Le pourquoi est de l'ordre de la philosophie, la religion c'est plutôt le parce que <la super réponse à tout, par exemple « dieu »>.
La religion me semble être d'ailleurs une cristallisation de science. Ce qui démarque la science d'une religion, c'est avant tout la possibilité de pouvoir remplacer une théorie quand celle-ci ne prédit plus convenablement ce que l'on observe dans l'expérience. Il me semble que les contraintes qu'imposent la science à l'acceptation d'une théorie sont :
* la cohérence interne ;
* la validité des prédictions dans l'expérience.
Aussi une théorie scientifique ne nous révèle pas « la vérité », mais nous offre des modèles prédictifs dont la fiabilité à été vérifié dans des contextes expérimentaux donnés. Cela ne garantie pas que ces modèles sont fiables de manière absolue, en tout lieu-moment de l'espace-temps.
La religion, puisqu'elle sacralise sa théorie, va plutôt chercher à justifier les anomalies par des réinterprétations de plus en plus abracabrantesques, et/ou par l'ajout de paramètres les justifiant. Bien sûr la religion est détentrice d'une vérité absolue et ne saurait être remise en question.
La spécialisation est une tendance forte, certes (qu'on doit s'en doute beaucoup à «l'organisation scientifique (sic) du travail»), de là à dire qu'il n'y a plus d'esprit sur cette planète qui ont une vision transversale de plusieurs domaines, ça me semble un peu pessimiste.
Le saucissonnage de travaux à fait les preuves de ses limites (« the mythical man month »).
En fait les premières écritures numérales sont dites additives, on coche un trait sur le bâton pour chaque bête du troupeau. Comme on arrive rapidement plus à distinguer de façon immédiate la répétition d'un motif, on utilise des tas pour regrouper des éléments plus petits.
Bien sûr on ne compte pas forcément sur un bâton, ainsi la base 5 des khmers viens certainement des 5 doigts de la main. Tout comme note base 10 d'ailleurs.
La base 20 (en France on dit encore quatre vingt [je crois que les suisses disent octante]), 60 chez les babyloniens en autres (système qu'on utilise encore dans les minutes, secondes, la mesure en degré du cercle [360=6*60]) et même du 20, 360, 7200 chez les mayas.
Une seconde notion fut celle de l'importance de la position des symboles dans le nombre déterminant le rang. Les premiers systèmes du genre (babylonien) posant quelques difficulté avec des espaces en guise zéro intermédiaires, pouvant conduire à plusieurs interprétation possible dans certains cas.
En tout cas en français, à l'oral tout du moins, on fait vraiment un gros mixe de bases, on commence par une base hexadécimal (un, …, seize), puis un peu de décimal (dix sept), puis vigésimal (vingt)… Franchement à l'oral cela n'a rien d'évident que nous utilisons une base décimale.
Ça me fait d'ailleurs pensé que ce que je veux est encore plus précis : je veux un mot désignant un nombre d'un seul chiffre et inférieur au nombre d'élément constituant la base. Cela exclu les nombre composé d'un seul chiffre qui représenterait une dizaine, centaine, etc. dans la base utilisé.
Par exemple le chiffre romain X est un nombre d'un seul chiffre qui ne constitue pas dans la base décimal un nombre (strictement) inférieur au nombre d'éléments constituant la base. Que je sache, bien que cela s'avère certainement plus pratique, rien n'oblige à écrire ses nombres avec un nombre de chiffre égal à la base qu'on utilise (on peut avoir Card(E)≠B, avec E l'ensemble des chiffres et B la base).
Puisqu'il s'agit de nombre dont la caractéristique discriminante est définie sur la base, un mot ayant « bas(e) » comme racine me semble approprié. Pourquoi pas un(e) basique, je vois que le wiktionnaire propose déjà cette définition :
1. (Chimie) Qui concerne les bases, qui en a les propriétés.
* La soude caustique est une solution basique.
La définition s'appliquerait remarquablement bien aux objets mathématiques présentaient ci-dessus, sans rien changer (évidemment en chimie les bases ont un tout autre sens, mais qu'importe).
Je parlais bien entendu d'un mot unique, non-composé (genre nombre-à-un-chiffre), désignant un nombre à un chiffre. Mais je suis sûr que tu l'avais bien compris, espèce de chipoteur. :)
Chiffre et nombre m'ont l'air de bien désigner ce qui j'ai appelé digit et chiffre, si ce n'est qu'un nombre peu comporter plus d'un chiffre. Donc, je me demande y-a-t-il un nom pour les nombres d'un seul chiffre ?
Ça n'a pas l'air tout à fait ça. Tu as bien des monosyllabes, mais la consonne n'indique pas le rang.
Je vois que le professeur Shadoko à pensé à un zéro opératoire dans sa base 4 (quadrinaire ?), ce qui est pas si mal pour quelqu'un qui a des « moyens intellectuels limités », sachant que chez les humains on ne trouve pas trace d'une telle chose avant le IVe siècle (où il apparaît en 458, en Inde, dans le Lokavibhâga, « Les parties de l'Univers »).
Ok, donc problème n'est pas le nombre de syllabes, est-ce des phonèmes distincts alors ? Bref, je ne suis pas certain du vocabulaire.
En tout cas pour prononcer quatre, il me faut deux mouvements distincts et physiquement discrets. Trois nécessite également deux mouvements distincts mais physiquement continues. C'est à dire que la position des organes phonétiques ne me semble pas avoir besoin de retourner à une position antérieur pour la vibration du /ʁ/ (comme c'est le cas dans ma prononciation de quatre) mais continuent dans leur lancé.
C'est juste pour faire la distinction entre le chiffre en tant qu'élément d'une base, et le chiffre en tant que nombre composé uniquement d'une unité. S'il y a déjà des mots distincts pour ces deux objets, je ne les connais pas, et je veux bien qu'on me les communique.
Bah il suffit de faire un fork et de créer des graphismes alternatifs, voir pourquoi pas une nouvelle histoire.
Certes le jeu entièrement en libre aurait été plus plaisant, mais les sources du code c'est mieux que rien. Moi je ne doute pas que d'ici quelques temps on ai des dérivés dans nos distributions préférés, tout comme on y trouve maintenant des nexuiz et autres open arena basés sur les moteurs de quake.
Il faut voir aussi que des pointures comme Sallman aident pas beaucoup en mettant en exergue la dichotomie (àmha totalement artificielle) entre œuvre « artistique » et « technique ».
In addition, GNU IceCat includes some privacy protection features, included in a separate addon:
1. Some sites refer to zero-size images on other hosts to keep track of cookies. When IceCat detects this mechanism it blocks cookies from the site hosting the zero-length image file. (It is possible to re-enable such a site by removing it from the blocked hosts list.)
2. Other sites rewrite the host name in links redirecting the user to another site, mainly to "spy" on clicks. When this behavior is detected, IceCat shows a message alerting the user.
Bah comme un bourrin j'ai mis noapic nolapic noacpi routeirq. J'avais pas le temps de regarder la doc, là je suis pas chez moi pour tester un à un, et la semaine prochaine c'est RMLL alors ça attendra mi-juillet.
Je ferait également le test mem86, je te tiens au courant si ça t'intéresse.
Donc faut venir chez toi pour presser sur ta touche shift ? C'est avec une IP codé en dur dans du code généré automatiquement qu'il ne faut pas éditer à la main que cette fonctionnalité est implémenté ? :)
Le problème de la preuve, c'est quel repose toujours sur des axiomes arbitraires.
Par exemple, « je pense donc je suis », repose sur deux axiomes :
* je (d'ailleurs, si « je », alors « je suis », ici c'est vraiment de la tautologie, mais je ne sais pas si « cogito ergo sum » relève du même sophisme) ;
* l'existence conditionné par la logique (donc/alors…).
En effet qu'est-ce qui prouve que l'existence soit borné par la logique ? Je peux certes l'expérimenter, ou au moins interpréter ainsi l'expérimentation, mais on a jamais là que de l'empirisme masqué, sans compter que rien ne prouve que l'expérience soit garante d'une quelconque vérité.
Peut être que « je » n'existe pas, même si « je » crois penser.
Personnellement, je ne vois pas ce que cela à de bon de croire en une entité dont l'existence est indémontrable. Par contre je vois le paquet d'ennuis auxquelles cela peut conduire. Parce que la prochaine étape après la croyance en l'inexpérimentable, c'est l'obéissance à des règles utilisant un argument d'autorité ce fondant sur l'inexpérimentable.
Des gens qui meurent de froid alors que des appartements sont vides, des gens qui meurent de faim alors que Mc Donald met à la poubelle (et sous clef) de la nourriture consommable… Tout cela grâce aux rouages de l'optimisation du profit immédiat maximum.
Donc le capitalisme tue les hommes démontrable par A + B, en étend bien moins spécieux que des affirmations comme « le piratage détruit les emplois ». À quand les gros titres ?
D'ailleurs remarquons que l'automatisation détruit aussi les emplois. Quand un tracteur autoguidé, fabriqué à la chaîne par des machines, conçus par 5 ingénieurs dans le garage de leurs parents, permet de cultiver des surfaces qui avant auraient demandées le travail de centaines d'hommes à temps plein, ça ne fait plus aucun doute.
Camarade du ludisme, soulève toi. Toi aussi réclame de pouvoir travailler plus pour perdre plus de ton temps !
[^] # Re: Pas le temps!
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal L’anti-rationnalisme comme réaction au scientisme politique ?. Évalué à 3.
La religion me semble être d'ailleurs une cristallisation de science. Ce qui démarque la science d'une religion, c'est avant tout la possibilité de pouvoir remplacer une théorie quand celle-ci ne prédit plus convenablement ce que l'on observe dans l'expérience. Il me semble que les contraintes qu'imposent la science à l'acceptation d'une théorie sont :
* la cohérence interne ;
* la validité des prédictions dans l'expérience.
Aussi une théorie scientifique ne nous révèle pas « la vérité », mais nous offre des modèles prédictifs dont la fiabilité à été vérifié dans des contextes expérimentaux donnés. Cela ne garantie pas que ces modèles sont fiables de manière absolue, en tout lieu-moment de l'espace-temps.
La religion, puisqu'elle sacralise sa théorie, va plutôt chercher à justifier les anomalies par des réinterprétations de plus en plus abracabrantesques, et/ou par l'ajout de paramètres les justifiant. Bien sûr la religion est détentrice d'une vérité absolue et ne saurait être remise en question.
La spécialisation est une tendance forte, certes (qu'on doit s'en doute beaucoup à «l'organisation scientifique (sic) du travail»), de là à dire qu'il n'y a plus d'esprit sur cette planète qui ont une vision transversale de plusieurs domaines, ça me semble un peu pessimiste.
Le saucissonnage de travaux à fait les preuves de ses limites (« the mythical man month »).
[^] # Re: digit ?
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal De la genèse d'une nouvelle phonétique numérale. Évalué à 3.
Bien sûr on ne compte pas forcément sur un bâton, ainsi la base 5 des khmers viens certainement des 5 doigts de la main. Tout comme note base 10 d'ailleurs.
La base 20 (en France on dit encore quatre vingt [je crois que les suisses disent octante]), 60 chez les babyloniens en autres (système qu'on utilise encore dans les minutes, secondes, la mesure en degré du cercle [360=6*60]) et même du 20, 360, 7200 chez les mayas.
Une seconde notion fut celle de l'importance de la position des symboles dans le nombre déterminant le rang. Les premiers systèmes du genre (babylonien) posant quelques difficulté avec des espaces en guise zéro intermédiaires, pouvant conduire à plusieurs interprétation possible dans certains cas.
En tout cas en français, à l'oral tout du moins, on fait vraiment un gros mixe de bases, on commence par une base hexadécimal (un, …, seize), puis un peu de décimal (dix sept), puis vigésimal (vingt)… Franchement à l'oral cela n'a rien d'évident que nous utilisons une base décimale.
[^] # Re: digit ?
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal De la genèse d'une nouvelle phonétique numérale. Évalué à 2.
Par exemple le chiffre romain X est un nombre d'un seul chiffre qui ne constitue pas dans la base décimal un nombre (strictement) inférieur au nombre d'éléments constituant la base. Que je sache, bien que cela s'avère certainement plus pratique, rien n'oblige à écrire ses nombres avec un nombre de chiffre égal à la base qu'on utilise (on peut avoir Card(E)≠B, avec E l'ensemble des chiffres et B la base).
Puisqu'il s'agit de nombre dont la caractéristique discriminante est définie sur la base, un mot ayant « bas(e) » comme racine me semble approprié. Pourquoi pas un(e) basique, je vois que le wiktionnaire propose déjà cette définition :
1. (Chimie) Qui concerne les bases, qui en a les propriétés.
* La soude caustique est une solution basique.
La définition s'appliquerait remarquablement bien aux objets mathématiques présentaient ci-dessus, sans rien changer (évidemment en chimie les bases ont un tout autre sens, mais qu'importe).
[^] # Re: digit ?
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal De la genèse d'une nouvelle phonétique numérale. Évalué à 2.
[^] # Re: digit ?
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal De la genèse d'une nouvelle phonétique numérale. Évalué à 3.
Chiffre et nombre m'ont l'air de bien désigner ce qui j'ai appelé digit et chiffre, si ce n'est qu'un nombre peu comporter plus d'un chiffre. Donc, je me demande y-a-t-il un nom pour les nombres d'un seul chiffre ?
[^] # Re: Shadok ?
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal De la genèse d'une nouvelle phonétique numérale. Évalué à 2.
Je vois que le professeur Shadoko à pensé à un zéro opératoire dans sa base 4 (quadrinaire ?), ce qui est pas si mal pour quelqu'un qui a des « moyens intellectuels limités », sachant que chez les humains on ne trouve pas trace d'une telle chose avant le IVe siècle (où il apparaît en 458, en Inde, dans le Lokavibhâga, « Les parties de l'Univers »).
[^] # Re: Je ne chipote pas...
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal De la genèse d'une nouvelle phonétique numérale. Évalué à 4.
En tout cas pour prononcer quatre, il me faut deux mouvements distincts et physiquement discrets. Trois nécessite également deux mouvements distincts mais physiquement continues. C'est à dire que la position des organes phonétiques ne me semble pas avoir besoin de retourner à une position antérieur pour la vibration du /ʁ/ (comme c'est le cas dans ma prononciation de quatre) mais continuent dans leur lancé.
[^] # Re: digit ?
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal De la genèse d'une nouvelle phonétique numérale. Évalué à 1.
[^] # Re: Vraie question
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Athéisme, agnostisme: manifeste agnostique. Évalué à 2.
[^] # Re: Pas libre du tout, donc
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse à la dépêche Sortie de Frogatto 1.0. Évalué à 4.
Certes le jeu entièrement en libre aurait été plus plaisant, mais les sources du code c'est mieux que rien. Moi je ne doute pas que d'ici quelques temps on ai des dérivés dans nos distributions préférés, tout comme on y trouve maintenant des nexuiz et autres open arena basés sur les moteurs de quake.
Il faut voir aussi que des pointures comme Sallman aident pas beaucoup en mettant en exergue la dichotomie (àmha totalement artificielle) entre œuvre « artistique » et « technique ».
[^] # Re: Oh mais il faut arrêter avec ces Chinois
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Mais de qui se moque-t-on?. Évalué à 10.
[^] # Re: Laisse la FSF le faire
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Ça vous dit de forker Chromium?. Évalué à 2.
1. Some sites refer to zero-size images on other hosts to keep track of cookies. When IceCat detects this mechanism it blocks cookies from the site hosting the zero-length image file. (It is possible to re-enable such a site by removing it from the blocked hosts list.)
2. Other sites rewrite the host name in links redirecting the user to another site, mainly to "spy" on clicks. When this behavior is detected, IceCat shows a message alerting the user.
source : http://www.gnu.org/software/gnuzilla/
[^] # Re: Vérifier la RAM
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au message linux ne boot plus !!!. Évalué à 1.
Je ferait également le test mem86, je te tiens au courant si ça t'intéresse.
[^] # Re: Laisse la FSF le faire
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Ça vous dit de forker Chromium?. Évalué à 6.
[^] # Re: Menu GRUB
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Vive la simplification !. Évalué à 10.
[^] # Re: Menu GRUB
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Vive la simplification !. Évalué à 10.
[^] # Re: Vérifier la RAM
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au message linux ne boot plus !!!. Évalué à 2.
for(i=0;i<999;i++)
printf("Merci !\n");
:)
[^] # Re: Vérifier la RAM
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au message linux ne boot plus !!!. Évalué à 1.
Est-ce que par « avec aussi peu d'infos » tu veux dire que je pourrait en fournir plus, et si oui lesquelles ?
Merci.
[^] # Re: Compatible ?
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Martin Gardner (1914-2010). Évalué à 2.
A n'a pas besoin de penser pour qu'on postule son existence, et je non plus. Si je, alors je (suis/pense/etc.).
Ici on ne démontre rien, on accepte (ou pas) le principe d'identité de manière arbitraire.
[^] # Re: Compatible ?e
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Martin Gardner (1914-2010). Évalué à 2.
[^] # Re: Compatible ?
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Martin Gardner (1914-2010). Évalué à -2.
Par exemple, « je pense donc je suis », repose sur deux axiomes :
* je (d'ailleurs, si « je », alors « je suis », ici c'est vraiment de la tautologie, mais je ne sais pas si « cogito ergo sum » relève du même sophisme) ;
* l'existence conditionné par la logique (donc/alors…).
En effet qu'est-ce qui prouve que l'existence soit borné par la logique ? Je peux certes l'expérimenter, ou au moins interpréter ainsi l'expérimentation, mais on a jamais là que de l'empirisme masqué, sans compter que rien ne prouve que l'expérience soit garante d'une quelconque vérité.
Peut être que « je » n'existe pas, même si « je » crois penser.
Personnellement, je ne vois pas ce que cela à de bon de croire en une entité dont l'existence est indémontrable. Par contre je vois le paquet d'ennuis auxquelles cela peut conduire. Parce que la prochaine étape après la croyance en l'inexpérimentable, c'est l'obéissance à des règles utilisant un argument d'autorité ce fondant sur l'inexpérimentable.
http://www.culture-libre.org/wiki/Sur_la_v%C3%A9rit%C3%A9_et(...)
[^] # Re: Compatible ?
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Martin Gardner (1914-2010). Évalué à 1.
[^] # Re: Le film oui .... mais ....
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Sintel, libérez vos rétines. Évalué à 3.
[^] # Re: En anglais
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Sintel, libérez vos rétines. Évalué à 5.
# Le capitalisme tue !
Posté par psychoslave__ (site web personnel) . En réponse au journal Le piratage détruit les emplois.. Évalué à 3.
Donc le capitalisme tue les hommes démontrable par A + B, en étend bien moins spécieux que des affirmations comme « le piratage détruit les emplois ». À quand les gros titres ?
D'ailleurs remarquons que l'automatisation détruit aussi les emplois. Quand un tracteur autoguidé, fabriqué à la chaîne par des machines, conçus par 5 ingénieurs dans le garage de leurs parents, permet de cultiver des surfaces qui avant auraient demandées le travail de centaines d'hommes à temps plein, ça ne fait plus aucun doute.
Camarade du ludisme, soulève toi. Toi aussi réclame de pouvoir travailler plus pour perdre plus de ton temps !