En réponse à la dépêche Du nouveau chez ATI. Évalué à 2.
Heu... Ici (sur ma Mandriva encore, je ne sais pas si c'est partout pareil), qemu détecte d'origine la présence de KVM (dans l'OS hôte donc) et l'utilise. Je ne sais pas si les performances sont équivalentes à celles de Xen, mais pour du code qui reste majoritairement en espace utilisateur on est proche de la vitesse native. Pour les I/O je ne sais pas.