Journal Google censure !

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5
11
juil.
2011

Pour des raisons de sécurités, évidemment. D'après cet article du Register, tous les sous-domaines de co.cc auraient été supprimés des résultats du moteur de recherche. Ce fournisseur de services Internet serait utilisé par des programmes malicieux.

Protéger le pauvre utilisateur sans défense sur le grand méchant Internet. Est-ce de la responsabilité à Google de protéger l'utilisateur (dans ce cas particulier) ? Non. Actuellement la sécurité informatique est un gag, un énorme gag même, pour la simple est bonne raison (…)

Journal Grosse déception cette semaine

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4
10
fév.
2022

Et voilà, une semaine après la sortie du rapport où Meta Platforms (qui est à Facebook ce que le RN est au FN) mentionnait que le RGPD pourrait forcer la société à interrompre son activité Facebook et Instagram en Europe, ces services sont toujours accessibles… quelles déception!

Est-ce Windows 7 ou KDE 4?

Posté par  . Modéré par patrick_g.
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3
7
fév.
2009
Humour
ZDNet Australie a réalisé une vidéo dans les rues de Sydney en faisant semblant de montrer une vidéo de démonstration du prochain Windows 7, alors qu'il s'agit en réalité de... KDE 4 !

En effet, il a été de très nombreuses fois constatées que le bureau de la version bêta (Build 7000) du prochain Windows présente une ressemblance troublante à cet autre environnement très présent dans le monde de Linux qu'est KDE. Mais au-delà de l'apparence du bureau, on se rend compte que toutes ces fonctionnalités de KDE plaisent énormément aux personnes passées dans la vidéo, et ne se doutent pas (apparemment) qu'il ne s'agit pas de Windows. La plupart en revanche, critiquent Vista pour diverses raisons.

Alors, KDE4 est-il Windows 7, ou Windows est-il KDE 4, ou simplement un peu des deux finalement ou ils n'ont rien à voir ? À vous de juger...

Du respect de la vie privée et secrète du geek en milieu urbain

Posté par  (site web personnel) . Modéré par Sylvain Rampacek.
3
18
août
2005
Justice
J'avais décidé de ne plus utiliser mon téléphone et surtout pas mon mobile qui peut fournir ma position en continu. J'avais banni les cartes de fidélité des supermarchés qui permettaient de collecter les informations sur mes goûts et de les revendre. J'évitais de même les sondages divers commerciaux. Je me disais qu'en payant en liquide (avec un risque de contrefaçon sur les billets certes) et en n'utilisant pas de pass dans le métro, je préserverais un peu de ma liberté. Poussant le raisonnement au bout, j'avais décidé d'organiser régulièrement des brèves rencontres avec des inconnus pour mettre dans un pot commun mes billets et mes tickets de métro, les mélanger et repartir ainsi avec des numéros de série anonymisés, par peur d'être suivi, et puis cela me permettait d'échanger des empreintes GnuPG.

Bien sûr j'utilisais des logiciels libres, car pourquoi ferais-je confiance à des logiciels propriétaires boîtes noires, contenant potentiellement des portes dérobées ou des espiogiciels. Je ne communiquais qu'en https, mes courriels étaient tous chiffrés, mes partitions aussi, et de toute façon mes remarques sur la météo et le sexe opposé ne circulaient que dans des images de gnous en utilisant de la stéganographie. Et je me croyais tranquille.

C'était sans compter sur le déploiement de nouveaux ordinateurs équipés en standard de TPM (oui l'informatique dite « de confiance », TCPA/Palladium, ayez confiance, tout ça) qui étaient déjà sur le marché. Et les imprimantes qui se mettaient à bavasser aussi. Sans compter aussi que certains aimeraient bien collecter toutes les données de trafic internet et téléphonique (le courrier postal n'intéresse personne...), en évoquant des questions de sécurité, voire créer des e-milices sur les réseaux (de toute façon on me proposait déjà de confier mes clés de chiffrement aux forces de police, sachant qu'ils savaient s'en passer si besoin). Ceci dit les débats sur la nouvelle carte d'identité électronique en France avaient laissé perplexe (identifiant unique, données biométriques, mélange de l'officiel et du commercial, etc.).

De son côté l'industrie de la musique et du cinéma promettait des mesures techniques de protection pour décider si et quand et combien de fois je pourrais lire le DVD que j'avais acheté, et avec quel matériel et quel logiciel, en arguant des cataclysmes apocalyptiques et tentaculaires causés par des lycéens de 12 ans ; on me promettait même des identifiants uniques sur chaque disque et un blocage de la copie privée pourtant légale. Finalement on me proposait de bénéficier des puces d'identification par radio-fréquences RFID aux usages multiples : traçage des étrangers, contrôle des papiers d'identité, implantation sous-cutanée...

Bah il ne me restait plus qu'à aller poser devant les caméras dans la rue (Paris, Londres, etc.), et à reprendre des pilules. Enfin ça ou essayer d'améliorer les choses.

« Nous avons neuf mois de vie privée avant de naître, ça devrait nous suffire. » (Heathcote Williams)

« Même les paranoïaques ont des ennemis. » (Albert Einstein)

Journal Flash est mort, mort est Flash !

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17
déc.
2010
Pour rester mati'Nal, bonjour Nal !


Flash est mort ! Quoi, ça vous étonne ? Mais regardez donc cet article :
http://www.transfert.net/a7267
Flash est mort depuis 2001 ! Le SVG était propulsé par le W3C en tant que format pour l'animation et le dessin vectoriel. Macromedia, l'éditeur de Flash en ces temps anciens, ne pouvait que frémir : même Adobe basculait vers le SVG via une nouvelle version de son logiciel LiveMotion, concurrent de Flash. Le libre a gagné !


(…)

Le succès de "MSN" chez les jeunes pose-t-il un problème au logiciel libre ?

Posté par  (site web personnel, Mastodon) . Modéré par rootix.
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25
mai
2008
XMPP
L'ex MSN Messenger, aujourd'hui Windows Live Messenger (ou WLM), est de très loin le logiciel de messagerie instantanée le plus diffusé en France, en particulier auprès des plus jeunes où il est devenu non seulement un phénomène de mode mais un moyen de communication à lui tout seul.

Comme le pense le Framablog, une génération entière est en train de grandir avec lui. Ceci a des conséquences sociologiques sur les comportements des adolescents vis-à-vis de la messagerie instantanée en général. Mais ceci a également des conséquences éthiques puisque Windows Live Messenger est un logiciel propriétaire de l'éditeur Microsoft qui repose sur un protocole fermé, qui centralise les données personnelles des utilisateurs sur ses serveurs et qui affiche des publicités pas forcément toujours adaptées à un jeune public.

Enfin ceci pourrait également avoir indirectement des conséquences sur le logiciel libre. D'abord parce qu'avec "le cheval de Troie" WLM tout est fait que pour que le jeune connecté goûte à tous les services connexes proposés par Microsoft via son programme Windows Live (à commencer par l'adresse Hotmail, elle aussi très largement présente dans la tranche d'âge). Ensuite parce qu'aussi bien les clones libres de WLM (tels aMSN ou emesene) que les clients reposant sur des protocoles ouverts (tel Jabber) ont du mal à séduire les jeunes.

Réactions au site pecephobie.be

Posté par  . Modéré par Mouns.
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28
oct.
2005
Presse
Suite à l'annonce de la campagne pecephobie organisée par Peter Vanvelthoven, Ministre de l'Emploi et de l'Informatisation de l'État et de la Société, le BxLUG, FSUGAr et LiLiT ont décidé de réagir dans une lettre ouverte.
Je me tiens, ainsi que le BxLUG et LiLiT, à votre disposition pour tout
complément d'information.
Merci de bien vouloir diffuser la lettre le plus largement possible.

NdM : Le site Pecephobie est une initiative du gouvernement belge visant à sensibiliser les citoyens à l'utilisation d'internet en toute sécurité.

XAML et l'avenir de GNOME

Posté par  (site web personnel) . Modéré par Pascal Terjan.
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9
mar.
2004
Gnome
Sur son blog, Edd Dumbill nous fait part de ses inquiétudes face à XAML, le langage de description d'interfaces graphiques de Microsoft. Selon lui, le principal avantage de XAML est d'amener la simplicté du web design dans le monde des widgets natifs. GNOME a besoin d'un équivalent alors Edd passe en revue les différentes solutions en donnant leurs avantages et leurs inconvénients : XUL mais aussi Glade et HTML/SVG/XML/CSS.

Cachez ce lien que je ne saurais voir (4 ans plus tard)

Posté par  (site web personnel) . Modéré par Nÿco.
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12
juin
2008
Internet
Il y a 4 ans, j'avais écrit « Le fondement d'Internet, l'hyperlien, est-il menacé ? ». Quelques juristes trop zélés avaient décidé que les liens hypertextes devaient passer sous leur contrôle, notamment ceux vers les sites des Jeux Olympiques, d'un groupe de télévision publique ou d'une société de transports intercommunaux. Et il convient de se souvenir qu'encore 4 ans plus tôt, en 2000, British Telecom avait poursuivi le fournisseur d'accès Prodigy avec son prétendu brevet américain n°4,873,662 sur les hyperliens, avant d'être débouté.

Naturellement, en 8 ans, le web s'est largement généralisé, banalisé, et des sites reposant largement sur les hyperliens comme Wikipédia comptent parmi les plus visités au niveau mondial. Il serait logique que tous les professionnels du web aient découvert l'intérêt des liens, pour être référencés par les moteurs de recherche, cités par leurs utilisateurs augmentant ainsi leur classement dans les algorithmes type Google PageRank, etc.

Éh bien non... La liste des sites exigeant un accord préalable pour accéder à leur site (!), la possibilité de faire retirer tout lien y compris préalablement autorisé, voire menaçant d'un hypothétique délit de contrefaçon en cas de lien s'allonge... On y trouve aussi bien des petits sites que des gros sites, des entreprises ou des associations que des services publics ou des administrations (voir la liste dans la suite de l'article).

Râleurs pessimistes ou visionnaires d'un avenir sombre ?

Posté par  (site web personnel) . Modéré par Fabien Penso.
1
11
août
2004
Communauté
Signe des temps, un certain nombre de textes parus ces dernières années nous prédisent un avenir dans le style du livre « 1984 » de George Orwell ; ils se fondent sur les évolutions légales ou techniques récentes : l'informatique dite de « confiance » (TCPA, Palladium), les directives liberticides sur le droit d'auteur : DMCA (Digital Millenium Copyright Act), EUCD (European Union Copyright Directive), IPRE (IP Rights Enforcement), brevets logiciels, LEN (Loi sur la Confiance dans l'Économie Numérique), etc.

Rappel de quelques textes :
- en 1997, Richard Stallman écrivait pour la revue Communications of the ACM « Le droit de lire » (aussi appelé « The Road to Tycho »).
- en 2000, Mark Summerfield publiait « Lettre de 2020 » (traduit ensuite par Frédéric Renet).
- en 2002, Nyco diffusait « Le droit d'écouter ».
- tout récemment, Khane a écrit « Le droit d'écrire ».

Signe des temps ou cris d'orfraie ?

Humour dans le noyau

Posté par  . Modéré par Benoît Sibaud.
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5
jan.
2003
Noyau
Tous les programmeurs pètent un plomb de temps en temps. Qui n'a jamais déliré avec des commentaires à un moment donné dans son source, c'est toujours lors de la relecture ou des phases de débug un moment de franche rigolade ( si si ;-) ).
Le noyau de notre OS préféré n'y échappe pas... Slashdot nous le fait découvrir à travers un article disponible sur KernelTrap... Y a des bijoux, juste un exemple :
"[...]
drivers/usb/printer.c:static char *usblp_messages[] = { "ok", "out of paper", "off-line", "on fire" };
[...]"

LinuxFrench remet en cause quelques associations du libre

Posté par  . Modéré par Pascal Terjan.
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6
avr.
2004
Communauté
Dans un article paru aujourd'hui sur LinuxFrench, l'auteur expose quelques dysfonctionnements dans le monde du logiciel libre. Il parle de l'April, de la FSF et de copinedegeek, en indiquant toutefois que les problèmes soulignés touchent bien d'autres associations.

Il parle en particulier des gens qui parlent mais n'agissent pas par rapport aux inconnus qui font avancer les logiciels libres et du manque d'ouverture de la communauté.

Sans proposer de solution claire, cet article permet de lancer la discussion sur le rôle des associations, ainsi que sur le monde du libre en général.

NdM: il s'agit plus d'un coup de gueule que de faire le point après une réflexion poussée sur le sujet. Que cela ne vous empêche pas de mener cette réflexion sur ce qu'est la communauté actuellement et ce qu'elle peut/doit devenir.