Ton explication vient de me faire comprendre/réaliser la construction de téléverser (enfin, le pourquoi le mot a été construit de la sorte). C'est définitivement plus clair.
Toutes les structures ont exactement le même "problème". La totalité s'en sort en "demandant à un collègue où est le projet" ou en faisant des raccourcis. A moins que ton job soit littéralement de passer son temps à chercher des projets, le coût de maintenir un rangement multi-indexé des fichiers dépasse largement le temps passé à chercher un projet la première fois qu'on se met dessus.
Oh, d'accord, merci. Je n'avais jamais rencontré le terme. C'est juste un synonyme du coup. Parce que bon, uploader aussi c'est français tout de même, c'est pas non plus un dictionnaire qui conditionne la langue ^^
Ce n'est pas pour rien qu'aucun outil grand public n'est construit sur la base de tags.
L'outil Google Drive a longtemps fonctionné en utilisant des hiérarchies de tags en lieu et place d'une arborescence unique - la visualisation était sous forme de répertoires, mais où les chemins d'accès n'étaient pas forcément unique pour un fichier.
Tu pouvais naturellement avoir un répertoire placé à la fois dans "\2023\Projet Fondue" et dans "\Projets Important\Projet Fondue". C'était pratique pour ranger dans tous les sens sans avoir à répondre à la question philosophique, "est-ce que le projet fondue est avant tout un projet important ou un projet de l'année 2023 ?". Par contre, c'était accompagné de side-effects particulièrement confusants : si je déplace pour archiver ou que je supprime l'un des deux répertoires, il se passe quoi ? Ne parlons pas des droits….
La fonctionnalité a été petit à petit déphasée, jusqu'à être complètement supprimée et remplacée par une vraie arborescence unique (et le remplacement forcé de toutes les instances de Projet Fondue par des raccourcis vers une des instances).
Et un système de tags a été rajouté à nouveau par dessus, mais fortement limité (5 tags par fichiers maximum).
Ce n'était pas forcément très bien implémenté pour l'utilisateur moyen, mais surtout, personne n'en avait besoin. Une arborescence unique répond aux besoins de la quasi-totalité des utilisateurs, et l'univers entier s'accommode de ne pas avoir de réponse symétrique à la question d'où placer le projet fondue : les outils ne sont que des outils, pas un objectif en tant que tel.
Dans le même genre, Windows ne propose aucun moyen "user friendly" de faire des hard link entre fichiers. C'est pas un hasard.
Désolé, le fait d'avoir remplacé des mots par des néologismes me rend le texte assez difficile à lire, enfin, c'est certainement moi.
En tout cas, si j'ai bien compris, c'était un point que j'ai réalisé pendant mon parcours pro dans différents domaines usuellement considérés comme "riches en cadre" (it dans le pétrole et la banque), dans 5-6 boîtes de tailles variées incluant quelques années d'élu (non-syndiqué) : les problématiques cadres dans des milieux où le salarié est en position de force n'ont rien à voir avec les poncifs du syndicalisme.
Se battre pour un jour supplémentaire de télétravail par semaine lorsqu'on en a déjà deux agrémentés d'une 15aine de RTT n'est pas la même chose que de se battre pour une augmentation lorsqu'on est au smic et au 3x8.
D'un côté, il faut donner des armes au salariés en les unissant entre eux, leur apprendre le droit du travail et les aider à ce qu'il soit respecté, tout en les protégeant coûte que coûte du risque de perdre leur emploi. De l'autre, il faut les conseiller à comment négocier individuellement en utilisant l'arme la plus puissante qu'ils ont : leur possibilité de démissionner du jour au lendemain sans risque de se retrouver sans emploi. Ce n'est pas la même chose.
C'est un peu ce que je n'ai pas compris. Ils semblent mettre en avant la modularité des extensions, mais les modules qu'ils proposent permettent moins que la majorité des laptops du marchés (qui ont quasi-tous 2 USB A, un USB C, un HDMI et un slot SD), y compris l'entrée de gamme à quelque centaines d'euros.
Des modules d'extensions double seraient le minimum pour que ça ait un sens. Genre 2 USB A, 2 USB C, un combiné USB A + C, etc.
Et évidemment acheter un laptop qui se veut customisable pour au final ne rien pouvoir customiser (oui changer le SSD et la ram, youpi), c'est un peu balot.
Je ne connais pas l'outil, mais j'ai tout de même l'impression que cette stratégie oublie un critère important dans la ségrégation des conversations - le contexte.
Une conversation 1-1 avec un collègue, je veux qu'elle soit dans le même outil que la conversation d'équipe. Par "même outil", j'entends quelque chose dans la même interface, qui se lance en même temps, où je me logge avec le même compte. Compte qui m'est de toute façon fourni par la structure et sur lequel je n'ai pas ou peu de contrôle.
Et réciproquement, les conversations de groupes avec des amis, je veux qu'elles soient dans le même outil que celui où j'ai mes conversations 1-1 avec mes amis. Avec mon compte à moi, dont j'ai le contrôle.
Et pire, j'aime bien quand mes collègues et mes amis se mélangent que les conversations "pro" restent sur les canaux pro, et que les conversations "perso" tombent sur les canaux persos.
La métrique importante ne me semble pas le nombre d'interlocuteurs, mais le contexte. Le contexte implique des choses sur les nombres d'interlocuteurs (on aura plus de chats plus larges dans un contexte pro que dans un contexte perso), mais partir du dimensionnement pour en déduire la catégorie, c'est à mon sens une inversion des priorités.
Je ne suis pas certain de comprendre : c'est un substitut à des messageries grand public (Whatapp, Messenger) ou à des messageries d'entreprise (Teams, Slack) ?
Je veux dire, c'est pas du tout les mêmes features, passé le cœur "chat textuel".
Entre les droits synchronisés par catégories de canaux avec l'AD de la boîte et GIPHY accessible en un clic, y'a tout de même un monde.
Côté comptabilité, juste pour dire que Paheko est plus qu'un simple outil. Il y a aussi une volonté de pédagogie et de permettre aux tout petites structures, qui n'ont pas la chance d'avoir des compétences comptables en interne, de les acquérir à un niveau permettant d'être autonome. L'interface et la documentation vont en ce sens en permettant de comptabiliser les opérations usuelles de la vie d'une petite association de manière extrêmement simple et de comprendre ainsi les bases de la compta.
En particulier le fait d'avoir une démo en SAS "simple à utiliser" (nom d'asso, login et zoup on peut faire une entrée comptable, pas besoin d'aller chercher un serveur ou de télécharger quelque chose) est un gros plus pour ça.
J'ai littéralement appris les bases de la compta grâce à cet outil et rendu au moins trois structures heureuses grace à l'outil.
J'aime bien l'idée de la micro-structure, et je fais un peu pareil (plus haut niveau, on se contente d'échanger de l'espace disque sur des NAS) avec un pote.
Vous fonctionnez comment en interne pour les décisions et le budget ? Genre si y'a un disque dur à remplacer et que la structure n'a pas de sous, qui paye et à quel prorata ? Demande ouverte ?
On rencontre le même problème dans mon association (200+ bénévoles).
Par choix, nous sommes exclusivement bénévoles : aucun salarié, mais nous nous autorisons les prestataires. Nous organisons un événement annuel relativement conséquent et avons un besoin de visuel qualitatifs chaque année.
Nous avons un prestataire illustrateur qui nous fournit une identité de base, mais la charge de les composer et de produire les visuels (la PAO donc) du festival incombe à des bénévoles.
Actuellement avons une dizaine de bénévoles qui produisent pour l'association, certains professionnels, certains amateurs suffisamment compétents, et ce pot-pourri de personnes… implique un pot-pourri de logiciels.
En vrac, l'année précédente, nous avons utilisé Canva, Figma, Inkscape, InDesign… mais aussi Photoshop, The Gimp et Paint.net - pour de la PAO, pas de la retouche, ouaip.
Il serait terriblement pratique pour nous d'avoir les productions dans des logiciels gratuits d'utilisation (l'aspect libre n'a pas d'impact chez nous), pour permettre à n'importe quel bénévole n'ayant pas tous les panels classiques d'outils de participer ou d'ajuster une composition (et c'est un besoin extrêmement fréquent que de devoir ajuster un visuel à l'arrache).
Pour des raisons pragmatiques, il nous est difficile de demander à un bénévole qui produit un travail des fois de qualité professionnelle, de changer d'outil. Imposer un outil, même pour des raisons terriblement valables reste un contrainte très forte. Chez nous proposer et suggérer est possible, mais aller plus loin, c'est se mettre en risque de perdre une expertise.
Et donc, on fait avec.
Dans un cadre professionnel, je verrai l'imposition de logiciels exotiques (Inkscape ou Scribus) comme une expertise demandant un salaire plus élevé que la norme dans le domaine. Ou tomber sur quelqu'un qui la passion de ces logiciels, mais il faut que les candidats soient là…
J'ai l'impression que l'auto-stop a disparu depuis une dizaine d'années en France, et que les seuls retours réels sur l’auto-stop datent d'il y a longtemps. Quelqu'un pratique encore régulièrement l'auto-stop ici ?
Il y a quelques décades, on utilisait son mail pour recevoir des messages venant de personnes connues et on l'utilisait pour maintenir des discussion non instantanées, où l'on prenait le temps de peser ses mots. Maintenant plus personne ne fait ça.
Sauf de manière professionnelle. Les usages ont divergés, autant l'email n'est quasiment plus utilisé pour communiquer de manière personnelle, parce qu'il s'est fait remplacé par les messageries instantanées, autant professionnellement les deux usages sont parallèles. C'est dommage, ça nous rappelle combien l'email c'est pourri comme outil de communication, je trouve.
Tu penses à quoi en alternative ? En alternative utilisable par un utilisateur relativement lambda, non technique, je veux dire, pas un outil de niche. Typiquement les flux RSS en 2022, c'est trop niche.
Les groupes Facebook ? Un compte telegram, whatsapp ou instagram ? Discord ? Les notifications sur navigateur ?
Je suis dans une asso un peu atypique : un festival.
De fait, les bénévoles/membres ne sont pas les bénéficiaires, les bénéficiaires sont le public et les professionnels qui viennent à notre évènement, et notre action pour eux est donc concentrée sur quelques jours dans l'année. Cependant, pour arriver à cette action, il faut la préparer tout au long de l'année, et cela représente une charge de travail très conséquente.
Si pas mal de problématiques peuvent intervenir (manque de bénévoles le jour J, manque d'argent, manque de [n'importe quoi], etc.), toutes ces problématiques ont la même résolution : trouver des bénévoles capable de s'investir en amont pour résoudre le problème (utiliser les prestataires à la place des bénévoles, budgéter mieux l'évènement, trouver un fournisseur de [n'importe quoi], etc.).
Ainsi notre plus grand souci est ce manque de bénévoles investis. Et les trouver est réellement difficile, alors que nous avons plus de 200 bénévoles "moins investis", qui sont ravis d'être présents le jour J et d'exécuter des instructions.
Investir des bénévoles nécessite de communiquer au maximum, mais la communication, c'est difficile, surtout dans le cadre d'une structure qui n'a pas de local (vu que notre action n'est que virtuelle au cours de l'année). D'où le recours à des outils de communications en ligne et de multiples "réunions-machins-où-on-se-rencontre". Mais même là, ça reste insuffisant : on observe un ration d'environ 2,5% de bénévoles investis sur notre nombre total (ouais ça fait 5 sur 200 béénvoles).
Exemple typique : j'ai tenu quasi-seul tout l'administratif, la compta et les communications avec nos clients pro pendant un an. Je crois que j'ai un PV d'AG d'il y a 3 mois à rédiger d'ailleurs… Youpi.
Alors oui, le Covid est passé par là, mais concrètement, les problématiques étaient les mêmes juste avant. Si cette année, recruter des investis est évidemment notre "top-priorité", on a actuellement terriblement peur… limite on se prépare à une dissolution en cours de route.
La méthode de scrutin implique des caractéristiques chez les vainqueurs de ce scrutin.
Les foultitudes de méthodes de scrutins alternatives qui sont proposées à chaque élection omettent à mon avis ce point fondamental et répondent (souvent) à une question qui n'a jamais été explicitement posée : quel scrutin pour avoir un régime avec plus de compromis dans la gouvernance ?
L'analyse à faire lorsqu'on veut proposer un autre mode de scrutin n'est pas "qui gagnerait si on avait utilisé tel ou tel scrutin en reprenant les candidats des élections précédentes ?", mais "quels types de candidats on aurait avec tel ou tel scrutin ?".
Nous sommes dans un régime qui possède un scrutin qui est fait pour dégager un une personnalité relativement forte, cherchant peu le compromis, suivant les idées majoritaires dans la population, et qui évite au maximum les candidats populistes (au sens "qui se font élire pour leur personnalité sans avoir d'idées suffisamment représentées dans la population"). Car oui, notre mode de scrutin, c'est la combinaison du vote de la présidentielle, de la barrières des 500 signatures des élus et du positionnement des législatives juste après la présidentielle - c'est tout ça notre scrutin, et pas simplement deux votes.
En l’occurrence changer le mode de scrutin vers quelque chose de type Concordet ou jugement majoritaire générerait mécaniquement des candidats cherchant le compromis, pour maximiser leurs chances de se faire élire. Et une fois élus, ils gouverneraient avec cette culture du compromis avec les différentes idées présentes dans la population du pays. Bien ou pas bien, je ne juge pas.
La véritable question qu'il faut se poser n'est donc pas celle du scrutin, mais celle du régime qu'on veut. Le scrutin suivra naturellement.
Changer de méthode de scrutin sans avoir préalablement répondu à cette question me semble un non-sens. Et proposer une méthode de scrutin sans expliciter quel est son objectif me semble particulièrement dangereux.
J'ai pas vraiment l'impression que ça soit ça, le low code/no code.
De ce qu'il me semble, c'est que derrière ce terme, on englobe les outils qui visent à s'abstraire :
- la programmation sous forme textuelle (donc ça inclut le code, mais aussi le pseudo-code comme tu l'utilises)
- la gestion de l'outillage attenant (pas de chaîne ou de commandes de compilation, pas de dépôt, pas besoin de lire une documentation pour se lancer, pas de configuration à gérer : un login sur un site web ou un téléchargement d'appli et ça s'utilise)
Pour moi tu n'as pas fait du low/no-code, mais un PoC de métalangage (?).
Ma remarque est sans jugement sur le bien-fondé de la démarche, il va de soit.
Quand dans la ou les prochaines décennies le peuple va réaliser l'augmentation ultra-violentes des prix de certains bien communs, en particulier ceux liés à l'habitat à la campagne ou dans les zones pavillonnaires, parce qu'ils polluent leur maman, il va falloir faire du déni.
C'est le mode de vie d'une grosse minorité de la population qui va être attaqué.
Et beaucoup plus violemment qu'avec un random virus/vaccin. Il va falloir beaucoup de déni.
Ces contre-mesures n'ayant aucune validité si on analyse le flot de code logique, elles se font parfois virer lors de la compilation ou à l'édition de lien des compilos performants. Ou bien ça marche une fois et la version mineure suivante du compilo va elle virer la contre-mesure. Donc on s'amuse à auditer une partie du code assembleur pour vérifier que le compilo a pas tout sagouiner notre code. Bref, on s'amuse bien par chez nous.
Dans un ancien job, lorsque je codais encore avant de me mettre au pipeautron, j'avais eu un problème similaire.
Les instructions qu'on utilisaient pour timer précisément les temps des fonction sur nos machines étaient très spécifiques (on faisait pas mal de choses avec des outils liés au parallélisme). Puis un jour, nos chiffres ont commencé à être un peu anormaux. Mais pas complètement faux, juste un peu faux. Genre comme si certains traitements avaient gagnés en vitesse par rapport à nos temps de référence. Quelqu'un s'en est rendu compte sur un gros coup de bol.
Après pas mal de cheveux en moins (et de laborieux changements de version de tous les outils). J'ai fini par tomber sur le problème : la nouvelle version du compilateur s'amusait à déplacer une des instructions de timing qui faisait un "top" de "quelques" instructions. Forcément, ça toppait plus au bon moment, et certains traitement coûteux se retrouvaient non-comptabilisés.
C'était la seule fois où j'ai du débugger au niveau machine de ma vie. C'était drôle.
Et pour en revenir au départ, est ce que les personnes qui utilisent la plateforme ont conscience du probléme économique qui se pose ? Si oui, est ce que ça dérange personne ?
Je pense que la quasi-totalité des utilisateurs s'en fichent complètement. Moi le premier.
Il seront peut-être rachetés, il revendront ptet l'outil, un concurrent les remplacera peut-être. Who cares. Il y aura toujours des multi-chats avec option vocale de dispo.
Qu'ils aient un buisnesmodel viable, ou qu'ils n'en aient pas n'est pas un souci pour l'utilisateur. L'échelle de temps est bien trop grande pour que ça l'affecte. Personne n'est attaché à un outil. Les gens sont attachés aux gens.
[^] # Re: Téléverser ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Google retire Conversations du magasin Play (Play Store). Évalué à 4.
Ton explication vient de me faire comprendre/réaliser la construction de téléverser (enfin, le pourquoi le mot a été construit de la sorte). C'est définitivement plus clair.
[^] # Re: Confluence, la recherche convergente et le chemin thématique
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Atlassian SaaS.... Évalué à 2.
Toutes les structures ont exactement le même "problème". La totalité s'en sort en "demandant à un collègue où est le projet" ou en faisant des raccourcis. A moins que ton job soit littéralement de passer son temps à chercher des projets, le coût de maintenir un rangement multi-indexé des fichiers dépasse largement le temps passé à chercher un projet la première fois qu'on se met dessus.
[^] # Re: Téléverser ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Google retire Conversations du magasin Play (Play Store). Évalué à -8. Dernière modification le 15 février 2024 à 11:48.
Oh, d'accord, merci. Je n'avais jamais rencontré le terme. C'est juste un synonyme du coup. Parce que bon, uploader aussi c'est français tout de même, c'est pas non plus un dictionnaire qui conditionne la langue ^^
[^] # Re: Confluence, la recherche convergente et le chemin thématique
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Atlassian SaaS.... Évalué à 3.
Ce n'est pas pour rien qu'aucun outil grand public n'est construit sur la base de tags.
L'outil Google Drive a longtemps fonctionné en utilisant des hiérarchies de tags en lieu et place d'une arborescence unique - la visualisation était sous forme de répertoires, mais où les chemins d'accès n'étaient pas forcément unique pour un fichier.
Tu pouvais naturellement avoir un répertoire placé à la fois dans "\2023\Projet Fondue" et dans "\Projets Important\Projet Fondue". C'était pratique pour ranger dans tous les sens sans avoir à répondre à la question philosophique, "est-ce que le projet fondue est avant tout un projet important ou un projet de l'année 2023 ?". Par contre, c'était accompagné de side-effects particulièrement confusants : si je déplace pour archiver ou que je supprime l'un des deux répertoires, il se passe quoi ? Ne parlons pas des droits….
La fonctionnalité a été petit à petit déphasée, jusqu'à être complètement supprimée et remplacée par une vraie arborescence unique (et le remplacement forcé de toutes les instances de Projet Fondue par des raccourcis vers une des instances).
Et un système de tags a été rajouté à nouveau par dessus, mais fortement limité (5 tags par fichiers maximum).
Ce n'était pas forcément très bien implémenté pour l'utilisateur moyen, mais surtout, personne n'en avait besoin. Une arborescence unique répond aux besoins de la quasi-totalité des utilisateurs, et l'univers entier s'accommode de ne pas avoir de réponse symétrique à la question d'où placer le projet fondue : les outils ne sont que des outils, pas un objectif en tant que tel.
Dans le même genre, Windows ne propose aucun moyen "user friendly" de faire des hard link entre fichiers. C'est pas un hasard.
# Téléverser ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Google retire Conversations du magasin Play (Play Store). Évalué à -4.
J'ai raté un terme technique ? Ou c'est une circonvolution pour éviter le mot uploder ?
[^] # Re: Jolie petite histoire
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Article « Pourquoi se syndiquer en informatique » sur Framasoft et questionnements personnels. Évalué à 3.
Désolé, le fait d'avoir remplacé des mots par des néologismes me rend le texte assez difficile à lire, enfin, c'est certainement moi.
En tout cas, si j'ai bien compris, c'était un point que j'ai réalisé pendant mon parcours pro dans différents domaines usuellement considérés comme "riches en cadre" (it dans le pétrole et la banque), dans 5-6 boîtes de tailles variées incluant quelques années d'élu (non-syndiqué) : les problématiques cadres dans des milieux où le salarié est en position de force n'ont rien à voir avec les poncifs du syndicalisme.
Se battre pour un jour supplémentaire de télétravail par semaine lorsqu'on en a déjà deux agrémentés d'une 15aine de RTT n'est pas la même chose que de se battre pour une augmentation lorsqu'on est au smic et au 3x8.
D'un côté, il faut donner des armes au salariés en les unissant entre eux, leur apprendre le droit du travail et les aider à ce qu'il soit respecté, tout en les protégeant coûte que coûte du risque de perdre leur emploi. De l'autre, il faut les conseiller à comment négocier individuellement en utilisant l'arme la plus puissante qu'ils ont : leur possibilité de démissionner du jour au lendemain sans risque de se retrouver sans emploi. Ce n'est pas la même chose.
[^] # Re: et le meilleur de tous ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Tour d'horizon de l'état des bases NoSQL. Évalué à 2.
Et quand la feuille Excel marche bien, on l'industrialise en en faisant une base Access.
Et quand la base Access marche bien, on l'industrialise en… ah non.
[^] # Re: On aimerait pas tous la même chose
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Laptop Frame.Work 13 pouces. Évalué à 6.
C'est un peu ce que je n'ai pas compris. Ils semblent mettre en avant la modularité des extensions, mais les modules qu'ils proposent permettent moins que la majorité des laptops du marchés (qui ont quasi-tous 2 USB A, un USB C, un HDMI et un slot SD), y compris l'entrée de gamme à quelque centaines d'euros.
Des modules d'extensions double seraient le minimum pour que ça ait un sens. Genre 2 USB A, 2 USB C, un combiné USB A + C, etc.
Et évidemment acheter un laptop qui se veut customisable pour au final ne rien pouvoir customiser (oui changer le SSD et la ram, youpi), c'est un peu balot.
[^] # Re: Cible de l'outil ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Le gouvernement français pousse vers Olvid, une solution de messagerie instantanée française. Évalué à 2.
Je ne connais pas l'outil, mais j'ai tout de même l'impression que cette stratégie oublie un critère important dans la ségrégation des conversations - le contexte.
Une conversation 1-1 avec un collègue, je veux qu'elle soit dans le même outil que la conversation d'équipe. Par "même outil", j'entends quelque chose dans la même interface, qui se lance en même temps, où je me logge avec le même compte. Compte qui m'est de toute façon fourni par la structure et sur lequel je n'ai pas ou peu de contrôle.
Et réciproquement, les conversations de groupes avec des amis, je veux qu'elles soient dans le même outil que celui où j'ai mes conversations 1-1 avec mes amis. Avec mon compte à moi, dont j'ai le contrôle.
Et pire, j'aime bien quand mes collègues et mes amis se mélangent que les conversations "pro" restent sur les canaux pro, et que les conversations "perso" tombent sur les canaux persos.
La métrique importante ne me semble pas le nombre d'interlocuteurs, mais le contexte. Le contexte implique des choses sur les nombres d'interlocuteurs (on aura plus de chats plus larges dans un contexte pro que dans un contexte perso), mais partir du dimensionnement pour en déduire la catégorie, c'est à mon sens une inversion des priorités.
# Cible de l'outil ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Le gouvernement français pousse vers Olvid, une solution de messagerie instantanée française. Évalué à 4.
Je ne suis pas certain de comprendre : c'est un substitut à des messageries grand public (Whatapp, Messenger) ou à des messageries d'entreprise (Teams, Slack) ?
Je veux dire, c'est pas du tout les mêmes features, passé le cœur "chat textuel".
Entre les droits synchronisés par catégories de canaux avec l'AD de la boîte et GIPHY accessible en un clic, y'a tout de même un monde.
# Commentaire gratuit
Posté par Vlobulle . En réponse à la dépêche Paheko 1.3 : refonte de la gestion des membres, drive intégré, reçus fiscaux, etc.. Évalué à 7.
Côté comptabilité, juste pour dire que Paheko est plus qu'un simple outil. Il y a aussi une volonté de pédagogie et de permettre aux tout petites structures, qui n'ont pas la chance d'avoir des compétences comptables en interne, de les acquérir à un niveau permettant d'être autonome. L'interface et la documentation vont en ce sens en permettant de comptabiliser les opérations usuelles de la vie d'une petite association de manière extrêmement simple et de comprendre ainsi les bases de la compta.
En particulier le fait d'avoir une démo en SAS "simple à utiliser" (nom d'asso, login et zoup on peut faire une entrée comptable, pas besoin d'aller chercher un serveur ou de télécharger quelque chose) est un gros plus pour ça.
J'ai littéralement appris les bases de la compta grâce à cet outil et rendu au moins trois structures heureuses grace à l'outil.
Bref, Paheko, c'est chouette.
# Fonctionnement interne ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal La Coloc et les travaux.. Évalué à 4.
J'aime bien l'idée de la micro-structure, et je fais un peu pareil (plus haut niveau, on se contente d'échanger de l'espace disque sur des NAS) avec un pote.
Vous fonctionnez comment en interne pour les décisions et le budget ? Genre si y'a un disque dur à remplacer et que la structure n'a pas de sous, qui paye et à quel prorata ? Demande ouverte ?
[^] # Re: compromis
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Vote électronique pour les parents d'élèves. Évalué à 2.
J'ai l'impression que ce papier parle strictement de la période avant-Covid, et donc avant la démocratisation du TT.
Peut-être que ça un impact.
# La même en asso
Posté par Vlobulle . En réponse au journal PAO avec logiciels libres au sein d’une équipe sur le long terme. Évalué à 6.
On rencontre le même problème dans mon association (200+ bénévoles).
Par choix, nous sommes exclusivement bénévoles : aucun salarié, mais nous nous autorisons les prestataires. Nous organisons un événement annuel relativement conséquent et avons un besoin de visuel qualitatifs chaque année.
Nous avons un prestataire illustrateur qui nous fournit une identité de base, mais la charge de les composer et de produire les visuels (la PAO donc) du festival incombe à des bénévoles.
Actuellement avons une dizaine de bénévoles qui produisent pour l'association, certains professionnels, certains amateurs suffisamment compétents, et ce pot-pourri de personnes… implique un pot-pourri de logiciels.
En vrac, l'année précédente, nous avons utilisé Canva, Figma, Inkscape, InDesign… mais aussi Photoshop, The Gimp et Paint.net - pour de la PAO, pas de la retouche, ouaip.
Il serait terriblement pratique pour nous d'avoir les productions dans des logiciels gratuits d'utilisation (l'aspect libre n'a pas d'impact chez nous), pour permettre à n'importe quel bénévole n'ayant pas tous les panels classiques d'outils de participer ou d'ajuster une composition (et c'est un besoin extrêmement fréquent que de devoir ajuster un visuel à l'arrache).
Pour des raisons pragmatiques, il nous est difficile de demander à un bénévole qui produit un travail des fois de qualité professionnelle, de changer d'outil. Imposer un outil, même pour des raisons terriblement valables reste un contrainte très forte. Chez nous proposer et suggérer est possible, mais aller plus loin, c'est se mettre en risque de perdre une expertise.
Et donc, on fait avec.
Dans un cadre professionnel, je verrai l'imposition de logiciels exotiques (Inkscape ou Scribus) comme une expertise demandant un salaire plus élevé que la norme dans le domaine. Ou tomber sur quelqu'un qui la passion de ces logiciels, mais il faut que les candidats soient là…
# En 2023 ou dans le passé ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal l'autostop comme pratique politique. Évalué à 5.
J'ai l'impression que l'auto-stop a disparu depuis une dizaine d'années en France, et que les seuls retours réels sur l’auto-stop datent d'il y a longtemps. Quelqu'un pratique encore régulièrement l'auto-stop ici ?
[^] # Re: Oui.
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Enregistrement de la plaque d'immatriculation aux péages. Évalué à 5.
30km/h est déjà en passe de devenir le nouveau standard dans les villes.
[^] # Re: le grand détournement
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Quel service choisir pour héberger une liste de diffusion ?. Évalué à 5.
Sauf de manière professionnelle. Les usages ont divergés, autant l'email n'est quasiment plus utilisé pour communiquer de manière personnelle, parce qu'il s'est fait remplacé par les messageries instantanées, autant professionnellement les deux usages sont parallèles. C'est dommage, ça nous rappelle combien l'email c'est pourri comme outil de communication, je trouve.
[^] # Re: le grand détournement
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Quel service choisir pour héberger une liste de diffusion ?. Évalué à 0. Dernière modification le 19 octobre 2022 à 11:44.
Tu penses à quoi en alternative ? En alternative utilisable par un utilisateur relativement lambda, non technique, je veux dire, pas un outil de niche. Typiquement les flux RSS en 2022, c'est trop niche.
Les groupes Facebook ? Un compte telegram, whatsapp ou instagram ? Discord ? Les notifications sur navigateur ?
# Exemple concret
Posté par Vlobulle . En réponse au journal De la difficulté de faire vivre une association. Évalué à 5.
Je suis dans une asso un peu atypique : un festival.
De fait, les bénévoles/membres ne sont pas les bénéficiaires, les bénéficiaires sont le public et les professionnels qui viennent à notre évènement, et notre action pour eux est donc concentrée sur quelques jours dans l'année. Cependant, pour arriver à cette action, il faut la préparer tout au long de l'année, et cela représente une charge de travail très conséquente.
Si pas mal de problématiques peuvent intervenir (manque de bénévoles le jour J, manque d'argent, manque de [n'importe quoi], etc.), toutes ces problématiques ont la même résolution : trouver des bénévoles capable de s'investir en amont pour résoudre le problème (utiliser les prestataires à la place des bénévoles, budgéter mieux l'évènement, trouver un fournisseur de [n'importe quoi], etc.).
Ainsi notre plus grand souci est ce manque de bénévoles investis. Et les trouver est réellement difficile, alors que nous avons plus de 200 bénévoles "moins investis", qui sont ravis d'être présents le jour J et d'exécuter des instructions.
Investir des bénévoles nécessite de communiquer au maximum, mais la communication, c'est difficile, surtout dans le cadre d'une structure qui n'a pas de local (vu que notre action n'est que virtuelle au cours de l'année). D'où le recours à des outils de communications en ligne et de multiples "réunions-machins-où-on-se-rencontre". Mais même là, ça reste insuffisant : on observe un ration d'environ 2,5% de bénévoles investis sur notre nombre total (ouais ça fait 5 sur 200 béénvoles).
Exemple typique : j'ai tenu quasi-seul tout l'administratif, la compta et les communications avec nos clients pro pendant un an. Je crois que j'ai un PV d'AG d'il y a 3 mois à rédiger d'ailleurs… Youpi.
Alors oui, le Covid est passé par là, mais concrètement, les problématiques étaient les mêmes juste avant. Si cette année, recruter des investis est évidemment notre "top-priorité", on a actuellement terriblement peur… limite on se prépare à une dissolution en cours de route.
Bref.
# Changer de scrutin ne répond pas à la bonne question
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Tournesol pour l'élection présidentielle. Évalué à 10. Dernière modification le 09 avril 2022 à 17:20.
La méthode de scrutin implique des caractéristiques chez les vainqueurs de ce scrutin.
Les foultitudes de méthodes de scrutins alternatives qui sont proposées à chaque élection omettent à mon avis ce point fondamental et répondent (souvent) à une question qui n'a jamais été explicitement posée : quel scrutin pour avoir un régime avec plus de compromis dans la gouvernance ?
L'analyse à faire lorsqu'on veut proposer un autre mode de scrutin n'est pas "qui gagnerait si on avait utilisé tel ou tel scrutin en reprenant les candidats des élections précédentes ?", mais "quels types de candidats on aurait avec tel ou tel scrutin ?".
Nous sommes dans un régime qui possède un scrutin qui est fait pour dégager un une personnalité relativement forte, cherchant peu le compromis, suivant les idées majoritaires dans la population, et qui évite au maximum les candidats populistes (au sens "qui se font élire pour leur personnalité sans avoir d'idées suffisamment représentées dans la population"). Car oui, notre mode de scrutin, c'est la combinaison du vote de la présidentielle, de la barrières des 500 signatures des élus et du positionnement des législatives juste après la présidentielle - c'est tout ça notre scrutin, et pas simplement deux votes.
En l’occurrence changer le mode de scrutin vers quelque chose de type Concordet ou jugement majoritaire générerait mécaniquement des candidats cherchant le compromis, pour maximiser leurs chances de se faire élire. Et une fois élus, ils gouverneraient avec cette culture du compromis avec les différentes idées présentes dans la population du pays. Bien ou pas bien, je ne juge pas.
La véritable question qu'il faut se poser n'est donc pas celle du scrutin, mais celle du régime qu'on veut. Le scrutin suivra naturellement.
Changer de méthode de scrutin sans avoir préalablement répondu à cette question me semble un non-sens. Et proposer une méthode de scrutin sans expliciter quel est son objectif me semble particulièrement dangereux.
[^] # Re: Mauvaise idée
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Les données de 510 000 personnes fuitent sur Ameli. Évalué à 7.
Je me permets de citer un commentaire qui résume mon avis :
https://www.reddit.com/r/france/comments/sjdbl3/comment/hvenhz6/?utm_source=share&utm_medium=web2x&context=3
En gros, on a principalement des vieux technophobes qui ont fait merder le DMP. L'espace santé, c'est la seconde tentative pour éviter leur blocage.
Et vu l'état de la prévention en France, on a véritablement besoin de ce partage d'information entre les professionnels de la santé.
# Low code ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal 'Règle'. Organiser son traitement. Sans se désorganiser.. Évalué à 3.
J'ai pas vraiment l'impression que ça soit ça, le low code/no code.
De ce qu'il me semble, c'est que derrière ce terme, on englobe les outils qui visent à s'abstraire :
- la programmation sous forme textuelle (donc ça inclut le code, mais aussi le pseudo-code comme tu l'utilises)
- la gestion de l'outillage attenant (pas de chaîne ou de commandes de compilation, pas de dépôt, pas besoin de lire une documentation pour se lancer, pas de configuration à gérer : un login sur un site web ou un téléchargement d'appli et ça s'utilise)
Pour moi tu n'as pas fait du low/no-code, mais un PoC de métalangage (?).
Ma remarque est sans jugement sur le bien-fondé de la démarche, il va de soit.
[^] # Re: Le narratif du méchant virus s’épuise. Quelle pourrait être la prochaine étape ?
Posté par Vlobulle . En réponse au journal La goutte. Évalué à 5.
Le réchauffement climatique.
Quand dans la ou les prochaines décennies le peuple va réaliser l'augmentation ultra-violentes des prix de certains bien communs, en particulier ceux liés à l'habitat à la campagne ou dans les zones pavillonnaires, parce qu'ils polluent leur maman, il va falloir faire du déni.
C'est le mode de vie d'une grosse minorité de la population qui va être attaqué.
Et beaucoup plus violemment qu'avec un random virus/vaccin. Il va falloir beaucoup de déni.
[^] # Re: Attaques hardware
Posté par Vlobulle . En réponse à la dépêche La voiture allergique à la glace à la vanille, et autres bugs. Évalué à 5.
Dans un ancien job, lorsque je codais encore avant de me mettre au pipeautron, j'avais eu un problème similaire.
Les instructions qu'on utilisaient pour timer précisément les temps des fonction sur nos machines étaient très spécifiques (on faisait pas mal de choses avec des outils liés au parallélisme). Puis un jour, nos chiffres ont commencé à être un peu anormaux. Mais pas complètement faux, juste un peu faux. Genre comme si certains traitements avaient gagnés en vitesse par rapport à nos temps de référence. Quelqu'un s'en est rendu compte sur un gros coup de bol.
Après pas mal de cheveux en moins (et de laborieux changements de version de tous les outils). J'ai fini par tomber sur le problème : la nouvelle version du compilateur s'amusait à déplacer une des instructions de timing qui faisait un "top" de "quelques" instructions. Forcément, ça toppait plus au bon moment, et certains traitement coûteux se retrouvaient non-comptabilisés.
C'était la seule fois où j'ai du débugger au niveau machine de ma vie. C'était drôle.
# Je pense que tout le monde s'en fiche
Posté par Vlobulle . En réponse au journal Le nuage de la discorde. Évalué à 10.
Je pense que la quasi-totalité des utilisateurs s'en fichent complètement. Moi le premier.
Il seront peut-être rachetés, il revendront ptet l'outil, un concurrent les remplacera peut-être. Who cares. Il y aura toujours des multi-chats avec option vocale de dispo.
Qu'ils aient un buisnesmodel viable, ou qu'ils n'en aient pas n'est pas un souci pour l'utilisateur. L'échelle de temps est bien trop grande pour que ça l'affecte. Personne n'est attaché à un outil. Les gens sont attachés aux gens.