Sortie du film libre "Big Buck Bunny"

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juin
2008
Culture
Suite au succès de son précédent film, Elephants Dream, la fondation Blender avait clairement annoncé qu'elle n'en resterait pas là. C'est dans cette optique que la fondation lançait le projet Peach, qui avait pour objectif de faire un second court métrage libre, toujours en utilisant exclusivement des outils libres.

Le 1er octobre 2007, une équipe de la fondation Blender, dirigée par Ton Roosendaal, s'était donc mis au travail dans les nouveaux locaux à Amsterdam, pour nous offrir, 7 mois plus tard (avec un petit mois de retard sur le délai prévu donc), un petit chef d'œuvre de l'animation 3D. Le film, Big Buck Bunny (du nom du personnage principal, vous l'aurez deviné, c'est un gros lapin), qui dure un peu moins de 10 minutes, fût présenté en avant première le 10 avril 2008 au cinéma Studio K à Amsterdam et les DVD ont commencé à être envoyés à partir du 20 mai. Le film est désormais en téléchargement libre depuis le 30 mai.

L'histoire met en jeu un gros lapin qui est pourchassé par un groupe d'animaux de la forêt qui, il faut le dire, sont assez facétieux. Je ne vous en dis pas plus et vous laisse découvrir.

Big Buck Bunny a été conçu du début à la fin avec des logiciels libres, à savoir :
  • Ubuntu Linux comme système d'exploitation
  • Blender (évidement) dans sa mouture 2.4 pour la modélisation et l'animation 3D
  • GIMP et Inkscape respectivement comme éditeur d'images et éditeur d'images vectorielles
  • Subversion pour gérer différentes versions des fichiers produits durant la réalisation du film
  • Python pour la programmation

Ce film est une nouvelle occasion de constater que les outils libres sont désormais de réelles alternatives aux solutions propriétaires, y compris dans des domaines complexes tel que l'animation 3D. On pourra notamment noter la texture des poils des animaux, qui semble avoir été particulièrement travaillée, ce qui donne un rendu fort agréable et réussi.

There will be blood

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7
mai
2008
Culture
Le film n'est pas sorti hier (la sortie française a eu lieu le 27 février 2008), mais je l'ai vraiment aimé et je pense qu'il mérite une petite dépêche cinéma.

Le genre : There will be blood est un film complexe, entre reconstitution historique à propos des pionniers du pétrole américain et fresque psychologique sur le pouvoir, l'isolement et la folie, le tout mêlé à une musique oppressante et omniprésente. There will be blood, ce n'est pas un film classique.

L'histoire : Je ne vais pas vous raconter la fin, ni le début d'ailleurs, mais tenter de vous donner un très bref aperçu : c'est l'histoire d'un pionnier du pétrole, à partir des années 1890, de son ascension économique mais aussi de l'évolution de sa misanthropie.

Je suis resté volontairement vague. L'une des raisons de mon flou, c'est l'acteur principal, Daniel Day-Lewis, dont la performance exceptionnelle ne peut être décrite facilement avec des mots. Je ne vous conseille d'ailleurs pas de lire un résumé plus précis. Je viens de lire le résumé sur la page anglophone de imbd et je trouve que, sans raconter de choses fausses, il transmet une image du film très différente de la réalité.
En résumé, There will be blood, c'est un beau film avec un acteur formidable, une histoire originale et une musique qui vous met mal à l'aise.

NdM : Si vous préférez parler d'Iron Man, il y a un journal sur le sujet.

Cloverfield

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11
fév.
2008
Culture
Prenez un célèbre producteur et scénariste dans le vent comme J.J. Abrams (connu pour les séries TV à succès Lost, Alias), ressortez un concept très peu utilisé dans le cinéma dit du "Faisons des économies sur le matériel et filmons à l'épaule avec un caméscope", créez un buzz sur votre film en ne dévoilant rien mis à part 3 minutes de film, et faites mijoter. Vous obtenez le film Projet Blair Witch Cloverfield. Car c'est bien à un projet blair witch-like auquel on assiste, mais avec bien moins de réussite.

Cloverfield c'est donc ça : l'histoire d'une attaque de New York par un monstre géant venu d'on ne sait où, vu par une bande de jeunes (enfin l'équipe de joyeux lurons se fait décimer le long du film) qui filment cet évènement avec le caméscope de tonton Henri. Et c'est la cassette de ce caméscope qui nous est diffusée. Je rassure les lecteurs : c'est semble-t-il un caméscope d'une autre génération que les HI-8, l'image étant plutôt jolie quand même.

La bande de jeunes tente donc tantôt de s'enfuir, tantôt d'aller secourir la petite amie d'un des protagonistes, tout en croisant des soldats américains en déroute, des monstres aux mâchoires fatales et en laissant à chaque étape un de leur amis joncher le trottoir. On peut ainsi admirer leur déambulation dans les rues New York, le métro et des immeubles en ruines.

Seulement, il y a un hic. Une forte impression de coquille vide est ressentie lorsqu'on assiste avec stupéfaction à l'arrivée du générique de fin. A se demander même si finalement le très maigre contenu diffusé pour entretenir le buzz sur internet n'a pas été plus conséquent faute de mieux. Car c'est ce qui manque au film : du contenu, et du fond (spoiler ci-dessous).

First they ignore you

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13
fév.
2008
Culture

Depuis Elephants Dream en 2005 la scène Creative Commons de la création audiovisuelle aux exigences professionnelles est restée quasi déserte. Deux ans et demi après l'image de synthèse c'est le documentaire qui fait son baptême du feu. En effet, depuis la semaine dernière un projet présente une série de documentaires professionnels, en vue d'une diffusion sous une licence Creative Commons (en fonction des financements), et entièrement réalisés avec des logiciels libres.

L'initiative a été saluée par l'équipe de Creative Commons, et supportée personnellement depuis le premier jour par Lawrence Lessig. D'autres acteurs importants du libre ont aussi manifesté leur intérêt et leur enthousiasme par rapport au projet. Le projet expérimente un modèle de financement original appelé "funding and licensing". Il vise à trouver un équilibre entre la liberté du public et contraintes économique.

Ce type d'initiative peut-il démontrer que des solutions sont possibles face à la crispation dont font preuve tous les acteurs du domaine, public, créateurs, politiques, médias et majors au sujet du piratage ? Ces documentaires sont en cours de production. De nouvelles vidéos font régulièrement leur apparition sur le site, ils traitent des mouvements non-violents récents et historiques en Inde.

Je suis une légende

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28
déc.
2007
Culture
Malheureusement non je ne suis pas une légende (un jour peut être !), il s'agit du titre d'un film sorti en salle ce mercredi 19 décembre, film dont vous connaissez peut-être le roman éponyme, chef-d'oeuvre de Richard Matheson sorti en 1954, en pleine guerre froide.

Second film de Francis Lawrence ( son premier étant Constantine), il met en scène le célèbre Will Smith dans un contexte post-apocalyptique où il est le dernier survivant de la ville de New York et peut-être du monde entier. Coté casting, le moins qu'on puisse dire c'est que ça n'a pas du coûter trop cher, vu le peu d'acteurs qu'on y trouve.

Son synopsis est un grand classique du genre "zombie" : Un vaccin contre le cancer qui a muté et qui s'est propagé par voie aérienne a transformé tous les habitants en créatures asociales et très agressives qui veulent assouvir leur instinct de survie le plus primitif : manger. Will Smith interprète le scientifique de l'armée qui essayait de le vaincre. Le hasard a fait qu'il soit naturellement immunisé et le film retrace quelques tranches de vie, sa lutte contre les créatures et ses recherches pour fabriquer un vaccin.

Présenté comme un film catastrophe où un héros doit sauver le monde, il en ressort qu'il ne s'agit pas vraiment de cela, ce qui m'a réellement ravi. Contrairement au récent Resident Evil Extinction, on n'a pas affaire à un énième film où un soldat d'élite invincible et téméraire casse du zombie avec n'importe quel ustensile qui lui passe sous la main, et ce film s'éloigne heureusement de cette trame qui commençait un peu à me lasser.

Contrairement à ce que nous laisse penser la première scène (une course poursuite dans New York au volant d'une vrombissante Ford Mustang Shelby), nous avons pas affaire à un film 100% action mais plutôt à un anti-héro on ne peut plus humain (qui n'a quand même pas oublié comment faire des tractions ou comment se servir d'un fusil d'assaut, formation militaire oblige) et le film essaie de se focaliser sur ses faiblesses, sa sensibilité, sa peur, son désespoir, parfois son courage, bref tout ce qui fait de lui un humain par rapport aux créatures. Ponctuée de scènes sursautantes, ou d'autres humoristiques (parfois cyniques), ce film de "zombie" apporte une certaine fraîcheur au genre, qui nous avait plutôt habitué (ou même lassé) à des "slash'em all", tout en entretenant un certain suspense par moment.

Coté mise en scène, la désertion de New York est plutôt réussie, mais pas encore assez vertigineuse à mon goût, j'aurais aimé voir un peu plus le vide laissé par les habitants. Du coté des créatures, je trouve que leur "animalité" et déformations physiques ont été un peu exagérées, mais cela a permis d'appuyer sur l'impuissance du héros face à eux.

Mon sentiment final est donc qu'il s'agit d'un très bon film de zombie, qui nous change de ce à quoi on a été habitué, j'y ai passé un très bon moment, même si je suis un tout petit peu resté sur ma faim, sûrement à cause du final pas spécialement surprenant. Je le recommande à tous ceux qui veulent passer un bon moment de détente, qui aiment sursauter de temps en temps et qui aiment avant tous les films de zombies. Râleur en tout genre à la recherche de films d'auteurs à-la-festival de Cannes, bien évidemment, passez votre chemin !

American Gangster

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23
nov.
2007
Culture
American Gangster, de Ridley Scott, prend place dans le New York des années 1970, avec Denzel Washington dans le rôle du chauffeur d’un parrain de Harlem qui, à sa mort, devient discrètement le plus puissant des barons de la drogue à l’insu de tous, y compris les siciliens et les flics ripoux.

Parallèlement à son histoire est comptée celle d’un flic incorruptible interprété par Russell Crowe qui après s’être mis à dos tous ses collègues pour son excès d’honnêteté, se voit mis à la tête d’une nouvelle brigade de lutte contre les stupéfiants, constituée d'incorruptibles et visant à stopper les gros poissons du marché de la drogue.

On retrouve une trame déjà utilisée dans Les Infiltrés de Martin Scorsese où les activités professionnelles des 2 héros sont narrées en parallèle et parsemées de divers épisodes de leur vie privée. On voit tout au long du film leur histoire se rapprocher à coups d’erreurs pour l’un et de bons coups pour l’autre, pour une confrontation finale inévitable.

J’ai adoré ce film et y ai tout de suite trouvé un air de Les Infiltrés (auquel j’avais un peu moins accroché tout de même). Contrairement aux Infiltrés qui s’écoulait de 1970 à nos jours, celui ci reste dans les seventies et on repense de temps à autres forcément aux vieilles séries américaines des années 80 avec leurs voitures rectangulaires, leurs styles vestimentaires bien à eux, les armes à feu à barillets, tout ceci dans une ambiance parfois glauque, merci aux scènes décrivant le monde tournant autour de l'héroîne et du trafic de drogue.

Bref, je le recommande à tous, c’est 2h30 de bonheur !

300, La vie des autres et Sunshine

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16
avr.
2007
Cinema
Pour renouer avec la vénérable tradition des critiques de cinéma sur LinuxFR je vous propose d'évoquer trois films très différents en une seule dépêche. Vous trouverez donc dans la suite de l'article une chronique sur :
  • 300

  • Ce péplum narre le célèbre combat des Thermopyles entre les 300 spartiates du roi Léonidas et les hordes perses de Xerxès.
    Le film est tiré d'une bande dessinée de Frank Miller et le procédé utilisé est largement comparable à celui ayant conduit à la réalisation de Sin City : Respect des cases de la BD (moins poussé que dans Sin City toutefois) et décors entièrement digitaux.

  • La vie des autres

  • Attention chef-d'oeuvre ! Ce film bouleversant se déroule en Allemagne de l'Est, quelques années avant la chute du mur, et raconte la surveillance par la police politique (Stasi) de la vie quotidienne d'un écrivain et de sa femme. L'homme chargé de cette surveillance est un communiste pur et dur. Il enseigne les techniques d'interrogatoire à l'école de la Stasi et il décide de se charger personnellement du cas de cet auteur soupçonné de déviationnisme politique.

  • Sunshine

  • L'histoire est tout de même assez affligeante (En 2057, pour "réveiller" notre soleil qui se meurt, un équipage est envoyé dans un vaisseau pour déposer une gigantesque bombe afin de sauver la Terre)

Vidéos des RMLL 2006

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19
juil.
2006
RMLL/LSM
La société Free Electrons vient de publier 21 vidéos libres au format ouvert Ogg/Theora, sur l'édition 2006 des Rencontres Mondiales du Logiciel Libre qui s'est tenue début juillet à Vandoeuvre-lès-Nancy.

Les principaux sujets couverts par ces vidéos sont les systèmes d'exploitation (en particulier le passionnant atelier d'initiation organisé par Renaud Lottiaux et Thomas Petazzoni), les systèmes embarqués, les formats ouverts et l'intéropérabilité, la documentation, et enfin la table ronde politique qui a été annoncée récemment sur DLFP. Enfin, ne manquez pas non plus le discours de fin de Sébastien Blondeel, qui apporte de croustillantes révélations sur les origines de notre manchot fétiche.

Diffusion du film d'animation 3D libre "Elephants Dream"

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25
mai
2006
Cinema
Après des mois de travail en petite équipe dans un studio d'Amsterdam, Ton Roosendale (le créateur de Blender) et son équipe ont publié sur leur site le plus important court-métrage d'animation libre : Elephants Dream.

Libre à plusieurs titres : il est entièrement diffusé sous licence Creative Commons Paternité et a surtout été réalisé grâce à Blender, Gimp et d'autres logiciels libres...!

Le film est téléchargeable dans divers formats vidéo en définition standard et en haute définition. Il est possible d'acheter le DVD du film contenant les archives, scènes et fichiers qui ont permis de le créer.

Tabac, la conspiration

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2
avr.
2006
Cinema
"Tabac, la conspiration" est l'aboutissement de trois années d'enquête sur l'industrie du tabac en Amérique du Nord, en Europe et en Afrique. Ce documentaire est articulé autour de trois thèmes : la manipulation scientifique, la subversion commerciale et la stratégie économique.

L'industrie du tabac parvient malgré tout à conserver, voire à accroître sa toute puissance au détriment de la santé publique. Comment ? Réponse dans certaines salles de cinéma en France (villes, salles et dates disponibles dans un fichiers PDF téléchargeable sur le blog du film).

Ce film a été récompensé par le prix du meilleur scénario documentaire Sunny Side of the Doc. Il a également été diffusé en janvier dernier sur Arte (vers 23 h) dans une version plus courte.

Projet Orange : la dernière ligne droite.

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26
fév.
2006
Cinema
Le Projet Orange, ou premier film d'animation open source, touche à sa fin. Les artistes sont à la phase finale de rendu, et viennent d'annoncer la date et le lieu de la première mondiale de leur film intitulé "Elephants Dream".

Celle-ci se fera donc le 24 Mars au Cinema Ketelhuis, Amsterdam. La séance est gratuite et sera suivie par une inévitable et inoubliable fiesta dans un restaurant nommé blender...

Un évènement à ne pas manquer !

La véritable histoire du petit chaperon rouge

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6
fév.
2006
Cinema
Vous avez aimé Shrek ?
Vous aimez les polars déjantés ?
Vous aimez les histoires où les apparences sont trompeuses ?

Alors « La véritable histoire du petit chaperon rouge » est pour vous.

Chaque personnage du célèbre conte donne sa version des faits et le méchant n'est peut être pas celui que l'on croit.

Le film est parsemé de références cinématographiques et, comme pour Shrek, il sera bon de connaître quelques « classiques » pour apprécier toutes les subtilités (en vrac, je vous conseille d'avoir vu au moins Matrix, XXX et les James Bond).

Le film peut être vu par les enfants, mais pour l'apprécier pleinement il faut être un adulte.

You think you know who you are? You have no idea...

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27
sept.
2005
Cinema
Sorti en salles le 14 Septembre dernier, "Collision" le 1er film écrit et réalisé par Paul Haggis a obtenu le grand prix du festival de Deauville présidé cette année par Alain Corneau.

Après une longue carrière télévisuelle, Paul Haggis s'est fait connaître au cinéma en écrivant le scénario de "Million Dollar Baby" tourné sous la direction de Clint Eastwood.

En passant derrière la caméra, il nous révèle l'étendue de son immense talent en réalisant là un véritable petit chef d'oeuvre.

Accompagné d'une pléiade de très bons acteurs (Matt Dillon, Don Cheadle, Sandra Bullock, Jennifer Esposito) Paul Haggis nous livre un film magnifique, tourné à Los Angeles, sur le thème du racisme et de l'intolérance. Mais que l'on ne s'y trompe pas, ce film nous révèle que nous ne sommes pas toujours ceux que nous croyons être...

Star Wreck: In the Pirkinning

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8
sept.
2005
Cinema
Star Wreck est une parodie de Star Trek faite par des amateurs et issue de l'imagination fertile et de l'esprit tordu d'un finlandais (encore un !), Samuli Torssonen. Le sixième épisode vient de sortir après 5 ans d'attente, d'annonces sur l'imminence de la sortie, de multiples réécritures du scénario, de re-tournage de la moitié des scènes. Le résultat est largement au delà de ce qui était prévu au début, à tel point qu'une édition en DVD a été organisée.

Le DVD est disponible sur le site, ainsi que les épisodes précédents en libre téléchargement. Le dernier épisode sera disponible au téléchargement à partir du 1er octobre (le temps de rentabiliser la vente des DVD). Et, ce qui ne gâche rien, le DVD n'est pas zoné (zone 0) et sous licence Creative Commons (by-sa-nc). Anglophobes et finnophobes s'abstenir, cependant : le film est en finnois, et sous-titré en anglais (et en suédois).

NdM : la licence CC-by-sa-nc est non libre au sens de la FSF et - malgré tout - souvent retenue pour les oeuvres artistiques afin d'obliger à contacter l'auteur pour toute utilisation commerciale.

The Island

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18
août
2005
Cinema
Le 17 août 2005 est sorti sur vos grands écrans le dernier film de Michael Bay : The Island. (ndla : L'île).

Disons le tout de suite, vous ne verrez pas vraiment une île paradisiaque avec plage de sable fin et cocotiers à perte de vue.
Non, car l'heure est grave : un cataclysme a ravagé la planète, qui se trouve maintenant contaminée.

Heureusement, certaines personnes survivent et sont ramenées dans une colonie fermée où vivent nos deux héros, incarnés respectivement par Ewan McGregor et Scarlett Johansson.
Pour illuminer une vie qui serait trop désespérante, chaque personne participe à une loterie, qui permet à son heureux gagnant de quitter la colonie pour une fabuleuse île (non contaminée), où la vie est plus douce.

Mais bientôt, notre cher Ewan commence à se poser des questions et va découvrir la réalité terrifiante de The Island ....