Yuul B. Alwright a écrit 156 commentaires

  • [^] # Re: Le HS de la conclusion

    Posté par  . En réponse au journal Xz (liblzma) compromis. Évalué à -2 (+5/-8).

    Et j'ajouterai que si qqn estime que le travail bénévole d'un autre personne n'est pas suffisante, alors ce qqn peut contribuer, voir forker si nécessaire. Et si cette personne souhaite être rémunéré pour son travail et passer plus de temps sur le logiciel, alors ce qqn peut mettre en place un des business modèles disponible pour financer son travail.

    Ta solution sous entends que les dev qui ont choisis d'être bénévoles bossent pour qqn et donc doivent être embauché. Or ce n'est pas le cas: Il n'y a pas de lien de subordination entre ces deux parties.

    Si les personnes qui dev veulent avoir accès à des ressources, une fois de plus, logiciel libre ne veut pas dire gratuit. C'est a ces personne de mettre en place un business modèle adapté et ainsi recevoir les ressources qu'elles ou ils estiment nécessaire.

  • [^] # Re: Le HS de la conclusion

    Posté par  . En réponse au journal Xz (liblzma) compromis. Évalué à 4 (+6/-3).

    Si tu n'as aucune confiance dans les distributions commerciales majeures comme …

    Ce n'est pas ce que j'ai dit.

    Ce que j'ai dit, c'est ressource ou pas, bénévolat ou salariat, rien n'empêche une porte dérobée d'être insérée.

    Et encore une fois, personne n'a critiqué les bénévoles.

    Si, tu as dis que c'était une mauvaise chose que les personnes qui choisissent d'être bénévoles ne reçoivent pas d'argent.

    J'ai été bénévole et salarié sur des projets libres. Salarié, c'est bien pour l'argent mais pas pour les obligations qui viennent avec. C'est pour ça qu'a coté, j'ai aussi des projets bénévoles: Je peux y dev ce que je veux, au rythme où je veux, faire des pauses quand je veux.

  • [^] # Re: Le HS de la conclusion

    Posté par  . En réponse au journal Xz (liblzma) compromis. Évalué à -5 (+12/-18).

    Et ces employés à temps pleins fournis pourraient, à leur tour, incorporer des portes dérobés. Ça ne règle rien, sa conclusion est toujours HS.

    Quand aux projets fait bénévolement: C'est le choix des personnes qui les développent.

    Logiciel libre ne veux pas dire gratuit. Il existe différents business modèles possibles pour financer le développement d'un logiciel.

    Se plaindre que des gens qui choisissent le bénévolat ne sont pas payés, c'est quand même fort.

  • # Le HS de la conclusion

    Posté par  . En réponse au journal Xz (liblzma) compromis. Évalué à -10 (+15/-26).

    Si Xz avait été développé par une équipe salariée, la porte dérobée aurait toujours pu être insérée dans le logiciel.

    Si Xz avait été un logiciel propriétaire, ses restrictions auraient pu être utilisées pour empêcher une modification ou un fork de Xz.

    Ta conclusion fait un grand écart à faire pâlir Jean-Claude Van Damme.

    C'est dommage, le reste du journal est bien. Mais pas la conclusion. À un moment, faudrait arrêté de colporter la propagande bourgeoise qui milite pour une privatisation des biens communs.

  • # Sur la Xbox

    Posté par  . En réponse au lien Microsoft fait son xinput et banni les manettes tierces. Évalué à 4.

    Si j'ai bien compris, le ban concerne la Xbox.

  • [^] # Re: Tout est dans les détails

    Posté par  . En réponse au lien Arangodb veut passer son code sous BUSL 1. Évalué à 3.

    C'est tuer la concurrence de ne pas laisser les concurrents se servir de ton travail ?

    C'est aussi ce que pensaient mes anciens patrons: Par ce qu'ils ont eu le privilège de s'approprier un moyen de production, "par leur dure travail", je devais leur payer une rente à chaque fois que mon travail générait de la richesse.

    Sauf qu'avec le logiciel libre, on crée un bien commun. Avec lequel tout le monde peut fournir un travail et se faire rémunérer pour, sans avoir à payer une taxe.

  • # Petite erreur d'analyse

    Posté par  . En réponse à la dépêche Désolé, j'ai forké. Évalué à 7.

    Dans ce domaine, ce sont les géants de l’informatique qui font face aux clients finaux, comme Google, qui récoltent les bénéfices; et il arrive souvent que les créateurs des logiciels libres qui forment les fondations de Google et d’innombrables autres entreprises travaillent gratuitement.

    Je pense qu'il y a une erreur d'analyse sur plusieurs points.

    Pour commencer: Les "géants de l'informatique" ne récoltent pas les bénéfices du libre. Si une entreprise récolte de l'argent, c'est par ce qu'elle vent un travail. Que ce soit un service fourni, de la maintenance, du sur-mesure, de la distribution, etc. Bref, elles ne sont pas payées pour le logiciel mais pour la travail fourni.

    Et les "géants de l'informatique" existaient déjà avant que le logiciel libre ne soit populaire. Vu leur moyens, si elles n'ont pas un logiciel libre sous la main, "les géants" développent une solution maison et proprio pour leurs services. Et au final "ils" sont toujours là et on a moins de logiciels libres. Au moins, avec du logiciel libre, on peu se passer de ces géants et même plus facilement les concurrencer.

    Ensuite, le travail bénévole: Il est possible de gagner de l'argent avec du logiciel libre. Et de pleins de façons: Vente de services, sur-mesure, maintenance, formation, etc. Alors oui, on va rencontrer des difficultés. Mais on les rencontrera également si on fait du logiciel non libre, avec le même résultat.

    Quand les gens pensent à limiter les droits des logiciels qu'elles et ils développent, et à vendre des licences d'utilisation, ils et elles pensent tout de suite à Adobe ou Microsoft. Mais elles et ils oublient toutes les personnes, entreprises comme particuliers, qui se sont cassés les dents en vendant du logiciel privateur. Ce n'est pas par ce que tu mets en vente quelque chose que les gens vont acheter. Et tu vas rencontrer les mêmes difficultés qu'avec du logiciel libre: Des concurrents mieux connus, avec un marché captif, avec plus de capitaux, etc; Tu devra faire face aux mêmes discriminations sur tes revenus, ou l'accès aux écoles, au temps libre, aux capitaux ou à un réseau de clients potentiels, etc; Tu aura des clients qui ne voudront quand même pas payer et qui vont soit contourner tes mesures soit renoncer à utiliser tes logiciels.

    Et, si tu as un marché pour vendre une licence d'utilisation d'un logiciel non libre, alors tu as aussi un marché pour un financement participatif du développement d'un logiciel libre.

    Au final, si tu n'arrive pas à vivre d'un logiciel libre, tu n'arrivera pas à en vivre quel que soit le modèle de développement. Car les problèmes que tu rencontre ne peuvent pas être réglés avec un modèle de développement logiciel: Ils nécessitent de s'attaquer aux problèmes à leurs racines. Racines qui ne sont pas dans l'informatique. On ne peut pas tout régler avec une licence et de bonnes intentions. Le logiciel libre se charge de ce qu'on peut régler avec le logiciel.

  • # Arduino

    Posté par  . En réponse au lien Quand "Ouvert" devient "Opaque": le changement de visage des entreprises de "l'open-hardware". Évalué à 2.

    Avec cette article, je découvre qu'Arduino est aussi en train de mal tourner.

    J'avais hâte d'essayer la nouvelle Arduino, faut que je trouve une autre carte.

  • # Le closed-source ne sauvera pas

    Posté par  . En réponse au lien Quand "Ouvert" devient "Opaque": le changement de visage des entreprises de "l'open-hardware". Évalué à 7.

    Dans l'article, il est dit que pour certain, ou certaines, le passage au closed-source est là pour se protéger des clones.

    Mais passer au closed-source ne protégera pas des clones. Ça les retardera peu, voir pas du tout suivant les projets.

    Et si le système judiciaire du pays où sont vendu les objets s'en fiche, il sera impossible de faire respecter ses droits, quel que soit la licence.

    Donc passer au closed-source pour ça ne sert à rien. Soit c'est une erreur, soit il y a une autre raison pour le passage au closed-source.

  • [^] # Re: Le problème est-il dans l'énoncé ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche CRA: L’Europe va-t-elle jeter le bébé du logiciel libre avec l’eau du bain de la cyber-insécurité ?. Évalué à 2.

    L'étude d'impact identifiait d'ailleurs des domaines spécifiques, à savoir «Smart Manufacturing, Finance, Energy, Transport and Smart Home».

    Si tu as besoin d'un certain niveau de sécurité, tu fais appelle à des personnes ou une structure qui te la fournis contre rémunération. Mais développer un logiciel et assurer un certains niveau de sécurité peuvent être effectué par deux entités différentes. Entités qui peuvent collaborer.

    Et même si tu définit des domaines spécifiques, ça ratisse large car ça peut inclure tout noyau, toutes bibliothèques ou autre brique logiciel pouvant être utilisé dans ce domaine. Donc une bonne partie des logiciels libres existants.

  • [^] # Re: Le problème est-il dans l'énoncé ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche CRA: L’Europe va-t-elle jeter le bébé du logiciel libre avec l’eau du bain de la cyber-insécurité ?. Évalué à 0.

    C'est vrai qu'aujourd'hui il n'y a rien qui privilégie les plus gros industriels tiens… combien d'OS mobiles sont réellement utilisés et utilisables sans compromis majeurs ? combien de moteurs de navigateur web ? Puis la tendance avec l'IA ne va pas du tout dans cette direction…

    Donc ta solution pour combattre des privilèges c'est d'en établir de nouveau qui… profiterons aux même personnes.

  • [^] # Re: Le problème est-il dans l'énoncé ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche CRA: L’Europe va-t-elle jeter le bébé du logiciel libre avec l’eau du bain de la cyber-insécurité ?. Évalué à 2.

    Ce que dit Astaoth n'as rien d'une périphrase. Et ton exemple ne démontre pas de pillage.

  • [^] # Re: Le problème est-il dans l'énoncé ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche CRA: L’Europe va-t-elle jeter le bébé du logiciel libre avec l’eau du bain de la cyber-insécurité ?. Évalué à -1.

    Ah, rejeter tout un message pour un faute d'orthographe ?

    On en est là ?

  • [^] # Re: Le problème est-il dans l'énoncé ?

    Posté par  . En réponse à la dépêche CRA: L’Europe va-t-elle jeter le bébé du logiciel libre avec l’eau du bain de la cyber-insécurité ?. Évalué à 8.

    Hé ben, il faudrait peut-être commencer par là ? Les prix sont-ils maintenus artificiellement bas par l'exploitation d'une armée de développeurs de composants libres récupérés par des pillards dans le but de les commercialiser ?

    Quand une entreprise vent un appareil ou un service qui utilise un logiciel libre, ses salariés fournissent un travail et c'est ce travail qui est payé. Ce n'est pas un pillage.

    Le logiciel libre fait d'un logiciel un bien commun et plus un capitale qu'on exploite avec un modèle économique basé sur la rente. Le modèle économique basé sur la rente existe déjà, c'est le logiciel privateur, et il ne profite pas aux "petits créateurs" ou "petites créatrices" de logiciels.

    Mais il est plus que temps de cesser de se voiler la face, le monde de l'informatique est merdique avec une fuite complète de leurs responsabilités par les éditeurs. Dans tous les autres corps d'ingénierie, l'entreprise est responsable (de ses ponts, trains, voitures, avions…). Alors pourquoi est-ce-que dans l'informatique on jette un pudique voile d'irresponsabilité avec une licence ?

    Tu compare des objets physiques avec des idées ? Si je suis ta logique, on devrait limiter le droit d'écrire du code aux seuls personnes assez riches pour se payer des études d'ingénieur ? On doit interdire la réappropriation des outils pour des raisons de sécurité ?

    Qu'il soit exigé, pour certains domaines où la sécurité est importante, que les logiciels utilisés aient une certaines garantie que des personnes peuvent fournir contre rémunération est un bon choix.

    Par exemple: Qu'il soit demandé que les logiciels utilisés pour un tour de contrôle aient un certains niveau de sécurité et donc demandé à un prestataire d'assurer ce niveau de sécurité c'est une bonne chose.

    Mais imposer, pour chaque logiciel, des obligations qui limiteraient la possibilité de création à quelques industriels avec énormément de capital, c'est juste faire de la programmation un privilège qui ne pourra que servir les intérêt d'une haute bourgeoisie.

    Mais heureusement, sinon la solution est évidente : créer un projet bidon à côté, y coller tout le code, et avoir une entité en face qui le commercialise. Et qui s'appeleriot Android, comme disait la pub.

    Donc, pour éviter les abus d'industriels, établissons des règles qui privilégient les plus gros industriels ?

  • [^] # Re: Une des raisons pour laquelle j'aime le libre

    Posté par  . En réponse au lien Veuillez ne pas mettre mon code sur GitHub. Évalué à 7.

    Il y a des sujets qui me sont apparu ces 10 dernières années qui me paraissent au moins voir plus important que ce à quoi s’intéresse le libre.

    Le bon vielle argument du "y a pire ailleurs, donc laisse tomber ce que tu fais".

    C'est assez nul cet argument.

    La victoire culturelle écrasante du libre…

    Non, culturellement, c'est l'Open Source qui l'a emporté. Et pas d'une façon aussi écrasante que tu l'imagine. La culture libre, qui fait suite à la culture hacker, est loin d'être dominante ou même acceptée partout.

    …pousse beaucoup de gens à penser que ce qui est libre est "bien" (selon leur convention) et que tout ce qui est "bien" (toujours selon leur opinion) est libre.

    Tu fais un procès d'intention.

    Le logiciel libre est une des pratiques du mouvement hacker. Je parle du mouvement original, pas des fans de sécurité informatique ou des techno-bourgeois de la silicone vallée. Mouvement hacker qui considère que si on se sert de la technologie ça doit être pour émanciper les gens, pas pour les contrôler. Le logiciel libre étant issue du mouvement hacker, il en a hérité la culture et l'ambition. C'est le mouvement Open Source qui, pour les citer, "Veut les avantages techniques et financier du libre pour les entreprises, sans la politique". Et je pense que tu confonds le Logiciel Libre et l'Open Source.

  • [^] # Re: pas si different que ca

    Posté par  . En réponse au message numpy: Vecteur avec valeurs fausse après in ifft(fft()). Évalué à 3.

    Yep, c'était ça.

    J'ai pas pensé à convertir les types.

    Merci à vous 2.

  • [^] # Re: Les conteneurs, quand y en a un ça va, c'est quand il y en a plusieurs qu'il y a des problèmes

    Posté par  . En réponse au journal Alternatives à Docker (ou presque). Évalué à 1.

    les Dockerfile qui ne marchent pas toujours et qu'il faut modifier à la main, par exemple on doit faire un appel explicite à Bash si on veut lancer une commande dans un conteneur.

    J'ai souvent écrit des Dockerfile utilisés avec Podman et je n'ai pas rencontré ce problème. Les instructions run et cmd n'ont aucun appelle explicite à Bash.

    il faut également expliciter un port en entrée et pas seulement en sortie sinon Podman en attribue un aléatoirement

    Tu parle de l'option -p ? Comme avec Docker, il faut préciser le port de l'interface ainsi que celui dans le conteneur vers lequel les requêtes sont redirigée.

  • [^] # Re: Les conteneurs, quand y en a un ça va, c'est quand il y en a plusieurs qu'il y a des problèmes

    Posté par  . En réponse au journal Alternatives à Docker (ou presque). Évalué à 3.

    Je n'avais jamais utilisé les Extension fields dans un fichier compose. Mais l'option logging est lui compris par Podman-compose.

    Dans le pire des cas, il est toujours possible d'activer la simulation du socket Docker par Podman et d'utiliser directement Docker-compose. Mais je n'ai pas encore essayé cette solution.

    Coté réseau, quel problème rencontre-tu ?

    De mon coté, j'ai remplacé les fichiers compose par des playbook Ansible où j'indique comme hôte localhost. Comme de toute façon Ansible sera utilisé pour le déploiement sur les serveurs, et que dans les deux cas, compose et playbook, on décrit une stack de conteneurs et leurs ressources au format YAML, j'ai préféré supprimer une étape qui me semble redondante.

    Avec tout les modules disponibles, j'ai plus de possibilité avec un playbook qu'avec un fichier compose. Notamment la création de fichiers à partir de templates, l'exécution de commandes arbitraires dans un conteneur déjà lancé ou l'exécution de tâches dans certaines situations avec les handlers.

    Le playbook est écrit pour créer tout les conteneurs dans un pod et pour les mettre à jour en cas de ré-exécution du playbook. Pour l'arrêt et la suppression de la stack de conteneurs, je peux simplement arrêter puis supprimer le pod. Pour supprimer les volumes, réseaux ou images inutilisés, il y a une commande prune pour chacune de ces ressources.

    Le playbook sert également d'exemple pour celui qui servira à au déploiement sur les serveurs.

  • [^] # Re: Drôle de saisie

    Posté par  . En réponse au journal Alternatives à Docker (ou presque). Évalué à 3.

    Sur mon écran, les retours à la ligne ne m'ont pas semblé poser un problème. Que ce soit sur la prévisualisation ou le journal final. Et j'y ai pas prêté d'attention particulière.

    Pour le bloque de code, j'ai essayé d'enlever les triples back-quotes et d'utiliser le bouton "Code Block" de l'éditeur de LinuxFR. Je me suis retrouvé avec tout le reste de l'article sous forme de code block alors que sur le texte source seul l'exemple de configuration était indenté.

  • [^] # Re: Drôle de saisie

    Posté par  . En réponse au journal Alternatives à Docker (ou presque). Évalué à 2.

    Cette manière à l'arrache de faire en surfant sur une polémique du moment, personnellement je trouve pas ça incroyable.

    Tu me prêtes des intentions que je n'ai pas. J'ai créé ce journal pour réunir une bonne partie de ce que je pourrai répondre sur les réseaux et ainsi éviter de me répéter.

  • [^] # Re: Drôle de saisie

    Posté par  . En réponse au journal Alternatives à Docker (ou presque). Évalué à 2.

    Le problème, c'est pas tant l'outil que j'ai utilisé, mais plutôt mon cerveau qui à l'habitude de faire le même raccourcis clavier quand je termine un paragraphe. C'est un automatisme.

    La plupart du temps ça ne cause pas de problème. Mais pour LinuxFR j'ai simplement copié le texte au format Markdown. Au moment de prévisualiser, j'ai pas fait attention à ce point.

  • [^] # Re: Rien à voir ?

    Posté par  . En réponse au journal Alternatives à Docker (ou presque). Évalué à 2.

    J'ai mal précisé ma phrase. Ça m'apprendra à pas me relire.

    Les demandes que j'ai lut concernaient autant le Hub que le moteur et ce qui va autour.
    J'ai donc commencé à lister ce que j'utilisais et aussi ce que je connaissais sans avoir testé.

    C'est pour cela que ce journal parle autant de Podman, le moteur, que d'outils comme Skopeo.

    Pour le Hub, je n'ai pas parlé de services car j'en connais que deux autres: Un par Red Hat et l'autre par Microsoft. Et que les problèmes rencontrés avec Docker Hub peuvent aussi s'y produire. À la place, j'ai parlé de deux logiciels qui peuvent servir à s'auto-héberger.

  • [^] # Re: C'est tabou de payer pour du logiciel libre ... même pour les libristes :.(

    Posté par  . En réponse au journal Docker supprime l'accès gratuit aux groupes et organisations. Évalué à 4.

    Ce qui est reproché, ce n'est pas temps de faire payer. C'est plutôt de faire payer les projets libres indépendamment de leur moyens, la façon dont c'est fait et annoncé.

    Si, pour les projets libres, on avait un prix basé sur les moyens de l'organisation, ça passerait déjà mieux.

    Et d'après ce journal, on peut ne pas être éligible au Open Source Program si on propose des services à coté ou le financement de fonctionnalités supplémentaire.

    Par exemple, Peertube de Framasoft, avec un financement participatif, ne serait pas éligible au Open Source Program de Docker. Pourtant, Framasoft n'est pas une multinationale capitaliste.

  • [^] # Re: Libriste

    Posté par  . En réponse au lien Element doit licencier 15% de ses effectifs, le modèle opensource remis en question. Évalué à 2.

    Personne n'a dit que le logiciel libre ne marche pas.

    Ce n'est pas ce que j'ai compris en lisant tes propos:

    Pourtant c'est ce qui arrive systématiquement chaque fois que des gens qui proposent du logiciel libre échouent à pérenniser leur projet

    Peut être compris comme "Si c'est du libre, c'est un échec". Ce n'était peut-être pas ce que tu voulais dire, mais c'est ainsi que ça a été compris.

    Autre exemple d'idées plaquées au forceps. J'ai parlé de réussir à pérenniser et vivre de son travail n'a rien à voir avec le capitalisme.

    Et ma précision était pour l'usage de "échec" et "réussite" en générale, pas nécessairement pour le cas dont tu parle.

    Pour rappel le capitalisme ce n'est pas l'économie.

    Et ce n'est pas ce que j'ai dit.

    D'une part tu n'a pas accès à tous les tenants et les aboutissants c'est un jugement fait à partir de bribes d'informations et d'autres part dire qu'ils ne sont intéressés qu'à l'argent ou, comme tu semble vouloir le faire, amalgamer avec le capitalisme n'a rien de factuel.

    Je répondais pour la situation en générale, afin de suivre le périmètre (pas sur que ce soit le bon mot) de ton précédent message.

    J'exige ? Non je critique ceux qui sont plus prompte à juger qu'à s'intéresser aux difficultés voir à soyons fous à être compatissant.

    Non, tu exige en essayant de décrédibiliser les personnes ayant un désaccord avec toi en les faisant passer pour des personnes froides, voir cruelles.

    Je leur interdit de se défendre ? Ils ne peuvent ni me répondre ni me moinsser ? Je me découvre une autorité.

    Tu sais très bien qu'il existe des procédés rhétoriques dont l'utilité est de décrédibiliser une opinion, ainsi que toute tentative de la défendre, avant même qu'elle ne puisse être discutée. Ainsi, dès que cette opinion est discutée, elle n'est pas prises au sérieux. Enfin, si ton procédé rhétorique fonctionne.

    Mais oui j'affirme sans me cacher que les libristes

    Une victimisation afin de te faire passer pour un héro. C'est pas honnête. Mais personne ne te persécute, personne ne te force à te cacher.

    ceux qui se définissent comme ça et à évidemment ceux qui se sentent militants se comportent plus comme des intégristes.

    Je crois que ça s'appelle un argumentum ad personam ce que tu fais ici. Mais j'ai une mauvaise mémoire des noms, peut-être que je me trompe de nom.

    Ils cherchent à savoir qui est le mauvais ne croyant pas au copyleft et bien sûr mènent une guerre face à quiconque oserait dire qu'il n'arrive pas à faire du logiciel libre.

    Non, les libristes sont en désaccord avec toi et ça te plais pas.

    Tu vois le côté blasphème ? Décrire ce qui n'a pas fonctionner dans un modèle utilisant du logiciel libre ce n'est pas blâmer le libre.

    Quand tu sous-entends que le problème qui a mené à cette échec c'est le libre lui-même, oui tu pointe le libre comme le problème.

    Considérer que dès que le logiciel libre est blâmé quand on parle de ce genre de difficulté, c'est une sacralisation.

    Et tu confirme bien que c'est le logiciel libre que tu considère comme le problème à l'origine de la situation. Il n'y a ni sacralisation, ni "biosphérisation" à relever ça dans tes propos. Un simple désaccord où tu essaye de décrédibiliser les personnes en face pour pas que ta position ne puisse être remise en question. Ah, je crois que tu fais une sacralisation de ta position.

    Et tu montre un exemple de comment les libristes sont promptes à juger celui qui échoue.

    Je ne juge pas.

    Le libre n'est qu'un faire valoir pour lui, il a un problème d'égo,…

    Ce n'est absolument pas ce que j'ai dit. Je vais répéter ce que j'ai écrit:

    "Quand une personne utilise sincèrement le libre, mais ne réussi pas à atteindre les objectifs qu'il ou elle s'est fixée et qu'il ou elle décide de blâmer le libre plutôt que de reconnaître ses erreurs, alors cette personne à un problème d'égo."

    Bon, la fin de ton message est du même style. Avec en prime une citation de biais qui est hors sujet.

    Tu m'accuse de faire ce que tu fais, c'est assez sale et une perte de temps. De plus, ton mille feuille argumentatif était indigeste. Pas envie de continuer ce qui n'est pas une discussion. Et j'ai une nuit à rattraper. Bonne nuit.

  • [^] # Re: Libriste

    Posté par  . En réponse au lien Element doit licencier 15% de ses effectifs, le modèle opensource remis en question. Évalué à 5.

    Pourtant c'est ce qui arrive systématiquement chaque fois que des gens qui proposent du logiciel libre échouent à pérenniser leur projet et expliquent comment leur modèle n'a pas fonctionné.

    Ce n'est pas par ce que des projets "échouent" en faisant du logiciel libre que le problème vient du logiciel libre. D'autres projet à base de logiciel libre "réussissent", ainsi que d'autres projets à base de logiciel propriétaire "échouent".

    D'ailleurs, quand on s'opposent au logiciel privateur, ce n'est pas par ce que des projets à base de logiciel privateur "échouent". Ce n'est pas le sujet de notre opposition.

    De même, quand on défend le logiciel libre, ce n'est pas dans le but que chaque projet "réussissent" du point de vue des personnes le font: C'est pour pouvoir créer un bien commun qu'on défend le logiciel libre.

    (J'ai placé les "échouer" et "réussir" entre guillemets, car l'échec et la réussite est quelque chose de très subjectif et on a trop tendance utiliser les définitions du capitalisme.)

    Je ne vois jamais la moindre empathie, jamais une quelconque volonté d'écouter un retour d'expérience, mais systématiquement une réaction relativement belliqueuse de personnes se sentant pris à parti.

    Écouter des retours d'expérience c'est une chose, être d'accord ou pas s'en est une autre. Mais quand, factuellement, quelqu'un se trompe, on va pas mentir pour lui faire plaisir.

    Ce que tu exige ce n'est pas d'écouter, mais d'être d'accord sans discuter. Ce n'est pas comme ça que fonctionne un échange d'idée.

    Pour un libriste qui se veut militant du logiciel libre voir quelqu'un dire que sont idéologie n'a pas marché et blasphématoire.

    Tu essaye d'associer les libristes à des fanatique religieux, sans preuve, afin de les discréditer sans même leur laisser le droit de se défendre sur ce point. Encore un procédé très sale dont j'ai oublié le nom.

    Non seulement il répond en s'attaquant aux compétences du projet (ils ne comprennent pas le libre), mais aussi en s'attaquant aux personnes. En effet systématiquement ils sont pointé du doigt comme étant intéressé que par l'argent, qu'ils préfèrent faire de l'argent plutôt que du libre etc

    Quand une personne utilise le libre comme un outils promotionnel, en exigeant un retour sur investissement, puis sort une injonction à stopper le libre pour tout le monde si ça ne fonctionne pas pour lui ou elle, alors oui: Cette personne n'est pas intéressée par le libre mais par l'argent.

    Quand une personne utilise sincèrement le libre, mais ne réussi pas à atteindre les objectifs qu'il ou elle s'est fixée et qu'il ou elle décide de blâmer le libre plutôt que de reconnaître ses erreurs, alors cette personne à un problème d'égo. Ou alors cette personne vit avec un entourage ne lui autorisant aucune erreur. Dans un tel cas, je conseille à cette personne de prendre ses distance avec cet entourage toxique. Mais je sais d'expérience que ce n'est pas toujours possible. Cela dit, c'est un autre sujet.

    Mon commentaire est là pour tenter d'éviter ou en tout cas pousser les commentaires classiques à un peu plus argumenter. Parce que ça fait plus de 10 ans que je vois systématiquement le même comportement et qu'au mieux je trouve ça fatiguant au pire je trouve certains comportements tout à fait problématiques.

    Ou alors ça fait 10 ans que les libristes ont déjà contredit les même arguments faux ou fallacieux et que les libristes en ont marre des injonctions à se justifier de leurs opinions.
    Du coup, les libristes vont aux conclusions qu'ils et elles ont déjà démontrés depuis 10 ans.