Sylvain Sauvage a écrit 2933 commentaires

Ce que je veux dire, c'est que les participants se tapent dessus sans parler de la même chose.
Notamment la réaction « projets Java : utilisent HTTP (sens 2) = web (sens 1), donc pas des vrais projets »...

Mais « 42 », c'est pas une couleur !

« Développement web » :

1. « je fais ma petite papage avec un blog et mes photos de vacances » ;

2. « j'utilise le protocole HTTP comme protocole de base pour mes applications distribuées » (cf. l'entrée « web services »).

De quoi parle-t-on ici ?

Lorque le seul outil est le marteau, on a tendance à voir le monde comme un clou.

Je comprends tout : gentoo + debian = gentiane et suse en est la fille...

Souvent, les mots ne sont pas en cause, il suffit d'une petite intonation, d'un petit soupir (« l'ADministrAtionnnn », « les [contracter] fonctionnaires [relâcher] »).

Tiens, le petit troll « De l'Objectivité des journalistes » qui passe...

Un optimiste pense que nous vivons dans le meilleur des mondes, alors qu'un pessimiste pense que nous vivons dans le meilleur des mondes.

(Non, il n'y a pas de faute de frappe.
Bon, aller, au cas où certains n'auraient pas envie de réfléchir, j'aide un peu quand même : l'optimiste pense qu'il n'y a rien à améliorer, le pessimiste que ça ne peut qu'empirer.)

Au passage, je pense que même Balzac et les autres classiques écrivent dans un français qui n'est plus correct.

Ouaip, réformes de l'Académie obligent.

Rappelons que la Vieille Dame réforme à chaque édition (comprendre qu'elle n'attend pas qu'un ministre de l'Éducation fasse du foin).

Mmm, ici, il faut lire « Personnal Computer » comme « ordinateur personnel », pas comme « IBM PC et compatible ».

Tout ça n'est pas faux non plus. Mais on peut encore espérer faire de l'« intelligence » avec une machine (1. oui, je conserve les guillemets ;o), 2. je ne dirais pas « machine de Turing » car il y a un pas entre une telle machine et celles que l'on utilise : celui qui va d'un modèle mathématique théorique à un assemblage), il faut juste définir ce que l'on entend par « intelligence » ;o).

La moindre des choses, c'est que le ministre (ou le secrétaire d'État) chargé du dossier informe son collègue sur le vote qu'il va effectuer pour lui ou, réciproquement, que celui qui va voter s'informe auprès son collègue sur cette directive qu'on lui colle dans les pattes.

Donc, si lorsqu'une directive hors domaine est placée à l'ordre du jour, le ministre votant se dit : « Ben, si elle est là, c'est que tout le monde est d'accord. Donc je vote pour sans me poser d'autre question. », je trouve qu'il y a négligence.

Dans une democratie : un texte passe par un referundum a forcement un poids plus important qu'un traite passe par le parlement je pense non?

Pourquoi donc ?
Le parlement représente le peuple. (Entendons-nous bien, on parle de la théorie ici.)
Un traité peut être ratifié par le parlement ou par référendum. C'est tout : il y a juste deux façons de ratifier, aucune n'est meilleure que l'autre.

Trouver de tels algorithmes est le travail de la majorité des chercheurs en intelligence artificielle aujourd'hui (ces algorithmes ont d'ailleurs des applications ailleurs qu'en cryptographie).

Trouver des problèmes et/ou des algorithmes P=NP, (ça revient à peu près au même en algo, car ce que l'on veut prouver, c'est que P=NP ou P!=NP), c'est le boulot des algorithmiciens, des chercheurs en algorithmique.

Les chercheurs en IA, ils font de l'IA : ils cherchent des modèles et des techniques pour que la machine « montre » de l'« intelligence », qu'elle « raisonne », qu'elle aide.
(Notez tous les guillemets. Ces guillemets s'épaississent depuis les années 60-70 où l'on imaginait pouvoir dire ce qu'est l'intelligence et donc en « créer »...)
En IA, les problèmes NP (NP-complets ou NP-difficiles) peuvent être gênants, alors on utilise d'autres techniques pour les contourner (p.ex. quelques heuristiques qui permettent de réduire le problème ou d'approcher une solution). Mais ceux qui cherchent à démontrer que P=NP ou P!=NP, ce sont les algorithmiciens.

(Notez que si un chercheur en IA tombe sur un problème NP et démontre qu'il est P, il sera content quand même, mais ce n'est pas son but principal.)

C'est pourquoi c'est terrible que la creme de la creme des politiciens europeens ne soient pas a Bruxelles.

Et oui, les plus choux, même à la crème, ne sont pas tous à Bruxelles.

et hop ---> []

Je dis seulement que l'argument de la rentabilité n'est pas à jeter.
Mais je ne dis pas que la rentabilité est le seul argument qui entre en compte dans le calcul du prix.

Si ces albums se vendent toujours à 18 ¤ (et que ça rapporte), il n'y a pas trop de raisons pour en baisser le prix (sauf peut-être pour en vendre encore plus mais avec une baisse de la « qualité visible » (et oui, on a encore le réflexe « prix = qualité », se souvenir de l'échec du parfum Bic, p.ex.)).

En clair, tous les dvd ne peuvent pas être directement vendus à 3 ¤ mais certains sont déjà rentabilisés et leur prix baisse ou sont déjà bas (et pour d'autres non).

Il ne faut quand même pas jeter le bébé avec l'eau du bain : le prix des dvd tombe après 6 mois (ou plus, ou moins) parce qu'ils sont amortis ou que l'on veut leur donner une chance sur le marché des « dvd pas chers de films pas trop vieux » pour finir de les rentabiliser. Ils sont donc rarement directement à 3 ¤ avant d'avoir été à 10 ¤.

Au hasard :
- peut-être y a-t-il des collectionneurs de tout et n'importe quoi ;
- peut-être pensent-ils que le nom de l'iso n'a pas de rapport avec le contenu (des fois qu'un film soit planqué sous le nom d'une distrib linux).

Évidemment que ça existe la propagande de bonne foi : celle avec laquelle je suis d'accord. :o)

Bonne initiative.

Pour le moment, le peu que j'en avais (je ne grave pas, donc surtout les CD promotionnels), je les refilais à mon père pour l'instit de son village : les gosses s'en servent pour les travaux manuels. Ça change des colliers de nouilles.

Il y en a aussi qui s'en servent pour décorer leur plafond.

Trop facile :

$ rgrep -i woman /usr/X11R6
Fichier binaire /usr/X11R6/bin/xlock concorde

ah ha ! xlock : les données sont vérouillées.

il faut recouper ses infos (comme les journalistes)

À la guillotine ?

(C'est un jeu de mot sur la fausse équivoque : « il faut recouper ses infos comme [il faut découper] les journalistes » contre « il faut recouper ses infos comme les jounalistes [le font] ».)
(J'explique parce que, des fois...)

Les reportages sont parfois intéressants, mais les entretiens sont légers (à se demander si B. Duquesnes regarde les reportages qu'il présente, p'têt qu'il serait meilleur à moto...).

tu la notes, tu l'oublies et tu te rendors.

Ouais, faut faire attention à ne pas confondre le stylo et le thermomètre, sinon, au matin, on a une page blanche...

Mon impression, c'est qu'il a fait un super travail de journaliste scientifique sur les fourmis (il a d'ailleurs reçu un (des?) prix pour son article), il a utilisé/transformé son article en un bon livre (le 1er ; avec quelques « innocences »). Après, ce n'est que du moins en moins bon.

Ce qui m'a un peu conforté dans mon avis, ce sont ses propos (exaltés) recueillis par Canal+ pour un Imagina : en substance, il explique que le but des auteurs, notamment de SF (mais pas forcément), est d'inventer ce que le cinéma ne pourra représenter ; il y aurait une course entre les effets spéciaux et les auteurs...

Il y a un truc qui s'appelle la « génétique des populations ». Nous ne sommes pas des petits pois. Il y a énormément de facteurs sociologiques à prendre en compte.

Si on poursuivait ce genre de raisonnement, on pourrait dire que dans quelques siècles, toute la population serait de type « asiatique bronzé ». Si on applique ce raisonnement à l'histoire : comment se fait-il que tous les [habitants d'une même zone géographique : européens, chinois, africains, etc.] ne soient pas identiques ?

De la même façon, le nom de famille le plus répandu dans le monde est Chang, quant au prénom, c'est Mohammed. C'est fou le nombre de Mohammed Chang qu'il doit y avoir...